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VOS « IDÉOLOGIQUES ÉLANS »
DE JEUNE, PAR / POUR VOUS ?
Vous, junior, voulez, « avoir, votre mot à dire ». Non seulement, quant à ce qui concerne, très directement, votre génération, mais, aussi, plus globalement, la « vie, de la Cité ». Pour autant, votre rôle civique, politique, est des plus étiques, restreints. La classe politique et, les pouvoirs publics, « se défient », de votre classe d’âge, à votre plus grand dam, vous tiennent, en marge, des affaires décisionnaires. Si vous, adojeune, vous maintenez, fort éloigné, des religions, Églises, dogmes et, ne voulez, « vous laisser endoctriner », vous avez soif, de « communion spirituelle ».
Car, vous percevez, instinctivement, intuitivement, viscéralement, la vaine vacuité, d’un monde, sans foi, morale ni, loi. En lequel, seuls, force, pouvoir, argent, auraient droit, de cité, soumettant, les plus faibles, sous leur inique joug. Les virulents combats idéologiques, qui avaient, tant et tant, enflammé, la jeunesse, des siècles passés, ont vécu. Demeurent, les causes, qui concernent, votre néogénération ou, ont trait, aux injustices, générosités et, grands principes moraux. Pour elles, vous, adojeune, saurez encore, vous lever, en masse, pour protester, faire entendre, votre voix. Tenter, d’infléchir, certains choix, opérés, par vos aînés, qui vous semblent, en conscience, des plus contestables.



































































































































































Au début, des années 1970, un lycéen périparisien, Gilles, se lance, avec force délectation, dans le maelström, culturel et idéologique, de l’époque post-Soixante-huit. Il hésite, entre engagement militant et, quête individuelle. Le garçon préfère peinture, cinéma, à la politique, en opprobre, de ses camarades, plus activistes. Entre amours, arts et, liens humains, Gilles et, ses amis voyagent, tracent, leur chemin, optent, pour leur avenir. Afin, de faire leurs preuves, s’imposer, assumer, leurs pleins destin, vocation ontologiques.
En temps tourbillonnant, changeant, comme, favorable, à la jeunesse. Riche, pour sa propre génération, de promesses, de toutes sortes. Gilles finira, par assumer, ses élans, préférences, gages, pour lui, d’épanouissement et, de réussite. Comme, le dépeint, si bien, le drame historique, de cinéma, français : Après Mai. (O. Assayas, 2012). Les jeunes, d’hier, comme, surtout, d’aujourd’hui, se défient fort, des idéologies, toutes faites, des appareils, qui les portent. Pour autant, ils n’en demeurent, pas moins, des plus sensibles, ouverts, aux nobles et, généreux engagements, valeurs, qui leur semblent, les plus dignes, d’adhésion979.



































































































































































Rôle civique politique minoré, distancié
De votre adolescence
Idéal-s, idéaux, est un terme masculin, de 1765. « Ce que l’on se représente ou, se propose, comme, type parfait, modèle absolu, en l’ordre pratique, comme, esthétique ou, intellectuel. Ensemble, de valeurs esthétiques, morales ou, intellectuelles – par opposition, aux intérêts, de la vie matérielle -. Ce qui, en quelques ordres, que ce soit, donnerait, une parfaite satisfaction, aux aspirations, du cœur, de l’esprit ».
(Dictionnaire, de la langue française, Robert, France, 2007) 980.
Vos idéaux, de jeunesse, sont donc, vos pleines aspirations, « métaphysiques » et, immatérielles. Depuis, la suspension, du Service national, (France, 1798-1997), la question se pose, en une optique, d’intégration, de votre jeunesse, d’instaurer ou, non, un Service civique, (France, 2010), obligatoire.
– Coaching Jeune XY – Paris 16 –



































































































































































Le choix s’est porté, sur le pur volontariat981. Puis, sur l’obligation, avec le Service National Universel. (France, 2019). Les jeunes peuvent être amenés, à se détourner, de la politique, du système électoral et, civique. Il faut noter, que la place, qui leur y est octroyée, reste, toujours, des plus congrues, ce qui ne les incite pas, à s’engager. Généralement, les juniors votent peu, sont, fort rarement, détenteurs, de mandats électifs, avant, leurs vingt-cinq ans. Les dérives, de la politique, les dissuadent, de se prononcer, présenter. Comme, la pitoyable, campagne présidentielle française, de 2017, l’a, si magistralement et, si honteusement, encore, démontré ! En pires circonstances et effondrements, inédits !
Leur orientation politique varie, selon, les époques, individus, du conservatisme extrême, au progressisme total. Globalement, la tonalité constante, des conceptions juvéniles, incline, aux idéaux, d’ouverture, de générosité, de tolérance et, progrès. Leur citoyenneté demeure, plus théorique, qu’effective. Le jeune est fort peu ou, mal représenté, en ce système institutionnel électif. Il est très peu « présent », dans le dispositif, représentatif politique général. Quant aux instances délibératives, décisionnaires, consultatives, propres, à l’adolescence, elles sont trop peu nombreuses.
Leurs fonctions, pouvoirs, sont encore, mal définis et, minorés. Leur assise démocratique est très limitée. Cela, en restreint, toute la légitimité intrinsèque, l’impact, l’attrait réels. L’on peut citer, les conseils d’arrondissement, municipaux, départementaux, régionaux, national, de la Jeunesse. Également, le Sénat junior, le Parlement européen des Jeunes982. Ces organes représentatifs, ont le mérite, d’exister, or, le poids sociétal juvénile, reste faible.
Il en va, de même, pour toutes les instances sociales, associatives, syndicales, humanitaires, religieuses. La voix, des jeunes, n’y est pas entendue ni, écoutée ou, peu. La possibilité, de s’y faire représenter, est rarement, prévue, même, quand, l’activité, la mission, concernée, a trait, à l’adolescence. Faute, de nette revivification, ces entités s’étiolent, périclitent, d’autant, qu’elles ne sont plus, en phase, avec leurs mandants. Le dynamisme, des cadets, y serait bénéfique983. En ces conditions, le lien entretenu, entre les jeunes français et, leur pays, s’est très distendu.
Quid, du sentiment, d’appartenance, de fierté nationales, loyauté civique, du sens sacrificiel collectif, de patrie, patriotisme, chez les juniors ? Il s’est fort largement, globalement, évanoui, délité, dissous, en la globalisation, du monde. Toutefois, une certaine satisfaction, voire, une fierté nationales juvéniles, de la « francité », peuvent perdurer, en une partie, de l’adojeunesse. Traditionnellement, plus, l’on est éduqué et, formé ou, haut diplômé, plus, l’on est « politisé ».
Cela, n’est plus le cas, aujourd’hui. Malgré, la hausse continue, du niveau, d’éducation, des jeunes, ils sont moins « perméables », à la chose politique, que jadis. Désormais, les études scolaires influent moins, sur la sensibilité juvénile, à l’idéologie politique. La tendance semble même, aujourd’hui, s’être inversée. Un haut stade, de formation, « dissuadant » plus, de l’attrait politique, que des études moindres. Cela, vaut, pour les juniors, les plus dépolitisés. Pour les autres, les jeunes, de milieux favorisés, sont plus politisés, que ceux, de catégories populaires. Les garçons sont bien plus, politisés, que les filles, à tous niveaux, de formations. Seule, une petite minorité, de juniors, suit, l’actualité politique, dans les médias, au quotidien, tous niveaux, d’éducation, confondus.
Peu informés, en la matière, les jeunes ont, malgré tout, leur opinion, sur la question. Un peu moins, concernant, les collectivités locales. Le nombre, d’adojuniors, déclarant, ne pas vouloir, voter ou, voter blanc, à une élection politique, reste important. Bien plus, que chez les adultes, les plus âgés. Plus, le jeune est dépolitisé, plus, il ira ré/affirmer, sa volonté, d’abstention potentielle. Le vote juvénile n’est pas, un acte civique, mais, facultatif et, libre, si on le juge bon, valable. L’abstentionnisme croît, avec le faible niveau, d’études. Il est vrai, que les juniors, les moins titrés, peinent, à se reconnaître, en une élite, qui s’autoreproduit !
Si, les adojeunes votent moins, que par le passé, moins, que leurs aînés, ils s’affirment, se manifestent, autrement. Notamment, par mouvements protestataires, typiquement, juvéniles. Les juniors signent, de plus en plus, de pétitions, manifestent, de plus en plus, depuis, trente ans. Dès, le lycée, l’adolescent affirme fort, son refus, mécontentement. La grande majorité, des jeunes, a eu l’occasion, de « protester », publiquement et, collectivement. En tous milieux sociaux, niveaux, de revenus, et, sexes.
Plus, les juniors, sont politisés, plus, ils participent, à toutes formes oppositionnelles. L’activisme idéologique, politique, est, surtout, très nettement, le fait, des adojeunes, affichant, clairement, une appartenance partisane tranchée. Même, peu politisés, la plupart, des juniors, savent, se fixer, sur l’échiquier politique. Leur choix diffère peu, de celui, de leurs aînés. Les jeunes plutôt, conservateurs, appartiennent plus, aux milieux, plus favorisés, sont plus religieux, attachés, à la morale. Acceptent peu, les orientations sexuelles minoritaires, l’usage psychédélique ou, l’immigration étrangère. Ils plébiscitent « la liberté ».
Ceux, qui se disent, plus progressistes, relèvent plus, des strates modestes, sont plus, sans religion, moins attachés, à la notion, de principes. Ils cautionnent plus, les différents types, de sexualité et, la libre consommation, de stupéfiants, l’égalité, l’insertion étrangère, en France. Concernant, certaines valeurs, jeunes, de droite, du centre, de gauche, se sont rapprochés. Ainsi, concernant, la demande, d’un certain ordre social, le droit, de regard, d’intervention, du peuple, quant à la politique nationale et, la latitude, d’expression… La majorité, des adojuniors, surtout, de gauche, rejettent, l’extrême droite.
– Coaching Jeune XY – Paris 16 –



































































































































































Ils sont bien plus, nationalistes, que par le passé, surtout, à droite. Les adojeunes sont, globalement, plus tolérants, que les adultes, concernant, l’immigration et, les étrangers, en France. Ils s’y intéressent, pour autant, fort peu. Ils ne se mobiliseraient pas, pour eux, mais, pour les vieux, les handicapés, leur entourage familier et, leurs proches. Les différences politiques, entre adojuniors et, adultes, sont fort limitées. Les jeunes adhèrent moins, que leurs devanciers, à l’idéologie politique et, moins, encore, que par le passé. Ils sont plus lucides et, critiques, que les adultes. Ils ne votent, que lors, d’élections, qui font sens, d’importance majeure, à leurs yeux : peu, de scrutins. (Galland et al., 2002, 2012)984.



































































































































































Vos spiritualités, « ontologiques
Enracinements » d’adoJunior
La pratique, les croyances religieuses traditionnelles et, actives, ne sont pas, « le fort », de votre jeunesse, de France. Comme, du restant, de la population, également, hormis, en sa fraction, la plus âgée. Toutefois, vous êtes loin, de vous détourner, d’une certaine adhésion, à la transcendance, aux choses, de l’esprit. Votre besoin, de vous y ressourcer, est réel, plus encore, aujourd’hui, que ces dernières décennies. Paradoxe, de votre jeunesse, vous êtes ultraperméable, aux tentations, du matérialisme ambiant et, des sociétés, de marché.
Or, vous semblez, confusément, intuitivement, percevoir, que l’essentiel est, peut-être, en un « ailleurs » sublimé et, l’indicible moral, pour vous dépasser. Il vous manque, d’être en mesure, de vous forger, votre philosophie éthique, de l’existence. Le besoin, de croire, n’a pas disparu, rejoignant, le sens, de religion, du latin, religare, relier les hommes. Ce lien ou, liant vous « parle », junior. Notons, le succès planétaire, des Jmj, Journées Mondiales de la Jeunesse, créées, par le pape, Jean-Paul II, (Saint-Siège, 1920-2005), en débuts, de pontificat. (Vatican, 1984)985.
– Coaching Jeune XY – Paris 16 –



































































































































































Réunissant, tous les deux ou, trois ans, les jeunes chrétiens catholiques, de dix-huit – trente ans et, de tous pays. Par centaines, de milliers, en différents lieux, du globe. Ainsi, à Buenos Aires, en 1987, Paris, en 1997, Sydney, en 2008 ou, Lisbonne, en 2023. Par-dessus tout, être capable, de donner, un sens, à sa vie, est inaccessible, à la plupart, des juniors, ils en souffrent, cruellement. C’est, cela, qui, si fondamentalement, les aiderait, le mieux, à bien vivre. Il persiste encore, néanmoins, chez nombre, d’adojeunes, une vie spirituelle, au travers, de croyances personnelles solides et, de pratiques religieuses.
Qui s’exercent, par le biais, de mouvements, d’organismes et, de structures, telles, les aumôneries chrétiennes, juives, musulmanes. Liées, aux collèges et, lycées ou, établissements, d’enseignements supérieurs publics. Les activités confessionnelles, des écoles privées, les instances religieuses, de jeunesse, en France. Tels, le Mej, Mouvement Eucharistique des Jeunes (1962), la Jec, Jeunesse Étudiante Chrétienne (1929). La Jic, Jeunesse Indépendante Chrétienne (1929), la Joc, Jeunesse Ouvrière Chrétienne (1925). Les rassemblements spirituels, comme, les rencontres, de Taizé, Lourdes…
Les Frat, pèlerinages, des collégiens, lycéens, en Île-de-France, les pèlerinages, de jeunes, à Chartres986… Il est, de la plus haute importance, qu’un « préceptorat humaniste », soit transmis, par les parents, qui le souhaitent. Également, par l’enseignement primaire, secondaire, privé, public. Les Églises, l’enseignement privé confessionnel, éduquent, à la catéchèse chrétienne, juive, musulmane, bouddhiste… L’école publique transmet, une instruction civique, l’histoire, des faits religieux.
Il s’agit, aussi, d’inculquer, à tous les adojeunes scolarisés, un enseignement, au développement personnel, moral et, éthique. Naturellement, pas, une formation religieuse, qui ne relève, que des consciences personnelles et, de la sphère familiale, strictement privée. Non, une éducation morale, comme, celle, prévalant, jusqu’au début, du vingtième siècle, avant, la séparation, dite, des Églises et, de l’État. (France, 1905). Or, en très strict respect, légitime et indispensable, de la laïcité, une formation libre, des esprits, pour « armer », les juniors, face, à leur avenir987.
En notre siècle, maîtriser, les savoirs intellectuels, techniques, ne suffit plus. Il est, de plus en plus, nécessaire, également, de développer, une « densité morale », pour se réaliser, de façon, holiste, toute la vie, durant. La « réputation », des ados, n’est plus, à faire ! Ils ont été décrétés, matérialistes, hédonistes, individualistes, profiteurs, consuméristes, paresseux, égoïstes… Il y repose, une part, de vérités et, d’inexactitudes, aussi. À l’image, de la thématique, de la très belle œuvre musicale française, interprétée, par le chanteur, A. Souchon, Et si en plus, y’a personne (2005), la jeunesse s’interroge. Sans préjugés, sur le « sens, de la vie » et, l’apport, du spirituel, le fondement, du religieux, la réalité ou, non, d’un hypothétique divin. La tolérance, le fanatisme, les abus, de certaines déviances, au seul nom, du Sacré.
« Abderahmane, Martin, David – Et, si le Ciel, était vide – Il y a tant, de torpeurs – De musiques antalgiques – Tant, d’anti-douleurs, dans ces jolis cantiques – Il y a tant, de questions, tant, de mystères – Tant, de compassions et, tant, de revolvers »988.
Depuis, les chambardements, de Mai-68, l’adhésion, à la foi et, aux pratiques, du christianisme, est en net reflux. Notamment, chez les jeunes occidentaux, particulièrement, français. Car, ce qui leur apparaît est, non, la valeur, du spirituel, mais, le « diktat », de lois, semblant caduques. Indifférentismes, scepticismes, relativismes, agnosticismes, progressent, aux détriments, des vérités révélées, plus encore, que l’athéisme absolu. Vérité, foi, religion uniques, ne sont plus, « de saison ». Les adhésions non conventionnelles, paranormales, ésotériques, grandissent. Paradoxalement, une certaine « renaissance chrétienne », se marque. La « première religion, de France », reste, encore, la plus, en mesure, de mobiliser, les adojuniors. Au travers, de ses nombreux mouvements, de jeunesse. À l’échelle internationale, l’Église apostolique, de Rome, veut maintenir, sa dimension « universelle », du grec, catholicos.
Notamment, par le biais, des Journées Mondiales, de la Jeunesse. Pour ces jeunes chrétiens, la foi est vécue, librement, sous le primat, du « Dieu oblatif », du Nouveau Testament biblique. Non plus, de la Divinité punitive, de l’Ancien. Chez les adojuniors, notamment, catholiques et chrétiens, toutefois, les très strictes croyances et, pratiques conformistes impératives, ont vécu. Elles sont, désormais, dépassées, par une vague religiosité, « libre-service », facultative. La jeunesse réfute, l’autorité verticale, veut choisir, par elle-même, ses adhésions, de façon, fort informelle, ponctuelle et, libre. Sans obligations ni, engagements, sur la durée. En fonction, d’elle-même, non, de sources externes.
Elle ne « reproduit plus, mais, veut expérimenter ». (Galland). Depuis, déjà, quatre décennies, l’appartenance, comme, la pratique religieuses, notamment, chrétiennes, s’effondrent. Il en va, de même, de la croyance spirituelle, de celle, en une entité divine, de l’usage, de la prière. La foi, en une seule religion, « véritable et révélée », est désormais, résiduelle. L’adhésion, à une survie supraterrestre, post mortem, persiste, reste stable. Chez l’adojeune, la « décélération religieuse » est stabilisée. L’idée, du religieux, la foi spirituelle, ne sont pas, d’emblée, et, en tant, que telles, rejetées, par les adojuniors.
Seules, l’appartenance, la croyance, la pratique religieuses institutionnelles, ont fortement, décru. Les adojeunes ne croient plus, en un « lien » personnel et, privilégié, avec le Dieu, « de proximité » immédiate, quotidienne, avec eux. Ils croient, de plus en plus, en la survie humaine, après, la mort, une vie éternelle, de l’Au-Delà. Le rapport, au religieux, même, à l’Église, en matière spirituelle, morale, est bien plus, positif, aujourd’hui, chez les juniors, qu’il y a, vingt ans. Cette tendance générale, concerne les jeunes, des deux sexes, comme, de tous les milieux, socioprofessionnels, culturels, d’appartenance.
De tous niveaux, de formation. Toutefois, les juniors, de sexe féminin et, les plus formés et, titrés, de façon, sociale et, dans l’emploi, ont une religiosité chrétienne, plus affirmée. De plus en plus, chez les jeunes notamment, les croyances morales, spirituelles, sont détachées, de la religion, proprement dite. Que l’on soit croyant, pratiquant ou, non, de la religion chrétienne, catholique ou, protestante, sans religion ou, athée. Les adojuniors incroyants ou, sans religion, voient, leurs adhésions morales, augmenter. La spiritualité, libre et personnelle, est désormais, séparée et, très distincte, de la religion établie.
Certains jeunes athées et, plus encore, de sans religion, disent même, croire, en Dieu et, être croyants. Désormais, les juniors peuvent croire, même, « pratiquer », sans, nul besoin, d’appartenance religieuse. Toutefois, les jeunes français demeurent, parmi, les juniors occidentaux, se disant, les moins, croyants, en Dieu. Les moins, liés et, adhérant, à une religion. L’idée, de permissivité, recule, chez les adojeunes, notamment, chez les catholiques non pratiquants et, les sans religion. Les juniors chrétiens et, pratiquants sont toujours, plus liés, que les autres, au « conventionnel idéal familial, éducatif classique ».
D’autorité, de respect, d’ordre, civique, aux institutions, grandes entreprises, au rejet, de la toxicomanie, de l’avortement. Ils sont plus, politiquement, conservateurs et, économiquement et, socialement, libéraux. Chez, tous les adojeunes, progressent fort, l’idéal conjugal, civique, d’autorité, de morale, du bien et, du mal. Également, le libertarisme personnel, en matière, de mœurs attitrées, comportements privés et, mentalités propres. Cela, concerne, tant, les juniors pratiquants, que non pratiquants et, « sans religion ». Les jeunes croyants non pratiquants et, sans religion, sont bien moins, permissifs, qu’avant, sauf, en matière, d’usage, de drogues.
Les juniors croyants pratiquants, le sont nettement plus, que par le passé, en matière, de divorce, d’homosexualité, d’euthanasie et, de suicide. Les jeunes se disent insatisfaits, de l’apport, de l’Église catholique, en matières morales, sociales, familiale. Sauf, ceux, qui sont pratiquants catholiques réguliers. Les juniors ne font crédit, à l’Église, qu’en matière, purement, spirituelle. L’Église omnisciente, du passé, n’est plus acceptée, semble, désormais, anachronique. Elle est considérée, en sa « vertu religieuse originelle », des débuts, du christianisme antique. En matière, de « foi apostolique », l’Église conserve, toute son aura, surtout, chez les pratiquants.
Après, un tassement, à la Renaissance et, au Grand Siècle, (France, XVIe-XVIIe s.), la foi chrétienne, en France, notamment, juvénile, progresse, jusque vers la fin, du règne, de Louis XV, (Souverain régnant, France, 1710-1774). Elle régresse, jusqu’au Premier Empire, (France, 1804-1815), jusqu’à la Restauration, (France, 1815-1830) et, jusqu’aux débuts, de la Monarchie de Juillet, (France, 1830-1848). Elle repart, jusqu’au milieu, du Second Empire, (France, 1852-1870), recule, jusqu’au début, du Premier Conflit mondial. (1914-1918). Se développe, jusqu’au début, de la Cinquième République, (France, 1958-), puis, décroît, de nouveau. Aujourd’hui, notamment, chez les jeunes, le sentiment, le fait religieux, particulièrement, chrétiens, catholiques, sont en « crise », des plus profondes. Les vocations religieuses séculières, bien plus, que régulières, sont moindres encore, qu’à la Révolution. (France, 1789-1799) !
Contrairement, à la vie monastique, qui se maintient, beaucoup mieux, en pleine vitalité, la prêtrise n’attire plus. Le temps, du religieux ultraflamboyant, est, bel et bien, révolu, du moins, temporairement, voire, durablement. Contrairement, aux époques antérieures, à l’ère antique classique européenne, (Gaule, 510 av. J.-C.-476), médiévale, (Francie, France, 476-1492), moderne, (France, 1492-1789/1815). Encore, en partie, contemporaine, jusqu’en plein milieu, du vingtième siècle, (France, 1815-1950). L’appartenance religieuse, des juniors, continue, à se raréfier. Toutefois, depuis, vingt ans, la religiosité, comme, la spiritualité, des mêmes adojeunes, progressent. Les décrues antérieures sont stabilisées. Les croyances religieuses sont en hausse, chez les juniors, sans religion.
La quête juvénile, d’un fort idéal spirituel, peut d’autant, s’exprimer, qu’elle est, désormais, détachée, de toute « religion institutionnelle établie ». De toute Église, de tout dogme rigide et, impératif prédéfini. Notre jeunesse croit, de plus en plus, en une existence, en une dimension parallèle, après, le trépas. Elle est, la toute première génération, convaincue, que sa destinée, humaine, terrestre, sera moins « enviable », que celle, de ses devancières. Faut-il, y voir, une relation, de cause, à effet, l’espérance, d’obtenir, une « seconde chance », post mortem ?
L’on peut légitimement, se poser, cette question. En outre, il y a, une obsession, bien temporelle, de l’accomplissement, de soi, chez les jeunes. Ce qui pourrait alors, leur faire envisager, la mort physique, psychique et, morale, de façon, plus intolérable, que par le passé. La résignation, quant à l’inéluctabilité, de la finitude ontologique, si absolue et, définitive, ne passe, désormais plus, notamment, chez les jeunes. En « eschatologique espérance ». (Galland et al., 2002, 2012)989.
Dès, l’Après-guerre (1945-1955), il apparaît, que la traditionnelle scolastique chrétienne, ne rend plus, assez compte, des enseignements, du Christ. De la parole biblique originelle. Elle n’est plus, en phase, avec les temps modernes, les attentes participatives, des peuples, aspirations, de la jeunesse. Le passage, des siècles, les rigidités théologiques dogmatiques, la verticalité autoritaire, centralisatrice, du pouvoir ecclésial. La « collusion », de l’Église, avec les pouvoirs politiques établis, la confusion, entre temporalité et, spiritualité, la montée, de l’agnosticisme, l’indifférentisme, de l’athéisme et, du relativisme. Le rejet, de toute « Vérité révélée », en tant, que telle, depuis, les Lumières, (Europe, XVIIIe s.).
Les bouleversements intellectuels, moraux et, culturels, économiques, politiques, sociaux et, scientifiques. Des mœurs, mentalités, de l’éducation, issus, des deux conflits mondiaux, la décolonisation… Cela, rend inéluctable, la modernisation, de l’Église, la foi, du magistère chrétien. Après, le long pontificat austère, conservateur, controversé, (Vatican, 1939-1958), du pape, Pie XII, (Saint-Siège, 1876-1958), son successeur, (Vatican, 1958-1963), Jean XXIII, (Saint-Siège, 1881-1963), appelle, de ses vœux, dès, 1959, un véritable « Aggiornamento ». Une mise à jour. Un « Risorgimento ». Une renaissance. Soit, une reconfiguration totale et, un renouveau, du catholicisme universel.
Cela, se fera, à l’occasion, d’un concile, dit, Vatican II, à partir, de 1962. Avec, le nouveau pape, Paul VI, (Saint-Siège, 1897-1978), de 1963, à la clôture, de 1965. Traditionnellement, le christianisme, comme, l’Église, se sont toujours, intéressés, au devenir moral, éducatif, ontologique, des jeunes. En France, pendant, de longs siècles, la mission première, de catéchiser, soigner, de cultiver et, d’enseigner, d’éduquer et, intégrer, revenait, à la famille et, l’Église. Bien plus, qu’à l’État, à la collectivité.
Depuis, la Révolution, (France, 1789-1799) et, la Troisième République, (France, 1870-1940), le rôle, du catholicisme, auprès, des juniors français, relève, de la « sphère privée ». Des consciences individuelles. Le christianisme est sorti, du champ public. Pour autant, il continue, à jouer, un rôle, non négligeable, au travers, de l’école privée, majoritairement, catholique, du scoutisme, des aumôneries. De nombreux organismes, de jeunes, des manifestations, rassemblements locaux, régionaux, nationaux ou, mondiaux, comme, les Jmj… Le charisme, la personnalité, hors du commun, du pape, Jean-Paul II, (Saint-Siège, 1920-2005), ont beaucoup touché, la néogénération.
Ils auront fort contribué, à renforcer, les aspirations spirituelles, éthiques, d’une part, d’entre-elle. La doctrine, de l’Église, en matière, d’éducation, de famille ou, d’adojeunesse, est issue, du Concile Vatican II, (Saint-Siège, 1962-1965). Elle est théorisée, par le Catéchisme de l’Église catholique. (Ouvrage, d’instruction doctrinale religieuse, morale et, spirituelle, Saint-Siège, 1992, 1997, 2005, 2011). L’irréfragable rôle éducatif, des parents, au profit, des juniors, tel, un « droit et, devoir », est réaffirmé, comme, fondamental, irremplaçable. De même, que l’importance, de la formation, à la foi, la conscience.
Éduquer, est capital, pour « donner, des raisons, de vivre, comme, d’espérer ». Faisant, toujours, prédominer, la dimension axiologique, sur la matérialité, en exemplarité adulte. La liberté, d’enseignement, du choix, d’études, du métier, de vie, doit être garantie. En toute éducation, la dignité morale sera préservée. La famille assurera, une parfaite, prise en charge, des adojeunes. Le devoir, des adultes, est de détourner, la néogénération, des pulsions suicidaires. L’instruction, la dignité, des adojuniors, en terme, de morale et, de sexualité, comme, d’affectivité, sont prioritaires.
La responsabilité pédagogique, adulte, implique, l’interdit, de tout attentat sexuel, sur mineur. L’intégrité, physique et, morale, juvénile, est sacrée. À la violation criminelle, s’ajouterait alors, le traumatisme, à vie. Parents, comme, enfants, ont des droits et, obligations réciproques. Les fondements familiaux reposent, sur l’amour. La famille a une place essentielle, en sa société. Elle en est la base et, doit être favorisée, respectée, protégée, en tant, que telle. Les libertés familiales sont « inaliénables ». Les enfants doivent respect et, attention, à leurs ascendants. Ceux-ci pourvoient, à tous besoins, physiques, spirituels, du junior. Le christianisme met, au cœur, la famille, l’éducation, les adojeunes.
– Coaching Jeune XY – Paris 16 –



































































































































































Afin, que l’accomplissement humain ontogénique, matériel, biopsychique, se réalise, en pleines dignité et, espérance. À tout jamais. Les temps, du Concile de Trente, (Saint-Siège, 1545-1563), de la Réforme catholique, (Saint-Siège, XVIe s.), du Concile Vatican I, (Saint-Siège, 1869-1870), sont révolus. Un Vatican III, du vingt-et-unième siècle, n’est alors, pas, à exclure, pourrait même, certainement, s’imposer. Pour une « réactualisation », des plus bénéfiques990. Ce qui impliquerait, notamment, que l’Église de Rome, associe, plus encore, les juniors, à sa bonne marche, à la foi. Leur fasse plus confiance, qu’aujourd’hui. En refusant, comme, toute institution, établie, ancienne, de tomber, dans les travers, des conservatismes. Au profit, d’une salutaire re/vitalité, qui ne peut venir, que des jeunes. Tel est, le « révolutionnaire défi », à venir !





























































































































