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VOS PARCOURS & APPRÉCIATION

DE JUNIOR MASCULIN ACCOMPAGNÉ


 

 


[ De Quelques Suivis & Témoignages ]

AndroJeunologiques


 

 

L’AndroJeunoConseil® a pour objectif premier, de bien résoudre, vos difficultés, blocages, de junior masculin. De vous aider, à optimiser vos potentiels. Sa raison d’être, principale, est donc, le « dessein, de moyens et, de résultats ». Pour vous, jeune, comme pour votre conseiller.


 

 


J’ai été aidé depuis l’âge de 14-15 ans. Pendant et hors entretiens, professionnalisme et rigueur sont là. La régularité des séances, chaque semaine, permet un suivi de qualité. Grâce aux conseils qui mènent à la réflexion, jai boosté mon estime de moi ! Ce, sur des points particuliers, du fait d’exercices, sur des thèmes précis.


 


Frédéric, 18 ans


 

 


Je serai toujours reconnaissant à mes parents de m’avoir incité à être mentoré, cela a changé ma vie !


 


Jérémie, 21 ans


 

 


J’ai souhaité être accompagné pour me sentir mieux et progresser. Suite à un parcours de soutien fructueux, centré sur le meilleur pour moi, j’ai parfaitement avancé. J‘ai totalement gagné en confiance en moi !


 


Axel, 24 ans


 

 


> L’AndroJeunologie® est qualifiée, par un junior, de : « Passion, à réveiller, le cœur, des jeunes endormis. » L’interrogation, d’un autre garçon : « Pouvez-vous, m’aider ? J’ai vingt-trois ans, bientôt, vingt-quatre, l’impression, d’avoir raté, ma jeunesse. Quand, d’autres, ont, déjà, un emploi et, un logement, avec leur copine, ce qui n’est, toujours pas, mon cas. Je vois, les autres, réussir, pas moi ! Quelles sont les solutions, en mon cas personnel » ?

 

Nous évoquons, ci-dessous, vingt-cinq cas, ayant donné lieu, à suivis androJeunologiques. Il s’agit, de garçons, de quatorze, à vingt-cinq ans. Ils ont, quasi tous, pour « caractéristique », d’avoir accompli, un travail cognitif, émotionnel et, comportemental, de l’estime, la confiance, l’affirmation, de soi. L’une, des principales spécialisations, de l’AndroJeunoConseil®. Cela, leur a permis, de meilleurs assurance, épanouissement et, réussite, de vie. Certains, en livrent, leur témoignage afférent, parlant et probant. Tous les prénoms, sont modifiés, les détails spécifiques, reconnaissables, ont, systématiquement, été écartés.


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

DE NATHAN, VINGT-ET-UN ANS


 

 


> « Du Trouble à la Résolution » !


 

 

« Depuis mon suivi, je suis réellement, épanoui. Ma vie a, vraiment, changé. J’ai obtenu, mon diplôme, de fin, d’études supérieures. Je suis, en intérim, grâce, à ma confiance, en moi – c’est Nathan, lui-même, qui souligne – ma vie professionnelle, est un vrai bonheur. Je m’intègre facilement, dans les différents services, où, je suis envoyé, pour travailler. Mes capacités, d’adaptation, plaisent bien, à mes collègues qui, en outre, me le font, savoir. Cela, me fait vraiment, plaisir. Pour ma vie sentimentale, c’est la même évolution merveilleuse, pour moi. J’arrive, à m’affirmer, faire comprendre, à ma copine, ce que je veux, vraiment, calmement.


 

 


> Il y a, aussi, l’expérience, de la vie, qui m’a beaucoup, appris, mais, c’est, assurément, ma confiance, en moi, qui me permet, le mieux, d’avancer. Chaque fois, que je suis, en difficulté, face, à un événement, je repense, à mes exercices, cela, m’aide beaucoup. Il est vrai, qu’il y a, encore, des situations, en lesquelles, je reste nerveux ou, trop affecté. Or, le fait, de relativiser, me fait, très vite, « réduire, la pression » ! Puis, je repars, de plus belle ! La situation s’arrange donc, très bien. Même si, je n’ai pas écrit, durant, toutes ces années, je pensais, tous les jours, à mes entraînements. Puis, petit à petit, la bonne façon, de réfléchir, bien raisonner, me venait, tout naturellement, sans plus trop, songer, aux simulations »…


 

 


Nathan, vingt-et-un ans, Paris, 2006

En AndroJeunologie®


 

 


> Ce jeune homme ne croyait pas, du tout, en lui. Il doutait, « de tout et, de tous ». Il était fort persuadé, qu’il ne réussirait, jamais, ses études, ne trouverait, jamais, la partenaire affective adéquate. Nathan se croyait voué, à l’échec total. Tout, était prétexte, à blocages, ruptures et, explosions, complications, souffrances. En fort syndrome, de persécution, paranoïa, comme, victimisation. Le pire était, toujours, des plus craints, le meilleur, jamais, attendu. Comment, un tel retournement, si radical, de situation, a-t-il pu être, rendu possible ? Comment, Nathan est -il passé, du marasme, le plus désespéré, à la sérénité intérieure, qui le caractérise, si bien, aujourd’hui ? Comme, son beau témoignage, de suivi, en fait foi. En inversant, toute la « charge, de la preuve ».

 

Il pensait, que les difficultés, de la vie, ses épreuves, déceptions, frustrations, étaient, comme, autant, de « sceaux, d’infamie ». Stigmatisant, au fer rouge, sa prétendue déchéance, indignité, « flétrissure ». Comme, symbolisant, la « scélératesse », d’autrui, du sort, à son égard. Plein corollaire, à son manque, d’assurance, autodévalorisation, infériorisation, désenchantement. Par fort excès, d’idéalisation, aussi. Nathan a compris, qu’à l’inverse, il se devait, de vaincre, tous les aléas, de sa vie, faire, ses preuves. Que l’adversité, était chose naturelle, ne remettant, nullement, en cause, ses qualités, aptitudes.

 

En acceptant, les défis, de l’existence, le fait que, l’échec, n’est pas définitif, n’est, qu’une étape, sur la voie, de la réussite finale, il a abandonné, ses jugements, de valeurs. Il sait bien, désormais, que ses « ratés », ne concernent, que ses comportements, non, sa personne, elle-même. Que rien, donc, n’est irrémédiable, que l’on peut « perdre, des batailles, or, gagner, la guerre », la lutte, de la vie. Dans son message, Nathan reconnaît, que son existence, a « muté ». Qu’en acceptant, le lâcher-prise, la relativisation, la décentration, la distanciation, comme, l’acceptation, de lui-même et, d’autrui, il s’insère, beaucoup mieux.

 

En tout et, pour tout. Il a deviné, que c’était, à lui, de faire, des efforts, s’adapter, aux autres, non, l’inverse. Qu’il faut, d’abord, « consentir, par donner, avant, de prétendre, recevoir ». Il constate, après son suivi, toutes les retombées positives, qui lui reviennent. Sa vie sentimentale gagne fort, en harmonie, car il accepte, bien mieux, les concessions, de l’amour. Nathan a appris, mûri, au contact, d’autrui, des rugosités, de la vie. Au lieu, de réagir, trop vite, mal, il prend le temps, préalable, de la réflexion, se remémorant, les techniques, de « gestion, de crise », apprises. La saine distanciation le calme, sur-le-champ, à son plus grand profit.

 

La « structuration mentale primitive, d’affolement, d’insécurité », a fait place, à un « automatisme adulte, de plus justes recadrages », des choses et, des gens. Des pensées, des émotions et, des comportements. Nathan réalise, que l’ennemi permanent, n’est pas extérieur, mais, intime, endogène. Son pire « tortionnaire », est lui-même, non, autrui. Il « enrage », donc, bien plus, contre, ses travers, impuissances, que contre, les supposées agressions, des autres. Il se tire, alors, d’affaire, en pacifiant, sa relation, avec lui-même. Ce qui apaise, ipso facto, grandement, son lien, à ses semblables.


 

 


 -ANDROJEUNOCONSEIL®

DE RODOLPHE, DIX-NEUF ANS


 

 


> « De l’Insécurité à la Réassurance » !


 

 

« J’avais, dix-neuf ans, je souffrais, d’un profond désarroi, dû, au divorce, de mes parents et, à une rupture sentimentale. Une personne, de mon entourage, m’a, alors, conseillé, de me faire, « aider », par l’AndroJeunologie®. Je dois admettre, qu’à l’époque, ayant déjà, consulté, or, sans nul succès, nombre, d’intervenants, je ne croyais pas, à l’aboutissement, de cet énième suivi. J’avais dû, interrompre, mes études, de classe préparatoire, à cause, de mon état. Je passais, le plus clair, de mon temps, à me torturer l’esprit, fuir, les enjeux, les réalités et, m’angoisser fort, chez mes parents.


 

 


> Malgré, les antidépresseurs, anxiolytiques, avalés, par plaquettes entières. Ma famille, mes amis, ont toujours, été présents, à mes côtés, durant, ce « passage, à vide ». Or, il m’était, pourtant, à ce moment-là, impossible, d’entretenir, des relations équilibrées, avec les autres. J’étais, toujours, dans l’excès, tremblant même, à l’idée, d’avoir, une discussion, avec la moindre jeune fille ! N’hésitant pas, à « monter, sur les tables », pour me faire, remarquer, au cours, des soirées. Mon « cas » a enfin, été, adéquatement, cerné, en quelques séances préliminaires.

 

Je manquais, cruellement, de confiance, en moi, ce qui « intoxiquait », tous les domaines, de ma vie quotidienne. Mon suivi m’a, dans un premier temps, permis, d’appréhender, les causes, conséquences, de ce « désordre ». Me reconnaissant, alors, quasi systématiquement, dans les thématiques, énoncées. Cette étape a marqué, un grand changement, en mon esprit. Pour la première fois, depuis, le début, de cette crise, je prenais conscience, de mon problème, l’existence, d’une solution. L’approche cognitive, émotionnelle, comportementale. Dès lors, est née, une grande détermination, à m’en sortir, avec l’espoir certain, de « jours meilleurs ». Puis, nous avons entamé, le travail de coaching, à proprement parler.

 

Méthode, dans mon cas personnel, bien plus appropriée, efficace, que les traditionnels procédés, expérimentés, chez mes précédents praticiens. Chaque début, d’entretien, j’étais interrogé, sur les difficultés et, situations précises, de ma vie courante. En regard, des alternatives, pistes, d’amélioration, concrètes, les meilleures. La suite, des temps, de séances, était consacrée, à l’étude, des divers éléments, du programme. Consignés, en un cahier et, illustrés, par des exemples, réflexions et, exercices pratiques, qui m’étaient donnés, à faire, pour la prochaine entrevue. Avec ce soutien et, mes progrès, j’ai pu reprendre, en forme, l’année suivante, ma classe préparatoire, précédemment, interrompue.

 

La même année, j’arrêtais, définitivement, la prise, d’antidépresseurs. Grâce, aux cas pratiques, alors, travaillés, en entretiens, j’ai pu, peu à peu, reprendre, une vie normale et, socialement, bien plus riche. « Combat, après combat », j’ai triomphé, de mes peurs, angoisses, préjugés négatifs. Me rappelant, les analyses effectuées, en séances, sur les situations-types, des manques, de confiance, en soi. Que dire, de plus, si ce n’est, qu’aujourd’hui, j’ai réussi, mes concours et, intégré, une grande école, d’ingénieurs, réputée, qui me passionne fort.

 

J’ai, désormais, une petite amie formidable ! Surtout, j’entrevois, enfin, un « avenir radieux », alors, qu’il y a encore, deux ans, je me battais, chaque jour, pied à pied, pour ne pas sombrer. Je sais que, sans mon suivi, j’aurais probablement, traîné, cette mésestime, de moi-même, tel, un boulet, jusqu’à, la fin, de mes jours. Je suis donc, très heureux, de cette grande occasion, que j’ai su saisir, pour tout, ce qu’elle m’a permis, de faire, de moi. Un « homme nouveau », qui va, résolument, de l’avant » !


 

 


Rodolphe, vingt-et-un ans, in fine, Paris, 2015

En AndroJeunologie®


 

 


Rodolphe arrive, avec sa maman. Il est déprimé, sous antidépresseurs. Il doute, de tout, de lui-même. Il ne se remet pas, de la perte, de sa petite copine, qui l’a brutalement, quitté. Il est tellement, abattu, qu’il n’a pu reprendre, ses études. Malgré, sa fort brillante réussite, en première année, de classe préparatoire scientifique et, son passage, en deuxième année, il est obligé, d’arrêter, un an.

 

Le temps, de reprendre, des forces, en suivi, pour affronter, en de bonnes conditions, la suite, de sa formation. Bon élève, sa place, lui reste acquise. D’autant plus, que le travail devra, y être, encore plus, « acharné » et, la réussite, aux très sélectifs concours, des Grandes écoles, d’ingénieurs, difficile. Depuis, sa prime enfance, le jeune homme souffre fort, de ne pas assez, s’accepter, croire, en lui, autrui, son avenir.

 

Ses relations, avec son père, sont mauvaises. Ce dernier est distant, hostile, incompréhensif, avec un fils, qui en souffre fort. Ce qui le fragilise, encore, un peu plus. Navrante illustration, de plus, de tous ces jeunes hommes, handicapés, empêchés, de grandir, s’épanouir. Par un lien, au père, des plus ratés. Pères, peu aptes, à la paternité et, en nette difficulté, eux-mêmes, y compris, avec leur propre ascendant.

 

Celui, de Rodolphe, souhaitait, que sa mère, ne le garde pas. Le garçon ne doit, sa naissance, qu’au fait, que sa maman ait, envers et, contre tout, maintenu, sa farouche volonté, de lui donner, le jour ! En outre, les parents sont en conflit, très aigu, instance, de divorce, ce qui affecte, le jeune. Il s’entend très bien, avec sa sœur cadette, la « guerre parentale », resserre fort, leurs liens.

 

L’AndroJeunologie® aide, ce jeune, à surmonter, sa solitude, due, à l’arrêt, de ses études, à la marginalisation, qui en découle, donc. Notamment, quant aux pairs. Il sera, alors, en mesure, de reprendre, sa classe prépa, malgré, ses fortes inquiétudes, d’y accomplir, un bon parcours, de réussir, le concours, d’une excellente école, d’ingénieurs. Avant, les antidépresseurs pourront, être arrêtés, Rodolphe étant, bien plus serein. L’approche cognitive, lui permettra, de positiver, relativiser, ses pensées, raisonnements. L’aide émotionnelle lui fera, mieux doser, équilibrer, ses affects et, sentiments.

 

L’assise comportementale orientera mieux, ses attitudes et, actes. Cela, autorisera, une saine distanciation, d’avec, les démêlés affectifs antérieurs. Rendra donc, possible, une nouvelle relation sentimentale, en laquelle, Rodolphe se sentira, « en sécurité », selon, ses propres termes. Trois grands axes guideront, le travail entrepris. L’éradication, des croyances, émotions, actes irréalistes. L’annihilation, des distorsions mentales, émotionnelles, d’attitudes. La maîtrise, des pensées, affects et, actes automatiques inadéquats, néfastes et, négatifs. Le jeune sera, alors, bien plus, « en phase harmonieuse, avec l’existence et, l’univers ».

 

C’est-à-dire, lui-même, autrui, les choses, circonstances, le temps, l’espace. Ayant vaincu, peurs, mal-être, défaut, de confiance, Rodolphe comprendra, qu’il peut avoir, des souhaits et, préférences. Or, que cela, ne signifie, jamais, que « tout, doit advenir, comme, il l’entend » ! Il aura appris à se défier, des mauvaises interprétations, supputations, conclusions. Il sait, aussi, lutter, contre, les funestes réflexes, de pensées, d’émotions, pessimistes, défaitistes, chagrines. En un mot, il sait mieux, gérer, sa façon, de penser, ce qui apaise, ses émotions, le fait agir plus, mieux, de façon meilleure, appropriée, plus rapide. Il devient capable, de s’affirmer, se faire respecter, par tous.

 

Parents, amis, condisciples, partenaire affective et, adultes. Sans nulles, agressivité, manipulation ou, inhibition. Le symbole, de son renouveau, à l’issue, de son suivi : un bateau, modèle réduit, à moteur. Son père le lui avait offert, en fin, d’enfance, doutant, qu’il soit capable, de le monter et, faire fonctionner. Rodolphe s’en était convaincu, n’avait osé, le toucher, de toute, son adolescence. Tiré, d’affaire, il l’a assemblé, fait voguer, il fait, maintenant, toute sa fierté ! Ainsi, l’archétype même, de son marasme, est devenu, celui, de sa pleine renaissance ! Ce qui lui a fait poursuivre, de solides études, aux États-Unis, y débuter, une belle carrière professionnelle, des plus prometteuses !


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

DE MATTHIAS, VINGT-DEUX ANS


 

 


> « De l’Incertitude à la Solidité Intérieure » !


 

 

« Je suis heureuse, que mon fils, aille, réellement, mieux. Je le trouve, plus mature, plus fort et, ce qui est formidable, avec un plaisir, retrouvé, pour la vie. Bien sûr, les blessures, liées, au divorce, de ses parents, sont là, or, je trouve, qu’il commence, à les dépasser. Les relations, de Matthias, avec son père, sont meilleures. Il commence, à se trouver, heureux, à son école, à bien saisir, toutes les possibilités, qu’elle lui offre. Avec son suivi, il prend, peu à peu, confiance, craint moins, de s’engager, dans l’existence »…


 

 


> Tel est, le témoignage, de la mère, d’un jeune homme, de vingt-deux ans, à la fin, de son AndroJeunoConseil®. Anxieux, stressé, sans estime, confiance, affirmation, de soi, il a acquis, pleines sérénité, assurance, assertivité. Sa maman évoque, tous les progrès, alors, accomplis. Mieux-être, maturité, renforcement mental intérieur, joie de vivre, mise à distance, des aléas familiaux. « Pacification », du lien, au père, des plus désastreux, auparavant, plénitude inédite, dans les études, avenir scolaire et, professionnel aplani. Foi nouvelle, en l’avenir, implication personnelle accrue, en tous les aspects, de la vie, de Matthias, positivement, « reconfigurée et, redynamisée ».


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

D’HÉLORY, DIX-NEUF ANS


 

 


> « De l’Instabilité à la Revanche sur le Sort » !


 

 

« J’ai conscience, de tout, ce que mon AndroJeunologie®, m’a apporté. Je peux, aujourd’hui, dire, que je suis, un jeune homme, qui a beaucoup, de confiance, en lui et, d’obstination. Si je regarde, le passé, cela, n’a pas toujours, été le cas. Je suis heureux, d’avoir été accompagné et, soutenu, comme, cela, a été fait, au moment, où, j’en avais, le plus, besoin. Aujourd’hui, je n’ai plus peur, d’affronter, les étapes, de la vie, je pense, que mon suivi, m’a donné, beaucoup, de force. Parfois, quand, j’hésite, je me remémore, alors, tous les encouragements reçus et, je consulte, mon cahier, de séances ».


 

 


Hélory, dix-neuf ans, Paris, 2016

 En AndroJeunologie®


 

 

> Hélory, dix-neuf ans, est un peu « perdu et, se cherche ». Sa vocation, d’études et, d’emploi, est des plus incertaines. Sa quête, de l’âme sœur, est décevante, infructueuse. Il doute, de lui-même, d’un destin accompli. Son suivi d’androJeunologie® cognitive, émotionnelle, comportementale, lui aura insufflé, la force mentale, morale intérieure. Laquelle, lui faisait tant, dommageablement, défaut. Ce qui lui permettra, à terme, d’acquérir, sérénité, assurance, réalisation, de soi. Avec, en corollaire, un « parcours, de vie », lui convenant, parfaitement. Une formation et, un métier, d’adhésion, de passion, non plus, par défaut et, même, la partenaire affective, de ses rêves !


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

DE TRISTAN, VINGT-CINQ ANS


 

 


> « De l’Impuissance à l’Accomplissement de Soi » !


 

 

« Au début, à vingt ans, avec ma mère, les rapports quotidiens, étaient difficiles, avec beaucoup, de conflits. Elle insistait trop, à mes yeux, pour que je voie, un psy, ce que je refusais. J’avais conscience, que je n’avais pas confiance, foi, en moi, mais, je considérais, que ce n’était pas, pour moi, un problème, en soi. J’avais connu, des difficultés scolaires et, dans mon école, de dessin, de l’époque, j’avais raté, mes examens. Cela, me perturbait, d’être encore, une fois, de plus, en échec, d’études. J’y avais trop peu, d’amis et, me sentais, un peu seul.


 

 


> Je n’arrivais pas, non plus, à obtenir, mon permis, de conduire, ce qui me perturbait fort, car j’y tenais, beaucoup. En réalité, le fait, qu’il me soit proposé, d’aller voir, un conseil-coach, qui plus est, ne s’occupant, que de jeunes hommes, comme moi, plutôt, qu’un psy, m’a convaincu, d’essayer. Ce qui m’a décidé, de tenter, un suivi d’AndroJeunologie®, est le fait, que mon « véritable blocage », ait été défini. Le manque, d’estime, de confiance et, d’affirmation, de moi-même. Aucun, de mes précédents praticiens, n’avait compris, mes réelles difficultés. Raison, pour laquelle, je ne voulais plus, désormais, en voir.

 

J’ai apprécié, le fait, qu’il me soit, lors, de chaque entretien, donné, des conseils personnalisés, adaptés, précis, clairs, faciles, à comprendre, mettre, en application. Il était important, aussi, pour moi, qu’il soit veillé, chaque semaine, à ce que, tout, ce que je devais faire, pour progresser, était, bel et bien, accompli, comme, il le fallait, en mon intérêt. Le fait, que le travail entrepris, soit écrit, encadré, m’a permis, de bien évoluer. En outre, je souffrais, d’épilepsie, avec des crises pénibles, ce qui était, pour moi, source, d’angoisse, de tension supplémentaire. Ensuite, j’ai constaté, que mon suivi, outre, les médicaments adaptés, avait un effet bénéfique. Car les crises ont fini, par disparaître, à jamais, à ce jour.

 

Outre, les thématiques personnelles, qui étaient évoquées et, me faisaient, du bien, le programme proposé, m’a fort intéressé, a porté, tous ses fruits. Le fait, de se remémorer, retravailler, tous les difficultés, failles et, souvenirs douloureux, du passé, m’a permis, de tourner la page. De dépasser, la charge traumatique liée, mieux comprendre, le sens, de ce qui s’était passé.

 

Résoudre, tous les dysfonctionnements générés. Avec, mes spécialistes précédents, il manquait, un climat, de confiance, suffisant, propice. Au contraire, en AndroJeunologie®, j’ai trouvé, que la relation d’aide était, plus basée, sur l’échange, la confiance, le dynamisme. Cela, m’a aidé, de bénéficier, de l’exemple, l’expérience, d’autres jeunes, comme, moi, coachés et, cités, en illustration.

 

Depuis l’achèvement de mon suivi,  je ne connais plus, les terribles marasmes, qui me semblaient, si insurmontables, auparavant. Tout, me semble aplani, plus facile, réussi, agréable, épanouissant. J’ai rencontré, ma petite copine et, depuis, déjà, un certain temps, cela, va très bien, entre nous, me donne, un certain équilibre. Alors, que jusqu’ici, j’étais, en échec scolaire, désormais, j’ai pu intégrer, une très bonne école, de graphisme, car ce domaine, est ma passion et, j’y excelle.

 

Tout, s’y passe bien, je suis admis, en deuxième année et, je suis bien parti, pour décrocher, le diplôme terminal et, réussir, en ma voie professionnelle. Je suis, d’autant plus, heureux, que par découragement, j’ai failli, renoncer, à ma vocation et, choisir une voie, sans issue, pour moi. Ce qui aurait signifié, une vie active entière, gâchée, ce que j’aurais, amèrement, regretté. Avant, quand j’avais, des entretiens d’emploi, à passer, je n’étais pas à l’aise et, cela, posait problème. Maintenant, je parle, plus facilement, je suis, à mon avantage.

 

Je sais mieux, me mettre, en valeur. Je me laissais, facilement, déstabiliser, j’étais trop émotif. Actuellement, je sais mieux me maîtriser, rester, calme et efficace. Cela, m’a permis, d’être accepté, à deux stages professionnels successifs, dans le cours, de mes études, de première année. D’y réussir, pleinement, avec, de réelles tâches, valorisantes et intéressantes, à accomplir, de vraies responsabilités. Avant, au travail, je n’osais pas demander, quoi, que ce soit, même si, c’était fondé, légitime.

 

Alors, que, maintenant, je prends, des initiatives et, me manifeste ou, m’exprime, très aisément, autant, que de besoin. Depuis, que je vais mieux et, que je suis plus assuré, en harmonie, avec moi-même et, donc, les autres, mes amis, le constatent. Ils me disent, que j’ai meilleure confiance, en moi, ma valeur, mes capacités, que j’ai plus, de hardiesse, à m’affirmer et, entreprendre, que par le passé. Ils voient que, de façon, globale et, générale, je me débrouille, bien mieux, dans la vie.

 

J’ose, résolument, plus, de choses positives, pour moi, qu’auparavant. Toutefois, je manque, encore, d’audace, de spontanéité, quand, il s’agit, pour moi, de choisir, décider, d’agir, alors, même, que je sais, que cela, est bénéfique, pour moi. Je pense aussi, que j’ai, encore, un peu, de mal, à aller, vers les autres et, participer, autant, que je le voudrais, aux conversations, même, quand, j’en ai envie. Pour conclure, je dirais que, dans le passé, j’avais des difficultés, à m’intégrer, dans un groupe, de jeunes. Je restais trop, à l’écart, la communication était malaisée, le courant ne passait pas. Alors, qu’aujourd’hui, je suis beaucoup plus performant, dans mes relations, liens, aux autres.

 

Étant réconcilié, à l’aise, avec moi-même, je « vais mieux », avec les autres. Alors, ma vie sociale est beaucoup plus, agréable, réussie et, enrichissante, pour moi. Désormais, plutôt, que de rester passif ou, me sentir impuissant, de subir et, d’attendre, en vain, je suis capable, de me prononcer et, trancher. De mener, à bien, mes projets, avec succès, aisance, détermination. De ce fait, au lieu de, sans cesse, subir, des conflits, malentendus et, incompréhensions mutuels, avec les autres, je sais mieux, communiquer. Mes rapports, à autrui, sont harmonieux, agréables, fructueux »…


 

 


 Tristan, vingt-cinq ans, Paris, 2017

En AndroJeunoConseil®


 

 


Le garçon obtiendra, finalement, son diplôme terminal

Et, un stage professionnel, de fin d’études, de six mois


 

 

« En un an, mon fils a, complètement, changé, il a repris confiance, en lui, entamé, une formation, qui l’intéresse. Grâce, à son suivi, il apprend, à dompter, son épilepsie. Peut-être, qu’à moyen terme, il pourra même, diminuer, ses médicaments. Par ses progrès, il a trouvé, un stage, en une entreprise intéressante. J’avoue, que l’année dernière, à cette époque, j’étais démoralisée, je voyais, Tristan, faire une activité, bien en dessous, de ses capacités. Enfin, une lumière, après, toutes ces années sombres ! Il écoute les conseils, qui lui sont prodigués et, a totalement, confiance, en son accompagnement ».


 

 


La maman de Tristan, vingt-cinq ans, en AndroJeunologie®

Dont le témoignage précède, Paris, 2017


 

 


> Tristan, vingt-cinq ans, doute donc, de sa valeur personnelle, de ses compétences, de ses capacités propres, ne sait pas, s’imposer, en société. Il n’a pas foi, en sa légitimité, à l’égard, de lui-même et, d’autrui. Ses pensées, émotions, comportements, en sont faussés, négatifs, contre-productifs. Jusqu’à présent, il a raté, toutes ses études, n’a obtenu, aucun diplôme, excepté, le brevet, des collèges. Y compris, quand, il s’agissait, de cursus, directement, liés, à sa passion-vocation, le dessin.

 

Par préjugé, de nullité, Tristan est toujours, convaincu, à l’avance, qu’il échouera, quoi, qu’il arrive. Il a, alors, intégré, l’idée, d’échec, comme, inéluctable, inhérente, à lui-même. D’où, phobie scolaire, insuccès, abandon prématuré, d’études. En véritable prophétie autoréalisatrice. L’obligation, de moyens, de résultats et, de performance, devenant, pour lui, « terreur et, cauchemar ». Par désamour, de lui-même, le lien, aux autres est, donc, tout autant, raté et, pénible.

 

Autrui exploitant, sans nulle vergogne, la faiblesse, le manque, de volonté, du jeune homme. Restructurant, ses cognitions, affects, conduites, de façon, plus positive, optimiste et, confiante, Tristan apprend à « se battre ». Il accepte, alors, de reprendre, ses études interrompues, de se destiner, au seul métier, qui lui « parle » : le graphisme. Bientôt, il en aura, la qualification, l’emploi. Il renonce, définitivement, à sa mortifère stratégie, d’autosabotage existentiel, pour « se projeter », en l’avenir.

 

Renouer, avec un accomplissement, de soi, qui lui échappait fort, jusqu’alors, car il le refusait, lui-même, par pur défaitisme pessimiste. Le garçon est, maintenant, bien intégré, en société. Il entretient, de saines et, bonnes relations, de toutes sortes, avec les autres. Il sait, « se faire respecter ». Croyant, plus et mieux, en lui, autrui, le gratifie, davantage. Adhérant, à la vie, celle-ci, « l’en récompense », alors, tout autant. Ayant découvert, les infinies possibilités, de l’existence et, de ses propres, potentiels personnels, il en bénéficie, de façon, spectaculairement, démultipliée !


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

D’ENGUERRAND, VINGT ANS


 

 


> « Du Conflit à l’Harmonie Ontologiques » !


 

 

Il semblait, fort intéressant, en illustration, de suivi androJeunologique, de donner, la parole, à un jeune homme, de vingt ans. Ayant été concerné, par le passé, donc, le mieux placé, que quiconque, pour en dire, les effets bénéfices. Les propos, qui vont suivre, ont été retenus, pour leur significative pertinence. La force symbolique, de la « plasticité, de renaissance », dont, sont, particulièrement, capables, de façon admirable, les juniors. D’autant, que la « situation vécue, de départ », de notre jeune narrateur, était extrêmement, délicate, complexe, difficile.


 

 


> « […]. J’accepte, parfaitement, d’avoir eu, des aléas, à régler, en suivi, je goûte désormais, de nouveau, la vie. Même si, je suis plein, de « défauts », ne parviens pas, à faire, tout, ce que je souhaite ni, vivre, encore, comme, je l’envisage, je suis, sur le bon chemin. J’apprécie, tout, ce qui survient, bon, comme, mauvais. […]. J’ai vraiment, la conviction que, quoi, qu’il m’arrive et, pourvu, que je conserve, toutes ces bonnes dispositions, en tête, je peux connaître et, bénéficier, de la vie, que je veux.

 

J’ai envie, de m’affirmer, d’être, ce que je suis, sans, me soucier, du reste. Vivre, simplement, au jour, le jour, faire table rase, du passé. Avoir, la sensation, de repartir, à zéro, me sentir, comme, les autres. Me tourner, vers l’avenir ! Tout, va bien. Je n’ai plus, de coup de blues, je prends plaisir, à me lever, chaque matin et, mener, ma petite vie.

 

Je réalise aussi, combien, j’allais mal, avant, mon suivi. Je me suis toujours, « voilé la face », mais, je me rends compte, que j’allais, vraiment, très mal. J’étais, à deux doigts, de ne plus pouvoir, rien entreprendre ! Je me demande encore, comment, j’ai fait, pour avoir, mon bac. Cela, a été, ma porte ouverte, vers le « Salut » ! Ma seule volonté, est de lâcher prise, quant à tous ces blocages, que j’ai eus, pendant, tant, d’années. […].

 

J’ai l’impression, que le fait, de n’avoir rien, désiré faire ni, aimé personne, m’être coupé, du monde, pendant, si longtemps, m’a donné, une force. Aujourd’hui, j’ai envie, de tout, même, quand, surgissent, des problèmes. Je suis tellement, content, d’enfin, ressentir, quelque chose, y compris, quand, c’est une situation désagréable, que j’en sourie. Je suis ravi, que cela, se passe, alors, peu importe, que ce soit, positif ou, négatif.

 

Je n’ai plus peur, de me confronter, aux évènements, pourvu, que je les contrôle, qu’ils aient lieu. Le pire, serait, qu’il n’advienne rien. J’essaie, de ne plus être, trop susceptible, lorsque, l’on me fait, certaines remarques. Car, je sais, faire le tri, entre celles, qui sont constructives et, celles, qui sont « stupides » ou, « inutiles ». Mon filtre est enfin, devenu, opérationnel ! […]. Je ne suis pas triste, les déprimes, du soir, ont, définitivement, disparu, à ma grande surprise ! Je ne me reconnais pas. L’année dernière, à la même époque, il me semble, que je stressais encore, parfois, avant, de dormir.

 

Or, si je n’avais pas fait, de gros efforts, l’an passé, en disant « stop », chaque soir, pendant, des mois, je m’inquièterais, encore ! Je me suis vraiment, fait violence, à ce moment, commence, à en récolter, les fruits ! Ma vie a fait un virage, à cent quatre-vingts degrés. Je prends, vraiment, goût, à mes études, j’y ai, des amis, je ne me sens plus, gêné ni, inférieur, par rapport, à eux. L’on me fait même, des compliments. […]. J’ai le grand plaisir, d’attirer, les autres, parce que, je suis très simple et, sûr, de moi. Comme, je suis réservé, j’avance, à mon rythme, je ne juge personne.

 

Tout en étant, agréable, drôle, je me plais, à croire, que les autres, se sentent bien, avec moi. Que tout, leur semble, plus facile et, moins compliqué. C’est, cela, que j’aimerais. Je veux être naturel et, que l’autre, le soit, aussi. Tous mes rêves reviennent, je commence, à me sentir, en sécurité, confiance, en l’avenir ! Je n’en reviens pas. […]. Je m’ouvre, de plus en plus, j’ai une force, qui vient et, me donne, l’allant, de tout faire. Je me libère, petit à petit, c’est un vrai bonheur, de dire « non », à des injustices, des contrariétés, qui me dérangent.

 

J’ai réalisé, que je n’étais pas fait, pour la tragédie. Que rien, dans la vie, à part, « cas spéciaux », ne méritait, que l’on s’alarme, se gâche, l’existence ni, ait envie, de dépérir. Je me sens bien, en ma peau, même, après, de dures conflits. Chose étrange aussi, qui me concerne, les autres, me congratulent et, m’envient. J’en suis stupéfait. C’est vraiment, une question, de mentalité. Avant, comme, je me sentais nul, j’avais tendance, à surestimer, mes relations et, croire, que les bonnes occurrences, étaient, pour elles, pas, pour moi. Que je n’étais « bon, à rien » et, que tout, ce que je faisais, ne menait, qu’à mon échec.

 

Je n’ai pas vu, le moment, de la métamorphose, mais, comme, cela, m’avait été dit, en suivi, « la roue tourne » ! Je ne sais pas, quand, s’est passé, ce moment, tant « magique », mais, l’on m’admire, me félicite, me recherche. J’ai la joie, de compter, pour les autres, d’être quelqu’un, de qualité. Contrairement, à ma seconde où, j’en « faisais, des tonnes », pour le même résultat, je suis, désormais, juste moi, avec mes défauts. Je ne cherche pas, à briller, mais, à seulement, partager, des moments « vrais », agréables, avec les autres.

 

Je souhaite, les voir, « tels, qu’ils sont », jouir, de toutes leurs richesses. Je veux rire et, partager, me faire plaisir. […]. Mon suivi a été délicat, sur le moment. Quand, j’y repense, il n’y a pas eu, un seul moment, où j’aurai été satisfait, de m’y astreindre ni, même, content, d’en bénéficier. C’était dur, je me sentais, « emprisonné, coincé et, troublé », je n’en voyais pas, l’intérêt. J’avais envie, de tout arrêter, tout le temps. En vérité, je suis HEUREUX, de l’avoir fait, FIER, de moi. Aussi jeune, sans espoir, « à deux doigts, de la rupture » – j’exagère, mais, c’est presque, cela -, je ne sais pas, quel « miracle », m’a fait changer !

 

J’ignore, où, était, le déclic, mais, je me trouve, fort courageux, d’être venu, me faire aider, toutes les semaines et, d’avoir continué. Cela, bien, que je ne me représente pas, vraiment, pourquoi. Alors, que c’était, une « épreuve », de devoir parler et, d’entendre, de si « bonnes paroles ». Je ne sais pas, si l’on peut imaginer, à quel point, c’était difficile. Combien, cela, demande, de la volonté, de changer, tout un système mental, bien ancré. Or, dans le même temps, cela, me donnait, l’envie, de me battre.

 

J’ai, de la gratitude, qu’il ait été, tant cru, en moi et, je suis fier, d’avoir écouté, adhéré et, recueilli, comme, appliqué, tous les enseignements, reçus. J’en suis « comblé », car, si j’avais attendu, un peu plus, pour consulter, je n’aurais plus eu, la volonté, de le faire. Je l’ai fait, juste, avant, que je ne me bloque, fort catégoriquement, à l’espoir. Actuellement, j’ai la certitude, d’avoir, un acquis énorme, par rapport, aux autres. Concernant, les relations humaines, rien, ne me fait plus peur et, plus personne, ne m’intimide, sauf, exception. Je me sens « un », avec les autres et, j’ai conscience, d’avoir, autant, droit, au respect, qu’un-e autre. Je suis, de nouveau, apaisé et, mes énergies commencent, à circuler, normalement, je me « débloque ».

 

Je crois, vraiment, que tout, va redevenir « satisfaisant », un jour. Ma vie ne dépend plus, des risques extérieurs. L’on peut compter, sur moi, j’ai l’assurance, d’avoir, une force. Mes transmissions, de suivi, sont comme, une bonne terre, en laquelle, je peux m’amuser, à faire pousser, ce que je veux ! C’est mon « terrain, de jeu ». Mon terreau est fertile, alors, seules, de saines plantations, peuvent, y éclore. C’est, mathématique. Cependant, j’essaie, de ne pas être, « trop » positif, sinon, l’on me reproche, de « vivre, en mon monde ».

 

Alors, je garde, les pieds, sur terre, tant bien, que mal. Toutefois, je jubile, tant, j’adore, me dire, que tout, est possible, que je suis « formidable », la vie est belle et, tout et, tout. Toutefois, je tente, de rester « zen », je garde, un équilibre, entre le rêve et, la réalité. J’ai beaucoup, de choses, à « améliorer », encore, chez moi. Ma prochaine étape, est d’accepter, mes défauts, d’avoir, mes états d’âme et, d’être perturbé ou, serein. Pour le moment, je cherche, un peu trop, à ce que tout, « aille bien ». Néanmoins, je pense, que cela, est très compréhensible, après, tout ce temps, de galère ! […] ».


 

 


Enguerrand, vingt ans, Paris, 2007

 En AndroJeunologie®


 

 


> Témoignage écrit, d’Enguerrand, vingt ans, étudiant, après, l’achèvement final, de son suivi androJeunologique. Pour des difficultés liées, à son manque, d’estime, de confiance, d’affirmation, de lui-même, de stress relationnel, d’anxiété, d’émotivité, non maîtrisée.

 

(Prénom modifié, éléments caractéristiques et, trop personnels supprimés, autorisation écrite, de citation publique, d’Enguerrand).

 

Ce texte très parlant, éclaire toute la « philosophie androJeunologique », de façon fort caractéristique.


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

DE ROMAIN, VINGT-DEUX ANS


 

 


> « Du Marasme à l’Ouverture sur la Vie » !


 

 

Quelle meilleure appréciation, sur l’AndroJeunologie®, que celle de Romain, vingt-deux ans ?

 

« Mon suivi m’a aidé, à avoir confiance, en moi, être positif, ne pas avoir peur, des autres, de moi-même, accomplir, ce dont, j’ai envie, sans me poser, de questions. Je continue, à être, en une bonne dynamique. Mes parents me laissent, plus libre et, ils ont compris, des vérités. J’ai aussi, plus, de recul, je ne porte plus, leurs soucis, j’essaie, de leur montrer, l’aspect bénéfique, de leur vie. J’organise bien plus, de choses, avec mes amis. J’ai moins peur, de découvrir, de nouvelles personnes, je suis moins passif. J’ai rencontré quelqu’un, depuis peu. Je suis, vraiment, content, de tout, ce qui m’arrive. J’ai foi, en l’avenir » !


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL® –

DE CYRIL, VINGT ANS


 

 


> « De la Dépendance à l’Émancipation » !


 

 

Cyril, vingt ans, réagit, amèrement, quand, son père, sous le coup, de l’émotion, d’une dispute, avec lui, lui annonce, la « rupture ». Qu’après, la fin, des études, de son fils, il ne voudra, jamais plus, « avoir affaire, à lui ».

 

« Si mon père, me laisse tomber, ce sera, alors, très dur, car, je n’aurai plus, de modèle, d’identification adulte, masculin » !


 

 


> Le garçon a compris, l’étendue, du problème. En cela, réside, tout le drame, de nombreux jeunes hommes, « en deuil », de leur père, de référent mâle solide. L’ascendant n’assume pas, son fils, car il a vécu, la même « carence », avec son propre père. Au-delà, l’homme occidental, se fait incertain, du fait, du recul, du patriarcat, au profit, d’une société, de plus en plus, matriarcale.

 

Cyril apprendra, en suivi, à se distancier, de son ascendant paternel, prendre son autonomie affective, « exister, par lui-même ». Ainsi, il deviendra, pleinement, adulte, épanoui et, libre, sera, son propre et, principal référent existentiel. Ayant compris, que : « L’essentiel humain, est de faire, soi-même, au mieux, de ce qu’il a été fait, de soi, par autrui ». Selon, une célèbre formulation sartrienne. Il aura conquis, sa propre souveraineté, sur lui-même.


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

D’ULRICH, VINGT ANS


 

 


> « De l’Inhibition au Volontarisme » !


 

 

« Il est bien difficile, de comprendre, ce que mon fils fait, car il reste, toute la semaine, enfermé, devant, son ordinateur. Aucune visite ni, sortie, ce qui, pour un jeune, de cet âge, ressemble, à un enfermement. L’on ne peut pas dire, qu’il soit, gai ou, triste. Il se lève, prend ses repas, se couche. Entre ces occupations, il est devant, son écran. Spectateur ou, acteur, avec son seul ordinateur, je ne saurais dire !

 

Il ne souhaite pas, qu’on lui parle, véritablement, de sujets, le concernant. Un certain nombre, de questions, telles que : « Que, fais-tu ? », « As-tu appelé, ton école ? », « Es-tu passé, au Monoprix ? » – pour demander, un emploi -. Concernant, le reste, de sa vie, globalement. L’on a l’impression, qu’il attend, qu’il aspire, même, à évoluer, mais, qu’il ne comprend pas, qu’il EST, son propre changement. Il ne bouge pas, il ne parle pas, il ne voit presque personne, à part, au travers, de son écran.


 

 


> Il a un meuble, avec tout son matériel, pour faire, de la musique, des mixages, or, s’en sert, très peu. Les rares copains, qui viennent, le voir, se précipitent, sur ce matériel magnifique, qui n’attend, que son action, or, lui, non. Nous sommes, très profondément, désemparés, devant, cette situation. En laquelle, nulles, de nos paroles, de nos recommandations, bien intentionnées, ne lui servent. Nous aimerions, qu’il rencontre, des personnes, avec qui, il pourrait dialoguer, sur son métier futur

 

Or, il n’accepte, aucune démarche, de notre part, il veut « tout faire, tout seul ». Il acquiesce, mais, ne fait rien, ensuite. Il se consume, à petit feu. Il sait, qu’il peut faire, ce qu’il aime, nul, obstacle, ne se trouve, devant lui, pourtant, il ne va pas, de l’avant. Il ne cherche pas, de stage, en son secteur, d’activité, ne rencontre pas, physiquement, des personnes, de ce milieu. Il est pourtant, cultivé, sait, de nombreuses choses, or, il ne veut pas, s’affirmer ni, davantage, affronter, le monde concerné.

 

De peur, de paraître « nul » ou, pas assez bon, je ne sais pas… J’essaie, de l’encourager, lui dire, qu’il va réussir, mais, il ne souhaite pas, non plus, entendre, de termes élogieux ou, émis, à son égard. L’on dirait, qu’il ne veut pas, se voir ni, qu’on le perçoive, tel, qu’il est, se voulant, « invisible, transparent ». C’est réellement, perturbant, inquiétant ! Nous essayons, de rester, « impassibles », face, à lui et, d’éviter, tout commentaire négatif. L’on ne sait, s’il vaudrait mieux, « le secouer ou, le brosser, dans le sens, du poil » ! Je me demande, ce qu’il apprend, car il est si peu, confiant, envers, quoi, que ce soit, le concernant ! Il se dévalorise, sans arrêt, déprécie, ses propres paroles…

 

Je lui répète, qu’il doit sortir, aller travailler et, vivre, quoi ! Or, rien, n’y fait, plus, je le lui dis, moins, il le fait. Il semble méfiant, envers, tous conseils, toute information, venus, de l’extérieur. Il ne veut même pas, appeler, l’école, où, il s’est inscrit, de peur, d’entendre, quelque chose, de négatif. Il ne veut, pas davantage, aller voir, la personne, responsable, du Monoprix, de crainte, qu’elle ne l’informe, qu’ils n’ont pas besoin, de lui. Il n’y a nulle place, chez lui, pour toute remarque, qui serait défavorable. Son estime, de lui-même, est déjà, si basse, qu’aucune initiative, n’est possible, au cas où, cela, serait, pour lui, un échec ou, une simple erreur.

 

À un moment, je pensais, que c’était, de l’orgueil ou, un mépris, des autres, or, maintenant, j’en doute. Il est aussi, un peu « parano », croit, qu’on l’observe ou, que l’on regarde, ce qu’il fait ou, ne fait pas. Si on lui dit, que non, que l’on ne voit pas, à travers, ses baies vitrées, à cause, des reflets, alors, il semble surpris. Presque, déçu, que nos regards, ne soient pas braqués, sur lui.

 

Il ne veut pas, tout à la fois, qu’on le devine et, il souhaite, être vu, sinon, il se referme, comme, une huître, c’est ambivalent et, fort déroutant. Je comprends bien que, tant, qu’il n’a pas confiance, il a besoin, de notre regard, pour mieux, prendre appui. Or, comment faire, pour qu’il compte moins, sur ces « béquilles », que nous sommes encore, pour lui ? Il a tellement, eu, l’habitude, de cette aide, ce regard compatissant, qu’il a beaucoup, de mal, à s’en défaire.

 

Je ne lui « jette pas, la pierre », car nous l’avons, fort certainement, à tort, trop soutenu, trop gâté, trop plaint. Toutefois, comment, faire, autrement, quand, l’on voit, l’injustice, des épreuves passées, s’en prendre, à son propre enfant ? Cela, est compliqué, d’avoir, le mot juste et, le bon comportement, il est, « à fleur de peau ». Je lui dis, que cette sensibilité, lui sera très utile, elle l’est déjà, en réalité !

 

Car, en son domaine musical, il doit saisir, toutes les tendances, les sons, du moment, ce qu’il fait, je pense, très bien, ce, pour quoi, il est doué. Or, il doit faire « quelque chose »… Je lui ai dit, qu’il y avait, des « portes ouvertes », demain, à l’école, où, il s’est inscrit. Il n’était pas, au courant, un peu vexé, que je lui aie apporté, cette information, qu’il n’avait pas trouvée, par lui-même. Ceci, est la réalité, actuelle. Je reste confiante, quant à son avenir, comme, je l’ai, toujours, été, mais, il est vrai, que j’ai des instants, de doute, parfois, cela, est normal » !


 

 


Propos maternels, sur Ulrich, vingt ans, Paris, 2013

 En AndroJeunologie®


 

 


> Telle est, l’analyse, de la situation, d’un garçon, de vingt ans, en tout début, de suivi, par sa maman. Ulrich souffre, de déceptions, de peur, de l’échec, d’hésitations, de façon excessive, paralysante. Il n’aime pas, son image, manque, d’estime et, d’acceptation, de soi, de confiance, en lui, autrui, la vie, son avenir, d’affirmation adéquate, de lui-même. Il possède, des aptitudes et, des qualités réelles, mais, n’y croit pas. Même, s’il fait des études, qui lui conviennent, qu’il a choisies, par adhésion et, non, défaut.

 

Sa maman trouve que, depuis, un an, il est « éteint ». Tout ceci, le dessert, le déçoit, de lui-même. Ulrich s’isole, alors, pour se protéger, en une délétère logique, permanente, d’autoprotection, par peur récurrente. Il développe, donc, un fort sentiment, habituel et pénible, d’insécurité et, de vulnérabilité, un stress, une anxiété et, une émotivité excessifs. Il est épris, de « vérité, d’amour, de justice », il a une réelle, maturité, de vie, intellectuelle, tout en étant, « en retrait », psychiquement, sur certains points.

 

Les relations, avec son père, sont tendues, car ce dernier, s’inquiète, à juste titre, cela, finit, par irriter, Ulrich, qui se sent, trop « surveillé ». Ne croyant pas assez, en lui, il est trop inerte, en tout et, pour tout, notamment, en ses études. Il ne va pas, au bout, des choses, se décourage, trop vite, par défaitisme. Se persuadant, que n’étant pas apte, que les choses, étant difficiles, au-dessus, de ses capacités, il ne réussira pas. Alors, à quoi bon, oser, entreprendre, se donner, du mal, si c’est, selon, lui-même, pour échouer ?

 

Il s’est donc, agi, pour Ulrich, de faire sa pleine révolution cognitive. En inversant, positivement, ce schéma mental négatif, erroné. Pour être, ensuite, en mesure, d’infléchir, ses émotions, comportements, attitudes, de façon, adéquate, concrète. Afin, de se mettre, en action, réussir. Croyant, en ces / ses possibilités, Ulrich a pu oser, faire et être, bouger et obtenir, des résultats, tangibles, pertinents, en pleine confiance. Ce que son suivi, lui a totalement, permis.


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

DE CÔME, QUATORZE ANS


 

 


> « Du Défaitisme à la Reprise en Main de Soi » !


 

 

« Élève, à attitude désinvolte, qui peut « agacer », certains professeurs. Manque, de concentration, de rigueur, d’investissement personnel. Bâcle, son travail. Possède, pourtant, de bonnes capacités, étant capable, de bien mieux faire. Ainsi, lors, d’interrogations orales, sait, très bien, répondre. Se contente, de juste, au-dessus, de la moyenne. Ne veut pas, être premier, pour ne pas paraître, « intello », aux yeux, des autres. Ne prend, alors, pas conscience, du risque, d’accumuler, les lacunes. Élève, par ailleurs, très gentil, avec certains enseignants ».


 

 


> Telle est, la tonalité générale, de la perception, d’un garçon, en suivi, de quatorze ans, au collège, en classe de troisième. À l’issue, d’une rencontre trimestrielle, parents-professeurs. Le collégien est intelligent, doué, ambitieux, mais, souffre, d’un manque, de foi, en lui, sa valeur, ses aptitudes. Comme, beaucoup, d’adolescents, Côme travaille, d’autant mieux, une matière scolaire, que l’enseignant concerné, lui convient.

 

À défaut, il « décroche ». Doutant, de lui et, ses savoir-faire, il reste, en deçà, de son potentiel réel, ses résultats n’étant, alors, pas en rapport. Son androJeunoConseil® l’aidera, à mieux mobiliser, ses ressources. Pour assurer, une meilleure adéquation, entre, ses talents élevés, avérés et, sa « productivité scolaire », alors, optimisée. Le garçon aura appris, à s’accepter, lui-même, en confiance, en décisive mutation !


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

DE JOACHIM, VINGT-DEUX ANS


 

 


> « Du Retrait en Soi à l’Aisance Sociale » !


 

 

« Après avoir commencé mon suivi, il y a, un peu plus, d’un an, je constate, nettement, la « différence » et, les progrès, dans mes interactions, avec les autres. Auparavant, j’étais réservé et, très peu sûr, de moi, je me méfiais, des autres et, cela, se voyait, dans mes contacts, avec les filles. Je manquais, de foi, en moi-même. Mes tentatives, de communication, n’aboutissaient pas. Je n’étais pas, bien intégré, socialement, j’avais tendance, à voir la vie, négativement, « du mauvais côté ».

 

Aujourd’hui, plus rien, de tout cela, n’est vrai, je ressens, le monde, avec, un nouvel état d’esprit, bien plus positif. Les choses, qui me paraissaient, fort compliquées, voire, impossibles, me semblent naturelles, maintenant, j’en tire, de grands bénéfices, les personnes, autour, de moi, aussi. Mes relations, avec autrui, sont devenues plus simples, enrichissantes et, je suis optimiste, quant à l’avenir, quel, qu’il soit. J’ai trouvé l’approche, de faire un cahier, d’accompagnement écrit, très utile.


 

 


> Je ne doute pas, qu’il me soit, des plus précieux, au cours, des années, à venir. Au terme, de mon suivi, je me sens, plus serein, en ma vie, ce, de façon globale. Cela, est parfaitement, perçu, par mes proches, mais, aussi, par mes amis et, même, par des étrangers, parfois. Tous mes contacts, avec les autres, sont également, bien plus harmonieux. Je n’éprouve plus, aucun stress, quant à l’opinion, que les gens, pourraient avoir, de moi.

 

Je n’ai plus, de difficultés, à « briser la glace », avec, de purs inconnus et, j’en profite, pour faire des rencontres, des plus intéressantes, fructueuses, dès, que cela, est possible. En résumé, ma vie a changé, « du tout au tout », en mieux, en tous les domaines affectés, par mon manque, d’estime, de confiance, comme, d’affirmation, de moi. Mon AndroJeunologie® m’a aussi, permis, de mieux, me connaître, moi-même, et, de progresser, spirituellement, concernant, mes désirs, ma rigueur et, mon autodiscipline, de vie. En assurance, sagesse et, maturité ».


 

 


Joachim, vingt-deux ans, Paris, 2018

 En AndroJeunologie®


 

 


> Au tout début, de son suivi androJeunologique, Joachim est convaincu, que son problème est le déficit, de motivation, en ses études supérieures. Il redouble, de fait, sa première année, d’école d’ingénieurs. Comme, auparavant, déjà, une classe, de collège. Or, il a, bel et bien, choisi, sa formation, par vocation, adhésion, non, par défaut. Il aime ses études, qui mènent, à un métier, qui l’intéresse fort. Le garçon est intelligent, doué, capable, à multiples passions et, activités intellectuelles et, culturelles. La difficulté est, donc, tout autre. En réalité, Joachim peine, en ses études, pour les mêmes raisons, qu’en ses relations malaisées, avec autrui.

 

Il ne s’aime pas, doute, de lui, sa valeur, ses capacités, ne sait, comment, se comporter, avec les autres, se replie, sur lui-même. Ses résultats scolaires en pâtissent et, ses tourments le font, alors, échouer. Non, par insuffisances académiques, or, par défaitisme, découragement, défaut, de persévérance.

 

Travailler, sur ses pensées, émotions et, attitudes pessimistes et, négatives, lui aura permis, de les amender, de façon, bien plus constructive et, favorable. Ses notes se sont redressées, il est passé, en deuxième année, y a, fort bien, réussi. Désormais, Joachim est un jeune épanoui, en succès, d’études, harmonie relationnelle, avec, lui-même et, autrui. Il croit, en lui et, son devenir, sait, maintenant, parfaitement, optimiser, au mieux, ses atouts et, potentiels, les plus gratifiants !


 

 


Une image, de soi, foi, en soi, assertivité juvéniles, durablement, fortifiées. Une détermination, à parvenir, en sa vie, de junior, suscitée, ancrée. Une androJeunologique rédemption, une réalisation, de soi, conquises. Autant, de cas, de suivis androJeunologiques, concrets, qui en « disent », bien plus, que toutes les théories savantes, abstraites. Un jeune, de vingt-quatre ans, affirmait, à la fin, de son suivi, non, pas, aller mieux, or, en avoir été, totalement, métamorphosé, être quelqu’un d’autre. Puis, un garçon, de dix-huit ans, proclamait, arriver, en séance, tendu, de sa difficile semaine.

 

Se voyant, auparavant, systématiquement, opposer, une fin, de non recevoir, à ses demandes, de cigarettes, aux passants. En revanche, il était rasséréné, revigoré et, confiant, suite, à son entretien, d’AndroJeunoConseil®, rayonnant, attirant fort, la sympathie. Ses mêmes sollicitations tabagiques, étaient donc, bien plus souvent, couronnées, de succès, au chemin, du retour ! L’AndroJeunologie® promeut, pour tout junior, l’idée même, d’amélioration, de dépassement, de soi, « en tout, pour tout ». Pour transcender, sa « condition juvénile », en véritable, « révolution copernicienne », des plus bénéfiques.


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

D’ELIOTT, QUINZE ANS


 

 


> « Des États d’Âme à l’Optimisme » !


 

 

Eliott, quinze ans, a été suivi, de la fin, de sa classe, de troisième, à celle, de seconde, pour net manque, de confiance, en soi. Ayant acquis, estime, assurance, affirmation, de lui-même, il est admis, en classe, de première S. Son stage, de fin, de seconde, est une pleine réussite, car Eliott, croit enfin, en lui, applique, à la lettre, ses enseignements, de conseil androJeunologique. Voici, ce que dit, à ce sujet, sa maman.


 

 


> « Ci-joint, un message, qui provient, de son maître, de stage. Qui a beaucoup, apprécié, Eliott, pendant, les deux semaines, qu’il a passées, en son laboratoire, de recherche, en nanobiotechnologies. Eliott a bien évolué, grâce, à son AndroJeunologie®. Il était, très à l’aise, dans un milieu, qu’il ne connaissait pas et, qu’il a découvert, sans inquiétude. Cela, le conforte, en ses projets, de travailler, dans le domaine scientifique. D’autant plus, qu’il en a, largement, les capacités et, qu’il a, maintenant, une plus grande confiance, en lui. Pour nous, parents, c’est fort important, d’avoir un regard extérieur, sur notre enfant ».

 

Citons, maintenant, le témoignage élogieux et, très satisfaisant, du maître, de stage, du jeune garçon. Professeur, des universités, renommé et, éminent, directeur, de recherche, au Cnrs. Qui éclaire, l’évolution, d’Eliott.

 

« Ce petit message, pour vous donner, mon appréciation, du stage, d’Eliott, au sein, de mon équipe, de recherche. J’ai découvert, au cours, de ces deux semaines, une personnalité attachante, toujours, très volontaire, d’une grande maturité. Eliott est passé, entre les mains, d’une dizaine, de personnes différentes, de mon équipe. Toutes, sont venues, me parler, de ce jeune stagiaire. Lequel, posait, de très judicieuses questions. Eliott m’a « bluffé », par la qualité, de son écoute, comme, par la pertinence, la sagacité, de ses interrogations.

 

Par ses raisonnements, ses reformulations personnelles. Je pense, que vous vous en doutez, un peu, mais, je tenais, malgré tout, à vous dire, qu’Eliott réfléchit, vite et bien ! J’estime, qu’avec, de telles qualités, beaucoup, de portes, vont s’ouvrir, à lui. Sachez, que si jamais, la science, l’intéresse, il a, un « gros potentiel », pour s’y lancer. Je serais heureux, à l’avenir, de l’accueillir, de nouveau ou, d’avoir, de ses nouvelles » !

 

> Au tout début, de son AndroJeunologie®, Eliott est un garçon tourmenté, avec des états d’âme, récurrents. Une inappétence, à « profiter, de la vie ». Il est, plutôt, solitaire, a du mal, à nouer, des liens satisfaisants, avec autrui, notamment, de son âge. Il a le sentiment, d’être incompris, injustement, traité. Il s’enferme, en de longues périodes, d’isolement, de mutisme, bouderie.

 

Ses rapports, avec son père, sont difficiles. Il se sent, constamment, frustré, mécontent, vindicatif, en ressentiment, contre, lui-même et, les autres. En esprit « chagrin ». Pourtant, il a toutes les qualités humaines, pour être heureux et, être apprécié, de tous ou, goûter, la relation, à ses semblables. D’autant plus, qu’il vit, en un milieu agréable, favorisé, favorable. Que, lui manque-t-il donc, pour bien jouir, du « sel, de sa vie » ?

 

L’amour, l’acceptation, la tolérance, de lui-même ! Ce qui lui fait rejeter, tout et, tous et, le fait exclure, en retour. En infernale logique, négativiste et nihiliste, générale et systématique. Le travail d’inversion positive, apaisée, portera donc, sur douze « nœuds-sources, de blocages ». Le stress. L’anxiété, la peur. L’émotivité excessive. Le sentiment, de vulnérabilité. L’impression, de faiblesse. Le ressenti, d’insécurité. La culpabilité et, la honte. L’impression, d’infériorité. La certitude, d’indignité. La phobie, de la déchéance. La panique, face, au devoir, de performance, de compétence, de résultat. La tristesse et, la déprime. Devenu, plus tolérant, avec, lui-même, moins parfait, plus authentique, Eliott est plus confiant, à l’aise, avec la vie, comme autrui.


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

DE TANGUY, VINGT-QUATRE ANS


 

 


> « Du Doute à l’Affermissement de Soi » !


 

 

« Je suis hanté ! C’est vrai, l’on pourrait croire, que c’est poétique. D’un point de vue spirituel, comme, désordonné. Or, tellement, philosophique ! Mes rêves, mes souvenirs, se mélangent, se concrétisent. Ils me brûlent, me font souffrir. D’un ton moqueur, me font encore, sentir, cette gourmandise. Je ferme les yeux. Des larmes coulent, réveillent, mes vieilles blessures. Un dernier « Salut » ! Un dernier « Merci » ! À tous ceux qui, dans l’ombre, les cautérisent et, les suturent. Dix doigts, grattant, quelques cordes. Ce furent, les années guitare. Quelques notes, contre la discorde. Ce fut l’année, de l’espoir. L’on refuse, d’admettre, ses erreurs.


 

 


> « Non, hors de question, c’est trop dur ». Comme si, l’on prenait conscience, de cette ampleur. Sans pouvoir éviter, la rencontre, avec ce mur – À vingt ans, tu t’imagines, être le roi, du monde. Vivre, un peu, dans le futur, mais, pas vraiment, au présent. À regarder, « le temps, qui fuit », seconde, après seconde. Trop vieux, pour les réducs, du ciné. Trop jeune, pour boire, une bière, à Las Vegas. À contempler, les erreurs, du passé. Essayant, de te voiler, la face. N’oublie jamais, qui tu es. Ni, pour quoi, tu vis. L’on est tous, différents, c’est vrai ! Sers-toi en, pour donner, un sens, à ta vie. Ce n’est pas, que l’on se sente, si différent. Quoique, parfois, un peu ! L’on a du mal, à comprendre, ces gens, pour qui, tout, semble, avoir réussi.

 

Un bout, de crayon, une page arrachée. Il suffit, de peu, pour que son imagination, puisse être libre, de créer. Laissez-moi rêver. L’on en a tous, besoin. Laissez, ma liberté, de pensée. Que celle-ci, se perde, au loin. Quelques rimes. Une poignée, de sentiments, perchés, en haut, des cimes. À vivre, dans l’espoir, d’un plus beau printemps. Je me demande, très souvent, à quoi, tout cela, peut bien servir. Si cela, vaut vraiment, le coup, d’attendre, aussi longtemps, que l’amour, donne un sens, à mon avenir. Si ma seule raison, de vivre, était, de vivre, pour mon travail ?

 

L’on essaye trop, de vouloir survivre. Alors, qu’il serait, si simple, de se laisser porter, au fil, de l’eau. – Tu te réveilles, un matin… Tu as vingt ans. Tu te rends compte, que toutes ces heures, perdues, ne riment, à rien. Qu’as-tu fait, de tout ce temps ? J’ai écrit… Déchiré, entre un métier, qui ne me plaisait pas et, un statut sentimental, plutôt, fort meurtri. À présent, pourquoi, tout cela ? Beaucoup trop, de questions. Pas assez, de réponses. Il faut bien, l’avouer, après, beaucoup, d’hésitations, j’éprouve toujours, du mal, à écouter, cette voix, qui me dit : « fonce » ! Un grand nombre, de promesses, faites, à l’Éternel. Un mur, une armure, cette carapace.

 

Allongé, sur le sable, je lève, les yeux, au ciel. Peut-être, tel, un refus, de voir, ma vérité, en face. – Un regard posé, sur sa vie. Un arrière-goût amer, embrume, le fond, de notre âme. Il y a, quelque chose, d’indigeste, qui alourdit, nos envies. Cette éternelle insatisfaction, de soi-même, à nos yeux, fait monter, nos larmes… Un défaut ternit, l’ensemble, du tableau, du maître. Je ne saurais dire, réellement, ce que c’est. Pourtant, l’on ressent, ce petit quelque chose, qui fait, qu’il n’est pas, ce qu’il aurait aimé, paraître. Peut-être, quelque part, est-ce, une forme, de déception, trop longtemps, refoulée… –

 

Prendre, le temps, de fouiller, au fond, de soi. Avoir, la patience, de labourer, ce champ nauséeux. Ce, pour quoi, aujourd’hui, nous en sommes arrivés-là. Déterrer, du fin fond, de notre âme, ces flash-backs poussiéreux. Les éternels, « Ah oui, j’avais oublié » ! Que l’on mêle, timidement, aux, « Si seulement, j’avais su ». Comme si, ces regrets, pouvaient, vraiment, nous faire avancer. Comme si, véritablement, certains, de nos « regrets », ne nous avaient, jamais, déçu… Je me suis encore, interrogé, de bon matin, à ce sujet. Notre motivation, a-t-elle, la pleine force, de nos rêves ?

 

Nos objectifs, sont-ils, à la hauteur, de nos ambitions ? Nos espoirs, survivront-ils, à cette journée, qui s’achève ? – Le temps s’écoule… Sans trop savoir, pourquoi. L’on se retrouve, en une foule dense. Qui déambule, çà et là, sans savoir, vraiment, où elle va. Je me pose, souvent, cette question. « Pourquoi » ? Si seul, malgré, toutes mes relations. Je ne cherche, qu’un peu, de chaleur, la douceur, d’être, en des bras. Drôle, de sentiment, que se percevoir, différent. Amère sensation, d’une incompréhension généralisée. Me sentir, plus utile, indispensable, j’en rêve, tellement !

 

Éprouver, que mon absence, laisserait, un vide, non comblé. Lourde responsabilité, que porter, un poids, qui ne nous appartient pas. Devoir, rester fort, fier. Faire semblant, jouer un rôle, qui ne nous ressemble pas. Afin, que les autres, ne puissent deviner, ce qui règne, réellement, au tréfonds, de moi. Rester, fort, ravaler, ses larmes. Ne jamais, abandonner, renoncer, à se battre. Notre force reste, notre plus belle arme. Face, à un passé qui, chaque jour, tente, de nous abattre. L’on aimerait, dire, « Stop » ! Pouvoir faire, un « break », une pause. Se dire que, pour aujourd’hui, cela, fait déjà, trop, ainsi.

 

S’oublier, prendre le temps, de respirer, la délicate senteur, d’une rose. Une larme s’échappe, de mes yeux. J’imaginais, ma vie, tout autrement. Quelque chose, je ne sais pas… Peut-être, pas forcément, mieux. Certes, non, sans sentiments. – Les déceptions… Celles, qui nous endurcissent, à grands coups, de gifles, dans la tête. Celles, pour qui, les temps, les précédant, avaient, un petit goût, d’ambitions, de motivations. Juste, avant, que… Nous imaginions, que… Encore, une poignée, d’espoirs, jetée, par les fenêtres. Comme, une habitude quotidienne.

 

On l’avait vue, venir, de loin, avec ses gros sabots ! Notre sixième sens sentait, ce vent lointain, parcourir, la plaine. Pourtant… Nous restions-là, placides, à attendre, que s’abatte, le chaos. Nous pouvions voir, cela, comme, une mauvaise plaisanterie. Un coup d’épée, mal esquivé, que nous donne, notre destin. Nous pouvions imaginer, ceci, comme, un mauvais rêve vécu, à moitié, endormis. Le genre, de cauchemar, dont, l’on espère, ne plus, se souvenir, au petit matin… – Une autre journée, se termine. Elle laisse, en bouche, un arrière-goût amer. Tu aurais préféré, que celle-ci, te donne, bien meilleure mine.

 

À voir, ta tête, l’on dirait, que ta vie, s’effondre, que celle-ci, t’enterre. Un lourd poids, te pèse fort, sur l’estomac. Tu penses, à ce que te réserve, ton avenir. Tu te demandes, réellement, ce que tu peux faire là. Tu songes même, parfois, à en finir. L’on a tous, droit, à une deuxième chance ! Même ceux, qui n’en auraient pas, réellement, le mérite. Ta seule force, ton seul mot d’ordre, est l’espérance. Voici, la seule chose qui, sur ta pierre tombale, serait inscrite. Tu aimerais, paraître, te sentir fort. Être gratifié, d’une carrure, imposant mieux, le respect. Ne plus entendre : « Arrête, tu as tort » !

 

Plutôt, quelque chose, de ce type : « Nonobstant, fais, ce dont, tu rêvais »… – Je vis et, je survis. À travers, ombres et éclaircies. Entre le jour et, la nuit. Trop dur et, bien trop immature. Or, rien, n’est vraiment, si sûr. Quant à ce qui se cache, derrière, ce mur. L’on a peur, de l’avenir. Le passé, nous fait souffrir ! Ce qui me fait sourire, c’est, que l’on va, tous, finir, par mourir. L’espoir, que tu ne me laisses, « choir ». Que tu ne me dises, au revoir. De ne plus faire, ce « cauchemar ». Aimer, se réveiller, d’une réalité, pas toujours, acceptée. Une larme, faisant s’échapper, de nos mains, les armes. De la force, de notre âme.

 

Sur ce qui fut, les vestiges, d’un tel drame. La mort, est-ce vraiment, un tort, que d’y trouver, réconfort, après, une vie, de remord ? Une rime égarée, entre le sommet, d’une cime. Le néant, de l’abîme. – L’on ressent, parfois, ce drôle, de sentiment. L’on se bat, l’on veut, y croire. Or, je ne sais pas, aujourd’hui, c’est différent. L’on n’est plus, cette personne, que l’on croise, dans le miroir. Tu te balades, bien seul, au gré, du vent. À chercher, un peu, d’espoir. Qui t’échappe, entre les doigts, du temps.

 

L’on ne veut plus, s’en remettre, aux larmes, du désespoir. La joie, la peine, l’indifférence. Un petit mot, qui résume, souvent, notre situation. Il résonne, à l’insu, de notre conscience. Sans réelle, signification. Un coup d’œil, au passé. La douleur persiste, toujours. L’on se dit que, bientôt, tout, sera terminé. Que ce n’est, qu’une question, de jours. Le monde évolue, autour, de nous. Tentons, de suivre, le mouvement. Essayons, tant bien, que mal, de déjouer, les tours, qu’il nous joue. Laissons, de côté, larmes et, sentiments… ».


 

 


Tanguy, vingt-quatre ans, Paris, 2012

 En AndroJeunologie®


 

 


> Tanguy affirme, ainsi, par sa poétique prose, tous ses doutes, incertitudes et, tourments, de jeune homme. Ses espérances, élans, positives convictions morales, aussi. En bel exorde ! Ce garçon, nous aura livré, par la plume, ses significatives interrogations. Son suivi lui aura, insufflé, apaisement, sérénité et, foi, en son destin. Transcendant, faisant sens, à ses quêtes métaphysiques, existentielles, de juvénile personne, en « douloureux cheminement, de vie ».

 

L’AndroJeunoConseil® met l’accent, sur la nécessité, les moyens, pour tout jeune, d’acquérir, les pleins outils, nécessaires, à leur accomplissement. Ceux, de l’équilibre affectif, comme, relationnel, personnel, social. Pour bien mieux, s’épanouir, en soi-même et, face, aux autres, congénères juvéniles et, humains aînés.


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

DE MAËL, SEIZE ANS


 

 


> « Du Désabusement à la Reconfiguration Positive » !


 

 

Maël, seize ans, vit, en un climat familial, exécrable et, très tendu. Il est parcouru, de tics, mouvements ou, gestes, de nervosité, incessants. Il est triste et, angoissé, ne croit plus, en lui, s’isole, se replie, sur lui-même, n’a plus goût, à rien et, s’autodévalorise. Il dit, « qu’il n’est plus, le même et, qu’il ne se reconnaît plus. Il se sent, perdu et, ne sait plus, où, il en est ».

 

Il regrette fort, le passé, un certain « âge d’or », où, cela, « allait mieux », pour lui. Il éprouve, le douloureux sentiment, d’être incompris, par tous, notamment, de ses parents. Il doute, de tout, de lui-même, est très incertain, de son avenir, notamment, d’études et, de métier. Rien, ne le motive plus. Il y a crainte, de « dépersonnalisation, déréalisation », le sentiment, de « ne plus avoir prise, sur rien, que son destin, lui échappe ». Il ne comprend pas, ce qui lui arrive.


 

 


> Ses résultats scolaires, sont en « chute libre ». – Maël souffre, de très lourds conflits familiaux, notamment, avec son père, sauf, concernant, son frère. Tout, allait bien, tant, qu’il se conformait, à son rôle, de « petite garçon modèle, bien sage et, obéissant ». Selon, les attentes, de ses parents. En grandissant, l’adolescent se rebelle, « rien, ne va, donc, plus », avec le père.

 

Perçu, comme, étouffant, abusif et, désirant, « ne rien ignorer, des faits et, gestes », de son fils. Aux dépens, du légitime, indispensable, « jardin secret », de tout jeune. Maël a fort souffert, du comportement, fort inamical, de son meilleur ami, à son égard, ce qu’il perçoit, donc, comme, une haute trahison, un reniement, terribles. Il ne parvient pas, à comprendre, ce qui ne va pas, en sa vie. Il reconnaît, qu’il ne fait, que fort ressasser, ses malheurs, trop cogiter.

 

Ce qui ne fait, que l’enfermer, encore, un peu plus, plutôt, que d’avancer, pour s’en sortir. Il analyse tout, à l’excès, réfléchit trop. Il souffre, d’un déséquilibre, entre le corps, trop négligé et, l’esprit, trop survalorisé. Malgré, la pratique, d’un sport et, d’un instrument, de musique. Sa solitude, le ronge, or, le contact, avec autrui, encore, plus. Dilemme, sans fin. Il ne sait pas, comment, se comporter, avec les autres, a le sentiment, de rater, toutes, ses relations sociales. Ses amis perçoivent, son malaise et, lui ont conseillé, de se faire aider. Maël a « perdu, le mode d’emploi, de sa propre existence ».

 

Il s’égare, au gré, des vents, se heurte, à tout obstacle et, cela, l’angoisse. Il a l’impression de « bien se comporter », or, que cela, ne satisfait, jamais, personne. Les autres, qui ne cessent, alors, de lui faire, griefs sur griefs, bien non fondés, selon, lui. Maël ne sait pas bien, communiquer ni, se faire comprendre, bien mener, ses relations amicales, affectives et, familiales. De façon, harmonieuse et, équilibrée. Il ne sait, comment, bien, se positionner, face, à autrui, ne trouvant, jamais, le ton juste, étant, toujours, un niveau, trop haut ou, trop bas. Sa conception sociale est, bien trop, antagonique, manichéenne.

 

Lui, d’un côté, dans la peau, de la victime maltraitée, tous les autres, de l’autre, perçus, comme, agresseurs. En « syndrome, de l’assiégé », qui doit, se défendre, contre-attaquer. Maël se sent, bien vulnérable et, inadapté, très désarmé et, impuissant, à faire face. – Longtemps, il a cultivé, de bons liens, d’amitié. Puis, tout, s’est déréglé. Il a fini, par « se fâcher », avec, tout le monde et, par se retrouver seul. Il souffre, tout autant, de la solitude, que du lien social. Il se culpabilise, se reproche, sa mise à l’écart, par autrui. Pensant, que tout, se retourne, contre lui, quoi, qu’il fasse, il n’ose plus rien, tenter, notamment, à l’égard, des autres, car la peur, le paralyse.

 

Il a conscience, d’être trop compliqué, donc, confus. Il affirme, alors, avoir besoin, de se débarrasser, des « scories parasites » invasives, qui lui encombrent, inutilement et, fort nocivement, l’esprit. Il y a, donc, un travail nécessaire, de « tri, de simplification ou, d’élagage ». Pour supprimer, le superflu, ne conserver, que l’indispensable, pour y voir, plus clair, mieux vivre. Une réorganisation, une « remise à plat », générales, drastiques, s’imposent, alors. – Maël a, tout particulièrement, de nettes difficultés relationnelles, avec, les personnes, de son sexe.

 

Garçons et, hommes, jeunes et, adultes. Rivalités, envies et, jalousies, incompréhensions, comme, malentendus, s’enchaînent. Le père veut trop « conformer, son fils, à son image », l’assujettir, à ses volontés et, en faire, « ce que bon, lui semble ». Il ne veut pas, que son fils soit, lui-même ni, grandisse, lui échappe. Ce qui noue, un impitoyable « conflit, de tranchées », épuisant, vain et, sans fin, qui s’enlise. Maël souffre, de vouloir trop, tout, contrôler, maîtriser. Alors, tout, se détraque, se bloque et, il s’affole. Il doit apprendre, à lâcher prise.

 

Il se pose, bien trop, de questions stériles et, « s’empoisonne, lui-même, autant, qu’il s’emprisonne ». Il s’agit, donc, de poser, des fondations, plus saines et, sereines. – Maël a grandi, s’est muré, en son monde intérieur imaginaire, ses rêves et, sa propre logique. Il s’est isolé, des autres, qui n’ont pas compris ni, admis, sa démarche. Il se sent trahi, renié, par tous. En cercle vicieux. Plus, il va mal, plus, il s’isole, plus, on le rejette. Plus, son malaise s’accroît, d’autant. Le père n’accepte pas, de vieillir, laisser, son fils, s’émanciper. Le fils hurle, à la coercition, l’injustice, le père, à l’outrage, l’ingratitude. En double malentendu, absolu, rivalités mutuelles, totales.

 

Maël est découragé, démotivé, sans objectifs précis. Il « navigue, à vue ». Il ne croit pas, en lui ni, en ses atouts. Alors, il ne peut agir et, n’a pas, l’état d’esprit, propre, à se donner, les moyens, d’atteindre, un but existentiel. De fixer, maintenir, un cap cohérent, fécond, d’où, dépit permanent. – Maël « flotte », entre deux extrêmes, l’espoir et, l’abattement. Des pratiques, de relaxation, devraient l’aider, à bien mieux, réguler, ses humeurs, les stabiliser et, se détendre. Pour relativiser et, se distancier, des gens, comme, des choses, en sérénité. Plutôt, que tout, « encaisser », au premier degré, en chocs successifs traumatiques, sans recul. –

 

L’entourage, de Maël, pense, que ses perturbations, ne viennent, que de lui-même, ce qui brouillerait, ses communications et, relations, à autrui. Il est jugé « hautain », ce qui l’isole, le fait rejeter. Il martèle, comme, une antienne, son désir, de « revenir, au temps ou, comme, au temps où, tout, lui semblait, si bien sourire et, aller », au collège. En mélancoliques nostalgie et, regrets. Il peut fort changer, aller bien, mieux et, devenir meilleur. Or, comme, il ne peut, encore, y parvenir, dès, maintenant, le suivi n’étant, qu’à ses débuts, Il est invité, à « faire semblant ».

 

Comme si, c’était, déjà, possible et, acquis. Il s’agit d’entraînement et, d’autopersuasion. À force, de croire, l’on est convaincu. Un bon acteur, à force, de jouer, un rôle, ne joue plus, il est devenu, le personnage joué, lui-même, devant, lequel, l’acteur s’efface. Il s’agit, donc, de profiter, de la nouvelle rentrée scolaire et, du changement, de classe, d’enseignants, de camarades, pour donner, tout de suite, une bonne impression, aux autres. De s’affirmer, positivement, de même, qu’un professeur, se doit, de le faire, dès, les premiers cours. S’il veut être respecté, de ses élèves, tout le restant, de l’année.

 

Maël va, donc, devoir, dès, les tout premiers jours, de classe, impressionner, le plus favorablement, ses nouveaux camarades, d’études. Qui ne le connaissent pas, encore, n’ont, donc, aucun préjugé négatif ou, positif, sur lui et, sont, alors, neutres. En faisant « semblant », d’être heureux, à l’aise, avenant et, ouvert. Il va, donc, jouer, son rôle : celui, d’un « fort chic et, chouette garçon » épanoui, qui sort, de grandes vacances réussies. Qui est content, d’être là, d’aller, vers les autres. De se faire, de nouveaux amis. De s’intéresser, à autrui. En allocentrisme, ouverture, dépassement, de soi, délaissement, de l’ego.

                                                 

Il convient, alors, résolument, de se montrer, « sous, son meilleur jour », sans trop, en faire ni, excès, d’artifice. Sans, pour autant, être arrogant ni, écraser, autrui, de sa superbe. Maël est étonné et, rassuré, cela, lui plaît et, lui paraît, fort réalisable. Il se promet, donc, d’appliquer, le principe, dès, le « jour J ». – Il revient, satisfait, rassuré, de sa rentrée. Tout en restant, sur ses gardes, au lycée, par réflexe, bien ancré, de grandes méfiance, prudence, d’inquiétude anxieuse, attentiste. Des blessures relationnelles, d’enfance, ont entraîné, une « cassure, de l’estime, de soi ».

 

D’où, une « fâcherie », avec soi-même, l’échec, des liens, à autrui. Confiance, en soi, sérénité antistress, maîtrise émotionnelle anti-anxiété, entraîneront, de bien meilleures relations, avec, soi-même. Donc, subséquemment, ensuite, avec autrui. – Maël n’a, toujours pas, « digéré » ni, admis, sa rupture, avec, sa petite copine. La fille était impatiente, bien peu sûre, d’elle et, lui-même, sans confiance, attentiste. La jeune s’est lassée et, a renoncé, il y a, deux ans. Lui, garde, un amer souvenir, de cette expérience, ressentie, comme, un échec, de plus, d’autant plus, cuisant, douloureux, que c’était, la « toute première compagne », en sa vie.

 

Depuis, il rumine, fort douloureusement, cette énième, « perfide félonie ». Il lui est suggéré, qu’il ne pourra, retrouver, de partenaire ni, même, se faire, de simples amis, que s’il se décide, enfin, à solder, cette malheureuse histoire. Une fois, pour toutes. Au lieu, de la raviver, s’en empoisonner, sans cesse, en pensée. Le ressentiment l’étouffe, le brise, l’empêche, de nouer, de liens réussis. Seuls, le pardon, l’oubli, l’acceptation et, le passage, à « autre chose », le libéreront. « Par chance », la fille est, toujours, au même lycée, que lui. Ils s’y croisent, de loin, de temps, à autre, sans communiquer.

 

Maël a, donc, mission, d’aller lui parler. Non, pour lui faire, des reproches ni, s’en faire, une amie ou, petite amie, sauf si, d’improbable aventure, cela, « allait, de soi ». Or, pour « liquider », définitivement, l’affaire, y mettre, un « point final, positif ». « Tourner, la page », dominer, cette réalité, ne plus, jamais, la subir. Il va, donc, se visualiser, mentalement, allant, parler, à la lycéenne, de façon, très décontractée, souriante, pour l’inviter, à prendre, un verre, se voir, accepter, son offre. Puis, il le fera, en réalité, non, pour évoquer, négativement, le passé, or, très positivement, présent et, avenir, respectifs, de chacun-e.

 

Maël est dubitatif, défaitiste, persuadé, à l’avance, du refus, de la jeune fille. Par pessimisme, manque, de foi, en lui, la vie et, peur. Or, il ne lui est guère « laissé, le choix », il se voit, contraint, de s’exécuter, « relever, le défi », en son intérêt. Il prend conscience, que tout, est possible ou, presque, dans la vie, dès lors, que l’on y croit, aveuglément et, que l’on se bat, à cet effet. Avec l’énergie, du désespoir, et / ou, la « foi, du charbonnier ou, du néoconverti ». Il comprend même, que, peut-être, aussi, son « ex » n’attend, que cela ou, sera, agréablement, favorablement, surprise…

 

Il est avisé que, dans la vie, c’est à, soi-même, de faire, le premier pas, si l’on veut, avoir une chance, d’obtenir, ce que l’on souhaite. Il ne s’agit pas, d’attendre, un hypothétique geste, d’autrui, qui, ainsi, a toutes les « latitudes », de ne, jamais, venir, faute, de le provoquer ou, l’encourager. Maël se décide, alors, car il apprécie fort, l’idée, de « défi », de bluffer, l’autre, d’oser, contrairement, à autrui, d’être, ainsi, le plus « fort ». Surtout, de remporter, une belle victoire, sur lui-même, sur tous ses démons et, peurs. Pour s’en sortir et, ne plus souffrir, au présent, d’une vieille blessure, du passé, pourtant, d’ores et déjà, révolue. –

 

Maël reconnaît, qu’il a voulu, par déni, facilité confortable, « faire porter, tout le chapeau », à son ex-copine, Marie. Alors, que cette dernière, lui a fort laissé entendre, que leur histoire, pouvait très bien marcher. Or, que c’est, bel et bien, lui, Maël, qui n’a pas voulu, pu ou, su, saisir, la main tendue. Décourageant, la jeune fille. Il ne sait, pourquoi, encore, à ce jour. Si la foi, en soi, autrui, la vie, sauve, le doute, le « mauvais esprit », le scepticisme, tuent ! Il doit, donc, s’interroger, en conscience ! – Faute, de pleine sérénité, le travail, les résultats scolaires, sont mauvais, il y a manque, de motivation, d’efforts, de concentration, d’organisation.

 

Alors, que le bac, est au bout, de l’année. Il s’agit, de s’apaiser, de se mettre, au labeur, sans états d’âme. Ni pensées et, émotions réflexes négatives, intrusives et, contre-productives. Pour obtenir, de meilleurs comportements, actes et, résultats. – Maël s’imagine, toujours, « le pire » et, s’auto-empoisonne, négativement. Moins, d’orgueil, plus, de lâcher-prise, d’humilité, seraient, donc, bienvenus. Il veut tout, contrôler et, prétend, tout, maîtriser, ce qui est impossible et, absurde. Plus, il le fait, moins, il a de prise, sur les gens et, les choses. Alors, « échec et, mat » !

 

Plus, il renoncera, à cette volonté infantile, de « toute puissance », plus, il réussira et, il sera épanoui, atteindra, ses buts. Comme, le disent, les Écritures : « Celui, qui veut, sauver, sa vie, la perdra, mais, celui, qui perdra, sa vie […], la sauvera. Quel, avantage, un homme, aura-t-il, à gagner, le monde entier, si c’est, en se perdant, lui-même, en le payant, alors, de sa propre existence » ? (Luc, évangéliste, Moyen-Orient, Ier s., Évangile de Luc, IX, 22-25, Nouveau Testament, La Bible, Moyen-Orient, Ier s.). Le plus souvent, l’on ne sait rien, l’on ne contrôle rien et, l’essentiel, de la vie, « nous échappe ». Vouloir, le retenir, est aussi, vain, que de prétendre, capter, conserver, emprisonner, le vent, à mains nues.

 

Il faut l’accepter, sous peine, de dépérir, d’être malheureux et, en échec. Maël s’est enfermé, en une folle logique erronée, malsaine, perverse et, sans issue, qui le « tue, à petit feu ». Alors, il est, de son fait, en impasse, blocage, complets. Ce qui l’encolère, contre, lui-même, les autres, la terre entière, contre, lesquels, il est « parti, en guerre » et, s’enferre, fort stérilement, de plus en plus. Il doit, s’accepter et, « agréer », les autres, tel, qu’il est et, comme, ils existent. Non, tel, qu’il voudrait, qu’il paraisse et, comme, il aimerait, qu’ils figurent. Ainsi, s’ouvre, le tout commencement, de la sagesse et, de l’humilité, en mental, des plus forts !

 

Dépassionner, relativiser, se distancier, prendre recul, être plus tolérant et, indulgent, pour lui-même et, autrui. Moins, absolutiste, jusqu’au-boutiste… Tels sont, l’enjeu fondamental et, le devoir sacré, le si vital défi ! Maël a eu le pouvoir, de « se condamner », lui-même, lui seul et, détient, donc, celui, de « se sauver, en rédemptrice transcendance ». Il « porte masque », en permanence et, n’ose pas dire, ce qu’il pense ni, être, lui-même, en toute congruence. Par peur panique, de décevoir, déplaire, d’être rejeté, de ne pas être, à la hauteur.

 

Par obsession, de son image, de l’opinion, des autres, sur sa personne, sa valeur, ses actes. Sa conception, de la vie, ne repose, que sur l’obligation, supposée et, auto impartie, de la performance et, la perfection. Des normes, de, toujours, devoir « faire, ses preuves », de la réponse, aux attentes, réelles ou, supposées, des autres. Ce qui l’emprisonne, le torture. Tel est, le redoutable fruit, du mutuel désamour, de soi, donc…, d’autrui ! « Aimes-tu » ? Telle est, la seule question, qui vaille, ici-bas ! D’où, délétère inhibition. La vie n’est pas, contrôle, examen, concours, permanents. Maël dépend, bien trop, psychiquement, fort moralement, des autres, notamment, de son entourage.

 

Se détachant, de l’opinion, avérée ou, fantasmée, des autres, n’ « attendant pas trop, d’eux », cela, ira mieux. Se recentrant, sur l’essentiel, se laissant, « vivre », un peu plus, cessant, de se torturer, par des chimères, illusoires et mortelles. Alors, il trouvera, plus, de force, de paix, pour affronter, la vie. – Gare, à la malsaine complaisance, en un « malheur », devenu factice, à force, de dépit, de résignation, de facilité et, de défi, de mauvais aloi. Maël est passé, « de Charybde, en Scylla », d’un extrême, à l’autre, tous, aussi, malfaisants, pour lui-même, son entourage. Enfant, il lui était reproché, son excès, de gentillesse, de bons sentiments.

 

On lui avait fait endosser, le rôle, de Bécassine. (Figure naïve, de bande dessinée, créée, en 1905, par J. P. Pinchon, illustrateur, France, 1871-1953. Dans la publication française, pour enfants filles, La Semaine de Suzette, 1905-1960). Il s’y était conformé, croyant, y être tenu. Pour, toujours plus, complaire, à ses proches, si « manipulateurs », père, en tête. Avec, son corollaire « bonasse », apparent. Se rendant compte, que cela, le desservait, il optera, pour un autre registre, tout aussi, néfaste, excessif. Le jeu, de la Grande-Duchesse, de Gérolstein, avec la superbe, afférente.

 

(Personnage, de l’opéra bouffe, éponyme, France, 1867

De J. Offenbach, compositeur français, 1819-1880).

 

Cela, ne plut, naturellement, pas davantage, lassa fort. Alors, Maël « prit ombrage » et, s’enferma, en son splendide isolement, drapé, en sa dignité outragée. Déprime, impatience, désespoir, à la clé. « Après moi, le déluge » ou, la politique, du pire, du plein chaos, dépité. La seule solution, tenable, est la position médiane, équilibrée : l’amour propre, sans suffisance et, l’humilité, sans abaissement. Être, soi-même, au naturel, authentiquement, sans artifices ni, superficialités. Aimer, s’aimer, tout en se protégeant. User, d’un « filtre », qui laisse passer, les bonnes choses, rejette, les mauvaises. Non, qui « autorise, tout », comme, auparavant ou, rien, comme, désormais.

 

« Sortir, de soi-même », la main tendue, vers autrui, en toute simplicité, tout en étant, clairvoyant, sur ses fréquentations. Regagner, estime, confiance, affection, des autres, de soi-même, s’affirmer. Présentant, un visage, plus avenant, non plus, triste figure, émettant, des ondes positives attirantes, non, négatives répulsives. Changer, son état d’esprit, permet, de gagner, la sympathie, l’empathie, même, des autres. Tour d’ivoire, altier confinement, rendent apathique, voire, antipathique, incitent, à se détourner. Il est fort possible, d’ « être, de et, en, ce monde », tout en se gardant, des possibles abus, d’autrui.

 

S’opposer, à tout, tous, soi-même, la vie, conduit, au désastre mortifère. Au grand détraquement, de soi. Changer, s’impose, donc. – Maël commence, alors, à prendre conscience, « bouger ». Lucidement, il reconnaît que, par purs orgueil et, dépit et, faute, de pouvoir, « être tout », il a décidé, de « n’être rien » ! De façon, dichotomique, manichéenne. De tout, saborder, selon, la détestable logique, du « tout ou, rien ». Il admet, la nécessité, de l’humilité, car son orgueil l’a fort éloigné et, coupé, des autres, ce dont, il souffre. Ce qui lui « gâche, la vie ». L’équilibre s’impose, pour que le meilleur soit, de nouveau, possible.

 

Les pensées seront plus positives, sereines, les émotions, plus égales, mesurées, les comportements et, actes, plus réfléchis et, appropriés. Il s’agit, donc, de vivre, pleinement, non, de « vivoter », se torturant, l’esprit, de délirants présupposés. – Des progrès s’observeront, en famille et, dans les études. Maël a compris, le conflit intérieur, de type névrotique, qui le déchire, le mène, à l’échec, l’impasse. – Or, il reste, de gros progrès, à accomplir, pour sortir, d’un système nihiliste, de confusion. À force, de cogiter, stérilement, à tort et, à travers, il s’imagine, des choses, des plus fausses, comme, des plus nocives.

 

Qui le perturbent, parasitent. Par orgueil, pour ne pas avoir, à faire, le premier pas, Maël n’a, toujours pas, été « parler », à Marie, son ex-petite copine. Il s’agit, donc, de « frapper, un grand coup », pour vaincre, une fois, pour toutes. Il se voit intimer injonction, d’aller, séance tenante, lui parler, comme, convenu. Cette semaine, même ! D’aller, enfin, prendre, un verre, avec elle. Il lui est rappelé, qu’en faisant, un geste, vers Marie, c’est lui, qui « mène, le jeu », en osant et, pas elle, qui ne tente rien ! Tergiversations, inertie, comme, états d’âme, sont révolus.

 

Réactions, actions, proactions, interactions immédiates et, résultats tangibles sont, désormais, requis, sans barguigner. « Demi-tour, en avant, marche » ! Il n’y a plus, faux-semblants, nulles échappatoires, possibles. Sus, donc, aux pensées, émotions, actes automatiques négatifs, qui le phagocytent, de façon inutile, néfaste, confuse. Lui « embrument », le cerveau. Il s’agit, de démolir, tout un système dangereux, de résistance, d’autodéfense, pour le libérer, de sa « prison intérieure ». Il joue, de son maillage, faussement, autoprotecteur, le maîtrise, encore. Or, à force, de pure pusillanimité, il peut, en perdre, le contrôle et, tomber, en son propre piège.

 

Lequel, se refermera, à tout jamais, sur lui-même. S’enfermant, pour ne plus pouvoir, en sortir, même, avec, des aides externes. – Maël est aux anges car, sur insistance, de son conseiller, il a, enfin, osé, aller, aborder, Marie. Comme, escompté, elle l’a, alors, positivement, accueilli, a volontiers, accepté, son invitation, à boire, un verre, pour le lendemain, même !

 

Elle a demandé, à Maël, pourquoi, il reprenait contact, avec elle. Il a répondu, qu’il trouvait, fort dommage, de se croiser, en s’ignorant, qu’il voulait, exprimer, ses regrets, pour le passé. Ils ont parlé, des études, du bac, de leurs projets, respectifs. Tout, s’est fort bien, passé. Maël a la « preuve », s’est prouvé, que l’action, l’audace, l’humilité, paient. Les deux jeunes gens, n’ont pas renoué, depuis, l’histoire, s’est arrêtée-là, sans suites. Trop, de temps, ayant, déjà, passé, depuis, leur rupture sentimentale.

 

Or, tel, n’était pas, l’objet, de la rencontre. Il s’agissait, pour Maël, de ne pas rester, sur le regret, l’échec antérieur, mais, de revoir, au moins, une fois, Marie, pour, définitivement, « faire le deuil », d’un passé douloureux. Ce qui fut fait et, bien fait. Désormais, il est libéré, du poids, de cette antérieure relation, « avortée », qui aurait pu, réussir, or, qui ne l’a pas pu. Il n’en fut plus, question, « affaire classée » !

 

Maël achèvera son suivi, avec succès. Il rencontrera, une compagne, lui « convenant ». Il décrochera, son bac, poursuivra, de très bonnes études supérieures, l’intéressant. Le conflit familial s’apaisera. Il sera, bien plus serein et, positif. Ses estime, confiance, affirmation, de lui-même, seront renforcées. Son lien, à lui-même, autrui, en sera pacifié. S’acceptant, tel, qu’il est, il vivra mieux, en et, avec, lui-même. –


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

D’HUGO, VINGT-ET-UN ANS


 

 


> « Du Négativisme au Lâcher-Prise » !


 

 

Hugo, vingt-et-un ans, est étudiant. Il est en conflit, permanent, avec, sa mère, cela, ne va guère mieux, avec son père. Ses parents se sont séparés, depuis, son enfance. Il est en révolte, contre, la société favorisée, bien-pensante et, coercitive. Lui-même, de milieu, plutôt, bourgeois, préfère, fréquenter, des jeunes, d’origine populaire, ce qui enrage, sa mère. Il est sensible, aux injustices et, aux plus défavorisés. Ce qui pourrait, l’orienter, vers l’humanitaire.

 

Par ses fréquentations, il a connu, des déboires, s’est beaucoup, drogué. Il vit seul. – Hugo a souffert, de la séparation, de ses parents, leur en veut, d’avoir démoli, leur cellule familiale. Cela, l’a très perturbé, depuis, son enfance, encore, même, aujourd’hui. Ce qui retentit, fort négativement, sur sa propre vie sentimentale, qu’il qualifie, lui-même, de « chaotique ». Son couple actuel, n’est pas satisfaisant. Il le maintient, uniquement, pour éviter, la solitude, ayant souffert, de lourdes carences affectives. Il espère bien, trouver, la stabilité amoureuse, avec « quelqu’un, de bien ».


 

 


> Par son passé, il manque, d’assurance, doute, de lui-même, de tout et, tous. – Hugo a, toujours, connu, des difficultés scolaires. Il ne « supporte » pas, l’autorité et, se met à dos, tous les enseignants, le système scolaire. Par son « âme, de rebelle ». Il peut connaître, des accès, de violence et, de rage, dus, à son mal-être. À l’école, indiscipline et, impertinences, perturbent, toute sa scolarité. Le manque, de considération, de reconnaissance ou, d’amour, a généré, un défaut, de confiance, des troubles exacerbés, une quête éperdue, d’amour.

 

En particulier, son père, n’a cessé, de l’agresser, le rabaisser, lui faisant, « débit, de tout, crédit, de rien ». Il a fait des fugues et, est cleptomane. – Hugo développe un très fort syndrome, de paranoïa, persécution. Son obsession est de, toujours, s’épargner, humiliations, avanies. Ce qu’il croit, bien être, son « chemin, de Canossa, alors, que c’est, celui, de Damas, qu’il lui faudrait, trouver ». Il est convaincu, que l’on ne l’aime pas, qu’on lui en veut, le maltraite et, crie, sans cesse, à l’injustice, au scandale et, à l’outrage, en « victime, toute désignée. Voire, sacrificielle ».

 

À l’attentat, contre sa personne. Il en veut, à son père, de son hostilité récurrente, se sent rejeté et, incompris. Y compris, par les jeunes, de son âge, qui refusent, sa « différence ». Raison, pour laquelle, il préfère, fréquenter, des « libertaires », qu’il apprécie, car, ils ne le jugent pas et, l’acceptent, « tel, qu’il est ». En dehors, de tout « conformisme social », qu’il déteste. Les problèmes relationnels, d’agressivité, le poursuivent. Il préfère, la compagnie, des « révoltés », car il aime, à cultiver, des « valeurs, plus hors-normes », non conventionnelles, que « communément admises ».

 

Hugo est plein, de bonne volonté. Or, il se heurte, toujours, aux autres, qui ont du mal, à le comprendre et, à l’accepter, de façon, inconditionnelle, « tel, qu’il est ». En cercle vicieux, par manque, de confiance, en lui, il se radicalise, cela, contribue, à dresser, les autres, contre lui. Alors, il se raidit, encore plus, les autres, aussi, ce qui génère, une escalade, sans fin. Dont il est, nolens volens, la toute première victime, « quasi consentante », depuis, longtemps. Seule, la confiance universelle, fera, en coaching, qu’il se sentira, suffisamment, fort. Pour ne plus, alors, avoir besoin, de recourir, à ses volcaniques éruptions, d’humeur. Ses relations iront, donc, en s’améliorant, grandement. –

 

Les attitudes hostiles, dépréciatrices, des autres, ont déstabilisé Hugo, sapé, sa confiance, en lui. Il a souffert, d’être rejeté, par tous. Les jeunes « nantis » lui en voulaient, d’être : « subversif » et, de trahir, par conséquent, le « camp, des gratifiés ». Les « déshérités » lui reprochaient fort, d’ « empiéter, sur leur territoire rebelle, chasse gardée, des vrais séditieux ». En se comportant, tout comme… eux, non, comme, le « garçon, de bonne famille », qu’il était. Il s’est, alors, rapproché, de juniors, « encore plus, en marge », comme, lui, qui l’ont reconnu, comme, « des leurs ». L’ont accepté, se sont montrés bienveillants, avec lui.

 

Alors, que les jeunes, de son milieu, le « snobaient », du fait, de son fort anticonformisme, de sa « trahison, son reniement, de classe ». Hugo est en malaise, car il est, en porte-à-faux, permanent. Avec, les juniors, des deux sexes. Avec son milieu social, d’origine, qu’il rejette et, qui le repousse, pour son côté « infréquentable ». En réalité, également, tout autant, avec son « milieu, d’exclus et, interlope, d’élection ». Lequel, n’est pas, le sien, qui l’a, aussi, fort maltraité, à l’occasion. Doutant, de lui-même, il se sent, toujours, incompris et, malmené, quoi, qu’il fasse. Il est, alors, sur la défensive et, le qui-vive continus.

 

Agressif, en permanence, en vertu, de l’adage trompeur, selon, lequel, « la meilleure défense, est l’attaque ». Cela, contribue, à l’isoler, encore, un peu plus, lui causera, le plus grand tort. – La meilleure gestion, de son stress, émotivité, l’accroissement, de sa confiance, en lui, vont l’aider, à se sortir, de sa réalité bloquée. En particulier, Hugo a, sans cesse, de forts ennuis, dans ses études, du fait, de son émotivité, à fleur de peau, de la susceptibilité, qui s’ensuit, du refus même, de toute autorité. Il lui est conseillé, un effort, sur soi, pour plus, de modération. –

 

Les relations, avec la mère, s’améliorent. Il est bien plus serein, fume moins, de cannabis. Hugo s’en sortira, très bien. Ayant, meilleure confiance, en lui, il sera bien plus, en paix, moins stressé, émotif et, agressif. Ses liens, aux autres, seront apaisés. Il ne se sentira plus, tout le temps, « molesté ». Il prendra, du recul, relativisera. Il trouvera, la « bonne » partenaire affective, terminera, ses études et, obtiendra, son diplôme, d’enseignement supérieur. Il entamera, une bonne carrière professionnelle, selon, ses vœux. Tout étant bien, qui finit bien ! –


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

DE DAMIEN, QUINZE ANS


 

 


> « Du Fatalisme au Ressaisissement de Soi » !


 

 

Damien, quinze ans, est collégien. Il souffre fort, d’inadaptations, de phobies scolaires. Ses résultats d’études, sont bien piètres. Il est anxieux, stressé, psychiquement et, physiquement, nerveux. Ses parents se sont séparés. Il vit, chez son père. Il a très peur, de l’école, depuis, la séparation, d’avec, sa mère, à l’enfance.

 

Il manque, d’assurance, s’autodévalorise, ne croit pas, en lui ni, en ses capacités. – Comme, pour la plupart, des « cas » évoqués, en nos propos, Damien a, déjà, été suivi, par plusieurs praticiens, sans effet, aucun. Faute, de réponses, à ses interrogations, d’éclairages, de conseils, lignes directrices, de conduite, programme concret, pragmatique, efficace, d’avancées réelles.


 

 


> Le suivi d’AndroJeunologie®, qui débute, est donc, la « solution, de la dernière chance ». L’adolescent perçoit bien, que ni, sa personne ni, ses difficultés, n’ont, réellement, été prises, en compte, jusqu’alors. Depuis, le primaire, surtout, au collège, il ne se plaît pas, à l’école, en a peur. Il ne peut rien, avaler, le matin, par terreur, de devoir, affronter, une nouvelle journée, de travail. Il se rend, alors, au collège, véritable « lieu, du supplice », la peur, le mal, au ventre. En revanche, le petit déjeuner est pris, sans nul problème, en fins, de semaines et, vacances, car l’angoisse, des temps scolaires, disparaît, faute, de cours.

 

Ce qui est significatif. Damien se plaint fort, des locaux éducatifs sinistres, pourtant, ceux, d’un grand collège-lycée parisien, connu et, réputé. De la dure discipline, de l’ambiance, négative et, rébarbative, de relations exécrables, avec les enseignants, l’administration scolaire. Il est rebuté, par toutes les matières scientifiques, notamment, les mathématiques. Il aime, les cours d’histoire et, de musique. Il a, une nette prédisposition, pour l’écriture et, le dessin. Il dessine beaucoup, de façon, abstraite non figurative, écrit, de courtes fictions, qui mettent en scène, son univers quotidien.

 

Il fait montre, d’une très grande richesse, de son imaginaire et, de son monde intérieur. Il apprécie, la solitude, malgré, sa bande, de copains. Il est très proche, de sa maman. – Le blocage scolaire date, donc, de la séparation brutale, d’avec sa mère, à l’époque, de l’école primaire. Ce qui aura été, pour lui, un traumatisme profond, joint, à un sentiment, de culpabilité. – Damien n’éprouve pas, de difficultés, de lien, à son égard, mais, par rapport, aux autres et, certains, en particulier. Il s’entend bien, avec, les autres jeunes. Les liens, avec son père et, son frère aîné étudiant, sont distants et, il aimerait bien, se rapprocher, de ce dernier.

 

Or, le grand frère, y est rétif, car il a jugé, son cadet, trop jeune, pour échanger plus, avec lui. Damien se plaint, du manque total, de psychologie, de pédagogie, de tact et, de respect, des enseignants, à l’égard, des jeunes. Qui manient, plutôt, contre eux, force sarcasme, ironie, mépris, selon, ce que ressent, le garçon. La dureté inique, des conseillers d’éducation, est aussi, déplorée. Pourtant, tous, ont bien été avisés, des difficultés psychiques, de Damien, or, n’en tiennent, nul compte. Ils sont avertis, que les troubles psychologiques, du jeune, causent, ses pires difficultés scolaires.

 

Or, ils persistent, à penser, qu’à l’inverse, ce sont, les mauvais résultats éducatifs, qui suscitent, le tourment, du jeune. Par ignorance, facilité, ils inversent, la logique, de la réalité. Nombre, d’enseignants français, n’aiment pas, les juniors, ne croient pas, en eux. En ont peur, s’en défient, les traitent, par le dédain, la morgue et, l’arrogance. Ce qui suscite, en retour, la juste colère et, la violence, des jeunes, leur rejet, de l’école, de ses personnels. Un junior traité, avec déférence, respecte, l’adulte, en réciprocité. Si les profs prétendent, être considérés, par les jeunes, qu’ils commencent, donc, en réels adultes, par estimer, leurs élèves.

 

Alors, et seulement, alors, ils seront « ménagés ». En outre, ces enseignants, n’ont pas été formés, à la psychopédagogie juvénile. Ils commettent, donc, pires erreurs, maladresses, injustices, à l’encontre, des juniors, par « incompétence psychologique ». Nous ne cessons, à longueur de consultations, d’entendre, de la bouche, de ces jeunes maltraités, combien, leurs pédagogues, sont suffisants, caustiques, à leur égard. Tant, de témoignages, allant tous, dans le même sens, si désastreux, pitoyable, interpellent et, prennent, un accent, de vérité.

 

À force, d’être, sans cesse, répétés, depuis, des années, par autant, de juniors, si différents, du collège, aux études supérieures, incluses ! Que nombre, d’ « enseignants », cessent, leurs injustes, abusives, violences, à l’égard, des jeunes. Ils ne subiront plus, en retour, les déviances, de certains juniors ! Baser, la pédagogie, sur l’humiliation, d’un adolescent, à sa merci, est d’une lâcheté et, d’une « crapuleuse scélératesse », sans nom ! Cela, en dit long, sur une certaine mentalité nationale, totalitaire. Le sociologue, enseignant universitaire français, contemporain, P. Merle, évoque, un « élève humilié » et, se demande, même, si l’école, n’est pas, un « espace, de non-droit » !

 

(P. Merle, L’élève humilié – L’école, un espace de non-droit ?

Essai sociologique éducatif, France, 2005, 2012).

 

Les enseignants, de Damien, ne le connaissent, reconnaissent pas, en ignorent, tout. Alors, les maladresses psychologiques, se multiplient et, le jeune se bloque, d’autant. Il est souvent, humilié et, rabaissé, publiquement, devant, ses camarades, en souffre. Comme, nombre, de ses semblables. Le système scolaire, universitaire français, est sclérosé, car il nie, purement et simplement, « le fait et, les réalités juvéniles ». Cela, interroge fort, aussi, sur l’équilibre psychique, de certains enseignants ! Car, un humain adulte épanoui, bien, dans sa peau, ne se laisse, jamais, aller, à maltraiter, un jeune, dont, il a, la responsabilité éducative ! –

 

Damien va apprendre, à mieux respirer, se relaxer, se détendre, soigner, son hygiène, de vie : sommeil, alimentation, activité physique. Mieux gérer, son emploi, du temps, bien affiner, sa méthode, de travail. Positiver, réguler, ses cognitions, sentiments, comportements, pour « apprivoiser, la chose scolaire ». Afin, que la pensée rationnelle, logique ou, de raison, discipline, les affects passionnels, excessifs. Les autoconditionnements réactifs, d’attitudes primaires, irraisonnés, de peur. La crainte viscérale, du cerveau reptilien, perturbe, fortement, les émotions, du cerveau limbique.

 

Lesquelles, deviennent alors, pessimistes, défaitistes, négatives. Parasitent, court-circuitent, les capacités cognitives, du néocortex préfrontal cérébral. Puis, cela, influe, défavorablement, sur le comportement, les actes, de Damien, qui devient inhibé, abattu, au lieu, d’être affirmé, déterminé. Il « sait », ses leçons, à la maison, mais, les « oublie », à l’école, car, il y perd, ses moyens, par un contexte scolaire hostile, qui le paralyse, l’effraie. Il en retire, un douloureux sentiment, d’injustice et, de désolation. Car ses résultats, qui devraient être corrects, par ses grands efforts, sa bonne volonté, pour apprendre, retenir, comprendre et, travailler sont, pour autant, médiocres.

 

Il est privé, des bénéfices, de son labeur, les enseignants estiment, alors, qu’il ne travaille pas, assez, ce qui n’est pas, le cas. – Damien va apprendre à croire, en lui, ses compétences, s’accepter, s’aimer, tel, qu’il est, pour avoir confiance, en lui, s’affirmer. Il est timide, redoute, l’inconnu, craint, le pire, le danger, la menace. Il a peur, d’être jugé, mal perçu, évalué et, considéré, a la hantise, de l’injustice et, d’être déprécié, sous-estimé, à tort, ce qu’il ressent, souvent. Il se replie, alors, profondément, en lui-même, son monde intérieur.

 

Ce qui le rassure, car il s’y sent, bien protégé, inexpugnable. Il développe, un fort sentiment, d’impuissance et, d’incapacité. Alors, il renonce et, ne tente pas, pour éviter, les échecs, par panique, d’échouer. Il réfléchit beaucoup, par stress, de mal faire, de nuire, aux autres, d’être, mal jugé. Il craint, de décevoir, notamment, sa maman, qu’il aime, par-dessus tout. Il s’exprime peu, avec ses amis, par grand effroi, de blesser, d’être maladroit, que ses propos, soient mal interprétés et, compris. Il a peur, de déranger et, préfère, subir, que demander.

 

Il a besoin, de solitude, de calme, quiétude et, silence. Pour se sentir libre, ne pas gêner ni, être jugé. Cela, lui permet, de donner, libre cours, à son imaginaire. Il souhaite, passer, inaperçu, pour se sentir, en confiance et, tranquillité. Il ne souhaite pas, ressembler, aux autres, mais, s’en démarquer, pour assurer, sa spécificité, sa pleine mesure intérieure. – Peu à peu, Damien commence, à moins craindre, l’école, moins somatiser, ses « terreurs ». Il est bien plus confiant, en lui, plus serein. Seuls, les cours, les plus difficiles, pour lui, le tourmentent, encore, par inquiétude, d’être interrogé, sans savoir. Il vise, résolument, une seconde générale, un baccalauréat littéraire.

 

Il aimerait bien, écrire, des scénarios, pour le cinéma. Il est heureux, d’être accepté, en seconde générale, en lycée privé, à petits effectifs. Où, il se sentira, bien plus, à l’aise, qu’en son grand collège public. Il a mieux géré, son stress, son anxiété, à l’examen, du brevet, des collèges. – Damien s’est bien adapté, à la classe, de seconde et, à son nouveau lycée. Il s’y sentira, plus apaisé, qu’au collège. Il s’est fait, de nouveaux amis. Même, en mathématiques, sa matière, la plus faible, donc, anxiogène, il n’a plus peur, va, au tableau, sans trembler. Il prend, peu à peu, confiance, en lui. –

 

Il est ravi, de sa nouvelle vie lycéenne, en est, métamorphosé. Il est plus épanoui, en sa vie, a de bonnes notes, la moyenne, en toutes, les disciplines. Presque, en mathématiques, pourtant, sa matière, la plus difficile. Il se défend mieux, quand, son frère aîné, s’en prend, à lui. Il se sent mieux, dans sa peau, est plus heureux, avec les autres, lui-même, il ose plus et, mieux, défendre, sa personne, ses actes et, intérêts. – Damien se plaint encore, toutefois, de la mauvaise humeur, permanente, de son père, son ironie, à son égard. De son refus, de laisser grandir son fils, de sa volonté, de toujours, persister, à le traiter, de façon régressive, « en petit enfant attardé ».

 

De le maintenir « petit », en son pouvoir, malgré, ses seize ans. Typique problématique, entre pères et, fils. Les pères percevant, les fils grandissant, en rivaux, menaçant, leur suprématie, souhaitant, les « maintenir, en tutelle », de façon, pathétique et, illusoire. Damien espère, partir, en prochaines vacances, d’été, sans, ses parents. Après, le bac, habiter, seul, sans, son père. Il change, mûrit, veut plus, d’autonomie. – Son suivi s’achève et, constitue, un plein succès, pour lui, par ses efforts, sa persévérance, à progresser et, sa foi, en la possibilité, de « s’en sortir », en se faisant, aider. Le climat familial, avec, son père et, son frère aîné, s’est, finalement, apaisé.

 

Le test effectué, en début de suivi androJeunologique, pour évaluer, son niveau, de confiance, en lui, était, de douze points, en dessous, de la moyenne. Il est, désormais, de neuf, au-dessus. Il en est, légitimement, heureux, fier ! S’estimant et, s’acceptant, mieux, il a plus, confiance, en lui, autrui, l’existence, sa vie et, son devenir. Il s’affirme, donc, de meilleure façon. Tous ses gestes, de nervosité, de stress, ont, totalement, disparu. Il n’a plus besoin, d’anxiolytiques. Sa puissante phobie scolaire, les somatisations, afférentes et subséquentes, sont, totalement et, définitivement, résorbées.

 

Il continuera, à retravailler, son mentoring androJeunologique écrit. Refaire, exercices, entraînements, simulations. Sur le modèle, de ce qui a, déjà, été réalisé, en entretiens, avec, d’autres exemples situationnels, concrets. Il saura « bonifier », ses pensées, émotions, comportements, actes. Il évitera, le si redoutable piège, des néfastes croyances, irréalistes. Des délétères distorsions, cognitives et émotionnelles. Des négatifs pensées, comportements et, actions automatiques. Damien a compris, que la foi positive, en soi, en le meilleur, de la vie, transcende, l’essentiel, pousse, à se dépasser, donner, le meilleur, de soi.

 

Être, en paix, avec soi-même, autrui, son destin, pour réaliser, son plein dessein terrestre. Ainsi, le jeune homme ne va, désormais, pas seulement, « bien » et, « mieux ». Il est, surtout, devenu, bien « meilleur », s’est, littéralement, « transfiguré », de l’intérieur. À son plus grand bénéfice, fort contentement et… étonnement ! Tant, en début, de suivi, il était persuadé, avec force fatalisme, résignation, d’être, « comme, il était ». En une sorte, de « seconde nature », définitive et, à vie. Que ni, lui ni, quiconque, n’y pouvaient, grand-chose ! Ayant compris, la réversibilité humaine, sa vie, en sera, positivement et, décisivement, transformée !


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

DE BAPTISTE, VINGT-ET-UN ANS


 

 


> « De l’Abattement à la Joie d’Exister » !


 

 

Baptiste, vingt-et-un ans, a été arrêté, pour trafic, de cannabis, va passer, en Justice. Il est issu, d’un milieu très favorisé, mais, il a interrompu, ses études, après, l’obtention, du bac. Il doit se soumettre, à un « travail, de soutien », dans le contexte, de son amendement et, suivi judiciaires. Ce qu’il accepte. Baptiste est rêveur, idéaliste. Il rejette, les normes, de la société, qu’il juge, coercitives.

 

Son idéal, est de cultiver, la terre, à la campagne, de travailler, de ses mains. Il s’est toujours, senti « différent », des autres, parfois, incompris, rejeté, maltraité. À partir, de l’âge, de seize ans, il fume beaucoup, de cannabis, en vend, même, pour se procurer, ses doses. Il veut faire, des expériences et, aller, au bout, de ses envies, désirs, plaisirs. Il a essayé, presque, toutes les drogues dures, hors injections. Ses diverses tentatives, d’études supérieures, n’ont pas abouti.


 

 


> Baptiste rêve, d’une société, plus juste, plus libre, il souhaite, préserver, son idéal. Tout en comprenant que, pour survivre, il se doit, de transiger, avec un minimum, de normes sociales. Faire, la part, des choses, en se servant, intelligemment, des moyens, offerts, par la société, même, corrompue, à ses yeux. Pour réussir, sa vie, à sa façon. – Baptiste se plaint, que son contrôle judiciaire, bouleverse, sa vie, limite, sa pleine liberté passée. Il souhaite, retrouver, du travail, car il a perdu, son précédent poste, d’employé. Il veut, va arrêter, les drogues dures et, son trafic.

 

Il souhaite, aussi, réduire, ses prises, de cannabis, pour qu’elles deviennent, plus ponctuelles, non plus, régulières. Il dit, avoir été, « très bien éduqué », par ses parents. Il en conserve, une foi spirituelle, d’autant plus, précieuse, selon lui, qu’elle va, à l’encontre, de la dominante, de la société française contemporaine. Baptiste stigmatise, les conformismes, de la jeunesse. Lui, se veut, « hors normes, codes ». Il aime, la drogue, pour les convivialités, qu’elle lui procure. Il veut donner, un sens, à sa vie, dépasser, le matérialisme ambiant, pour atteindre, une spiritualité vraie, profonde. Même, au prix, de la marginalité et, la solitude, les plus complètes et, douloureuses. –

 

Baptiste apparaît, à une séance, perturbé, abattu, triste. Il se balance, d’avant, en arrière, comme, pour se calmer, se rassurer, comme, peut le faire, sa drogue. Il est anxieux, manque, de confiance, en lui. Il s’angoisse, pour ses démêlés judiciaires. Il a retrouvé, du travail. Il craint, que la Police, ne le harcèle, pour qu’il soit condamné. Il redoute, la prison, or, reconnaît, que bénéfiquement, son affaire a, en leçon, contribué, à l’éloigner, de la drogue. Il se raccroche, à l’affection, de sa partenaire sentimentale, souffre, physiquement, psychiquement, quand, elle n’est pas, avec lui.

 

Il dort, se nourrit, peu et, bien mal. Il a mal, au dos. Il est très grand et, fort mince, il a besoin, de se muscler, s’étoffer. La drogue l’a amaigri. Il ne fait, aucun sport. Il lui est conseillé, de faire, de la natation, pour se muscler et, se détendre. – Baptiste est toujours, angoissé, par sa situation judiciaire, s’en veut, de ce qui s’est passé, s’en accable. Il rejette, une société, qu’il juge, si mercantile, égoïste, emplie, d’indifférence généralisée, en laquelle, selon, ses propos, chacun, ne comprend et, n’écoute, que soi, seul. Tout cela, le révolte. Il est très pessimiste, sur son sort, celui, de sa jeunesse, comme, de l’ensemble, de sa génération.

 

Notamment, du fait, de devoir, « payer », pour ses déviances judiciaires. Il affirme, s’être drogué, pour fuir, la société, ses réalités, médiocres et, mauvaises. Il lui est fait, prendre conscience, que la dépendance, en l’occurrence, par produits toxiques et, addictifs, n’est, qu’un esclavage absolu. Absolument, contraire, à son plein idéal, de liberté. Par contrainte, intégrale. Or, qu’il l’a laissé, échapper, à l’encontre, même, de sa pleine souveraineté. Qu’il est, toujours, possible, de s’amender, de réaliser, son dessein positif, quel, qu’il soit. Le passé étant, définitif et, clos, l’essentiel, est de bonifier, le présent, pour s’assurer, un avenir meilleur.

 

Baptiste reconnaît être passé, de l’insouciance extrême, aux pires tourments. L’arrestation brutale et, la claire menace, de sanction judiciaire, ont été, pour lui, un grand choc, un déclenchement, de crise profonde. Cela, se traduit, par une perte accrue, de confiance, en lui, du stress, de la démotivation, à avancer. Un grand mal-être, s’ensuit, des perturbations, qui provoquent, d’inhabituelles maladresses, des actes manqués. « Oublis », erreurs, qui ne feront, que l’assombrir, un peu plus. Baptiste prend, peu à peu, conscience, que ce qui lui arrive, ne constitue pas, motif, à désespérance.

 

Or, source, d’espoir et, de lutte, pour en tirer, les enseignements, positifs, instructifs, changer, s’en sortir. Les épreuves, de la vie, ne sont pas faites, « pour abattre, mais, pour se battre », renforcer, sa rage, à les surmonter. En dépassement, victoire, sur soi. Ce qui sera fait et, bien fait. En réalité, Baptiste ne sera pas condamné, en Justice, car il fera la preuve, de son fort et, complet amendement. Se faisant aider, progressant. Reprenant, des études, qui réussiront, en un domaine, lié, à ses goûts. Arrêtant, à jamais, drogue, trafic. S’insérant, en la société, des hommes. Il aura, pleinement, su, grandir, tirer, les leçons, de sa vie antérieure, passer, à l’âge adulte. Avec, tous les efforts, de responsabilité, dignité, réalisation, de soi, que cela, implique, par essence. –


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

DE TOM, VINGT-DEUX ANS


 

 


> « Du Désamour de Soi à la Confiance » !


 

 

La première entrevue, avec Tom, commence, dans le trouble. Ce jeune homme travaille, alors, en secteur professionnel exigeant, en des conditions difficiles. Il se dit, fort insatisfait, de sa vie, de lui-même, d’autrui. Ses rapports humains sont conflictuels. Il manque, d’estime et, d’acceptation, de lui-même, de confiance, en soi, d’affirmation, de sa personne. Cela, le démotive, tout, lui pèse, le décourage. Stress, anxiété, émotivité, allergie cutanée, s’ensuivent. Tom connaît, une vie familiale houleuse.


 

 


> Il éprouve, une certaine complicité, avec sa mère, mais, lui reproche, amèrement, de ne pas le comprendre. Ni reconnaître, ses difficultés, souffrances. Privilégiant, son frère cadet, en tant, que « préféré et, petit dernier ». Il s’insurge fort, contre le fait, que ses parents accordent, à ses yeux, à celui-ci, bien plus, d’ « avantages », que lui-même, n’en avait, au même âge. D’autant plus, que le jeune homme accomplit, des études supérieures, plus longues, prestigieuses, que les siennes. Les parents sont en « conflit ouvert », la mère est en thérapie, le père caractériel, violent, inaffectif, en position, d’affreux tyranneau domestique.

 

Tom souffre, profondément, de son attitude incohérente, dure, à son égard. Il n’arrive pas, à s’affirmer, à son travail, s’y sent dominé et, manipulé. Ses partenaires affectives successives, ne lui conviennent guère. Ses relations sentimentales sont, toujours, écourtées, frustrantes. Ses amitiés, même, sont très décevantes et, chaotiques, comme, aléatoires. Un suivi cognitif, émotionnel, comportemental supportif, de « reconditionnement », de la confiance, en soi, est mené.

 

Peu à peu, Tom reprend assurance, espoir. Il s’installe, en un habitat autonome, loin, de chez ses parents, qu’il voit moins. Il apprend, à se distancier, d’eux, vivre, sa propre vie. Pour la première fois, il rencontre, une partenaire affective, en adéquation, avec ses attentes, noue, avec elle, une relation durable, harmonieuse. Il sait, bien mieux, se faire respecter, par tous, y compris, son père. Il change, d’établissement professionnel, s’y épanouit plus, s’affirme, s’impose, défend ses droits, avec mesure, mais, détermination, succès. Le voilà, assertif.

 

Tant, avec ses supérieurs, que ses collègues, de travail. En amitié, il devient fort capable, de discerner, les liens bénéfiques, des relations nocives. Il s’éloigne, des secondes, parvient, à cultiver, des rapports amicaux, plus sains, se faisant, bien mieux, reconnaître. Devenant, apte, à affirmer, ses choix, préférences, dire, ce qui le gêne, ce qu’il n’admet pas.

 

Tom subissait, sa vie, en silence, était passif, se laissait manipuler, n’osait pas, « être lui-même ». Il en était fort conscient et, finissait, par s’en vouloir, mais, demeurait, alors, emprisonné, en une logique infernale, de regrets. D’impuissance, de rage froide, silencieuse, contre, lui-même, autrui et, l’existence. Tom a appris, en suivi, à se dominer et, maîtriser, son propre destin. Il a compris, toute la toxicité, de ses pensées négatives, sur son subconscient et, sa vie.

 

Ce sont, ses croyances mentales hostiles, défavorables, pessimistes, défaitistes, qui « broyaient », son existence, ses modes relationnels. Il a fait l’effort, de mieux contrôler, ses cognitions, pour les « positiver », éprouver, des émotions, plus sereines. Pour pouvoir, enfin, mieux régir, ses actes, de façon, plus bénéfique. Il a amélioré, ses hygiène, discipline, de vie. Sommeil, alimentation, activité physique. Sa vie sociale s’est enrichie. Tom s’est débarrassé, de ses dépendances affectives viciées.

 

Il raisonne, éprouve et, vit, désormais, en adulte accompli et, debout, en plein acteur, maître, de lui-même et, de sa destinée. Il est, alors, passé, du statut, de « victime » résignée, vindicative, où, il s’enfermait, si complaisamment, à celui, de comptable, de ses pensées et, ressentis ou, agissements. Cela, a « révolutionné », sa vie, son être : « Je ne vais pas mieux, je ne suis plus, le même » ! Sa propre conclusion, heureuse, à la clôture, de son AndroJeunologie® !


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

D’AURÉLIEN, VINGT-QUATRE ANS


 

 


> « Du Désarroi Existentiel au Brio Personnel » !


 

 

Aurélien, vingt-quatre ans, a le sentiment, de très « mal, s’en sortir », dans la vie, d’être maladroit, malhabile, inefficace. De rater, ses relations, à autrui, comme, son rapport, avec lui-même. Il préfère, alors, se réfugier, dans la solitude, même pesante, pour éviter, d’être mal à l’aise, en société. Or, il pâtit, de cette « mise, en quarantaine », auto imposée.

 

Il se remet, donc, à voir, du monde, ce qui l’indispose, de nouveau, et, ainsi de suite, en un cercle vicieux, une impasse insolubles. Le jeune ne s’aime pas, ne s’accepte pas, ne croit pas, en lui et, s’indispose, lui-même. Étudiant, sans passion, à l’université, il a été, en échec scolaire, a du mal, à suivre, ses études, faute, de motivation, d’assurance, suffisantes. Ses relations familiales sont délicates. Le lien, au père, est plutôt, distant. Aurélien reproche, à sa mère, d’être trop protectrice, de ne pas lui faire, assez confiance.


 

 


> Son frère est jugé, par lui, comme, trop dominateur, intrusif et, voulant toujours, « le copier ». S’approprier, tout ce qui lui semble, le plus enviable, chez lui. Aurélien a l’impression, d’être étouffé, « parasité », par ce frère, omniprésent, omnipotent. Il ne se sent pas libre. Il a peu, d’amis, de loisirs ni, d’existence propre, pas, de vocation professionnelle, arrêtée. Ses relations, à l’autre sexe, sont frustrantes, fort inabouties, voire, inexistantes, faute, d’estime, de soi, d’esprit d’initiative, d’entreprise.

 

Il en souffre, car il aimerait, rencontrer, l’ « âme-sœur ». Aurélien a la certitude pénible que, quoi, qu’il fasse ou, non, tout, se retourne, contre lui, échoue, malgré, toute sa bonne volonté, ses tentatives. Or, il reconnaît, volontiers, ne pas avoir, de force mentale suffisante ni, de sens, de l’effort. Il craint fort, de devoir, se fatiguer, a une certaine paresse physique, psychique et, morale. Ce qui le décourage, d’avance.

 

Le garçon est négatif, pessimiste, défaitiste, anxieux, stressé et, émotif. Il se réfugie, en un « aquoibonisme » permanent, très dévastateur, stérile, qui le dessert, l’angoisse, l’inhibe, le rassure, aussi. Pour ne pas même, avoir, à se battre ! Aurélien accepte, intègre, l’idée, d’échec, d’inaction, de passivité craintive, par avance, pour ne pas affronter, la réalité, en face. Risquer, la déconvenue, par manque, de foi, en lui, convaincu, de son incapacité, indignité, sa déchéance fictives. Ce qui bloque, toute vraie perspective, de réussite durable, d’épanouissement ou, de progrès.

 

Ce jeune va alors, apprendre, à envisager, toute chose, de façon, bien plus favorable, constructive, bénéfique. Être plus objectif, réaliste, prendre du recul, faire la part, des données, relativiser, mieux supporter, les frustrations. Mieux s’accepter, s’aimer. Ses comportements seront donc, plus sûrs, affirmés, adaptés, efficaces. De « balourd », éternel perdant, passif, il se considérera, comme, une personne valable, telle, une autre. Un gagneur, ayant, « toutes ses chances », à condition, de les tenter, d’agir, y croire. Aurélien reste, moins seul, prend plus, plaisir, à se confronter, aux autres. Le lien, au sexe féminin, s’améliore. Il obtient, son diplôme.

 

Il ne vit plus, avec ses parents, ce qui le responsabilise. Il sait, désormais, prendre, toutes ses distances, avec son frère, ne plus subir, son ascendant. Il s’en démarque, vit, sa propre vie, de façon autonome, différenciée. Il trouve, un emploi provisoire. Puis, il sera capable, de vivre, à l’étranger, s’y adapter, y travailler, y rencontrer, une partenaire affective. Ce cas illustre, à merveille, que ce qui compte, avant tout, en l’existence, n’est ni soi, ni autrui, ni les réalités concrètes objectives, vécues. Or, la conception, la perception et, l’interprétation subjectives, souvent, déformées, imaginaires, dommageables, des choses.

 

Que l’on a tous, sur tout, à titre personnel, selon, l’excellente, célèbre théorie, d’Épictète. (Philosophe grec, 50-130). En corrigeant, ces préjugés cataclysmiques, Aurélien a pris conscience, de ses atouts, oublié, ses « tares » virtuelles. Été, bien plus indulgent, à son propre égard, humblement, pas à pas. Accepter, de « concourir », malgré, ses limites humaines, les échecs possibles et, les avanies potentielles, lui aura permis, de se décentrer, de lui-même. D’aller, vers autrui, de réussir, vivre, d’oser, sans trembler. Comprendre que, pour risquer fort, de l’emporter, il faut, alors, toujours, accepter, de risquer, d’échouer !


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

DE THIBAULT, DIX-SEPT ANS


 

 


> « De l’Effacement de Soi au Charisme » !


 

 

Thibault, lycéen, souffre, de grande timidité, d’inhibitions. Il ne croit pas, assez, en lui, ne s’aime pas. Il reste, en retrait, des autres adoJeunes, du même âge. Ces derniers, le rejettent, s’en prennent, à lui, lui faisant, ainsi, « payer, sa différence ». Il souffre, fort amèrement, de sa solitude, des brimades, avanies, moqueries, qu’il subit, sans cesse. Il aimerait, avoir une partenaire affective.

 

Or, n’y parvient pas, faute, d’assurance, d’aplomb, de réelle « fierté, de lui-même » et, ses aptitudes. N’étant pas, très à l’aise, en son quotidien. Tourmenté, par ses doutes, son marasme relationnel, avec, lui-même, autrui, la vie, le jeune, pourtant, fort capable, malgré, ses efforts, a une scolarité perturbée. Ses résultats académiques ne sont pas, à la hauteur, de ses potentialités. La question, de son orientation supérieure, se pose, alors.


 

 


> Thibault est enfermé, en une véritable « quadrature, du cercle », sans fin. Plus, il est en difficultés, avec lui-même, plus, il est en butte, à autrui. Moins, ses rapports, avec tous ses semblables, sont harmonieux, moins, il apprécie, sa personne. Échecs amicaux, amoureux, s’enchaînent. Le junior est seul, en blocage scolaire, désemparé. Il se déprécie, moralement et, physiquement.

 

Il oscille, d’une part, entre sa nette volonté, de rapprochement, avec ses congénères. Son désir complet, d’intégration, au groupe, des pairs, « être, comme eux », pour s’épanouir. Tout autant, une farouche préoccupation, de préserver, son indépendance, sa liberté, de mouvement, son quant-à-soi et, unicité, de l’autre. Ce dilemme est très fréquent, à l’adolescence, âge, d’émergence, de la « singularité propre », pour exister, en soi, par, soi-même. Ce qui contribue, à l’ « écarteler », entre des contraires.

 

M. Debesse parle, même, de « crise, d’originalité juvénile ». (M. Debesse, pédagogue français, 1903-1998, La Crise d’originalité juvénile, ouvrage, de psychologie, France, 1936). Il y a, aussi, atavismes, grégarismes, fusions, à l’égard, de la cohorte, d’appartenance néogénérationnelle. Cette fort délicate équation, se pose, de façon, cruciale, à Thibault, en quête, de sa psyché, de l’altérité. Le « salut » viendra, de son acceptation, de soi, d’autrui. Pour pacifier, tous ses liens, aux autres, Thibault va apprendre, à « faire la paix, avec lui-même » et, s’aimer, pour apprécier, ses alter ego. En tout premier lieu, la « mécanique », de son passé, est disséquée, pour comprendre, les origines, des blocages.

 

Famille, études, vie relationnelle, loisirs, culture, idéaux, passions, projets, valeurs, évolution « anamnestique ». Hygiène, discipline, de vie, gestion, de l’emploi, du temps, méthode, de travail scolaire, seront revues, « de fond, en comble ». Un suivi cognitif, émotionnel, comportemental, d’auto-restauration, de son image abîmée : estime, confiance, affirmation, de soi, est mené. Plus assuré, sur ses compétences lycéennes, les performances académiques, de l’adolescent, progressent. Il décroche, son bac, est admis, dans une école, de commerce, de bon niveau, sans prépa. Ses complexes psychophysiques, s’estompent, alors.

 

Il arrive, désormais, à ne plus s’intoxiquer, des souvenirs, si négatifs, douloureux, du passé. Il assume, assimile, ses déboires relationnels, antérieurs, comme périmés, révolus, concernant, un autre, lui-même, qui n’existe, guère plus. Thibault ne se considère plus, ipso facto, en tant, qu’inférieur, aux autres, défavorisé, « handicapé ». Or, comme leur égal, en dignité, qualités, atouts. Il apprend à optimiser, ses potentiels. De façon, plus optimiste, non plus, défaitiste, il ne part plus, battu, d’avance. Au lieu, de toujours, s’effacer, renoncer, il « tente, sa chance ». Ses croyances, devenant positives, il parvient, enfin, à ses fins. Il rencontre, l’ « amie, de cœur », tant, espérée.

 

Au lieu, de « fuir », ses camarades, il accepte, de se confronter, à eux. Il ne les ressent plus, comme menaces, dangers potentiels, pour lui, or, tels, vecteurs, d’enrichissement humain. Ses condisciples, ne perçoivent plus, ses peurs, mais, son ouverture, d’esprit, des plus rayonnantes. De répulsif, Thibault devient, attractif. Il n’est plus fui, maltraité. L’on recherche, sa compagnie, son amitié. De paria, il mue, en partenaire privilégié, populaire. Il est écouté, prend, des initiatives, de vrai leader charismatique, il organise, des loisirs communs. Il comprend, que l’on est, ce que l’on pense être, qu’autrui, traite, ses semblables, selon, les propres attitudes, de tous et, de chacun !


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

DE GONZAGUE, VINGT-TROIS ANS


 

 


> « De l’Enfermement sur Soi à la Délivrance » !


 

 

Gonzague a accompli, de fort bonnes études supérieures, courtes professionnalisées. Il est, en la vie active, mais, son quotidien est instable, à tous points de vue. Quoi, qu’il vive ou, fasse, il y a, toujours, au fond, de lui-même, un sentiment douloureux, de frustration, manque, déception, d’insatisfaction. Gonzague aura même, cette expression, terrible, de dépit : « La vie est comme, une tartine empoisonnée, dont il faudrait, absorber, une bouchée, chaque jour » ! La relation, avec les parents, est médiocre, les liens distendus, les échanges convenus.


 

 


> Il y a peu, de soutien, de compréhension réciproques. Le vécu sentimental, a été chaotique. Maintenant, que le jeune homme pense, avoir enfin, trouvé, la compagne, qu’il lui faut et, que la relation, semble durer, s’enraciner, tout, « s’écroule », de nouveau. Alors, qu’ils envisagent, de fonder une famille, il s’avère, que la partenaire affective, est stérile. Aucune descendance, ne sera possible, avec elle. Gonzague est déchiré, entre son amour, pour cette jeune femme et, son désir, viscéral et profond, d’avoir des enfants.

 

Donc, de la quitter, pour une autre ! Pour comble, de malheur, elle est dure, avec lui, ce qui le bouleverse, crée, de sempiternelles dissensions, pénibles. Quant à son vécu professionnel, Gonzague collectionne, les postes intérimaires, plus ou, moins, gratifiants, aimerait, créer, sa propre affaire. Son ennui existentiel ne fait, que croître. Afin, de « compenser », son marasme, sans fin, les pires « troubles, du comportement alcoolique », se multiplient. Crises éthyliques, vomissements répétés et, intenses phases, de gros regrets, de culpabilité et, dégoût, de soi. S’ensuivent, alors, de courtes phases ascétiques, de privation, de type autopunitif.

 

Il y a, des obsessions morales angoissantes, alors, que l’équilibre psychique général, est « correct ». De même, que son état global, de santé physique. Gonzague se sert, symboliquement, du plaisir narcissique, d’ « emplissage alcoolisé forcené », pour pallier, de façon, illusoire et fugace, son grand vide intérieur. L’aboutissement, de ce naufrage, si navrant, est une perte totale, d’estime, d’acceptation, de confiance, d’affirmation, de soi. Gonzague est fort encouragé, à voir, un-e addictologue, pour s’imposer, une discipline abstinente. En attendant, de pouvoir concrétiser, son rêve, de création d’entreprise, avec un ami proche, il trouve un emploi stable.

 

Il pacifie, son lien, avec ses parents, en faisant l’effort, d’aller, vers eux. Il comprend fort, que l’excès, d’attente, face, à autrui, est des plus préjudiciables, ne peut, qu’engendrer, malentendus, désaccords, comme déboires. Une saine distanciation, est opérée. Quant à son amie, de cœur, Gonzague décide, alors, de se donner, tout le temps, de la réflexion. Avant, que d’envisager, sa compagne persistant, en son animosité, de la quitter. Espérant, rencontrer, ultérieurement, une partenaire respectueuse, créer, une vie, de famille. L’addictologue l’aide, à bien maîtriser, ses compulsions alcooliques.

 

Le suivi androJeunologique achevé, il restera, alors, un « chemin, à parcourir ». Pour, définitivement, vaincre, la dépendance alcoolique, avec l’aide, du spécialiste. Pour sa part, Gonzague apprend, à se détendre et, se relaxer. Des exercices appropriés, l’y poussent, ainsi, que de la natation, qui lui fait, le plus grand bien. Face, aux épreuves et, aux déconvenues inévitables, le jeune homme s’était convaincu, du pire. Que ces coups, du sort, étaient, comme, autant, d’offenses, avanies, attentats injustes, perpétrés, à son égard. Ce qui ne faisait, qu’accroître, son « mal ».

 

Son malaise provenait, d’une croyance, en une fatalité, impuissance. Il comprend, qu’il n’en est, heureusement, rien. Que son destin, bonheur, succès, ne relèvent, que de lui-même. Qu’il est, des plus dangereux, de les faire dépendre, de facteurs étrangers, de remettre, son sort, entre des mains allogènes. Gonzague se voit, donc, inculquer, la façon, de mieux croire, en soi, se motiver, « s’accrocher », ne pas, se décourager.

 

En re/trouvant, l’amour, de lui-même, une paix intérieure, par un cheminement, de réel pardon, à soi et, autrui, il saura, que la seule reconnaissance, qui vaille, vient, de soi, seul. Que, ce qui importe, « n’est pas, ce que l’on a fait, de lui, mais, ce que, lui-même, fait, de ce, que l’on a fait, de lui ». (J.-P. Sartre, philosophe français, 1905-1980). À ce prix, les blessures passées seront, alors, des plus caduques, comme, « rédemptrices ». Le regard, des autres, sur lui-même, a fort changé, car, sa propre vision, de sa personne, a muté. De façon, bien plus favorable, positive, indulgente, en « réalisme tempéré ».


 

 


Théo pâtit, de son défaut, de confiance, en lui, sentiment, de culpabilité latente. Cela, provoque, replis, sur lui-même, phobie, de l’école, douleurs physiques, tics, de nervosité, échec, en ses études, de lycée. Tous ces « désagréments » se résorbent, peu à peu, les résultats scolaires se redressent. Le garçon se relaxe et, restaure, sa confiance, en lui, s’affirme et, s’apaise. Il est facilement, admis, en première. Son travail, de renforcement intérieur, d’environ, une année, a, pleinement, porté, ses fruits, pour entrer, en classe supérieure.

 

Lucas triple, sa terminale, suite, à ses deux échecs consécutifs, au bac, se drogue. Il s’enlise, en son immobilisme, malgré, un long suivi précédent, raté et inopérant, avec une pédopsychiatre. Il est, donc, complètement, démotivé, découragé, démoralisé. Son fatalisme, mode de vie, travail désordonné, lui nuisent. Il change complètement, sa façon d’être, d’agir, de penser, travailler, obtient, enfin, son examen, arrête, le cannabis. La pratique, de restructuration interne drastique, entamée, a, très largement, payé, en quelques mois. De bonnes études supérieures, ont pu, ensuite, être menées.


 

 


> Le premier cas, est un suivi d’AndroJeunologie® cognitive, émotionnelle et, comportementale, de nature supportive. Le second, un androJeunoConseil®, de type motivationnel. En ces deux suivis, le travail accompli, avec ces jeunes, leur aguerrissement conscient, à se réformer, réagir, agir, proagir, interagir, influent, avec profit, sur leur subconscient. Ils anéantissent, leur « mauvais sort » conjoncturel, comme, structurel. Ces changements psychocomportementaux positifs, ont, alors, été rendus possibles, chez des juniors, en ardente attente, de progrès, de recherche, de sens, de fort cheminement libératoire.


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

DE THÉO, SEIZE ANS


 

 


> « De l’Inquiétude à l’Espoir » !


 

 

Théo a, donc, seize ans. Il est, au lycée, en classe, de seconde. Il est en difficulté scolaire et, personnelle, du fait, qu’il ne croit ni, en sa personne ni, en ses compétences, ses performances ou, capacités. De façon, connexe, l’adolescent souffre, de tics, de nervosité, importants, douleurs, de somatisation. Dus, à sa phobie, des études, ses angoisses, à l’idée, de se rendre, à l’école, d’y subir, des examens, contrôles. Théo travaille, de façon, satisfaisante, or, du fait, de son manque, de confiance, en lui, perd, tous ses moyens, lors, des épreuves. Ses résultats ne sont pas, à la hauteur, de ses efforts. Ce qui le désole, le décourage.


 

 


> Ses parents se sont séparés, quand, il était enfant. De nombreuses années, durant, le jeune garçon, en a conservé, un fort sentiment, de culpabilité, très douloureux, convaincu, d’être responsable, du fiasco, du couple parental. Il a été traumatisé, d’avoir été, brutalement, séparé, de son père, en difficultés psychiques, pour aller vivre, chez sa mère, son lieu, de résidence, depuis lors. La situation, de Théo, est très typique, de ce qui est, au cœur, du manque, d’estime-acceptation, de confiance, d’affirmation, de soi. Un doute ravageur profond, sur ses aptitudes, savoirs, savoir-faire, faire savoir, savoir être. Qui le taraude, fort.

 

Ce qui achève, de convaincre, ce jeune, tourmenté, alarmé, qu’il est, un incapable, ne s’en sortira, jamais. Autodévalorisation, autoapitoiement, sentiment, d’indignité et, de déchéance, fatalité, imparables, implacables, constituent, le sombre tableau, vécu, par ce junior. En dépit, de toute son intelligence, ses efforts, atouts. Théo s’épuise, en lourds sacrifices vains, de travail acharné, sans pouvoir, parvenir, à ses fins, faute, de force mentale intérieure. Seule, susceptible, de lui permettre, de vaincre, ses interrogations, appréhensions paralysantes, comme, contre-productives.

 

Un suivi d’AndroJeunologie® cognitive, émotionnelle, comportementale, de nature supportive, débute. Pour réduire, ses pensées négatives, démobilisatrices et, déstabilisantes. Le premier progrès spectaculaire, observé, au fil, du temps, concerne, la disparition, progressive et, totale, des tics nerveux. Des souffrances psychosomatiques et, d’angoisse éducative. Le jeune Théo, au bout, de quelques mois, est, enfin, parvenu, à « oser, regarder, son conseiller, dans les yeux » ! La confiance, en soi, venant, peu à peu, l’adolescent acquiert, de l’assurance, s’affirme. Il prend conscience, que ses compétences, d’élève, sont, intégralement, intactes, fortes et, réelles.

 

Qu’il n’y a, donc, nul lieu, de considérer, le lycée, tel, espace dangereux, menaçant, source, de pénibilité et, peurs. De même, le travail d’études, comme, menant, à l’échec, au lieu, de la réussite. Le garçon apprend, à reconsidérer, sa façon, d’envisager, la « chose scolaire ». De cause, de détresse, celle-ci, devient, gratifiante, prometteuse.

 

Face, à sa situation propre, Théo va être capable de susciter, en lui, des pensées, bien plus positives, objectives, constructives, favorables, optimistes. Cela, créera, des émotions régulées, maîtrisées, agréables, rassurantes. Ses attitudes, comportements, actes, en seront, plus adaptés, pertinents, cohérents, efficaces. Négativité, pessimisme, défaitisme et, mal-être, s’estompent. Le travail, de classe, s’intensifie et, devient, plus porteur.

 

Étant, plus serein, Théo ne perd plus, l’essentiel, du bénéfice, de ses apprentissages. Il parvient, à conserver, son empire, sur lui-même, lors, des contrôles, mieux réussir. Les notes deviennent, fort satisfaisantes. L’admission, au lycée, en première, est obtenue. Théo sait, désormais, se relaxer, conserver, son calme. Il achève, son suivi androJeunologique, très fier, d’avoir été capable, de se dépasser.

 

De devenir, un « autre lui-même ». La leçon retenue est, que le rejet, de soi, ne résulte, jamais, que d’un simple préjugé. Ce dernier, fait croire, en un démérite, une faille, un défaut, de valeur, imaginaires. Cela, suscite, les pires calamités : comme, faire retraite, au désert, bien équipé, raisonnant, agissant, comme, s’il n’en était rien ! Annihiler, « dans l’œuf », cette délétère méprise, est le début, du « salut » !


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

DE LUCAS, VINGT ANS


 

 


> « Du Laisser-Aller à la Reconquête de Soi » !


 

 

Lucas, vingt ans, triple, comme, déjà dit, sa terminale. Il est, totalement, découragé, désabusé et, démotivé. Son travail reste, très limité, insuffisant, calamiteux. Lucas n’a aucune, méthode scolaire valable. Il se laisse aller, se réfugie, dans les loisirs, plaisirs, désirs, envies, de toutes sortes. Il est complètement, dépendant, du cannabis, à fort hautes doses, très fréquemment.

 

L’entente, avec son père, est exécrable. Ce dernier est inaffectif, incompréhensif, autoritaire, cassant, distant. Le jeune se comporte très mal, avec sa mère. Les parents sont désunis. L’hygiène, la discipline, de vie, sont lamentables. Lucas travaille, au lit, s’y endort, régulièrement. La mère est déprimée, face, à cette réalité. Le garçon est devenu incontrôlable, insaisissable, imprévisible.


 

 


> La situation est hors, de maîtrise, à quelques mois, du bac, qui est, de nouveau, compromis. Lucas parle, de mourir, en cas, d’échec, refusant, par avance, ce qui se comprend, le quadruplement, de sa terminale. Défaitiste, pessimiste, négatif, stressé, anxieux, Il n’a plus, ni estime, ni confiance, ni affirmation, de lui-même. Il se réfugie, en l’excès, de compensation : hédonisme, abus, dérèglements, méchanceté, avec sa mère, traitée, avec colère, mépris et, grossièreté. Ce jeune homme est fragilisé, par une enfance, adolescence difficiles. Un lien, au père, raté, allant, jusqu’à la bagarre physique, traumatisante. Celui-ci, n’a jamais, témoigné, de considération, à son fils, ne s’en est pas, davantage, préoccupé ni, occupé.

 

De niveau intellectuel, condition sociale, élevés, son affection, pour Lucas, est conditionnelle. Exclusivement, liée, aux résultats scolaires, du fils, qui n’existe, à ses yeux, qu’en tant, qu’élève. Au lieu, de soutenir, son enfant, il l’accable, de reproches, d’exigences, l’agonit, même, d’injures, d’imprécations. L’assure, de sa « malédiction ». Alors, le garçon se démobilise, désinvestit, en rajoute, dans l’inertie apathique, les pires provocations. Il éprouve, un très cruel sentiment, d’indignité, de déchéance et, s’avilit, encore, un peu plus. Le jeune, si livré, à lui-même, désespéré, accepte, un suivi de remaniement complet, visant, à réorganiser, sa vie.

 

Acquérir, une bonne rigueur existentielle, stricte méthodologie, de travail. Un renforcement interne, visant, la motivation, la confiance, en soi, autrui, la vie. Lucas commence, par apprendre, « par cœur », le plein sens, de l’effort. La ténacité, persévérance, la patience, le sacrifice, la domination, des tentations, frustrations et, découragements. Il sait, désormais, comment, travailler, régulièrement, au quotidien. En de fort bonnes conditions, d’organisation matérielle, progressivement, en constance, efficacité, brio. Il reprend confiance, en lui, ses capacités, performances. Le cannabis est diminué, puis, arrêté.

 

L’hygiène, la discipline, de vie, sont revues, de fond en comble et, assainies. L’état d’esprit devient serein, apaisé, constructif, favorable. Une structuration mentale, de vie, satisfaisante, se met en place. La situation se stabilise, les pensées s’amendent, les émotions se régulent, les comportements gagnent, en pertinence. Lucidité et réalisme, relativisation et distanciation, l’emportent.

 

Lucas influe, positivement, sur son subconscient, par des cognitions, d’espoir, ce qui génère, de bien meilleurs résultats. Il devient capable, d’opérer, toute la différence, entre ses mentalisations erronées, subjectives, si néfastes et, la réalité objective, de sa situation. Certes, mauvaise, or, modifiable, selon, sa volonté, non pas, irréversible, selon, sa croyance, cause, de son marasme et, sa déprime.

 

La métamorphose post-suivi est payante : le baccalauréat est, enfin, obtenu, les études supérieures souhaitées, débutent, en de bonnes conditions. Le rapport, fils-parents, se normalise. Se sentant, accepté, aimé, aidé, compris, Lucas a changé, va mieux, optimise, ses potentiels. Sa pédopsychiatre précédente, se « contentait », de lui faire dire, « ce qui lui passait, par la tête », en un quart d’heure, d’entretien !

 

En tout et, pour tout ! Indifférente, au garçon, elle a fort échoué, en sa mission. Sans bienveillance, empathie, congruence, il n’y a aucune possibilité, de « sauver », le jeune, de son « malheur », le faire progresser. Que tous professionnels, dits, de la relation d’aide, méditent, ardemment, là-dessus, en toute pleine conscience, introspection ! Car, il y a, encore, « beaucoup, à dire et, faire » !


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

DE VALENTIN, DIX-NEUF ANS


 

 


> « De la Révolte Anticonformiste à l’Apaisement » !


 

 

Valentin se qualifie, lui-même, de véritable, « casse-cou » invétéré. Depuis, son enfance, il ne fréquente, que des « durs », s’habille, comme eux et, prise fort, les activités physiques et, sportives, comme, la pratique, de la moto. Il fait même, partie, de bandes, de « marginaux ». Ses parents sont séparés, ses rapports, avec eux, orageux.

 

Valentin reproche, à son père, de ne pas s’être occupé, de lui, comme, il l’aurait, à ses yeux, fallu. À sa mère, d’être excessive, de ne pas, le comprendre, le respecter. Il fait des études supérieures, professionnalisées, qui se passent, plutôt mal. Du fait, de son refus, de l’autorité, des contraintes, consignes strictes, étant donné, la nature, de sa formation, du métier, concernés. L’ensemble, est très exigeant et, lui pèse.


 

 


> Sa relation, aux enseignants, comme, à l’administration scolaire, est très conflictuelle, toujours, oppositionnelle. De même, ses liens affectifs sont chaotiques, basés, sur le rapport, de force. Valentin est d’un « bon milieu social », vit, dans un quartier parisien, fort résidentiel. Or, il se complaît, à ne côtoyer, que des jeunes, de milieu « défavorisé », tout particulièrement, issus, de l’immigration. Certaines, de ses fréquentations « douteuses », lui ont même, valu, de subir, des ennuis certains, ce qui a constitué, de gros traumatismes. Il aime, à émailler, ses propos, de locutions viriles argotiques et, populaires, souvent, très crues.

 

Tout, en ses attitudes, propos, choix et, goûts, témoigne, d’une profonde révolte, contre, lui-même, autrui, la société, l’ordre établi, la hiérarchie… Autant, de révélateurs, d’un trop grand manque d’amour exprimé, de reconnaissance, à son encontre et, en particulier, de ses parents. D’une importante détresse, d’un défaut patent, de confiance, en lui. Valentin sait faire montre, de gentillesse, compassion, générosité, à l’égard, des autres, les plus déshérités, notamment. Sa vocation, le destine, donc, à être, à l’écoute, au service, d’autrui, de ceux, qui ont, le plus besoin, que l’on s’occupe, au mieux, d’eux !

 

Ce qui découle, de son passé, très dur, solitaire. Un travail, de « consolidation personnelle », débute. Peu à peu, s’affermissant, prenant du recul, Valentin s’apaise. Passe, de la colère, la suspicion permanentes, quasi « paranoïdes », contre tous, à plus, de relativisation, comme, d’indulgence, de bienveillance. Blessé, il comprend, que tout, n’est pas dirigé, « contre » lui, pour lui nuire, de façon, intentionnelle, abuser, de lui, ni, lui manquer, de respect. Il apprend, la tolérance, patience, l’effort, la ténacité, maîtrise, de lui-même. Il se domine mieux, sait, bien plus, dialoguer, faire les concessions, qui s’imposent, en son intérêt, même.

 

Tout, n’est plus prétexte, à « embrasements ». Le lien, avec ses parents, se resserre, il rencontre, alors, une partenaire affective, avec laquelle, la relation est plus mûrie, qu’auparavant. Ses études se déroulent, bien mieux, avec réussite. Inquiétudes, doutes, ressentiments, s’estompent. Valentin sait mieux, se comprendre, admettre, les autres, écouter, gérer, ses frustrations, peurs, colères, manques. L’avenir lui apparaît, plus riant, riche, de promesses, possibilités, plutôt, que lourd, de menaces potentielles, tant, fantasmées, redoutées. Apaisement, soulagement, allègement, arrivent, de la façon, la plus bénéfique.

 

Ses pairs, notamment, de même sexe, ne sont plus appréhendés, comme, de terribles rivaux dangereux, « à abattre ». Ne se sentant plus, remis en cause ni, contesté ou, agressé, à tout propos, il devient, plus serein et, calme. Car, plus sûr, de ses capacités, talents, potentiels et, performances. Son ton, se radoucit, le choix, des mots, est plus policé. Valentin était survolté, par sentiment, d’iniquité, de rejet et, malheur fatal.

 

Ne s’aimant pas, il s’était convaincu, de ne pas l’être, d’en être même, incapable, de la part, des autres, d’où, son désespoir, si rageur. L’AndroJeunologie® lui ayant, fait perdre, ce préjugé, si douloureux, il a pu, se réconcilier, avec, lui-même, s’accepter, ainsi, qu’autrui, tout en progressant. Il se pensait, « indigne et, déchu », son suivi androJeunologique l’a rendu, pour toujours et, à tout jamais, au goût, de vivre, croire, pardonner, d’aimer, espérer !


 

 


– ANDROJEUNOCONSEIL®

DE NOË, DIX-SEPT ANS


 

 


> « Du Rejet de Soi à la Rage de Vivre » !


 

 

Noë, lycéen, arrive, maussade et, fermé. Il est, a priori, d’autant plus, sceptique et, hostile, à l’idée, d’être aidé, que son précédent, suivi thérapeutique, a été catastrophique. Aucune amélioration, en six mois, mais, une « aggravation » même, de son état. Il s’est vu, régulièrement, « intimer », l’impératif, de « chercher, lui-même, en son for interne, la solution », en face-à-face, avec, un praticien mutique. Cette absurdité, n’a fait, que le plonger, encore, un peu plus, en un abîme, de détresse, perplexité, d’angoisse.


 

 


> La relation, avec la mère, est exécrable. Cette dernière, bien trop présente, maternante, veut, « trop bien faire », exaspère, son fils. Noë s’autodévalorise, ne croit plus, en lui. Il vit, en la nostalgie, d’un « avant » : sorte, d’ « âge d’or », trop idéalisé, en lequel, tout, semblait tourner, sur le mode, le plus harmonieux. Il ressent, douloureusement, le passé, depuis, cette césure, si terrible, le présent, l’avenir. Cet « après » traumatique, est fait, de repli, sur soi, de défiance, mal-être, crises, de rage, culpabilité, contre, lui-même, autrui.

 

Sentiment, d’être victime, toujours, maltraité, berné, incompris et, incapable, de mieux faire, regrets, du passé, de ne pas être, à la hauteur, des enjeux… Fermeture totale, face, à un avenir, réputé perdu, par avance. Certitude, d’une fatalité implacable, un sort mauvais, qui s’acharne. Fortes somatisations, tics, de nervosité, importants. Il y eut, de graves difficultés relationnelles, au début, des études, de lycée, avec, certains camarades, ayant entraîné, des ruptures, très pénibles. Un sentiment, de trahison terrible, d’indignité, pour avoir, « démérité », la confiance, l’amitié.

 

Sur le mode autoprotecteur, Noë a, alors, « fait le vide », autour, de lui, s’est enfermé, en une solitude glaciale, un « splendide isolement ». Cela, le rassure, l’angoisse, tout autant. Mécontent, de lui-même, d’autrui, il enrage, « ronge, son frein » et, s’étrangle, en silence et, colère, comme, rancœur. Ces inimitiés adolescentes masculines, n’auront été, que les éléments révélateurs, de troubles intimes. Bien plus anciens, profonds, ravageurs, liés, aux ratés, du lien, mère-fils. À des « fêlures, failles » personnelles, un manque total, d’acceptation, de soi.

 

Générateur, d’un déficit, de confiance, en autrui, issu, d’un excès, de crédulité, antérieur. Il s’agit, de « déconstruire », les schémas, si nocifs, du passé, pour rebâtir, sur de saines bases. Noë va apprendre à relativiser, l’antériorité, s’en distancier, la « métaboliser » et, désidéaliser. Il comprend, que ni, lui ni, même, autrui, ne portent, exclusivement, totalement, tout le poids, des responsabilités, de ce qui s’est tramé.

 

Il admet, que l’excès, d’ouverture, tout comme, le rejet, à l’égard, d’autrui, ne peuvent, mener, qu’à la pleine, souffrance doloriste. Que l’épanouissement repose, sur l’équilibre relationnel, à soi et, autrui. Peu à peu, la dualité, mère-fils, se pacifie. Il intègre, le fait, que sa « vraie vie », de jeune, est « ailleurs », qu’au seul, foyer familial. Qu’à son âge, les liens, avec ses semblables, l’emportent, désormais, sur ceux, de la famille. Que sa mère n’est « omnipotente », qu’autant, que Noë, le veuille bien !

 

Une certaine conception enfantine, des choses, s’estompe, au profit, d’une vision, plus mûrie. Une rupture sentimentale ancienne, subie, très durement, jamais, acceptée, est « revisitée », plus sereinement, puis, définitivement, « classée ». Le rapport, aux filles, s’en trouve, « détoxifié ». Un lien dépassionné, s’instaure même, avec, l’une, d’elles. De nouvelles amitiés apaisées, prometteuses, se forment. Noë devient capable, de « se décentrer », de lui-même, pour mieux renouer, avec l’altérité.

 

Il en est, plus calme, moins « éruptif ». Son orientation, d’études, d’emploi, se précise. L’AndroJeunologie® a contribué, à affermir, sa volonté, d’aller, de l’avant, de s’affirmer, de façon, réfléchie, équilibrée, d’accepter, autrui, en sa réalité, sans illusions. Ne plus s’encombrer, de pensées inutiles et, négatives, torturées, compliquées, pour agir, en toute liberté, paix, simplicité. Se réaliser, en plénitude, confiance, force, plutôt, que « se regarder, mal vivre », avec tant, de dépit rageur !


 

 


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