> Confiance En Vous


 

 


 

           


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VOS PROGRAMME & SUIVI

DE VOTRE CONFIANCE EN VOUS


 

 


Cognitifs, Émotionnels, Comportementaux


 

 

> Nous vous présentons, ci-dessous, le programme complet, de votre suivi androJeunologique, de la confiance en soi. Expertise, toute particulière, de l’AndroJeunoConseil®.

 

> Puis, nous reproduisons, l’exacte retranscription, d’une AndroJeunologie®, intégrale, écrite. De l’estime, la confiance, l’affirmation de soi androJuvéniles. En ses éléments anonymes essentiels, d’un garçon lycéen, de seize, ans. Son prénom a été modifié et, les détails, trop personnels et, caractéristiques, ont été omis.

 

> Pour terminer, figurent des travaux connexes à la confiance en soi. Au travers de thématiques liées au défaut d’assurance. Comme la méfiance, la vulnérabilité, l’échec, le manque de sérénité, le pessimisme, le stress, l’insécurité, la culpabilité, la tristesse… Arthur, vingt ans, étudiant, a effectué ce travail, en suivi androJeunologique.


 

 


[ VOTRE PROGRAMME DANDROJEUNOLOGIE® ]

DE LA CONFIANCE EN VOUS REPOSE SUR VOS :


 

 


> Exemples de réalités

Par vos cas-types vécus


 

 


> Analyses des situations

Par vos explications factuelles


 

 


> Solutions amélioratives

Par vos issues favorables


 

 


[ IL COMPORTE POUR VOUS : ]


 

 


> Les fondamentaux

De la défiance et, confiance en vous


 

& Les syndromes et, remèdes

Pour vous, jeune homme


 

 


> Votre problème, garçon junior :

Les jugements erronés sur vous et

La défiance de vous-même


 

& Votre solution de jeune masculin :

Votre lucidité favorable sur vous et

La foi en vous-même


 

 


> Votre aboutissement fructueux

AndroJuvénile :


 

& Des outils décisifs et, efficaces

Pour avoir confiance en vous


 

 


I


 

 

– LES FONDAMENTAUX –

DE LA DÉFIANCE & CONFIANCE EN VOUS


 


– VOS SYNDROMES & REMÈDES –

DE JEUNE HOMME


 

 


A- Les Implications Dommageables

De Votre Défaut de Foi en Vous


 


& Les Bienfaits

De Votre Bonne Confiance en Vous


 

 


1- Vos paralysies, évitements, insuccès


 


& Comment, être en mesure

D’affronter votre vie


 

> En vous confrontant et, relevant, tous ses défis


 

 


2- Vos ressentis néfastes


 


& Comment, rééquilibrer paisiblement

Vos émotions


 

> En vous concentrant, sur vos sentiments productifs


 

 


3- Votre fausse conception, de vous-même


 


& Comment, vous valoriser

À vos propres yeux


 

> En vous pénétrant, de votre dignité éminente propre


 

 


4- Votre déficit d’affirmation de vous


 


& Comment, vous imposer au monde


 

> En démontrant et, mettant en œuvre votre excellence


 

 


5- Les méfaits généralisés

De votre déficit d’assurance


 


& Comment, régénérer

Toute votre existence


 

> Par votre rayonnement individuel spécifique


 

 


B- Vos Réalités Néfastes

Du Doute de Vous-Même


 


& Les Attraits de Vos Convictions Constructives

Quant à Votre Personne AndroJuvénile


 

 


1- Les ratés, de vos estime, confiance

affirmation de vous défaillantes


 


& Comment croire en votre valeur, vos mérites

Votre apport aux autres


 

> En entretenant, votre monde intérieur, des plus riches


 

 


2- Vous différencier, jeune, vous-même

De vos actions et résultats


 


& Comment, apprécier, votre être positif

Quels que soient vos avoir, faire, paraître, même négatifs


 

> En équilibrant, les choses de votre Esprit et, matérielles


 

 


Votre Évaluation Chiffrée

Par Vous-Même, Jeune Suivi


 

De votre niveau réel, de confiance en vous

Selon, vos divers éléments d’appréciation

Quantifiés, par vous-même


 

 


C- Les Ravages Psychosomatiques

De Votre Inadéquate Confiance en Vous


 


& Les Chances Complémentaires

De Votre Humilité et, de Votre Assurance

En Toute Simplicité et, Solidité Intérieure


 

 


1- Les inconvénients

De ne pas assez croire en vous


 


& Comment, avoir les avantages

De la bonne foi en vous


 

> En restant stoïque, confiant et, positif

Face à vos difficultés, épreuves, incertitudes


 

 


2- Les mécomptes

De la surestimation de vous-même


 


& Comment, vous équilibrer, épanouir

Sans auto abaissements ni arrogance


 

> En juste évaluation, de vous-même


 

 


II


 

 

– VOTRE PROBLÈME DE GARÇON JUNIOR – :


 


– VOS JUGEMENTS ERRONÉS –

SUR VOUS & LA DÉFIANCE DE VOUS-MÊME


 

 


– VOTRE SOLUTION –

DE JEUNE MASCULIN :


 

 


– VOTRE LUCIDITÉ FAVORABLE –

SUR VOUS & LA FOI EN VOUS-MÊME


 

 


A- La Conviction de Votre Inaptitude


 


& Vous Forger un Mental Assuré Renforcé


 

 


1- Vous croire incapable et impuissant


 

 


2- Comment, prendre conscience

De vos capacités


 

> En les suscitant, entretenant, faisant valoir, en conviction


 

 


B- Votre Dépendance

Aux Assentiments d’Autrui


 


& Votre Pleine Indépendance d’Esprit

De Jeune Homme


 

 


1- Vous penser obligé, d’être bien vu


 

 


2- Comment, vous suffire positivement

À vous-même


 

> En étant assuré, de vos qualités intrinsèques

Sans préoccupation & besoin, d’aval extérieur


 

 


C- Votre Sentiment d’Indignité


 


& Votre Capacité de Contentement de Vous


 

 


1- Être persuadé, de votre déchéance


 

 


2- Comment, vous convaincre

De votre légitimité


 


& Faire valoir vos atouts


 

> En vous recentrant, sur vos seuls objectifs

Et, votre construction existentiels propres


 

 


D- Votre Obsession Perfectionniste

De Jeune Masculin


 


& Votre Acceptation

De Vos Justes Limites


 

 


1- Toujours, être trop maximaliste

Par peur d’être insuffisant


 

 


2- Comment, vous satisfaire

De vous / vos résultats


 

> Sans en faire trop ou, trop peu

Sans excès, de modestie, ni de prétention


 

 


E- Votre Difficulté à Agir


 


& Votre Possibilité de Vous Projeter

Et Réaliser Vers l’Avant


 

 


1- La crainte de vous impliquer

& Sortir, de votre zone de confort


 

 


2- Comment, oser et

Risquer d’entreprendre


 

> En audace calculée et, détermination réaliste


 

 


F- Votre Inquiétude Diffuse


 


& Votre Aptitude à la Sérénité

De Jeune Garçon


 

 


1- Votre anxiété

Comme une seconde nature


 

 


2- Comment, acquérir

Votre solide tranquillité intérieure


 

> En paix & égalité d’âme, sans peur ni reproche


 

 


G- Votre Méfiance Généralisée


 


& Pouvoir Être à l’Aise

Et en Confiance, en Société


 

 


1- Vous surprotéger

Par exagération des dangers


 

 


2- Comment, vous sentir

En sécurité & confiance


 

> Par votre persuasion du meilleur, jamais, du pire


 

 


III


 

 

– VOTRE ABOUTISSEMENT FRUCTUEUX –

ANDROJUVÉNILE :


 


– DES OUTILS DÉCISIFS & EFFICACES –

POUR AVOIR CONFIANCE EN VOUS


 

 


A- Votre Réconciliation, Avec Vous


 


& Acceptation de Vous-Même


 

 


1- Une plus juste appréciation de vous


 


& Comment, vous positionner

Plus bénéfiquement


 

> En changeant, positivement, votre propre regard sur vous

Donc, celui des autres, à votre égard personnel


 

 


2- Pacifier, votre image de vous-même


 


& Comment, renforcer

Votre amour propre


 

> En vous acceptant, vous-même

De façon inconditionnelle et, indéfectible


 

 


3- Être impartial, avec vous


 


& Comment éviter les a priori, sur vous-même

Sans sous-estimation ni, surestimation de vous


 

> En étant à l’aise, avec vous-même, lucide, équilibré

Conscient, de vos failles et, avantages avérés


 

 


4- Remplacer vos fausses idées

Par plus de réalisme


 


& Comment, être objectif et, impartial

Quant à vous, autrui, aux choses, événements


 

> En relativisant l’essentiel, en positif, neutre, ou négatif


 

 


5- Oser, sans vous mettre sous pression


 


& Comment avoir le bon niveau d’exigences

Être en mesure, de bien bâtir votre vie


 

> En avançant, sans rien attendre de l’existence

Or, en ayant et réalisant, vos projets majeurs


 

 


B- Votre Action Active Tous Azimuts

De Jeune Homme


 

 


1- Croire en vous


 


& Comment, être convaincu de ce que vous êtes et, valez

Par votre forte culture, de vos idéaux personnels


 

> En les magnifiant et, faisant rayonner, au maximum


 

 


2- Choisir et vous lancer


 


& Comment opter et déterminer, ce que vous voulez

Par force de caractère et, résolution


 

> En vous y tenant et, parvenant, jusqu’au bout


 

 


3- Parier, sur votre succès


 


& Comment, dépasser vos insuccès

En privilégiant et, boostant vos points forts


 

> Oubliant, vos aléas, en la seule atteinte de vos buts

Réalisés, coûte que coûte


 

 


4- Comment, oser, en toute sérénité


 


& Comment, parvenir à vos fins


 

> En suscitant, vos climat et, conditions propices


 

 


5- Réussir, par votre satisfaction

Et, fierté de vous


 


& Comment, avoir une vie

Réussie et, heureuse


 

> En mettant, toutes les chances, de votre côté


 

 


C- Assumer ce que Vous Êtes


 

 


1- Dire, ce qui vous est nécessaire


 


& Comment, vous garantir

De ce qui vous est capital


 

> En vous battant, avec assurance, pour les obtenir


 

 


2- Signifier, ce qui vous importune


 


& Comment, aplanir vos difficultés


 

> En luttant, contre toute adversité


 

 


3- Refuser et, argumenter


 


& Comment, défendre

Vos droits et, intérêts


 

> En vous protégeant, de tout ce qui y contrevient


 

 


4- Faire face, à vos oppositions


 


& Comment, bien vous défendre des attaques


 

> Par votre argumentation solide et, en étant inébranlable


 

 


5- Vivre votre spécificité, en liberté


 


& Comment vous imposer, ès qualité, en société


 

> Par le témoignage vivant, de votre unicité.


 

 


[ Votre Protocole dAndroJeunoConseil® ]

De la Confiance en Vous Institue, Pour Vous :


 

 


> Votre complète « remise à plat »

AndroJuvénile existentielle


 

En estime de vous

Votre conditionnement initial


 

 


> Votre décisif remaniement

« Re/fondateur, de vous »

Pour vous, junior masculin


 

En confiance en vous

Vos schémas toxiques


 

 


> Un dénouement, des plus féconds

Pour vous, jeune garçon


 

En affirmation de vous

Vos outils amélioratifs


 

 


[ VOTRE COMPLÈTE « REMISE À PLAT » ]

ANDROJEUNOLOGIQUE


 

 


Cognitive Émotionnelle, Comportementale

De l’Estime de Vous-Même, de Jeune Masculin


 

 


I


 

 

– Votre Conditionnement Initial –


 

 

Il s’agit, de s’éloigner, au maximum, des schémas existentiels médiocres, toxiques, délétères. Qui sont, de façon, si dommageable, bien légère, habituellement, proposés, de nos jours, en Occident, par des adultes, si irresponsables, à vous, jeune.

 

Votre AndroJeunoConseil® promeut, cet idéal, d’exemplarité, constructive et enrichissante, pour que vous, junior, soyez, aussi, une « belle et noble âme ». Au-delà, des autres aspects et, contingences, plus prosaïques, de votre personne et, vie. Nous reproduisons, ici, l’essentiel, d’un suivi androJeunologique, de renforcement écrit, cognitif, émotionnel et, comportemental. D’estime, de confiance et, d’affirmation, de soi. Eudes, seize ans, lycéen, travaille, sur son assurance défaillante.


 

 


> Il livrera, à ce sujet, sa propre vision, des choses, à partir, de son vécu personnel, fort concret. À toute occurrence, évoquée, les pensées, émotions, comportements, effets liés, leur causalité, sont précisés, analysés, par lui-même. Puis, des mises, en situation, tangibles, sont élaborées, pour s’entraîner, progresser. À partir, des exemples, événements, qu’il donne.

 

Des pistes, d’avancées, et, des solutions, de terrain, sont, ensuite, proposées, envisagées. Le tout, étant validé, par le jeune. Nous restituons, les propos oraux et, écrits, d’Eudes, re/mis, en forme scripturale, tels, que tenus, par lui-même, en entretiens, de suivi. Sous couvert, d’anonymat, de suppression, des données, trop personnelles, caractéristiques, du junior, cité, de prénom, d’emprunt. Règle, de toute présentation, de cas réel, en nos propos.


 

 


« En vacances, quand, il s’agit, de choisir, une activité, j’hésite tant, qu’il est, finalement, trop tard, pour l’entreprendre, faute, de temps, disponible, restant. J’en éprouve, alors, de très cuisants remords et, regrets.

 

> J’ai peur, de faire, un mauvais choix, de me tromper, ensuite, de regretter, car je doute, de mes compétences. Je crains, de ne pas être, à la hauteur. Je ne suis pas sûr, de moi. Je me tourmente fort, en me demandant, toujours, si c’est, « le bon choix » ou, pas.

 

o Me fier à ma conscience, mes certitudes, mes souhaits les plus profonds, me garantit mon intime conviction. C’est-à-dire, toujours prendre les bonnes décisions, faire les bons choix, opter pour le meilleur pour moi. Sans grands risques de me tromper !


 

 

Souvent, notamment, en dehors, du champ scolaire, j’ai tendance, à me « laisser faire », à ne rien dire, si je suis désavantagé ou, maltraité, à tort.

 

> Je développe, un excès, de gentillesse, de bons sentiments, plutôt, que de purs rapports de force, par besoin, d’être reconnu. J’ai des doutes, sur mes capacités, d’être intégré, accepté, non rejeté. Également, par mes difficultés, à être à l’aise.

 

o L’objectif n’est pas d’être bon et de complaire, à tout prix, mais d’être sincère et authentique. Je cesse de m’obséder de mon image auprès des autres et de l’opinion, réelle ou supposée, qu’ils peuvent avoir de moi. Je m’affirme, en assurance, tel que je suis, sans chercher à plaire ni à convaincre, en restant moi-même. Tel est l’essentiel !


 

 

Parfois, notamment, à une invitation, d’un après-midi, entre amis, je suis très inquiet. Ne connaissant pas, tout le monde, il m’est arrivé, d’avoir eu peur, de m’ennuyer, de ne pas être, à mon avantage. Alors, j’ai refusé, l’invitation. Ultérieurement, j’ai appris, que la réunion festive et, amicale, avait été, une réussite. Alors, j’ai donc, fort regretté, mon refus, basé, sur des préjugés négatifs, craintes non fondées et, doutes paralysants.

 

> Mon comportement n’a été dicté, que par mes doutes, sur mes « capacités sociales », à bien, m’exprimer, en compagnie, non familière.

 

o Ma priorité n’est pas de briller ni, de craindre le pire pour moi, en société. Or, de profiter, au mieux, de toutes les occasions de rencontres sociales. Comme des enrichissements mutuels qu’elles permettent. Au lieu de craindre autrui, de le fuir, je vais vers lui, sans peur et en confiance, car j’ai tout à y gagner, bien plus qu’à y perdre !


 

 


Un jour, je devais téléphoner, à quelqu’un, que je n’apprécie pas, pour lui demander, quelque chose, dont, j’avais besoin. Pendant, des jours, j’ai repoussé, l’échéance et, évité, de le faire.

 

> J’ai du mal, à me forcer, à faire, ce qui m’est désagréable, des difficultés, à me faire, une raison. Je n’arrive pas, à me convaincre, de ne pas tergiverser, « finasser », qu’il faut, y aller. Je ne peux, me résoudre, à me contraindre, à accomplir, ce qui me déplaît, à me faire violence. Je ne sais pas affronter, ce qui m’est, rébarbatif ou, pénible. Je ne parviens pas à vaincre mes réticences.

 

o Ce qui est fait n’est plus à faire. Se débarrasser, de suite, des corvées, est bien plus facile, que de les traîner sans fin, comme un boulet. Convaincu de cela et, pressé d’en finir, au plus vite, me donne le courage d’agir vite et bien, quoi qu’il m’en coûte. Plutôt que de procrastiner, sans cesse, ce qui ne résout rien et, ne fait qu’aggraver mes problèmes, sans jamais les régler, en rien.


 

 

Quand, je dois refuser, quelque chose, à quelqu’un, j’ai tendance, à ne pas, lui donner, la vraie raison, mais, une fausse excuse. Je n’ose pas, lui dire, la vérité, je m’égare, alors, totalement, en mes faux-semblants.

 

> Par peur, de le froisser, que cela, se retourne, contre moi, en rétorsion, je n’ose pas, être franc. Je préfère, ménager, l’autre, en me montrant, conciliant, « diplomate ».

 

o Je suis assertif : je défends toujours mes droits et intérêts, tout en respectant ceux des autres. Mon objectif n’est pas de leur plaire et complaire, à tout prix, pas plus que de contrarier autrui, par principe. Or, de décider, au mieux, pour moi et ce qui me concerne. Sans me préoccuper de l’effet produit sur les autres, même si cela les indispose, leur déplaît, va à leur encontre. Sans leur nuire pour autant.


 

 

Le début, de la classe, de troisième, aura été, pour moi, un gros changement, par rapport, à la quatrième. Avec, plus, de pression, de travail, la persistance, depuis, l’année précédente, d’un problème, avec un copain. Du fait, d’une histoire amoureuse, vécue, avec une fille.

 

> J’ai des accès, de mauvaise humeur, de stress, d’abattement, d’ennui. À la maison, c’est l’arrivée, d’une petite sœur, il y a plus, de tensions, en famille, j’ai peur, que l’on s’occupe, beaucoup moins, de moi.

 

o Les difficultés font autant partie, de toute vie, que les gratifications, j’en prends conscience et je l’accepte. Je ne cède pas aux pressions, tensions et, à l’adversité. Je vaincs mes problèmes, sans me laisser dominer par eux. Les affrontant, résolument, les uns après les autres, car seule compte la victoire. Jamais, les obstacles, efforts, sacrifices et, avanies, pour y parvenir. Seul importe le résultat triomphal final !


 

 


Je « cale » souvent, dans les contrôles, par grand manque, d’assurance, concernant, mes compétences et, capacités personnelles.

 

> La peur me paralyse, alors, je « perds, tous mes moyens », je ne trouve plus, les réponses, je suis moins performant, que si j’étais, plus zen.

 

o Je ne me laisse pas impressionner, par le fait d’être soumis à obligation de moyens, performances, résultats et, réussite, en mes études. Je me recentre et focalise, uniquement, sur mes capacités, savoirs, connaissances, aptitudes, acquis et, travail déjà accompli. Je sais que j’ai bien révisé et, que je suis au point. Cela suffit pour ma réussite, en assurance, sang-froid, sérénité et, confiance. Croire au succès, aide à le garantir.


 

 

Il arrive, que mes parents, me demandent, un service et, que je ne le rende pas, malgré, mon acceptation. Alors, je m’en veux, beaucoup.

 

> Je me sens, fort coupable, d’avoir trahi, ma parole donnée, la confiance, qui m’a été faite. Je souffre, de ne pas avoir été, « à la hauteur ». J’ai honte, je suis triste, tourmenté, d’avoir, à mes yeux, « démérité ».

 

o Certes, il vaut mieux tenir parole et, se conformer à mes engagements. Pour autant, me torturer, en sentiment de honte et culpabilité, ne résout rien, ne fait que me détruire. Il convient donc, d’exprimer mes regrets, à ceux que j’ai offensés. De me rattraper, en agissant selon ma promesse initiale, même avec retard. Promettant, de ne pas récidiver et, faisant toujours en sorte, d’honorer ma parole donnée. Sauf cas de force majeure invincible, indépendant de ma volonté.


 

 

Souvent, je crains, plus que tout, de décevoir mes parents, quand, j’ai de mauvaises notes et, appréciations scolaires.

 

> J’ai peur, je m’attends, à ce qu’ils soient mécontents, de moi, qu’ils m’en veuillent, que cela, nuise, à notre bonne entente familiale. Par ma faute.

 

o Il peut arriver que je ne satisfasse pas autrui, par ma faute ou, pour raison indépendante de ma volonté. Cela peut être regrettable. Or, l’essentiel n’est pas l’effet produit sur les autres, mais ma conscience personnelle et, ma bonne volonté. Si j’ai mal fait, je ferai mieux ultérieurement, car nul n’est parfait ni, tenu à l’impossible. Si j’ai agi pour le mieux, selon mes moyens, quel que soit le résultat, tel est l’essentiel, l’avis des autres est secondaire. Mon opinion sur moi-même et, sur ce qui me concerne personnellement, compte avant la leur, à mon égard.


 

 


Quand, je déçois, les attentes, de mes parents, à mon égard, ils me le font comprendre. Ainsi, que leur réprobation, alors, j’éprouve, du dégoût, de moi-même.

 

> Je me reproche, de ne pas avoir pu, su, voulu, mieux faire, car, mon image, de moi-même et, celle, que je donne, ne me plaisent pas, du tout. Ne me semblent pas dignes, correspondre, à ce que je voudrais être.

 

o J’apprends à ne pas dépendre du jugement d’autrui, à mon égard, et de me conformer, surtout, au mien propre. Je dois être souverain et autonome. Les souhaits des autres, vis-à-vis de moi, importent moins que mes propres appréciations, concernant ma personne. Même s’il s’agit de proches que j’aime, auxquels je tiens et, d’adultes ayant autorité sur moi. En respect, toujours, des convenances et, de mes devoirs.


 

 

Il y a eu, des disputes, concernant, l’heure, à laquelle, les occupants, de notre chambre, d’internat, doivent, faire silence, pour dormir. J’ai dû, me mettre, en colère, alors, ils ont fini, par se résoudre, à se taire.

 

> J’ai estimé, que c’était, le seul choix, qui me restait, pour être respecté, n’ayant pas été, en mesure, de me faire, entendre, par d’autres moyens.

 

o Il vaut mieux prévenir que guérir. Pour éviter toute extrémité violente, afin de garantir mes droits et justes intérêts, je fais toujours preuve d’autorité et de fermeté naturelles, au préalable. Cela dissuade autrui d’abuser de moi, en impose de façon juste et équitable et, tient compte des attentes de tous.


 

 

En début, de collège, je m’habillais, de façon, fort classique, élégante, alors, que tous mes condisciples, étaient en tenues sport, décontractées. J’ai donc, été mis, par eux, au ban, de la classe. Ce qui m’a conduit, à m’adapter, en changeant, de tenues. Je me suis, alors, « fondu, dans la masse ». Pour être, comme, eux, plus cool.

 

> Quand, l’on est différent, l’on est rejeté, incompris. Il y a, nécessité, de « rester, soi-même », tout en se rapprochant, des autres et, du modèle dominant. Je n’ai pas pu, imposer, mon style personnel, étant, le seul, à être, « autrement », n’ayant pu ni, su, m’affirmer, ainsi. Alors, j’ai dû, me plier, à la « loi, de la majorité ».

 

o La jeunesse est partagée entre la nécessité de s’affirmer, en originalité et spécificité propres. Comme, tout autant, le besoin de se conformer aux canons admis, par le groupe dominant. Sans me marginaliser, en refusant toute influence extérieure majeure, je me réfère, d’abord et surtout, à mes critères et préférences propres. Pour m’affirmer fermement, tout en intégrant, pour moi-même, ce qui me paraît bénéfique, pour moi, en provenance d’autrui.


 

 


Le fait, de ne m’être, jamais, affirmé, de ne m’être, jamais, senti, reconnu, par autrui, m’a donné, une image, très faible, fort mauvaise, de moi-même. Ainsi, qu’aux yeux, des autres.

 

> Comme, je n’ai pas confiance, en moi, j’ai peur, de me manifester ou, de le faire mal, que cela, soit donc, fort mal, reçu et, non, naturel, spontané.

 

o Je suis à l’aise avec moi-même et autrui, quoi qu’il en soit et advienne, en ayant toujours à l’esprit ma légitimité propre. Au même titre que tout humain. Conscient de mes forces et faiblesses, comme tous. Tirant profit et fierté de mes atouts. Corrigeant, sans cesse, mes travers pour, constamment, devenir une meilleure personne.


 

 

Souvent, l’on me demande, mon avis, pour le programme, des vacances familiales. Je ne sais, que répondre, faute, d’envies particulières, surtout, d’oser, les affirmer.

 

> J’ai peur, de dire, mes préférences, car, je crains, que cela, n’aille, à l’encontre, de celles, des autres. Que cela, nuise, à notre relation, donc, m’éloigne, d’eux. J’ai tendance, à extrapoler, en préjugés négatifs, ce qui me mène, à la passivité, l’inaction, le silence ou, l’échec. Je ne crois pas, assez, en moi, en la légitimité, de mes justes préférences, que je n’assume, donc, pas.

 

o J’ose être moi-même et ce que je suis, en m’affirmant. J’ai le droit d’avoir mes préférences, choix et, décisions, pour agir à ma guise, en conscience. Je me conforme toujours à ce que je veux faire, être, paraître, avoir, en forgeant ma vie comme je l’entends. Non, en fonction des volontés d’autrui, mais, selon les miennes propres. Mon for interne l’emporte, toujours, sur les ingérences extérieures.


 

 

Quand le professeur, de mathématiques, écrit, au tableau et, que je ne comprends pas, je n’ose pas, lever la main, demander, un éclaircissement. Je préfère, rester, dans l’ignorance, plutôt, que de « me mouiller » et, comprendre, pourvu, que je ne prenne pas, de « risque ».

 

> Je suis très timide, introverti, je préfère, « laisser faire », les choses, j’ai peur, d’être ridicule, en me dévoilant et, en m’exprimant. Car, je suis trop incertain ou, dans le doute, permanent, de moi-même et, alors, fort inhibé.

 

o J’apprends à être sûr de moi, confiant et serein, car rien ne justifie un état de honte ni de culpabilité. L’essentiel n’est pas une inhibition, de crainte stérile et néfaste. Or, la nécessité de m’exprimer, pour obtenir ce dont j’ai besoin, pour garantir mes droits et intérêts. L’effet produit sur autrui n’importe pas, mais seulement mon droit à demander de justes obtentions. En respect des autres et, de leur propre sauvegarde.


 

 


Avec les adultes, représentant, pour moi, l’autorité, notamment, professeurs, parents, il m’est fort difficile, de m’opposer, à eux. Leur refuser, quelque chose, leur déplaire, les indisposer, contre moi. Bien plus, qu’avec mes amis.

 

> J’ai peur, d’être mal considéré, je pense, que j’aurais, du mal, à justifier, mon désaccord. Je doute fort, de la pertinence, de mes arguments. Je suis convaincu que, même si, je crois, à la justesse et, légitimité, de mon refus, celui-ci, n’est pas fondé. Je doute trop, de moi.

 

o J’ai le droit de m’opposer aux autres et, d’être en désaccord avec eux. De même qu’ils bénéficient de la même faculté, à mon égard. Je me donne le droit d’exister, en n’acceptant pas systématiquement la prééminence d’autrui sur moi, par principe. Seule ma volonté compte et jamais celle des autres, quand ma personne seule est concernée. Le but n’est pas de complaire à autrui, à tout prix, mais, à moi-même, d’abord !


 

 

J’arrive, à peu près, à me défendre, ainsi, que mes droits, intérêts, or, quand, l’on se moque, de moi, je « laisse faire ». Par peur, que cela, ne dure, plus longtemps, encore, ne s’aggrave, si je réagis, négativement.

 

> Je pense, que je ne suis pas capable, d’arrêter, par moi-même, les attaques. Autrement, que par mon « inhibition », c’est-à-dire, avec fermeté, détermination, par manque, d’assurance.

 

o Ce sont les abus à mon encontre, qui sont dommageables pour moi, non, ma juste défense, en riposte légitime et proportionnée. Je me fais respecter, par ma fermeté la plus implacable, jamais, par ma faiblesse, toujours coupable. Contrairement à ce que je crois, ce n’est jamais ma force, qui me fait être encore plus maltraité, mais, au contraire, ma passivité docile. Car, qui ne dit mot consent. Je me comporte donc, toujours, en gagneur qui s’impose et non, en victime qui subit.


 

 

Généralement, je passe inaperçu, je n’aime pas, me faire remarquer, être en avant, je suis, plutôt, effacé. Je ne suis pas spontané. Si, malgré tout, je tente, de le faire, je ne suis pas naturel. Cela, se voit, est perçu, par les autres, alors, je suis mal à l’aise.

 

> Par doute, de moi-même, j’ai peur, si je me fais valoir, d’être trop, le « point de mire » et, de ne pas « assurer ». De perdre, alors, la face, devant tous. La discrétion me protège et, m’évite, donc, de prendre, des risques, car j’ai peur, de l’échec, du rejet, des sarcasmes.

 

o Ce n’est pas par la fuite, l’évitement, la renonciation, que je vais éviter les ennuis. Or, au contraire, en affrontant résolument les autres et, mes difficultés. Me cacher, comme un malfaiteur, me nuit. M’affirmer au grand jour me sauve de l’échec et, me permet de parvenir à mes fins : le succès, la plénitude, l’estime de moi-même et, d’autrui.


 

 


Dans mes études, je ne suis, jamais, certain, de réussir, alors, je doute, de moi, de mes capacités, ce qui me conduit, à des échecs évitables. À avoir, donc, encore moins, de confiance, en moi.

 

> Je « joue, contre, mon propre camp », moi-même, mes intérêts. Je ne crois pas, assez, en moi, je suis défaitiste, négatif, pessimiste. Je pense, que cela, ne sert, à rien, de faire, des efforts, changer, d’oser, car je suis convaincu, que c’est, au-dessus, de mes forces, qualités, aptitudes.

 

o Croire à ma défaite me fait échouer. Être convaincu de ma victoire est gage de mon succès. Outre mon travail, mon état d’esprit est la clé de ma prospérité, si je positive. Comme de ma ruine, si je négative. Je crois donc en moi, mes capacités et, chances de réussite. Je m’en donne les moyens, les mets en œuvre et, alors, je l’emporte, en optimisme et détermination !


 

 

Je ne suis pas sûr, de moi, cela, se voit. Alors, cela, inquiète beaucoup, mes parents, les agace, même. Cela, affecte, le climat familial.

 

> Mes parents sont obligés, de me « bousculer », un peu, me pousser, car je suis, trop passif, pas assez réactif, actif, proactif. Même, pour les choses importantes, essentielles, pour moi.

 

o Je n’attends pas d’être houspillé, par les autres, pour agir, mais je prends toujours les devants, pour bouger, de et par moi-même. En plein esprit d’initiative et non, d’attentisme. Si je laisse faire autrui, pour moi, cela sera aux conditions des autres et, donc, souvent, à mon détriment. Si je suis autonome, en tout et pour tout, cela se fait à ma façon et, en ma faveur. Être dynamique et non amorphe, me permet d’être bien servi, car par moi-même et, moi seul !


 

 

Du fait, de mon manque, de confiance, en moi, je n’ai pas autant, de vrais amis proches, que je le voudrais. Parfois, de ce fait, je ne suis pas assez, entreprenant, avec eux, je ne prends pas assez, d’initiatives, ne propose pas, grand-chose, comme, activités. Je suis attentiste. Alors, je rate bêtement, des occasions, qui pourraient, m’apporter beaucoup et, m’être positives et, profitables.

 

> Je suis trop compliqué, je me pose trop, de questions, je doute bien trop, du fait, que les choses, vont bien, se passer. Je crains, toujours, le pire, au lieu, d’espérer et, d’être certain, du meilleur. Alors, tout cela, me bloque, me décourage, au lieu, de me motiver, positivement.

 

o Je me torture inutilement, par désamour de moi-même, désespérance et, alarmisme. Je remplace donc la peur, par la confiance. Puisque je veux le meilleur pour moi, j’y crois, je me bats, en l’objectif de vaincre, non, de perdre. En ténacité rayonnante, de foi et d’espérance, j’abats mes difficultés, au lieu de me laisser abattre par elles.


 

 


Je ne fais pas, en ma vie, tout, ce dont, j’aurais envie. Je m’interdis, beaucoup trop, de choses, pourtant, bonnes, justes, pour moi. Je n’agis pas, je reste isolé. Je me sens, trop fragile, pour « affronter », les autres, en être accepté, alors, je m’autocensure, de façon stricte.

 

> J’ai peur, de ne pas faire, assez bien, d’être mal vu, exclu. Je ne suis, jamais, content, de moi. J’ai du mal, à être, moi-même, alors, je n’ose pas, toujours, m’exprimer, me manifester, surtout, quand, je ne connais pas, mes interlocuteurs. J’ai peur, d’être ridicule, que l’on se moque, de moi, que l’on me tourne, en dérision.

 

o Me mettre dans la peau du « vilain petit canard » ne fait que m’enfoncer, encore plus, dans mon marasme. Me concevoir comme un gagnant, par principe, destin, mérite légitimes, me rendra heureux, accompli, en réussite. J’arrête d’être obsédé par mon image, ma réputation, l’aval des autres. J’y suis indifférent et, je me bats pour avancer au mieux, à ma guise et, selon mes seuls intérêts. Ceux des autres passent après les miens, pas avant. Je cesse d’être trop bon, de vouloir plaire et satisfaire autrui, à tout prix. Il vaut mieux déplaire, que me nuire à moi-même, par excès de complaisance aux autres et, abus de dureté, à mon propre encontre.


 

 

Il m’arrive, d’être, avec des gens, que je connais, pourtant, bien, d’être, malgré tout, mal à l’aise et, très déstabilisé, faute, de confiance, en moi. Les autres le sentent, alors, ils font des plaisanteries, fort désobligeantes, sur moi.

 

> Je ne suis pas sûr, de mes réactions, alors, je suis maladroit, emprunté, « à côté, de la plaque ». Je me sens, donc, ridicule, honteux et, j’en souffre.

 

o Je ne parviendrai à rien, tant que je serai effacé, incertain et, infériorisé. Je dois donc, en imposer aux autres, par mon assurance, mon charisme et, ma force de conviction et persuasion. Je serai bien perçu par les autres, quand je me considérerai bien, moi-même. J’arrête de jouer les misérables, faire pitié et, je retrouve toute ma fierté, toute ma superbe naturelles et légitimes, en « redressant la tête. Au lieu de, toujours, courber l’échine » !


 

 

Ma confiance, en moi, n’est pas très bonne, car, je ne suis pas certain, d’avoir, de bons résultats, globalement, dans la vie. D’être, suffisamment, performant, digne, de confiance, d’estime ».

 

> « Je n’ose pas, agir, par excès, de doutes, peur, de me tromper. J’ai toujours, l’impression, de ne pas avoir, d’aptitudes particulières. Généralement, je me trouve « moyen », en tout, alors, je préfère, me limiter, car, j’ai des doutes, sur moi-même ».

 

o Je cesse tout fatalisme, misérabilisme, défaitisme. Je ne m’apitoie pas sur moi-même. Je suis fier de mes acquis, mes atouts, talents, mérites. Je les mets en œuvre et les fais valoir, résolument ! Ma personne, ce qu’elle implique et réalise est, en tant que telle, une bénédiction pour moi et autrui, non, une malédiction. Je m’en persuade d’urgence et, me comporte comme tel. Fier comme Artaban et, non honteux, comme le Petit Chose.


 

– Rappelons, que la confiance, en soi, revêt, une quadruple dimension. Générale basique, fondamentale. En sa personne. Relationnelle. En ses compétences -.

 

– Eudes a un caractère émotif, non actif, secondaire, Enas. Il est sensible, en retrait, du monde, introverti, timide. Il ressent, fortement, les choses, il n’est ni, volontaire ni, volontariste, mais, est plutôt, réfléchi, prudent, hésitant, comme, irrésolu. Le contraire, d’un impulsif, instinctif, pulsionnel. Il est plus « contemplatif », qu’initiateur et, acteur dynamiques -.


 

 


« Mon estime, de moi, est fort irrégulière. Quand, tout va bien, je crois plus, en moi et, j’en suis ravi. Tout est positif, à mes yeux, je me trouve, très valable. Quand, j’échoue ou, suis contrarié, je doute, de moi, de mes aptitudes, je me sens abattu. J’ai, alors, l’impression, que tout va, au plus mal, que je suis nul, archinul.

 

> L’échec sape, ma confiance, en moi. Je doute, tellement, qu’un succès ou, une satisfaction, même, minimes, me renforcent. Qu’un échec, une déception ou, une frustration, même limités, me perturbent. J’ai toujours, besoin, d’être rassuré, conforté, par des signes, de réussite, de reconnaissance et, d’approbation. Sinon, je suis rongé, par le doute, la culpabilité, la peur ou, le regret, les plus ravageurs ».

 

o Je n’ai pas besoin de l’approbation d’autrui, ni de marques de succès, pour me sentir fort, assuré et, serein. Je me suffis à moi-même, ès qualité. La vraie confiance en soi ne dépend pas des réussites et, se vérifie, même lors des pires adversités. Je n’ai pas confiance en moi, juste car tout va bien pour moi-même, mais, par principe. Car je crois en moi, même quand tout va mal pour ma personne. Je ne suis pas heureux, car j’ai tout ce que je veux, comme je le souhaite. Or, car j’ai décidé de l’être, par un acte de volonté.


 

– Effet cyclothymique, de type « bipolaire », avec oscillations régulières, entre « l’euphorie et, la déprime », selon, la seule situation, concernée. La confiance, en soi, est insuffisante, des plus fragiles, car, conditionnelle, conjoncturelle, subjective, par sa dépendance, à des facteurs externes. Qui ne relèvent pas, du junior, en coaching de vie, de sa propre volonté. Non, solide, par sa nature invariable, structurelle, objective. Car ne relevant, que de la pensée interne raisonnée, positive, optimiste et, favorable, du jeune, lui-même. Sur laquelle, il a un pouvoir, décisif, d’impulsion et, d’orientation -.


 

 

« J’ai beaucoup, de mal, à me dire, en confiance, que j’ai l’essentiel, en moi et, pour moi, pour, pleinement, « réussir, en tout et, pour tout ».

 

> Ainsi, quand, je suis soumis, à une obligation, de performance, compétence, réussite, par moyens et, résultats. Quand, je suis évalué, jaugé, jugé. Je me demande, si je vais, y arriver, en être capable, parvenir, au succès. J’ai peur, de rater, mon coup, cela, me perturbe. Or, j’ai de meilleures relations, avec les autres, depuis, que je suis entré, au lycée, en seconde.

 

o Mes capacités sont réelles, par mon travail et mes talents. C’est tout ce qui compte. Les mises à l’épreuve, les pressions extérieures, l’impératif de réussite, ne doivent pas primer. Je me recentre et concentre donc, sur mes aptitudes, bien garanties, en amont, par ma bonne préparation mentale et académique. Je sais que cela assure ma réussite. Je ne me laisse donc pas parasiter, par les doutes et craintes, pour ne pas nuire à mon succès. Je l’appuie, au contraire, par ma certitude sereine de l’emporter.


 

 

J’ai de la difficulté, à m’affirmer, en parlant, librement, spontanément, avec aisance et, assurance, aux autres.

 

> Du fait, que je ne m’aime pas, ne m’accepte pas, encore assez et, que l’image personnelle, que je donne, me paraît mauvaise, je ne suis, jamais, assuré. De ma légitimité, de moi-même, d’être assez bien, ressenti et, reçu, en allant, vers autrui. Je suis trop passif, silencieux, alors, j’aimerais être, un peu plus, audacieux, mieux reconnu, par mes camarades. Bien plus, que je ne le suis, actuellement, par excès, d’effacement, de discrétion.

 

o Croire en moi, en confiance, implique de bonnes capacités relationnelles, de communication, d’information. Je suis le seul et, meilleur ou pire agent, en image, publicité, marketing, de moi-même. J’assure donc, ma propre promotion, au mieux, auprès des autres. De façon hardie, mais, sans forfanterie. Si j’en fais trop ou, pas assez, je suis mal perçu et rejeté. Ni effacé ni, importun, je suis bien avec moi-même et, avec les autres. M’affirmant avec brio, sans pour autant m’imposer, avec inconvenance.


 

 


Je suis un garçon compréhensif, pas moqueur, sensible, respectueux, des autres, attentif et, à l’écoute, d’autrui.

 

> Or, je ne suis pas encore, assez volontaire, décidé et, conquérant, car, trop passif, suiviste et, attentiste, par crainte, manque, d’audace.

 

o Ma gentillesse, ma bonté, mon altruisme, pour les autres, sont de grands atouts humains et humanistes. Or, ils ne peuvent être pleinement bénéfiques, pour autrui, comme pour moi-même, que s’ils sont transcendés. Ce, par une bonne estime de moi-même. De fait, je ne peux gratifier, aimer, servir autrui, que si je le fais d’abord, aussi et tout autant, pour mon prochain. Mon amour propre est la garantie de mon amour, pour autrui. En m’acceptant, pleinement, comme je suis, en exigence et tolérance, je fais alors, de même, pour tous. Telle est la condition, de l’harmonie relationnelle universelle.


 

 

Quand, j’agis, mes actes sont timides. Je n’agis pas, pleinement, hardiment, sans doutes ni, états d’âme. Par exemple, en cas, d’achat désiré, je ne me décide pas, sur-le-champ, je suis obligé, de revenir choisir, plus tard. Après, avoir longuement, réfléchi, mûri, la décision, soigneusement, pesé, le pour et, le contre.

 

> Je suis hésitant, par doute, peur, de me tromper, de façon irréversible. Je suis très distrait, pas assez, attentif, j’oublie beaucoup, de choses.

 

o Je ne crois pas assez en moi et mes capacités, cela me rend hésitant, maladroit, inefficace. J’oublie mes doutes et mes atermoiements et, je me concentre sur l’essentiel. Ma bonne volonté, de faire au mieux, les meilleurs choix pour moi. Je sais ce que je veux et, je le veux vite et bien, en esprit qualitatif optimum. Il me suffit alors, d’oser choisir, décider et, agir, au mieux de mes intérêts, goûts et, aspirations.


 

 

J’ai de bonnes relations, avec mes copains, car j’apprécie, ceux, qui partagent, ma chambre, à l’internat. J’ai un très bon contact, avec mes camarades, de classe, qui viennent, spontanément, à moi. Car, ils apprécient, ma gentillesse, ma disponibilité, aux autres, mon écoute.

 

> Toutefois, j’ai encore, de grands progrès relationnels, à faire, car, je ne suis pas, assez, communicatif, reste trop mutique. J’ai déjà, commencé, à bien évoluer, favorablement et, positivement et, je continuerai, à le faire.

 

o Pour être bien et à l’aise avec les autres, il suffit de se décentrer de soi, pour se recentrer sur autrui. Ne plus penser à soi, mais aux autres, permet d’oublier ses complexes auto-dévalorisants. De profiter pleinement des qualités des autres, tout en les faisant bénéficier des siennes propres. D’être à leur écoute et apprécié d’eux, en étant tourné vers eux et, non, vers soi-même. En véritable richesse mutuelle inter relationnelle. De fait, commencer par gratifier autrui, en pleine ouverture humaine, permet d’être honoré, de même et tout autant. En retour et réciprocité. En liens gagnant-gagnant.


 

 


J’ai de la peine, à m’apprécier, du fait, de mon éducation parentale stricte, du type, de lien psychoaffectif rigide, qui nous unit. Non, par manque, d’amour, mais, du fait, de l’excès familial, d’exigence, de pressions. Car, aussi, je ne suis pas, toujours, « en conformité », avec les attentes, réelles ou, supposées, de mes parents.

 

> En leur propre jeunesse, mes ascendants, aimaient bien, organiser, toutes sortes, d’activités et, de manifestations. Ils en exigent autant, de moi. Or, je suis bien « différent », d’eux et, cela, ne correspond pas, à mes envies, goûts ni, à ma personnalité. Ils m’en font, tout le temps, reproche. Alors, je me dévalorise et, doute, encore plus, de moi et, de mes qualités ».

 

o Je dois me conformer à moi-même, ma personnalité, mes goûts, souhaits et, volontés. Non, aux autres ni, à leurs désirs pour moi, fussent-ils mes parents. Eux, sont eux, aujourd’hui comme hier, moi, c’est moi ! Je ne tiens donc, jamais d’office, compte, des desiderata d’autrui, à mon égard, mais, des seuls miens, en premier. J’existe pour et par moi-même, d’abord. Les autres ne viennent qu’en second. Je ne peux être heureux et me réaliser, que si je suis en plein accord avec mes priorités, pour moi. Si cela n’est pas le cas, si je ne fais qu’obéir aux oukases extérieurs, à mon égard, donc, à mon encontre, je raterai ma vie. Car je serai alors, en conflit intérieur, insoluble et ravageur, avec moi-même, gage de mon malheur.


 

– Gare, aux projections parentales, sur l’adolescent, en mentorat et, à leur désir, de conformation, du junior, à leur image, à eux. Ce qui peut occasionner, bien, des ravages, chez le jeune fragile, incertain, de lui-même. Ce dernier doit, toujours, se voir encouragé, à développer, ses propres schémas mentaux, émotionnels et, comportementaux -.


 

 

« Je me trouve, plutôt, sympathique, pondéré, « bon camarade », loyal, ouvert, aux autres et, généreux car, de nature altruiste.

 

> Cependant, je manque, d’initiative, je suis entêté, plaintif, m’apitoie, sur moi et, me décourage, trop vite et, facilement. Car je m’autodévalorise, constamment.

 

o Jouer aux éternelles victimes me dessert et, ne sert qu’à détourner les autres de moi, m’en faire maltraiter et, déprécier. Il convient de retrouver ma pleine fierté, sans arrogance pour autant, pour être respecté, recherché, aimé. Me montrant assuré, maître de moi-même, serein, en véritable « force tranquille ». Non, en geignard faisant pitié et, cherchant la commisération, mais, en leader rayonnant, qui surclasse tout et tous. Avec aisance et humilité, tout à la fois.


 

 

En début, de seconde, j’ai dû, m’adapter, par rapport, au collège, j’ai eu, de mauvaises notes. Je me suis, alors, autodéprécié.

 

> Par manque, de confiance, n’étant pas certain, de « corriger, le tir », doutant, de mes facultés, à le faire, je me suis convaincu, que c’était « fichu ». Que je n’y arriverais jamais.

 

o Le pire n’est jamais certain ni acquis ! Être en difficulté n’implique ni, un déshonneur de démérite ni, une fin désastreuse inéluctable. Un redressement, spectaculaire et durable, est toujours possible. C’est là-dessus qu’il faut toujours escompter. Pour cela, il convient, non de m’accabler, de façon passive, fataliste, défaitiste. Or, de faire face, d’agir, de me battre, sans relâche, jusqu’à la victoire finale, quoi qu’il en coûte. Car, ce qui ne m’anéantit pas, me sauve, en me rendant plus résilient.


 

 


Comme, je n’ai nulle confiance, en moi, je ne suis pas assuré, de pouvoir réussir. Comme, les autres, me semblent, y parvenir, en être capables et, pas moi, je me sens, moins fort, qu’eux, j’ai l’impression, qu’ils sont plus aptes, que moi.

 

> Je crois, donc, que je ne peux pas, les égaler ou, dépasser. Je me condamne, moi-même, car, je ne crois pas, assez, en mes capacités, qualités ou, compétences, du fait, de mon manque, de confiance, en moi.

 

o Je cesse d’avoir, toujours, le préjugé négatif, à mon égard, me faisant croire, à tort, à mon indignité permanente supposée. Comme si elle était réelle et, non fausse, de fait. Pour cela, j’arrête de penser les autres, toujours « mieux que moi » et, moi, toujours « moins bien qu’eux ». Ils peuvent, tour à tour, être « bons » ou « mauvais », comme « neutres », selon les occurrences et critères, objectifs et subjectifs. Tout comme moi-même, à égalité. Nul n’est toujours, en tout et pour tout, « maudit » ni, « béni des dieux ». La plupart des humains sont, en réalité, ni « inférieurs » ni, « supérieurs », mais, « moyens », donc, « égaux » ! Comme tous, j’ai des atouts à faire valoir et, des défauts à corriger. Alors, à moi de me positionner, au mieux, pour réussir et m’épanouir, sans m’accabler, sans cesse. Ni me surestimer, pour autant.


 

 

J’ai de grands accès, fort pénibles, d’abattement, de tristesse, d’inertie, de lenteurs, de troubles, du sommeil, de façon cyclothymique.

 

> Je me rabaisse, me dévalorise, ne m’aime pas, ne m’accepte pas, tel, que je suis. Je suis en guerre, contre moi-même, me rejette. Par manque, de foi, en ma valeur, ma personne, mes capacités, par difficulté, à tenir toute ma place, parmi, les autres.

 

o Je suis mon pire ennemi, au lieu d’être mon meilleur ami ! Je n’ai ni estime ni, confiance ni, affirmation de moi-même. Cela perturbe mes pensées, émotions et, comportements. Alors, je ne crois pas en moi, ne m’aime pas, me rejette. Tout comme ma vie, l’existence et, autrui. Je suis bloqué, en tout et pour tout. Pour conjurer cette véritable malédiction auto-imposée, je dois donc me réconcilier, avec moi-même. Pour cela, je décide enfin, de m’accepter, tel que je suis, non, tel que j’aurais aimé être. En humilité et fierté, tout à la fois. Je fais le deuil, en renoncement, de ce que je ne pourrai jamais être, paraître, faire ni, avoir. J’apprécie pleinement mes acquis actuels. Je m’en contente, tout en me battant, pour en obtenir plus et mieux encore. En ambition passionnée, mâtinée de réalisme raisonnable.


 

 

Depuis, toujours, mes parents sont très et, trop exigeants, à mon égard. Ils mettent trop l’accent, la pression, sur mon devoir, de performance, résultats et, de compétences.

 

> Cela, me culpabilise, car je pense, que mon père et, ma mère ont, en partie, raison. Cela, aboutit, à me décrédibiliser, moi-même, me déconsidérer, démobiliser. Beaucoup, souffrir, très inutilement. Manquer, encore plus, d’assurance.

 

o L’essentiel, pour moi, est d’être exigeant, à mon propre égard, non, que les autres le soient, pour moi. Seule vaut l’exigence, que je m’impartis, à moi-même. C’est à moi seul, qui connais le mieux ma personne, mes capacités, objectifs, de me prononcer, à ce sujet. Selon mes propres critères et, degrés de performance, voulus par moi. Il m’appartient d’atteindre mes propres limites d’incompétence. De façon réaliste et ambitieuse, accessible et maximale. Je réalise, au mieux, ma vie, pour moi-même, non, pour les autres. Je poursuis donc, mes propres objectifs, pour et par moi-même, à ma guise, ma façon. Non, ceux d’autrui, voulus par eux, pour moi. Seulement compte ce que je veux, pour ma personne ! Les autres ne décident que pour eux-mêmes, pas pour autrui ni, pour moi-même.


 

 


J’hésite, toujours, à inviter, mes copains, chez moi, car j’ai peur, qu’ils s’ennuient et, soient mécontents, de leur séjour et, de moi.

 

> Je suis, trop peu sûr, de moi, de mes aptitudes, à satisfaire, les autres, leur plaire. Je suis, toujours, persuadé, de ne pas être, avoir, faire, paraître, ce qu’il faut et, ce que je devrais.

 

o J’attends trop du jugement des autres, sur moi-même et mes « œuvres ». Je veux trop leur complaire, à tout prix. Me sentant toujours indigne de tout, aux yeux de tous, je me crois éternel « obligé transi ». J’arrête d’être perfectionniste, de trop exiger de moi et, pas assez des autres. L’essentiel n’est pas, comment ils perçoivent et jugent, ce qui vient de moi et aussi, ma propre personne. Or, ma façon à moi, de m’évaluer moi-même et, ce que je fais ou non, dis ou non. En conscience et souveraineté. Seuls comptent ma bonne volonté, mes efforts, pour être et faire, au mieux, ce que je peux. Le reste n’est que « l’écume des jours ».


 

 

Parfois, quand, j’ai de mauvaises notes, je me sens incapable, de « remonter la pente » et, je me décourage, me sens fort abattu.

 

> Par rejet et, « désamour », de moi-même, je ne me sens pas capable ni, même, digne, de réussir. J’entretiens trop, de doutes, d’incertitudes, à mon sujet, ce qui me fragilise.

 

o Je dois, quoi qu’il arrive, même en les pires difficultés, me penser comme voué au meilleur, non au pire. À la réussite, non à l’échec. Au bonheur, non au malheur. Avant que d’être réalité tangible et pour cela, la plénitude est état d’esprit. Compte, d’abord, non l’effectivité de mes résultats, même les pires, mais ma volonté et ma certitude de vaincre, réussir. Je crois donc en ma victoire, m’en fixe les objectifs, m’en donne les moyens, les mets en œuvre, sans relâche, jusqu’à mon succès final, acquis et incontestable.


 

 

Dans mon intérêt, j’étais convaincu, pour combler, mes lacunes, de devoir, me faire aider, par un tutorat scolaire, au lycée. Mes parents ont dû, m’y pousser, fortement, car je n’arrivais pas, à oser, en parler, à mon professeur, de mathématiques. Ayant, forte crainte, de ne savoir, quoi, lui dire ni, comment, lui exprimer, ma requête.

 

> J’avais peur, de ne pas savoir, comment formuler, ma demande, par excès, de timidité sociale et, défaut complet, d’assurance.

 

o Pour trouver, je dois chercher. Pour obtenir, il me revient de demander. Pour être agréé, il me faut solliciter. Ma requête étant fondée, légitime, raisonnable, je peux prétendre la formuler et, à son acceptation. Le refus est toujours possible mais, jamais assuré, probable. Je ne dois donc pas le craindre ni, même y penser. Je ne me focalise que sur mon souhait juste, d’un accord concernant ma juste demande et, sur ma chance maximale d’un agrément. Ma foi à ce sujet et, ma force de conviction ont, alors, toutes latitudes de l’emporter, au profit de ce que je souhaite obtenir. En « prophétie autoréalisatrice » positive, de croyance optimale optimiste.


 

 


Mes camarades, ont, toujours, eu tendance, à « se payer, ma tête », à ne pas, assez, me prendre, au sérieux, en compte, considération. Me traitant, comme, « vile quantité, négligeable ». Me laissant, de côté, d’autant, que je restais, passif, solitaire, en mon coin, m’excluant, aussi, ainsi, totalement, moi-même.

 

> Alors, de ce fait, je ne me suis, jamais, senti important, crédible, valable, intéressant, notamment, à l’égard, de mes semblables jeunes. J’en ai souffert, cela, me perturbe, m’empêche, de m’affirmer, comme, j’aimerais, pouvoir, le faire !

 

o Lors de la jeunesse, les semblables pairs générationnels sont capitaux. L’on s’évalue constamment à leur aune. Être adoubé, agréé par eux est salvateur, être jugé non conforme et rejeté est ravageur. Mes congénères jeunes me maltraitent, car ils perçoivent bien, que je ne m’apprécie pas moi-même. Leur regard sur moi ne pourra changer, que si je modifie, moi-même, ma propre vision de ma personne. Je décide donc, de me considérer comme valeureux, de façon constante, quoi qu’il advienne. Alors, ils en auront conscience, auront de la considération pour moi et, me respecteront. Si je crois en moi, ils feront de même. Je serai traité, comme je me traite moi-même. En bien, comme en mal.


 

 

J’ai quelques amis, mais, je reste discret, en ma classe. Je ne fréquente, que mes copains proches et, familiers, car je les connais bien et, cela, me rassure et, me protège. Or, j’évite, toujours, d’aller, vers d’autres jeunes inconnus, symboles, d’incertitude, de peur ou, de crainte, de rejet ou, de risques, pour moi. L’on ne me remarque ni, ne m’entend.

 

> J’ai du mal, à m’ouvrir, sur autrui, me dévoiler, sortir, de moi-même. Car, par fort mauvaise image, de moi, je suis très hésitant, pas assez, réactif ou, actif. Alors, même si, d’aventure, je parviens, à vaincre, mes résistances intérieures, à me manifester, il est, généralement, trop tard. Je m’en veux, regrette. Ce qui ne fait, qu’aggraver, mon malaise, en cercle vicieux, qui s’autoreproduit, à l’infini.

 

o Plus je crains autrui, plus je me replie sur moi-même, plus je souffre de solitude, moins mes liens aux autres sont harmonieux. Il me faut donc aller vers eux. Pour cela, je cesse de m’obséder de mes défauts et, inaptitudes personnels et relationnels, réels ou supposés. Je me recentre sur les qualités d’autrui, sur mon intérêt donc, pour mes semblables et, sur l’avantage pour moi, à aller vers eux. Pour un maximum d’échanges, de rencontres riches et fructueux, pour tous. Mon « envie des autres » doit l’emporter, sur mes craintes et réticences. Cela est possible, quand l’autre est envisagé comme chance et bénéfice, non, comme risque et désagréments !


 

 

Avant, de faire, une démarche, en direction, de jeunes, dont, je ne suis pas proche, de me dire, me révéler, auprès, d’eux, je me demande, toujours, ce que je vais bien, pouvoir dire. Me sentant, emprunté, gauche, mal à l’aise et, « de trop ». Si je vais être, accepté, bien accueilli, compris, apprécié, approuvé.

 

> Je ne connais pas, les élèves externes, de ma classe, aussi bien, que mes condisciples internes, alors, je suis intimidé et, impressionné. Je ne suis confiant, à l’aise, que si je connais bien, ceux, que je suis amené, à rencontrer. Par préjugé défavorable, sur moi-même, inquiétude, face, à ce que je ne connais ni, ne maîtrise.

 

o L’inconnu fait peur, quand il est appréhendé comme menace, danger, risque. Il attire, quand il est considéré, comme source d’enrichissement mutuel positif. Au lieu de me laisser guider, par l’irrationnel craintif, je me fie plutôt, à mes envies les plus raisonnées et profondes. Cela me permet d’oser agir, sans le frein le plus rédhibitoire, de mes pensées les plus inhibitrices. Notamment, pour me garantir une vie sociale et relationnelle, satisfaisante et épanouissante, choisie. Plutôt, qu’une solitude mutilante subie. Fréquenter mes semblables devient, alors, une joie naturelle et non plus, une gêne anxieuse, de tous les instants.


 

 


Si une personne, que j’apprécie, je connais, parle, avec quelqu’un d’autre, j’ai du mal, à me joindre, à la conversation. Alors même, que j’en ai fort envie.

 

> J’ai très peur, de m’immiscer, dans un échange, déjà, entamé, sans moi, alors, d’être mal reçu, perçu. Je table toujours, sur le « pire », ce qui me tétanise, au lieu, de me convaincre fort, du « meilleur », ce qui m’encouragerait plus, à oser, aller, de l’avant. Par pessimisme, manque, de foi, défaitisme accentués ».

 

o Mon image désastreuse, de moi-même et des autres, m’empêche de participer à toute vie sociale, avec mes pairs. Par pessimisme généralisé défiant, de principe. En optant pour un optimisme confiant convaincu, je m’apaise et, positive ma vision de moi-même, d’autrui, de mon lien mutuel aux autres. Cela me permet de les rejoindre, de participer harmonieusement, à toute interaction avec eux. De les apprécier et d’en être estimé, de même. Pour le plus grand profit de tous.


 

 

Eudes fait un test, en mentorat, pour évaluer, son niveau, de confiance, en lui. Cela, concerne quelques champs principaux, caractéristiques, de la foi, positive ou, négative, en soi. Sur sa personne, sa valeur, ses capacités, son assertivité.

 

Cela regroupe les aptitudes. Les choix. L’inhibition. La performance. Le doute. L’introversion. Le risque. Le pessimisme. L’apitoiement, sur soi, l’autodévalorisation. Le perfectionnisme. L’incapacité, à s’opposer, à défendre, ses intérêts, s’affirmer. La répugnance, à accepter, les gratifications. La difficulté, d’émettre, des préférences, dire, ses positions, priorités.

 

La fragilité, l’incertitude, face, aux remises, en cause, de soi, par, autrui. L’effacement. Le sentiment, d’indignité et, de déchéance. L’autodénigrement, le rejet, de soi-même. La sous-estimation, de soi, comme, la surestimation, d’autrui. L’autoagression, le désamour, la déconsidération, de sa propre personne. La déstabilisation, de soi, par suspicion permanente, sur soi.

 

> Eudes obtient, alors, aux items, un score total, inférieur, à la moyenne, de cinq points. Le test sera refait, en fin, de coaching-mentoring, pour bien mesurer, tous progrès, accomplis.


 

 

« Souvent, quand, j’échoue, je remets, en cause, ma valeur personnelle globale, non, seulement, celle, de mes actes.

 

> Je confonds, les deux, par préjugé défavorable, contre, moi-même. Alors, quand, je rate, une chose, je suis convaincu, que je suis condamné, à le faire et, reproduire, à jamais, définitivement. En sorte, de mauvaise fatalité, qui s’acharne, sur moi ! Je suis très pessimiste et, défaitiste. Cela, m’attriste, me décourage fort, alors, je renonce, j’abandonne. Sans être capable, d’imaginer, qu’un blocage est provisoire, réversible et, que c’est, à ma portée.

 

o Ma valeur personnelle d’humain n’est pas liée, à mes comportements ni, à mes résultats et performances. Elle ne relève que de moi-même, en tant que personne unique, qui se suffit à elle-même. De bonne volonté, faisant et étant de son mieux. Me convaincre de cette réalité d’évidence, me permet d’être indulgent et bienveillant, avec moi-même. Plutôt que de m’agonir sans cesse, des pires reproches et, des pires « tares » supposées. Je me considère alors, comme digne, méritant le meilleur et non indigne, voué au pire. Cela me fait surmonter mes échecs et épreuves, les transformer et transcender, en succès et félicités. Il n’y a ni malédiction ni fatalité mauvaises, mais, toujours, espérance et possibilité du bien, du mieux, du meilleur, pour moi et autrui.


 

 


En classe de quatrième, mes copains se moquaient, de moi, du fait, que j’étais, avec une fille, qui était, ma petite copine. Je me suis, alors, défendu, bien trop mollement, maladroitement et, j’ai laissé, les autres, « me juger », impunément.

 

> Je n’avais pas, assez, de charisme ni, d’ascendant, sur mes camarades, pour pouvoir, m’affirmer, comme, il l’aurait fallu, à leur égard. Leur faire cesser, leur harcèlement indu. N’ayant pas, assez, de respect, pour moi-même, je n’avais pas, la possibilité, de susciter, d’exiger et, d’obtenir, la considération, des autres, à mon égard.

 

o Je laisse, toujours, par principe, prééminence et préséance aux autres, sur moi-même. À leur seul profit et à mes dépens. Ce qui leur permet les pires abus sur moi. J’apprends alors à me préserver, en étant désormais, totalement hermétique et indifférent, aux opinions et réactions d’autrui, à mon égard. Cela me permet d’être libre et souverain, en toute sérénité, pour tout ce qui me concerne et, a trait à ma personne. Sans être parasité, par tout ce qui est hostile et externe à moi. Ainsi, seuls m’importent mes choix propres de vie. Sans me préoccuper des vaines et stériles agitations extérieures. Car « si les chiens aboient, la caravane passe quand même » !


 

 

Or, depuis, j’ai appris, à mieux, défendre, mes droits. J’ai su imposer, à tous mes camarades, de chambrée, de me laisser « dormir, en paix », à l’internat.

 

> Commençant, à acquérir, plus, de confiance, en moi, également, de force mentale, je sais être, plus crédible et, convaincant, pour me faire entendre.

 

o J’ai compris que, pour être respecté et préservé, ici-bas, par les autres, les seuls bons sentiments sont inopérants. Je ne peux faire confiance par principe ni, tabler sur la droiture d’autrui, à mon égard, d’office. Je dois donc, instaurer un minimum de « rapports de force », de limites, préservations, règles et, principes. Concernant mes justes droits et intérêts légitimes. Tout en respectant ceux des autres. Cela me permet de ne pas être lésé, sans pour autant abuser, moi-même, d’eux et même, d’être apprécié par eux. Car seuls ceux qui se battent, affrontent autrui sans peur, font valoir leur intégrité et souveraineté, sont estimés et considérés. L’on peut regretter cet aspect « peu civilisé et primaire » de l’humain, mais telle est, hélas, sa profonde nature archaïque, depuis toujours.


 

 

J’essaye, de ne plus, me croire, obligé, de toujours, devoir, me justifier et, prouver, « tout et, son contraire », aux autres et, à moi-même, aussi.

 

> Ma valeur et, légitimité propres, ne dépendent, exclusivement, que de ma seule personne, non, de mes actes et, résultats.

 

o Comme humain, à part entière, libre et souverain, je me suffis à moi-même. Dans le respect plein et entier d’autrui. Je n’ai donc ni garanties, ni explications, ni comptes à rendre, à quiconque, concernant ma personne et ma vie propre. En leurs choix et décisions. De même que je n’en exige pas des autres. Seule prévaut ma conscience interne et non, ce que l’univers pense et attend de moi.


 

 


Je pense, que le temps passe, trop vite, cela, me stresse. Je suis, toujours, anxieux, des échéances, à venir, j’aimerais, avoir, plus, de temps, disponible, pour faire, plus, de choses. J’ai très peur, de manquer, de temps, j’ai l’impression, qu’il me mène, bien plus, que je ne le maîtrise, moi-même, véritablement.

 

> Mon anxiété excessive m’inquiète, inutilement, me démotive, démobilise et, paralyse, parfois, plus, que de raison.

 

o L’inquiétude généralisée systématique de tout et, de son contraire, ne mène qu’au chaos. Cela provient, de ma crainte de ne pouvoir agir sur ma vie et, la dominer. Or, de ma certitude de mon impuissance et, d’être mené par les événements, les autres, l’existence. Je dispose, pourtant, toujours, comme tous, de mon libre-arbitre, de toute latitude pour conduire ma vie, comme je l’entends. Sans me laisser dominer que par moi-même. Y compris, en maîtrisant pleinement mon emploi du temps, sans crainte d’en manquer. Ces peurs sont irrationnelles, non fondées, la plupart du temps. Pour être serein, me libérer de mes entraves d’angoisse, je relativise, raisonne, positive. Au lieu de craindre le pire, par sentiment de faiblesse et d’incapacité, je crois au meilleur. Par certitude de ma solidité mentale et, de mes aptitudes les plus sûres.


 

 

Je me suis senti « perdu » et, désorganisé, en début, de seconde, du fait, de mauvaises notes. Souvent, dans les épisodes, les plus difficiles, pour moi, au lieu, de proagir, énergiquement, « j’hiberne ». Faute, de vouloir, voir, la « solution », d’y croire, de… l’appliquer !

 

> Je ne m’obsède, que du « problème », par pessimisme, manque de foi, en moi, mes aptitudes. Ce qui ne fait, que me bloquer, encore plus, faute, de mouvement, optimiste positif, de ma part.

 

o Je suis plus fort que je ne le crois et, plus que mes difficultés. Je refuse de me laisser abattre par elles, mais je décide, au contraire, que c’est bien moi qui en viendrai à bout. Je ne m’en laisse pas impressionner et, je les combats vaillamment. Je les attaque donc résolument, les unes après les autres, jusqu’à les annihiler, totalement et définitivement. Ainsi, je me prouve à moi-même, que j’avais surestimé mes problèmes et, sous-estimé ma personne et, mes capacités à les vaincre. Je crois en moi, pas à l’adversité !


 

 

J’ai du mal, à agir, m’endormir, être serein, j’ai, souvent, des insomnies et, des crises, fort éprouvantes, d’anxiété.

 

> Je suis trop inquiet, par nature, notamment, en matière scolaire. Quand, il y a obligation, de performance, compétence, résultats, j’ai peur, de ne pas, y arriver. Par fort doute, sur moi-même, mes aptitudes, mon efficacité, mes qualités ».

 

o Je me laisse gouverner par mes peurs injustifiées, irraisonnées et, irrationnelles. Plutôt que par ma conviction fondée, logique, avérée, de ma paix intérieure. Mes craintes me font échouer. Ma sérénité m’assure épanouissement, succès et, prospérité. Plutôt qu’à mes phobies déraisonnables, de dangers imaginaires, je fais appel à ma « sagesse » paisible, apaisée et, apaisante. Par nature, je suis voué au meilleur, pas au pire. Il me suffit donc, de me contenter d’être et de faire, au mieux, pour me garantir de l’essentiel. La satisfaction joyeuse du devoir accompli et bien accompli. En confiance, conscience et, bonne volonté.


 

 


Eudes, seize ans


 

 


Suivi androJeunologique

Cognitif, émotionnel, comportemental

De l’estime, la confiance, l’affirmation, de soi


 

Paris, 2004


 

 


UN ANDROJEUNOCONSEIL®

« RE/FONDATEUR DE VOUS »


 

 


Cognitif, Émotionnel, Comportemental

De la Confiance en Vous, de Junior XY


 

 


II


 

 

– Vos Schémas Toxiques –


 

 

« Dès, le début, de ma classe, de seconde, je me suis convaincu, mordicus, que je n’étais pas capable, d’être admis, en première S, selon, mon désir. Suite, à un premier mois, de scolarité, difficile. Par rapport, au collège, la chute, des notes, a été très spectaculaire, il a fallu, aussi, m’adapter, au milieu hostile, de l’internat. J’étais fort « dégoûté », d’autant que, généralement, je n’aime pas l’école, l’effort, travailler. Alors, si, en plus, les notes dégringolent, je suis, totalement, démotivé, découragé, abattu.

 

> L’obligation, de réussite, les pressions, tensions, les impératifs, me paralysent, par manque, de confiance. Au lieu, de me galvaniser, en émulation, comme, c’est le cas, de mes camarades, qui croient, de façon inconditionnelle, en eux.

 

o Je suis déstabilisé, face à toute adversité, difficulté, exigence, nécessité d’adaptation. Pour ne plus me laisser impressionner ni, intimider, face à cela, j’arrête de me sentir démuni, impuissant, faible, incapable. Je me considère, désormais, comme apte à surmonter tout obstacle, quel qu’il soit, même semblant infranchissable. Ce n’est pas la réalité difficile, elle-même, qui m’affecte, mais la façon alarmiste, catastrophiste, dont je la perçois. Ce n’est pas car il y a difficulté, que je m’effondre, mais car je suis craintif, que je suis impuissant à m’en sortir. Alors, je cesse de me sous-estimer, d’avoir peur, d’être passif. Je me revalorise, je suis confiant et, je me bats, par l’action résolue réussie !


 

 


Il m’arrive, d’organiser, une activité, que la plupart, des copains, acceptent. Sauf, un seul, qui refusera, alors, d’y participer, car il ne trouve pas, ma proposition, assez intéressante. Bien, qu’il soit donc, le seul, à être sceptique, critique, contrairement, à tous, les autres, cela, suffit, à me décourager. Je ne vois, que celui, qui s’oppose, à moi, non, tous, les autres, qui pourtant, m’approuvent. Cela, me perturbe, me gâche, ce qui, sinon, serait cool.

 

> Je doute et, suis trop, négativement, influencé, par mon contradicteur, très minoritaire, non, positivement, par mes partisans, si majoritaires. Je suis trop incertain, de mes choix, décisions, trop peu sûr, de moi-même.

 

o Mon manque de confiance me rend pessimiste. Je ne vois donc, que le verre à moitié vide, plutôt que plein et, ce qui ne va pas, non, ce qui va bien. De façon réelle ou supposée, objective ou subjective. En parti pris arbitraire dépréciateur, systématique démoralisant. Je dois me recentrer sur l’essentiel majoritaire, positif optimiste, plutôt que sur le secondaire minoritaire, négatif défaitiste. J’apprécie ce que j’ai de bénéfique, plutôt que de déplorer ce que je n’ai pas d’attractif ou, ce que j’ai de moins estimable et estimé, à mes yeux. Ainsi, je serai plus satisfait, contenté, apaisé, donc épanoui. Plutôt que me tourmenter inutilement, en outre, pour des réalités mineures, voire imaginaires.


 

 

Quand, quelqu’un, ne m’aime pas, me le fait bien sentir, je me sens, souvent, blessé. Je me dis, que je ne suis pas capable, de plaire, que je suis donc, trop inintéressant, « mauvais », pas assez « bon » ou, méritant.

 

> Mon estime, de moi, déjà, très basse, s’effondre alors, je doute fort, de mes atouts et, potentiels, je perds, encore plus, confiance, m’affirme, encore moins, mal ou, pas. Puis, je perds, tous mes moyens, renonce, à me battre, j’échoue.

 

o J’ai une image de moi-même des plus déplorables. Alors, la moindre marque d’autrui défavorable, à mon encontre, ne fait que la confirmer et la renforcer. Ce qui me détruit encore plus. Les autres ne peuvent me blesser, que si je me blesse d’abord moi-même et, suis déjà atteint, donc, vulnérable et atteignable. En ayant une bonne estime de moi-même, les signes extérieurs contraires ne pourront plus me nuire. Croyant en moi et ma valeur, de façon inconditionnelle, quoi qu’il arrive, je suis indifférent aux attaques d’autrui et, m’en moque éperdument. Je les neutralise ainsi, devenant protégé et inaltérable, donc serein et heureux. Je ne laisse plus aux autres le pouvoir de me nuire, en aval, puisque leur hostilité est brisée net, en amont. Constatant leur impuissance à m’atteindre, ils finissent par cesser toute tentative offensive, car ils savent que cela est vain.


 

 

En classe, de troisième, je voulais, organiser, une activité, entre amis. Pour être sûr, que cela, soit accepté, j’ai pris, grand soin, de tous, les interroger, sur l’adhésion ou, pas, à mon projet. Je voulais, à tout prix, me garantir, de l’assentiment, de tous, car, n’étant pas assuré, moi-même, de l’intérêt, de ma propre idée.

 

> J’avais peur, de la réaction négative, de mes copains, à mon égard, si jamais, ils avaient été déçus, par, ce que je leur offrais. Par autopréjugé, très négatif. Manquant, de force mentale, j’ai trop besoin, de l’accord, des autres, pour exister, m’imposer. Mon image, l’opinion, d’autrui, sur moi, m’importent, alors, bien trop.

 

o Je doute tellement de moi, que j’ai toujours besoin de signes de soutien, de compréhension, d’encouragement, d’approbation d’autrui, à mon égard. Cela me rend dépendant des autres, donc vulnérable, faible, indécis, dominé. Je retrouve ma liberté, mon indépendance d’action et, de jugement, en m’affranchissant de tout assentiment, avis extérieur. Je me suffis à moi-même, mon libre-arbitre. Ne me fiant qu’à ma seule conscience, interprétation, évaluation des circonstances, personnes, réalités.


 

 


Quand, un ami et, moi-même, voulons, deux choses, opposées et, différentes, j’ai tendance, à m’incliner, opter, pour la préférence, de l’autre, non, la mienne ! Même si, cela, ne me convient pas ! Alors, je suis perdant, je subis, regrette, en silence. Je fais, par principe, toujours, passer, mes intérêts, après, ceux, des autres et, les leurs, avant, les miens.

 

> J’ai peur, de déplaire, de ne plus être, apprécié, d’être rejeté, abandonné, si je m’impose. Ce qui impliquerait, pour moi, qui ne m’aime déjà, pas beaucoup, une perte, d’amour, d’amitié, une estime, de moi-même, encore, bien plus, amoindrie. Cette peur, si panique, d’être délaissé, résulte, d’un fort sentiment, de fragilité, de faiblesse, de vulnérabilité, d’infériorité.

 

o Par principe de conviction d’infériorité, je m’efface toujours, au profit d’autrui et, à mes dépens. Je dois donc réévaluer, à la hausse, le sentiment de ma propre valeur. Je retrouve ainsi, ma liberté de jugement et d’appréciation. J’ose m’opposer fermement aux autres, en cas de désaccord et, affirmer posément ma propre opinion. En argumentant et convaincant, de façon pertinente et acceptable, je peux même faire prévaloir mon point de vue, mes préférences. Au détriment de ceux d’autrui. Non, par la force, mais, par leur supériorité démontrée et, en l’intérêt manifeste de tous !


 

 

Si un bon copain, me parle, d’un film de cinéma, « en bien », alors, que je lui ai, au préalable, dit, que je ne l’ai pas aimé, je m’empresse, donc, de tempérer, mon opinion, bien plus positivement.

 

> Par peur, de mécontenter, autrui, d’être rejeté, manque, de confiance, en la sûreté, de mes jugements, je préfère, ne pas être franc et, plutôt, dire, « comme, les autres ». Ce qui m’assure, de leur « bénédiction », à mes yeux, même, au prix, de renoncer, à ce que je pense, vraiment. Plutôt, qu’être, moi-même, quitte, à être « dissonant », mais, alors, au fort risque, selon, moi, d’en payer, le mauvais prix, à mes dépens. Par mécontentement, d’autrui, à mon encontre.

 

o Je cesse d’être, systématiquement, complaisant et trop bon, en devenant enfin vrai, sincère et, authentique, à mes yeux, comme à ceux d’autrui. J’ose m’affirmer, en vérité et non, faux semblant. Sans me préoccuper des réactions d’autrui. La vérité, en m’opposant et déplaisant, vaut toujours mieux, que la dissimulation et le mensonge. Dans l’agrément et la conciliation, de pure apparence. En outre, complaire toujours, par la tromperie, est vain. Les « bénis oui-oui » et, les « neutres transparents » indisposent toujours. Vouloir toujours plaire à tout le monde, aboutit à se faire détester par tous ! Seules les personnalités les plus tranchantes et affirmées sont appréciées et respectées !


 

 

Souvent, pour « m’attirer, toutes les bonnes grâces », de mes amis, en être « bien vu », j’essaie, de leur rendre service, de les satisfaire, au mieux.

 

> Je n’ai pas confiance, en mes capacités, à être accepté, des autres. Alors, je pallie, ce manque, en « faisant plaisir », pour être assuré, d’être apprécié, non, rejeté.

 

o Il est grand temps, de me préoccuper de moi-même, mes intérêts, souhaits, préférences, donc, de mon épanouissement. Non, d’autrui et de ceux des autres. Mon premier devoir est de me gratifier moi-même et, non autrui, qui doit passer après moi, non, avant. C’est en étant bien servi, par moi-même d’abord, que je pourrai alors, bien honorer les autres. Charité bien ordonnée, commence toujours par soi-même !


 

 


J’ai, surtout, pleine confiance, en mes seuls amis fidèles, sûrs et, connus, par moi, de longue date, en complicité et, affinités réciproques.

 

> Je sais, qu’ils me connaissent bien, aussi, qu’ils m’apprécient, de façon inconditionnelle et, acquise. En cas, de difficulté, ils seront, donc, plutôt, « indulgents », me conserveront, leur amitié. Ce qui me garantit, un sentiment, de sécurité et, de bien-être.

 

o Cela est une sécurité illusoire, fragile, incertaine, qui ne me garantit rien sur la durée. Elle ne fait que me limiter et m’enfermer, par faiblesse craintive. Elle ne conduit qu’à renforcer mon marasme et, ma vulnérabilité réelle. Je quitte donc, ma vaine zone de confort, facile et factice, en m’exposant à ce qui me fait peur : les autres inconnus, le risque, le grand large. Fuir, en évitement systématique, ce que je crains, ne fait que renforcer mon inquiétude. Me confronter à ce qui me terrifie, me permet de conjurer ma peur, en l’apprivoisant. Je me rassure, en constatant que je l’ai dominée, surmontée, vaincue, en osant la nouveauté et, en la vivant très bien. Bien plus et mieux, que ce que je craignais, en aisance naturelle. Le vaste monde est plus intéressant et bénéfique, pour moi, que mon seul petit « pré carré » habituel, familier, rassurant, mais appauvrissant.


 

 

En début, de seconde, du fait, de mes mauvaises notes, en mathématiques, je me suis dit, que j’étais nul et, que je ne m’en sortirais pas, ne serais pas accepté, en première S. Que je serais, alors, obligé, de redoubler, ma seconde.

 

> Incertain, de moi-même, de mes capacités, j’imagine, toujours, le pire. Mes mauvais résultats, me convainquent, encore plus, de fort douter, de mes aptitudes, que j’estime, encore plus, basses, qu’auparavant. Ce qui me rend, encore plus, amer, négatif, sur moi-même.

 

o J’arrête de me faire inutilement peur et, de façon contre-productive, comme les enfants. Le grand méchant loup caché sous mon lit, prêt à me dévorer, n’existe pas. Je cesse tout catastrophisme, alarmisme, pessimisme. Je ne pense plus à des sujets de crainte, réels ou supposés, mais, à des stratégies adéquates d’action, pour garantir le meilleur pour moi. Cela me permet de rester serein, même en difficulté, d’agir pour réussir et, de gagner. Ainsi, je n’ai pas peur du pire, cela m’en protège, m’assure le meilleur. J’exorcise mes craintes, elles ne se produisent plus, ni ce qui en était l’objet.


 

 

Quand, j’organise, des réunions, avec mes copains, généralement, tout, se passe bien. Pourtant, même, en ce cas, j’ai malgré tout, l’impression, que certaines choses, ne vont pas, à tort ou, à raison. Je ne vois plus, que cela, oubliant, alors, que l’essentiel, est des plus positifs, pour moi.

 

> Je ne crois pas, être capable, d’organiser, quelque chose, de valable, pour les autres. Je me persuade, alors, qu’il y a, forcément, des aspects, de mon dispositif, qui défaillent, ne conviennent pas. J’ai donc, peur, de la réprobation générale, des autres, contre moi.

 

o Je cesse de me focaliser sur les autres, leurs avis, états d’âme. Je me recentre sur l’essentiel : moi-même, ce que je fais au mieux, ma bonne conscience. J’arrête d’être en introspection anxieuse permanente et, en contrition honteuse culpabilisante, de chaque instant. Pour cela, je me concentre, avant tout, sur ce que je fais, en bonne volonté, assurance, certitude de faire ce que je veux, peux et, dois. Ce que je suis, j’ai, je parais, passe après. Être dans l’action d’avancées et de progrès, me préserve des tourments mentaux et, doutes existentiels inutiles et nocifs. Ainsi, je ne réagis plus, en fonction des autres. J’agis et je pro-agis, selon moi-même. Je ne suis plus paralysé par le doute, mais acteur assuré.


 

 


Quand, l’on me demande, quelque chose, j’ai automatiquement, le réflexe et, la réaction, de penser, que je n’y « arriverai pas ». Je me décourage et, démoralise, alors, à l’avance, de façon, fort défaitiste et, refuse, ma coopération. Je généralise, dans ma tête, ce qui me semble être, ma naturelle « propension », systématique, à échouer, encore et toujours.

 

> Je manque, une fois, de plus, de confiance, en mes savoir-faire. Je refuse, d’agir, par peur, de l’échec. Si je tente, de « me battre », je suis convaincu, de rater. Si je m’abstiens, je n’obtiens, certes, rien, mais, du moins, cela, n’est pas, pour moi, un échec, mais, ma volonté, de ne rien, entreprendre. Ce qui est plus rassurant, gratifiant, confortable. Je pense, que l’échec, n’en est plus un, car, au lieu, d’être subi, par action contrainte, c’est moi, qui le provoque, sciemment, par abstention. Cela, me semble, encore, préférable, car le vrai échec, me confirmerait, alors, encore plus, mes « insuffisances » ou, plutôt, ce que je crois, être, telles ».

 

o Je dois lutter contre mon syndrome d’impuissance, d’incapacité, d’insuffisance. Je remplace donc, mon image de perdant misérabiliste, par celle de gagnant triomphant. Je cesse le pari de l’échec assuré et, le remplace par celui du succès certain. Je change mes pensées et, émotions délétères négatives, pour celles constructives favorables. Cela me permet d’adopter des comportements d’action efficaces, productifs, fructueux et, non plus vains, stériles, ratés. Ma certitude de réussir et, mon action adéquate résolue garantissent mon succès !


 

– Le problème est que l’évitement ne fait qu’aggraver les peurs, blocages, échecs. Seule, la confrontation, en mentoring, par exposition, habituation, acceptation, de ce qui inquiète, permet de vaincre inertie, fuite, crainte -.


 

 

« Si je dois parler, à quelqu’un, qui m’intimide, m’impressionne, j’ai tendance, à bafouiller. Alors, j’ai honte, de moi, car, je me dis, que je n’ai, une fois, de plus, pas été, très brillant.

 

> Cela, me confirme, que je ne suis pas, selon moi, valable et, légitime, cela, m’est donc, fort pénible, douloureux, même.

 

o À force de m’effacer, je suis devenu transparent, invisible, non signifiant, je n’existe plus. Alors, par comparaison, n’importe qui d’autre que moi ou presque, surtout s’il est important pour moi, me tétanise littéralement. Je dois me convaincre que par essence, comme tout humain, je compte, suis unique et capital. Ainsi, cela me permet de gagner en assurance, de m’affirmer et, m’imposer face à quiconque. Je ne suis plus impressionné, mais à l’aise. Mon interlocuteur passe après moi-même et, ma force de conviction, mon sentiment d’être valeureux. Cela change tout !


 

 

Je doute de moi, quand je vais voir quelqu’un, que je ne connais pas, car, je ne sais pas, s’il va m’accepter, je crains, plutôt, que non.

 

> Je redoute, le rejet, des autres, car, cela, sape, encore, un peu plus, ma confiance, en moi, déjà, si limitée, défaillante. Alors, qu’être « adoubé », ne peut, que renforcer, mon assurance, ma foi, en moi, mon acceptation, de moi-même.

 

o Je ne peux faire dépendre ma légitimité, ma valeur, ma sérénité intérieure, des autres. Comme de leur acceptation, assentiment, opinion de moi-même. Je me suffis à moi-même et, autrui n’a aucune place, aucun rôle, en l’espèce. Pour cela, je me convaincs et pénètre, de mes mérites et qualités, non, de mes travers, réels ou supposés. Assez d’états d’âme stériles et toxiques. Je n’ai pas besoin des autres ni, de leur agrément de moi-même, pour exister et, être en bonne intelligence avec moi. Il me suffit, pour de bons liens avec tous, comme avec ma personne, d’être serein, assuré de mon bon droit et, de mes qualités.


 

 


Quand, je pense, à la prochaine reprise, des cours, au travail, à fournir, pour la rentrée, cela, me déprime, déstabilise fort. De fait, toutes les situations, en lesquelles, je suis astreint, de façon optimale, à « obligation, de performances, compétences, moyens et, résultats ».

 

> Je n’ai pas confiance, en moi, ce qui fait, que je ne suis, jamais, convaincu, à l’avance, de réussir. J’ai peur, de l’échec, alors, je me sens inquiet, de façon, chronique, excessive. Ce sentiment, d’insécurité permanente, m’angoisse, me perturbe. Je suis, alors, encore moins, sûr, de moi, j’ai, encore moins, foi, en ma personne. Je suis, encore moins, performant, en terrible, « cercle vicieux ».

 

o Toute difficulté, réelle ou supposée, m’inquiète, car je l’exagère et ne vois qu’elle. J’oublie et je minore mes atouts, qualités, aptitudes et, capacités à vaincre tout aléa. Je ne dois donc pas raisonner problème, mais solution. M’obséder de l’adversité me paralyse et, me rend incapable de la surmonter. N’envisager que la solution me permet d’y croire, de la mettre en œuvre et, de réaliser mon but, en réussissant. L’obstacle obstruant la voie n’importe plus, puisque l’on ne se concentre que sur le moyen de contournement, pour passer outre !


 

 

Mes très mauvais résultats, en mathématiques, en début, de seconde, m’ont convaincu, du redoublement. J’ai été bouleversé, j’ai perdu, toute confiance, en moi-même et, en l’avenir.

 

> J’ai trop douté, de toutes mes possibilités, d’inverser, positivement, la tendance négative, ce qui m’a figé de peur, décontenancé, face aux obstacles, difficultés.

 

Je me crois toujours voué à la fatalité, la malédiction, les coups mortels du sort. J’accepte le pire, jugé inéluctable, ce qui me dispense d’agir et, me donne l’excuse absolutoire de la passivité, l’inaction. En fausse bonne conscience. Mon bonheur ne dépend pas d’un supposé destin mauvais, tout tracé, s’imposant à moi. Or, de ma bonne action, la plus et mieux déterminée, résolue, ardente. Celle-ci se suffit à elle-même et, suffit à assurer ma félicité et ma réussite. Je cesse donc, les élucubrations négatives d’échec néfastes et, je les bannis à vie. Action, toujours, fausses déductions, jamais !


 

 

Je me démotive, souvent, face, à l’un, de mes mauvais résultat. Je suis déçu, par moi-même, je m’en veux, me condamne. Cela, me démobilise, décourage, me désole totalement, à la longue. M’enlève, toute envie, de me battre, pour « redresser, la barre ». Au lieu, de me « donner, un réel, coup de fouet ».

 

> Cela, me désarme, encore, un peu plus, tant, la situation, va, dans le sens, de ce que je pense, être. Un perdant impuissant, non, un triomphant battant, gagneur !

 

o Mon manque de confiance en moi génère mon perfectionnisme toxique. Je veux trop bien faire, par manque de foi en moi. Alors, la moindre imperfection, le moindre insuccès, me désespèrent et terrifient. Je dois accepter ma faillibilité humaine, non, pour m’anéantir, mais, pour persévérer dans l’effort, car je suis aussi perfectible. Tel est l’essentiel : je suis imparfait, mais je peux toujours m’améliorer, pour devenir, non pas impeccable, mais meilleur. Cela suffit à mon bonheur et ma réussite. Je cesse de trembler et, m’accabler inutilement, face à tout aléa, pour faire face, me battre, rétablir ma situation et, vaincre. Je m’imprègne de la conviction du meilleur, toujours possible, non du pire, jamais assuré.


 

 


J’ai peur, de l’école, des profs, du travail, des contrôles, des réactions, de mes camarades, à mon égard. J’éprouve, du malaise, du dégoût, à l’égard, de la rigidité et, de la dureté, du système scolaire français. Je refuse, alors, de me plier, aux règles, aux injonctions, qui me paraissent, illégitimes, non-fondées.

 

> Au début, du collège, j’ai été, fort traumatisé, par les railleries, très cruelles, de certains camarades, contre moi. Ce qui a, encore plus, altéré, mon estime limitée, de moi-même. J’en ai gardé, un rejet, un écœurement, de la chose scolaire.

 

o Je me laisse impressionner, par ce qui représente pour moi l’autorité, le contrôle, la performance, le rapport à mes semblables jeunes. Soit, le milieu des études, par définition. Cela provient moins, du système éducatif extérieur lui-même, que de mes doutes et failles intérieurs. Pour être fort et vaincre, il me faut me distancier du monde externe, m’en rendre insensible, me renforcer mentalement. Pour privilégier, surtout, mon intériorité morale, la plus assurée et sereine. Je dois être conscient de mes atouts, aptitudes et, qualités propres et, les faire valoir, sans peur ni reproche. Ne jamais me laisser intimider, par rien ni personne. Relativiser, positiver, dédramatiser. Considérer l’école pour ce qu’elle est : un simple et inoffensif moyen d’enseignement et non, un « Grand Inquisiteur ». Mes condisciples, quant à eux, ne sont que de simples « quidams étrangers », non des proches intimesd, rien de plus. Concernant les pires, il me suffit de les tenir en respect, par mon indifférence la plus glaciale, s’ils sont inconvenants. Ils en seront désarmés et, leurs sarcasmes vains.


 

 

En première moitié, de ma scolarité, au collège, mes condisciples m’ont catalogué, comme, étant, « bizarre, différent, à part ». Du fait, notamment, de nettes dissemblances, de style, d’opinion, d’attitudes. J’étais, alors, marginalisé, rejeté, solitaire, minoritaire et, traité, comme tel, en « paria ostracisé, indigne et, déchu ».

 

> Je n’étais ni, reconnu ni, accepté ou, apprécié, pour moi-même, tant, je m’autodévalorisais ! Ne suscitant, nulle adhésion, chez mes semblables. Cela, n’a pu, que renforcer, mon préjugé, d’autodépréciation. Me confirmant, à tort, que je n’étais pas, quelqu’un, de valable, d’estimable, puisque j’étais rejeté.

 

o Je ne peux être estimé des autres, tant que je me déprécie moi-même et, n’ai aucune considération, pour ma propre personne. Le jugement d’autrui sur moi n’importe pas. Seule compte la vision que j’ai de moi-même. Je restaure donc, à mes yeux, mon image personnelle, en la positivant. Cela changera favorablement, l’idée que les autres se font de moi, car elle dépend plus de moi-même, que d’autrui. Ayant de la valeur, selon moi-même, et le pensant, les autres le ressentiront ainsi et, me feront alors crédit, à leur tour. Le débit venant plus de moi que d’eux !


 

 

Mes parents me reprochent, de ne pas, assez, agir, d’être trop passif, inhibé, absent, de ne pas prendre, d’initiatives.

 

> Il y a, chez moi, de la paresse, la peur, de mal faire et, de me tromper. Que cela, se retourne, contre moi. Je n’éprouve pas, non plus, le besoin, de faire, des choses, en permanence. Le doute, n’encourage pas, l’action, mais, plutôt, l’inertie.

 

o Je me motive à agir, en pensant à mon souhait de faire et, à ce que cela peut m’apporter de positif, pour moi. Non, en me laissant paralyser, par l’idée que mon action pourrait impliquer échec et désagréments. Seule l’action bénéfique et favorable importe, non mes états d’âme bloquants, à ce sujet. En outre, l’essentiel n’est pas toujours d’agir, mais aussi, de me ressourcer moralement, par l’être. Réfléchir, méditer, rêver… L’activisme matériel forcené n’est pas un idéal en soi, pas plus que l’inaction amorphe permanente, la plus stérile. Un bon équilibre entre faire et être, avoir et paraître, s’impose.


 

 


Je suis très inquiet, du temps, déjà, écoulé, comme, de celui, qui reste, disponible. Surtout, pendant, les vacances. J’anticipe, donc, à l’avance, la rentrée scolaire, avec l’angoisse, qu’il me reste, trop peu, de temps libre, pour moi et, un ressourcement suffisant, avant, la reprise, des cours.

 

> Je vis, alors, dans la nostalgie ou, le regret, du passé, la projection inquiète, dans l’avenir, des études. Je ne profite pas, toujours, pas assez ou, mal, du temps présent, des vacances. J’ai une phobie scolaire, qui me handicape, me stresse, me gâche, le futur, m’empêche, de pleinement, savourer, ma vie, d’avant, les cours.

 

o Je manque de confiance en moi, ma vie, autrui. Mon passé me rassure, car il est caduc, donc inoffensif. Mon avenir m’angoisse, car je le ressens comme porteur de menaces, d’incertitudes, de mal, pour moi. J’élude mon présent et, je ne le vis pas pleinement, car il est immédiat, me paralyse, ne sachant comment l’appréhender, par peur et doute. Pour bien vivre, je dois le faire au présent, lui seul me permettant d’agir adéquatement, pour bien faire et, bien exister. Ce que ne permet ni, le passé déjà achevé ni, le futur encore inexistant. Mon espace-temps est donc, « ici et maintenant », pas « ailleurs, avant ou, plus tard » ! Cela est excuse d’inaction. Seule l’actualité me permet de vivre et, au mieux.


 

 

Quand, mes parents, me demandent, un service quelconque, je repousse souvent, à plus tard, le plus loin, possible. Je suis, alors, obligé, de le faire, précipitamment.

 

> Je reporte, la « corvée », pour ne pas, y être astreint, de suite. J’ai l’impression, que cela, me coûte plus, de me contraindre, sur-le-champ, que plus tard ».

 

o « Ce qui est fait n’est plus à faire ». Je me débarrasse donc des corvées, tout de suite, au lieu de les traîner, comme un boulet sans fin. Je ne dois pas avoir peur de l’action mais, de l’inaction. Je me motive à faire, en ne pensant pas au désagrément de la tâche à accomplir. Or, à la satisfaction obtenue, une fois faite, car il vaut mieux qu’elle soit caduque, que restant à venir. « Je ne remets jamais au lendemain, ce que je peux faire tout de suite » !


 

– Alors, c’est cela même. La souffrance, d’avoir, la corvée, encore, à accomplir, devant soi, est pire, que celle, de devoir, s’en débarrasser, dès, maintenant. De l’avoir, derrière soi, car, déjà, accomplie, non, restant, à être exécutée. Ce report est, la procrastination -.         


                                     

 

« J’ai tendance, à faire passer, ce qui me plait, avant, le reste, car, ce qui constitue des obligations, des contraintes, me rebute.

 

> Je travaille, déjà, beaucoup, au lycée, alors, en dehors, des cours, je n’ai plus l’envie, la force, de le faire, de nouveau. Plutôt, de me récompenser, de mes efforts, en me faisant plaisir.

 

o Il est plus productif, facile, gratifiant, d’avoir le réconfort après l’effort et, non, avant. Même si j’ai déjà travaillé à l’école, je dois d’abord achever ma tâche scolaire, à la maison. Ensuite seulement, j’aurai tout loisir de me détendre et reposer, l’ensemble du labeur du jour étant totalement achevé. Je me motive, en me disant que si je fais vite et bien ma tâche immédiatement, je serai ensuite tranquille. Pour pleinement savourer, avec du temps restant suffisant, mes loisirs.


 

 


Je suis un garçon patient et, je sais attendre, tranquillement, concernant, les autres, les sentiments, que j’éprouve.

 

> Ma personnalité, par tempérament et, caractère, est posée, pondérée, calme et, respectueuse, de tous, en toutes circonstances.

 

o Les jeunes n’ayant pas confiance en eux sont souvent appréciés, pour leurs grandes qualités humaines. Ils savent être à l’écoute des autres et, leur donner beaucoup. N’ayant pas assez foi en eux, ils idéalisent autrui, lui donnent préséance et, s’effacent devant lui. Leur altruisme généreux et humaniste est à saluer. Ils doivent toutefois prendre garde, à se protéger des abus possibles des autres, en étant bons mais, point trop. Ils resteront bienveillants, tout en sachant mettre des limites, aux éventuels débordements des autres.


 

 

En dehors, du champ, lié, aux inquiétudes scolaires, je vis, plutôt, au présent, au jour, le jour. Je n’ai pas, de projets ou, d’attentes particulières, par rapport, au futur.

 

> Je n’ai pas, d’envies spécifiques, car, mon avenir, n’est pas encore, déterminé ni, précisé, à mon âge d’incertitudes.

 

o Je dois effectivement me préoccuper, d’abord, de mon quotidien le plus immédiat. Pour autant, j’évite les improvisations de dernier moment. Il me faut anticiper, prévoir, organiser, suffisamment à l’avance, l’essentiel de mon existence. Pour éviter de me laisser surprendre au dépourvu. Il vaut mieux « être fourmi que cigale ». Cela me garde des cuisants déboires, d’une insouciance inconséquente. Tout en restant toujours confiant et serein.


 

 

J’aime bien, « contrôler, les choses », je n’accepte, de laisser faire, les autres, que pour, ce qui me paraît, ne pas trop, me concerner, directement. Je préfère, maîtriser, moi-même, l’essentiel, de ce qui fait, ma vie.

 

> Quand, j’agis, moi-même, du moins, suis-je assuré, que cela, sera fait, à ma façon, comme, j’estime, que cela, doit être. Manquant, de confiance, en moi, je n’ai pas plus, confiance, en autrui. J’ai peur, que ma confiance, ne soit fort trahie, par les autres, si je les laisse trop, intervenir, dans mes affaires propres ».

 

o Il ne faut certes pas me laisser envahir, déborder, dominer, manipuler, par autrui. Pour autant, tout en restant prudent, libre et, souverain, car autonome en ma vie, je dois savoir faire confiance et déléguer. Je ne peux tout faire moi-même. L’apport des autres est enrichissant et complémentaire. J’apprends aussi beaucoup d’eux et, de leurs contribution et talent. J’agis donc, au maximum, moi-même, tout en sachant toujours solliciter ou, accepter l’aide, la collaboration, la coopération précieuses, utiles et, nécessaires d’autrui.


 

– « L’on n’est jamais, mieux servi, que par, soi-même », comme, le dit, si bien, en bon sens, l’adage populaire. Certes, or, avec mesure et modération, donc -.


 

 


« J’aimerais, pouvoir, dormir, un peu plus, chaque jour, car, la réalité, actuelle, de mon sommeil, mon repos, ne me satisfait pas.

 

> Le temps disponible, est insuffisant, pour bien, récupérer, être en forme : sept heures et, demie, par nuit. Du fait, du travail chargé, des activités, à accomplir. Il me faudrait, au moins, une heure, de plus. En fin, de semaines, je ne peux, « me rattraper », car, je veux profiter, du temps libre et, parce que, j’ai des activités, à faire, le matin ».

 

o Mon sommeil, comme mon alimentation et, mon activité physique, est capital, pour ma santé physique et psychique. Surtout, à un âge de forte évolution et sollicitation, du corps et de l’esprit. Mon cerveau n’étant pas encore à pleine maturité, avant mes vingt-cinq ans. Je ne peux donc sacrifier mon sommeil, à mes études et mes loisirs. Trop dormir est aussi néfaste. Je veille donc à m’organiser suffisamment, pour pouvoir dormir assez. Pour rester en bonne santé physique et psychique et, pleine capacité intellectuelle, pour mes études. Pour bien les réussir, en demeurant en pleine forme.


 

– Les adolescents ont besoin, en moyenne, de neuf, à dix heures, de sommeil, par nuit. Or, la plupart, des jeunes, dorment, tout comme, les adultes, de sept, à huit heures nocturnes. Soit, un déficit minimal, moyen, d’une, à deux heures, par nuit, qui se cumule. Ce qui ne se rattrape pas ou, insuffisamment, est néfaste, pour la santé, à un âge, de grands développements. Tant, pour le cœur, que pour le cerveau et, les aptitudes mentales -.


 

 

« Je sais, toujours, apprécier, à leur juste valeur, mes succès et, progrès, notamment, mes bonnes notes scolaires.

 

> Cela, me rassure et, m’encourage, sur moi-même, mes capacités personnelles, alors, je ne boude pas, mon plaisir.

 

o Il est important, de fait, de bien savoir profiter de mes acquis réussis et bénéfiques, pour rester motivé à poursuivre mes efforts. Je veille aussi, à ne pas m’en contenter et, ne faire que « me reposer sur mes lauriers ». Je ne me contente pas de mes succès acquis passés, au risque de les perdre, ainsi que leurs bénéfices. Une fois atteint un objectif, j’en poursuis d’autres,  jusqu’à une nouvelle victoire et, ainsi de suite. Je n’oublie jamais, que la réussite d’une vie, repose sur le fait qu’elle est un éternel recommencement. Qu’il convient de, toujours et sans cesse, « remettre sur le métier son ouvrage », tant que l’on est vivant.


 

 

J’accorde beaucoup d’attention et, d’importance, à mes sentiments, mes interprétations, des choses, ce que je vis. Cela, de façon, intense, bien plus, que pour les effets, de mes actes, des circonstances et, des événements.

 

> Réussir, gagner, vaincre, ne me suffit pas. Il faut, à mes yeux, que cela, soit réalisé, de façon, qualitative, satisfaisante et, non seulement, quantitative et, médiocre.

 

o J’ai raison de penser, que « la fin ne justifie pas les moyens ». Il n’y a pas que les résultats qui comptent, mais aussi, l’art et la manière d’y parvenir, comment, pourquoi… Pour autant, je ne dois pas me tourmenter sur la forme mais, me préoccuper surtout du fond. Bien faire et bien obtenir suffit, vouloir trop bien faire, aboutit souvent à mal faire. La perfection n’est pas de ce monde et, le perfectionnisme est plus souvent contre-productif, que bénéfique et qualitatif.


 

 


Même, dans le succès, j’ai tendance, à être, souvent, frustré. Car, même, si le résultat, de mes efforts, est bon, selon moi, j’aimerais faire, obtenir, encore plus. Je m’en contente, donc, mais, je suis, toujours, déçu.

 

> Je suis tourmenté, car je me compare trop, aux autres. Alors, je les envie, parce que, je pense, qu’ils sont et, font, plus et, mieux, que moi et, moi, moins et, moins bien, qu’eux. Cela, me fait mal, car, je me persuade, encore, un peu plus, que je ne vaux rien. Pour rééquilibrer, compenser, ce que je pense être, mon infériorité, mon retard, déficit, je me crois obligé, d’ « en faire, toujours plus ». Du fait, de ma fort mauvaise image, de moi, de mon manque, d’affermissement moral et psychologique, intérieur.

 

o « Comparaison n’est pas raison ». Chacun est différent, unique, incomparable. Je cesse donc, de « regarder l’assiette du voisin et, croire que l’herbe est toujours plus verte ailleurs ». L’important n’est pas qu’il y ait toujours mieux que soi, car il y a toujours aussi moins bien. L’essentiel n’est pas ce qu’ont les autres, du pire au meilleur, mais, ce que j’obtiens moi, tant que cela est satisfaisant et honorable. Tant que j’ai donné le meilleur de moi-même et, atteint mes limites maximales. Si tel n’est pas le cas, il me suffit alors, de faire mieux la prochaine fois. Seuls comptent mon avancée régulière, mes efforts, progrès constants et, mes résultats acceptables. Le reste n’est que tourment inutile. Ma valeur ne repose pas sur mes résultats, mais sur ma seule personne. Je n’ai donc pas à « agir, de façon parfaite, pour être au mieux possible ».


 

 

Mes parents me reprochent, souvent, de ne pas aimer, me battre et, de fuir, la « lutte, pour vivre, m’épanouir, réussir ».

 

> Cela, implique, une obligation, de performance. Comme, je n’ai pas confiance, en moi, la compétition m’effraie, car, je doute, de mes capacités.

 

o L’être humain ne se juge pas à l’aune de ses résultats, mais de lui-même. Il est toujours plus grand que ses acquis, comme de ses fautes. Je suis d’abord un jeune, pas un compétiteur. Pour autant, je ne dois pas avoir peur de me mesurer à la vie, aux autres, aux obstacles, objectifs, sélections, épreuves… Cela fait aussi partie de l’existence et, je ne peux m’y dérober. Je crois en moi, en mes chances, alors je participe hardiment, à « la lutte pour la vie, ma vie » !


 

 

Je préfère, les temps, de solitude, de réflexion, silence, secret et, d’inaction. Je suis un « contemplatif, retiré, en moi-même ».

 

> Cela, me permet, de souffler, me ressourcer, lire, au calme, me détendre. Ce qui limite, mon stress, manque, de confiance, me rassure fort.

 

o Un certain retrait du monde permet une contemplation, une introspection, une méditation utiles de régénération morale. Pour faire le point, savoir qui l’on est, d’où l’on vient, où l’on va, en sa destinée terrestre. Pour mieux repartir ensuite. Or, je suis aussi un acteur de ma vie, pour être utile à moi-même et aux autres. Donner un sens à mon existence, laisser une trace signifiante, lors de mon passage terrestre… Pour cela, je ne peux me contenter d’être un observateur, mais je dois aussi être un bâtisseur actif et constructif, par l’action !


 

 


Je ne suis pas obsédé, par la performance, au contraire, je me trouve, parfois, trop inerte, passif, attentiste et, craintif.

 

> J’ai encore, trop peur, des enjeux, qui m’intimident, pour « foncer ». Or, j’espère, bien mieux, dominer, ma vie, à l’avenir, au lieu, d’être « écrasé », par elle. En étant, plus sûr, de moi, de ma légitimité et, de mes valeurs et, idéaux.

 

o Je ne peux me contenter d’être « suiviste », attentiste, dépendant des autres, des circonstances… Je dois dépendre de moi, non de facteurs externes. Sinon, si je ne décide pas moi-même, je serai mené là où je ne veux être, si je laisse les autres et les choses en disposer, à ma place. Je domine ma vie, je ne me laisse pas dominer par la vie. Pour cela, je ne me laisse pas impressionner par les enjeux, quels qu’ils soient. Je me recentre et concentre, sur ce que je fais et veux faire de ma vie. Alors, j’agis adéquatement, au mieux, en confiance. Cela suffit et me suffit, en paix, conscience et, sérénité.


 

 

Je me préoccupe fort, de façon, trop souvent, excessive et, obsessionnelle, de mon image et, de l’opinion, des autres, sur moi.

 

> Cela, me rassure, sur moi-même et, me ré/conforte, en cas, d’appréciation positive, d’autrui, à mon égard. Tant, je doute, de moi. Pour autant, je ne tiens pas, à faire, à tout prix, « bonne impression ». Il est important, de plaire, mais, pas, au point, de subir, la volonté, d’autrui, la tyrannie, de la popularité, coûte, que coûte ».

 

o Mon bonheur ne peut dépendre de l’approbation d’autrui et, mon malheur de sa réprobation. Je suis seul juge, en conscience, de l’évaluation, positive, neutre ou négative, de moi-même. Laquelle ne peut venir que… de moi ! Une bonne estime, confiance, affirmation de moi-même, me permettent d’être indépendant du jugement d’autrui sur moi. Cela garantit ma liberté, ma sérénité, ma force mentale et, mes capacités d’action aboutie et réussie.


 

– La popularité à tout prix est trop importante, pour nombre de jeunes. Avec la fascination, pour la célébrité médiatisée, de certains, notamment, parmi leurs pairs -.


 

 

« Quand, je suis, avec mes amis, il m’arrive, de chercher, à me conformer, à l’avis dominant, alors, même, que je ne le partage pas, forcément.

 

> Pour éviter, de m’opposer, d’être, en désaccord, avec ceux, que je connais et, que j’apprécie bien, pour prévenir, les disputes. S’il y a, discorde, cela, implique, pour moi, une distanciation, un éloignement, d’avec, mes amis. Le risque, pour ma personne, d’être exclu, marginalisé. Cela, me confirmerait fort, mon incapacité, à susciter, l’adhésion, des autres et, ne pourrait, alors, qu’aggraver, mon manque, de confiance, en moi. Ce dont, je ne veux, absolument, à aucun prix, tant, l’abandon, par autrui, me donnerait, un sentiment, de rejet, insupportable. Du fait, de mon désamour, de moi-même, déjà, si douloureux !

 

o L’essentiel n’est pas d’être complaisant, à tout prix, mais d’être vrai, sincère, authentique. Il vaut mieux déplaire dans la vérité, que plaire dans le mensonge. Être honnête en m’opposant, que malhonnête en complaisant. Je dois être moi-même, quitte à en payer le prix, en courage, plutôt que de rechercher le confort facile, en lâcheté. Mes vrais amis me resteront toujours acquis, quelles que soient mes opinions justes, légitimes, défendables. Seuls les autres pourront m’en tenir rigueur et grief. Alors, je peux être hardi et vrai, je ne risque rien. Avoir confiance, être confiant me permet, en outre, de m’affranchir, une fois pour toutes, de l’aval des autres. Alors, je ne dépends plus de l’opinion d’autrui, mais seules comptent mes appréciations propres. Seuls importent ma liberté et, mon droit à les exprimer, sans fard ni dissimulation. Comme pour les autres !


 

 


J’ai toujours, grand mal, à choisir, décider et, m’engager. Ainsi, pendant, les vacances, j’ai envie, de pratiquer, certaines activités, de loisirs, mais, j’hésite beaucoup, malgré tout, avant, de « me lancer ». Je doute, je m’interroge, trop.

 

> J’ai peur, en cas, de mauvaise option, de m’ennuyer, si, en réalité, la pratique retenue, ne me convient pas. Ce qui me priverait, du plaisir, escompté. Par anxiété, je ne suis pas, assez, déterminé, résolu.

 

o Mon manque de confiance implique, immanquablement, pour moi, irrésolution, doute, incertitude, peur. Au lieu de me laisser envahir et paralyser, par mes états d’âme négatifs, je me concentre sur mon désir d’agir, de parvenir, d’obtenir. Sur ce qui me motive, m’intéresse, me fait envie. Cela me permet de passer outre mes blocages, résistances, atermoiements. Plutôt que m’obséder de craintes négatives d’inconvénients, d’échec, je me convaincs des avantages, agréments pour moi d’oser agir. Seule façon d’obtenir positivement en ma vie. Je m’assure que je ne crains rien, car je peux toujours renoncer ensuite, si ce que j’ai voulu ne me convient pas. Il n’y a donc rien de définitif ni, d’irréversible ou, de dommageable, en cas de déconvenue. Je peux alors, toujours, oser me lancer hardiment, sans risque. D’autant que le plus probable, pour moi, est tout bénéfice et non préjudiciable.


 

 

Quand, je dois organiser, quelque chose, pour les copains, je m’alarme, à l’avance, de façon, excessive, de savoir, si cela, va leur convenir ou, non.

 

> Je n’ai pas assez, foi, en mes aptitudes, à bien faire, contenter, autrui. Alors, je cherche, à tout prix, à trop bien, agir et, m’assurer, de l’adhésion, de tous. Sinon, je me sens, encore, bien plus, incapable et, m’apprécie, encore moins.

 

o La réaction d’autrui à ce que j’entreprends, même si cela le concerne, n’est pas primordiale ni l’essentiel. Compte, avant tout, ce que je fais, car je le fais bien et, en conscience. Il y a toujours des mécontents, mais aussi, tout autant, des satisfaits. Ce sont ces derniers qui importent le plus. Si je me laisse impressionner, influencer et, m’en laisse conter, par les autres, je ne ferai jamais rien dans ma vie. Je resterai paralysé par les avis et prétentions, de Pierre-tte, Paul-ine, Jacques-line. Je n’écoute pas les mouches du coche, j’agis, je réalise mes objectifs, réussis ma vie, comme je l’entends, au mieux.


 

 

Généralement, si je dois choisir, une activité, je m’imagine, de suite, qu’elle va être, bien, au-dessus, de mes forces, capacités. Je m’exagère, les obstacles, pour y parvenir, au lieu, de voir, les avantages, de l’objectif atteint. Je décide, avec retards, doutes, crainte.

 

> Je ne crois pas, en mes capacités, d’adaptation, alors, je préfère, les choses simples, qui me paraissent plus, à ma portée. Je ne me sens pas, assez, de taille, à lutter, vaincre. La difficulté m’intimide beaucoup, quand, ce qui me semble, abordable, me rassure, fort.

 

o Douter de mes aptitudes, pour « un oui ou un non », me mène à rater tout ce que je fais et, le plus souvent, à ne rien faire. Par peur de mon insuffisance, de mon échec. Tout cela est irrationnel et supposé, non réel ni même, le plus probable. Je me persuade du contraire : capacité personnelle, foi en moi, en mon succès. Je me bats alors résolument, sans états d’âme négatifs, je parviens sans encombre à mes fins. Je réussis et suis heureux et comblé, de surcroit.


 

 


En fins de semaine, je ne suis pas, toujours, au courant, du programme, d’activités, prévu, en famille. Car, je vis, habituellement, en internat. Cela, me gêne beaucoup, car, je n’aime pas, l’inconnu, la nouveauté.

 

> J’aime bien, savoir, bien, à l’avance, mon emploi, du temps. Cela, me rassure, car, sachant, ce qui va, se passer, je peux, bien, m’y préparer, mentalement, psychiquement, matériellement, au mieux. Cela, me permet, d’être, plus serein, à l’aise. Je peux mieux, faire face, m’organiser, être prêt. Je me sens, alors, plus sûr, de moi, que si je suis pris, au dépourvu, ce qui accentuerait, mes doutes habituels.

 

o Certes, il est toujours plus facile, confortable, agréable, pratique, de connaître tout à l’avance, pour prévoir, savoir, gérer, au mieux. Or, cela n’est pas toujours possible, ni même souhaitable. En confiance et sérénité, je dois toujours pouvoir faire face à l’imprévu, l’inconnu, l’incertain, au risque. Cela fait autant partie de ma vie, que ce qui est connu, assuré, garanti, balisé. Il me revient alors, d’accepter cela. Je m’adapte, fais face, sais improviser, suivre le mouvement. Tout en étant rigoureux, méthodique, organisé, efficace. Tout autant dans l’imprévu inopiné, que dans ce qui est programmé à l’avance. Je peux toujours aussi bien faire « au pied levé », que dans la routine familière la plus encadrée et, c’est l’essentiel !


 

 

Quand, je m’exprime, en public, je suis très tendu, les profs me rassurent et, me demandent, alors, de me détendre.

 

> Je surestime, les risques, de ma prestation, par doutes, sur mes aptitudes. Alors, je me protège, en m’imaginant, le pire, pensant, ainsi, mieux, y faire face. Alors, qu’en réalité, cela, ne fait, qu’empirer, mon malaise.

 

o Pour être à l’aise et réussir une intervention, devant autrui, je ne pense pas à la forme, mais au fond. Je ne me préoccupe pas des réactions du public ni, du fait que je doive lui parler, seul devant tous. Je me concentre sur le seul message de communication, que je dois délivrer. Comme il est de qualité, que je l’ai bien rédigé et préparé, cela suffit à l’excellence et, à la réussite de mon discours. En capacité, passion, enthousiasme, force de conviction. Je fais donc avec brio, ce que j’ai à faire, car j’y suis apte et compétent. Ma mission est alors accomplie et, parfaitement gagnée !


 

 

Avant, mon année, de troisième, au collège, mes parents me laissaient, peu, d’autonomie. Ce qui était, pour moi, source, de stress, d’anxiété, supplémentaire. Un jour, étant, chez un ami, je n’avais pas précisé, à ma famille, d’heure, de retour. J’ai téléphoné, pour dire, que je rentrais seul, mais, mes parents ont voulu, malgré tout, à tout prix, venir, eux-mêmes, me chercher et, l’ont, finalement, fait.

 

> C’était gênant, par rapport, aux amis, car, j’avais l’impression, d’être moins libre, qu’eux, d’être traité, en « bébé », ce qui est fort humiliant. Cela, a altéré, encore plus, mon manque total, d’estime, de moi-même.

 

o Pour éviter de me sentir maltraité par autrui, même en public et, même de façon avérée, j’y demeure indifférent. Sûr de mon bon droit et, de ma force morale. Je ne laisse personne, quelle qu’elle soit, m’atteindre par ses abus, quels qu’ils soient, à mon égard. Importe, non le comportement d’autrui, vis-à-vis de moi et, à mon encontre, mais ma solidité mentale de personnalité inaltérable. En outre, j’apprends à prévenir les débordements et déviances des autres, avant leur survenue éventuelle. Comme à les neutraliser, s’ils se produisent, sans avoir pu être évités. En instaurant et leur imposant, toujours, des limites de sauvegarde, pour les dissuader de me nuire. Je ne fais pas confiance d’office à la droiture supposée, mais jamais garantie, d’autrui. Je préviens et j’annihile ses turpitudes, toujours possibles et dommageables, pour moi.


 

 


Quand, l’on me propose, de faire, une activité, j’hésite, généralement, car, j’ai très peur, que cela, ne me convienne pas.

 

> Je suis fort anxieux, concernant, ce qui m’est suggéré. Je crains, de m’ennuyer, de ne pas, m’adapter ni, de réussir, à prendre plaisir, à ce que je fais, de me tromper, d’envies, comme, de désirs, à mes dépens.

 

o Je ne suis pas un passif faible, qui subit et, est soumis, mais, un actif fort, qui agit et domine. Il s’agit de moi et de personne d’autre, de ma vie et, non de celle d’autrui. Moi seul décide donc, pour ce qui concerne ma personne et, mes activités, mon existence. Je choisis alors, moi-même, en souveraineté et libre-arbitre, ce que je veux, pour moi-même, en conscience. Cela ne peut et ne doit donc provenir, que de moi-même et, non d’autrui. Chacun décide pour soi, non, pour autrui. Même jeune, même en famille. Ainsi, je suis assuré, puisque cela provient de moi seul, que tout ce que je fais me convient et, est bénéfique pour moi, a priori. Si tel n’est pas le cas, je n’aurai alors, qu’à m’en prendre à moi-même. Je pourrai aussi, toujours, amender, rectifier, améliorer mon choix, pour qu’il soit enfin, pleinement conforme, à mes souhaits, appétences et, intérêts. En outre, je peux toujours refuser les propositions extérieures, si je ne les agrée pas, comme les accepter, si je les approuve pleinement.


 

 

J’éprouve trop, de désintérêt, pour les choses, j’abandonne, très vite, je renonce, je me décourage, ne tente pas, assez.

 

> Je suis défaitiste, par négativité et, pessimisme. Je n’ai pas l’envie, la force, de me battre, pour surmonter, les difficultés. Je suis trop incertain, de moi-même, des autres, de la vie, de mon devenir personnel.

 

o Tout ce qui est extérieur, à moi-même, est parasité par… moi-même ! Je n’arrive pas à m’impliquer, m’investir, participer, à quoi que ce soit, par doute sur moi-même. Ce qui me fait douter de tout, par manque de confiance, peur, certitude du pire. Je préfère alors me protéger, en me réfugiant dans l’abstention, la solitude, l’inactivité. Pour sortir de ce marasme, je sors de moi-même, de mes états d’âme négatifs. J’ose assouvir et assumer mes envies. Mes désirs d’activités bonnes pour moi l’emportent alors, sur mes peurs de m’y engager. Seul importe le fait d’obtenir ce qui m’attire et non, mes craintes de ce que cela implique négativement, à mes yeux. De façon non justifiée, le plus souvent. Je ne dois donc pas me priver, de choses bénéfiques pour moi, sous prétexte de phobies non fondées.


 

 

J’imagine, souvent, le pire, par anticipation, projection, alarmisme, pour ne pas être pris, au dépourvu et, en esprit, d’inquiétude.

 

> Pour éviter, d’être déçu, dans mes attentes, ce que je crains, le plus. Je manque, de foi, par démobilisation, peur, négativisme et, démoralisation.

 

o Imaginer le pire ne protège en rien contre l’échec, le favorise et, empêche le meilleur. Ce dernier ne peut advenir que si j’y crois. Qu’importe ce que je ressentirai, selon les résultats de ce qui a du prix, à mes yeux. L’essentiel est d’agir, en fonction de ce que je veux, pour l’obtenir et, d’y parvenir. Si j’en suis satisfait, c’est gagné. Si tel n’est pas le cas, cela n’est pas dramatique. Je peux tout de même m’en contenter, en faisant la part des choses. Sinon, je peux toujours tenter d’améliorer, de rectifier, ce qui est. Si cela n’est pas possible, rien ne m’empêche de recommencer tout le processus, pour tenter d’obtenir plus et mieux, cette fois-ci. Quoi qu’il en soit, l’action résolue et confiante est toujours plus bénéfique, que la passivité et les tourments mentaux, inutiles et stériles.


 

 


Concernant, les résultats scolaires, les mauvaises notes me stressent, de façon excessive et, douloureuse, pour moi.

 

> J’ai honte et, je culpabilise, car, cela, dégrade, encore plus, ma mauvaise image, de moi-même. Or, je peux, avoir, de meilleures évaluations, en travaillant, plus et, mieux, pour atteindre, un meilleur niveau, réussir, par mes efforts, propres. Ce qui limitera, mon anxiété chronique, me rendra, plus serein.

 

o Ma valeur dépend de moi-même, non, de mes résultats et performances. Si j’échoue, je ne suis pas mauvais pour autant. Cela est provisoire, améliorable, non définitif. Aucun jugement de valeur ne peut se justifier contre moi, pour autant. Seuls mon travail et ses effets peuvent être évalués. Cela dédramatise et relativise la situation. Il me suffit de travailler plus et mieux, autrement, cela améliorera mes prestations et mes notes. Ainsi, tout rentrera dans l’ordre. Une fois de plus, mes ressentis comptent peu. Seuls les faits et leurs effets importent et, je peux toujours les bonifier, à ma guise, par mon action. Alors, tout va bien, « dans le meilleur des mondes possibles » !


 

 

Le devoir, de performance, et, de réussite, de moyens et, de résultat, à l’école, est incontournable, stressant, très déstabilisant, pour moi.

 

> Puisque, je dois faire, avec, et, n’ai pas, le choix, le mieux, est de m’en accommoder, d’agir, au maximum, de mes capacités. Pour en tirer, le meilleur parti possible, avec succès.

 

o Ma situation est normale, habituelle, banale, donc rassurante. Comme tout jeune de mon âge, je suis tenu de me former en mes études, en mon intérêt, pour avoir un bon emploi et, une bonne vie, plus tard. Cela justifie quelques efforts et contraintes surmontables, maintenant, pour être tranquille à vie, ultérieurement. Tout le monde y passe. « Sacrifice et gain, la vie est une lutte, l’on n’a rien sans rien » ! Cela vaut donc le coup pour moi. Je m’apaise, j’arrête de m’obséder des notes et résultats. Je me concentre sur mon travail efficace et constant, mes efforts, ma persévérance, mes progrès. Cela ne peut que finir par payer, porter ses fruits, me faire réussir. L’essentiel est d’apprendre, de savoir, connaître, découvrir, s’instruire, s’enrichir, par le travail. Le reste est acquis, par surcroît !


 

 

Dans mes relations amicales, le regard, de mes copains, sur moi, est positif, satisfaisant et, gratifiant, pour moi.

 

> Or, j’imagine, pourtant et, toujours, le pire : des difficultés relationnelles imaginaires, hypothétiques, improbables, par manque, de confiance, en moi.

 

o Seuls les faits bénéfiques objectivement avérés importent. Pourtant, même quand ils sont réels, pleinement favorables, positifs, satisfaisants, pour moi, je doute et me convaincs du contraire et du pire. De façon subjective, fausse. Je ne crois pas en moi, par préjugé de défiance hostile, à mon égard, pour tout ce qui me concerne. Alors, je noircis tout ce qui à trait à moi-même. J’arrête mes états d’âme, interprétations, élucubrations fantaisistes non fondés. Je ne me fie qu’aux réalités vraies observées. La plupart sont positives pour moi. J’apprécie alors cela et, je m’en tiens là, cela suffit et suffit à mon bonheur. Quant au réel négatif, il est minoritaire et donc, peu important. Cela me touche alors peu. Je cesse de me créer de faux problèmes imaginaires, en pur « masochisme ». Je sais reconnaître et savourer, pleinement, toutes les bonnes choses – et elles sont majoritaires – de ma vie !


 

 


Il s’agit, de me distancier, décentrer, par rapport, à ce qui peut, me stresser. Notamment, les obligations scolaires, qui m’inquiètent trop, à tort.

 

> De fait, j’ai des capacités réelles, pour les études, que je sous-estime, exagérément. J’ai toujours, réussi, jusqu’à présent. En continuant, à bien, travailler, comme, je le fais, il n’y a, aucune raison, pour que cela change.

 

o Je prends du champ, de la hauteur, de la relativisation. Je ne fais pas d’études pour elles-mêmes. Or, pour me dépasser et, consacrer ma vie entière à une vocation, une destinée, un accomplissement de moi. De la façon la plus enrichissante. Non seulement, pour moi-même, mais, tout autant, pour les autres, dont j’en ferai bénéficier. Cela est une chance, un privilège enviables, ne peut que me motiver et, m’inciter à aller de l’avant, en effort constant. Je cesse donc, de me plaindre et, d’avoir peur. Puisque je suis chanceux, je ne peux que me louer, féliciter, réjouir, de cette gratification. En rendre grâce, en allégresse fondée, de chaque instant !


 

 

Je sais, déjà, bien, me détendre, me relaxer, m’évader, autant, que nécessaire, que de besoin, ayant, un imaginaire, un monde intérieur, fort développés.

 

> En m’allongeant, sur mon lit, méditant et, lisant, mes ouvrages favoris, je me calme, m’apaise, cela, est, grandement, efficace.

 

o Il s’agit de me décentrer de moi-même, mes états d’âme, mes difficultés, réelles ou supposées. En m’élevant au-dessus de moi-même, j’élève mon niveau de conscience, pour me recentrer sur l’essentiel. Ma raison d’être la plus fondamentale, en ce bas monde. Non seulement pour moi, mais, tout autant, pour mes semblables humains. En réalisation de moi-même la plus complète, plus morale que matérielle. Que veux-je faire de ma vie ? À moi de le déterminer, car moi seul détiens ma destinée entre mes mains. Alors, à moi d’agir au mieux, pour faire de mon existence un… « chef-d’œuvre » !


 

 

Je vais lutter, contre, le fait, de toujours, imaginer, le pire, pour me prémunir, contre, la déception, l’échec, ce qui me nuit fort.

 

> En étant, plutôt, dans l’espoir, assuré, du meilleur, en positivant, ma vision, de moi-même, des autres et, de ma vie ».

 

o Ma vie est un choix. Me complaire dans mon malheur supposé, plus que réel. Ou me transcender en mon bonheur authentique, plus qu’imaginaire. Le plus souvent, je suis heureux ou, malheureux, car j’en ai décidé ainsi. Il s’agit, avant tout, d’un état d’esprit, bien plus que d’une réalité avérée. Alors, à moi de me persuader du meilleur, j’en bénéficierai. Cela m’évitera de connaître le pire, si j’en viens à m’en convaincre. Il est donc très rassurant, positif et, encourageant, de savoir que tout ne dépend que de moi. Que je suis le seul à détenir la clé de mon destin, en mes mains !


 

– « Le verre est, généralement, à moitié plein, non, à moitié vide ou, vide. Il est, même, plus souvent, qu’on ne le croit, plutôt plein ». Ce qui encourage plus, dans la vie, à l’optimisme, la positivité, l’espérance, qu’au pessimisme, à la négativité, qu’au défaitisme -.


 

 


« Quand, je travaille, j’ai du mal, à me concentrer, sur certaines tâches, par désintérêt, quand, elles sont, à mes yeux, rébarbatives.

 

> Je peux, faire des efforts, de concentration. Non, par passion, plaisir, mais, sens, du devoir, conviction, que c’est, mon intérêt, de me donner, du mal, pour réussir.

 

o Il n’y a pas de petites ou, grandes tâches ! Toutes comptent et sont importantes, pour moi, car toutes concourent à mon accomplissement humain. Il faut aussi de petites choses, pour en obtenir de grandes, comme « les petits ruisseaux font les grandes rivières » ! Je ne néglige donc rien, car tout est signifiant et significatif, pour me grandir et me faire progresser. Je me donne alors à fond, pour tout ce qui fait mon succès, du plus anodin, au plus remarquable. Je ne me laisse rebuter ni, impressionner par rien, mais je persévère toujours, sans me décourager. Jusqu’au succès final !


 

 

Quand, je dois faire, un travail scolaire, de groupe et, que je n’ai pas donné, selon moi, mon maximum, je me sens gêné, par rapport, aux copains.

 

> Je sens, que je suis, moins bon, qu’eux et, eux, bien meilleurs, que moi. Cela, renforce, mon sentiment, d’incompétence générale, en vertu, duquel, je ne suis, jamais, valable et, les autres, toujours, plus, que moi.

 

o Je cesse de me laisser distraire, perturber, paralyser, par des facteurs extérieurs mineurs. Je ne prête attention, importance, considération, qu’à mon intériorité majeure. Je cesse d’accorder crédit aux réactions des autres, à mon for externe. Je ne me réfère qu’à ma seule conscience ou, for interne. Si je l’interroge, en introspection objective fondée, non, en contrition subjective supposée, je me rassure. Je constate, de fait, le plus souvent, que je me suis bien comporté et, bien mieux que je ne le pensais, a priori. Je médite l’adage suivant : « Quand je me regarde, je m’inquiète ; quand je me compare, je me rassure » ! Cqfd…


 

 

Souvent, s’il y a, une partie, de sports collectifs, j’hésite, à me joindre, aux autres, alors, que j’en ai, si envie. Par doute, sur mes capacités, me jugeant, moins apte, que les autres, à y exceller.

 

> J’ai peur, d’être déconsidéré, aux yeux, d’autrui, ne croyant pas, assez, en moi, cela, me paralyse fort. Pourtant, je préfère, encore, mes amis, à la solitude ».

 

o Vivre, c’est paraître ; me cacher, est dépérir ! Je ne peux, sans cesse, me dérober, par peur des autres et, de moi-même, pour me protéger de tout et tous. J’arrête « d’avoir peur… d’avoir peur ». J’ai autant besoin des autres, qu’eux de moi. J’ai tout autant, à leur apporter, que réciproquement. Le monde requiert mon apport, ma contribution à sa bonne marche, comme il m’est indispensable. J’arrête donc, de tergiverser et, je participe allégrement, à la vie de ma communauté humaine. Mon intervention est tantôt positive, neutre ou, négative. Qu’importe, l’essentiel est de me manifester sans retenue. Car les autres font de même et, sont tout comme moi : ni meilleurs ni pires, mais égaux, le plus souvent !


 

 


Eudes, seize ans


 

 


Suivi androJeunologique

Cognitif, émotionnel, comportemental

De l’estime, la confiance, l’affirmation, de soi


 

Paris, 2004


 

 


VOTRE DÉNOUEMENT DES PLUS FÉCONDS

D’ANDROJEUNOLOGIE®


 

 


Cognitive, Émotionnelle, Comportementale

De l’Affirmation de Vous-Même, de Garçon Jeune


 

 


III


 

 

– Vos Outils Amélioratifs –


 

 

« En début, d’année, de seconde, j’ai eu, des difficultés, à m’adapter, mes notes ont décru, je n’ai pas compris, ce qui m’arrivait. Alors, je me suis fort découragé et, j’ai baissé les bras. J’ai donc, éprouvé, un net sentiment, d’abattement niveau émotionnel, 7 sur 10 , de dépit 7 sur 10 , de démobilisation / désinvestissement 6 sur 10 . Je me suis dit : Je n’y arriverai pas, j’en ai assez, de mes obligations, de lycéen. Je suis moins bon, que les autres condisciples, ils sont meilleurs, que moi. Je suis très en colère, contre, le système scolaire français, bien trop, lié, à la seule performance académique.

 

> En cas, de coup dur, de situation difficile, je dois, non pas, remettre, en cause, ma personne et, ma valeur propre, individuelle. Or, mes pensées raisonnées négatives, mes émotions perturbatrices et, mes comportements inappropriés. Alors, seulement, il me sera possible, profitable, de « rectifier, le tir », de m’en sortir, en obtenant, subséquemment, de bien meilleurs résultats scolaires.

 

o Aussi difficile que soit ma situation, elle comporte, le plus souvent, plus de possibilités de solutions positives, que d’échec irrémédiable. Je raisonne donc calmement, en confiance, de façon favorable. J’ordonne mes émotions, sur le mode serein, apaisé, combatif. Je parviens alors, à des comportements adéquats, de qualité, résolus. Cela me permet de réussir, m’épanouir, dans la persévérance.


 

 


En tout début, de seconde, face, à mes difficultés scolaires, j’ai pensé, que j’étais nul, que je ne m’en sortirais pas et, que les autres, me surclassaient, de mille coudées. Mon autocritique impitoyable était très disproportionnée, excessive, non réaliste, ni justifiée. Car injuste, pour moi-même !

 

> Maintenant, j’ai compris que, même, en « péril », je peux, me convaincre, que je vais surmonter, les obstacles, en travaillant, plus et, mieux ! Que mes capacités et, limites, sont bien plus prometteuses, que je ne le pense et, autant, que celles, de mes pairs. J’ai autant, de chances, de mérites, le droit, de réussir, qu’eux. Il me suffit, d’y croire, de le vouloir, de me battre, sans états d’âme et, vaillamment, jusqu’à, la victoire finale. Il me suffit, d’exploiter, mes potentialités, de façon optimale. Personne, n’est jamais, le meilleur ou, le moins bon, en tout et, tout le temps. Par moments, comme, en certains domaines, je « me défends », très bien.

 

o Je ne peux tout miser sur des facteurs extérieurs. Ni, seulement, sur des réalités purement factuelles, matérielles, quantifiables. Je dois savoir puiser, avant tout, en mes ressources morales internes. Ma réussite, notamment scolaire, ne repose pas uniquement, sur mon travail intellectuel ni, sur des notes chiffrées évaluatives. Comptent fort aussi, tout autant, ma force mentale. Ma volonté et certitude de réussir. Mon désir, mon intérêt et, mon plaisir à m’enrichir, par mes savoirs, connaissances, apprentissages. Ainsi, je suis motivé, apte, heureux de travailler, avec succès et ténacité, sans me lasser, décourager, renoncer.


 

 

Je ne suis pas, assez, détendu, à l’aise, avec mes amis. Je ne prends pas, assez, d’initiatives. J’ai beaucoup, de mal, à me mettre, au travail.

 

> Je dois donc, être, à la fois, plus indulgent et, plus ferme, avec moi-même. Je vaux bien plus, que je ne le crois, il me faut, « me secouer », moi-même, pour plus, me « motiver ». Au lieu, de tant, m’accabler, par rejet, désamour, de moi. Me laisser aller, à l’autocomplaisance, à la dévalorisation « misérabilistes ». En apitoiement, sur moi, « masochiste », très néfaste.

 

o Je pars d’un principe fondamental salvateur : je suis beaucoup plus à envier, qu’à plaindre. Je cesse donc, de me complaire sur le mode « geignard » et, j’opte pour un état d’esprit combatif. Je ne peux agir et m’en sortir, si je me crois privé de toute ressource. Cela me démoralise, décourage, paralyse et, m’empêche de réussir et d’être heureux. Si je suis convaincu, que j’ai des atouts à faire valoir, je suis motivé, encouragé, serein, actif et, cela garantit mon succès et ma félicité. Avec le bon état d’esprit, la bonne mentalité et non, les mauvais, je suis armé pour le meilleur, non le pire. En étant positif, confiant, en paix.


 

 

Quand, je suis, avec des inconnus, le début, de notre rencontre, m’est difficile, car je suis, mal à l’aise. J’ai peur, de mon image, du regard, de l’opinion ou, du jugement, des autres, sur moi intensité émotionnelle, de 6 sur 10 . J’ai des doutes, sur mes capacités relationnelles et, à me comporter, de façon adéquate 7 sur 10 .

 

Je m’en veux, d’être, à mes yeux, maladroit, ridicule, silencieux ou, même, proférant, des « bêtises », embarrassé, indécis et, paralysé 7 sur 10. Je me dis, que les autres, ont de la chance, de réussir, à être à l’aise, quand, j’ai, moi, tant, de mal, à y parvenir. Que je suis, moins intéressant, qu’eux, qu’ils sont, plus confiants, que moi. Que je vais, donc, moins bien, profiter, de la soirée, que les autres et, que j’ai, alors, un pénible sentiment, de regret et, de mal-être.

 

> Pourtant, à la réflexion, il n’y a, aucune raison, objective et réelle, pour que je sois, moins détaché, que mes amis. Je peux très bien, être détendu, moi aussi. Je suis, autant, « valable », qu’autrui et, apte, à avoir foi, en moi, que n’importe, quel, autre jeune, de mon âge. Je vais, donc, m’amuser, autant, que tous les fêtards, réunis, car, exactement, comme eux, je ne suis là, que, pour cela. Faire, de « bonnes rencontres ». Alors, en raisonnant, bien plus, positivement, de façon, plus sereine, réaliste, pragmatique, mon niveau émotionnel négatif, diminue.

 

Ma peur, du jugement, d’autrui, passe, à 2 sur 10. Mon doute, sur mes aptitudes, de communication, descend, à 3 sur 10. Mon ressentiment, contre, moi-même, n’est plus, que, de 4 sur 10. Puis, ma confiance, en moi, se renforçant encore, bien plus, mes sentiments cultivés, deviennent, carrément, positifs. J’ai la joie, de voir, que les autres, m’apprécient, à ma juste, bonne valeur intensité émotionnelle, de 7 sur 10 . La satisfaction, d’être, « à la hauteur », détendu, sûr, de moi 8 sur 10 . La plaisante surprise, de constater, que je peux, autant, « briller et, me faire valoir », que les autres, en société 8 sur 10 .

 

o Je suis mon propre et pire ennemi, en me parant des pires travers, tares, défauts, le plus souvent imaginaires. Cela est la cause première de tous mes malheurs, inactions et, échecs. Me considérant comme « abominable », je ne peux que « me faire horreur », à moi-même. Mon sentiment d’indignité me dissuade, de toute action positive, tout épanouissement et, tout succès. Car je ne crois qu’à ma « déchéance », non, à ma « rédemption ». J’inverse alors désormais, mon point de vue. Je me perçois, sans arrogance, comme valable et valeureux, pour l’essentiel. Je me plais comme je suis, me considère digne du meilleur, en juste mérite. Je crois en mon « salut », non, en ma « chute ». Cela me permet enfin d’agir, de réussir et, d’être heureux, tout en m’améliorant, sans cesse. En combat sans relâche, pour devenir, toujours plus, une « meilleure personne » !


 

 


En sport, de groupe, avec mes copains, quand, je commets, une faute, je me la reproche, alors, très durement. Même si, l’erreur, est le résultat, du jeu collectif, non, la seule, mienne.

 

> Je ne me crois pas, assez, capable, sûr, de moi, du fait, d’un excès, systématique, d’exigence, de sévérité rigide, de mes parents, à mon égard.

 

o J’exige trop de moi-même, en auto sévérité excessive, manque d’assurance et, de foi en moi. Ainsi, je ne suis jamais satisfait de moi-même et, je demeure en mal-être permanent : auto dénigrement, honte, culpabilité. Je dois retrouver ma fierté de moi-même, ma sérénité, mon autosatisfaction, sans prétention pour autant. En me concentrant, d’abord et surtout, sur mes qualités, les renforçant encore plus. Prenant en compte mes défauts et insuffisances, en second seulement. Non, pour m’en accabler, mais, en simple constat lucide et détaché, pour rectifier ce qui doit l’être, pour m’améliorer et progresser. Je remplace mes états d’âme négatifs par l’action dynamique, positive, productive. Alors, je suis plus efficace, meilleur, plus heureux, pour moi et autrui.


 

 

Généralement, quand, je participe, à un sport collectif, j’ai tendance, à ressentir, un sentiment, de culpabilité, intense. Du fait, d’une négativité intérieure, bien trop, excessive. Qui consiste, à me sentir, responsable, du pire et, non, dispensateur, du meilleur. J’éprouve, alors, la peur, de mal faire niveau émotionnel, de 7 sur 10 . La honte, de ne pas réussir, à être, à la hauteur 6 sur 10. La culpabilité, de décevoir, par indignité personnelle 5 sur 10 . Je me dis, donc, que je suis, moins performant, que les autres gardiens, de buts. Que tout le monde, va se moquer, de moi. Que je ne suis pas, à la hauteur, des attentes, de mon équipe, que je ne mérite, donc, pas, d’en faire partie.

 

> Il est plus réaliste, positif, pour moi, de penser que, si, l’on m’a confié, la responsabilité, de goal, c’est, que l’on m’a estimé, bon, pour le poste. Je vaux donc, bien, les autres titulaires, gardiens, de buts. J’arrive, à arrêter, plus, de ballons, que je n’en laisse, passer, ce qui mérite, pleins respect, indulgence. Jusqu’à présent, ma mission m’a été maintenue, non, interrompue. Signe, de la confiance et, de la satisfaction générales, de mon niveau, de jeu, même, s’il n’est pas, parfait. Ayant fait, de nets progrès, de « foi, en moi », mes émotions négatives, sont moins fortes.

 

Ma peur, de mal faire, baisse, donc, à 5 sur 10. Ma honte, de ne pas réussir, à 3 sur 10. Ma culpabilité, de décevoir, à 3 sur 10. Ce qui est très satisfaisant et, encourageant. Avançant, encore plus, dans mon « travail, sur moi-même », mes émotions deviendront, alors, totalement, différentes. Cette fois, de nature, pleinement, positive. Sérénité, d’agir, au mieux, de mes efforts, capacité intensité émotionnelle, de 8 sur 10 . Fierté, d’avoir, déjà, atteint, un stade optimal, de compétence 6 sur 10 . Contentement, de satisfaire, pleinement, mon équipe 6 sur 10 .

 

o Je suis passé maître en l’art de m’auto dénigrer, pour mes fautes et manquements, réels ou supposés. Au lieu de me féliciter de mes mérites et acquis réussis. En préjugés et parti pris systématiques de moi-même, à mon propre encontre. Tout en magnifiant, glorifiant toujours les autres, parés de toutes les vertus à mes yeux, comparativement à moi, en mon esprit. Il me faut alors, changer ma conception de ma propre image et, de celle d’autrui. Je cesse de surestimer les autres et, de me sous-évaluer. Je me recentre sur moi, plutôt que sur autrui. Non, pour m’agonir de reproches et m’auto anéantir, mais pour être en bonne intelligence, avec moi-même. Reconnaitre et admettre mes mérites, talents, succès, les savourer, m’en satisfaire, les faire valoir. Être apaisé et réconcilié avec moi-même, pour m’affirmer avec force.


 

 

Lorsque j’organise, une fête, pour mes copains, j’ai, toujours, peur, que cela, se passe mal, qu’ils s’ennuient ou, soient mécontents, m’en fassent, reproche. Ma logistique festive est mauvaise et, sera jugée ridicule. Je ne suis pas capable, de concevoir, une soirée réussie. Je suis certain, que mes amis, seront fort déçus et, critiques.

 

Je pense, alors, que je suis, bien moins, brillant, que mes pairs, que leurs réceptions, à eux, sont meilleures, que les miennes. J’ai l’angoisse, de « déchoir », c’est-à-dire, d’être perçu, comme, ayant, moins bien, fait, que les autres. J’ai peur, d’être déconsidéré, de « perdre la face », que l’on ne veuille plus, venir, à mes soirées prochaines, que l’on ne m’invite, même plus.

 

> Or, si je nuance, ma pensée, de façon, plus pragmatique, sereine et, positive, je peux, plutôt, raisonner, autrement, plus posément. Me dire, qu’en étant convaincu, de mes talents, à faire plaisir, aux amis, mes fêtes ne peuvent, alors, qu’être, au moins, aussi agréables, que les leurs. S’ils continuent, comme c’est, toujours, le cas, à accepter, mes invitations, à s’y rendre, c’est, que ces dernières sont, plutôt, attractives et, populaires. Constatant, que mes amis, me conservent, leur estime, reconnaissance, cela, signifie, qu’ils ont conscience, que j’ai donné, le meilleur, de moi-même. Cela, me permet, donc, de le croire, moi aussi, ce qui me rend serein.

 

o « Je joue à me faire peur », par catastrophisme, alarmisme, manque de confiance en moi, autrui, la vie. Je dois m’abstraire de mes états d’âme inquiets, pour ne me fixer que sur l’essentiel. La conscience du devoir accompli et, du bon ouvrage réalisé. Je me persuade, car c’est généralement la réalité, qu’ayant bien fait, je ne peux qu’en récolter de bons résultats. J’ai donc toute raison, d’être heureux et satisfait, de mon travail, de ses effets et, de moi-même. Je me rends compte que mes doutes et craintes, à cet égard, étaient vains et injustifiés.


 

 


À mes yeux, il me faut, toujours, faire mieux, que mes copains, quand, j’organise, des activités communes. Je me stresse, donc, moi-même, inutilement. Car, en me fixant, ce but, trop perfectionniste, d’excellence, cela, m’assure, selon, moi, d’atteindre, au moins, le niveau qualitatif, de mes amis et, relations.

 

> Je n’ai pas, en pareil cas, à en faire trop, pour me rassurer, sur mes performances, car, je fais attention, à faire confiance, à ces dernières.

 

o Je suis tellement persuadé de mes insuffisances, réelles ou supposées, que je me crois toujours obligé « d’en faire trop ». Pour être certain de bien faire et, d’être approuvé par autrui. L’objectif n’est pas d’être parfait, ce qui est impossible, ni de satisfaire tout le monde, tout le temps, à tout propos. Or, de faire au mieux, sans me préoccuper des réactions d’autrui, à ce sujet. Le « bien » suffit, « le mieux et le meilleur » sont généralement superflus. L’approbation de tous est rare et, non indispensable. Indifférent au perfectionnisme nocif et, à la popularité inutile, je suis alors serein, détaché, autonome. Tout en étant exigeant, productif, entreprenant.


 

 

Il m’arrive, de prévoir, d’inviter, un ou, des amis, chez moi. Or, je ne le fais pas, car, j’y renonce, de moi-même, pourtant, j’en ai fort envie. J’en éprouve, de la peur intensité émotionnelle, de 8 sur 10 . De la frustration 5 sur 10 . De la déception, également 6 sur 10 . Je regrette, de ne pas avoir invité, mes amis, car je pense, que je me suis privé, à tort, de bons moments, avec eux. Nous pourrions, nous ennuyer, chez moi, j’ai peur, d’être, bien trop peu, intéressant et, bien moins, que les autres ! Je ne peux et, ne veux, prendre le risque, qu’il me soit reproché, d’avoir personnellement « failli ».

 

> Il vaudrait mieux, que je pense, que je suis content, d’avoir osé, convier, mes copains. Car, nous allons, certainement, passer, de bons moments, ensemble. Je vais prévoir, des choses agréables, ce qui satisfera, mes invités, me démontrera, mes qualités, d’hôte et, d’organisateur. Il n’y a, donc, aucun risque, à « me lancer », bien, au contraire ! Car je connais, la convivialité, que je sais, instaurer, en pareil cas. En cette nouvelle configuration, fort positive, ma peur tombe, à une intensité émotionnelle, de 4 sur 10.

 

Ma frustration, à 2 sur 10. Ma déception, à 3 sur 10. Ensuite, je serai même, capable, de passer, à la confiance intensité émotionnelle, de 7 sur 10 . Au contentement 8 sur 10 . À la plénitude 7 sur 10 . Je pourrai, alors, agir, avec bien plus, de détermination. J’inviterai, tous mes amis. Ma soirée sera, des plus réussies, car, j’y mettrai, le meilleur, de moi-même, sans nuls, états d’âme, parasites négatifs. Tout le monde, sera ravi, moi, le premier, ce qui donnera lieu, à d’autres réunions festives, tout autant, formidables, à plus d’amitié, de convivialité, encore.

 

o Il est dommageable pour moi de renoncer au meilleur, sous prétexte non fondé que tenter pour obtenir serait pire. Par peur et manque d’assurance. Je ne peux préjuger de rien, tant que je n’ai pas essayé. L’essentiel est d’agir, non de s’abstenir. L’échec n’est pas d’agir et, de mal faire ou, de bien faire, pour échouer ensuite. Or, de s’abstenir. Certes, alors, je ne fais ni mal ni bien, mais je rate encore plus, car je suis assuré ainsi, de ne rien gagner. En agissant, je me donne au moins une chance de l’emporter. Si j’ai bien agis, mes gains positifs ont tout loisir de m’échoir. Si j’ai mal fait, je rate, mais j’aurais du moins tenté au mieux et, c’est l’essentiel que de participer. En outre, je peux toujours « mieux faire » ultérieurement et, « me rattraper » ainsi. Moralité : l’action est généralement plus bénéfique, que la passivité. En résolution et confiance.


 

 

Souvent, je me plains, d’avoir, trop, de travail scolaire, à faire. Je me sens, alors, débordé et, crains fort, de ne pouvoir, faire face, à mes obligations, d’études.

 

> Il vaudrait mieux, que je m’attelle, à la tâche, le plus vite, possible, plutôt, que de me lamenter, de façon stérile. Ainsi, je serai débarrassé, de la corvée, sans plus avoir, à m’en tourmenter, car, « ce qui est fait, n’est, alors, plus à faire » !

 

o Ce qui importe, n’est pas la tâche à abattre, aussi lourde soit-elle, mais, mon état d’esprit, à ce sujet. En étant combatif, face à un dur labeur, j’en viens à bout. Bien plus qu’en étant défaitiste, devant un travail facile et limité. Si je pense difficulté, tourment, échec, cela me décourage et, dissuade de travailler ou, me fait mal œuvrer. Si je me persuade qu’il me suffit d’entreprendre, au mieux, pour vaincre, même le labeur le plus ardu, je suis sauvé. Je me mets en train, fais au mieux et, réussis. Je ne me laisse pas impressionner par le défi. Je le relève, l’affronte et, le réalise victorieusement. Je ne crains pas l’obstacle, par manque de confiance en moi et, mes capacités. Je me convaincs de mon aptitude à gagner, en assurance et sérénité et, je me donne ainsi, toute chance d’y parvenir.


 

 


Je manque d’initiative, de confiance, en moi, de ténacité, détermination, je me décourage vite et, je suis, parfois, un peu « paresseux ».

 

> Or, je suis, par ailleurs, intuitif, fort imaginatif, créatif, loyal, bon camarade et, plutôt, doué, en sports et, activités physiques.

 

Je ne crains pas d’affronter la vie et, le vaste monde. Plutôt que de me replier sur moi-même frileusement, par manque d’affirmation de moi, j’ose sortir de moi-même, aller à la rencontre d’autrui. Pour cela, je cesse d’écouter mes pensées et, émotions paralysantes. Cela me permet d’oser me manifester, m’exprimer, agir. Pour mon plus grand profit et, celui des autres.


 

 

J’ai, parfois, raté, certaines amitiés, par manque, d’assurance, d’esprit d’entreprise et, trop, de repli, sur moi-même.

 

> Or, dans le même temps, j’accomplis, une très bonne scolarité, avec constance, régularité, sens, de l’effort et, beaucoup d’ambition.

 

o Je ne dois pas avoir peur de moi-même, pas plus que des autres. Or, au contraire, il convient pour moi de rechercher et, provoquer mon contact avec eux, en esprit d’ouverture et, non de fermeture. En confiance, audace, initiative. Alors, mon souhait et ma provocation d’interactions sociales et, de liens relationnels l’emportent, sur mes craintes paralysantes. Ces dernières sont annihilées et, ne peuvent plus me dissuader et me priver d’amitiés, de rencontres, relations, avec mes semblables.


 

 

J’aurais bien aimé, pratiquer, un instrument, de musique, donner, le meilleur, de moi-même, en la matière et, jouer, de belles œuvres.

 

> Or, je suis, en d’autres domaines, fort performant, en sports, je sais beaucoup, de choses, en sciences et, je suis très doué, pour la peinture.

 

o Je ne peux tout avoir, connaître, savoir, pratiquer, je n’ai qu’une vie ! L’essentiel est de faire les meilleurs choix, renoncer au secondaire, retenir le principal. Ce qui compte n’est pas ce qui m’échappe, mais ce qui me revient. Ce que je fais me plait, me convient, je le fais bien et, cela suffit à mon bonheur. Apprécier ce dont je dispose me comble et, me rend heureux. Regretter ce qui ne m’est pas dévolu ne ferait qu’entretenir, en vain, mes frustrations, remords et, faux sentiments de manques. Alors, inutile de me créer de mauvaises et illusoires raisons, de me rendre malheureux pour rien. Me satisfaire de mes passions en cours, est largement gage pour moi, de vrai contentement profond et durable.


 

 


J’apprécie, la curiosité, l’ouverture d’esprit. Le don, de soi, désintéressé, aux autres. J’aime et, je cultive, la paix, comme, l’amour, la vérité et, la justice.

 

> Je réprouve fort, la méchanceté, volontaire, comme, gratuite. L’arrogance. L’égoïsme et, l’égocentrisme excessifs.

 

o Je ne me laisse jamais impressionner, intimider, influencer, contaminer, démoraliser par les laideurs, déviances, amoralités d’autrui. Je les préviens et les bloque tout net. Je me réfère plutôt, aux vertus des autres et, aux beautés du monde. Je demeure, moi-même, toujours bon, droit, juste, loyal, quoi qu’il advienne. Ainsi, tout en me gardant du pire, je m’assure du meilleur, le cultive et l’entretiens. Pour mon plus grand bénéfice et, celui des autres.


 

 

Souvent, quand, je suis, en compagnie, de jeunes, de mon âge, que je connais peu ou, pas du tout, je suis tendu, nerveux, anxieux. Mal à l’aise, maladroit, sur mes gardes. Je ressens, la peur, du regard, des autres, sur moi intensité émotionnelle, de 8 sur 10 . Le regret, de ne pas être, moi-même et, détendu, avec des inconnus 8 sur 10 . La honte, de ne pas être brillant 6 sur 10 . Je me dis, que j’aimerais, être, aussi à l’aise, que nombre, de mes camarades, en société, avec, des non-familiers. Je ne parviens pas, à être spontané. Je suis encore, beaucoup trop, « stressé », voire angoissé.

 

> Je décide, donc, de relativiser, positiver, en croyances, moins limitatives, plus capacitantes. Je me dis, alors, plutôt, qu’il n’y a pas, de raison, que je sois, moins détendu, que les autres, avec des inconnus : s’ils y arrivent, pourquoi, pas moi ? Si je me raisonne, fais des efforts, je pourrai être, aussi spontané, naturel, intéressant, que les autres. Rencontrer, des jeunes, de mon âge, que je ne connais pas, encore, n’est pas un drame, en soi. Or, au contraire, une occasion, très positive, de me faire, de nouvelles relations enrichissantes et, prendre du bon temps » !

 

– « Plus, l’on est, de fous, plus, l’on rit », en vertu, de l’excellent adage populaire. –

 

« En cette meilleure configuration, le niveau émotionnel négatif, de ma peur, baisse, alors, très nettement, à 4 sur 10. Mon regret, à 5 sur 10. Ma honte, à 3 sur 10. Ensuite, je serai, encore plus, capable, de positiver, en émotions favorables. En plaisir niveau émotionnel, de 9 sur 10 . Plénitude 8 sur 10 . Fierté 6 sur 10 .

 

o Je dois apprendre à me réconcilier, d’abord, avec moi-même, pour pouvoir apprivoiser les autres. Être à l’aise avec eux, comme avec moi-même. Si je m’aime, je serai apprécié d’autrui. Je ne crains plus les jugements extérieurs. Je ne pense qu’à mes qualités, je les fais valoir et estimer. Je sais séduire, convaincre, attirer, par mon charisme, ma force mentale, mes certitudes solidement ancrées. Assuré de mes atouts, je ne crains plus rien ni, personne. Je suis en mesure de dominer toute situation, de réussir et, d’être épanoui, en tout et pour tout, en toute circonstance et, avec quiconque. Quoi qu’il en soit.


 

 

Comme, je progresse, fais des efforts, pour voir, le bon côté, de ma vie, je suis plus serein, joyeux. J’apprécie mieux, ma personne, les autres, les événements, circonstances, les choses, mon existence même, tout entière.

 

> Ainsi, ces derniers temps, j’ai pris, bien mieux, conscience, savouré, certains moments, auxquels, je ne prêtais guère, attention, auparavant. Car, éludant, le positif et, majorant, le négatif. En tout début, de semaine, j’ai été content, de reprendre, l’internat, j’ai passé, une bonne journée. Puis, j’ai fait, une agréable sortie, avec ma classe, ce qui nous a permis, de nous retrouver, plaisamment, entre condisciples. Un autre jour, je me suis bien détendu, au volley. Ensuite, jour férié, j’ai partagé, de bons moments, en famille. Plus tard, j’ai été très heureux, de revoir, des copains, du collège, en convivialité, rappel, de bons souvenirs, passés. Puis, j’ai gardé, mes jeunes frères, j’étais content, de bien, m’occuper d’eux. Ensuite, j’ai bien joué, au tennis, avec mon père, ce fut très plaisant.

 

o Ce n’est jamais la réalité des choses, qui affecte l’être humain, mais l’interprétation qu’il en fait. La façon dont il la ressent et perçoit. En modifiant positivement ma vision des gens, choses, circonstances, je relativise tous et tout. Tout en étant réaliste et pragmatique, sans être négatif pour autant. Je prends de la hauteur, de la distance, fais la part des choses. Ainsi, au lieu de m’assommer du pire, je m’emplis du meilleur. Je peux avancer plus vite, plus haut, plus fort, Citius, Altius, Fortius, selon la devise Olympique. Alors, je suis plus épanoui, apaisé, serein, avec moi, comme avec mes semblables.


 

 


Mes prochains objectifs, les plus prioritaires et, décisifs, sont d’être, plus concentré, sur la durée. Motivé, persévérant, de faire, plus et mieux, d’efforts.

 

> Je ferai, un bon stage, de prérentrée, au lycée, en fin, de seconde, pour bien réussir, ma première S. Ensuite, je veux m’astreindre, à des étapes appropriées, de travail efficace, croire, en mes capacités, pour cela, m’en donner, les moyens et, aller, jusqu’au bout. Je travaillerai bien, ce, dès, les débuts, de ma première et, régulièrement, au fur et à mesure, et, sans « procrastiner » ni, me décourager. Puis, je souhaite accroître, toutes mes capacités relationnelles, être plus patient, imaginatif. Je prendrai plus, d’initiatives, pour améliorer, mes relations, en famille, comme, avec mes amis. Par exemple, en organisant, plus, de sorties, avec les copains. Je ferai aussi, plus, d’efforts, pour être, encore plus, paisible, ouvert, souriant, aux autres.

 

o Ténacité, résolution, détermination, doivent être mes maîtres-mots. Je ne me décourage pas, ne renonce à rien, garde toujours en tête mes objectifs, avec effort, courage, force mentale. La difficulté ne compte pas, mais ma rage de vaincre seule importe. Je ne cède rien, tant que je n’ai pas atteint mes buts ultimes. Je les fixe, m’en donne les moyens, les mets en œuvre, les réalise, les maintiens actifs, tant que nécessaire, souhaité et, souhaitable.


 

 

Le plus accessible et, facile, pour moi, est d’être, plus, communicatif, dynamique, entreprenant. En étant toujours, plus sûr, de moi, optimiste, positif, constructif.

 

> Ce qui me permettra, de mieux, m’entendre, encore, avec mes proches, copains, famille. Donc, d’être, bien plus, épanoui, alors, de mieux travailler.

 

o Le temps des états d’âme négatifs, en passivité, craintes, tergiversations, doutes, est révolu. Je suis désormais combatif, actif, positif, serein, motivé, assuré. Je vais de l’avant, certain de réussir, sans trembler. L’essentiel est d’agir, d’obtenir, de vaincre, gagner, selon ma volonté et mon souhait, en plein succès. En réaction, action, proaction !


 

 

Le stage, de prérentrée, me garantira, de bien retravailler, tous mes fondamentaux, pour faire, une bonne première. Cela, se fera, au prix, d’une semaine, de grandes vacances, d’été, en moins. Bien travailler, régulièrement, dès, le début, de l’année, de première, sera gage, d’année réussie, de passage, en terminale S, sans trop, de problème.

 

> Cela, m’obligera, donc, en contrepartie, à accepter, de dépenser, beaucoup, de temps, d’énergie, à des tâches, souvent, peu faciles, gratifiantes et, intéressantes.

 

o Je dois prévoir, anticiper, organiser, me projeter, aller de l’avant, prévenir. Je fais effort et me donne du mal maintenant, pour me garantir le meilleur plus tard. En « sacrifice et gain, car la vie est une lutte ». Ma rigueur est mon assurance-vie la meilleure. Mon dur labeur actuel me permet des temps futurs meilleurs, des fruits prometteurs. Plus d’atouts et de capacités d’excellence, pour réussir. En somme, « reculer pour mieux sauter, semer mieux, pour récolter plus ». Car « l’on n’a rien sans rien » !


 

 


Améliorer, ma sociabilité, me vaudra, plus, d’harmonie, familiale et amicale, donc, d’être, bien mieux, apprécié, des autres, de les estimer. En leur juste valeur.

 

> Pour autant, il ne me sera pas, alors, toujours, aisé, de me « surveiller, moi-même », en permanence, pour, toujours, « faire, bon visage ». Rester, avenant, avec tous et, moi-même. Même, quand, cela, bloque, que je n’en ai pas, l’envie ou, la force.

 

o L’homme est, avant tout, un être social, sociable, socialisé. Il ne peut exister seul, par et pour lui-même, mais au travers de ses semblables humains. Il a besoin d’eux et, ils ont besoin de lui, en coopérations, interdépendances et, interactions permanentes. En l’intérêt et au bénéfice de tous et de chacun. J’apprends donc à me décentrer de moi-même, pour me recentrer sur autrui. Aller à sa rencontre, son contact, son écoute, son service, en bonne intelligence, générosité, ouverture, tolérance, altruisme. Je suis bon, bienveillant, compréhensif. Tout ce que je fais de bien et de bon aux autres me revient, le plus souvent, positivement, « au centuple ». Quoi qu’il en soit, je donne à autrui, non en esprit de retour intéressé ». Or, sans rien attendre en échange, de façon totalement désintéressée. Le bien n’est pas affaire d’intérêt, mais de principe. Ma joie, ma raison de vivre, sont mon don gratuit oblatif aux autres, non, de leur prendre, de façon captative. Les gratifier, me gratifie moi-même !


 

 

Mon premier objectif, est de passer, en première S. C’est une étape essentielle, pour mon orientation optimale future, d’études.

 

> Cela, est acquis et, accepté, j’ai travaillé « dur », pour y parvenir, sans, me décourager, sur la durée et, j’y ai cru, de toute mon énergie.

 

o J’ai voulu me dépasser moi-même, en abnégation et renoncement, sans renonciation pour autant. J’ai été récompensé de mes efforts inlassables, sacrifiant mon présent, pour gagner mon avenir. En « transcendance et rédemption » existentielles humanistes. De fait, en préparant mon avenir, pour moi-même, je sers l’humanité tout entière. Cela me permet, plus tard, d’apporter ma contribution utile aux autres, à ma société, mon peuple, mon pays, au monde entier. Ce que je fais pour moi, je l’accomplis pour autrui. Ce qu’entreprennent les autres pour eux-mêmes, ils le réalisent aussi pour moi et pour tous. Comme il est dit qu’ « un battement d’aile d’oiseau ou, de papillon a un retentissement planétaire » !


 

 

Mon deuxième but, est d’être, bien plus, actif et, disponible, à l’aise et, sociable, avec tous mes amis, sans exception.

 

> Je manque, encore trop, d’ouverture, sur les autres, le monde extérieur. Cet idéal reste, donc, encore, à réaliser. En détermination ! Avec plus, de confiance, en moi et, autrui, j’y parviendrai mieux, en pleine sérénité.

 

o Les autres m’apportent beaucoup, je peux donc, en faire tout autant pour eux. Toute vie, toute relation, impliquent une réciprocité, non une unilatéralité à sens unique. Autarcie, enfermements sur moi-même, solitude absolue me nuisent, bien plus, qu’ils ne me servent. Mon existence ne peut donc qu’être bilatérale et, plurilatérale, multipolaire, interactive. Je sors de moi-même, mon intériorité, égo, mes replis. Je n’ai pas tant besoin de refuge intérieur défensif, que de contacts extérieurs tous azimuts. Tout en protégeant mon intégrité physique et morale, naturellement. J’ai tout à gagner de ma vie relationnelle à autrui, bien plus qu’à y perdre. En humilité et fierté, je reste moi-même, avec, par, pour mes semblables. Je me mets en chemin et pars à la rencontre d’autrui, en confiance et mains tendues, bras ouverts. Je refuse la tentation illusoire et vaine des poings levés.


 

 


Mon troisième dessein, est d’être plus serein, détendu et, mentalement, plus fort, en moi-même, comme, avec autrui. Je suis, trop souvent, de mauvaise humeur, du fait, de mes crispations, ce qui nuit, à l’ambiance, familiale, amicale, sociale, de ma vie.

 

> Cette avancée, reste, à se concrétiser, en faisant, des efforts, pour être, plus souriant et, avenant, quitte, à « prendre, sur moi » et, à me faire, parfois, violence.

 

o Je suis trop souvent tourmenté, en mal-être, révolte. Cela provient de mon mécontentement de moi-même, d’autrui, de ma vie. Je ne suis pas à l’aise car je ne m’aime pas, me perçois comme faible, impuissant, dominé. Ne sachant comment faire pour m’en sortir. Il me faut cesser de me mettre dans la peau de quelqu’un d’indigne. Pour me persuader de ma valeur et, de ma capacité, au même titre que les autres. Je renonce à mes ruminations, ressassements moroses. Je cultive ataraxie et équanimité : paix et égalité d’âme. Je ne me laisse plus atteindre par les aléas extérieurs. Je n’accorde importance, foi et, crédit, qu’à ma force mentale, psychique, morale intérieure. Je fais appel à mes ressources spirituelles, pour dépasser mes épreuves, je ne me laisse plus abattre et intoxiquer par elles. Ainsi, quoi qu’il arrive, je demeure toujours d’humeur égale et sereine, ce qui m’assure succès et épanouissement.


 

 

À plus court terme, je dois garder, une bonne attitude et, un bon rythme, de travail, au lycée, jusqu’à, la fin, des cours. Je dois préparer, le séjour, de classe, à la montagne. Il me faut penser, à rendre, mes fournitures scolaires et, en bon état.

 

> Pour cela, je reste, concentré, vigilant, déterminé. Mobilisant, sans relâche, le meilleur, de moi, pour atteindre, au mieux, tous mes buts prioritaires.

 

o Aucune tâche, aussi difficile soit-elle, ne saurait me faire peur, me paralyser, décourager, faire renoncer. Pour cela, je m’arme de courage. Sachant que prévaut ma volonté d’obtenir les avantages, procurés par mon action, menant à faire ce que j’ai à faire. Non, le travail à accomplir, en lui-même, aussi ardu et rébarbatif soit-il. Envisageant le seul effet bénéfique du labeur et, non ce dernier, lui-même, j’ai alors la force nécessaire, pour en venir victorieusement à bout. Ainsi, plus aucune corvée ne m’intimidera plus, car c’est moi qui les materai. Je ne renoncerai plus ni, ne repousserai plus à plus tard la moindre obligation, même la plus austère ! Car tel est mon intérêt le plus profond.


 

 

Quand, je suis, en difficulté, je pense, négativement, que je suis, moins valable, que les autres et, qu’ils sont, plus capables, bien meilleurs, que moi. Que je ne réussirai, jamais, que c’est « fichu ». Que cela, ne sert, à rien, du tout, de s’accrocher, que c’est, complètement et définitivement,  perdu d’avance.

 

> L’objectif, est de raisonner, plus positivement. Je suis, aussi capable, que mes copains, je dois et, peux faire, aussi bien, voire, mieux, qu’eux, encore. À la condition, pour moi, de tirer, tous les enseignements utiles, de mes échecs passés ! De vite, me mettre, au travail, du mieux possible. Si je m’en donne, parfaitement, les moyens, ma réussite est, certainement, au bout, de mes efforts, en juste, bonne récompense. Loin, de m’abattre, tous mes échecs, doivent, m’encourager, à redoubler, d’effort, à les dépasser. En travaillant dur, pour les transformer, en succès, réussite.

 

o Ma difficulté rédhibitoire vient du fait que, pour moi, le moindre aléa est définitif, absolu, insurmontable, sans appel, irréversible. Or, c’est exactement l’inverse. Je dois comprendre que tout sur terre, sauf la mort, notamment les épreuves, même les pires, est vincible. Mes problèmes sont donc toujours provisoires, relatifs, surmontables, réversibles, résolubles. Conscient de cela, cela me permet de me concentrer sur la solution, non, le blocage. Je peux alors agir, me battre, mettre en œuvre toutes ressources nécessaires, pour dénouer toute situation complexe. Cela change tout et je peux, ainsi, réussir l’essentiel de mes enjeux existentiels.


 

 


Le premier échec possible, pour moi, était le redoublement, de ma seconde, pour cause, de non-admission, en première S, mon choix exclusif, d’orientation.

 

> Cet échec potentiel, possible, aura été empêché, grâce, à mon travail scolaire accentué, à un entraînement intensif, dans les matières défaillantes. L’aide, de mes proches, ma remotivation et, mon suivi de mentoring.

 

o J’ai réussi à atteindre mon objectif, le plus fondamental, car j’y ai cru, ai su mettre en œuvre ce qu’il fallait pour cela. Faire effort et, être tenace et résolu, jusqu’à la victoire finale. Acceptant aussi toute aide bienvenue et adéquate. Je n’ai jamais renoncé, quoi qu’il m’en coûte, ni jamais perdu de vue mon but ultime. En volonté, motivation, intransigeance inébranlables et sans relâche. Cela m’a permis d’être résilient et de vaincre !


 

 

En tout début, de seconde, je me suis battu, pour « tenir », surmonter, les difficultés, d’adaptation et, parvenir, à répondre, aux impératifs, exigés, de tout bon lycéen.

 

> C’est, cela, qui m’a motivé, fait supporter, les sacrifices impliqués. Cela, m’a permis, de ne me concentrer, que sur ma volonté, d’être performant, mon devoir, de franchir, les étapes, en jeu et, fait, pleinement, réussir.

 

o J’ai su m’adapter aux dures conditions qui m’étaient imposées, en tenant bon, résistant aux pressions, sanctions, exigences. J’ai su dépasser les avanies, déconvenues, injustices, dans les pires tempêtes et bourrasques. Le bon roseau est souple et solide. Il peut ployer, mais il ne casse pas. Me pliant aux règles conditionnant ma réussite, j’ai donc réussi à… réussir ! Par le travail acharné le plus constant, régulier, méthodique, que mes résultats soient bons ou plus mitigés. J’ai toujours su conserver le cap nécessaire, jusqu’à parvenir à bon port.


 

 

J’ai tendance, à reporter, au lendemain, les travaux scolaires. Cela, me permet, de faire, à la place, des choses, plus plaisantes, pour moi, je ne me donne pas assez de mal.

 

> Or, le travail, de dernière minute, se fait mal, dans le stress, la précipitation, voire, pas du tout, faute, de temps, restant, disponible. Cela, nuit, à mes études. Je me dis, que je n’ai pas du tout, l’envie, de m’y mettre. C’est trop dur… Je suis, alors, victime, de mon défaitisme, laisser-aller.

 

o Je ne dois pas m’obséder du travail rébarbatif, lui-même, mais des bons résultats, profits, réussites, auxquels il mène pour moi. Si j’accomplis ma tâche et mon labeur au mieux, pour connaître le succès et, non l’échec. J’agis donc rapidement, au fur et à mesure, avec régularité et efficacité. Je laisse de côté mes états d’âme négatifs, défaitistes, pessimistes. Je ne me concentre que sur ce que je dois faire, pour accomplir mon devoir de travailleur scolaire, qui se doit de réussir. Je n’ai donc plus d’excuses, pour ne rien faire et procrastiner. Mon destin et mon succès sont entre mes mains et, ne dépendent que de moi. Alors, à moi de jouer, en avant !


 

 


Le bénéfice, à reporter, à plus tard, le labeur, les corvées, en procrastination, est de faire, tout de suite, ce qui nous plaît. Nous fait plaisir, envie, ce que nous désirons, le plus.

 

> L’avantage, à agir, sans attendre, au fur et, à mesure, que les tâches arrivent, est de se débarrasser, des corvées, au mieux et, au plus vite. Pour être tranquille, au plus tôt et, en esprit libre et, paisible.

 

o Inutile de me voiler la face, faire la politique de l’autruche, la tête enfouie dans le sable. Un travail à faire ne disparaîtra pas tout seul, si je ne le fais pas. Ce qui est fait n’est plus à faire. La règle d’or est donc d’agir, dès que la tâche m’est notifiée et, de l’achever dans les temps impartis. Je ne remets jamais à plus tard, ce que je peux et dois faire tout de suite ! Suivre cet excellent et salvateur principe, toute ma vie, me garantit ouvrage bien mené et réussite. En discipline, méthode, efficacité.


 

 

Je commence, par le travail scolaire, le plus difficile, pour moi, en étude surveillée, au lycée, pour finir, par le plus facile, ensuite.

 

> Seul, sans surveillance, sans subir, la tentation, de me laisser, distraire, j’aurai plus, courage, à travailler, le plus simple, que le plus rébarbatif.

 

o En réalité, importe surtout le fait de travailler sérieusement, efficacement, de façon autonome et motivée. Sans besoin de surveillance, que l’on m’y oblige, sans béquilles psychologiques. Je sais que je dois accomplir ma tâche quelle qu’elle soit, quelle que soit la façon dont je m’y prends. Que j’en aie envie ou pas. L’essentiel est donc de m’y atteler dare-dare, sans barguigner, au mieux et, au plus vite. Ainsi, j’ai la conscience tranquille et, le sentiment plaisant du devoir accompli !


 

 

Cette année, j’aurai, des Tpe, travaux personnels encadrés, à présenter, oralement, devant, toute la classe, en petit groupe. La difficulté, sera, de trouver, un sujet intéressant. L’effort sera long : un trimestre. Il faudra, un travail, de grande qualité, car, à défendre, publiquement.

 

> La motivation, est que cela, sera, un enrichissement personnel, avec la satisfaction, du travail bien fait. La fierté, d’intéresser, toute une classe, le contentement, du devoir accompli, d’avoir satisfait, l’enseignant, les camarades. Ainsi, qu’une bonne note et, une bonne appréciation.

 

o L’essentiel n’est pas la forme, mais le fond. Je ne crains pas d’affronter mon public, ni ses réactions, car mon travail et ma préparation, en amont, sont parfaits. Ce qui assure mon succès de présentation, en aval. Je serai d’autant plus à l’aise et percutant, performant, en mon exposé oral, que mon travail antérieur aura été de qualité. Il a été rigoureux, intéressant, intelligent, à l’écrit. Cela me permet, à l’oral, d’être convaincant, dominant mon sujet, clair, intelligible et, même captivant. Mission pleinement accomplie donc, avec tous les honneurs, de surcroît !


 

 


Il arrive, régulièrement, que je doive tondre, moi-même, toutes les pelouses, de la propriété familiale. Car, mes parents « comptent », sur moi, pour le faire. Ce sera long, à finir difficulté, de 80 sur 100 . Très monotone 50 sur 100 . Peu gratifiant 70 sur 100 .

 

> Or, cela, peut « faire plaisir », à mes parents, qui me le demandent gratification, de 80 sur 100 . Cela, leur rend service, leur donne, plus, de temps, pour des occupations, bien plus importantes 70 sur 100 . La satisfaction, d’avoir, un beau jardin, bien entretenu, de me rendre utile, pour une chose, bénéficiant, à toute la famille 50 sur 100.

 

o Il n’y a pas de tâches petites ou grandes, nobles ou indignes, passionnantes ou ennuyeuses. Toutes ont le mérite d’avoir leur utilité, raison d’être, bénéfice. Je ne me focalise donc pas sur leur caractère ingrat, rebutant, fastidieux, à mes yeux, de façon supposée, plus que réelle. Je ne prends en compte que la nécessité de les accomplir, le bénéfice qui en découle pour moi-même, autrui, le bien commun. Pénétré de cet état d’esprit positif, encourageant, motivant, j’agis bien et vite, fier de moi et du travail accompli. Le labeur est plus agréable pour moi, car je ne le considère plus tel un pensum, une corvée assommante, mais comme une activité gratifiante. Cela change tout !


 

 

Le travail a été fatigant difficulté, de 40 sur 100 . J’ai été exposé, aux intempéries 50 sur 100 . La tâche m’a empêché, de faire, tout, ce que j’avais prévu et, envie, de faire. Cela, a fort bousculé, mes projets initiaux, déjà, bien fixés et, mon emploi du temps. Ceux, de m’adonner, à des occupations, plus plaisantes et satisfaisantes, pour moi 90 sur 100 .

 

> Or, en réalité, après coup, j’ai eu la joie, du travail bien fait gratification, de 70 sur cent . Mes parents ont été heureux, du résultat 80 sur 100 . Grâce, à mon travail, toute la famille, va pouvoir, profiter, d’un fort beau jardin, dès, qu’il fera beau 70 sur 100 .

 

o Les adultes aînés n’ont pas le monopole exclusif de la construction du monde. L’apport de leur contribution à l’intérêt général. Du bien prodigué à autrui. Les jeunes cadets y ont leur pleine part, tout autant. Ils doivent donc être pleinement associés, à la bonne marche de l’univers, à part entière et activement. Ainsi, je ne suis pas rebuté par ce que je dois faire. Je suis, au contraire, fier de participer au service de tous et d’offrir, par mon travail d’excellence, des gratifications bénéficiant à toute la communauté. Faisant ainsi honneur à moi-même, aux autres et, au genre humain tout entier !


 

 

En vacances, j’ai fait un stage, de voile, par grand vent. J’ai été capable, de très bien barrer et, j’ai, donc, été, à juste titre, bien fier, de moi.

 

> Ayant, alors, plus confiance, en moi, et, mes compétences, je suis moins perfectionniste. J’apprécie, donc, mes progrès, aussi imparfaits, relatifs, puissent-ils être.

 

o J’apprends à ne plus voir, en moi, que des défauts, insuffisances, travers. Des raisons de mécontentement, frustrations, colères, mal-être, contre moi-même, autrui, la vie, les choses, circonstances. Or, surtout, à savoir reconnaître et apprécier, faire valoir, ce que j’ai de meilleur en moi et, mes actions, résultats, mérites. Cela bonifie, magnifie, ma vision de l’existence, de tout et tous, moi-même y compris, contribue à mon bonheur, mon succès. Je suis meilleur que je ne le pense et, bien plus grand, en tant que personne unique, que mes fautes et manquements réels.


 

 


Les mathématiques sont importantes, pour mes études, mais, je ne les prise guère. Pourtant, je dois, m’entraîner, à y être, plus à l’aise, meilleur.

 

> Par raison, non, passion, j’ai fait, le choix raisonnable, pour mon avenir et, meilleur intérêt, de préférer, l’effort, à la facilité, pour réussir.

 

o Ce qui importe, n’est pas la difficulté de l’obstacle à franchir, les efforts et sacrifices à consentir afférents, ni mon inappétence liée. Or, le fait, pour moi, de ne pas craindre ni fuir les écueils, de les affronter, de façon tenace, résolue, pour les vaincre. Non pour être vaincu par eux. Puisque tel est mon intérêt supérieur, je ne rechigne pas, je fais méthodiquement ce que je dois faire, je réussis alors, pour mon plus grand profit.


 

 

Globalement, je suis satisfait, de mon physique, mon corps, ma taille, mon poids, mon anatomie, de façon générale.

 

> Je souhaite, toutefois, améliorer, mon apparence d’ensemble, mes postures, expressions non verbales, mes capacités attractives.

 

o De fait, si je constate en moi une insuffisance réelle, à mes yeux, je ne m’en accable pas, ne m’en désespère pas passivement. Je me bats activement, tout au contraire, pour la corriger, au mieux et au plus vite. Ainsi, au lieu de rester paralysé, figé, par et en mon problème, je le résous, par la meilleure solution. Alors, « tout est bien qui se termine bien, dans le meilleur des mondes possibles » !


 

 

J’apprécie ma voix, que je trouve, plutôt, mélodieuse, bien posée, en sonorité, intonations, comme clarté, pour moi-même et, autrui.

 

> Or, je bafouille, un peu, par émotivité, quand, je ne suis pas à l’aise, en public ou, avec des inconnus, qui m’intimident.

 

o La réaction, l’appréciation des autres, à mon égard, importent peu. Ne comptent surtout que ma personne, sa légitimité, ses qualités. J’apprends donc à ne plus exagérer mes travers, réels ou supposés, à mes yeux. Or, à prendre surtout conscience de mes atouts, mérites, talents, vertus. Cela me permet de me suffire à moi-même, sans dépendre du jugement d’autrui ni, le craindre. D’avoir une bonne opinion et image de moi-même, car justifiée, fondée, avérée, de facto. Cela me permet alors, d’être toujours confiant et, en pleine maîtrise de moi, en toute circonstance, avec moi-même, tous et, tout.


 

 


J’évite, tout autant, le laisser-aller vestimentaire, que l’excès, de coquetterie, par respect, de moi-même, des autres. En toute simplicité, sans abus, d’artifice, d’arrogance ni, de négligence.

 

> Je m’habille, comme, je le sens, pour être, à l’aise, avec moi-même et, autrui, en tout temps, toutes circonstances.

 

o L’essentiel n’est pas de me conformer, à des critères et effets de mode ou, aux attentes, réelles ou supposées, d’autrui, à mon égard. Or, de simplement suivre mes propres souhaits, goûts, préférences, concernant mon apparence extérieure. Cela me permet d’être moi-même, à l’aise, naturel, en plein accord avec l’image de moi, que je souhaite avoir. Seule compte mon opinion sur moi-même, jamais celle d’autrui sur moi. Ainsi, je ne suis pas esclave de la tyrannie des stéréotypes en vigueur, que veut imposer la majorité bien pensante. Mes propres principes, pour moi-même, ne doivent provenir que de moi, non d’autrui.


 

 

Je ne dors pas assez, par manque de temps disponible, du fait de mes études, fort exigeantes. Ce qui me fatigue, nuit à ma santé et, à ma qualité de travail.

 

> Je dois, donc, améliorer, augmenter, mon temps et, ma qualité, de sommeil, en m’organisant mieux, à cet effet. Pour être, plus en forme, mieux réussir.

 

o Il est inutile et contre-productif, sous prétexte de manque de temps, de m’occasionner, alors, plus d’inconvénients que d’avantages. Je dors moins, pour travailler plus, or cela perturbe ma santé et, la qualité de mon travail. Cette dernière compte plus que sa quantité. Alors, il convient pour moi de dormir plus et, de travailler moins et mieux. Ainsi, je serai plus en forme et opérationnel et, j’aurai une qualité et efficacité de travail meilleures. Plus dormir, moins et mieux travailler est plus productif, que moins dormir et travailler plus et mal. Je gagne en temps de sommeil, perds en temps de travail, mais je perds de la fatigue et, gagne en performance de travail. Je suis donc, en définitive, gagnant sur toute la ligne !


 

 

Je m’accepte, physiquement, même si, je ne suis pas, toujours, pleinement, satisfait, de l’image, que je pense, donner, de moi.

 

> C’est une nécessité, nul humain, n’a le choix. J’essaie, donc, de me décentrer, de moi-même, pour être plus serein, en société.

 

o Certes, surtout jeune, l’apparence extérieure physique, esthétique, n’est pas anodine. Or, je me raisonne pour évaluer le plus justement, ma vraie et bonne échelle de valeurs. Je ne suis pas responsable de mon corps, même « améliorable », mais de ma personnalité. Compte la tête que je fais, non celle que j’ai. Je peux et dois surtout influer sur la première, bien plus que sur la seconde. L’essentiel est d’être moralement aimable, pour être aimé, non d’être plastiquement attirant, pour plaire matériellement. L’être compte plus que l’avoir, le paraître, le faire. Il s’agit d’être spirituellement séduisant, non physiquement séducteur. L’esprit est toujours supérieur à la matière, à moi de m’en convaincre et, de convaincre autrui. Telle est la clé du bonheur. Matérialisme, hédonisme, consumérisme, étant celle du malheur.


 

 


Je manque, de confiance, en moi, suis, trop passif, face, à la vie. J’ai tendance, à subir, me laisser, porter, plutôt, qu’à agir. J’ai peur, que mon avenir, ne soit pas, assez, motivant, passionnant, satisfaisant, pour moi. Que, faute, d’autres possibilités et, options, je sois, donc, condamné, à subir, plutôt, que d’être, pleinement, acteur, de mon destin.

 

> Pour autant, j’ai des qualités certaines, solides, d’ouverture, d’empathie, de compréhension, des autres et, d’humanisme.

 

o Pourquoi craindre toujours le pire, alors que j’ai le meilleur en moi ? Me croire « vilain petit canard », alors que je suis en réalité un « beau cygne » ? Par préjugé contre moi-même, par détestation, rejet de moi, au lieu d’avoir de l’amour de moi-même. J’ai peur de moi, des autres, de ma vie, mon avenir, par excès de méfiance et défiance généralisées. J’acquiers cette confiance défaillante, en décidant enfin de faire la paix avec moi-même, autrui, l’univers. En croyant en moi. En cessant de cultiver un doute absolu permanent, paralysant et, destructeur. Alors et seulement alors, je serai en mesure d’agir, au lieu de subir, d’être heureux, en réussite de vie, serein.


 

 

Je ne provoque ni, ne fuis, les contacts, avec autrui, je « laisse faire, les choses », au gré, des circonstances, avec pragmatisme.

 

> Mon manque, de confiance, me paralyse moins, quand, j’ai envie, d’aller, vers les autres ! Je suis plus capable, de relativisation et, distanciation, ce qui me rend plus affirmé, guilleret.

 

o Je ne peux me contenter d’attendre la survenue des événements, passivement. Je dois les favoriser, les organiser, conduire, de façon active et dynamique, à mon avantage. Sinon, ce n’est pas moi qui déciderai, par et pour moi-même. L’on décidera pour moi, à mes dépens, en faveur exclusive des meneurs. Je dois être décideur gagnant, non dominé perdant. Je ne laisse jamais faire, je fais. Je suis de l’étoffe des leaders affirmés, pas de celle des craintifs falots.


 

 

J’hésite, à inviter, mes pairs, au salon, de l’automobile, alors, que c’est, parfaitement, possible. J’ai quatre meilleurs amis, mais, seulement, deux entrées, pour eux. En ne lançant, que deux invitations, je crains, de froisser fort, les deux « éliminés ». J’ai alors, pensé, à tort, que les deux « exclus », m’en voudraient, me jugeraient, très mauvais camarade, que cela, nuirait, de façon dommageable, voire irrémédiable, à notre amitié.

 

> Je dois, avoir, plus foi, en mon jugement propre, ce qui me donnera, assurance, résolution et, force mentale, sans peur, des autres ». Comme, de leurs réactions, à mon égard.

 

o Je cesse d’avoir peur des autres et, de leur réaction, jugement, à mon égard. D’autant, quand il s’agit de proches. L’essentiel est ma conscience et, mon comportement juste et équitable, à l’égard d’autrui. Je suis doué d’intelligence, de raison, d’esprit d’à-propos, à mon égard et celui des autres. Je fais au mieux, en conscience. Mes semblables ne peuvent donc, que m’approuver, m’apprécier, qu’être satisfaits, par mon attitude à leur propos. Si tel n’est pas le cas, c’est leur affaire, pas la mienne, car j’ai ma conscience pour moi, en for interne, « sans peur ni reproche ». Comme tous, je ne suis pas parfait, mais homme de bonne volonté. Cela suffit à mon honneur, comme à bien honorer autrui.

 

– Eudes n’a pas pensé, à la bonne solution, équitable et, satisfaisante, pour tous, d’un tirage, au sort, par les quatre jeunes -.


 

 


« Concernant, le choix, de ma chambre, d’internat, j’aurais fort pu, en obtenir, une individuelle, pour moi seul, l’an prochain, en première. Or, j’ai fait, ma demande, bien trop tard, je continuerai, donc, encore, à « subir », un colocataire, qui m’empêche, de dormir. Doutant trop, de moi, je manque, d’assurance et, d’audace.

 

> Or, « nécessité, fait loi » ! Même si, cela, me coûte, je dois, me contraindre, à me battre, croire, en moi et, en la légitimité, de mes droits et, intérêts. Pour bien, me défendre, dans la vie. Sinon, les autres « passeront, toujours, avant moi », je serai, un éternel perdant. Ce qui est très injuste, néfaste et, dangereux.

 

o Tant que je fais passer les autres, leur intérêt, avant moi-même et mes droits, je suis perdant. Si je ne me bats pas, pour les avantages auxquels j’ai droit et, peux prétendre, je n’obtiens rien. Je dois donc agir le plus activement, prendre des initiatives, pour obtenir gain de cause et, parvenir à mes fins. Ce, dans les temps et, en étant suffisamment réactif et ponctuel. J’ose être audacieux, demander, déranger, car il en va de mon salut, mon bonheur, ma réussite. J’accélère, je fonce, au lieu de me freiner et réfréner, tout le temps ! Pour mon plus grand avantage !


 

 

Je me dis, que même si, je demande, une chose, à quelqu’un, je suis persuadé, que je n’obtiendrai pas, ce que je souhaite. Il m’arrive, encore, de penser, que je n’ai pas raison ni, le droit, de demander et, que c’est illégitime ou, abusif, de ma part, que je ne le mérite pas. Je crois, que si, je sollicite, une personne, je vais, la déranger, la mécontenter ou, qu’elle va, m’en vouloir. Que cela, va, « se retourner, contre moi », qu’il vaut, donc, bien mieux, pour moi, renoncer, à ma demande. À la satisfaction, de mes réels besoins, intérêts.

 

> Si je raisonne, plus positivement, je comprends, que si je ne bouge pas, je suis assuré, de ne, jamais, rien, obtenir, de n’avoir, aucune chance, d’y parvenir. « Qui, ne tente, rien, n’a jamais, rien » ! J’ai, donc, tout, à gagner, à me manifester, tout, à perdre, à renoncer. Du fait, que ma demande, correspond, à mes vrais besoins, naturels et fondés, je n’ai aucunes raisons, de douter, de la légitimité, de ma requête.

 

L’autre, reste libre, de refuser ou, d’accepter. Je ne peux, anticiper, sa décision, qui lui appartient, que je ne peux, donc, deviner, à l’avance. Si ma sollicitation, est juste, acceptable, il est, de mon droit et, devoir, de la présenter. Ensuite, il appartient, à mon interlocuteur ou, interlocutrice, de décider, souverainement, en conscience, s’il ou, si elle, peut et, veut, m’aider ou, pas. En acceptant ou, refusant.

 

o Je dois me donner le droit d’exister, croire en ma légitimité, mon bon droit et, mes intérêts fondés et justes. Il me faut m’affirmer, sans abuser pour autant des autres. Sinon, je resterai éternellement à quai, immobilisé, au lieu d’embarquer. En conscience, je sais parfaitement ce à quoi je peux prétendre ou pas. Si ma requête n’est pas acceptable, je m’abstiens. Si elle est recevable, cas le plus fréquent, je fais taire mes doutes et peurs et, je la fais connaître à qui de droit. Ainsi, je suis toujours assuré de ne pas être abusif et, d’obtenir ce que je suis en droit de demander et de recevoir. Sans états d’âme ni tergiversations, mais, en confiance et assurance.


 

 

En début, de classe, de seconde, j’avais, d’importantes lacunes, en mathématiques. Pourtant, je ne demandais, d’aide, à personne, alors, que j’en avais, le plus grand et, urgent besoin. Étant donné, l’importance, de cette matière, pour mon passage, en première scientifique.

 

> Je ne dois pas, avoir peur, de déranger, en voulant, me faire assister ni, de révéler, ainsi, mes faiblesses, par une mauvaise image, de moi-même.

 

o L’essentiel n’est pas ma façon de parvenir, mais de garantir et servir mes intérêts. Pour cela, je n’accorde crédit et importance qu’à la meilleure et plus sûre façon de réussir. Les moyens étant bien déterminés, je les mets en œuvre. Ce qui me permet de résoudre tous mes problèmes et difficultés, sans coup férir. C’est aussi simple et efficace que cela ! Je n’écoute pas mes peurs et doutes, quant à ma réussite, mais uniquement ma volonté de m’en sortir. Les voies pour y parvenir, que j’applique d’urgence, car la fin justifie les moyens, en toute légitimité, bien sûr.


 

 


Concernant, mon orientation future, d’études, de profession, de choix, de vie, je n’ose pas, assez, m’informer. Par inhibition, crainte, de me manifester, demander.

 

> Puisque, je sais, que j’en ai besoin, que c’est mon intérêt, je fais taire, ma peur et, j’agis ! Il vaut mieux faire, des démarches bénéfiques, sortant, de ma « zone, de confort », plutôt, que d’y rester, mais, à mes dépens.

 

o Je dois savoir ce que je veux, d’autant que je sais bien ce que je vaux et, que je le vaux bien ! Sachant parfaitement ce que je veux, je fais alors l’impossible pour l’obtenir. Si je sais ce que je veux, mais fais tout pour ne pas l’avoir, en ne tentant jamais rien, cela est absurde. Je ne suis qu’un velléitaire, doublé d’un pleutre. Or, puisque je suis hardi, audacieux, déterminé, je n’ai de cesse de faire l’impossible, pour réaliser mes ambitions les plus fondées. Assez de pusillanimité, mais plutôt « de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace » ! Vouloir, c’est pouvoir et, avoir, Cqfd !


 

 

Généralement, dans ma vie, j’ai du mal, à m’exprimer, à me dire, à être spontané. Avec ceux, que je ne connais pas, mal ou, peu, je suis moins, à l’aise, qu’avec, des familiers. Ne les connaissant pas, j’ai peur, de leur réaction, à mon égard. Je ne sais pas, quoi dire. L’inconnu, l’imprévu, ce que je ne maîtrise pas, me bloquent, par défaut, d’assurance et, de sérénité.

 

> Alors, je dois agir, plus, mieux, plus vite, de façon appropriée, dans le temps et, l’espace, si je veux, parvenir, à mes fins !

 

o La vie ne peut toujours, loin s’en faut, être affaire de certitudes, de choses connues, balisées, rassurantes, prévues, garanties. Le plus souvent, c’est l’inverse. L’existence est incertaine, aléatoire, parfois même menaçante, inquiétante. Je dois l’accepter et faire avec, ne pas en tirer prétexte, pour rester caché, passif, replié sur moi-même, pour me préserver à tout prix. Je ne peux me protéger de la vie, ma vie, moi-même et, autrui. Vivre n’est pas une maladie, une malédiction, mais une chance, qui requiert et mérite d’être pleinement tentée et pratiquée. J’oublie mes craintes et, je vis ma vie, tout simplement. Je sors de moi-même, sans me préoccuper de moi, mais des autres. Je ne me demande pas, ce qu’ils peuvent m’apporter, mais ce que je peux, moi, leur accorder de mieux. Voilà le secret d’une vie heureuse sans peur : me donner à autrui, le gratifier, en m’oubliant. Tant l’essentiel est le bien que j’aurai accompli, en la vie de mes semblables humains !


 

 

Je sais, quels sont, mes principaux désirs, à assouvir. Je veux, avoir, plus, d’amis, « en allant plus, vers autrui », avec assurance, charisme et, rayonnement.

 

> En ouverture maximale, sur les autres, oubliant, ma propre personne, pour me focaliser, sur mes semblables humains, en confiance, fierté et, humilité.

 

o Je comprends que ma vie n’a d’intérêt et d’importance, que par rapport aux autres, non, à moi-même. Seul, je ne peux rien ou presque. Mon existence est perdue, ratée, malheureuse, sans et contre autrui. Elle n’est gagnée, réussie, heureuse, qu’avec et pour les autres. Sachant et voulant cela, je n’ai de cesse, ma vie durant, d’aller vers mon prochain, pour « communier à la vie », ensemble. Les plus grandes choses du passage terrestre sont ce lien, cette rencontre avec mes congénères. Je cultive donc cette richesse humaine, sans retenue, en altruisme, générosité, confiance, aisance, ouverture. Mes qualités propres y pourvoiront, rejoignant celles des autres, en transcendance mutuelle !


 

 


J’ambitionne, d’accomplir, une très bonne première S, pour être, à bon niveau, en terminale, y passer, facilement, bien réussir, au bac.

 

> Par l’effort, sans relâche, le travail acharné, la ténacité, sans faille, sans, jamais, me décourager, douter ni, renoncer. Jusqu’au but final, atteint et, réussi, de façon déterminée.

 

o L’ambition est capitale, pour savoir ce que je veux faire de ma vie et, faire de mon existence le plus et le meilleur possibles. Je n’ai donc pas peur de me donner du mal maintenant, pour parvenir plus tard et, atteindre mes objectifs. Je ne me laisse distraire ni, arrêter par rien d’autre, au cours du chemin. Je n’arrêterai que quand je serai parvenu à destination finale, pas avant. Quoi qu’il m’en coûte, quelles que soient les difficultés et, les embûches rencontrées, au fur et à mesure de mes avancées. Il pourra y avoir de petits reculs, je ne me laisserai pas décourager pour autant. Ce sera autant d’occasions de repartir et, de m’acharner de plus belle, en l’effort. Ainsi, ma réussite, récompense de mon dur labeur, sera obtenue, à terme !


 

 

Je prévois, de faire, un grand voyage, avec mes amis, entre jeunes, en adultes, sans, les parents, en liberté et, autonomie.

 

> Avec maturité, organisation, rigueur, responsabilité. Cela, me permettra, de m’affirmer et, de réaliser, mes propres désirs et, rêves.

 

o Le grand dessein de la jeunesse est de s’affranchir de ses aînés, ascendants, pour être autonome, voler de ses propres ailes. Devenir pleinement adulte, pour réaliser ses propres rêves, sa propre destinée. Non pas ceux des adultes accomplis ni, ceux qu’ils envisagent, ambitionnent, pour leurs cadets, leur descendance ou, prétendent lui imposer. Je dois donc m’affirmer, en affirmant, choisissant mon destin à moi. Cela passe par une multitude de choix, des plus petits aux plus grands. Cela ne dépend que de moi, ma volonté, mon action. Alors, je ne m’en prive pas et je bataille fermement, pour vivre ma vie, à ma guise !


 

 

J’ai, aussi, conscience, de mes besoins prioritaires, à satisfaire. Une meilleure entente familiale, à tous points, de vue, notamment.

 

> Avec, plus, de détente, d’efforts, de concessions mutuels, de bonne volonté partagée, pour que tous, soient, très « contents », en harmonie commune.

 

o C’est à moi, de fait, de me fixer mes propres priorités, les plus importantes et urgentes, à mes yeux. Je vis chez mes parents, en famille, avec ma fratrie. Il est donc important, pour moi comme pour eux, de veiller à une bonne entente réciproque. En l’intérêt de tous. J’y fais attention, d’autant que je suis l’aîné, cela me donne des droits et des devoirs, en responsabilité. Je donne le bon exemple aux plus jeunes et, je participe à un climat familial apaisé et chaleureux. Tel est mon apport positif, bénéfique et fructueux, pour toute ma communauté.


 

 


Je souhaite fort, un climat général, de travail scolaire, plus serein et, porteur, efficace et, fructueux, pour moi.

 

> En effort, confiance, en mes capacités, persévérance et, détermination. Cela, me rendra, plus épanoui et, productif, en mes études.

 

o Je considère trop les études, les miennes en particulier, comme une épreuve redoutable, quasi insurmontable. Faite d’obstacles, tous plus terribles les uns que les autres. Ce n’est pas mon travail qui est terrifiant, en lui même, pas plus que ses conditions d’exercice. Or, mon appréhension, ma vision, mon ressenti, de ce qu’ils sont pour moi. Je me détache donc, des aspects annexes secondaires subjectifs. J’influe, de façon bénéfique consciemment, sur mon subconscient, en étant positif. Cela me permet de penser, ressentir, d’agir, en sérénité. Je me recentre sur le fond principal objectif : mon travail lui-même. Sans me laisser impressionner par lui ni, influencer, parasiter, par son environnement. Je me concentre sur ma tâche et, je l’accomplis méthodiquement. Point pas point, sans relâche, jusqu’à « en venir à bout », en un état d’esprit paisible, apaisé.


 

 

Me faire plus, apprécier, de mes pairs, pour l’essentiel, faire mieux valoir, mes qualités, me paraît important, pour bien, me réaliser.

 

> Par l’ouverture d’esprit, l’acceptation, l’affirmation, de moi-même. J’ai compris, que seul, l’amour, de soi, assure, l’amour, des autres, l’estime mutuelle. Que l’on ne peut, jamais, prétendre, bien vivre, avec autrui, que si l’on vit, au préalable, « bien, avec soi-même ».

 

o Je ne peux être en guerre contre moi-même et autrui, le monde entier, en permanence. Cela est pour moi vain, épuisant, contre-productif. Je fais donc la paix générale, universelle, avec tous et pour tout. La main tendue est plus prometteuse, prolifique, que le poing levé. Je n’attends pas, pour cela, la gratification des autres. La seule façon de l’obtenir est de leur offrir, d’abord, la mienne. Honorant autrui, je serai, en retour, honoré par lui, en réciprocité bien comprise. Appréciant, reconnaissant les vertus de me semblables, ils feront de même, quant aux miennes. Il me revient de commencer, en donnant « le bon exemple », car pour obtenir, il faut d’abord donner !


 

 

En fin, de ma seconde, je souhaitais, arrêter, le grec ancien, pourtant, je n’ai pas osé, exprimer, mon souhait. J’ai eu peur, de déranger et, décevoir, d’être mal considéré, par mes parents, enseignants. J’ai, donc, beaucoup manqué, d’assurance, d’affirmation, de mes propres préférences, choix, de ma volonté et, de ma personne souveraine.

 

> Il s’agit, pour moi, de plus, m’imposer, privilégiant, mes légitimes choix, droits et, intérêts. Plutôt, que ceux, des autres et, ma peur, de me manifester, ainsi, que mes besoins et, ce qui me gêne, terriblement.

 

o Pour éviter un petit inconvénient : oser m’affirmer et déplaire, je m’en suis imposé un grand : subir ce dont je ne voulais pas. J’accorde plus d’importance à ma peur des autres, de leur réaction, qu’à ma volonté et mes intérêts propres. En estime et confiance en moi, j’inverse radicalement ce toxique état d’esprit. Je suis indifférent au positionnement d’autrui, qui et quel qu’il soit. Je n’accorde importance qu’à ce que je veux, moi et, ce qui me convient, m’intéresse, me bénéficie. Sans pour autant nuire, léser, offenser personne. Ainsi, je « ne me laisse pas avoir, ne m’en laisse pas conter » et, j’obtiens tout ce que je veux de légitime. Étant volontaire, résolu, persévérant, sûr de moi, je suis même capable de convaincre les plus dubitatifs et, de plaire aux plus rétifs !


 

 


Je n’ai pas, toujours, su, assez, prendre, en considération, les attentes, désirs et, besoins, de mes parents, par négligence, paresse.

 

> Je dois, aussi, apprendre, à composer, avec les autres, les prendre, en compte, souscrire, à mes devoirs, à leur égard. Sans, pour autant, jamais, oublier, mes propres intérêts et, droits, comme mes liberté, intimité et, dignité.

 

o Me conformer aux attentes des autres est bien, à condition que cela soit fondé et, corresponde à de réels devoirs. Pour éviter tout abus d’autrui à mon égard, comme les miens propres, j’interroge ma conscience, pour préserver mes droits. Cela est encore mieux. Je ne me contente pas de céder à toute demande d’autrui, juste pour lui complaire, je réfléchis d’abord. Même si je suis mineur et, qu’il s’agit de mes parents. Je ne suis plus un enfant. Si j’estime, en mon for interne, que ce qui est exigé de moi est recevable, je me fais un plaisir d’y répondre favorablement. Si tel n’est pas le cas, je refuse, en argumentant solidement. Quitte à proposer, qu’une nouvelle requête plus acceptable soit reformulée, pour que je sois alors, en mesure de l’agréer. Je souscris toujours à mes devoirs, mais seulement, s’ils sont réels et justifiés.


 

 

En tout début, d’études, de lycée, j’avais tendance, à me plaindre, de tout, me considérant, comme, une victime passive, impuissante. Cela, a fort irrité, incommodé, mon entourage. J’étais trop, centré, sur moi.

 

> Alors, j’ai fait effort, pour changer, j’ai pris, en compte, la réaction, des autres, la gêne, que mon attitude, leur occasionnait.

 

o Tout est affaire, moins de réalité, que d’interprétation. Mes conditions d’études sont moins difficiles, en elles-mêmes, à mes yeux, objectivement, qu’elles ne le sont subjectivement, pour moi, selon mon esprit. Je raisonne alors, plus froidement, pour relativiser, dépassionner, être plus détaché. Au lieu de me sentir dominé, faible, subissant mon sort imposé, je décide et, fais en sorte d’être dominant, fort, conduisant mon destin, moi-même. Cela change tout positivement, en changeant de paradigme ! Je prends les choses en main, me mets au travail de façon acharnée et, je réussis. Ainsi, ma vie s’améliore fort, je suis satisfait, me sens bien mieux et, n’ai plus de raison factuelle de maugréer ! Corriger favorablement mes pensées, a positivé mes émotions, donc, bonifié mes comportements. À mon plus grand profit !


 

 

De même, en mon travail, j’accorde, bien trop, d’importance, à mes émotions et, états d’âme. Cela, me bloque et, m’empêche, d’agir, en mon intérêt.

 

> Il s’agit, donc, de me « décentrer, de moi-même », pour bien, me concentrer, entièrement, sur l’essentiel : ma tâche scolaire.

 

o Je délaisse mes pensées et, émotions parasites paralysantes, contre-productives. Je me réserve pour l’action. En mes études, l’essentiel n’est pas de cogiter ni, d’éprouver, mais, de travailler, sans élucubrations ni, états d’âme. Je me mets de bon cœur à l’ouvrage et, j’abats ma tâche quotidienne, sans rechigner, médire ni, récriminer. L’essentiel pour moi est de réussir, par mon travail. Le reste n’est que billevesées !


 

 


En fin, de classe, de seconde, je souhaitais fort, de meilleures conditions, de vie, à l’internat. J’y avais, plein droit, passant, en première, mais, je n’ai pas su, le demander, explicitement. J’ai laissé faire, les choses, par peur, de me manifester. De certaines conséquences, supposées, à tort, négatives, pour moi : refus, rétorsions, déconsidération, stigmatisation, rejet.

 

> Il me faut, désormais, toujours, oser, défendre, mes droits, intérêts, ma personne. Je vais, donc, de ce pas, hardiment et résolument, faire valoir, mes revendications. Tout en comprenant, exprimant, le fait, que ma demande, n’est pas, forcément, aisée, à être contentée, sur-le-champ. Or, que ma requête, est très légitime, pour pouvoir, mieux travailler, me ressourcer.

 

o Les choses ne sont pas faites pour être subies, mais provoquées. Je ne suis pas un contemplatif de l’existence des autres, mais un acteur de ma propre vie. J’influe sur l’existant, je ne laisse rien ni personne m’influencer, surtout en mal. J’exige donc ce qui m’est dû, puisque j’y ai plein droit. Je ne m’en sortirai pas, tant que « je raserai les murs et, que j’aurai peur de mon ombre », en pure pusillanimité. Je décide donc, de m’affronter moi-même, ainsi que les autres et, les réalités de ma vie, aussi durs et impressionnants soient-ils. Ce qui me fait peur est souvent imaginaire ou, négligeable et, non rédhibitoire. Ces pseudo-monstres qui m’effraient et, me figent ne sont, en réalité, que des « tigres de papier ». Définitivement débarrassé de ces freins, qui n’ont nulle raison d’être, je me libère enfin. Je me bats pour imposer et arracher, ce qui me revient de droit, ni plus ni moins, sans nulle hésitation !


 

 

Mon colocataire de chambre d’internat me gênait, de plus en plus, étant désinvolte, irrespectueux, avec moi. En ne respectant pas, assez, mon sommeil, ma tranquillité, mon travail. J’ai été trop indulgent, avec lui, alors, il a fort abusé, de mon excès, de gentillesse, complaisance, à son égard. Je n’avais pas, assez, pris conscience, que mon laxisme, se retournerait, contre moi. Que je me « faisais avoir ». Je n’ai pas, assez, pris à cœur, mes intérêts. J’ai eu peur, d’une réaction hostile, si je manifestais, ma réprobation.

 

> Je dois, donc, plus oser, m’affirmer et, me faire respecter, en étant, plus ferme, exigeant, « intraitable », quand, les autres, se permettent, de me nuire. Je respecte autrui, la réciprocité est, donc, impérative, jamais, « négociable ».

 

o Comme en droit civil, je m’impose, à moi-même, sans nulle obligation ni justification, des clauses léonines. Ce qui est interdit juridiquement et, doit donc tout autant l’être moralement. Ces clauses prévoient tous les avantages pour les uns, que des inconvénients pour les autres. J’accepte que les autres aient tout, favorablement, et que moi je n’aie rien, de façon dommageable pour moi. En véritables auto sabordage et auto sabotage. J’arrête de jouer sans cesse, contre mon propre camp. Je ne suis pas sur Terre pour assurer les intérêts des autres, mais les miens d’abord. Une fois seulement, que ces derniers sont assurés, je peux alors jouer les altruistes, les bons samaritains, les généreux désintéressés. Les humains ne comprennent que les rapports de force, non les bons sentiments. Je ne peux me faire respecter, ainsi que mes droits et intérêts, que si je fais de la prévention. En tenant autrui en respect en « montrant les dents ». Ainsi, plus personne n’osera me nuire et, je sauvegarderai toujours ma personne et, mes légitimes bénéfices !


 

 

J’ai trop peur, de « déranger », les autres. Je crains, qu’ils ne réagissent, alors, très mal, à mes dépens. Malgré, ma nette conscience, d’être, dans mon bon droit, je ne me sens pas, pour autant, la légitimité, à revendiquer, la défense, de mes intérêts.

 

> Je dois, me percevoir, comme, assez solide, pour cela. Même si, je ne suis pas certain, d’avoir raison, je dois faire valoir mes droits.

 

o Mon avantage, ma légitimité, ne sont pas d’avoir foi, confiance, en autrui, mais en moi-même. Quand il ne s’agit que de moi, ma vie, mes affaires, droits et, intérêts, j’ai toujours préséance, je choisis et, décide seul. Personne d’autre, jamais. Moi seul ai voix au chapitre. Alors, tout est simple, limpide, évident. La règle absolue et systématique est que je me bats d’abord pour moi, en exigeant toujours mon dû avéré. Si l’autre refuse à tort, je l’oblige à obtempérer, fermement, mais pacifiquement et, en respect d’autrui. Si cela ne suffit pas, j’en réfère à l’autorité supérieure adéquate, qui elle saura me faire rendre justice. Une seule chose compte : si j’ai droit, je demande et, j’obtiens, tôt ou tard, directement ou indirectement, à la première tentative ou la suivante. Si je n’ai pas le droit, je m’abstiens. Ainsi, mes droits et intérêts, les plus justes, sont toujours défendus et honorés. Moi seul peux et dois le faire, toujours, sans nulle exception ni renonciation.


 

 


Je crains, pense, que mon argumentation, ne suffira pas, à convaincre. Je me censure, suis défaitiste, à tort, car, je ne crois pas, assez, en moi-même, ma valeur ni, en mes capacités personnelles.

 

> Je dois prendre, pleine confiance, en moi-même, autrui, ma vie, l’existence, pour mieux, m’accomplir et, réaliser, ma mission terrestre !

 

o L’essentiel n’est pas de convaincre, à tout prix, mais d’être soi-même. Il vaut mieux être authentique sans l’emporter, que de triompher par le mensonge. Je peux toujours tout faire pour obtenir l’adhésion, en foi en moi, cela est toujours possible, jamais assuré pour autant. Or, l’essentiel n’est pas là, mais de se présenter à autrui, tel que l’on est, en exprimant ce que l’on a à dire. Qu’importent les réactions des autres et, leur assentiment ou non. Compte surtout, le fait de manifester ce qu’il me paraît important de communiquer. Le reste ne m’importe pas ni, ne me concerne. Ce n’est que l’affaire d’autrui, de cautionner ou non, mes propos, non la mienne. Je crois en moi et mon opinion et, cela me suffit, les avis extérieurs m’indiffèrent, car je me suffis à moi-même. Je ne fais pas dépendre mon estime de moi, d’autrui, mais, de moi-même, exclusivement. Je n’ai donc pas besoin d’être approuvé ni, désapprouvé, par les autres, pour exister, ni pour avoir foi en moi et mes idées !


 

 

Mon raisonnement, de capitulation, défaite, peut devenir, celui, de la lutte, pour moi, ma victoire. Systématiquement, chaque fois, que mon « combat », est légitime et, sans nuire, pour autant, à quiconque. Du fait, même, que je suis assuré, d’être, parfaitement, dans mon bon droit, je ne saurais, déranger, l’autre ni, lui nuire. En défendant, mes intérêts, tous, rien, de moins, ni, de plus.

 

> Cet autre, ne peut, donc, que bien réagir, qu’il réponde, favorablement ou, non. Quand bien même, « prendrait-il, la mouche », cela, est son problème, non, le mien !

 

o La vie, ma vie, n’est pas que combat, oppositions, antagonismes, raison ou tort, intérêts et droit, victoire ou défaite. Elle est surtout accomplissement de soi, par une certaine ascèse morale, un dépassement de soi, une élévation spirituelle. Les autres y ont leur place et rôle, mais ma transcendance métaphysique passe d’abord, par moi-même. Je ne peux toujours me défausser sur autrui, en attendre tout, en dépendre outrageusement. Ma réalisation existentielle personnelle est d’abord intérieure et, propre à mon être seul. Mes ressources suréminentes sont donc, à puiser en moi-même, ma conscience, mon for interne. Je ne peux m’inscrire dans la seule matérialité, avec, pour ou, contre autrui, mais, d’abord, avec, en, par et, pour moi-même.


 

 

Quoi, qu’il en soit, je suis fort assuré, ayant, ma bonne foi, mon bon droit, pour moi, de bien, les faire admettre et, triompher. Je suis, donc, « moralement, inexpugnable », puisque, je me conforme, à « la loi, au droit », de mes justes intérêts, parfaitement, fondés, sentis.

 

> Je n’ai, alors, aucun état d’âme, à avoir, ne me réfère, par conséquent, qu’à ma conscience, qui est tranquille, car droite. Non, aux desiderata, de « Pierre, Paul ou, Jacques ». Je ne les laisse pas, instiller, le poison délétère, du doute, pervers et illégitime, en mon esprit. Armé, de ma seule raison, solide, je fais, admettre et, reconnaître, ma pleine souveraineté, surtout, si elle est, iniquement, salement, bafouée.

 

Ainsi, je décuple, mes chances, de la faire respecter, par autrui, avec aplomb, confiance. S’il persiste, à « empiéter, fort indûment, sur mon territoire », il se met, donc, délibérément, en faute caractérisée, à mon égard. Je serai, alors, en droit intégral, de mettre en œuvre, toutes mesures protectrices, préventives ou, réparatrices, légales, proportionnées. Lesquelles, s’imposeraient, pour l’obliger, à « m’en rendre raison ».

 

o Je commence à savoir me battre et, faire valoir mes droits et intérêts légitimes, auprès des autres, c’est fort heureux. Je sais œuvrer pour moi. Pour autant, je sais aussi, non pas lutter contre autrui, pour moi, mais tout autant, le défendre, lui apporter, sans me nuire à moi-même. Surtout, j’ai compris que mon salut, ma joie, ma gratification suprêmes sont immatériels, bien plus que matériels. Proviennent surtout de moi-même, mon intériorité morale. Sachant où se trouve ma raison de vivre, je suis plus heureux et serein, confiant et rayonnant. Je ne me contente plus de réussir en ma vie, je me meus pour réussir surtout ma vie et, cela change tout, admirablement !


 

 


Parfois, l’on « use et, abuse », de ma gentillesse, en me demandant, quelque chose, qui paraît, anodin. J’accepte, par faiblesse, alors, que j’ai envie, de refuser. Je me rends compte, après coup, que je me fais, en réalité, « salement, avoir ». Car, cela, m’entraîne, à bien plus, que je ne veux ni, ne peux donner et, que ce qui me semblait, en réalité, initialement, demandé.

 

> Je dois, donc, être, bien plus, vigilant, strict, quand, l’on me sollicite. Pour me faire respecter et, prévenir, les abus, à mes dépens et, au seul profit, d’autrui.

 

o Les demandes d’autrui, à mon égard, n’ont aucune importance. Seuls comptent mon souhait, ma volonté, mon intérêt. Ce que je me demande à moi-même. Si j’accepte une requête, c’est car je le veux bien, qu’elle me convient pleinement et, est recevable, non, car elle est formulée. Ni pour complaire à autrui. Je ne me conforme donc, qu’à moi-même, jamais, à quiconque d’autre. Je ne suis pas au service des autres, mais au mien seul, d’abord. Je ne suis perméable qu’à mon intériorité et, toujours imperméable à toute extériorité. Moi seul décide de ce que je veux ou pas, j’accepte ou non, de ce qui me convient ou pas. Ainsi, je m’assure toujours de ne pas me laisser aller où je ne veux pas. En complets maîtrise et contrôle de moi-même, ma liberté, souveraineté, volonté.


 

 

Parfois, face, aux copains, notamment, les jeunes, que je connais peu, je ne m’exprime pas, assez, je suis trop, effacé, absent. J’ai peur, de l’inconnu, de ne pas être, à mon avantage, d’être, injustement, mal jugé.

 

> Un effort, pour « être, moi-même » et, « sortir, de ma coquille », s’impose, donc. Ce qui, me permettra, bien plus, d’aisance sociale et, d’enrichissements humains.

 

o Ce que sont les autres, à mes yeux et, à mon égard, n’a nulle importance. Seuls importent mon rapport à moi-même, la façon dont je me considère et, me ressens, perçois. En étant intérieurement sûr de moi, mentalement fort, assuré de ma valeur, ma légitimité, ma stature personnelle, je m’affirme extérieurement. Je ne me laisse impressionner, intimider, influencer, par rien ni personne. Je n’accorde crédit qu’à ce qui provient de moi-même. Ce qui vient des autres ne concerne qu’eux et, non moi. Je suis indifférent au regard et, à l’opinion d’autrui sur moi, ainsi qu’à mon image auprès des autres. Je ne pense que du bien de moi-même et, je reste totalement détaché, distancié, de ma propre appréciation de moi-même. En fierté sans arrogance, humilité sans auto dévaluation. Bien armé mentalement, je peux donc, impérialement, affronter le monde. Cultivant la philosophie zen, consistant à être imperméable à toute peur irrationnelle, comme à tout désir excessif. Seul gage de béatitude !


 

 

Je ne veux pas, déplaire, me fâcher, avec ceux, qui me demandent, une chose. Je me crois, obligé, de les satisfaire. Alors même, que je souhaiterais, si fort, refuser. J’ai des doutes, quant à ma pleine, légitimité, souveraineté et, liberté, de dire, non. Parfois, même, si je voudrais, décliner, j’accepte, malgré tout, par simple confort et, facilité personnels. Pour ne pas avoir, à m’expliquer, me justifier, m’affirmer.

 

> Il est grand temps, de changer, de registre, pour être sincère, authentique, plus sûr, de moi, honnête. Considérant, l’idée, que j’ai, toujours, parfaitement, le droit, de refuser, en conscience, ce qui, ne me convient pas, autrui, n’a jamais, à se formaliser. Car, cela, est mon libre-arbitre, choix. Même, si j’ai un doute, sur la légitimité, de mon refus, si celui-ci, s’impose, à mon esprit, je n’ai pas, à hésiter, à « dire, non ». Car, je ne fais, ainsi, que me « conformer », à ma conscience. Si ma raison, mes fort justes intérêts, me dictent, de ne pas, donner suite, à une demande, je me dois, d’avoir, tout le courage, la force, d’imposer, ma décision. Pour être, en accord, avec moi-même, vrai, avec autrui. Sinon, je triche, dupe, étant, dans le mensonge, à l’égard, de tous.

 

o Il est grand temps de vivre par moi-même, pour moi-même. Non, au travers des autres et pour eux. Je ne peux exister sans ni contre autrui. Pour autant, je vis ma vie et non celle des autres. J’entretiens mes propres richesses personnelles. Je cultive mes propres passions. Je poursuis mes propres ambitions, objectifs, destinée. Loin des états d’âme, prétentions, desiderata des bonnes âmes, des bien-pensants, des donneurs de leçons et, autres « casse-pieds ». Ainsi, je n’obtempère plus à rien et, réfute toute velléité extérieure, à mon égard. Sauf si tel est mon bon vouloir, naturellement. Quand il ne s’agit que de moi, ma vie, mes intérêts, ma volonté l’emporte toujours, celle d’autrui jamais. Car, alors, je suis seul juge, souverain et, maître. Alors, « à bon entendeur salut » !


 

 


Je refuse, désormais, d’être déconsidéré, humilié, abaissé, par mon entourage, le jouet, des autres, de façon désobligeante.

 

> Je me fais, respecter, en mes droits, intérêts, ma dignité, les plus légitimes, en étant ferme, sûr, de moi et, décidé.

 

o Les autres n’ont de pouvoir sur moi, que si je l’accepte et laisse faire. Si je refuse et empêche toute ingérence extérieure, autrui ne peut plus rien contre moi. Je fais de la prévention dissuasive, en faisant comprendre à tous, qu’il est inutile d’essayer de me nuire. Car toute tentative d’attaque sera systématiquement déjouée, « étouffée dans l’œuf », stoppée net, vouée à l’échec. Ainsi, les nuisibles, mal-intentionnés, abuseurs de toutes sortes sauront, à l’avance, l’inutilité et l’impuissance de leur forfait. Ils n’essaieront même pas, de faire la moindre tentative hostile dommageable. Pour avoir la paix (armée), il faut savoir (se) préparer (à) la guerre. Ce n’est « qu’armé jusqu’aux dents », que je peux me faire respecter, ainsi que mes intérêts. Pas en étant un « naïf et angélique agneau, parmi les loups ». Tout en demeurant toujours pacifique, respectueux des autres et, de leurs droits et intérêts. Défendant fermement les miens et ma personne. Je sais distinguer « les bons des méchants », les bien disposés et intentionnés des malveillants.


 

 

Je n’accepte plus, de devoir, faire, le travail scolaire, d’un autre, à sa place, de façon abusive, complaisante et, non fondée.

 

> Chacun, doit être jugé, selon, ses propres mérites. Je fais l’effort, de réaliser, toute ma tâche, chacun, a à faire, de même, pour la sienne, honnêtement.

 

o Je dois exclure d’office et par avance, tout profiteur, abuseur, escroc, de ma vie. Je repère et j’écarte durement tout malfaiteur, avant même qu’il ne puisse tenter quoi que ce soit, contre moi. Le désarmant et, le mettant ainsi, définitivement, hors d’état de nuire. Je n’abuse jamais de personne, j’interdis donc à quiconque de me nuire, en aucune façon. Chacun est responsable de soi et, de ses droits et devoirs moraux, non des autres et, de ceux d’autrui. Je suis chargé de mes intérêts, non de ceux des autres. J’ai déjà assez à faire, avec mes propres occupations et tâches, pour ne pas avoir à endosser, en outre, celles d’autrui. Que chacun assume ses responsabilités et, « le troupeau sera ainsi bien gardé » !


 

 

Je ne veux plus, être défavorisé, sans fondement valable ni, être accusé, à tort. Servir, de « paillasson ou, de bouche-trou, de faire-valoir », subir, les iniques moqueries, des autres.

 

> Je défends, mes droits, ma dignité, mon honneur légitimes, résolument. C’est, une question, de principe, absolu et, intangible.

 

o Par droit et devoir, je dois me débarrasser et, libérer ma vie des importuns, inconvenants et, autres trublions toxiques. J’ai plein droit à ma souveraineté, mon intégrité, ma sauvegarde, en liberté, dignité, intimité. Qui y contrevient doit être sanctionné, banni, exclu, à vie. Je n’accepte en mon entourage que des personnes de confiance, droites, loyales, respectueuses, bienfaisantes et bienveillantes. Comme je veille toujours à l’être, auprès d’autrui. J’exige donc, la réciprocité parfaite. Je ne nuis jamais aux autres et, je les oblige alors, à faire de même, à mon égard. Ma vie est assez difficile comme cela. J’élimine donc, tout ce qui la dégrade encore plus. Je suscite et favorise tout ce qui la bonifie. Gens, choses, circonstances…


 

 


Je limiterai, les excès, d’interventionnisme, de mes parents, en ma vie, quand, ils outrepassent, leurs prérogatives, à mon égard.

 

> En m’affirmant plus et, tolérant, ce qui peut l’être, en conscience, rejetant, ce qui est inacceptable, avec fermeté et doigté.

 

o Ma personne n’est gouvernée que par moi-même. Ma vie n’est régie que par moi. Tout ce qui me concerne n’est ordonné que par mon être. Exclusivement. Par personne d’autre, quel qu’il ou, qu’elle soit. Cela est impératif pour tous, même parents, que je sois mineur ou majeur, au-delà de quinze ans. Je n’abuse pas de mes ascendants, il leur est tout autant interdit de faire de même, à mon encontre et à mes dépens. J’élude donc, tout abus de pouvoir de leur part et, je ne leur laisse pas le choix. Je n’existe pas par eux et pour eux, mais par et pour moi, uniquement, même si je leur dois beaucoup. Je souscris à mes devoirs légitimes et, eux respectent mes droits fondés. Cela garantit l’harmonie de nos relations familiales, qui n’est qu’à ce prix.


 

 

Quand, je décide, d’un choix, qui déplaît, aux copains, parfois, je me sens, obligé, de me justifier. J’ai peur, qu’un refus, sans explications, soit, mal reçu, que j’en subisse, les pleins effets, dommageables, pour moi.

 

> Maintenant, la seule chose, qui compte, est de refuser, en conscience, si je le veux. Sans justification. La façon, dont cela, est perçu, ne me concerne pas, doit, m’être indifférent. Cela, regarde, les autres. Libre, à eux, de réagir, comme, bon, leur semble, c’est, leur problème, à eux.

 

o Mes choix, décisions, préférences, ne relèvent que de moi-même, ma volonté, mon libre-arbitre, mes intérêts, en conscience. Cela ne concerne ni, ne regarde personne d’autre. L’opinion des autres, à ce propos, est hors-sujet et, je m’en soucie « comme d’une guigne ». Ils font de même, eux, pour eux-mêmes ! Je suis alors, à jamais, débarrassé des « mouches du coche » et, de tout parasitage extérieur. Je peux donc, me consacrer à l’essentiel : mon destin personnel et, naturellement, je le conduis seul, à ma seule guise, comme je l’entends. Le reste n’existe pas, ne compte pas, est insignifiant et, sans nul intérêt, pour moi !


 

 

Ludivine était amoureuse, de moi, mais, pas moi. J’ai donc, préparé, un petit scénario, pour le lui dire, ne pas répondre, aux espérances, de la jeune fille, à mon égard. Sans, pour autant, être brutal ni, la blesser.

 

> « Je t’apprécie beaucoup, Ludivine, mais, moi, je ne suis pas amoureux, de toi, je ne partage pas, tes sentiments. C’est vrai, que tu as beaucoup, de qualités, qui me touchent, cela, nourrit, mon amitié réelle, pour toi, mais, rien, d’autre. Je comprends, que mon refus, te soit, très pénible ! Or, je me dois, d’être sincère, avec toi. Je ne peux, faire semblant, d’éprouver, ce qui, n’existe pas. Je ne peux, donc, m’en tenir, qu’à notre seule amitié. Je comprends, ton insistance, or, vraiment, je le répète, je ne peux, y répondre, cela, ne serait pas honnête, de ma part et, ne nous mènerait, nulle part.

 

Je suis fort désolé, pour toi, mais, il n’est pas question, de tricher ! Restons, bons amis, si tu veux, bien ! Comprends bien, que c’est, tout aussi, difficile, pour moi, que ce n’est pas, « de gaieté, de cœur », que je dis non. Or, je n’ai pas, le choix. Tu es sincère, mais, c’est inutile, de tenter, de me faire, fléchir, car, tu as bien compris, que je ne peux pas accepter, que c’est vain, impossible. Je sais, que tu m’aimes, beaucoup, mais, de mon côté, la situation, est si différente, que je ne peux, définitivement, pas, te suivre » !

 

o Nul, quel qu’il ou qu’elle soit, ne saurait s’imposer à moi, sous aucun prétexte. Je fréquente qui bon me semble, avec l’assentiment de la personne concernée. Sinon, je m’abstiens. Je ne force personne. Personne ne m’oblige à rien. Quelqu’un ne fait partie de ma vie qu’avec mon aval exprès. Je refuse toujours, formellement, de supporter qui que ce soit, contre mon gré. Toute relation n’est acceptable, que librement et réciproquement consentie, condition impérative de son harmonie et, sa légitimité. Je tolère ou, rejette donc, d’un commun accord, qui je veux, en mon intérêt et celui d’autrui.


 

 


En fin, de collège, mes copains, se sont beaucoup, moqués, de moi, de façon détestable, cela, m’a fort blessé.

 

> N’ayant pas assez, confiance, en moi, j’en ai été, déstabilisé, mon assurance, déjà, faible, s’en est trouvé, ébranlée.

 

o À moi de savoir ce que j’accepte d’autrui et, ce que je ne tolère pas. Il me revient d’imposer, par avance, des limites aux autres, que je ne laisserai jamais outrepasser. Cela m’évite de supporter tout abus, toute inconvenance, avanie. Mes semblables sont prévenus, au préalable, de ce qu’ils ont le droit d’être et de faire, à mon égard, et de ce qui leur est interdit. Ils savent que s’ils ne respectent pas mes critères, ils seront sanctionnés. Alors, pour éviter toute rétorsion, s’ils tiennent à moi, ils s’abstiendront très soigneusement de tout débordement, manquement. En réciprocité et égalité parfaites, car je les traite toujours impeccablement, pour ma part. Je ne tolère en ma vie, que des gens fréquentables et corrects, qui ennoblissent mon existence et ma personne. Les « malotrus » et autres indélicats en sont exclus et, impitoyablement éliminés. Il n’est pas question de supporter l’insupportable !


 

 

Au football, face, aux critiques, excessives et non fondées, de mon jeu, je me laisse, pourtant, trop faire, j’acquiesce, à tort, par faiblesse.

 

> Convaincu, que les attaques, sont iniques et, abusives, je contre-attaque, en démontrant, tous mes talents, les plus indiscutables.

 

o Je n’agis pas, en ma vie, pour plaire ou déplaire, mais parce que cela me convient, est juste et fondé, est ma volonté. En toute conscience et bonne volonté, je fais pour le mieux, en mon intérêt et, celui d’autrui. Je ne nuis à personne, respecte tous. En ces conditions équitables et légitimes, je suis donc fondé à me comporter comme bon me semble. La façon dont les autres le reçoivent, en un sens ou un autre, en bien ou en mal, n’entre pas en jeu, car elle n’a pas lieu d’être. Cela est de nulle importance. Je fais donc, ce que je veux de moi-même, mon existence, ce qui me concerne seul, mes intérêts. Que les autres se mêlent d’eux-mêmes, de leurs seules affaires. Je ne prétends pas, moi, interférer en rien, en leurs « prébendes », prérogatives, passions propres. Alors, qu’ils fassent de même et, ne « piétinent pas mes platebandes ».


 

 

Quand, mes parents, sont trop durs, critiques, à mon égard, j’ai tendance, à tout rejeter, en bloc. Pour me protéger, contre, une trop grande, remise en cause, de ma personne, car je suis et, me sens, très vulnérable !

 

> L’équilibre n’est pas, « le tout ou, le rien », mais, la constructive clairvoyance, pour bien distinguer, les abus, des avis justes.

 

o Je cesse de toujours ne me positionner, que par rapport aux autres. Cela me fragilise, m’épuise, me détruit à petit feu. Je ne dois d’abord exister, que par rapport à moi-même, en conscience et libre-arbitre. Je suis un être pensant et capable autonome, non pas inféodé à autrui. Ni clone ni créature des autres, je ne suis mû que par moi-même. Je ne me laisse pas phagocyter par toute influence extérieure. Je privilégie les miennes intérieures propres. J’opère une sélection stricte, parmi celles provenant d’autrui. Je n’accepte et ne conserve que celles qui me sont bénéfiques et, je rejette les autres. Je suis ainsi assuré de ne me nourrir que d’un environnement sain et favorable, pour moi, gage de mon bonheur et ma réussite. Ce qui est toxique et néfaste pour moi, étant annihilé, avant même que de m’atteindre.


 

 


Face à des attaques, injustes et abusives, de mes condisciples, je me suis senti, impuissant, paralysé, humilié, persécuté, de façon, indue. Sans pouvoir ni, savoir, riposter, de façon adéquate et juste, pour moi-même.

 

> D’où, l’importance, de savoir, faire, calmement et fermement, face, aux attaques, de façon adéquate, efficace, proportionnée, à l’agression.

 

o Ma faiblesse même a induit chez les autres, leur comportement agressif et dommageable, à mon encontre. Ils ne m’ont pas respecté, car je ne me suis pas respecté moi-même. Ils m’ont traité comme je me suis traité moi-même : mal. Nous induisons chez autrui la façon dont il se comporte avec nous. Je deviens donc intraitable, concernant ma souveraineté et, le respect, les bons procédés, qui me sont dus. Je ne laisse rien passer, je bloque net tout dérapage, toute dérive, toute inconvenance, à mon encontre. Je tance tout déviant abusif. Ainsi, je me fais toujours respecter et, bien considérer et traiter. Sachant que je relève, rejette et, sanctionne tout manquement, les autres font attention à moi, pour éviter toute rétorsion. Ils savent et comprennent qu’ils ont tout à gagner à me ménager, tout à perdre à me maltraiter. Seule la puissance prévient les débordements, jamais les bons sentiments ni la faiblesse. Je me préserve donc, par la prévention, la fermeté les plus drastiques et vigilantes.


 

 

Un jour, en fin, de seconde, mes parents, m’ayant reproché, de ne rien faire, alors, que j’étais, en grandes vacances estivales, cela, m’a fort exaspéré. J’ai, donc, vexé et mécontent, déserté, la maison familiale, tout, l’après-midi.

 

> Il convient, de rester, maître, de soi même, si l’on se sent, maltraité, de faire face, de façon, ferme, mais, calme, sans fuir.

 

o Pour autant, si je suis injustement traité et maltraité, même par mes parents, j’ai le droit de manifester mon juste mécontentement. J’ai le droit et le devoir de me protéger des abus, en me mettant hors d’atteinte des agresseurs. Les neutralisant, pour les mettre ainsi hors d’état de me nuire. Cela permet de retrouver ma sérénité et ma paix, de donner une bonne et saine leçon à mes tourmenteurs. De les faire réfléchir et, prendre conscience de leur déviance. D’éviter qu’ils ne récidivent. Qu’ils se comportent mieux à mon égard, à l’avenir. Hélas, généralement, l’être humain ne se comporte pas bien par principe et devoir, mais car l’on l’y oblige, par sanctions et rétorsions. En l’espèce, les soi-disant adultes sont souvent pires que les jeunes, contrairement aux préjugés habituels à ce sujet !


 

 

Si l’on me dit, que je suis trop replié, sur moi-même, pas assez, ouvert, aux autres, cela, vise, à me corriger, m’aider, à m’améliorer. Cela, est donc, en mon plein intérêt, alors, des plus positifs, pour moi. C’est, favorablement, destiné, à me porter, toujours plus et mieux, vers l’avant.

 

> En revanche, si un camarade, me rabaisse, méchamment, gratuitement, il y a-là, une nette intention maligne, malveillante, malintentionnée. Qui ne se justifie pas, est donc, illégitime, « nulle et non avenue », à rejeter.

 

o Je sais faire la différence, entre les remarques proférées pour mon bien, de façon bienveillante et, celles qui sont désobligeantes, pour me nuire. C’est une question de clairvoyance. Dans le premier cas, j’accepte le propos émis et, j’en tire profit. Dans la seconde configuration, je rejette la réflexion proférée et, n’en tiens pas compte. Ainsi, je sais distinguer entre ce qui est en ma faveur, donc acceptable et, ce qui est à mes dépens, donc irrecevable. Je fais le tri entre « le bien et le mal » et, je réagis en conséquence, selon mon meilleur intérêt.


 

 


Face aux attaques, j’ai du mal, à me défendre. Je me dis, que l’agresseur, a peut-être, raison. Que répondre, est inutile, même, si j’ai raison. Car, je suis, alors, certain, que je n’arriverai pas, à convaincre, de ma pleine légitimité, mon bon droit. J’ai, donc, peur, que si, je contrarie, mon contradicteur, cela, « se retournera fort, contre moi », à mes pires dépens !

 

> Or, si je fais appel, à mes ressources mentales intérieures, je raisonne, tout autrement. Il se peut, fort bien, que j’aie raison. Même si, ce n’est pas, le cas, j’ai le droit, le devoir, de me défendre et, d’exposer, mes raisons. Ainsi, que mes arguments. S’il s’avère, que j’ai raison, me défendre, s’impose, encore plus. Car, sûr, de moi, de mon bon droit, avec des arguments solides, j’ai toutes chances, de convaincre, de ma légitimité et, de l’emporter, en réalité. Défendre, mes droits, mes intérêts ou, ma « vérité », n’implique pas, ipso facto, de contrarier, autrui. Quand, bien même, cela, importe peu, puisque, l’essentiel, est de démontrer, ma bonne foi, ma combativité, pour me faire, plus, respecter.

 

o Je suis si peu assuré de moi-même, que je préfère toujours, par principe, donner raison à autrui, plutôt qu’à moi. Tort à moi-même, plutôt qu’aux autres. Même si je sais et suis convaincu que j’ai raison et, autrui tort. Je pare toujours les autres de vertu et, moi d’opprobre. J’apprends à m’aimer, m’estimer, m’évaluer à ma juste valeur. Je cesse de surestimer autrui et, je le réévalue à son juste prix, à la baisse. En rééquilibrage sain, réaliste, pragmatique. Ainsi, de façon objective et vraie, je me donne raison quand tel est le cas et, tort si cela est réel. Raison ou, tort aux autres, selon la réalité avérée. Cela me permet d’être apprécié à ma juste valeur et, non, déprécié de façon imméritée. De même, à l’égard des autres. Je ne me surestime pas pour autant, ni ne déprécie autrui. Cela est affaire de justice, de vérité et, d’équité. D’harmonie sociale et relationnelle, aussi. Chacun étant à sa juste place, qualité, évaluation. En l’intérêt bien senti et, partagé de tous et de chacun, ni plus ni moins.


 

 

Je demande, à la personne, qui m’attaque, me critique, quels sont, précisément, ses griefs. Pourquoi, elle les exprime. Je lui demande, ce qui motive, ses accusations, contre moi. Si j’en suis, réellement, la cause, l’objet. Si les faits sont, vraiment, dommageables, perturbateurs, pour l’accusateur, pourquoi et, en quoi.

 

> Généralement, en cas, de reproches fondés, je suis conciliant, car, le plus souvent, mes torts, ne sont ni, absolus ni, inexistants. Je reconnais, donc, les faits et, ma responsabilité, tout en faisant valoir, des « circonstances atténuantes ».

 

o L’essentiel n’est pas de me donner tort ou raison, mais d’admettre les faits, tous les faits, rien que les faits, quels qu’ils soient. Si j’ai tort, je l’admets, présente mes regrets, promets de ne pas récidiver, répare mes méfaits, dans la mesure du possible. Ayant fait amende honorable, je suis absous et, je peux avoir de nouveau la tête haute et, la conscience tranquille.


 

 

Si la mise en cause est abusive, j’ai appris, à mieux, la « réduire, à néant », par une riposte idoine, graduée et, proportionnelle, à l’attaque.

 

> Ainsi, je n’accepte plus, à raison, que l’on s’en prenne, indûment, à ma personne ou, mes actes, que l’on me tourne, en dérision. Sous prétextes, futiles et farfelus, ne reposant, sur rien, de tangible, valable. Je me défends, alors, posément, fermement.

 

o En cas de reproche injustifié, je conteste ma faute, ne donne pas quitus à l’accusation. Je remets les accusateurs abusifs à leur juste place. Je leur reproche de manquer à leur devoir de probité, de vérité et, de justice, les renvoyant à leur indignité diffamatoire. Je rétablis les faits en leur justesse, mon honneur et, ma dignité, car je suis innocent de tout reproche, tout méfait. Ayant levé tout opprobre, je retrouve ma sérénité et, passe à autre chose.


 

 


Auparavant, concernant, mes qualités et, compétences, j’étais trop « modeste », les minorant et, majorant, mes faiblesses, réelles ou, supposées.

 

> Désormais, sans être excessif, je reconnais et, fais valoir, tous mes atouts et, potentiels, sans timidité ni, arrogance.

 

o J’ai le droit et le devoir, de prétendre à la reconnaissance de mes réels mérites. De la même façon que je reconnais mes manques. Je ne majore ni ne minore, ni les uns ni les autres. Je les évalue à leur juste degré. Je fais de même, concernant autrui. Je ne surévalue ni moi-même, ni les autres, ni ne sous-évalue ni ma personne ni autrui. En équité et probité, tous sommes donc, tels que nous sommes, véritablement, estimés à l’aune de notre vraie valeur, ni plus ni moins.


 

 

Quant à mes défauts, failles, j’avais, donc, tendance, à bien trop, les exagérer et, m’en accabler, de façon déprimante et, dommageable, pour moi.

 

> Maintenant, je les considère, de façon, pragmatique et, réaliste, tels, qu’ils sont. Sans, les majorer ni, les nier. Bien décidé, à m’amender, pour les réduire, sans suffisance ni, états d’âme.

 

o En réalité, l’essentiel est de m’accepter, m’aimer, m’apprécier, tel que je suis et, non tel que j’aurais aimé être. En fierté et humilité. Avec mes qualités et me défauts, justement admis et évalués. Je me bats pour renforcer mes atouts et, corriger mes travers. Je suis plus grand que mes fautes et, plus éminent encore que mes vertus. Je chemine au mieux en ma vie, pour toujours devenir « une meilleure personne » et, c’est tout ce qui compte !


 

 

J’ai fait, pour mes amis, une soirée, jugée ratée, qu’ils n’ont pas aimée. Ils me l’ont fait, sans ménagement, savoir.

 

> J’ai répondu, positivement, ainsi : « Je regrette, que cela, ne vous ait pas convenu. Je ferai mieux, la prochaine fois ! J’aurais aimé, que ma réception, se passe, plus agréablement, comme, c’était, pourtant, mon but initial. Pour être assuré, que ma prochaine fête, soit meilleure, je vous demanderai, vos suggestions, votre aide ».

 

o Mon entourage peut apprécier ou déprécier, tout ce qui émane de moi. Les deux configurations sont bénéfiques pour moi. Si j’ai convaincu et séduit, tous sont satisfaits. Même en ce cas, j’en profite, non pour « me reposer sur mes lauriers », mais pour continuer à mieux faire encore, à l’avenir. Si j’ai déplu et déçu, personne n’est comblé. Cela arrive à tous, même aux meilleurs ! En outre, ce n’est pas irrémédiable, mais c’est rectifiable, provisoire et, non définitif. J’en tire toutes leçons utiles et, je fais bien mieux, la prochaine fois. Bien mieux encore, que quand j’ai contenté autrui, car je me ferai plus encore un devoir d’excellence, que jamais. Grâce aux critiques fondées. Ce qui me permet de progresser, de plus en plus et, de mieux en mieux. Tout est donc grâce, car quoi qu’il en soit, que je plaise ou non, je me bonifie, en toutes situations et, cela est des plus gratifiants !


 

 


J’ai, aussi, organisé, pour mes amis, une soirée réussie, qu’ils ont fort appréciée. Ils me l’ont fait, comprendre, en m’en faisant compliments.

 

> J’ai réagi, positivement, en leur disant : « Merci, je suis très touché, par vos congratulations ! J’ai vu, que vous vous êtes, bien amusés, cela, m’a fait, grand plaisir, je recommencerai, bien volontiers » ! Dans les deux cas, de figure, précédents, négatif, comme, positif, j’ai su, de façon, très appropriée et, sereine, sans abattement ni, euphorie, faire face. Mon estime, de moi, ma confiance, en moi, mon affirmation, de moi-même, étant meilleures !

 

o Être approuvé, remercié, loué, gratifié, apprécié, par autrui, réjouit le cœur et l’esprit. En satisfaction, fierté, joie, sans orgueil pour autant. Cela me permet de progresser, reconnu par autrui et moi-même. Pour autant, je ne dois pas être dépendant des marques de soutien, par autrui. Car si elles venaient à faire défaut, je pourrais alors douter de moi et mes aptitudes et, m’effondrer. Je dois apprendre à me suffire à moi-même et, ne pas compter ni dépendre de l’approbation d’autrui. Croire en ma valeur me suffit et, elle se suffit à elle-même. La vraie confiance en soi ne dépend que de soi-même, jamais, de l’extérieur. Elle existe, d’abord et surtout, quand tout va mal, pas seulement quand tout va bien. Je crois toujours en moi, quoi qu’il arrive, approuvé par tous, comme seul au monde et, abandonné d’autrui.


 

 

Actuellement, mes parents reconnaissent, que je suis bien plus, communicatif, plus actif, dans mes prises, d’initiatives. Que je suis, plus entreprenant.

 

> Plus confiant, épanoui, en mes études, mes relations, comme, ma vie, tout entière, je mène, mon existence, avec plus, de brio et, de bonheur, que jamais !…

 

o J’ai appris à m’accepter, m’aimer, être satisfait de moi, par principe, dans les bons comme les mauvais jours. Sans raison particulière. Sans dépendre des autres, des choses, des circonstances, de mes succès, comme de mes échecs, de mes joies ou, mes peines. Je suis heureux, quoi qu’il en soit, car j’ai décidé de l’être. Avec et comme les autres, ni plus ni moins. J’ai compris que la vie, ma vie, n’était jamais ni aussi « formidable » que je l’espérais, ni aussi « affreuse » que je le craignais. Or, tout simplement, bien et bonne, comme je le pense désormais, avec « ses hauts et ses bas ».

 

Je ne suis plus ni désespéré ni euphorique, mais serein, confiant, joyeux. Je ne suis « ni maudit ni, béni des dieux », mais en paix, avec moi-même et autrui, en authentique eudémonisme. Je comprends, maintenant, ce qu’estime, ce que confiance, ce qu’affirmation de soi signifient et impliquent. Je les pratique, au quotidien, pour mon plus grand bien ! Je sais, désormais, que le reste me sera offert de surcroît, par l’existence, tout simplement ! Nanti de l’essentiel et du meilleur, je rends grâce et ne saurais donc, rien demander de plus ni de mieux »…


 

 


Eudes, seize ans


 

 


Suivi androJeunologique

Cognitif, émotionnel, comportemental

De l’estime, la confiance, l’affirmation, de soi


 

Paris, 2004


 

 


Sur ces paroles, fort encourageantes, se clôt, l‘accompagnement androJeunologique, cognitif, émotionnel, comportemental, d’Eudes. Sa « foi, en lui, » était défaillante. Elle est, désormais, suffisamment, solide, pour lui permettre, d’affronter, dans les meilleures conditions, les réalités, de la longue et, belle vie, qui l’attendent, maintenant. Le test effectué, au tout début, de son androJeunologie®, donnait, un résultat, inférieur, de cinq points, à la moyenne. Il indique, à son achèvement, un score, bien supérieur, de quatorze points, au-dessus. Soit, un gain, de dix-neuf points, ce qui est très satisfaisant !


 

 


> Un jeune adolescent, est arrivé, très incertain, de lui-même. Une année environ, plus tard, un jeune homme, fort affermi, résolu, serein, est reparti, vers un destin, qui semblait, fort prometteur. Comme, son évolution, ultérieure, l’aura tant, confirmé ! Eudes était, donc, accepté, en seconde, en l’un, des meilleurs lycées parisiens, privés. Il était, très bon élève, au collège. Or, avant, de s’adapter, aux exigences, très dures, de sa sélective classe de seconde, ses notes avaient fort baissé. Il s’est, alors, persuadé, qu’il ne passerait pas, en première générale scientifique, son choix exclusif, d’orientation d’études.

 

Qu’il serait, donc, contraint, de redoubler, sa seconde, pour y parvenir, plus tard. Eudes a repris confiance, s’est organisé, n’a pas redoublé, est passé, sans problème, en première S. Il a, brillamment, obtenu, son bac scientifique. À été admis, en classe préparatoire. Il a intégré, l’une, des plus prestigieuses, Grandes écoles, de France. Il en est sorti, diplômé, avec maestria. Il a été accepté, à l’un, des meilleurs cursus, d’une très grande université, des États-Unis. Il en a décroché, le diplôme, avec, « tous les honneurs ». À vingt-six ans, il a accédé, à un poste, de responsabilité, au sein, de l’une, des plus importantes, multinationales, du pays. À l’une, de ses directions internationales.

 

Il était, donc, intéressant, de reproduire, la réflexion, de ce garçon, au cours, de son suivi, du début, à la fin. Il s’agit, de son raisonnement verbal, de fond, tel que, fort fidèlement, retranscrit, d’après, son dossier écrit, par lui-même et, son conseil. Sous une forme synthétique, plus littéraire, adaptée, pour la publication. Nonobstant, la pensée, d’Eudes, orale, comme, écrite, a été exprimée, par lui-même, en entretiens, avec l’aide, l’éclairage correctifs, de son conseiller. Elle a, ici, été, intégralement, respectée, « à la lettre, comme, en l’esprit ». Elle est fort significative, en regard, des grands doutes initiaux, puis, du parcours, des plus  exceptionnels, du jeune concerné.

 

En matière, de « renforcement personnel », l’on voit, à quel point, l’approche androJeunologique, cognitive, émotionnelle, comportementale, porte, tous ses meilleurs fruits. Lesquels, influent, si positivement, du début, à la fin, du suivi, puis, dans les années, qui suivent. D’autant, que le jeune a, autant, que de besoin, tout loisir, pour continuer, à travailler, ses notes écrites, refaire, exercices, entraînements.

 

Le tout, continuant, pour lui, ainsi, alors, à « incuber, infuser », favorablement. Eudes doutait, de lui, des autres, de la vie, de son existence, des choses, des gens et, de tout. Dans le temps et, l’espace. En perpétuel tourment. Ayant appris, à se « ressourcer », de l’intérieur, il s’est appuyé, sur tous ses atouts, dont, il prenait, peu à peu, une conscience positive nouvelle.

 

Au lieu, de s’accabler, de ses travers, failles, réels ou, supposés, il s’est « révélé, à lui-même », s’est dépassé. Son rayonnement l’a, alors, autorisé, à délaisser, ses états d’âme, pour se consacrer, au meilleur, de lui-même. Ce qui lui a permis, de progresser, tant et, si bien, jusqu’à, aujourd’hui, plus d’une décennie et demie, après, la fin, de son suivi d’AndroJeunologie®. Acquis, des plus solides, durables, donc, puisque, Eudes est, aujourd’hui, en plein épanouissement professionnel, personnel et, psychologique. Nous en gardons, encore, le bon souvenir, d’un jeune, très attachant, touchant, d’exceptionnelles, qualités humaines et, de cœur. « Bravo, Eudes et, bon vent, pour toute la vie » !


 

 


[ LES DIFFICULTÉS CONNEXES ]

AU MANQUE DE CONFIANCE EN SOI


 

 

Le manque d’estime, de confiance, d’affirmation de soi implique des pensées, émotions, comportements négatifs inappropriés, à croyances fausses. Lesquels induisent des schémas d’inadaptations et d’échecs. Onze principaux ont été identifiés (Young et Klosko, 2003). Les schémas d’abandon, de méfiance et d’abus, de carence affective, d’exclusion, de dépendance, vulnérabilité. Ceux d’imperfection, d’échec, d’assujettissement, d’exigences élevées, de toute puissance. D’autres configurations mentales ont été isolées et étudiées en suivis.

 

Les difficultés à positiver, relativiser, rester serein, sortir de son inhibition. L’inférence arbitraire, l’abstraction sélective, la minoration du positif et, la majoration du négatif pessimistes, la surgénéralisation, la personnalisation négative. La pensée dichotomique, le stress paralysant, l’anxiété, l’émotivité excessive. Les sentiments de fragilité, faiblesse, d’insécurité, de culpabilité, honte, d’infériorité, d’indignité, de déchéance. La difficulté à bien gérer ses enjeux, le sentiment de tristesse et déprime.

 

Ainsi, ces schémas et conditionnements psychiques ont été travaillés, en suivi d’AndroJeunoConseil®, par Arthur, vingt ans. Dans le contexte de son manque de confiance en lui. Sous la direction et, les conseils de son expert. Au travers de ses pensées, émotions, comportements négatifs malaisés. Avec exemples concrets, difficultés vécues, analyses explicatives, solutions pratiques cognitives, émotionnelles, comportementales positives, amélioratrices. Nous en livrons, ci-dessous, la retranscription anonyme complète.


 

 


1- Mon Schéma d’Abandon


 

 

§ Mon objectif : je quitte mon sentiment de déréliction, de déshérence, à l’égard des autres et de moi-même. Pour celui de lien réciproque harmonieux, épanoui, satisfaisant, avec autrui.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

En début de mes études de collège, mon meilleur ami est parti loin, en région. Alors, le fait qu’il s’éloigne de moi physiquement, géographiquement, psychiquement, m’a fait ressentir un sentiment d’abandon et de trahison. D’autant, qu’étant à l’époque harcelé par un autre garçon, mon ami m’en protégeait moralement. Alors, quand il est parti, je me suis senti démuni, perdu, délaissé.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* J’ai pensé que j’étais bien désolé, qu’il allait me manquer et moi aussi, que j’allais, malgré tout, essayer de garder contact, malgré la distance. Or, que cela ne serait pas pareil, tout aussi bien qu’avant et, serait bien frustrant pour moi.

 

J’ai imaginé que j’étais injustement laissé pour compte, livré seul à moi-même et, à mon triste sort. Que j’étais « puni » par un mauvais coup du sort, pour un mauvais comportement que je n’avais pas eu, n’ayant en rien démérité.

 

Il m’a semblé que victime d’un vide ne pouvant être comblé, je ne pourrais pas y faire face, y pallier. Que je subirais solitude, impossibilité de me confier et de partager, d’être écouté, compris et soutenu. Que je ne pourrais plus donner et, recevoir de l’amitié, que ma vie serait désormais bien morne, sans le grand ami perdu, à jamais.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

J’ai éprouvé de la tristesse d’avoir perdu un ami, du fait d’un cruel sentiment de privation, de manque, de deuil d’une vraie amitié. Arrachée à moi par l’absence au quotidien et, la disparition de tous mes repères amicaux liés.

 

La peur d’être seul pour longtemps, ne croyant pas en mes chances de retrouver, de sitôt, un si bon ami. Faute de confiance en moi et, ressentant mon milieu d’études comme hostile, incompréhensif, peu propice à l’amitié.

 

La colère contre les parents de l’absent, à l’origine de son départ, pour avoir décidé de partir loin. Les considérant comme responsables de sa disparition de ma vie familière. Leur en voulant de m’avoir ainsi privé, même involontairement et indirectement, d’un être cher, perdu à jamais, par leur faute et décision de lointain exil.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

J’ai eu une vie quotidienne plus solitaire qu’auparavant. Je me suis replié sur moi-même, coupé du monde extérieur, incapable d’aller vers autrui et, de nouer de nouvelles amitiés. J’ai souffert d’un vide intérieur patent et durable.

 

J’ai voulu compenser la perte de l’ami, par des addictions excessives et dommageables, comme les jeux vidéo. Loin de combler ma peine et mon désarroi, cela n’a fait que m’enfermer, un peu plus, en moi-même et mes tourments.

 

J’ai été plus méfiant, distant, embarrassé, avec mes camarades d’études et, tous les autres jeunes, également. J’appréciais tant mon ami parti, que tous les autres condisciples et pairs de mon âge me paraissaient ternes, sans intérêt et, malveillants, en comparaison. Cela ne faisait qu’aggraver mon malaise.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Le départ, l’absence de mon copain ont fait que, du jour au lendemain, je me suis senti seul, délaissé, rejeté même. Car tout ce que ce garçon m’apportait positivement, a brutalement disparu avec lui, me causant un sentiment de privation, de frustration, de tristesse. Voire, de trahison. Manquant de confiance en moi, je me suis obsédé de mon problème et, syndrome d’abandon. Plutôt que de la solution d’élargir mon cercle d’amis.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Tout désolé de l’éloignement de mon ami que je sois, je ne le perds pas pour autant à tout jamais et, je conserve pleinement son amitié. Il ne s’agit que d’un simple éloignement physique. Non d’un différend, d’une brouille ni, d’une rupture morale, en aucun cas. Rien n’est perdu, tout est sauf !

 

Je vais pouvoir garder contact avec lui. En réalité, il n’est pas parti aux antipodes, il demeure dans le même pays. Avec tous les modes de communications actuels, les moyens et possibilités d’échanger sans grands frais, régulièrement et facilement, ne manqueront pas.

 

Même si l’on ne se voit plus au quotidien, comme avant, le plaisir du lien amical sera d’autant plus grand et fort, que la relation sera à distance et plus épisodique. Plus rare et lointaine, certes, mais d’autant plus intense.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

Je ferai en sorte d’alléger ma tristesse de la séparation, en relativisant et, me projetant vers l’avenir, avec toute la sérénité possible nécessaire.

 

Gardant en moi l’émotion plus positive de joie, à l’idée, malgré tout, de cette belle amitié, par delà la distance physique et, c’est l’essentiel. La proximité morale demeurant des plus intactes, quant à elle.

 

La plénitude car, plus que jamais, j’approfondis, je renforce, bonifie avec le temps et, en dépit de la distance, mon amitié. En outre, ce départ ne doit plus être prétexte à mon isolement, mais occasion de nouer et, développer d’autres amitiés de proximité. Tout autant fructueuses.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative d’abandon, au moment des faits : 8/10. Un certain temps après : 5/10. En cours de suivi, actuellement : 2/10. Niveau d’intensité d’émotion positive, d’apaisement relationnel, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 7/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Le fait de perdre un ami, au quotidien, ne doit pas être pour moi une raison de déprimer et m’isoler, me replier sur moi-même. Je cesse mes addictions compensatoires illusoires. Je reprends le cours interrompu de mon existence normale et, je réinvestis le vaste monde, sans crainte. En espérance d’ouverture, comme si de rien n’était, comme auparavant et, mieux encore !

 

Alors, je vais vers les autres, je me fais d’autres amis, ce qui ne m’empêchera pas de ne pas oublier mon bon et cher ami parti. Comme de conserver de solides liens avec lui.

 

La distance renforçant même notre belle et bonne complicité, mieux qu’auparavant encore. Pour cela, je cultive encore mieux qu’avant notre amitié, m’y investissant et, y mettant, plus et mieux que jamais, tout mon cœur ! Donnant autant et, plus encore que ce que j’en reçois.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# J’ai cessé d’être dépendant des autres. Quels qu’ils soient, quelles que soient mes relations avec tous, des meilleures au pires, durables ou non, je reste « zen ». J’ai compris que ma sérénité ne dépend pas tant d’autrui et, de réalités extérieures, que de moi-même, mon for interne, mon propre état d’esprit. Heureux moi-même, toujours, par nature et principe, le reste suivra tout naturellement, sur le même mode allègre.


 

 


2- Mon Schéma de Méfiance et d’Abus


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un sentiment de défiance et, de préjudice subi, à l’égard des autres, à celui de confiance et, de sûreté avec autrui.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Généralement, j’ai tendance à être excessivement méfiant, à l’égard des autres et, à craindre qu’ils ne me nuisent. En particulier, depuis que l’on a tenté violemment de me dérober mon téléphone mobile.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je me souviens des agressions déjà subies, dans le passé. Cela me laisse un souvenir particulièrement cuisant et déplaisant. Je m’en veux de n’avoir pu ni su les éviter ni contrer.

 

N’ayant pas envie que cela se reproduise, je me persuade alors que je dois être particulièrement vigilant. Pour être toujours sur le qui-vive, mes gardes. De façon alarmiste, catastrophiste, je dramatise tout et, me sens menacé et vulnérable, en permanence.

 

Si je suis encore attaqué, j’ai peur de ne pas pouvoir, plus et mieux, faire face que dans le passé. Je me tourmente alors pour trouver, en vain, les meilleures solutions pour me défendre. Cela me préoccupe et, me perturbe beaucoup.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

J’éprouve un stress intense, par peur d’être encore victime du pire et, de ne pas savoir ni, pouvoir assurer ma défense et, protection idoines.

 

L’irritation contre moi-même, de me sentir si impuissant à assurer et, garantir ma propre sauvegarde. Contre les potentiels agresseurs, si nuisibles et déviants, alors que je suis, moi-même, toujours respectueux de tous et, moralement irréprochable.

 

L’inquiétude de me penser et, savoir si exposé, aux mauvais comportements de certains. Comme de me sentir si démuni, face au danger et sans solution, appropriée et décisive, pour le neutraliser.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Dans la rue, souvent, je me méfie trop, quand l’on vient me solliciter, par peur que cela soit pour me quémander de l’argent. Alors que cela peut être juste pour me demander le chemin.

 

J’ai tendance, alors que je suis d’un naturel sociable et aimable, à être défiant, distant et, fuyant, en conduites d’évitement. Par peur des autres et, de leurs déviances, toujours possibles, voire probables, à mes yeux.

 

Je fuis mes semblables humains, j’ai des problèmes relationnels, je me replie sur moi-même, me réfugie en un excès de solitude. Cela me rassure, me protège, mais me nuit aussi, par excès d’isolement et, de coupure du monde extérieur.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Du fait de mon manque de foi en moi, dès que je perçois en moi, à tort ou à raison, certains défauts, faiblesses ou, manques, je les exagère. J’en tire prétexte pour être encore plus défiant et, encore moins croire en moi. Mon lien aux autres est difficile, car il l’est avec moi-même, ce qui brouille toutes mes relations.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Au lieu de me dire, en permanence ou presque, que le pire risque d’arriver à tout moment, je me raisonne. En me disant, quoi qu’il arrive, que du moment que je suis prudent, il y a toutes chances que tout se passe bien, plutôt que l’inverse.

 

Je suis bien plus fort et capable que je ne le pense. Au lieu de craindre passivement en vain, je vais proagir activement, pour assurer efficacement ma sûreté.

 

Je ne veux plus me torturer pour rien, en imaginant toujours le pire, de façon dommageable pour moi. Je crois plutôt, avec sérénité, en le meilleur à mon égard, pour mon plus grand intérêt.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

J’éprouve alors de la sérénité, car étant attentif à ce que tout aille pour le mieux pour moi, c’est ce qui a le plus de chances de se produire. À mon plus grand profit !

 

Un sentiment de meilleure sécurité, car je suis parfaitement capable d’assurer ma propre sauvegarde. Cela me rassure pleinement sur mon sort.

 

Une plus grande confiance en moi. Je me concentre sur l’essentiel et le plus probable : des réalités paisibles et bénéfiques pour moi. Le négatif défavorable n’étant pas ma préoccupation ni mon credo.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative, de méfiance et d’abus subi, au moment des faits : 8/10. Un certain temps après : 5/10. En cours de suivi, actuellement : 3/10. Niveau d’intensité d’émotion positive, de confiance et de sécurité, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 6/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Au lieu d’imaginer le pire, chez toute personne m’abordant, j’attends d’abord, sereinement, de voir ce qu’elle veut, pour ensuite seulement aviser calmement.

 

Même si quelqu’un est malintentionné, à mon égard, ce n’est pas pour autant, par le fait même, un aléa ennuyeux, insurmontable et, dommageable. La plupart du temps, je saurai rétablir la situation à mon profit et, j’en sortirai sans tracas.

 

En homme de bonne volonté, je n’ai de cesse d’agir pour le mieux, le bien et, le meilleur, pour moi-même et autrui. Cela me garantit une bonne existence et, me préserve de la plupart des déconvenues. Ainsi, l’essentiel est sauf et c’est… l’essentiel !


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# J’ai appris à être confiant et, me sentir en sécurité, quoi qu’il advienne, par principe, tout en étant vigilant. Ainsi, j’ai toujours l’esprit en paix et, j’attire à moi le positif, éloignant le négatif !


 

 


3- Mon Schéma de Carence Affective


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un sentiment de manque affectif, de la part et, à l’égard des autres, à celui de contentement relationnel avec autrui.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Avant de me stabiliser sentimentalement, avec mon amie actuelle, la première, je me suis senti en fort manque affectif et, j’en ai quelque peu souffert. En état de déréliction et déshérence.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je me disais que c’était dur pour moi, injuste et, fort pénible à supporter. La solitude me pesait, me gâchait la vie et, me causait grand malaise.

 

J’étais jaloux de mes amis en couple, alors que j’étais seul. Je me sentais dévalorisé, par rapport aux autres, que je considérais comme plus valeureux que moi.

 

Je trouvais que j’étais trop dépendant des autres, d’un point de vue affectif et sentimental. Que je ne savais pas assez me suffire à moi-même. Ce qui me fragilisait et, me rendait trop perméable aux influences extérieures.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

J’ai éprouvé du ressentiment, à l’égard des deux jeunes filles, qui me plaisaient bien et, qui m’ont rejeté. Je les trouvais injustes et, trop sévères à mon égard.

 

J’ai été triste d’être seul, de me sentir esseulé, non accepté. Cela a renforcé en moi mon sentiment d’indignité et, je me suis senti encore plus « misérable » qu’avant.

 

La frustration de ne pouvoir aimer et être aimé, alors que je le souhaitais si ardemment, je me suis convaincu que j’étais condamné, à vie, à la solitude affective. Cela m’a fort désespéré.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Je me suis replié sur moi-même, ressassant et ruminant mon malheur. Je ne voulais plus voir personne et, fuyais le monde, par peur d’être incompris, mal jugé, rejeté.

 

Fulminant contre tout et tous et, cela ne faisait qu’aggraver mon marasme et ma douleur, ma désolation, j’étais en pleine révolte. Je compensais mon mal-être, en excluant les autres de ma vie et, parfois même en étant dur et injuste avec eux. Me vengeant ainsi, de mes déconvenues et déboires.

 

J’ai rejeté la faute sur moi-même, comme sur autrui, cherchant des boucs émissaires. M’accablant et cherchant toujours à déceler, chez les autres, la moindre mauvaise intention, réelle ou supposée, à mon encontre. De façon suspicieuse et paranoïaque.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> En réalité, le problème n’était pas que les autres aient obtenu ce qu’ils voulaient, trouvé l’âme sœur et, pas moi. Or, qu’étant en difficulté psychique, du fait de mon manque de confiance en moi, cela créait des difficultés, là où il n’y en avait pas. Accentuant, en cela, mon mal-être. J’étais l’artisan de mon propre malheur et non autrui !


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Au lieu de me désoler, du fait que les autres soient « mieux lotis que moi », de façon réelle ou supposée, je raisonne autrement, à l’inverse. Je me réjouis, au contraire, pour eux, comme pour moi.

 

Je me dis que c’est formidable pour tous, car cela signifie qu’autrui est heureux et, que s’il est gratifié par le sort, alors, moi aussi, je le peux tout autant !

 

Au lieu de me désespérer, de façon négative, défaitiste, pessimiste, je m’encourage, je me bats, en certitude positive. Je finis donc par m’épanouir et réussir, atteindre mes objectifs, moi aussi, tout autant.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

Ayant conscience de ma souffrance de ne pas avoir de conjointe et, m’étant positivement raisonné malgré tout, je me garde bien de me complaire en mes émotions négatives. Je m’astreins à en cultiver de meilleures, saines, productives : sereines, confiantes, combatives.

 

J’accepte sans jalousie, envie, rivalité, que les autres aient plus et mieux que moi et, que moi je n’aie rien, moins ou, moins bien, comparativement. J’en éprouve du contentement de ce que j’ai et, je me réjouis du meilleur obtenu par autrui. D’autant que je prends conscience du fait que tout évolue, que je peux toujours et, à tout moment, être gratifié à mon tour. Tout comme les autres peuvent, un jour, ne plus l’être.

 

Je comprends parfaitement qu’une fille puisse me dire non, car c’est sont strict droit. Je demeure heureux de vivre et non déçu, même si je n’ai pas obtenu ce que j’escomptais. Nulle malédiction ne me frappe, la plénitude est toujours à ma portée.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative de carence affective, au moment des faits : 8/10. Un certain temps après : 5/10. En cours de suivi, actuellement : 3/10. Niveau d’intensité d’émotion positive, de stabilisation et contentement affectifs, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 7/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Je ravale ma déception, mon ressentiment, mon mal-être. Au lieu de m’enfermer sur moi-même et mon marasme, je vais vers les autres et, continue à explorer le vaste monde.

 

De façon résolue, tenace, assurée, combative, je me bats, plus que jamais, coûte que coûte, pour obtenir ce que je veux, en persistant à faire de bonnes rencontres. Sans me décourager ni renoncer.

 

Je cesse de considérer autrui, comme une menace potentielle et, un ennemi à réduire. Je décide d’appréhender les autres, comme une chance de bienfaits relationnels et, cela change tout ! Cela ne m’empêche pas d’être prudent, clairvoyant et, circonspect, pour autant, pour m’éviter les liens toxiques.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je me sens toujours sentimentalement gratifié, d’abord, par… moi-même. Pour pouvoir mieux l’être ensuite, par autrui. Je suis ouvert aux autres, par principe, avec les naturelles prudences de sauvegarde nécessaires.


 

 


4- Mon Schéma d’Exclusion


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un sentiment d’ostracisme et de rejet, à l’égard et, de la part des autres, à celui d’acceptation et, d’inclusion par autrui. Même quand le sort est contraire. Je suis bien avec moi-même, pour l’être avec autrui.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Jadis, quand je fréquentais un certain groupe d’amis, même quand je m’exprimais, ils persistaient à m’ignorer, à faire comme si je n’avais rien dit et, je ne comptais pas. Je demeurais invisible, inexistant, transparent, aux yeux de mes semblables, malgré tous mes efforts de sociabilité et, j’en souffrais fort.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je me disais que si j’étais exclu et maltraité ainsi, c’était de ma faute. Que j’étais trop effacé, en retrait. Que même si cela n’était pas justifié, mon comportement trop timide incitait les autres à me négliger. J’ai conscience que s’ils se comportaient ainsi avec moi, c’est que mon mutisme habituel les y incitait.

 

Or, pour autant, cela est abusif. Au contraire, puisque ce sont des amis, censés l’être et, se comporter comme tels, ils n’ont pas à abuser de ma gentillesse. En profiter, pour me nuire ainsi. Au lieu de me déprécier, ils devraient, en tant qu’amis, m’aider à m’intégrer, en m’associant pleinement au cercle amical.

 

Je m’en veux d’être incapable de nouer des liens, harmonieux et satisfaisants, avec autrui. Je suis convaincu que je ne m’aime pas assez, pour prétendre être accepté et, apprécié de quiconque. Comme je reproche aux autres, d’être trop intolérants et, durs à mon encontre.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

J’ai éprouvé de la tristesse, envers moi-même, de me sentir tant infériorisé, maltraité, déprécié, par mes propres amis. D’autant que cela a accentué encore plus mon désamour, mon dégoût, mon rejet de moi-même.

 

J’ai ressenti de la colère et, du ressentiment contre eux, car ils me maltraitaient salement, sans vergogne. Se comportant ainsi en ennemis hostiles et, non en amis bienveillants.

 

J’ai été tenaillé par de l’envie, à l’égard des autres membres du groupe, car tous, sans exception, étaient bien mieux traités que moi. Or, moi, le seul défavorisé ainsi, bien moins considéré qu’eux tous.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

J’abrégeais alors les soirées, en lesquelles je me sentais exclu. Je n’avais plus le ressort de faire bonne figure, de faire des efforts sociaux. Préférant me résigner, renoncer et, fuir, ayant perdu tout espoir de bonnes relations humaines.

 

Parfois, je profitais de ce que quelqu’un aille à l’écart, pour le rejoindre et, lui parler en de meilleures conditions, à mes yeux. Or, cela n’était qu’un pis aller, une illusion, un leurre de facilité. Je ne faisais qu’éluder le problème, en évitement nocif. D’autant que même en lien restreint bilatéral, je restais mal à l’aise, emprunté et, peu naturel.

 

J’évitais de plus en plus les occasions de rencontres. Je déclinais les invitations. J’en venais à fuir mes propres amis. Par peur d’être rejeté, exclu, déconsidéré, je préférais désormais prendre les devants, anticiper, prévenir tout déboire. En écartant moi-même de ma vie, à mon tour, les autres, en une sorte de vengeance et, de rétorsion malsaines. Avec une joie mauvaise de revanche, même si j’en subissais, moi-même, les pires conséquences de lourde solitude auto infligée. Devenant ainsi mon propre et, pire ennemi et bourreau.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Les autres estimaient que mes propos étaient moins intéressants, importants, valables, que les leurs. Car je leur avais donné l’habitude de rester effacé, en retrait, de peu m’exprimer. Ce qui faisait que même si je proférais des dires enrichissants, ils ne voulaient pas les prendre en considération, les entendre ni, les écouter. Les autres étaient abusifs, mais je suscitais leur ostracisme, par ma timidité.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Ce n’est pas parce que je n’ai pas confiance en moi et, que je suis trop discret, secret, mutique, que les autres doivent me maltraiter pour autant. Comme tous, j’ai droit au respect de tous, étant moi-même, en outre, toujours très respectueux d’autrui. Je mérite toujours le meilleur des autres, veillant moi-même, toujours, à le leur prodiguer.

 

Au lieu de subir les mauvais traitements des autres, sans réagir ni mot dire, je pense aux meilleures stratégies de contre-attaque idoines. Pour obliger autrui à me considérer, avec bienveillance, ayant moi-même estime, confiance, affirmation de moi.

 

Je ne peux espérer voir changer le regard des autres sur moi, que si je modifie, moi-même, ma propre façon de me percevoir. Si je suis, ainsi, positif sur moi-même, réconcilié avec moi, m’acceptant et m’appréciant, tel que je suis, alors les autres m’adopteront pleinement. Avec considération, respect et, écoute.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

J’éprouve de la satisfaction à lutter activement contre mon exclusion. En me renforçant, moi-même, mentalement, pour être plus charismatique. Plus populaire que perdant.

 

La fierté à inverser le comportement dommageable de mes amis, à mon égard, en les incitant à mieux se comporter avec moi. Modifiant, du tout au tout, ma façon d’être avec eux, comme avec moi.

 

Un sentiment de meilleure intégration au groupe, en faisant en sorte d’être traité aussi bien que les autres, ni plus ni moins, en juste parité. En étant plus incisif, mordant, assuré, car seuls les rapports de force comptent ici-bas, jamais les bons sentiments.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative d’exclusion, au moment des faits : 8/10. Un certain temps après : 3/10. En cours de suivi, actuellement : 1/10. Niveau d’intensité d’émotion positive d’intégration, d’acceptation, de reconnaissance, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 8/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Même si mes amis ne veulent pas m’écouter, je les y oblige, en m’exprimant plus fortement, plus souvent, de façon plus convaincue et convaincante. Avec des propos plus percutants encore, si nécessaire.

 

Si mes relations persistent à me maltraiter, me déconsidérer, me mépriser, je les quitte et, ne les fréquente plus. Je les remplace par des personnes plus fréquentables, bénéfiques et, dignes de moi.

 

J’évite d’être trop dépendant des autres et, de ma relation à autrui. Je cultive, d’abord et surtout, mon intériorité et, mon rapport à moi-même. Cela est tout autant capital et enrichissant.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je me considère toujours, par principe, en inclusion : intégré, inséré, accepté. Non seulement par autrui, mais, tout autant, par moi-même. J’agis en conséquence, en m’imposant positivement à moi-même, comme aux autres. Non par la force, mais par la persuasion rayonnante la plus convaincante, attirante, en étant raisonnablement séduisant, mais jamais séducteur.


 

 


5- Mon Schéma de Dépendance


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un sentiment de lien excessif et, de mainmise, de la part des autres, à celui de pleine souveraineté avec autrui. Je ne relève que de moi-même, mon for interne, jamais d’autrui ni, de réalités extérieures.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Dans le passé, j’étais très, trop dépendant de mes meilleurs amis. De façon très régulière, chaque fois que j’éprouvais le besoin de voir du monde ou, de sortir, je les sollicitais alors, de façon trop excessive. J’avais trop besoin d’eux et, pas assez de moi-même.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je me dis que j’ai conscience de ne pas pouvoir me passer de mes amis, car je ne sais pas assez me suffire à moi-même.

 

Cela devient une dépendance excessive et mauvaise, pour moi. Ils le savent et en abusent. Je suis démuni sans eux et, ne sais pas m’occuper seul, par moi-même, valablement.

 

Cela nuit à ma liberté, devient pour moi une aliénation et, plus un inconvénient qu’un avantage, en réalité. Au lieu d’être gratifiants pour moi, mes amis me desservent, par leurs très mauvais comportements, à mon égard.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

J’éprouvais de la colère contre mes amis, quand ils abusaient de la situation et, profitaient de moi. Contre moi-même, également, prenant conscience que ma faiblesse, ma dépendance de demandeur, à leur égard, me nuisaient.

 

La désolation, regrettant ma dépendance, mon inféodation, d’être toujours redevable, que cela finisse par se faire à mes dépens et, au seul bénéfice d’autrui.

 

Je ressentais de la lassitude morale et, de l’abattement. Le fait d’être toujours traité comme quantité négligeable, par des supposés amis, me pesait moralement et, me démoralisait.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

J’avais trop tendance à « prendre sur moi », me laisser manipuler, intoxiquer, duper, quand l’on abusait de ma trop grande bonté. Ce qui ne faisait que faire perdurer et, aggraver les mauvais procédés, à mon encontre.

 

Cette relation toxique ne faisait qu’aggraver mon mal-être, me rendre honteux et coupable, ce qui aggravait ma maladresse de comportement, avec mes amis. De façon extrémiste, le plus souvent, soit j’étais encore plus soumis que d’habitude et, je me faisais encore plus maltraiter. Soit, parfois, je me révoltais violemment et alors, soit les autres se calmaient provisoirement, soit ils étaient encore plus durs avec moi. En toute situation, j’étais donc toujours perdant.

 

Il m’arrivait aussi de bouder, rester mutique et, distant ou, fuir, restant enfermé chez moi et, refusant toute sortie, pendant un temps plus ou moins long.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Je voyais, avant tout, mon intérêt à fréquenter ces jeunes, pour fuir un milieu familial difficile et, je voulais aussi partager du bon temps avec eux. Je n’osais pas me défendre, de peur de me retrouver seul. Je craignais de m’affirmer, défendre mes droits, par crainte de les perdre. N’ayant pas confiance en moi, j’étais persuadé, à tort, que pour m’assurer l’amitié d’autrui, je me devais alors de m’inféoder à lui et, à tous ses « caprices ».


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Je prends conscience que ma dépendance, à l’égard de ces garçons, est nocive pour moi. Alors je me dis que quoi qu’il arrive, je me fais respecter, envers et contre tout et tous.

 

Cela non seulement ne me privera pas de l’amitié, mais au contraire la renforcera, car j’aurai alors été capable de m’affirmer et m’imposer. Tel que je suis et veux être, ni plus ni moins.

 

Au pire, si mes amis ne changent pas positivement, à mon égard, ils ne sont pas indispensables ni irremplaçables. Je peux donc « trouver mieux ailleurs ». Soit, des personnes plus respectueuses, attentionnées, bienveillantes et, bienfaisantes, à mon égard. Moi-même l’étant, à l’égard d’autrui.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

J’éprouve de la détermination à mener mes amis à « me tirer vers le haut et, non plus vers le bas », désormais. J’exige de tous, le meilleur et l’excellence, que je m’impartis, à l’égard de tous et chacun.

 

La sérénité, sachant que je suis toujours libre de changer de relations toxiques, en y mettant fin et, de les remplacer par de plus saines pour moi.

 

La joie car je peux toujours être parfaitement heureux, quoi qu’il arrive, puisant en mes propres ressources intérieures, me suffisant à moi-même. Sans nul besoin de mes amis actuels, qu’ils demeurent mauvais ou, deviennent meilleurs, ni d’autres nouveaux, aussi bons soient-ils, pour moi.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative de dépendance, au moment des faits : 8/10. Un certain temps après : 6/10. En cours de suivi, actuellement : 3/10. Niveau d’intensité d’émotion positive d’autonomie, de liberté et, libération mentale intérieure, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 9/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Désormais, au moindre abus à mes dépens, de mes camarades, je les arrête tout net, pour qu’ils cessent de suite leurs mauvais procédés. Qu’ils ne récidivent jamais, sous peine de juste rétorsion.

 

S’ils persistent en leurs travers, je les quitte sur-le-champ et, je finis par trouver de meilleurs amis authentiques ailleurs. Pour mon plus grand avantage et, aux dépens des malappris.

 

Que je conserve ou, perde mes amis, je demeure, quoi qu’il arrive, toujours maître de moi-même, en bonne estime, confiance et, affirmation de moi. Je garde toujours le contrôle de moi et de ma vie et, ne me laisse plus jamais dominer, impressionner, malmener.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je suis indépendant : souverain, autonome, libre, car ne relevant que de moi-même. Je ne compte que sur moi d’abord, pour m’épanouir et, non sur autrui. Même si les autres contribuent, aussi, à ma plénitude, comme moi à la leur.


 

 


6- Mon Schéma de Vulnérabilité


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un sentiment de fragilité, à l’égard des autres, à celui d’invincibilité mesurée et, de solidité morale, avec autrui. Car, quoi qu’il advienne, je me sens mentalement fort et sûr de moi.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Au collège, j’étais le souffre-douleur d’un autre jeune, qui me harcelait et, me maltraitait sans cesse. Je n’osais m’en plaindre aux adultes, par peur de représailles. J’acceptais donc de subir passivement, les abus et, agressions répétés de ce voyou, de façon impuissante. Ce qui faisait alors, que je me sentais vulnérable et, victime passive quasi consentante, par mon silence. Cela encourageait mon agresseur à poursuivre, sans relâche, ses attaques contre moi.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je me disais que me sentant faible, vulnérable, à la merci de ce garçon, ne sachant me défendre de ses déviances, je devais alors, à tout prix, m’en protéger. Or, sans savoir comment ni, m’en sentir capable. Ce qui accentuait mon désarroi et, mon sentiment de fragilité.

 

Je me promettais alors de l’éviter au maximum, par tous moyens, quitte à me compliquer la vie encore plus, par de délicates stratégies de fuite. Je doutais de l’efficacité de telles manœuvres, pour moi, vaines, illusoires et, vouées à l’échec.

 

Mon rêve était, si je l’avais pu, de ne plus aller en cours, pour être assuré d’être, définitivement, hors de portée du délinquant. Or, j’avais conscience que cette solution n’en était pas une. Qu’elle était impossible et, défavorable pour moi. Même applicable, elle aurait sabordé mes études et mon avenir, sans résoudre quoi que ce soit.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

J’éprouvais de la peur de devoir subir, une fois de plus, de façon assurée, de mauvais comportements dommageables pour moi. Avec un lourd sentiment d’impuissance, de fatalité, d’injustice inexorables.

 

Un sentiment de stress, je me sentais angoissé, perturbé, bouleversé. À l’idée de ce qui pourrait encore m’arriver de pire, tel ou tel jour, de la part de mon tourmenteur et abuseur.

 

La colère contre moi-même, je m’en voulais d’être si passif, faible et, impuissant, face aux sales coups subis et, de me laisser faire. J’avais aussi du ressentiment, à l’égard de mon tortionnaire, de s’acharner ainsi autant contre moi, de façon totalement gratuite et, aussi cruellement. D’autant que j’étais sa seule et unique victime.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Face aux attaques, je subissais passivement sans réagir ni, me défendre ou, contre-attaquer. J’étais incapable de me protéger, prévenir et, dissuader les agressions, sanctionner le déviant fautif.

 

Je ne faisais que protester mollement et, sans conviction ferme ni, menace dissuasive de juste rétorsion. Je me sentais faible, incapable de réagir, faire face, me défendre. Mon attitude était inadaptée, inefficace, insuffisante, car non proportionnée aux graves préjudices subis.

 

Il m’arrivait d’aller me plaindre aux surveillants, qui malheureusement, ne me prenaient pas au sérieux et, refusaient d’intervenir. Ce qui ne faisait alors, que m’encourager à continuer à subir, excitant encore plus la vindicte de mon ennemi contre moi. Provoquant encore plus d’offensives, en véritable cercle vicieux délétère et dommageable.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Je supportais à tort l’insupportable, par manque d’assurance, d’estime, de confiance en moi et mes capacités, d’affirmation de moi. Je n’avais ni la force, ni la volonté, ni l’aptitude, à me défendre efficacement. Je n’y pensais même pas, par doute sur ma légitimité même à contre-attaquer massivement. Je me condamnais moi-même au pire, faute de croire au meilleur pour moi.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Je me dis que je suis parfaitement capable de me défendre efficacement, moi-même et, que je peux donc sans difficulté faire face à la situation. Me faire respecter et, faire définitivement cesser toute agression de quiconque, à l’avenir.

 

Je pense que je peux faire de la dissuasion et, de la prévention, en obligeant, par ma force mentale, autrui à ne jamais me nuire. N’acceptant plus jamais ce que ma conscience m’interdit d’agréer.

 

Je peux défaire, une fois pour toutes, mon agresseur, le mettant définitivement hors d’état de me nuire. Lui « rendant la monnaie de sa pièce », par la force proportionnée et juste, en légitime défense. Sans pour autant outrepasser mes droits fondés.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

J’éprouve alors un sentiment de force mentale. Je suis confiant, assuré et, me sens capable de faire face efficacement à tout aléa, toute adversité. De la façon la meilleure, la plus adéquate et, performante possible.

 

La sérénité. Je sais parfaitement bien analyser la situation et, donc trouver le meilleur moyen d’affronter et, vaincre toute situation difficile. Ce qui me permet de demeurer calme et, maître de moi-même, quoi qu’il arrive.

 

Le courage. J’affronte et me confronte vaillamment à ce qui m’effraie, la réalité, même pénible, au lieu de fuir, d’éviter, de subir le pire, comme auparavant. Ce qui m’assure le meilleur, car je fais face avec vaillance.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative de vulnérabilité, au moment des faits : 8/10. Un certain temps après : 4/10. En cours de suivi, actuellement : 2/10. Niveau d’intensité d’émotion positive d’invincibilité, de force mentale, d’efficacité personnelle, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 8/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Au lieu de subir, sans mot dire, je ne me laisse pas faire, ne me laisse pas intimider, ne m’en laisse pas conter. Je mets toute mon énergie à protester, contester, annihiler toute déviance ou tentative, à mon encontre. Avec la plus grande fermeté, force, détermination.

 

Si mon agresseur persiste à m’importuner et me nuire, je le menace de porter plainte. Je le fais véritablement et résolument, s’il n’arrête pas sur-le-champ ses mauvais procédés, à mon encontre.

 

En outre, préventivement et pour me protéger, si les nuisances perdurent, je fais en sorte de le neutraliser et dissuader. En étant impitoyable à son égard. Me défendant suffisamment puissamment et efficacement, de façon offensive, pour empêcher toute velléité d’attaque, à l’avenir. L’agresseur comprenant qu’il a bien plus à perdre qu’à gagner, désormais, à s’en prendre à moi. « La peur change de camp ». Je ne crains plus l’autre ni ses menées, c’est lui qui est effrayé par moi et, mes terribles sanctions de représailles, s’il venait à m’affronter !


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je suis solide mentalement, car fort psychiquement. Avant tout et surtout, je tiens compte de ma personne, mes intérêts légitimes, ce qui me concerne, au premier chef. Les autres et, tout ce qui est externe à moi-même ne sont que seconds, tout en les respectant pleinement et, sans leur nuire, pour autant. En totale assertivité.


 

 


7- Mon Schéma d’Imperfection


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un sentiment de faille, d’incapacité et, d’insuffisance, à l’égard de moi-même et, des autres, à celui de compétence, de savoir-faire et, de qualité, face à autrui.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

En classe de première scientifique, mon niveau d’études était insatisfaisant, j’ai été défaitiste et, je me suis découragé, sans lutter. J’ai interrompu mon année de lycée en cours. Comparativement aux autres, je me sentais imparfait et diminué, ayant de moins bons résultats qu’eux. En dépit des grands efforts que je faisais, pour m’en sortir.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je me disais que j’étais nul de ne pas m’en sortir et, de persister à avoir de mauvais résultats, en dépit de tous mes efforts, pour m’améliorer.

 

Je me demandais ce que je faisais dans cette classe, car elle était de bon niveau et, car moi je me trouvais mauvais. Je me considérais comme un véritable imposteur.

 

Je pensais que mes efforts étaient inutiles et sans effets, que j’étais mauvais élève et, qu’il ne me restait donc plus qu’à abandonner ma scolarité en cours. Compromettant ainsi mon avenir et, m’assurant les pires échecs à venir.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

J’éprouvais du dégoût, de constater que les enseignants ne m’aidaient pas réellement et, que mes camarades aussi me laissaient tomber. Je me considérais comme victime de l’indifférence, du mépris et, de la non-assistance de tous.

 

Je ressentais de l’envie, à l’égard de mes condisciples en réussite, alors que moi-même j’étais en difficulté. Je voyais bien que le mérite était de leur côté et, l’opprobre du mien.

 

J’étais submergé de tristesse, car toutes mes tentatives maximales de redresser ma situation se révélaient vaines, les unes après les autres. Ma fierté « en prenait un coup », je me sentais coupable, honteux et, dévalorisé, au plus haut point.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Tout d’abord, je n’ai travaillé que les matières qui me plaisaient et, j’ai trop délaissé le reste. Obérant mes performances scolaires et, mes chances de réussite.

 

Je me suis laissé abattre par mes difficultés et, j’ai « baissé les bras », renoncé à me battre. Négatif, pessimiste, défaitiste, j’ai précipité mon échec et, j’ai été l’artisan de mon propre « malheur ».

 

J’ai définitivement arrêté mes études scientifiques au lycée. Cela m’a privé du baccalauréat et, a limité mes possibilités de poursuite d’études ultérieure.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Outre mes difficultés scolaires, mes camarades et, les enseignants eux-mêmes s’en prenaient à moi et, me décourageaient, au lieu de m’aider. Cela m’affaiblissait encore plus, me faisait encore plus douter de moi et, de mes capacités. Mes problèmes et déconvenues m’ont déprimé, terrassé et, provoqué mon abandon. En outre, mon manque de foi en ma valeur, mes compétences et, mon incapacité à m’affirmer, donc à être à l’aise en société, m’imposer parmi les autres, ont mené à mon échec.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Je me dis que je ne suis pas si mauvais que cela, que je peux donc y arriver, m’en sortir. Que malgré mes déboires, je peux les surmonter, me battre, aller au bout de mes efforts et, vaincre.

 

Certes, ma classe est de bon niveau, comparativement à moi-même, mais j’ai été jugé digne d’y être. Cela signifie, pour moi, que même en difficulté, je peux réussir, quitte à faire encore plus d’effort que les autres. Je peux toujours demander et, obtenir le soutien scolaire et moral adéquat, pour cela.

 

Cela est toujours possible, pour moi, de faire plus et mieux, dans mon travail. Car tant que je n’ai pas tout tenté, au maximum, il y a toujours possibilité de m’en sortir. Ayant de la ressource, des possibilités d’issues positives, tout n’étant encore ni gagné ni perdu, je peux et me dois de persévérer en l’effort, jusqu’à la victoire finale.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

J’éprouve de l’espoir, car je peux toujours demander une aide adéquate à ceux dont c’est le rôle. Ainsi, je serai assisté efficacement, au lieu d’être abandonné. Je réussirai, au lieu d’échouer.

 

Je ressens de l’émulation. Au lieu d’envier la force des autres, je m’en sers pour me renforcer moi-même et, m’encourager à faire aussi bien ou presque, voire mieux encore. La réussite des autres ne saurait me décourager, paralyser, mener à abandonner, mais me galvaniser à persévérer et vaincre !

 

Je suis rassuré car, comme les autres, je peux croire suffisamment en moi et, mes aptitudes, pour améliorer mon niveau d’études. Afin qu’il soit suffisant, pour me permettre de réussir, comme je le souhaite tant et, au minimum, dans la bonne moyenne de mes camarades.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative d’imperfection, au moment des faits : 8/10. Un certain temps après : 5/10. En cours de suivi, actuellement : 2/10. Niveau d’intensité d’émotion positive de bonne qualité personnelle, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 7/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Malgré mes difficultés, je ne me contente pas de travailler uniquement, ce qui me plait et, me réussit. Or, aussi et surtout, je fais tout pour progresser, en toutes les disciplines, sans exception, même les plus difficiles pour moi.

 

Au lieu d’être défaitiste, pessimiste, négatif, de renoncer à combattre, convaincu que tout est déjà perdu d’avance, je persiste à me battre jusqu’au bout. Car tant que l’échéance finale du combat n’est pas atteinte, il demeure toujours une possibilité de victoire. Ce qui m’impose de donner le meilleur de moi-même, jusqu’au bout.

 

Plutôt que de déserter, ce qui peut être fatal, est définitif, irrémédiable, je tente le tout pour le tout, pour réussir. Quitte à, si cela n’est pas possible, redoubler ma classe, au lieu d’y renoncer. J’arrête les états d’âme négatifs, destructeurs, contre-productifs, ce qui me permet de me battre et de l’emporter.


 

[Comme tout jeune sans confiance en lui, Arthur se reconnaît comme étant perfectionniste. Ce qui aggrave son syndrome d’imperfection. Son perfectionnisme est d’abord de maîtrise et de contrôle. Il veut être parfait, pour ne pas se sentir dépassé, débordé par les événements. Ensuite, son perfectionnisme est de valeur. Il pense que plus et mieux il est, fait, paraît, a, plus et mieux il sera valable. Oubliant que sa valeur repose sur sa seule personne, non sur ses moyens, résultats et, performances.

 

Pour terminer, son perfectionnisme est d’acceptation et d’intégration, par autrui. Par doute de lui-même, il veut toujours complaire aux autres, en l’espoir d’être reconnu et accepté par eux. En donnant un maximum de gages d’excellence, à cette fin. Ce triple perfectionnisme impossible est naturellement une illusion des plus vaines, nocives et, épuisantes. Il suffit à Arthur d’être lui-même, avec ses failles et qualités, tout en s’améliorant, pour être « une bonne et, même une meilleure personne ». Cela suffit amplement à sa réussite de vie et son bonheur].


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Sans être perfectionniste, pas plus que négligent, je me considère comme valable, avec mes failles, comme mes qualités. Je ne m’obsède ni du meilleur, illusoire et inaccessible, ni ne me contente et résigne au pire, dommageable et, jamais inéluctable. Le bien me suffit et, je suis capable de combattre pour lui et de l’obtenir, quoi qu’il advienne et m’en coûte.


 

 


8- Mon Schéma d’Échec


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un sentiment d’insuccès et de faillite, à l’égard de moi-même et des autres, à celui de réussite et de virtuosité, quant à moi-même et autrui. Je cesse de me convaincre de l’inéluctabilité du pire, pour toujours croire en mon meilleur.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

J’ai fini par abandonner mes études de lycée. Cet abandon de l’essentiel, qui faisait ma vie d’alors, m’a inscrit en une logique négative d’insuccès. Faute d’action, pour avancer et réussir, ce qui m’a enfermé mentalement, en ce syndrome de marasme personnel, absolu et définitif, à mes yeux.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* En réalité, cela me rassure de provoquer, moi-même, l’échec, en abandonnant, car cela me dispense de l’effort nécessaire, des difficultés et, du stress qui sont liés. De façon vaine, je me dis que je n’ai rien raté, car c’est moi qui ai décidé de tout arrêter, sans attendre la sanction de l’insuccès. En réalité, je me mets moi-même en défaut, en renonçant d’avance, sans même combattre.

 

Le fait de renoncer et, donc d’échouer, m’évitera la peine d’une année d’études supplémentaire, si j’avais redoublé ma classe de première. Cela n’est qu’un acte de paresse et, de lâche désertion, pour ne pas affronter mes responsabilités et mes devoirs. D’abord, à l’égard de moi-même !

 

Je me dis que même si abandonner entérine mon échec, je préfère, malgré tout, ne plus rien faire ni, tenter quoi que ce soit. Attendre, de façon illusoire, que d’éventuelles occasions se présentent à moi.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

J’éprouve de l’inquiétude, car certes, je suis satisfait et rassuré d’être débarrassé de la corvée des cours. Or, je suis surtout conscient et embarrassé, du fait que ce soulagement n’est qu’illusoire et temporaire. Car je pourrais fort bien regretter, plus tard, mon abandon. N’ayant, en outre, tenté de trouver nulle solution alternative de formation ultérieure. [Cela ne sera entrepris que bien plus tard et, avec retard].

 

Je ressens du regret d’avoir « tout laissé tomber », c’est-à-dire d’avoir renoncé à l’existant, sans pour autant avoir choisi une option alternative. Alors, je me suis vite rendu compte que ne pas agir et, ne rien faire n’était pas une solution. Que cela était même pire que la situation antérieure, d’où mes regrets. « Le remède aura été pire que le mal », comme c’est parfois le cas !

 

Je connais un sentiment de tristesse, d’être inoccupé, de m’ennuyer, de gaspiller mon temps pour rien, d’être trop seul, la plupart du temps. Honte, culpabilité, remord s’ensuivent, de façon ravageuse, pour moi.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Je vis de forts tensions et conflits permanents, avec mes parents, car ils sont très mécontents et, alarmés de me voir (me) traîner et, rester désœuvré. Je me comporte mal et, de façon hostile, avec eux, par ressentiment et, mal-être.

 

Je reste à longueur de journées enfermé dans ma chambre à « tuer le temps », ruminer, ressasser, mon malheur, mes ressentiments et, états d’âme négatifs. Je m’y complais passivement, des idées noires plein la tête.

 

Je m’abstenais de toute recherche d’études ou, d’emploi, même si j’étais conscient que c’était mon intérêt d’agir, la paralysie étant pire que tout. Je voulais me laisser le temps de la réflexion, bien décider, car ne rien choisir me rassurait, ayant peur de me tromper, mal faire. Je craignais, à tort, que mon action soit encore pire que mon inaction. Je ne faisais ainsi, qu’aggraver salement mon marasme.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Au moment de décider de tout abandonner, j’étais en état de saturation, d’épuisement. D’autant que depuis l’enfance, les études ont toujours été pour moi un échec, une source de difficultés, désagrément, déception. J’ai alors préféré le vide total, malgré ses dangers, plutôt que de continuer à souffrir à l’école. D’autant que ma confiance en mes capacités était alors au plus bas.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Cela me rassure certes, d’abandonner mes études, mais cela est dans l’objectif de mieux « rebondir et, me relancer », en cherchant du travail. Je veux en trouver à tout prix, en œuvrant sans relâche pour cela, jusqu’à obtention finale, ferme et définitive.

 

Le fait d’avoir renoncé me permet d’envisager des activités plus intéressantes, adaptées, conformes à mes souhaits, possibilités et, goûts pour moi. Cela n’exclut pas de reprendre, ultérieurement, mes études, en un cursus me convenant pleinement, cette fois-ci. Ce que je ferai.

 

Abandonner n’implique pas forcément d’être passif, en échec, mais en mouvement, pour donner à ma vie une orientation qui aura plus de sens pour moi. Un nouveau départ prometteur, quel qu’il soit.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

J’éprouve de la satisfaction à faire une pause en ma vie, pour chercher et, trouver ce qui me plairait le mieux, pour être heureux et, réussir en mon existence.

 

Je me sens rassuré du fait d’avoir remplacé des études, ne me convenant pas, par une recherche d’emploi plus gratifiante pour moi. Le statut de travailleur me convient mieux que celui de scolarisé.

 

Je suis motivé car j’ai du temps, non pas pour ne rien faire, mais pour me battre pour m’en sortir, avec résolution, ténacité, combativité. Jusqu’à obtention d’un bon emploi pour moi.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative d’échec, au moment des faits : 9/10. Un certain temps après : 5/10. En cours de suivi, actuellement : 2/10. Niveau d’intensité d’émotion positive de bonne réussite personnelle, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 9/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Avec mes parents, nous avons des échanges apaisés, confiants, respectueux, de façon mutuelle. Chacun a fait des efforts pour avoir une vie et, des liens de famille satisfaisants et harmonieux, pour tous.

 

Outre mes recherches actives d’emploi, je sors chaque jour « prendre l’air », faire du sport, voir du monde. J’ai ainsi une vie équilibrée et épanouissante, entre travail et loisirs.

 

Je sais que je suis parfaitement capable d’agir, pour m’en sortir, alors je m’y attelle comme il convient, sans traîner, hésiter, procrastiner. Je suis déterminé, tenace, proactif, cela me permet d’avancer positivement et, progressivement, chaque jour, jusqu’à ma victoire finale.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Succès et réussite m’appartiennent et, me reviennent, même en phase d’adversité et d’échec. Je crois en moi et mes capacités, en ma possibilité d’obtenir ce que j’ambitionne et, j’y parviens, sans coup férir.


 

 


9- Mon Schéma d’Assujettissement


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un sentiment de domination et, d’influence néfaste, de la part des autres, à mon égard, à celui de liberté et, de totale autodétermination, quant à autrui.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Quand j’étais ami avec mon groupe de copains, il abusait de ma gentillesse et, de mon manque de confiance en moi. Ce qui fait que je me sentais inférieur et, donc dominé, assujetti, c’est-à-dire obligé de me conformer à la volonté d’autrui. Sans respecter la mienne propre.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je me dis que ces garçons abusent de leur force et, de ma faiblesse, pour me dominer, que je subis, que cela n’est pas normal. J’estime donc que ce ne sont pas de vrais amis, car ils se comportent bien mal à mon égard. Que cela se fait toujours à mes dépens et, à leur seul avantage et intérêt.

 

Je suis bien bête de me laisser faire ainsi et, toujours « avoir » par eux, sans rien dire et, de subir sans cesse, alors que j’ai conscience que cela me nuit fort ! Je suis faible, impuissant et, bien trop complaisant. Je suis paralysé, consentant et, je fais mon propre malheur, puisque je l’accepte.

 

Je me dis que bien que j’aie conscience des abus que je subis, je préfère encore cela. Plutôt que de risquer de me retrouver seul, sans amis, si je les quittais ou, si je protestais. D’encourir la menace de rétorsion d’être rejeté. Je tolère le pire, pour un avantage mineur et, je me refuse le meilleur, pour des inconvénients majeurs !


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

La colère contre mes prétendus et faux amis, qui me tourmentent de façon illégitime, abusive et, dommageable pour moi. Or, aussi, contre moi-même, car je me perçois comme trop faible, pour être capable de les affronter. Admettant des déviances ravageuses, à mon encontre, sans pour autant broncher.

 

La rancœur contre mes copains, constatant mes difficultés. Au lieu de m’aider, d’être bienveillants, bons, ils en profitent, tout au contraire, pour en abuser et, me maltraiter lâchement. Sachant qu’ils ne risquent alors nulles représailles.

 

La tristesse de voir que ceux censés être mes amis sont, avec moi, les plus durs et impitoyables. Qu’ils profitaient et abusaient de ma faiblesse, en me prenant toujours plus, sans jamais me donner. Sans nuls retour ni réciprocité, à mes seuls dépens, leur seule faveur. Me flouant sans vergogne, en relation toxique à sens unique.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Face aux abus, je reste passif et silencieux, car si je réagis, pour faire cesser les abus, je risque des représailles. De me retrouver seul et rejeté. Je préfère alors être une victime expiatoire, plutôt qu’un homme adulte digne de ce nom. Capable de se protéger, de se défaire et, sanctionner ses agresseurs.

 

Parfois, j’éclatais violemment de colère, tellement je n’en pouvais plus, mais la réaction était excessive, inadaptée, contre-productive. Elle n’avait pas d’effet, car elle reflétait plutôt ma faiblesse que ma force. Mes faux amis étaient bel et bien les plus forts et, restaient les maîtres du jeu. Ils se gaussaient de mes éclats et, continuaient leurs coups bas de plus belle.

 

Quelles qu’étaient les exigences de mes amis, à mon égard, même les plus abusives, illégitimes, non justifiées, et même si j’en avais conscience, je m’exécutais toujours. Préférant subir, que de risquer des représailles. Lâchement, de façon pusillanime, craintive et, immature, je fuyais, j’éludais et, je manquais de courage.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Me percevant comme faible, dépendant et, sans ressources morales, psychologiques suffisantes, je me contentais donc de peu. De liens médiocres, ne me sentant pas capable de pouvoir prétendre à plus et mieux et, préférant encore cela à la solitude. Manquant de confiance en moi, je considérais alors le monde extérieur « normal », comme étant fait de pénurie, d’échec et, de malheur. L’inverse, comme étant rare et inaccessible : l’abondance, la réussite, l’épanouissement. Alors que la réalité humaine habituelle saine est la plénitude. Seule l’occurrence accidentelle est le malheur.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Certes, je constate que mes amis sont malhonnêtes avec moi. Or, au lieu de m’en tenir passivement à ce constat et, continuer à subir, je vais réagir adéquatement et, trouver les meilleures solutions, pour que cela cesse.

 

Au lieu de me laisser faire passivement, ce qui ne fait qu’encourager les abus, « je ne laisse plus rien passer ». Au moindre dérapage, je bloque net les agressions et, j’en parle calmement mais fermement, avec l’abuseur. Pour qu’il prenne conscience de ses excès, les comprenne et, ne récidive pas.

 

Quoi qu’il en soit, il vaut toujours mieux être seul, qu’avec une mauvaise compagnie. Une fois débarrassé des malappris, rien ne m’empêche de nouer de vraies amitiés, avec de meilleures personnes.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

L’apaisement car je sais maintenant me défendre et, me faire respecter, par autrui. En amour propre, je sais préserver ma dignité, mon honneur et, me faire valoir de façon optimale.

 

Une grande force intérieure, car au lieu d’être faible en subissant, je deviens fort et solide. Osant et sachant maîtriser, dominer ma vie, me dépasser moi-même, m’affirmer, activement, en suscitant le meilleur, l’estime et, la considération des autres. Au lieu de subir le pire, passivement.

 

L’aisance car en dépit des mauvais procédés de mes amis, à mon égard, mon encontre et, mes dépens, je demeure fort et serein. Car je prends de la distance, domine la situation et, ne suis plus prisonnier de personne ni de rien. Pas même de moi-même.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative d’assujettissement, au moment des faits : 8/10. Un certain temps après : 2/10. En cours de suivi, actuellement : 1/10. Niveau d’intensité d’émotion positive de libération personnelle, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 9/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Face aux abus, je proteste, je me défends, mets un net coup d’arrêt aux débordements, car je me sens désormais capable de le faire, sans crainte. De rien ni de personne ! Je m’affirme et m’impose, en légitimité, sans jamais plus subir l’intolérable.

 

Face aux mauvais comportements, je garde tout mon calme, ma maîtrise de moi-même, je m’explique, de façon mesurée, mais assurée. Pour bien faire comprendre aux fautifs, qu’ils outrepassent les limites acceptables et, n’ont pas intérêt à recommencer. Cela obligera autrui à bien me considérer et, à se garder de toute dérive, à mon égard, sous peine de riposte proportionnée au manquement avéré.

 

Au moindre faux-pas, je réplique et, je refuse tout net d’obéir à la volonté des autres. Dans la mesure où je considère, en conscience, qu’il y a excès et, que je n’ai donc pas à m’exécuter. En cas de persistance, je suis toujours en droit de cesser toute relation et, de fréquenter des amis plus authentiques, des personnes plus saines, pour moi.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je ne suis ni supérieur ni, inférieur aux autres, mais égal, donc en congruence, adéquation, harmonie, avec tous et moi-même. Je suis donc libre, souverain, autonome, je ne relève que de moi-même et, de personne d’autre. Seuls ma volonté, ma conscience et, mon libre arbitre importent et prévalent, quant à moi-même, ma vie, mes justes droits et intérêts et, tout ce qui me concerne. À titre exclusif et individuel.


 

 


10- Mon Schéma d’Exigences Élevées


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un sentiment utopique, d’excès d’impératifs et d’ambition, à l’égard de moi-même, à celui d’objectifs réalistes et réalisables, pour ma personne. En excellence accessible, sans perfectionnisme hors de portée.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

En fin de classe de seconde, je savais très bien que je n’étais pas fait pour les études longues abstraites, en particulier scientifiques. Pourtant, j’ai malgré tout opté pour une première scientifique. Pensant que c’était sans nul doute la meilleure voie, pour moi, car « menant à tout ». J’ai manqué de réalisme pragmatique, par excès de prétention et, j’en ai été durement puni.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je me dis que je me suis trompé et, que je suis dans l’erreur, d’avoir voulu, à tout prix, faire des mathématiques. Ce qui fait que je me demande bien pourquoi, je me suis tant jeté, tête baissée, dans ce piège fatal.

 

Je pense que je suis « stupide » de n’avoir pas su faire le bon choix, servir mes vrais et meilleurs intérêts. Alors, je me remets en cause, je questionne, dénigre, doute de mes capacités, ma valeur, mes qualités et, cela me déprime encore plus.

 

Mon raisonnement est que malgré tous mes efforts pour réussir, en première scientifique, je n’y suis pas parvenu. Ce qui fait que je dois abandonner cette filière, que j’ai perdu une année pour rien. Je m’en veux terriblement, pour cette erreur dommageable d’orientation, ratée et inadaptée.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

La colère contre moi-même, car je m’en veux de m’être trop surestimé, de façon illusoire. Par excès d’ambition, manque de réalisme, méconnaissance de moi-même et, de mes possibilités.

 

La tristesse par le sentiment d’avoir raté toutes mes études et, d’avoir ainsi compromis mon avenir. Ce qui fait que j’étais convaincu de connaître de grandes difficultés et, ainsi, de rester durablement en échec.

 

Le stress du fait d’une scolarité qui me perturbait et, car songeant à arrêter mes études, cela m’angoissait de devoir l’assumer, face à mes parents. De devoir affronter les conséquences d’un avenir difficile, sans diplôme, formation ni, qualification. De ne savoir pas quoi faire de ma vie, de mon avenir et devenir.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Peu à peu, j’ai renoncé à travailler, car j’étais démoralisé devant mon manque de résultats, en dépit de mes réels efforts maximums. Ce qui m’a fort démotivé, découragé, donc démobilisé.

 

Je continuais à aller en cours, un certain temps, j’étais donc présent physiquement, mais j’avais l’esprit ailleurs. Je ne faisais plus rien de bon, me laissais aller et, je m’enfonçais, de plus en plus.

 

J’ai cessé ma scolarité, j’ai annoncé à mes parents ma décision d’arrêter le lycée, car je ne le supportais plus. J’ai pris un certain temps de vacances, longues et, improductives.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> J’avais conscience de ne pas avoir confiance en moi, donc, en mes capacités. Je me suis dit que quelle que soit mon orientation, ce serait difficile et peu concluant. Alors, autant choisir le meilleur et, le plus exigeant des études. En une sorte de pari fou et erroné sur l’avenir, une folle fuite en avant, en un état d’esprit un peu « kamikaze ». De façon irréaliste, vaine et, mortifère.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Je sais pertinemment être insuffisant, en disciplines scientifiques. Pour autant, je vais voir ce que je peux faire, pour m’améliorer, progresser, réussir. Si cela ne suffit pas, je peux toujours changer d’orientation ou, d’études, pour trouver une voie qui me convienne et, en laquelle je puisse réussir et m’épanouir.

 

Ce n’est pas parce que je suis en difficulté passagère, que je suis mauvais, en tout et pour tout, durablement, voire définitivement. Que je dois me condamner, sans appel ni « rédemption » possible. Cela signifie, au contraire, qu’en me battant au mieux, je ne peux donc que devenir meilleur, qu’avancer et, vaincre le sort. Il n’y a nulle fatalité d’échec, je ne suis ni maudit ni, ostracisé par le sort.

 

Abandonner une filière d’études, même prisée, n’est pas en soi un échec, mais une sage décision. Pour « rebondir, reculer pour mieux sauter ». Réussir en un cursus me convenant mieux. Je ne suis donc pas en l’erreur et l’insuccès, mais en une réorientation meilleure et, plus adaptée de ma vie. Donc, en ascension positive et bénéfique pour moi ! Je préfère réussir, en un cursus plus modeste, qu’échouer, en une section plus prestigieuse.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

L’enthousiasme me concernant et, concernant ma volonté de m’en sortir. Bien décidé, malgré tout, à trouver les meilleures solutions, pour réussir mes études, quitte à changer de voie, pour cela.

 

L’espoir face à mes difficultés, de trouver la meilleure alternative, le plus sûr compromis possible, pour triompher, de façon combative, de mes déboires.

 

La sérénité car je n’ai plus à affronter, supporter, subir, une scolarité pénible pour moi. Or, au contraire, je suis désormais rassuré, d’avoir enfin trouvé la meilleure solution et option, pour moi.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative d’exigence élevée, au moment des faits : 8/10. Un certain temps après : 6/10. En cours de suivi, actuellement : 3/10. Niveau d’intensité d’émotion positive de réalisme ambitieux et raisonnable, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 8/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Je « retrousse mes manches » et, me mets, immédiatement et activement, à préparer la suite des événements : retrouver une formation. Accessible pour moi car, désormais, liée à mes capacités, goûts et, débouchés possibles.

 

Je trouve une autre filière d’études et, en attendant l’an prochain, je finis sérieusement mon année. Ce qui est plus satisfaisant, même si j’arrête avant la terminale.

 

Je persiste à demeurer en un état d’esprit et, une réalité de lutte acharnée, de travail résolu, d’effort persévérant. Je poursuis mon chemin jusqu’à destination finale, au lieu de « m’arrêter au milieu du gué ».


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je me contente, bénéficie et, j’apprécie ce que je suis, j’ai, je fais, parais, tout en bonifiant le tout. Ni en excès ni, en insuffisance. En ambition raisonnée et raisonnable, sans prétentions non fondées. Je ne me surévalue ni, ne me dévalorise, mais je tends toujours à ma juste place, ni plus ni moins.


 

 


11- Mon Schéma de Toute-Puissance


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un sentiment d’invulnérabilité illusoire, à l’égard des autres et, de moi-même, à celui de force mentale et morale, avec autrui. En toute humilité, sans autodévalorisation pour autant, en assurance, sans arrogance.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Au collège, j’étais harcelé par un camarade, je me sentais impuissant, faible et, incapable de le neutraliser. Alors, un jour, n’en pouvant plus, j’ai réagi ! Je me suis inscrit en une nouvelle configuration de plus grande force personnelle. Ce qui m’a permis, pour la première fois, d’oser et d’être capable de le sanctionner, de lui donner un avertissement, de lui administrer une bonne leçon. Avec l’aide de camarades.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je ne peux que regretter fort, que ma capacité à me défendre enfin, contre mon agresseur, soit si tardive ! Après tant d’atermoiements, de faiblesse et, de passivité. Même « s’il vaut mieux tard que jamais » !

 

Je crains fort, en moi-même, que ma rétorsion draconienne ne soit pas, pour autant, efficace et suffisamment dissuasive. Je doute que mon ennemi déclaré renonce, si facilement, à ses agressions contre moi, connaissant bien ses pires penchants et travers. Hélas, il récidivera, de fait !

 

J’ai certes, contre-attaqué mon adversaire, mais il m’a été impossible d’y parvenir seul. J’ai dû me résoudre à faire appel à l’aide de tiers, pour cela. Cela a diminué ma satisfaction et, l’impact de ma riposte. Cela m’a paru humiliant, infériorisant et, comme un aveu de faiblesse, de dépendre du bon vouloir d’autrui et, de son aide, pour me défendre. Un peu comme un enfant, ayant besoin de plus fort que lui, pour être secouru et, vaincre son abuseur.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

La déception d’avoir été contraint d’attendre si longtemps, pour réagir et, oser et pouvoir, enfin, me battre contre mon agresseur. Contraint par les événements devenus trop insupportables, non par un surcroît de courage et, de force, me faisant, encore et toujours, cruellement défection. Par défaut, non par adhésion !

 

La peur d’encourir des représailles, toujours possibles, de mon harceleur et, que son harcèlement crapuleux, à mon encontre, ne reprenne de plus belle. En dramatique rétorsion, à mes seuls et pires dépens.

 

Le sentiment de vulnérabilité de constater que je ne peux et, ne sais me défendre, que si je fais appel piteusement, à plus puissant que moi, en renfort.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

J’ai trop attendu pour réagir et contre-attaquer, en étant trop longtemps passif, subissant, supportant l’inacceptable et l’insupportable. Je le fais de façon inadéquate et, avec l’aide d’autrui, incapable d’y pourvoir, moi-même et seul.

 

Je n’ai pas su, pu, voulu, oser, être assez persuasif, dissuasif, crédible, pour empêcher le déviant de récidiver. J’ai, comme toujours, « péché » par insuffisance personnelle, faute d’audace et, de force mentale.

 

J’ai été incapable de me défendre seul. J’ai dû faire appel à d’autres jeunes, pour cela, dépendant de leur bon vouloir, leur étant redevable. Me mettant ainsi à leur merci. Cela a fort limité l’efficacité de ma menée punitive, l’a même réduite à néant. La haine et les attaques de la « partie adverse », n’en ayant été que plus fortes et renouvelées d’autant.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> J’ai été capable, de façon inédite, de me considérer comme fort et, d’oser enfin, de parvenir à affronter mon tourmenteur. Même à le terrasser. J’ai pensé que si quelqu’un peut s’en prendre à autrui, à tort, de façon déviante, il n’y a nulle raison que je ne sois pas, tout autant, capable d’autodéfense. Or, pour ma part, de façon légitime et, en un seul but de préservation et, de sauvegarde de ma personne, contre des attaques indues. Cela m’a permis de surmonter mon inhibition habituelle, pour enfin parvenir à neutraliser mon agresseur. Conscient, malgré tout, que ma victoire, en outre tardive, était moins due à moi-même, qu’à l’aide décisive d’autrui. Seul, je n’y serais pas parvenu. J’ai donc dû relativiser mon mérite et, faire taire mes velléités d’orgueil et de fierté non fondées.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Cela fait grand bien de me libérer, en étant enfin capable de me défendre adéquatement, en étant débarrassé de ma peur habituelle. Même tardivement !

 

J’ai été capable d’infliger, à mon tourmenteur, le châtiment qu’il méritait. J’espère que cela le dissuadera, à l’avenir, de recommencer à me nuire.

 

J’ai dû me faire assister, pour vaincre mon ennemi. Or, pour autant, j’ai enfin pu, su, voulu, passer à l’action, en décidant d’intervenir, au lieu de subir sans agir, comme auparavant. Aidé ou pas, j’ai, nonobstant, été l’initiateur, l’âme, le moteur du combat victorieux, à mon profit et, aux dépens de mon agresseur.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

La sérénité car « mieux vaut tard que jamais », quand l’on agit pour le mieux et le meilleur, car « il n’est jamais trop tard pour bien faire » !

 

L’espoir que le cauchemar cesse enfin, car j’ai fait le maximum, pour châtier mon agresseur et, lui faire passer toute envie de recommencer. L’objectif étant de le mettre, définitivement, hors d’état de nuire.

 

Le sentiment de force morale intérieure, par une survenue de paix et, confiance personnelles. Que je fais en sorte de maintenir en moi durablement et, de façon farouche, quoi qu’il puisse advenir.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative, de toute puissance, excessive et vaine, au moment des faits : 9/10. Un certain temps après : 5/10. En cours de suivi, actuellement : 2/10. Niveau d’intensité d’émotion positive, de force mentale et d’humilité réalistes et raisonnables, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 7/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Je suis capable de me défendre, de me faire respecter et, de neutraliser tout agresseur. Alors, je le fais sans hésiter et, sans faiblir, « sans peur ni reproche ». En arrêtant net la moindre attaque.

 

Désormais, je suis en mesure d’être suffisamment dissuasif, préventif, persuasif, dans ma défense, pour empêcher toute attaque. Quelle qu’elle soit, d’où qu’elle vienne, quel qu’en soit l’auteur.

 

Je peux et suis apte, maintenant, à me faire respecter seul, sans besoin d’aide externe. Ce qui fait que personne n’ose, désormais, s’en prendre à moi.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je ne suis moralement ni faible ni omnipotent, mais solide, sans abus de pouvoir. Cela me suffit et est l’essentiel, pour ma sauvegarde légitime personnelle, de façon proportionnée. Sans jamais nuire aux justes droits et, intérêts des autres.


 

 


12- Ma Difficulté à Positiver


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un sentiment de négativité, pessimisme, défaitisme, à l’égard de moi-même et, des autres, à celui de positivité, d’optimisme, de combativité, quant à moi et autrui.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Pendant toutes mes études scolaires, avant mon école actuelle, j’étais en difficulté et échec. Alors, je n’arrivais pas à voir les choses, de façon favorable, étant plutôt en un état d’esprit négatif, pessimiste, défaitiste.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je n’y arriverai jamais, car je vois bien que, même en travaillant dur, je ne m’en sors pas. Ce qui me décourage et, me donne envie de tout arrêter.

 

Je suis bien « nul », car n’arrivant à rien, malgré toute ma bonne volonté et, mes efforts, je suis donc convaincu que cela est de ma faute. Que je mérite mon échec, car je suis mauvais et, incapable de réussir.

 

Je me dis que j’envie fort les copains, qui, eux, sont capables de réussir, contrairement à moi. Concernant mes professeurs, je pense que non seulement ils ne m’aident pas, mais qu’en outre, ils « m’enfoncent ». Par leur incompréhension et, leurs critiques, à mon égard. Ce qui est injuste, abusif et, scandaleux pour moi.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

Le dégoût de constater que, malgré tous mes efforts, pour travailler et réussir, je n’arrive toujours pas à avoir de bons résultats.

 

L’envie à l’égard de mes camarades de classe, car ils avaient de bons résultats, sans trop de peine et, moi pas, malgré mon travail acharné.

 

La colère contre moi-même, car constatant que malgré mes efforts, je n’y arrivais pas. Je me jugeais particulièrement mauvais, ce qui suscitait, de ma part, du ressentiment contre moi-même, mon incapacité à réussir.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

J’arrête mes études, constatant que mes efforts sont vains et, ne servent à rien. Renonçant, par mon défaitisme, à toute possibilité de succès.

 

Je cache à mes proches le fait d’avoir été en difficulté et, arrêté mes études. Par peur des réactions négatives, hostiles, incompréhensives, de certaines personnes, à mon encontre, opposées à moi et, à mes choix, décisions, actes. Je n’assumais pas mes agissements et, n’osais pas m’affirmer.

 

Je « boude », me replie sur moi-même, « fais la tête », car je suis insatisfait de moi, d’autrui, de ma vie. Je suis alors frustré, aigri, morose, fais payer aux autres mes propres déboires, par marasme et, mal-être généralisés.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Depuis longtemps, mes études m’ont paru horriblement pénibles, difficiles, ratées, hors de ma portée et, synonymes de mon échec. Alors, mes derniers blocages, avant abandon, me devenaient insupportables. D’autant que mes mauvaises estime, confiance, affirmation de moi aggravaient considérablement les choses.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Je poursuis et redouble même d’efforts, pour tenter, malgré tout, en mon esprit, de passer en classe supérieure. Si cela ne suffit pas, ce n’est pas grave, car alors, je ferai un autre type d’études, me convenant mieux. En lequel, je serai plus en mesure de réussir.

 

Je me convaincs que je ne suis pas exécrable, sous prétexte que j’ai des difficultés. Car j’ai des atouts certains, qui me permettent d’avancer, malgré tout, de façon différente et, dans d’autres domaines.

 

Je n’ai nul besoin d’envier mes amis, car si eux réussissent, il n’y a pas de raison pour que cela soit différent pour moi. En particulier, en ce qui me passionne et, où j’excelle le plus et le mieux : le dessin, le graphisme, les arts plastiques.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

La motivation car, au lieu de me laisser abattre, je repars de plus belle au combat. Car pour moi, l’essentiel est de parvenir à atteindre tous mes objectifs de réussite, de façon résolue, assurée, tenace. Jusqu’à la victoire finale.

 

L’émulation, c’est-à-dire le sentiment, mes camarades faisant mieux que moi, que je peux et dois les égaler et, même les battre, sur leur propre terrain. Il s’agit d’une question de fierté et d’amour propre. J’en tire motivation et force, pour avoir envie, capacité, conviction, de travailler encore plus et mieux, en efforts optimums. Sans me décourager, pour réussir à tout prix, coûte que coûte, vaille que vaille.

 

La paix intérieure car j’accepte la situation telle qu’elle est, de façon réaliste et pragmatique. Non, telle que j’aimerais qu’elle soit, de façon illusoire. Alors, je décide de me réorienter, en ma vraie voie choisie, vocationnelle, par adhésion, conviction, enthousiasme. Non par défaut, de façon subie, en corvée, indifférente et réticente.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative, de difficulté à positiver, au moment des faits : 8/10. Un certain temps après : 6/10. En cours de suivi, actuellement : 2/10. Niveau d’intensité d’émotion positive, d’optimisme et de combativité, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 8/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Je fais l’effort d’achever ma classe en cours et, ensuite seulement, je me réoriente, au lieu de tout abandonner. Je n’oublie jamais que « patience et longueur de temps, font plus que force ni que rage ».

 

J’assume ma décision de changement, de façon courageuse, authentique, affirmée, à mes yeux et, à ceux d’autrui. J’annonce donc, sur-le-champ, la vérité, à mes proches, en toutes honnêteté, franchise et, force mentale.

 

Je relève la tête, je fais vaillamment face à la situation réelle. Car la meilleure solution n’est pas la fuite, la lâcheté, l’évitement, la « politique de l’autruche ». Soit, aggraver encore plus les choses, mais de toujours oser la vérité, la justesse, justice, le courage. Pour avancer en droiture, loyauté, rayonnement.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je suis positif, optimiste, combatif, car j’ai déserté toute négativité, tout pessimisme, défaitisme, quoi qu’il en soit, par principe existentiel salvateur. Avoir toujours foi en moi, autrui, la vie, mon existence, me garantit toujours le meilleur et, me garde toujours du pire.


 

 


13- Ma Difficulté à Relativiser, Prendre du Recul
De la Distance, Faire la Part des Choses


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un sentiment de drame, catastrophe, d’alarme, à l’égard de moi-même et, des autres, à celui de lâcher-prise, décentration, renoncement. Envers moi et, autrui.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

En amour, au lycée, j’ai été attiré par deux jeunes filles, successivement. Cela n’a pas été réciproque, car elles ont remarqué mon manque de confiance en moi. J’ai ressenti ce camouflet comme un terrible échec personnel. Je me suis totalement remis en cause et, cela m’a fort affecté. Je me suis reproché de ne pas avoir été capable de relativiser la situation, que j’ai dramatisée, en alarmisme forcené.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je suis « nul », maladroit, incapable, inintéressant, pas attirant. Je ne sais pas m’y prendre avec les filles, les intéresser, leur plaire, les convaincre.

 

Je ne mérite pas d’avoir une copine. Puisque cela ne marche pas avec les filles, c’est que je n’ai pas les qualités requises, pour les séduire véritablement.

 

Je n’ai pas envie de finir ma vie seul. Ma grande angoisse est de ne jamais être capable de trouver quelqu’un à aimer et, qui m’aime.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

L’envie à l’égard de mon cousin, car il a conquis le cœur de celle qui me plaisait, à mon détriment. J’aurais tant voulu que ce soit moi qui l’emporte, plutôt que lui !

 

La colère surtout contre moi-même, car je n’étais pas, à mes yeux, en état d’être avec une fille. Contrairement à mes copains, qui, eux, y parvenaient mieux. Ce qui ne faisait qu’aggraver mon mal-être, mes doutes et, mon sentiment d’infériorité.

 

L’angoisse, n’ayant pas envie de finir seul et, persuadé que je risquais cela, que c’est ce qui m’attendait, à terme. Je finissais alors par me stresser et, craindre que la situation ne perdure péniblement.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

J’ai fait, avec ces jeunes filles qui m’ont éconduit, comme si de rien n’était. Les traitant comme une simple camarade, pour la première et, comme ma sœur, pour la seconde. Je ne voulais pas perdre leur amitié et, ne voulais pas être seul, esseulé, solitaire. Je préférais la seule amitié, à défaut d’amour, plutôt que la solitude. Même si, en réalité, cela ne réglait, en rien, mon problème sentimental. Or, au prix dommageable, pour moi, comme pour elles, de n’être ni sincère, ni authentique, ni vrai. Je ne faisais que me duper moi-même et, leurrer autrui, de façon illusoire, hypocrite et, fausse.

 

Déçu, découragé, dépité, j’ai renoncé à tout espoir et, toute tentative de rencontrer l’âme sœur. Cesser le combat me rassurait, car cela m’assurait un certain confort, de ne plus ainsi risquer l’échec, le camouflet, l’avanie du rejet. Or, ainsi, je me condamnais moi-même à un sort, une adversité, une défaite, encore pires. Rester seul longtemps, voire à vie !

 

Au lieu de me battre, pour réaliser mon vœu le plus cher, être en couple, j’ai renoncé, « baissé les bras », été défaitiste et, résigné à mon sort. Je me suis enfermé dans la dépendance au jeu vidéo. Pour fuir la réalité, ne pas l’affronter résolument, l’occulter, compenser mes frustrations. De façon illusoire, dommageable et, lâche. Je me suis totalement replié sur moi-même, ce qui n’a en rien résolu ma difficulté, mais l’a aggravée, tout au contraire.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> J’ai d’autant plus souffert et, eu du mal à faire la part des choses, qu’il y a eu deux rejets successifs et, non un seul. En outre, le deuxième refus l’a été au bénéfice de mon propre cousin, qui, lui, l’a emporté à mes dépens, auprès de la demoiselle. Je n’ai pas été en mesure de relativiser, positiver, remettre à sa juste proportion la situation. Mon défaut d’estime, de confiance, d’affirmation de moi, m’a encore joué un vilain tour. J’ai eu des pensées, émotions, comportements inadaptés, inadéquats, inappropriés. Ce qui a provoqué, précipité, accentué, mon marasme et mon échec, au profit d’autrui, plus solide psychiquement, moralement, mentalement, que moi.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Le fait que mes tentatives sentimentales soient vaines, pour le moment, ne signifie en rien, que cela va être durable, voire définitif, irrémédiable. Cela n’enlève rien à mes qualités personnelles, qui seront appréciées et, convaincront d’autres, ultérieurement.

 

Je mérite, comme tous, d’être heureux en couple. Si les autres y parviennent, je le puis donc, tout autant ! Le combat est alors, d’ores et déjà, gagné, avant même que d’avoir débuté. Pour m’assurer la victoire, il me suffit de me projeter mentalement positivement. Anticipant, en certitude et, conviction, mon « triomphe » à venir. En action, attention, assurance, détermination, ténacité.

 

Puisque je veux, à tout prix, connaître l’amour de ma vie, je me donne les moyens idoines, pour cela. Je les mets en œuvre, me bats sans relâche, jusqu’au but atteint. Je sais, qu’ainsi, j’y parviendrai, coûte que coûte, tôt ou tard. Ce qui me rend ainsi confiant, serein, rayonnant.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

L’émulation car la réussite des autres me stimule, renforce ma fierté de moi-même, mon amour propre, ma foi en moi, mes capacités, mon destin. J’ai donc l’envie forte de me battre, comme autrui, pour l’emporter, de la même façon. Comme tous, j’ai des atouts personnels à faire valoir, je peux donc parvenir, tout autant qu’eux, et mieux encore. Il me suffit, pour cela, de vouloir, d’agir, de croire et, vaincre !

 

La compréhension et l’indulgence pour moi-même, pour mieux m’accepter, ainsi que ma situation, en apaisement et, non affolement et désespoir. Je suis pragmatique, raisonnable et, humble. Tout autant qu’ambitieux, volontaire et, fier. Sans trop d’idéalisme irréaliste ni, de résignation défaitiste.

 

L’espoir et l’espérance car même si je suis actuellement seul et, que j’en souffre, cela ne vaut pas éternité définitive et sans appel. Une réalité actuelle négative compte moins, qu’une potentialité future positive. Il suffit de privilégier la seconde, d’y croire, de tout faire pour la réaliser. Cela permet, le plus souvent, d’y parvenir, sans coup férir ! Je me bats et, j’atteins mes objectifs sentimentaux les plus chers.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative, de difficulté à relativiser, au moment des faits : 8/10. Un certain temps après : 7/10. En cours de suivi, actuellement : 3/10. Niveau d’intensité d’émotion positive, de distanciation, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 9/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Tout en restant ami, avec les jeunes filles évoquées, je renonce à tout espoir de nature sentimentale, à leur égard, puisque persister serait vain. Je tourne la page, passe à autre chose. Je reste actif et confiant. Je m’intéresse à d’autres personnes, pour ma quête amoureuse et, j’agis résolument, pour réaliser enfin, mon idéal de vie à deux.

 

L’échec n’est pas de tenter et, de ne pas réussir, mais de ne pas essayer et donc, d’être ainsi assuré de ne rien obtenir. Je continue alors le combat, car c’est l’essentiel, quelle qu’en soit l’issue, positive ou négative, à mes yeux. Je n’oublie pas qu’un échec n’est seulement qu’un résultat non souhaité. Toujours réversible et, transformable, en un effet conforme à mes attentes. Cela dépend largement de ma foi, mon action, mon rayonnement moral propre.

 

Au lieu, désappointé, de fuir en une dépendance illusoire et vaine, en faux remède, pis que le mal à combattre, je cesse cet enfermement et abaissement. Je sors, fais des rencontres enrichissantes, m’ouvre aux autres, donne de moi-même, en altruisme non égoïste. Alors, et seulement alors, je deviens véritablement attirant, intéressant, convaincant, pour autrui. J’arrive à mes fins, tout autant à mon avantage, qu’à celui d’autrui. Je donne d’abord, pour obtenir ensuite. Je suis bien avec moi, pour l’être avec l’autre. C’est ainsi que sont, au mieux, les liens humains réciproques gagnants-gagnants !


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je pratique l’art du raisonnement pragmatique, dépassionné, distancié, ce qui me permet lâcher-prise, détachement, renoncement. Ce qui limite peurs et, désirs excessifs. En relativisation et, décentration de moi-même.


 

 


14- Ma Difficulté à Rester Serein, en Paix, Épanoui


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un sentiment de tourment, marasme et, d’inquiétude, à l’égard des autres et, de moi-même, à celui d’apaisement et, d’équilibre, avec moi et autrui.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Durant toutes mes études, j’ai connu des difficultés et, généralement, de mauvais résultats. En outre, du fait de mon manque de confiance en moi, mes doutes, concernant mes compétences et, capacités, j’étais des plus anxieux. Mal à l’aise, notamment, quand il me fallait dire mes notes à mes parents, dont je craignais la réaction. Je n’arrivais donc pas à être positif, serein, assuré, concernant mes études et, ma vie scolaire.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Si j’annonce à mes parents mes piètres résultats scolaires, je vais encore salement encourir de durs reproches, de leur part, à mon encontre.

 

Étant mauvais élève, je risque fort d’être sanctionné, par le redoublement et, cela m’inquiète beaucoup. Je ne suis pas serein, concernant mon devenir scolaire, donc, professionnel et, personnel.

 

En outre, je vais encore devoir subir des répétiteurs particuliers, à la maison, qui vont me surveiller et, me faire travailler. Cela m’ennuie, car je constate que cela, non seulement me pèse, mais ne m’aide pas véritablement, à améliorer mon travail et, mes résultats.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

La peur à l’égard de mes parents et, de leur réaction négative probable, en apprenant mes sales notes. Manquant d’assurance, je craignais que cela ne se retourne contre moi, avec sanction et, rétorsion à la clé.

 

La colère contre moi-même, car en dépit de tous mes efforts, mes notes restaient basses. Je n’avais pas le courage d’affronter mes parents, ce qui ne faisait qu’entretenir mon ressentiment d’impuissance, à mon égard.

 

Le dégoût car malgré tous mes efforts pour m’en sortir, je n’obtenais aucun résultat probant et alors, cela me perturbait grandement.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Je mentais par action, en ne disant pas la vérité ou, par omission, en me taisant. Pour éviter les réactions hostiles, menaçantes et, dépréciatives, de mes proches.

 

Je fuyais la réalité, pourtant flagrante, en renonçant totalement à me battre et réussir, ne faisant plus rien pour cela. Ne croyant plus en mes chances de sortie de crise, je me suis enfermé en un cercle vicieux contre-productif. Fait de défaitisme, de pessimisme et, de négativité aggravée, ce qui ne faisait qu’empirer ma situation, pourtant déjà si compromise.

 

Je me réfugiais passivement, pour fuir ma réalité inquiétante, dans une addiction aux jeux vidéo, toutes mes journées. Je ne faisais plus rien d’autre. J’ai donc remplacé un problème sérieux, par un autre pire encore. Passant du statut de mauvais élève, à celui d’oisif, dépendant d’une aliénation comportementale toxique. N’étant désormais plus ni en études ou, formation, ni en emploi, donc, en perdition totale, car sans aucun objectif de vie.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Je n’avais aucune estime, confiance, affirmation de moi-même, ne croyant ni en ma personne ni, en mes aptitudes et, ma valeur. J’éprouvais alors, face à mon échec scolaire, un sentiment de véritables faillite et indignité personnelles. Je me sentais coupable, honteux, misérable. Alors, je craignais, par dessus-tout, la réaction très négative, contre moi, d’autrui, car ayant autorité sur moi. Mes parents, enseignants, les autorités scolaires et, même mes camarades, meilleurs que moi, pour la plupart. Tout cela me paralysait, m’angoissait et, accentuait mon mal-être et, mon ressentiment, contre moi-même et les autres.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Je me dis que je vais expliquer ma situation à mes parents. Ainsi, ils vont trouver, avec moi, la meilleure solution, pour m’en sortir.

 

Je décide que je vais travailler bien plus et mieux, différemment, plus efficacement. Me faisant aider autrement, de façon plus adaptée, probante, pour moi, si nécessaire. Cela va me permettre de m’éviter le redoublement et, me faire accéder à la classe supérieure.

 

Changer positivement d’état d’esprit, de ressenti, d’attitude, est pour moi une grande chance. Elle me permet d’avoir une vision des choses dynamique, volontaire, constructive, productive. En étant positif, optimiste, pugnace, par foi et, assurance en le meilleur, pour moi, car résolu, tenace, épanoui, en réussite. Je vais donc vaincre, l’emporter, progresser. Même si cela m’est difficile, cela « vaut le coup », car c’est la seule façon, pour moi, d’être sauvé !


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

La confiance car je sais que je vais dire, à mes parents, que je vais trouver et, appliquer les meilleures solutions, pour m’en sortir. Alors, ils ne pourront que me comprendre, m’approuver, m’encourager, m’aider au mieux.

 

L’apaisement car chaque fois que je rate une épreuve, je relativise positivement. Rien n’est perdu pour autant, car je pense solution et non problème, « j’ai raté une bataille, mais je peux encore gagner la guerre ». Même si cela ne va pas, je fais en sorte que cela aille, malgré tout. Je vais me débrouiller pour bien travailler, pour que chaque note soit meilleure que la précédente et, moins bonne que la suivante. En progression optimum continue. Tel est mon défi à moi, je le relève haut et fort, avec panache, jusqu’à la victoire finale !

 

La bonne humeur. Garder bon moral me permet de prendre la vie du bon côté et donc, de mieux affronter et vaincre mes difficultés existentielles. Cela m’assure bonheur, réussite et, sens de destin personnels, jusqu’à la fin de mon parcours terrestre, quel qu’il soit et, quoi qu’il arrive.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative, de difficulté à être heureux, au moment des faits : 9/10. Un certain temps après : 5/10. En cours de suivi, actuellement : 1/10. Niveau d’intensité d’émotion positive, d’épanouissement et de joie de vivre, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 8/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Quelles que soient mes notes, même les pires, je me concerte, avec tous ceux dont la mission est de m’aider à réussir. Ils sont là pour moi et, non contre moi, voulant, avant tout, mon bien et, non ma perte. Ce n’est donc pas moi, qui vais être abattu, mais mes seules difficultés. Je vais être encouragé, soutenu, guidé, au mieux, ce qui va me permettre d’améliorer mes résultats, de façon progressive, continue et, maximale.

 

Je fais face à ma situation, au lieu de la fuir et, je lutte d’arrache-pied pour vaincre. J’augmente ainsi mes chances d’améliorer mes résultats et donc, de réussite finale.

 

J’enrichis ma vie, au lieu de l’appauvrir. Je fais du sport, je lis des livres intéressants, je m’occupe intelligemment, je fais de bonnes rencontres. Je m’élève l’esprit, l’âme, le moral. Je « cultive mon jardin intérieur ». Ainsi, je deviens une meilleure personne, je progresse spirituellement, sur le chemin de ma vie, de façon fructueuse. Au lieu de régresser en l’hédonisme, le matérialisme, consumérisme, la volonté d’influence, les plus stériles.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# J’ai remplacé dramatisation, alarmisme et, catastrophisme, par la sérénité absolue, car je cultive désormais eudémonisme, ataraxie et, équanimité. C’est-à-dire, le vrai bonheur de vivre, la paix et l’égalité profondes d’âme.


 

 


15- Ma Difficulté à Sortir de Mon Inhibition
Ma Passivité, mon Attentisme


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un état de paralysie générale, à l’égard de moi-même et, des autres, à celui de proaction et, de dynamisme, avec moi et autrui.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Quand j’étais enfant, j’ai remarqué que je n’osais pas trop m’aventurer à bicyclette, au-delà d’une certaine zone, qui m’était familière et, dont j’avais l’habitude. Alors que mes camarades de même âge, quant à eux, appréciaient beaucoup plus volontiers, découvrir de nouveaux circuits, plus lointains et, encore inconnus.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je me dis que certes, cela est bien rassurant et confortable, de rester faire de la bicyclette dans ma rue. Pour autant, cela me fait demeurer en ma zone de confort, ce qui est bien agréable pour moi. Or, cela m’empêche aussi, de m’affirmer, d’oser prendre des initiatives et, me prive donc, des avantages de l’audace, de la découverte et, de l’émancipation.

 

Je constate que mes amis, quant à eux, osent en faire plus que moi, à bicyclette, contrairement à moi, qu’ils en sont très heureux. J’en retire un sentiment déplaisant, par rapport à eux, de manque, d’incapacité et, de frustration. Car, à mes yeux, ils sont capables de réaliser et d’accomplir, ce que je ne puis pas moi-même.

 

Je pense que mon éducation a aggravé, en moi, ma peur du risque, même relatif et limité, car elle a consisté à vouloir trop me protéger de tout. Ce qui m’a privé de beaucoup de bonnes choses, par rapport à mes camarades.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

La peur de l’inconnu, du risque, de l’imprévu, car je craignais l’accident, de me blesser, m’égarer, d’être en danger, agressé. De ne pouvoir faire face à toute difficulté possible, en cas d’aléa.

 

La colère contre mes parents, trop protecteurs à mon égard, car cela a influé sur mon manque de confiance en moi. Cela m’a beaucoup nui et handicapé. Les abus et excès parentaux, à mon encontre, n’ont fait qu’aggraver les choses, à mes dépens.

 

L’envie à l’égard de mes camarades qui, contrairement à moi, étaient laissés libres par leurs parents, de « vivre leur vie ». Les miens ne me faisant pas confiance, me limitant sans cesse, en tout et pour tout, ce qui me désolait fort. Car j’étais privé de joies, satisfactions, latitudes, dont bénéficiaient les autres et pas moi.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Quand mes copains me proposaient une sortie, alors que j’en avais envie, je refusais malgré tout. Je craignais, si j’acceptais, une réaction hostile et, de rétorsion de mes parents.

 

Il m’arrivait d’oser transgresser les strictes consignes limitatives parentales, en prenant plus de risques que d’habitude. Cela me procurait une certaine satisfaction. Toutefois limitée, par la réaction hostile et négative, de mes ascendants, à mon retour d’escapade interdite.

 

À force d’avoir peur et, de refuser les sorties de mes amis, ils finissaient par me laisser tomber, ne plus rien me proposer. Ce qui fait que je restais seul, privé de sorties. Je me sentais alors frustré, malheureux et, désolé d’être écarté, esseulé, privé d’aventures, avec mes amis.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Ayant peu confiance en moi, je préférais ce qui m’était familier, rassurant, à ma portée. Plutôt que d’oser affronter, subir, prendre le risque de l’inconnu non maîtrisé, contrôlé, prévu par moi. Même si cela me privait d’occasions bénéfiques, dont je pouvais avoir envie, assurément. Par crainte de l’inédit, je préférais encore la sécurité, sans contentement, plutôt que la satisfaction, dépourvue de protection.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Puisque mes amis sont, quant à eux, capables d’oser s’affirmer, en « affrontant le monde », cela leur réussit fort. Je peux et dois donc, en mon intérêt, quitte à me faire violence, faire aussi bien qu’eux ou, presque. Au lieu d’avoir le confort facile, sans vraies satisfactions, je vais donc plutôt opter pour la prise de risque calculée, raisonnée et, raisonnable. Avec toutes les gratifications afférentes.

 

Lucidement, j’ai conscience que mon défaut d’assurance m’empêche d’obtenir, pour moi, les avantages que ceux qui croient en eux peuvent obtenir. Je vais donc faire un effort de volonté et, de force mentale, de foi en moi et, de motivation, pour me dépasser, « sortir de moi-même ». En osant oser, faire ce que les autres font, même si cela me fait peur. En dépit même de la férule parentale !

 

Certes, j’ai conscience que mes parents, comme tous parents, ne sont pas parfaits. Or, cela ne signifie pas, pour autant, que je doive passivement subir et, « me laisser aller ». Je vais donc agir, me battre, tenter et réussir, malgré tout, à croire en moi, oser être moi-même et, avancer, au mieux, en ma vie. Pour mieux réussir, être heureux, serein, en résilience.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

L’assurance car j’ose enfin affronter l’inconnu. J’agis, je risque et donc, je progresse et réussis à être en accord avec ce que je veux, moi et moi seul, réellement, et non autrui.

 

La fierté, la satisfaction et, la joie, car je parviens, enfin, à me défaire et, neutraliser les effets toxiques de la mauvaise éducation de mes parents, sur moi. Ils ne peuvent plus m’empêcher, voulant trop bien faire et donc, faisant mal, de faire ce que j’estime être bon pour moi. Ils ne peuvent plus me nuire et, compromettre mon épanouissement. Ainsi, ils ne me font plus de mal et, c’est moi qui me fais du bien.

 

L’émulation car je suis capable de surmonter ma peur, ma tristesse, mon mal-être, quand les autres font mieux que moi. Cela me donne, au contraire, l’envie, la force, la motivation, de me battre, pour faire, à tout prix, aussi bien qu’eux et, si possible, mieux encore.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative, de passivité subie, au moment des faits : 9/10. Un certain temps après : 6/10. En cours de suivi, actuellement : 1/10. Niveau d’intensité d’émotion positive, de dynamisme choisi, décidé et, agi, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 8/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Je négocie et j’obtiens de mes parents plus de libertés et, un plus long trajet, avec mes copains. Ce qui me permet d’aller aussi loin qu’eux ou, presque.

 

Je tente de convaincre mes parents de m’accorder ce que je souhaite. S’ils sont d’accord, je profite de ce qu’ils octroient, à l’enfant que je suis. Sils refusent, je respecte leur décision et, je me conforme à leur volonté, sans trahir leur confiance, car je veux avoir la conscience tranquille. Pour autant, je conserve un minimum de latitudes d’action et, ne me laisse pas étouffer, téléguider, écraser, par quiconque, parents compris. Je protège ainsi, a minima, ma liberté, mon épanouissement, ma réussite.

 

Je n’attends pas, passivement, que les autres me proposent des sorties et, que je doive souvent les refuser, du fait de mes parents abusifs. Je prends régulièrement activement l’initiative et les devants, de suggérer moi-même des virées. Comme cela, je reste intégré au groupe et, je continue à participer à ses activités, sans être exclu. En outre, parents ou pas, je prends la bonne habitude d’accepter certaines balades, au lieu de les refuser toutes. Par peur du monde extérieur et, de mes parents, le plus souvent, pour des raisons plus non fondées que justifiées.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je suis proactif, combatif, résolu. Je ne tiens pas compte des oukases des autres, à mon encontre. Or, de mon seul for interne. Je questionne, en conscience, ce qui me convient légitimement et, je le mets en application, sans tarder ni coup férir.


 

 


16- Mon Inférence Arbitraire
Conclusion Sans Preuves


 

 

§ Mon objectif : je passe d’une réalité de déduction non fondée, de type paranoïaque, à l’égard des autres, à celle de raisonnement solidement étayé et vérifié, à l’égard d’autrui. Comme de moi-même.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Quand j’étais au collège, il m’arrivait, qu’à mon passage, devant un groupe de condisciples, ils rient. Alors, j’étais convaincu qu’ils se gaussaient de moi. [En réalité, ils ne faisaient qu’être amusés de propos et, choses drôles, n’ayant rien à voir avec moi].


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Puisque l’on se moque de moi, je dois donc comporter, en moi, quelque chose de risible, qui détonne. Ce qui fait que je dois paraître bien ridicule, aux yeux des autres.

 

Ce sont de mauvais camarades, qui me traitent mal et, me manquent de respect. J’ai donc tort de les fréquenter, car ils me nuisent, me causent tort et, ne se comportent pas en amis loyaux, mais en opposants hostiles.

 

Si ceux qui sont censés être mes amis me traitent pourtant si mal, c’est que je ne sais pas assez me faire respecter. Alors, ils en profitent pour me maltraiter. Je me sens coupable, honteux et, responsable.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

La honte car je me sens humilié publiquement, par ceux qui se moquent de moi, à mes yeux. Or, également, du fait que l’outrage a lieu au vu et au su de tous et, de n’importe qui, ce qui accroît mon sentiment d’avanie.

 

La colère contre les rieurs, car ils me traitent mal, de façon injuste, sans raison fondée, ce qui est très pénible et inconvenant, pour moi.

 

Le regret et la culpabilité de n’avoir pas su, selon moi, susciter la considération de mes camarades. Cause, à mes yeux, de leur manque flagrant d’égards pour moi.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Me sentant vexé, rabaissé, vilipendé, je boude, me tais et, je fais comprendre aux autres mon ressentiment. Je leur réponds sèchement, s’ils s’adressent à moi, sinon, je les ignore ostensiblement et, je me replie sur moi, en « splendide isolement ».

 

Les jours suivants, j’évite soigneusement mes offenseurs et, je ne leur adresse plus la parole, en évitement préventif total, glacial et hautain.

 

Je finissais parfois, par me rendre compte de ma méprise et, de mon erreur d’interprétation. D’avoir puni les faux coupables injustement, sans raison. Alors, je présentais mes regrets et excuses, mais à contretemps et, de façon tardive, à mes amis les plus proches. Je ne me manifestais pas auprès des autres et, faisais alors, comme si de rien n’était, de façon peu courageuse et charitable. Ayant cru, à tort, avoir été victime d’iniquité, j’en infligeais, à mon tour et, je n’étais pas fier de moi.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Du fait de mon manque d’estime, de confiance, d’affirmation de moi, je suis trop préoccupé par mon image, par ce que l’on pense de moi. Cela fait que, doutant de moi, ne croyant pas en moi, j’ai tendance à interpréter tout ce qui provient des autres, à mon égard, de façon négative, défavorable, dévalorisante. Pour tout ce qui me concerne.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o S’ils rient, c’est sûrement qu’ils se divertissent d’une bonne plaisanterie, entre eux. Cela n’a aucun rapport probable, avec moi. J’en suis heureux pour eux et, j’espère bien, moi aussi, profiter et participer de leur bonne humeur, contagieuse et communicative.

 

Le fait qu’ils s’esclaffent, au moment où j’arrive, ne signifie pas, pour autant, qu’ils soient mauvais camarades, à mon égard. Avant de juger, sans certitudes avérées, je vais donc, d’abord, m’assurer que leur hilarité est parfaitement étrangère à ma personne.

 

Puisque je sais me faire respecter de tous et, que donc, tous me respectent, il est alors certain que mes amis le font aussi, d’autant plus. S’ils se gaussent, ce ne peut donc être dirigé contre moi.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

La sérénité car même si les autres sont hilares, à mon approche, étant fort mentalement, je l’appréhende très positivement. Soit cela ne me concerne pas, soit cela m’est destiné, auquel cas, étant solide, cela m’est indifférent, ne m’atteint pas et, ne m’offense en rien.

 

La joie car je me réjouis fort de voir mes amis en pleine forme et joyeux. En outre, je vais assurément profiter et partager, avec eux, cette allégresse générale revigorante.

 

L’optimisme, certes, je n’ai pas su bien interpréter ni, ressentir la réalité et, je m’en suis affligé à tort. Or, cela est désormais révolu et caduc, je ne regrette rien, n’ayant pas été en mesure de mieux faire. J’en tire les bonnes leçons et, je me projette positivement en l’avenir. Je suis pragmatique, je me promets d’être plus confiant et réaliste, objectif, pour bien évaluer les choses, au mieux. Au pire, autant que nécessaire, je saurai aussi, toujours, me faire respecter et, contrer les dérives hostiles, à mon encontre. Mieux, je saurai les prévenir et, les désamorcer, avant nuisance, et non seulement après.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative, d’inférence arbitraire, au moment des faits : 8/10. Un certain temps après : 4/10. En cours de suivi, actuellement : 1/10. Niveau d’intensité d’émotion positive, de bonne interprétation, à conclusions fondées, avérées, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 8/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Constatant la bonne humeur de mes amis, je m’en réjouis fort, au lieu de m’en alarmer. Je m’empresse de profiter de cette joie bienfaisante, en rejoignant les autres et, en participant à la bonne ambiance générale.

 

Il n’y a nul motif à crainte, mécontentement, malaise, de ma part. Je n’ai donc aucune raison de me renfrogner, me venger, d’être vindicatif. Je conserve donc, mon comportement habituel jovial, avec tous, puisqu’il n’y a aucun motif à opprobre, vexation, susceptibilité ni, récriminations.

 

Si je constate que je me suis trompé, que j’ai mal jugé à tort autrui, par mauvaise interprétation de la réalité, je présente mes excuses. En esprit d’équité, d’apaisement, de bienfait. L’essentiel n’est pas mon erreur initiale, car je suis faillible, comme tous. Or, en étant conscient, l’important est que je me rachète et corrige, en reconnaissant les faits. Exprimant mes regrets et, des dispositions bienveillantes bien meilleures, constructives, positives, à l’égard de ceux que j’ai injustement stigmatisés.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je suis sorti de ma subjectivité craintive, en devenant objectif, réaliste. J’ai cessé les préjugés, présupposés, a priori négatifs préalables, qui ne sont que les fruits imaginaires de mon esprit inquiet, tourmenté, insécure. Plus confiant, solide, positif, je raisonne plus sainement, de façon pragmatique, apaisée. Gage de ma sérénité habituelle, désormais.


 

 


17- Mon Abstraction Sélective
J’isole une Information
Pour en Tirer une Fausse Conclusion


 

 

§ Mon objectif : je passe d’une réalité d’appréciations erronées, à l’égard des autres et, de moi-même, à celle d’un jugement sûr, équitable, fondé, quant à moi et autrui.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Au collège, j’avais une enseignante qui était désagréable et, me dégoûtait de sa matière. En particulier, elle exigeait de moi, malgré mes difficultés spécifiques, certains impératifs, qui pourtant ne pouvaient me convenir. Cela était fort détestable, pénible et, stressant, pour moi. Un jour, elle m’a fait une remarque, car je n’usais pas du stylo plume qu’elle exigeait, mais d’un stylo bille. Je l’ai très mal pris et, j’en ai déduit que son admonestation signifiait, pour moi, que j’étais particulièrement mauvais élève, en anglais. Voire, en toutes disciplines académiques.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je me dis que je suis complètement choqué et, abasourdi, par l’attaque brutale et injuste, qui me frappe, car non fondée, de l’enseignante.

 

Je ne comprends pas le comportement que je subis, à mon encontre, car je le considère comme illégitime, arbitraire, non pertinent. De fait, le motif de récrimination qui m’est reproché est, totalement, étranger à la discipline académique concernée.

 

Puisque je suis si durement admonesté, par une enseignante ayant donc autorité scolaire, j’en déduis, par le fait même, le pire pour moi. Je me persuade, de ce fait, que je suis un cancre, alors même, que le reproche qui m’est fait ne concerne qu’un détail, purement matériel et technique. Non pas intellectuel et scolaire, pas davantage personnel.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

La colère contre l’enseignante, car elle ne s’en prenait qu’à moi et, pour des motifs secondaires, non fondamentaux, sans importance. Mon ressentiment découlant d’un fort sentiment d’iniquité, de défaveur et, d’indignité imméritées.

 

Le dégoût face à un comportement abusif, inacceptable et, dommageable. Lequel m’a écœuré de la discipline concernée, alors, qu’auparavant, j’appréciais cette matière, que j’y travaillais bien et, que j’y obtenais de bons résultats. La langue enseignée concernée, l’anglais, étant incontournable, cela m’a causé préjudice. Je m’en suis détournée et, mes résultats en ont été dégradés.

 

La peur du fait de l’attitude abusivement hostile et dure, à mon encontre, de l’enseignante. J’ai éprouvé un malaise fait de crainte, à son égard, celui de ses enseignements et, de sa discipline académique.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Je me repliais sur moi-même, pour me faire oublier, me rendre invisible. Pour éviter au maximum et, prévenir la tyrannie, exercée à mon encontre, en une visée de protection et de sauvegarde. Tellement je craignais que l’enseignante continue à me nuire abusivement.

 

Même si l’on prétendait m’imposer, à toute force, une certaine pratique arbitraire et inutile, dont je ne voulais pas, je n’obtempérais pas pour autant. Je persistais, envers et contre tout, à user de la seule pratique qui me convenait, donc légitime. L’essentiel, pour moi, étant que j’écrivais bien mieux, à ma façon, qu’à celle de l’enseignante. Toutefois, ma désobéissance se révélait être, pour moi, plus dommageable que bénéfique. Je m’exposais ainsi aux pires sanctions, rétorsions et, admonestations. Alors, algarades et, punitions se sont accrues, contre moi. Ma situation en a été d’autant aggravée et, dégradée.

 

Du fait de ces difficultés, j’ai totalement rejeté la matière concernée, par phobie absolue, rédhibitoire et, insurmontable. J’ai cessé tout travail afférent et, mes résultats en ont été très affectés. Il aura suffi d’une insignifiance inique, à mon encontre, pour transformer mon appétence et, ma réussite, pour une langue capitale, en un dégoût et, un échec dommageables.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Depuis mes études primaires, certains enseignants m’ont maltraité et harcelé, pour que j’écrive de la main droite, alors que j’étais gaucher. Pourtant, ils le savaient parfaitement. L’enseignante d’anglais, au collège, a été encore plus virulente et toxique, pour moi, que les autres. Alors, j’ai encore plus douté de moi et, de mes capacités. Cela m’a découragé, démotivé, démobilisé, à mes pires dépens scolaires et personnels. Aggravant encore plus mes déficits d’estime, de confiance, d’affirmation de moi. Je me suis laissé intimider, abuser, duper. J’ai cru, à tort, que l’autorité enseignante, ès qualité, était légitime et, avait raison de me stigmatiser, tous les droits sur moi. Convaincu que j’avais mérité mon opprobre, ma « déchéance », mon indignité, par ma faute. Que j’en étais coupable et responsable, car « mauvais en tout et pour tout ». D’où ma certitude ravageuse d’avoir démérité, encouru un juste châtiment, en syndrome permanent de honte et culpabilité.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Les critiques négatives importent et, m’importent peu, car elles ne sont pas fondées, constructives et, légitimes. Elles proviennent d’autrui, non de moi-même. Moi seul ai le droit de me juger et, non autrui. Les appréciations hostiles extérieures et, non internes, en conscience personnelle, sont donc nulles et non avenues, d’où qu’elles viennent et, de quiconque. Je suis seul juge de ce qui me convient le mieux, jamais autrui. Il vaut mieux que je fasse bien, à ma façon, que mal, à la mode des autres. L’essentiel n’était pas un détail technique, sans importance et hors sujet, mais mon bon travail et, mes bons résultats, en anglais.

 

Les reproches qui me sont faits sont indus et, étrangers à mon travail et, mes résultats académiques, en anglais. Je reste donc serein, confiant, mobilisé, quant à ma réussite à venir, en cette matière, quoi qu’il en soit.

 

Je sais faire la différence entre l’essentiel et l’accessoire, l’obligatoire et le facultatif, le légitime et l’arbitraire. Les questions techniques, d’usage de simples outils matériels de travail, sont insignifiantes. Elles ne conditionnent, en rien, mon niveau, mes capacités, mon travail, mes résultats académiques, intellectuels. Lesquels sont parfaitement corrects et acceptables. Tel est l’essentiel valable. Le reste est superfétatoire et indu.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

Le contentement car je ne suis plus révolté, à juste titre, par l’abus de pouvoir à mon encontre, désormais caduc et révolu. Je suis désormais capable de relativiser, me distancier, par rapport au passé. Cela pondère ma réaction négative initiale, car j’ai surmonté et dépassé cette épreuve et, l’ai transformée en renforcement personnel serein.

 

L’apaisement car même si j’ai été particulièrement maltraité, de façon injuste et non fondée, j’ai tenu bon, résisté aux pressions. Je n’ai pas changé ma façon de faire. Malgré les avanies, je sors donc vainqueur de l’épreuve et, du conflit, car j’ai triomphé du rapport de force inique, que l’on prétendait m’imposer et, me faire perdre.

 

La sérénité car j’ai été capable d’affronter la difficulté, d’y faire face, de vaincre mes peurs. De reprendre mon travail et, de réussir.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative, d’abstraction sélective, au moment des faits : 9/10. Un certain temps après : 7/10. En cours de suivi, actuellement : 3/10. Niveau d’intensité d’émotion positive, de bon jugement général, à juste interprétation, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 7/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Malgré la difficulté, je reste stoïque, face à l’adversité, demeurant impassible. Ni démuni, désemparé et, passif, j’agis sans subir, en travaillant de plus belle et, en réussissant !

 

Je continue et persiste à écrire, à ma façon, pour bien le faire, sans me laisser intimider ni, céder aux pressions pour changer. Surtout, désormais, sans peur, en un état d’esprit serein, confiant, assuré. Ce qui me permet de me comporter de façon aisée, tenace et, résolue.

 

Par mon attitude ferme, paisible et, résiliente, je prouve à l’enseignante qu’elle a tort abusivement et, que j’ai légitimement raison. Je lui démontre le bien fondé de ma façon d’être et de faire, ce qui renforce ma force mentale personnelle. Quoi qu’il arrive, en toute situation et, face à tous, quels qu’ils soient et, en tout et pour tout. Je me prouve à moi-même, que je suis capable de m’affirmer et, m’imposer, tel que je suis et, veux être et, comme je veux faire.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je ne tire plus prétexte de la moindre chose, pour m’autodévaluer et dévaloriser. Je reste positif à mon égard, quoi qu’il en soit. Je sais, désormais, que ma valeur dépend de ma seule personne et, de ma seule opinion. Non d’autrui, de facteurs extérieurs, ni même de mes propres résultats, réussites et, échecs. Je n’existe que par et, pour moi-même, d’abord. « Charité bien ordonnée commençant toujours par soi-même » !


 

 


18- Ma Minimisation du Positif et
Ma Maximalisation du Négatif
Pessimistes


 

 

§ Mon objectif : je passe d’une réalité d’exagération défavorable, à l’égard des autres et, de moi-même, à celle d’équilibre mesuré, constructif et, productif, quant à moi et autrui.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

À l’issue de ma classe de troisième, je voulais passer en seconde. Or, la professeure principale souhaitait que je redouble. J’ai minoré le positif, en éludant le fait que redoubler me permettrait de combler mes lacunes, car je n’avais pas le niveau d’intégrer le lycée. J’ai dramatisé la situation, en exagérant les conséquences négatives et inconvénients, que je supposais induits. J’en ai terriblement voulu à mon enseignante, qui s’était prononcée contre mon admission en classe de seconde et, m’avait signifié mon redoublement.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* J’éprouve, à l’égard de l’ « enseignante Cassandre », prophète de malheur, messagère des funestes nouvelles, selon moi, un lourd sentiment d’injustice et de rancœur. Cela génère, chez moi, un état de grand malaise vindicatif, de mécontentement et, de réprobation, à son encontre. Je me sens perdant, floué, trahi.

 

Je me convaincs que l’on se moque, se joue de moi, en véritable contrat de dupes léonin. Je me sens maltraité, non pris en compte, méprisé. Je ressasse le fait que mes droits et intérêts, les plus légitimes, sont bafoués, au plus haut point. J’en suis ulcéré, humilié et, malheureux, convaincu de m’être bien « fait avoir ».

 

Je fulmine, aussi, contre le fait que mes propres parents ignorent, délibérément, mes propres souhaits. Je les considère comme ligués contre moi, avec mes « ennemis », traîtres à mes yeux, car se plaçant du point de vue de mes opposants. Non des miens. Ils ne se battent ni, ne me défendent vraiment, pour m’éviter ce que je rejette et redoute, par-dessus tout, mon redoublement, rendu ainsi inéluctable, par leur faute. Selon ma conviction et, ma pensée les plus profondes.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

La déception car j’ai travaillé durement toute mon année. Je pensais donc réussir et, apprenant que ce n’était pas le cas, j’ai été dépité, car je ne m’y attendais nullement.

 

La colère envers l’enseignante, car je trouve son comportement, à mon égard, fort injuste, de parti pris, partial. Car du fait de mon travail et, de mes efforts, je méritais de réussir et, non d’échouer.

 

L’incompréhension à l’égard de mes parents, car alors que je pouvais réussir, il m’a semblé qu’ils ne faisaient pas ce qu’il fallait. Pour me défendre et m’aider, face à l’école, à y parvenir.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

J’ai boudé, je me suis replié sur moi-même, en restant à l’écart des autres, car ma confiance en moi, déjà faible, a été encore plus atteinte. Alors, je me suis senti fort démuni, perdu, désorienté, je me suis donc protégé et réfugié, dans l’enfermement, la solitude et, le silence.

 

Ayant un peu plus surmonté ma déception, j’ai alors reproché à mes parents leur manque, à mes yeux, de réactivité et, de défense de mes intérêts. Je ne me suis pas remis, moi-même, en question ni, n’ai assumé mes responsabilités. Je n’ai pas voulu voir la réalité en face, en raison pure. Préférant la passion d’une illusoire fuite en avant, d’évitement stérile et vain.

 

Je me suis trompé de combat, en me battant contre mes parents, pour une issue me semblant favorable. Celle d’obtenir un redoublement aménagé, moins difficile à supporter, pour moi. Mauvaise solution de facilité, car l’objectif était d’accentuer mon effort, au maximum, non de le diminuer et, le limiter, au minimum. Ainsi, au lieu de me mettre en position de succès, je me conditionnais à un nouvel échec, pire encore que l’actuel.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Refusant de redoubler, de nouveau, après l’avoir déjà subi, en classe de sixième et, manquant de confiance en moi, j’ai été alarmiste. Par pessimisme, défaitisme, négativité, dramatisant la réalité. Je n’ai entrevu que l’aspect déplaisant et, dommageable de la situation, réel ou supposé, à mes dépens, en l’amplifiant démesurément, à mes yeux. J’ai délibérément occulté ce qui était favorable, bénéfique, à mon avantage. En véritable parti pris subjectif, partial, arbitraire, ne prenant en compte qu’une vision partielle, parcellaire, incomplète et, orientée des choses. J’ai manqué d’espérance et, « péché » par catastrophisme.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Certes, cette enseignante s’est durement comportée, à mon égard, mais, en réalité, cela était pour mon bien, ma réussite, m’aider, pour cela. Or, comme je suis mentalement fort, je vais me battre et, trouver, en moi, les meilleures solutions, pour m’en sortir.

 

En vérité, si l’école veut, à raison, me faire redoubler, ce n’est pas pour me nuire. Or, pour m’aider à progresser, avec de meilleures capacités, pour mieux réussir, plus tard.

 

En réalité, mes parents font le maximum, pour me défendre, ainsi que mes droits et intérêts, car mon avantage, pour réussir, est de redoubler. Non d’accéder à la classe supérieure, sans en avoir la moindre capacité et donc, d’échouer ensuite.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

L’apaisement car même si un redoublement n’est jamais une satisfaction, mais une contrariété, j’y trouve motif à positiver. Car, de fait, je me convaincs que la solution envisagée est, pour moi, la seule possible et, la meilleure, en mon intérêt.

 

La résignation positivée car même si je ne suis pas ravi de la solution, je l’accepte malgré tout, pleinement et, de façon inconditionnelle. Car je suis convaincu, sans réserve aucune, que c’est le bien, le mieux et, le meilleur, pour moi.

 

La sérénité car je raisonne objectivement, sans parti pris, avec détachement, de façon pragmatique et positive. Je comprends alors, favorablement, le choix de l’école et, son approbation, par mes parents. Car c’est la condition fondée, pour pouvoir poursuivre mes études, sans y renoncer. Cela va me permettre de m’accomplir, au lieu de rater ma vie.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative pessimiste, de minoration du positif et, de majoration du négatif, au moment des faits : 8/10. Un certain temps après : 5/10. En cours de suivi, actuellement : 3/10. Niveau d’intensité d’émotion positive, de réévaluation favorable et, de limitation du pessimisme, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 8/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Je réagis positivement, en me préparant à l’avenir. Pour cela, je me mets en une position mentale dynamique, continuant à vivre normalement. Envisageant le futur, de façon positive, optimiste, combative, confiante. Conscient que mon redoublement est ma meilleure et, seule chance de salut et, non ma pire perte.

 

Je dis à mes parents qu’ils ont eu raison et, bien fait d’accepter mon redoublement. Car c’est la meilleure solution et façon, pour moi, de combler mes lacunes et, d’améliorer mes performances scolaires.

 

Je me bats pour accepter mon redoublement, tel qu’il doit être et, je me décide à en assumer les difficultés, les efforts nécessaires, les sacrifices induits. Avec courage, résolution, persévérance.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je considère les réalités de ma vie, telles qu’elles sont et, non telles que j’aimerais qu’elles soient. Cela me permet d’être plus objectif, pragmatique, réaliste. Alors, optimiste, positif, confiant. Je me concentre sur ce qui est heureux et réussi, chez moi et, je veille à toujours le maintenir et renforcer. A contrario, j’élude le malheur et l’échec, en les combattant, annihilant, avec énergie, détermination et, succès.


 

 


19- Ma Surgénéralisation
Je Tire des Conclusions Générales
À Partir d’un Fait Particulier


 

 

§ Mon objectif : je passe d’une généralisation excessive et, non fondée, issue d’une réalité mineure, avérée ou, supposée, à une vision dépassionnée. Relativisée, recontextualisée, remise à sa juste place et, sa vraie dimension limitée et, ponctuelle, car non inéluctablement reproductible.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Au lycée, une fille me plaisait beaucoup, je l’avais donc courtisée, lui avais déclaré ma flamme. Malheureusement pour moi, elle m’a éconduit. J’en ai déduit, à tort, que je n’étais « pas assez bien » pour les filles et, qu’alors, avec toutes, je ne pouvais, à l’avenir, qu’échouer.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Dans la vie, notamment, à l’égard des filles, je pense que je suis « mauvais ». Que personne ne veut de moi, que je ne sers à rien. Que je n’ai pas les qualités me permettant de plaire, séduire et, intéresser. Je me considère comme une victime injustement maltraitée.

 

Je me dis que les autres garçons, de mon âge, sont bien meilleurs que moi. Car eux, à mon grand dam, par rapport à moi, savent totalement séduire les filles et, être durablement en couple.

 

Je trouve que cette fille, qui me rejette, est inique et mauvaise de m’avoir écarté. Je pense alors, que toutes les filles sont prétentieuses et, abusent des garçons.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

Le dégoût envers les filles, sans exception, car du fait que je me suis senti rejeté, par une seule, je pense que toutes feront de même, à l’avenir. Également, envers moi-même, car je crois alors, à tort, que c’est de ma faute, que je ne suis pas capable et, n’ai pas les qualités suffisantes, pour intéresser aucune fille.

 

L’envie envers les autres garçons, car je suis convaincu qu’ils s’en sortent mieux que moi, avec les filles. Mon rêve est d’être en couple, comme eux et, même, qu’ils ne le soient plus. Je ne veux plus être « moins bien », mais « aussi bien » que les autres et, même « mieux » !

 

Le ressentiment à l’encontre de cette fille, car à cause d’elle, selon moi, je me suis persuadé, à tort, que je ne pouvais plaire à aucune autre. Du simple fait qu’elle m’avait refusé.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

J’en venais à « me braquer » totalement, à l’égard de tous les autres jeunes, car je leur en voulais qu’ils paraissent, à mes yeux, « meilleurs et, plus forts que moi ».

 

Je finissais aussi, par ne plus oser ni, même avoir envie d’aborder les filles de ma classe, car j’avais peur de me faire encore rejeter. Persuadé que cela était vain, ne me considérant pas comme assez attractif et attrayant, pour cela, à mes yeux.

 

Cette camarade était dans ma classe et, je continuais donc à devoir la côtoyer, chaque jour, alors qu’elle était, en outre, avec un autre garçon. Cela était tellement difficile, pour moi, que j’ai décidé de capituler et, de changer d’école, en plus du fait de mon échec scolaire.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> J’avais dix-huit ans, je n’avais pas encore eu de copine, auparavant. La première fille que je convoite et, qui m’intéresse vraiment me rejette. En outre, mon meilleur ami était déjà en couple, qui plus est, avec une amie. Je me sentais donc moins « capable » que les autres et, cela m’affectait. J’en ai tiré la conclusion, définitive et radicale, que je n’avais aucune attractivité pour personne. Je manquais d’estime, de confiance, d’affirmation de moi. J’ai cru alors, que ce qui n’était qu’une péripétie, provisoire et surmontable, était, pour moi, un lourd handicap rédhibitoire durable, voire permanent.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Ce n’est pas car cette fille m’a dit non, que cela signifie que je ne suis pas « valable ». Cela implique seulement, que je suis fait pour quelqu’un d’autre. Que je vais parvenir autrement, plus tard, en une belle rencontre ultérieure.

 

Je suis autant méritant, que tous les autres garçons de mon âge. Alors, en me battant, pour être plus confiant en moi et, pour rencontrer celle que j’espère, je vais donc finir par y parvenir, aussi bien que les autres.

 

Toutes les filles ne répondent pas à mes critères et, ne me plaisent pas. Il est donc tout naturel que je ne corresponde pas à ceux de toutes et, que je ne leur convienne pas à toutes. Je n’ai pas été rejeté, je ne répondais simplement pas aux attentes de ma camarade. Le genre féminin n’est pas mauvais en soi, pas plus que le masculin. La plupart des filles étant « valables » et, dignes d’estime, j’ai donc toutes mes chances avec l’une d’elles, avec tous espoirs permis, à ce sujet.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

L’espoir car il n’y a jamais de fatalité. Ce n’est pas parce que une chose qui m’importe ne marche pas, que cela sera toujours le cas, à l’avenir. Il est plus que probable que cela ira mieux plus tard. Toute espérance est donc, toujours, à ma portée.

 

La sérénité puisque je sais, en intime conviction, que je vais finir, comme les autres garçons, par trouver l’âme sœur. Alors, même si mes camarades sont en couple, pour certains, mais pas tous non plus, contrairement à moi ou, comme moi, je reste zen. Car au lieu de les envier, je demeure confiant, puisque je sais que « le monde m’appartient », tout autant qu’eux !

 

La force mentale positive, optimiste et, combative. Le fait que je ne réponde pas aux attentes de cette jeune fille signifie, seulement, un fait réjouissant. À l’avenir, je serai comblé avec et, par une autre. De fait, j’ai fini par y parvenir et, je coule, désormais, des jours heureux, avec ma dulcinée !


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative, de surgénéralisation défavorable, au moment des faits : 8/10. Un certain temps après : 6/10. En cours de suivi, actuellement : 2/10. Niveau d’intensité d’émotion positive, de pragmatisme et, relativisation confiante, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 7/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Loin de me décourager, je me bats sur la durée, avec effort, motivation, persévérance et, détermination. Pour parvenir à mes fins, faire une belle rencontre et, être heureux.

 

L’affaire précédente avortée étant définitivement et, sans nul regret, classée, cela me permet fort sereinement de nouer d’autres contacts. De me réserver, ainsi, toutes les meilleures chances possibles, en matière amoureuse.

 

Me sentant mentalement fort et confiant, je passe à autre chose. Alors, le fait de croiser régulièrement celle qui me plaisait, ne me cause plus nulle gêne. Je continue à vivre mon existence au lycée, comme auparavant, comme si de rien n’était et, fort paisiblement.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Tout ce qui se produit, en un sens ou, en un autre, n’a aucune signification, aucune influence, nulle prédiction, pour moi, mon devenir, mes intérêts. Je n’interprète rien, ne suppute pas, ne me perds pas en conjectures. Je vis ma vie, de façon imperturbable et sereine, quoi qu’il advienne. Je suis un acteur combatif de mon existence, qui agit activement, pour la construire. Non son observateur contemplatif passif, qui se contente de l’analyser et, la subit. « Je vis mes rêves, je ne rêve pas ma vie » !


 

 


20- Ma Personnalisation
Je Ramène Toute Chose à Moi
M’attribuant le Négatif, non le Positif


 

 

§ Mon objectif : je passe d’une autocentration défavorable, systématique et excessive, à une décentration de moi-même, plus indulgente, équilibrée. Tout n’est pas de ma faute, j’ai tout autant du mérite. Je le fais valoir et, je cesse de me tourmenter et, m’accabler, à tort et inutilement, de façon désastreuse pour mon épanouissement. Je suis allègre, car raisonnablement fier de moi. Je redresse la tête, m’affirme et, « ne rase plus les murs ».


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Il m’arrive, si je vis une situation gênante, pour moi, en public, de la ressentir très mal. Non, comme un petit incident anodin, pour lequel je n’y peux et, n’y suis pour rien. Or, comme une situation « dramatique et catastrophique », pour moi, de façon très alarmiste et négative. Pessimiste et défaitiste, je m’en sens responsable, coupable et honteux. J’en suis terriblement gêné et mortifié.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je suis bien contrarié et, désolé de croire avoir mal fait, n’avoir pas été à la hauteur, selon moi, et peut-être même avoir nui à autrui. Je m’en veux de toujours croire avoir démérité et, attiré l’opprobre général, alors que je suis valeureux et méritant, comme les autres. Ni plus ni moins.

 

Je me sens coupable d’avoir fait ou non, dit ou pas, ce que je pense, en conscience, qu’aurait dû être mon comportement approprié, mon légitime devoir. J’ai le douloureux sentiment que les autres me désapprouvent toujours. Du fait que, par préjugé défavorable contre moi, j’ai tendance à interpréter, en ma défaveur, tous les signaux, à mon égard, venant des autres. Qu’ils soient négatifs, neutres ou, même positifs. N’ayant pas confiance en moi, je ne m’aime pas assez. Me percevant médiocrement, je me juge trop durement et, me rejette.

 

Je me dis que je me sens misérable, indigne, déchu. J’ai le sentiment que les paroles d’autrui, me concernant, sont forcément hostiles, incompréhensives et, désapprobatrices. Ne croyant pas assez en moi, mes capacités, ma valeur personnelle, je doute, m’accable et, me persuade alors, à tort, que la terre entière m’en veut et, me le reproche.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

La colère contre les autres, car je les perçois comme passant leur temps à me dénigrer, rabaisser, maltraiter et, moquer. J’avais aussi du ressentiment contre moi-même, car du fait de la déconsidération des autres, à mon encontre, je me persuadais que j’étais en faute, responsable de cela. Du fait de ne pas être suffisamment fort, pour être respecté et, bien vu, me défendre et, m’affirmer.

 

Un sentiment de solitude car je me sens esseulé, abandonné, délaissé, voire rejeté par les autres. Du fait que je ressens qu’ils ne me jugent pas digne de faire partie de leur groupe. Ils m’en excluent, par des vexations, remarques désobligeantes et, mauvais comportements, à mon encontre.

 

La honte du fait de me sentir, à tort ou à raison, mauvais, car je me persuade de ne pas avoir été à la hauteur et, je m’en sens coupable. Je me perçois comme indigne et déchu, de ne jamais être capable, selon moi, de bien faire, d’être apprécié, de réussir et, d’être heureux.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Je me replie sur moi-même. Dans le passé, en situations similaires, honteuses et difficiles, pour moi, j’en ai beaucoup souffert, alors, je ne veux pas que cela se reproduise. Je me protège, en restant à l’écart, pour ne pas revivre et, pour m’éviter les même réalités douloureuses, pour moi.

 

Je me réfugie dans le silence, car je crains que si je m’exprime et, me manifeste, cela va être encore pire, pour moi. Doutant de mes capacités, à bien me faire comprendre et accepter, je préfère m’abstenir. Pour me prémunir des possibles mauvaises réactions des autres, à mes dépens.

 

Si je me trouve en une situation, en laquelle je ne connais personne, sauf un ami, j’évite tout contact avec autrui, sauf avec lui. Les inconnus m’inquiètent et, seuls les familiers sûrs me rassurent.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Par doute excessif, sur moi-même, ne croyant pas assez en moi, quand je suis confronté à la moindre difficulté, je l’exagère, m’accable excessivement. Me sentant trop responsable de tout et de rien. Je me convaincs d’une indignité absolue, que je crois être mienne, alors que généralement, je n’ai en rien démérité. Le pire ? C’est que je le sais bien, sans pour autant savoir et, pouvoir me corriger !


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Même si la situation est délicate et, même si j’y ai une part de responsabilité, je relativise, je résous les choses et, j’avance. Si la réalité n’est pas aussi critique que je le crois et, que je n’y suis pour rien, j’en prends acte, je positive et, je passe à autre chose.

 

Quelle que soit la situation me concernant, aussi difficile soit-elle pour moi, même si j’en suis responsable, il convient de faire face. Je l’assume pleinement, de la meilleure façon possible. Sans me laisser en rien intimider, par l’attitude ou, l’opinion des autres, à ce sujet et, à mon égard.

 

En conscience, je me dis que l’essentiel est de faire au mieux, en personne de bonne volonté et, « honnête homme ». Comme j’estime que cela doit être, en mon for interne, quelle que soit l’opinion des autres, à cet égard. Car je me suis comporté de la façon la meilleure, à mes yeux, même si cela n’est pas parfait.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

L’indulgence : Même si mes amis se sont mal comportés, à mon encontre, je leur pardonne et, reste positif, en moi-même. Je suis confiant dans le fait que cela ira mieux, pour moi. Car je sais faire face, me faire respecter et, mener autrui à être bienveillant et bienfaisant, à mon égard. Comme je le suis toujours, par nature, principe et, devoir, envers tous.

 

La plénitude car ayant appris à m’aimer, m’accepter, être au mieux, avec moi-même, il en va de même, avec autrui. Cela fait que les autres m’acceptent, m’apprécient, me gratifient. Alors, mes relations avec eux sont positives et, épanouissantes, pour moi, comme pour eux.

 

La satisfaction de savoir pacifier et, bonifier mes liens, avec tous et, de toujours avoir un comportement positif, à l’égard des autres et, de moi-même. Ainsi, je transcende et, j’embellis ma façon d’être, de faire, d’avoir, de paraître, quant à moi-même et, autrui.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative, de personnalisation défavorable, au moment des faits : 9/10. Un certain temps après : 7/10. En cours de suivi, actuellement : 2/10. Niveau d’intensité d’émotion positive, de décentration de moi-même sereine, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 9/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

J’affronte résolument les autres et, le monde, de façon allègre, sans me dérober, car je suis fort mentalement. Je suis plus ouvert à autrui, car je ne reste plus replié sur moi-même. Je suis capable d’aller vers tous, de m’affirmer, d’être parfaitement à l’aise, avec moi-même et autrui. Ce qui fait que désormais, mes rapports avec mes semblables humains « se passent au mieux, dans le meilleur des mondes possibles ». Tout en reconnaissant et acceptant, que tout ne puisse toujours être parfait, la perfection n’étant pas de ce monde. Je suis imparfait comme tous et, cela n’entame jamais, pour autant, ma sérénité.

 

Quelles que soient les difficultés me concernant, je fais toujours l’effort d’agir, pour les régler, au fur et à mesure qu’elles se produisent. Au lieu de fuir, faire l’autruche, procrastiner, je m’affirme, en disant ce que j’ai à dire, faisant ce que je dois faire, étant ce que je dois être. Je prévois, prépare, choisis, décide, puis, j’agis au mieux. Ensuite, je peux ainsi passer à autre chose, de façon satisfaite, comblée et, sereine.

 

En soirée, même si je ne connais personne, sauf un ami, j’évite de ne rester qu’avec lui et, je vais plutôt vers les autres, encore inconnus. Pour faire de nouvelles rencontres, relations, amitiés enrichissantes. Déjà, profiter pleinement de ma soirée, en confiance, aisance et, ouverture d’esprit maximales.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je cesse de ne me préoccuper négativement, que des « drames du monde », liés à ma personne ou non, réels ou supposés. Je me concentre prioritairement sur les « joies de l’univers », plus souvent avérées que ses malheurs. Plus liées à mes interprétations subjectives, qu’aux réalités objectives. Mon bonheur dépend donc, surtout, de moi-même et, cela est très réjouissant et rassurant, pour moi !


 

 


21- Ma Pensée Dichotomique
Tout ou Rien, Noir ou Blanc
Bon ou Mauvais…


 

 

§ Mon objectif : je passe d’une vision de la/ma vie extrémiste, caricaturale, manichéenne, bipolaire, à une conception nuancée, ouverte, équilibrée, modérée. Cela me permet d’accéder à tous les champs du possible, sans me restreindre ni, me fermer des horizons. Ainsi, j’opte pour la tolérance humaniste, universelle et, intemporelle, loin de tout sectarisme totalitaire.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Dans le passé, concernant certains de mes amis, en fonction des situations et, de ce que je percevais d’eux, j’avais tendance à les considérer de façon extrême. De même que notre amitié. Tantôt comme de parfaits amis, tantôt comme d’exécrables ennemis.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je me dis que j’ai envie de me venger salement, en leur faisant payer certaines de leurs attitudes mauvaises, à mon égard. Je rumine de vilaines pensées de revanche, rétorsion, vindicte.

 

J’estime que mes amis ou, supposés tels sont abusifs, toxiques et, malfaisants, pour moi. Faux amis maltraitants, ne méritant pas mon amitié, la trahissant et, abusant de ma bonté excessive.

 

Je pense que la situation devient injuste et insupportable, pour moi, que je me fais avoir, subis l’intolérable. Que je ne sais pas me défendre, me protéger, éviter les abus. Que je suis trop bon et, trop faible, impuissant, à l’égard de ces garçons, que je ressens comme trop dominants, à mon égard.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

La colère contre ceux qui me nuisent, car au lieu de me soutenir, en amitié, ils me maltraitent et, me nuisent, en éludant systématiquement mes difficultés. Les aggravant, tout au contraire, par leurs basses et viles manœuvres, à mes dépens.

 

La déception car j’étais en droit, de la part de supposés amis, d’avoir de bons comportements loyaux et amicaux. Non pas hostiles et mauvais, dignes d’ennemis. J’en suis donc très amer, dépité et, défait.

 

L’envie à l’égard de mes faux amis maltraitants, car je les considérais comme bien plus forts et, à l’aise, que moi. Je rêvais alors d’être comme eux, sûr de moi, dominateur et, objet de considération.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Souvent, quand je considérais que mes amis se comportaient mal, avec moi, j’avais très envie de les quitter brusquement, sur-le-champ. Il m’arrivait même de le faire, de façon brutale, inopinée, comme un voleur coupable, en fuite.

 

De temps à autre, de crainte de mauvais procédés, à mon encontre, je me repliais sur moi-même et, restais mutique et maussade. Restant sur le qui-vive, pour me protéger. Semblant justifier ainsi mon ostracisme, devenant moi-même désagréable, preuve supplémentaire de ma faiblesse et, mon impuissance.

 

Quand ces faux amis dépassaient toutes les bornes de la bienséance, me maltraitant tout particulièrement, je pouvais alors exploser de fureur. Or, comme ils réagissaient encore plus durement, contre moi, je me renfermais encore plus, sur moi-même. Capitulant sous l’affront, encore plus malheureux, démuni et, défait.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> La relation avec mes « amis » s’est altérée, car nous étions trop souvent ensemble. Sans assez de distanciation nécessaire, pour « aérer » les liens noués. Je les considérais de façon dichotomique, car ils étaient « infects » avec moi. Également, tout autant, car faute d’estime, de confiance, d’affirmation de moi, je me dévalorisais, subissais et, me sentais mal. Me voyant faible et, eux dominants, en une vision très primaire.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Je réfléchis à trouver la meilleure solution pacifique, pour ne plus subir les dérapages inacceptables d’autrui, contre moi. Je parviens à me faire respecter, de façon inconditionnelle et, systématique. Sinon, je mets définitivement fin à la relation toxique. Selon ce qu’il est possible de faire et d’obtenir, pour le mieux, à mon avantage. Pour défendre mes droits et, intérêts légitimes, sans pour autant nuire à ceux des autres ni, à eux-mêmes, en pleine assertivité.

 

Même si mes amis ont trahi ma confiance et, ont démérité à mon égard, je retiens surtout, en notre relation, le meilleur. Je dépasse le reste, faisant en sorte que ce soit, désormais, le meilleur de l’amitié qui prévale, en notre relation et, que le pire soit toujours exclu.

 

Je suis certes, l’objet d’abus intolérables, mais, pour autant, je ne vais pas me complaire, à me considérer comme une pauvre victime qui subit. Or, je vais tirer parti de cette épreuve surmontable, pour me renforcer mentalement, tirer tous les enseignements utiles de la situation. Pour changer positivement ma vision des choses, passer de l’état du perdant passif qui subit, à celui du gagnant acteur de sa vie et, qui la domine, avec brio. Seuls les états gagnant-gagnant, avec autrui, sont acceptables. Je rejette toujours les situations perdant-perdant, gagnant-perdant et, perdant-gagnant. En une volonté permanente d’équité, d’égalité et, de souveraineté, de tous entre tous.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

La réserve positive, à l’égard de mes amis et, de leur attitude, à mon égard. Même si je constate leurs dérives, je prends sur moi, pour me contenir, relativiser, me distancier. Cultiver le meilleur de l’amitié, malgré tout. Prenant conscience, tout à la fois, du bon et, du médiocre du lien. Ne voulant retenir et, privilégier, malgré tout, que le meilleur, plutôt que le pire.

 

La paix intérieure, car je suis capable de pardonner, avec indulgence, dans la fermeté. Je conserve le meilleur, sais faire la part des choses. Surtout, je suis capable, désormais, de bien me protéger des écarts, à mon encontre et, de les contrer, avec efficacité.

 

La plénitude car même si j’ai conscience de mes difficultés, cela ne m’empêche pas, pour autant, de me sentir valable, capable, valeureux, à mes yeux et, quant à autrui. Nous sommes tous égaux, en droits et devoirs, qualités et défauts, réussites et échecs, inhérents à tous les humains. Ma valeur ne relève pas de mes failles, mes succès, de ce que je fais, j’ai, je parais ou, pas, mais de ce que je suis, par moi-même, en tant que vivant unique.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative dichotomique, au moment des faits : 7/10. Un certain temps après : 6/10. En cours de suivi, actuellement : 2/10. Niveau d’intensité d’émotion positive, de nuance et d’équilibre, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 9/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Même si mes amis me font souvent du mal, pour autant, je ne fuis pas les choses, je fais face, je me bats résolument, pour que cela aille mieux. Pour obliger autrui à me respecter, cesser de me nuire, sans être passif ni, abusif moi-même, pour autant. Alors, je leur dis ce qui ne va pas, ne me convient pas, je leur demande de changer et, de mieux faire. Nous trouvons la meilleure solution équitable, pour tous, ensemble et, je veille à ce qu’ils s’amendent et, ne récidivent pas.

 

Je préviens mes amis, à leur moindre incartade, je fais en sorte de me faire toujours respecter. Alors, je suis à l’aise et serein, dans mes liens amicaux. Ce qui me permet de me sentir bien, avec moi-même et, avec les autres. Sans me considérer vulnérable, menacé et, indigne, en permanence, de façon victimaire et paranoïaque.

 

Si je suis déconsidéré et malmené, de nouveau, par mes amis, je les oblige, fermement et calmement, avec assurance, à cesser tout net. Ce qui restaure la concorde, de façon juste et satisfaisante, pour tous. En exigence, tout en restant ouvert, positif et, guilleret. Sinon, je les abandonne tout net, sans états d’âme, à leur mauvais sort de piètres faux amis, ne méritant pas mon amitié loyale, quant à elle.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je suis sorti de tout manichéisme primitif, en m’enrichissant désormais, de ce qui me nourrit de façon bienfaisante, transcendante, noble. Délaissant, à tout jamais, tout ce qui me dessert, dans le registre moral de la médiocrité, la bassesse, la laideur. Ainsi, je m’élève spirituellement, ne m’abaisse plus au rang des turpitudes et, vilenies de ce monde. Tout ce qui est excessif étant insignifiant.


 

 


22- Mon Mauvais Stress Paralysant


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un état permanent de tension nerveuse préjudiciable, à celui d’une plénitude sereine, apaisée, confiante. En étant détendu, paisible, imperturbable, tout en faisant face, résolument, à mes obligations, l’adversité, les déconvenues.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Aujourd’hui encore, concernant les entretiens ou, les oraux d’examens, à l’école, j’éprouve toujours un minimum de stress négatif, le distress et, de nervosité déstabilisants. J’en perds tous mes moyens, je me sens submergé par un malaise incoercible, tant je me persuade du pire, pour moi et, de mon fatal échec.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je suis très impressionné par les devoirs de moyens, de résultats, performances, auxquels je dois faire face et, répondre. Cela me déstabilise, me paralyse, m’intimide. Je me dis que je suis démuni, perdu, impuissant, à me confronter à ce qui me paraît être une épreuve insurmontable, pour moi.

 

Alors, je me persuade que je vais être incapable de réussir, ce qui est attendu de moi. Que je vais échouer, de façon lamentable et pitoyable. Que je vais être ridicule et, que ma nullité va éclater au grand jour, à ma plus grande honte.

 

Les conséquences de mon inaptitude et, de mon échec, aux examens, vont être terribles et désastreuses, pour moi. Je vais rater toute mon année d’études et même, ultérieurement, mon obtention de diplôme. Catastrophe annoncée et, insuccès de toute ma vie professionnelle, à venir !


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

Le malaise psychique devant mes examinateurs, tant je me sens indigne et misérable, face à eux. J’ai l’impression de perdre la face, en me déconsidérant tant, à leurs yeux, selon moi. Cela me donne encore plus envie de « disparaître de la surface de la terre ».

 

La honte et, la culpabilité de ne pas être capable de réussir quoi que ce soit, de m’assurer un échec inéluctable, de me considérer comme si mauvais. Je me condamne ainsi, sans appel ni indulgence, en tout et pour tout. Cela me navre profondément.

 

L’angoisse absolue, d’être convaincu de toujours tout échouer, en ma vie, de façon inexorable et inéluctable. Je me sens condamné, à l’avance, au pire, sans jamais pouvoir vivre le meilleur. Cela me terrifie et, m’enferme en un état de panique, de détresse et, de désespoir quasi permanent.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Convaincu du pire, pour moi et, de mon impuissance, mon incapacité à réagir, je me replie craintivement sur moi-même. Je ne tente même pas de faire front et, de mettre en œuvre la moindre action, pour m’en sortir. J’entérine et j’accepte, à l’avance, ma déconfiture annoncée, par moi-même et moi seul, en victime passive expiatoire.

 

Au lieu de redresser la barre, je m’enfonce encore plus, bredouille, bafouille, perds mes moyens. Je ne sais que faire ni, que dire, je me décompose et, je m’effondre, totalement et définitivement vaincu. Au lieu d’être combatif, face aux vents contraires, j’opte pour la fuite, l’évitement et, la renonciation. Au lieu de me galvaniser, mes épreuves me tétanisent, je me perds moi-même !

 

Je m’enferme en une configuration infernale, celle du pire. Laquelle consiste à être défaitiste, résigné, renonçant au meilleur, faute de m’en sentir digne. Je perds toute confiance en moi et, mon avenir, suis prêt à tout abandonner. Me condamnant ainsi, sûrement, à une déchéance qui me semble méritée. Je me punis moi-même, de façon autopunitive et, masochiste. L’idée de poursuivre le combat, plus que jamais, ne me vient même pas à l’esprit.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Je suis sujet au stress, du fait que dans le passé, ayant peu confiance en moi, je paniquais fort. Quand il y avait obligation de performance et de réussite, de moyens et de résultats. Alors, aujourd’hui encore, même si cela « va un peu moins mal », les choses me reviennent en mémoire et, le tout m’inquiète encore fort. Les démons du passé me hantent, encore et toujours, troublent mon présent, compromettent mon avenir. D’où ma nervosité récurrente.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Avant toute occasion de stress, je veille à avoir des pensées positives, optimistes, combatives, concernant ce qui m’inquiète. Je me dis que je dispose, en moi-même, de tous les atouts, capacités, qualités, pour faire face et, être en les meilleures dispositions possibles.

 

Je me convaincs donc, que j’ai ainsi toutes chances d’être serein, confiant, de bien me battre, affronter les difficultés et, alors, vaincre, réussir, être heureux. Je crois en ma victoire, je suis alors assuré de l’obtenir.

 

Je vais réussir, parvenir à mes fins, être satisfait de moi, des autres, de ma vie. Tous les espoirs subséquents me sont donc permis, en plénitude existentielle assurée, jusqu’à la fin de mon parcours terrestre. Quels que puissent être mes difficultés, déconvenues, déceptions, échecs, inhérents à toute réalité humaine.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

Ayant des pensées plus positives, cela me permet de relativiser et, donc d’influer favorablement sur mes émotions, pour qu’elles soient bienfaisantes. J’éprouve alors de la plénitude.

 

La fierté d’être moi-même, tel que je suis et, non tel que j’aimerais être, sûr de moi et, de ma réussite. Ce qui assure cette dernière, ne faisant ainsi que renforcer, plus encore, mon sentiment d’assurance et, de contentement.

 

La paix intérieure et, la joie de m’attendre, de façon convaincue et assurée, à une vie entière placée, par moi-même et, mon optimisme, sous les plus favorables auspices. Celles du meilleur et, plus grand accomplissement de moi-même, par le sens valeureux, que je donnerai à toute mon existence.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative de stress, au moment des faits : 8/10. Un certain temps après : 4/10. En cours de suivi, actuellement : 2/10. Niveau d’intensité d’émotion positive de plénitude, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 8/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Étant plus serein, je suis donc plus capable de me comporter, de façon plus adéquate et positive, donc réussie. Je me fixe des objectifs de vie et, les meilleurs, les plus adéquats, pour moi, paisiblement.

 

Ayant choisi ce qui me convient, je décide de mon action et, je l’entreprends résolument, m’y tiens, jusqu’au bout, avec succès et, de façon tranquille. J’ai surmonté tous les écueils rencontrés, car je suis resté, en permanence, en un état d’esprit rasséréné.

 

Le but atteint avec brio, je continue le combat, indéfiniment, pour ne pas perdre le bénéfice de mes acquis et, en garantir la pérennité. Le tout a été permis, par ma maîtrise de moi-même et, mon calme sans faille permanent.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Quelles que soient les duretés, épreuves et, difficultés de ma vie, je reste « zen », par principe et, philosophie existentiels. Cela me permet d’affronter et, de vaincre tous les aléas de mon passage ici-bas. Je ne suis plus ainsi stressé à l’excès et, perturbé, paralysé, mais impavide, proactif, d’humeur égale. Prêt à relever et, gagner tous les défis, qui se présentent à moi.


 

 


23- Mon Anxiété et ma Peur


 

 

§ Mon objectif : je passe d’une inquiétude sourde permanente, à un état de « béatitude » éternelle, sans faille. Par principe, raisonnement, travail sur moi-même, autosurveillance de chaque instant, je décide de remplacer mon effroi naturel, par l’apaisement. Croire en moi, mes capacités, ma certitude de savoir faire face, résoudre mes difficultés, m’en sortir, me permet ataraxie, équanimité et, eudémonisme. Paix de l’âme, égalité d’humeur, bonheur existentiel.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Étudiant en une école d’art appliqué, quand il y a surcharge de travail, je suis très anxieux. Chaque fois que j’ai trop de travail à accomplir et, donc d’inquiétude, je crains de faire une crise d’épilepsie, de rechuter. Car je peux y être sujet, en pareil cas. Je panique vite, quand j’angoisse à l’idée d’être dépassé, débordé, submergé, de m’effondrer. D’où ma peur grandissante et, paralysante afférente.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je ne maîtrise pas ma charge de travail scolaire, les impératifs qui en découlent, mes capacités académiques de réussite liées. Je crains d’être écrasé par eux, au lieu d’être assuré de les dominer et, les vaincre.

 

En ces conditions, cela est certain pour moi, je vais finir par tomber malade, refaire des crises cérébrales, comme par le passé. Malgré mes médicaments habituels, préventifs et efficaces. Alors, je vais rater mes études et, connaître l’échec.

 

Je ne pourrai, de ce fait, pas faire le métier que j’ambitionne tant. L’ensemble de ma vie sera compromis. Je devrai travailler par défaut et, non par adhésion, sans vocation ni passion. Je m’attends donc au pire et, cela me déprime profondément


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

L’insécurité car je me sens en l’incapacité de mener à bonne fin mes obligations d’études. Cela est très inconfortable, déroutant et, déstabilisant, pour moi, avivant toutes mes craintes, en la matière.

 

La peur irrationnelle du présent et, de l’avenir, suite aux craintes du passé. Je suis inquiet, en permanence, de tout et de rien, surtout, quand j’ai des objectifs cruciaux à atteindre et, réussir. Des obligations de performances et, résultats. Cela me gâche la vie.

 

Je me sens abattu et déprimé, car je suis convaincu que mon avenir est compromis, que mon existence sera ratée. Du fait que je crois que je n’aurai pas la vie que j’espérais, le métier que je voulais. Par certitude autoprédictive négative de mon échec à venir, inéluctable, à mes yeux.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Face à mes devoirs d’études, je me décourage facilement, renonce, ne sais que faire. Je ne sais comment bien m’organiser, gérer mon emploi du temps, je me laisse aisément et, rapidement déborder. Je fais mal, trop lentement, insuffisamment, voire pas du tout. Peu à peu, je me laisse paralyser, je perds pied, m’effondre et, ne fais plus rien.

 

Au lieu d’affronter mes difficultés, pour les résoudre au mieux, je pratique l’évitement, la fuite en avant, la passivité. Je me détourne de ce qui me fait peur, renforçant ainsi mes craintes. Je fuis en l’irréalité d’occupations inutiles et, contre-productives. Comme certains loisirs, sans valeur ajoutée ni, réel intérêt ou, enrichissement personnel.

 

Persuadé du pire à venir, je renonce à tout espoir, toute lutte, je m’enferme en mon monde intérieur, empli d’effroi et, de négativité. J’envisage déjà, par anticipation défaitiste, un futur sans ambition, sans joie ni, épanouissement. Je renonce à tout bonheur et, j’envisage déjà fortement une existence morne, terne, au rabais, en pur misérabilisme de mauvais aloi et, injustifié.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Ne croyant pas en ma valeur et, mes capacités, je me dévalorise, j’étais persuadé que je ne pourrais pas m’en sortir ni, faire face, d’où mon anxiété. Je sais que les crises d’épilepsie m’ont laissé un souvenir pénible, qu’elles sont déclenchées par un excès de tensions et, pressions. Cela me fait présager le pire et, c’est ce qui m’alarme fort. D’autant que je suis pessimiste, par nature et tempérament.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Je me raisonne. Au lieu de ne voir que le problème, je vois la solution, en m’organisant à l’avance, en mon esprit. Pour être en mesure, malgré tout, de faire face, avec la configuration qui m’est imposée, en confiance et performance. Je travaille efficacement, avec méthode, résolution, ténacité, sans jamais renoncer. Je m’assure ainsi le succès, car je crois en lui.

 

Je relativise et me rassure, en me disant que depuis cinq ans que je prends mon médicament, je n’ai pas fait une seule crise. Qu’il est donc très efficace et, me protège assurément du pire. En outre, en cas de grande tension, j’ai appris et, je sais comment me détendre, pour prévenir avec succès tout risque d’accident.

 

Je suis encouragé, motivé, rassuré, confiant, car mon succès aux examens étant le plus probable, par mon travail et, mon talent, tout espoir m’est permis. « La chance sourit aux audacieux » et, cela leur garantit leur réussite de vie. Je suis donc convaincu que mon avenir est tout tracé, comme je l’ai envisagé et voulu. Avec le métier de mes rêves, suite aux études liées, que je veux et vais réussir, une vie heureuse et accomplie !


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

Au lieu de me laisser aller à des émotions pénibles négatives, défaitistes, pessimistes, je cultive des émotions plus favorables de réussite. Pour me mettre en position mentale de gagner, non de perdre. Je me sens en sécurité, car je maîtrise et, domine mes études, œuvrant pleinement à leur succès.

 

Je reste positif, je prends conscience de mes émotions négatives et, inquiètes. Je les analyse posément, puis, je les remplace par des émotions plus rassurantes et calmes, pour décompresser et m’apaiser. Ainsi, je passe de la panique à la sérénité. Par confiance et, foi en moi et mes capacités.

 

Je suis épanoui car je sais que je vais parvenir à mes fins. M’étant donné les moyens de réussir mes études, je serai diplômé. Alors, bon métier afférent et, vie accomplie, selon mes vœux, m’attendent assurément et, me reviennent de droit. Cela me réjouit le cœur et, me porte, chaque jour, dans l’allégresse.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative d’anxiété, au moment des faits : 7/10. Un certain temps après : 4/10. En cours de suivi, actuellement : 2/10. Niveau d’intensité d’émotion positive de « béatitude », après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 7/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Étant fort, en mes pensées et émotions, je me rends capable de choisir, décider, d’agir et, de façon adéquate, sur le terrain. M’étant ainsi encouragé, je me mets au travail, sans états d’âme négatifs. Faisant courageusement tout ce qu’il y a à faire, intégralement, jusqu’au bout. Jusqu’à ce qu’il n’y ait plus rien à accomplir.

 

Je fais face au mieux et, efficacement, en m’obligeant à me détendre, par des exercices de relaxation adaptés et apaisants. Alors, étant plus « zen », j’agis activement, de façon positive et réussie, pour atteindre, au maximum, mes objectifs. Mon travail scolaire est désormais méthodique, efficace, fructueux.

 

Je ne renonce à aucun de mes idéaux, rêves, aucune de mes ambitions à venir. Plus que jamais, j’y crois, les cultive, les garantis, par mon labeur et, mes efforts de travail scolaire. Je veux, légitimement, la vie future, à laquelle j’aspire. Par ma force mentale de conviction, mon acharnement à parvenir, je réussirai pleinement, selon mes vues.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Ma peur ne vient que de ma crainte et, ma conviction de ne pouvoir faire face et, m’en sortir. Assuré du contraire, je suis serein, heureux, confiant. Je sais que je fais tout ce qui est en mon (grand) pouvoir, pour avoir la meilleure existence possible. Cela m’emplit de paix et, de joie. Alors, que demander de plus et, de mieux, quand l’essentiel m’est acquis, par force de conviction positive invincible ?


 

 


24- Mon Émotivité Excessive


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un état d’hypersensibilité émotionnelle, à une bonne régulation et, tempérance de mes affects. Je cesse de tout ressentir au premier degré, de façon bouleversante. Prenant du recul, de la distance, par rapport à mon intériorité psychique et, tout ce que je perçois de l’extérieur. Ainsi, j’évite les ressentis extrêmes déstabilisants, des plus pénibles aux plus heureux.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Pendant mes études primaires et secondaires, au collège, j’étais très et trop émotif, du fait des exigences scolaires et, d’être harcelé par un camarade. Cela accroissait mes manifestations émotionnelles douloureuses.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* J’ai des difficultés scolaires et, relationnelles avec un condisciple et, cela me gâche la vie. J’en souffre d’autant plus que je ne sais pas affronter cela et, que je me convaincs que je ne m’en sortirai pas. Assuré que je serai vaincu et, que l’avenir sera encore plus dur pour moi.

 

Je me dis que tout ce qui m’arrive négativement est de ma faute, je m’en veux pour cela, d’être aussi mauvais en tout et pour tout. Je pense que je ne m’attire toujours que le pire, jamais le meilleur.

 

Puisque je me sens et crois voué au pire, de façon impuissante, la moindre tentative pour mieux vivre est inutile. Elle finirait même par se retourner contre moi. Alors, je préfère encore subir passivement et, ne rien faire, plutôt que réagir et proagir activement.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

La tristesse de me croire condamné à l’avance et, à vie au pire, privé, à tout jamais, du meilleur. Convaincu que ce que je vis négativement actuellement, ne pourra que se reproduire ailleurs, autrement, ultérieurement. De façon infinie, en véritable malédiction définitive, à mon encontre.

 

La culpabilité car je me considère comme étant tellement affreux, que je crois que c’est moi-même qui m’attire, par ma nullité, mes châtiments. Je suis puni pour ce que je suis et fais : un perdant faible et inférieur.

 

Le fatalisme car j’ai tellement peu foi en moi, mes capacités, mon destin, que je ne crois en rien ni personne. Puisque rien ne sert à quoi que ce soit, que je suis « maudit », selon moi, que je ne peux rien attendre de bon pour moi, je préfère renoncer à tout. Je me retire de ce monde, si hostile et mauvais pour moi.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Je fais l’inverse de ce que je devrais faire, au lieu d’améliorer ma situation, je l’aggrave. Au lieu de travailler en mes études plus et mieux, je le fais moins et moins bien encore. Au lieu de neutraliser celui qui me harcèle, je le laisse faire et, l’encourage ainsi à persister et, à faire pire encore.

 

Je suis moi-même mon pire ennemi, en me traitant si mal. Je courbe encore plus l’échine, me maltraitant moi-même encore plus. J’accepte tout et son contraire, n’importe quoi et qui, au lieu de n’opter que pour ce qui me convient véritablement.

 

Je sabote mon avenir, en y renonçant de moi-même. Je vivote au présent, au lieu de vivre. Je refuse d’envisager de grandes choses pour mon futur, ne pensant possibles que les plus petites. Je n’envisage donc pour moi que le médiocre. Je me contente de peu, pour toujours, alors que je pourrais vouloir et obtenir bien mieux !


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Manquant d’assurance et, de foi en moi et mes capacités, le contexte étant en outre hostile, cela me désavantage fort. J’ai alors tendance à exacerber toutes mes émotions négatives, en moi-même et, à en souffrir. Je suis maladivement hyperémotif et hypersensible, ce qui perturbe, brouille, parasite toute mon existence et, moi-même. Cela me conduit à être maladroit et, inadapté à beaucoup de choses, réduit mes réussites et mes bonheurs.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Je cesse de nuire à mon esprit, en me décourageant par des pensées négatives. Lesquelles me font croire que je dois subir passivement ce qui me fait souffrir. Je fais plutôt un travail de raisonnement sur moi-même, en me renforçant mentalement de façon combative, pour faire face à toute situation.

 

Mes failles psychiques ne m’aident pas à bien vivre et réussir. Pour autant, je peux parfaitement les résorber et m’en sortir. Je ne suis pas voué au pire, mais au meilleur.

 

Je suis le conducteur de ma propre vie, alors je ne me laisse plus mener. Je prends l’initiative de tout ce qui me concerne et, ne me laisse plus rien dicter ni imposer. Je suis le seul responsable et l’unique autorité de moi-même.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

Au lieu de me laisser envahir par mes émotions négatives et pénibles, qui me paralysent, je privilégie plutôt les émotions plus favorables. Pour relativiser et mieux vivre ma vie et, mieux me défendre contre les abus d’autrui, à mon encontre. Je suis donc heureux de me positionner et, d’aiguiller mon existence à ma guise.

 

Le contentement de savoir que mes difficultés ne sont pas dues à des fautes, de ma part, mais à des causes qui me dépassent et, ne sont pas de mon fait. L’essentiel n’est pas la cause ni le problème, mais la réalité et la solution, cela est bien rassurant pour moi.

 

La détermination car mon état difficile n’est pas irréversible, mais positivement transformable. Je peux donc le modifier à ma guise, pour le bonifier, ce qui est prometteur, bénéfique, exaltant.


 

x Niveau d’intensité négative d‘émotivité excessive, au moment des faits : 9/10. Un certain temps après : 3/10. En cours de suivi, actuellement : 2/10. Niveau d’intensité positive d’émotivité régulée, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 8/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Ayant commencé à raisonner plus positivement et, cultiver des émotions plus saines, je suis alors plus capable d’agir plus efficacement. N’ayant plus peur de me manifester et de persévérer, je peux et sais affronter l’adversité. Au lieu de fuir, je me bats adéquatement, avec détermination et, je m’en sors plus et mieux, toujours !

 

Je cesse de me détruire moi-même et, je me reconstruis plutôt. Je rebâtis ma vie « pierre à pierre ». Je rejette ce qui me dessert et, je choisis toujours ce qui me convient le mieux et, m’est le plus bénéfique. Je me bats pour cela et, le mets résolument en œuvre. Ainsi, je deviens gagnant de moi-même et, de mon existence, au lieu d’en être l’éternel perdant.

 

Je regagne du terrain sur moi-même en voulant, croyant, préparant un avenir en grand et non en petit. Je cesse de me laisser envahir par des affects excessifs, ravageurs, paralysants. Je suis plus indifférent, distancié, impavide, par rapport à tout et tous. La raison pragmatique et objective l’emporte sur la passion irréaliste et subjective. Alors, je suis plus serein, actif et, en réussite de vie.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je pratique le lâcher-prise, le détachement, le recul. Je ne suis plus esclave de mes états d’âme tourmentés. Je suis indifférent aux contingences, car elles ne m’atteignent plus, refusant de l’être. Je domine ma vie, au lieu d’en être écrasé.


 

 


25- Mon Sentiment de Fragilité


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un syndrome de faiblesse, fragilité, perdition, à un état de solidité mentale, de renforcement moral et, d’assurance personnelle. De façon inconditionnelle, systématique, par principe absolu. Dans les joies et les peines, les réussites et les échecs, les difficultés et les plénitudes.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Au collège, j’étais harcelé par un enseignant, qui émettait à mon égard des exigences abusives, me causant ainsi tort et mal. J’étais assuré d’être en mon bon droit. Pour autant, je me sentais à sa merci, craignant et m’attendant toujours au pire de sa part.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je suis victime d’un abus de pouvoir qui me nuit fort, de façon illégitime, alors que je n’ai rien fait pour m’attirer un tel opprobre. Cela est très injuste, m’atteint profondément et, me déstabilise.

 

Je suis un jeune élève, donc en position subalterne et d’obéissance, face un enseignant, personne ayant autorité et préséance sur moi. Je ne sais donc comment me défendre, me protéger, me faire rendre justice, d’autant que je manque cruellement d’assurance. Je suis dominé et défait.

 

Je suis donc assuré, par avance, de perdre la partie, que je riposte ou, que je capitule. Cela me démoralise, car je vais devoir subir injustement la volonté de l’enseignant. Si je proteste, je serai encore plus durement sanctionné.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

L’injustice car je suis victime d’une mesure coercitive vexatoire, non fondée et illégitime, qui me frappe durement de plein fouet. Je m’en sens profondément maltraité, humilié, déconfit.

 

L’inféodation car je suis en une position inconfortable de subordonné, par rapport à une autorité bien supérieure à la mienne. Je me retrouve donc « pieds et poings liés », livré à l’arbitraire d’un supérieur.

 

La défaite car face à mon professeur, seul maître à bord en sa classe, je ne peux que m’incliner et subir, sans protestation ni recours possible. Je dois donc m’exécuter et endurer, sans broncher, l’inacceptable et l’intolérable pour moi.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Je me mets en un état de détresse épouvantable, me rongeant les sangs, me perdant en conjectures et, me torturant sans fin et en vain. Je me rends malade pour rien, car mon tourment ne résout rien et, aggrave au contraire mon marasme, déjà assez fort.

 

Je me fais encore plus petit que je ne suis, me comportant et, me ressentant de façon encore plus misérable. Acceptant ma défaite à l’avance et, ne tentant même rien pour me défendre légitimement et, faire valoir mes justes droits.

 

Par mon attitude passive, complaisante, penaude, je cautionne les abus de l’enseignant, à mon encontre. « Qui ne dit mot consent » ! Je me prive ainsi, moi-même, de toute latitude d’appel, de réparation et, de possibilité d’avoir juste gain de cause.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Je me sentais vulnérable, car je me sentais prisonnier captif et, subissant d’une maltraitance arbitraire injustifiée. Par autorité intouchable, ayant tout pouvoir sur moi. Que j’étais donc obligé d’endurer, sans pouvoir me défendre et vaincre. Mon manque de confiance en moi aggravant le tout.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o N’ayant nul pouvoir de m’opposer frontalement à l’enseignant, j’opte pour le mode de la résistance mentale passive. Pouvant alors agir à ma façon et, non celle exigée de moi. Je me renforce donc, en mon esprit, ce qui m’aide à mieux supporter les attaques subies.

 

Je peux toujours, malgré tout, aller m’expliquer calmement, mais fermement, auprès du professeur concerné et, lui faire valoir mes solides arguments. Je peux le faire fléchir par la preuve, la raison et, la justesse de ma cause.

 

Si cela ne suffit pas, ma raison étant la meilleure, je peux me faire appuyer par mes parents. Aller, avec eux, plaider ma cause auprès des autorités supérieures. Mon recours étant juste et fondé, j’ai alors toutes chances de l’emporter. Si tel n’est pas le cas, j’aurai a minima la satisfaction d’avoir tout tenté, plutôt que de subir passivement, sans rien oser.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

Au lieu d’éprouver de la frustration, de la peur, de la colère, je me renforce émotionnellement. M’imposant des émotions positives : apaisement, sérénité, égalité d’âme. Ainsi, quoi qu’il arrive, je reste stoïque, car j’éprouve un sentiment de droiture morale.

 

Un sentiment de souveraineté car même si l’enseignant est dominant, en tant que tel, je bénéficie de droits, comme usager d’éducation. Qui plus est mineur, donc protégé, ès qualité, par les autorités. Je suis donc plus fort et prémuni que je ne le crois !

 

Le sentiment d’une victoire morale car comme sujet de droit, je dispose toujours, en démocratie et état de droit, de voies de recours. Je les fais donc valoir et, je me bats pour me défendre. Même si je ne l’emporte pas, j’ai la satisfaction morale d’avoir sauvé mon honneur, en combattant l’arbitraire.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative de fragilité, au moment des faits : 7/10. Un certain temps après : 3/10. En cours de suivi, actuellement : 2/10. Niveau d’intensité d’émotion positive de renforcement mental, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 9/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Je ne cède pas aux injonctions illégitimes, que l’on prétend à tort et, à toute force, m’imposer. Je ne tiens pas compte des volontés extérieures, mais de la seule mienne. Je fais ce que je veux et, parviens à mes fins. Je suis seul juge en ce qui concerne ma personne, ma vie, mes intérêts et, ce qui me regarde, de façon légitime.

 

Même si je suis, in fine, contraint d’obtempérer et, de me plier aux volontés professorales, je conserve ma dignité et, mon libre arbitre. Je demeure fier et autonome, restant vigilant et ferme, pour prévenir toute récidive d’abus éventuel ultérieur.

 

Je mets en œuvre, si je le souhaite, tous les recours de droit possibles, pour faire rapporter la mesure que je conteste et, rétablir mes droits bafoués. Je me bats toujours pour me défendre.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je suis toujours plus fort que je ne le crois. Convaincu de ma légitimité et, de mon bon droit, je lutte toujours pour les faire valoir. En ces justes conditions, je l’emporte toujours, a maxima, moralement, en mon esprit. Qui croit en soi et, en sa raison morale, a déjà vaincu toute adversité.


 

 


26- Mon Sentiment de Faiblesse


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un état de fragilité constitutive, par croyance et état d’esprit erronés, à une position de solidité mentale, morale, psychique, à toute épreuve.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Quand je fréquentais certains camarades et, qu’ils abusaient de ma gentillesse, je me sentais faible et eux forts. Cela me faisait tout accepter d’eux, même les pires abus, me laissant intimider par leurs… intimidations !


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Même si mes amis ont tort, je leur donne, malgré tout, raison, de fait, tant ils sont puissants à mes yeux et, moi faible. Je les encourage ainsi à persévérer, par ma lâcheté, et ils en rajoutent !

 

Je suis pitoyable de m’abaisser ainsi, devant des êtres médiocres, qui ne respectent rien ni personne, pas même eux-mêmes. Misérable d’accepter de m’avilir ainsi et, de me laisser avilir par eux.

 

Au lieu de m’assurer une vie meilleure et plus intéressante, avec des personnes dignes de moi et, de mon amitié, je me condamne, moi-même, au pire. En continuant à supporter l’insupportable, m’appauvrir, au lieu de m’enrichir.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

Le misérabilisme car je me complais en ma déchéance et mon indignité, tolérant l’intolérable, sans amour propre ni, respect de moi-même.

 

L’humiliation car je me laisse maltraiter, par des scélérats de valeur humaine et morale bien moindre que la mienne. Cautionnant ainsi, des déviances et, des déviants de la pire espèce.

 

Le gâchis car il me suffirait de m’en débarrasser facilement, à tout jamais, en m’en séparant sur-le-champ, pour retrouver liberté, honneur, dignité. Au lieu de cela, j’en redemande, en restant et, me laissant faire, sans mot dire !


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Je ne dis rien. Au lieu de m’expliquer avec mes copains et, de me faire rendre raison, je me tais, fais comme si tout allait bien. Faisant ainsi croire aux autres, que je suis satisfait de leur mauvais comportement, qu’ils sont parfaits, qu’ils ont raison et moi tort. Car je justifie ainsi leur sale attitude.

 

Je ne fais rien. Au lieu de me défendre, me battre, m’imposer, obliger les fautifs à changer, me respecter, devenir loyal, je reste inerte, passif, consentant. Si ma fermeté ne suffit pas, au lieu de les planter là, subitement et définitivement, pour les empêcher de nuire, je reste avec eux. Continuant à subir, abdiquant ainsi tout mon libre arbitre, au profit de volontés étrangères maléfiques, à mes seuls dépens.

 

Je m’en prends à moi-même et, me punis moi-même. Puisque je refuse de sanctionner les coupables, par faiblesse, fragilité, pusillanimité, je me sanctionne moi-même. En une sorte de décompensation de mauvais aloi. Je m’impose le pire en autochâtiment, restant à la merci des malfaisants. Tout en me torturant de reproches, regrets, sentiment d’impuissance, comme autant de mauvaises excuses expiatoires.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Mes tourmenteurs avaient, à mes yeux, plus de moyens de force que moi, qui doutais de ma personne. Ce qui fait que je me sentais faible, impuissant et, tout petit, tellement démuni, que je ne pensais même pas à me battre ni partir. Capitulant, de façon défaitiste, à l’avance.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Je suis et je me sens aussi fort que les autres, j’ai donc autant de moyens qu’eux, pour faire face à l’adversité et vaincre. Tant qu’ils me respectent, je fais de même et, je les accepte tels qu’ils sont. Si tel n’est pas le cas, je veille à faire face mentalement, en sanctionnant, de façon adéquate et proportionnée.

 

Ce qui concerne ma personne, ma vie, mes intérêts, passe avant tout et tous. Je ne me préoccupe en rien de ceux qui me nuisent, je me contente de les écarter de mon existence, sans états d’âme ni, ménagement. Totalement indifférent à leur réaction et, leur point de vue.

 

Je vis pleinement mon existence, de façon satisfaisante, enrichissante, épanouissante. En excluant tout ce qui est contraire à ma plénitude. Je me prémunis ainsi de tout mal et, ne cultive que le bien.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

Au lieu d’éprouver des émotions négatives d’infériorité, de ressentiment et, d’envie, face à la force apparente des autres et, d’insatisfaction, je mute. Me sentant et étant plus fort, j’éprouve des émotions positives d’égalité, de sérénité, d’aisance, de contentement.

 

Je me sens gratifié car, par ma vigilance, mon rayonnement personnel, mon charisme, je ne m’attire que le meilleur et, j’évite le pire. Je n’accepte que ce qui est bon pour moi, je refuse le reste, ainsi, je suis fort, prospère et, heureux.

 

La plénitude car je choisis et, j’obtiens la vie que je veux, moi, non celle que les autres voudraient, quant à eux, m’imposer. Alors, je savoure l’existence, car j’y trouve ce que j’y ai placé, moi-même, de bien pour moi, non le mal disposé par d’autres.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative de faiblesse, au moment des faits : 7/10. Un certain temps après : 4/10. En cours de suivi, actuellement : 2/10. Niveau d’intensité d’émotion positive de solidité personnelle, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 7/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Au lieu de me conformer trop souvent à la volonté des autres, à mon égard, sans oser refuser, je me fais respecter. N’acceptant que ce qui est conforme, à mes yeux, à mes intérêts, ma conscience, ce qui est admissible, selon moi. Au lieu de m’exécuter, pour tout et son contraire, du seul fait que cela m’est demandé.

 

Au lieu d’être inerte, je suis actif. Je ne me contente plus d’être mené, influencé, dominé, je le fais moi-même, auprès des autres. Je deviens ainsi, un guide éclairé et éclairant, au lieu d’être un suiviste terne et manipulé.

 

Je ne me laisse impressionner par rien ni personne. Je mène ma vie, à ma façon, tout à ma mission existentielle, sans me laisser perturber, par les importunes et, détestables « mouches du coche ». Je vais à l’essentiel et, c’est tout ce qui compte.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je ne suis plus éteint, amorphe, mais rayonnant, combatif. Je donne un sens à ma vie et, j’imprime ma marque terrestre. Ainsi, je n’ai ni regrets ni remords, mais joie de vivre et, bonheur de m’être pleinement réalisé ici-bas.


 

 


27- Mon Sentiment d’Insécurité


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un état ressenti d’instabilité, de déstabilisation, de danger, à celui de tranquillité, de protection et, de sécurité. Je suis convaincu que rien de mauvais ne peut m’arriver, car je me sens toujours en mesure de faire face au pire. Que je crois en moi et, au meilleur, pour moi-même.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Au collège, je me sentais en insécurité, à l’égard des enseignants, des élèves et, des obligations de travail, de résultats et, de performances. J’avais peur de tout, d’être débordé par les difficultés, je m’attendais toujours au pire, sans jamais croire au meilleur. Catastrophisme, alarmisme, dramatisation étaient mon seul credo.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je suis incapable de supporter et, surmonter les aléas de ma vie. Je vis cette dernière comme une permanente épée de Damoclès, au-dessus de ma tête. Je me sens menacé, en permanence.

 

Je suis convaincu que ce que je crains va survenir et, que je vais en subir les pires conséquences. Que je ne m’en remettrai pas, alors que ma vie actuelle est déjà pénible pour moi. Je pense que ce sera encore pis, quand le malheur attendu sera là.

 

Me sentant toujours insécure, je me dis que je ne dois rien faire, par peur que cela ne me retombe salement dessus. Alors, il me faut me cacher, rester à l’abri de tout et, à l’écart du monde, pour limiter les risques d’ennuis graves.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

La peur car je m’attends, toujours, à ce que les pires calamités s’abattent sur moi, sans pouvoir les prévoir, les éviter, les vaincre. Ce qui me maintient en un état permanent d’alerte et, de malaise accru.

 

La tristesse du fait que je vois ma vie assombrie, par mes alarmes continues, que je constate mon impuissance à les annihiler. Cela me plonge dans la peine et, le regret les plus mortels.

 

La souffrance de me sentir si démuni, misérable, en instabilité et, sur le qui-vive perpétuel. Je ne suis jamais tranquille, ce qui me plonge dans les affres du mal-être absolu.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Me pensant en danger perpétuel et, incapable de le neutraliser, je me comporte en conséquence. Je ne suis jamais moi-même, je joue selon moi de malheur et, un rôle défensif, de pure composition factice. Je suis distant, méfiant, sur la réserve, avec tous, de façon paranoïaque, ne voyant que des ennemis à repousser, partout et toujours. J’en deviens agressif, me sentant toujours attaqué, alors que je suis d’un naturel bon.

 

Je suis aux aguets, sur le qui-vive, le pied de guerre perpétuels, jamais détendu, toujours sur les nerfs, crispé, nerveux. Toujours sur les charbons ardents, je me rends malade, me détruis à petit feu.

 

J’opte pour une stratégie permanente d’évitement, de fuite, de protection, illusoire et vaine. Laquelle ne fait qu’entretenir et, aggraver mon marasme, ma solitude, mon dégoût de vivre.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Du fait de mes difficultés scolaires, que l’école n’avait pas su traiter, ces problèmes avaient empiré. N’ayant pas assez confiance en moi et, mes aptitudes, je me sentais d’autant plus insécure.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Même si je suis obligé de supporter ce qui m’est intolérable, c’est-à-dire le système scolaire quotidien et, que cela est fort difficile pour moi, je dois tenir. Je dépasse cela, en prenant sur moi, faisant un travail sur moi-même. Disciplinant, moi-même, mes pensées, pour raisonner de façon positive, optimiste, favorable, constructive. Cela me permet de trouver la meilleure solution à mes difficultés et, de les vaincre. Je peux tout surmonter, rien ne me menace, dans la réalité. Mes terreurs sont imaginaires.

 

Toute crainte d’un aléa n’implique pas, pour autant, sa survenue inéluctable. La plupart du temps, ce n’est pas le cas. Même si cela advient, cela n’est pas dramatique, car je saurai trouver la meilleure solution de sortie de crise.

 

Je vis normalement et paisiblement, par principe, comme si tout allait pour moi, « pour le mieux, dans le meilleur des mondes possibles ». Je ne crains plus des fantômes irréels, j’affronte et, je vaincs mes vraies difficultés, ce qui me donne paix et sécurité.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

Même si l’école m’impressionne négativement, je vais agir sur mes émotions, pour les rendre plus favorables. Ainsi, au lieu d’être triste, inquiet, mal à l’aise, je suis en paix. Je m’astreins à me distancier de mes difficultés, me décentrer de moi-même. Pour « voir le bon côté des choses ». Cela bonifie mes émotions et, me permet d’espérer, plutôt que de me décourager. Ainsi, j’abats mes blocages, au lieu d’être abattu par eux.

 

La joie de vivre car, si je décide de l’entretenir et la vivre, je l’obtiendrai. Le bonheur par principe dissipe toute peur irrationnelle, rend fort et, assuré de sa sauvegarde personnelle, quoi qu’il arrive.

 

La plénitude car me sentant toujours garanti du pire, par ma force mentale positive, je m’attire le meilleur. Alors, je me sens bien, par seconde nature inébranlable, même au cœur des pires tempêtes.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative d’insécurité, au moment des faits : 8/10. Un certain temps après : 3/10. En cours de suivi, actuellement : 2/10. Niveau d’intensité d’émotion positive d’(auto)protection, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 9/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Face aux élèves qui me maltraitent, je fais en sorte de garder le sourire, ce qui me permet de me battre au quotidien, pour agir, afin d’améliorer mon sort. Au lieu de réagir systématiquement aux attaques, je les ignore. Je continue à avancer, en agissant, proagissant, sans me contenter de réagir ni, être passif. Cela me permet d’être toujours détendu, à l’aise, allègre et, rayonnant, quoi qu’il arrive.

 

Je me défais de mes mécanismes inutiles et, contre-productifs d’autoprotection, tout en étant prudent et vigilant. Devenant fort et confiant, je n’ai plus besoin d’armure, car je sais abattre toute adversité.

 

Je me confronte au monde, j’affronte ce qui me fait peur, au lieu d’éviter et de fuir, ce qui ne fait que renforcer mes craintes. Je vais au devant des défis, les relève et, les remporte de haute lutte.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je suis en sécurité, car je suis protégé et non menacé, par principe, en mon esprit, mes sentiments, mes comportements. Ma solidité est intérieure, non pas externe. J’avance en rayonnant, pas en tremblant.


 

 


28- Mon Sentiment de Culpabilité


 

 

§ Mon objectif : je passe de la croyance que je fais tout mal et, rien bien, à celle de quelqu’un de bonne volonté, qui fait au mieux, pour le mieux. Je ne suis pas « mauvais en tout et, bon à rien », mais imparfait, comme tout humain, avec mes défauts et qualités. Humble et fier de moi, je trace ma route fermement, de façon inébranlable et imperturbable.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Adolescent, je divulguais, à tort, des secrets que l’on m’avait confiés et, que je devais tenir confidentiels, auprès d’autrui. Cela me posait un cas de conscience et d’introspection et, je m’en sentais fort coupable, d’avoir tant trahi la confiance mise en moi.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je suis un traître indigne de confiance, ma conscience me tourmente, car j’avais été honoré par la foi des autres en moi et, que je l’ai bafouée. Ainsi, je m’en veux terriblement.

 

Les autres vont me maudire et, se détourner de moi, tellement je me suis mal comporté. Je m’en veux terriblement de ce faux pas, que je ne me pardonne pas. Je ne m’en déteste que plus encore.

 

Mon image, ma réputation, auprès des autres et de moi, l’opinion d’autrui sur moi, vont être exécrables et, je vais en sortir encore plus terni. Je vais être ostracisé, me retrouver seul et, en subir les pires conséquences dommageables, pour moi.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

La honte car je sais que j’ai déçu les autres et, moi-même, par mes dérives coupables. Je ne sais comment me racheter et, je crains fort que mon écart ne soit irrémédiable et impardonnable.

 

Le mal-être de me sentir si misérable, à mes yeux et, à ceux des autres. Je me trouve pitoyable d’être tombé si bas et, j’en souffre horriblement. Je recherche désespérément une rédemption introuvable.

 

Le regret d’avoir si mal agi et, la peur panique que cela soit maintenant trop tard, pour réparer le mal que j’ai pu causer. Je me torture vainement l’esprit, sans trouver à apaiser ma conscience altérée.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Je fais « la politique de l’autruche ». Je me fais tellement horreur, frémis tellement à la pensée de mon forfait, que je reste amorphe, espérant que l’orage s’éloigne, de lui-même. Sans même penser agir.

 

Je me replie sur moi-même et, je fuis les autres. Je me cache de tout et, de tous, par faiblesse et pusillanimité. Je ne suis pas capable de faire face, d’assumer, de rectifier mes travers.

 

Je me punis, en subissant mon triste sort, sans réagir, ruminant seul mes idées noires, me torturant l’esprit, en vain. Ne cherchant nulle solution, « tendant le bâton, pour me faire battre ».


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Le détenteur du secret m’en voulait et, j’étais ennuyé de lui avoir infligé un si mauvais procédé. Surtout, mon manque d’estime et, mes très mauvaises image et opinion de moi-même, à mes propres yeux, aggravaient mon autoculpabilisation.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Au lieu de me focaliser et, m’obséder du problème, réel ou supposé, je mets en avant la solution et, ma certitude de vaincre la difficulté. Pour cela, je cherche et trouve la meilleure issue, en mon esprit, pour m’en sortir. Au lieu de me laisser aller aux pensées négatives, liées aux aléas. Je ne suis pas si mauvais que je le crois, car je suis faillible et, peux toujours me corriger.

 

Les autres et ceux que j’ai offensés peuvent me pardonner, si je fais amende honorable. Nul n’est parfait et, même les meilleurs peuvent fauter. Mon pardon dépend de moi, en fonction de mon attitude et, je peux l’obtenir et, repartir « sur de bonnes bases ».

 

Je me détache des avis extérieurs sur ma personne, mon action, ma vie, négatifs comme positifs. Ce qui est fait est fait, ce qui est dit est dit. J’assume et j’agis au mieux. Le reste n’est que négligeable et, ne m’empêchera pas de vivre et, bien vivre. « La caravane passe, en dépit des aboiements » !


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

D’un point de vue émotionnel, j’apprends à me distancier de ce qui m’a été révélé et, que je dois garder pour moi. Cela me permet de faire comme si j’avais tout oublié et, de ne rien dire à personne. Ainsi, je suis serein.

 

La plénitude de ne plus mal me comporter. Celle, si j’ai « trébuché », d’avoir toujours réparé mes torts, m’être racheté dignement, sans récidiver. Ainsi, ma conscience est limpide, « tête haute et mains nettes ».

 

Je demeure stoïque dans l’adversité, car elle fait partie de toute vie, mienne y compris, que je peux toujours l’affronter et, en venir à bout. Je n’en suis pas négativement amoindri, mais positivement renforcé.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative de culpabilité, au moment des faits : 9/10. Un certain temps après : 3/10. En cours de suivi, actuellement : 2/10. Niveau d’intensité d’émotion positive, de conscience apaisée et, d’innocence, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 8/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Ayant compris que le secret, pour le rester, doit demeurer confidentiel, j’agis en ce sens. Ayant mis de la distance émotionnelle, par rapport à lui, je me comporte désormais bien, par le silence, en me taisant. Je me confronte à ceux que j’ai offensés, présente mes excuses, promets de ne pas récidiver, répare ma faute. Je suis pardonné et me rachète.

 

J’assume mes actes, je les rectifie, j’agis mieux, je demeure parmi les autres, au lieu de fuir honteusement mes responsabilités et, mes semblables. Je ne m’encombre plus d’insignifiances, je fonce vers l’essentiel, droit devant.

 

Je m’amende certes, mais ne m’accable pas, pour autant. Les états d’âme négatifs sont toxiques, vains, contre-productifs. J’opte toujours pour ce qui est constructif. Au lieu de me tourmenter, de façon autodestructrice, sans agir, j’avance en pleine sérénité impavide.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Si j’agis mal, en actes, abstentions, paroles ou, mutisme, je ne suis pas fier, en humilité j’assume, je regrette, rectifie. Pour autant, je ne me maltraite pas, de façon masochiste. Je me reproche mes manquements et travers, mais, puisque je me suis racheté, ma conscience est apaisée. Absous par autrui, je peux et dois me pardonner, moi-même, en « rédemption » personnelle. Je poursuis donc mon chemin de vie sereinement.


 

 


29- Mon Sentiment de Honte


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un sentiment de relégation, à celui de contentement raisonné et, raisonnable de moi-même. Je suis toujours satisfait et fier de moi, car je suis moralement droit. Si tel n’est pas le cas, je me corrige et retrouve ainsi, immanquablement, toute ma dignité, perdue puis recouvrée.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Adolescent, je devais produire une performance de spectacle, en public, que j’ai pensé ratée. Alors même que cela est passé pour un jeu, faisant partie du spectacle et, que le public ne s’est rendu compte de rien. Pourtant, j’en ai gardé un fort pénible sentiment cuisant de honte, des années après.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je suis nul car j’étais censé me produire de façon parfaite, me devant tout entier à mon public. Convaincu d’avoir échoué et déçu, voire déplu, j’en suis mortifié.

 

Je suis ridicule et, vais être la risée de tous. Ma réputation va en être ternie, pour longtemps. Je vais, moi-même, me sentir comme encore plus pitoyable et, incapable que d’habitude et, vivre l’enfer.

 

Je vais être perdu, dans l’esprit des autres et le mien, alors je ne dois plus participer à rien, me manifester publiquement. Je dois me désinvestir de tout et de tous et, vivre reclus, caché, bien à l’abri.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

L’autodévalorisation car ne me supportant plus, je veux me fuir et, échapper à moi-même. Convaincu d’être « bon à rien, mauvais en tout et, pour tout », je rêve de ne plus exister et, de disparaître à tout jamais, corps et bien.

 

Je perds la face devant tous, me sentant déconsidéré, en avanie, moqué, rejeté, vilipendé. Je me fais horreur et, me déteste d’avoir mérité, à mes yeux, cela. Je me sens avili, à jamais.

 

Le désespoir d’être tombé si bas, de façon aussi lourde, coupable et, irrémédiable. Je ne vois pas comment remonter la pente et, m’en sens incapable. Seule me reste « la corde pour me pendre ».


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Je perds mes moyens et, perds pied, alors je me sens encore plus mauvais sur les planches et, me trouve encore plus pitoyable. Je me fais l’effet d’être « un noyé, échoué exsangue, sur un morne rivage ».

 

J’adopte un comportement qui n’est pas naturel, d’un personnage gauche. Je m’empêtre encore plus, en mes ressentis négatifs de moi-même et, ma prestation. Je me sens perdu et condamné.

 

Je me mets dans la peau d’un malfaiteur, d’un imposteur, de qui n’a pas la conscience tranquille, a des choses à se reprocher et, faire pardonner. Je fuis la tête basse, sitôt la scène quittée.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Je voulais, à tout prix, réussir mon spectacle, plaire au public et, qu’il soit satisfait de ma prestation. J’ai « péché » par excès de perfectionnisme, voulant être trop bien considéré par les autres. Par défaut d’estime, de confiance, d’affirmation de moi. Ne m’acceptant pas assez, manquant d’assurance, j’étais trop dépendant d’autrui. De son opinion sur moi et, bien trop préoccupé de moi et, mon image.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Me rendant compte que ma prestation n’est pas aussi réussie que je le veux, je relativise, me distancie, me décentre de moi et, mes actions. Je me convaincs que même si je n’ai pas tout réussi, l’erreur est humaine. Je dois aller à l’essentiel : avoir bel et bien diverti le public, en faisant de mon mieux. En réalité, j’ai été bien meilleur, à raison, objectivement, que je ne l’ai cru, à tort, subjectivement.

 

J’ai été naturel et convaincant, apprécié du public car, en réalité, il m’a bel et bien applaudi et, même « ovationné », à la fin de mon spectacle. Je n’ai pas voulu y croire, mais la prochaine fois, je ne bouderai pas mon plaisir, au lieu de « faire la fine bouche ».

 

Il sera conservé un bon souvenir de ma prestation, chez les autres et moi-même, car j’y ai donné le meilleur de moi-même et, excellé. J’accepte et je valorise ma personne et, ce qui en provient, en fierté humble et, humilité fière. J’existe pleinement et positivement, au lieu de me nier et, rejeter sans cesse.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

M’étant apaisé, par des pensées positives, j’éprouve alors des émotions en rapport. Ainsi, au lieu de ressentir la peur, le stress paralysant, la gêne, j’éprouve de la joie de me produire, de l’euphorie, de l’aisance. Il en découle une parfaite auto appréciation positive de moi-même, par moi-même.

 

La fierté de moi-même et, de mon œuvre, car j’ai voulu le meilleur et, la pleine satisfaction du public, ayant agi en ce sens. Alors, tel a été mon résultat acquis, je ne peux donc que m’en réjouir, à raison, au lieu de m’en désoler, à tort !

 

L’exaltation du résultat positif atteint et, de la mission bien accomplie, en conscience et introspection. Pour moi-même, comme pour les autres. Cela est prometteur pour l’avenir et, gage de beaux succès renouvelés ultérieurs !


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative de honte, au moment des faits : 9/10. Un certain temps après : 3/10. En cours de suivi, actuellement : 2/10. Niveau d’intensité d’émotion positive de fierté, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 8/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Sur scène, avec de bonnes émotions, au lieu d’être, par peur, malhabile en mon spectacle, je suis confiant et serein, sûr de moi et, de mon talent. Cela me permet d’être le plus à l’aise, performant et, adroit possible, en mon jeu d’acteur. Même si tout n’est pas réussi, parfait, même si je doute ou, « trébuche », je reste zen.

 

Je suis brillant, à l’aise, rayonnant, car je le veux et, que je me suis préparé, forgé à l’être. « La volonté permet un chemin », qui permet d’être, de faire, d’avoir et, de paraître, à son avantage le meilleur.

 

Je ne suis pas un imposteur, mais un acteur amateur de qualité. De même, bien plus, je suis un être légitime et appréciable, unique et utile, à moi-même et autrui. J’apporte ma contribution au genre humain et, j’imprime une marque significative, qui fait sens, toute mon existence durant et, au-delà.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je n’ai nulle raison de douter de ma légitimité, mes qualités, mérites. Au contraire, je ne peux qu’être fier et heureux de mes vertus, ma valeur et, les revendiquer, haut et fort, sans arrogance pour autant. Je cesse donc de « raser les murs », d’avoir « peur de mon ombre ». Je garde la tête haute, en toutes circonstances, car je ne mérite nul opprobre, veillant toujours à bien me comporter.


 

 


30- Mon Sentiment d’Infériorité


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un sentiment d’auto abaissement, à celui d’égalité parfaite avec tous. Je ne suis ni inférieur ni supérieur, mais égal, avec mes vertus et mes failles, ma part d’ombre et de lumière.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

En fin d’études de lycée, j’avais fait comprendre à une camarade que j’étais intéressé par elle. Pourtant, c’est un autre garçon qu’elle a choisi. J’en ai éprouvé un sentiment d’infériorité, par rapport à mon rival vainqueur, me sentant défait.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je suis moins valeureux que les autres et, ils le sont plus que moi. Mon propre préjugé est trop négatif, à mon encontre, trop positif, à l’égard autrui. Je suis toujours, à mes yeux, le plus mauvais et, les autres, les meilleurs.

 

Je vais moins réussir ma vie qu’autrui et, ce dernier va mieux y parvenir que moi. Je ne suis capable que du pire, les autres du meilleur. Voilà la fatalité, la malédiction, qui me frappent, la « béatitude » revenant toujours de droit, à mes yeux, à tous les autres, jamais à moi.

 

J’ai moins de droits, de légitimité, d’importance que les autres et, ils en ont plus que moi, par « providence supérieure ». Je le décrète ainsi, car ils sont de « nature divine suprême et moi, vil mortel subalterne ».


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

L’autodénigrement car rien ne trouve jamais grâce à mes yeux, chez moi. Le fait qu’il s’agisse de ma personne et, de tout ce qui y a trait, suffit selon moi à me disqualifier d’office. Je ne m’aime pas et, me rejette.

 

L’incapacité car je me considère comme nul, impuissant, sans intérêt, tout le temps, en tout et pour tout. Je ne peux que produire le pire, jamais le meilleur, en une indignité permanente.

 

L’autominoration car je n’existe pas à mes yeux, ni à ceux des autres, selon moi. Je suis invisible, transparent, insignifiant, car je suis petit et démuni et, qu’autrui est grand et nanti.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Je ne tente rien et, je fuis le monde. Comme je suis condamné, perdu, par moi-même et autrui, il est vain de me battre, d’agir, d’espérer, de côtoyer les autres. Je ne peux que m’exiler en silence, au loin et seul, en expiation de mon indignité.

 

Je limite mes ambitions, car je n’attends rien de quoi que ce soit ni, de personne, pas même de moi-même. Contribuant ainsi, toujours plus, à ma perdition. M’élever me fait peur, m’abaisser me rassure, tant je me sens infériorisé et, voué au médiocre.

 

J’accepte l’inacceptable et, je me fais duper, par tout et son contraire, tous et n’importe qui. Me ressentant comme subalterne et perdant, je suis naïf, soumis et, dominé, permettant et subissant tous les abus, à mes pires dépens.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> J’étais quasi convaincu que j’étais peut-être, malgré tout, susceptible de l’emporter et, j’ai été fort déçu, mortifié même, que cela n’ait pas été le cas. Ma foi en moi étant piètre, ne m’aimant pas, étant fâché avec moi-même, je basais ma valeur sur ma réussite et, non sur moi-même. J’accordais trop d’importance à ma réputation et, à l’approbation ou, la réprobation d’autrui, à mon égard. N’ayant pas eu satisfaction, je me suis senti dévalorisé et autodévalué, donc inférieur. Je me suis sous-estimé et, j’ai surestimé autrui. Me considérant toujours moins bien que les autres et, les jugeant, eux, mieux que moi.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Je ne pense plus qu’une déconvenue remette en cause, en cela et forcément, ma valeur personnelle. Un refus n’est pas signe d’indignité ni, d’échec. Je demeure donc valeureux, méritant, quoi qu’il arrive, tout autant que les autres. Un « non » n’est pas universel ni, intemporel ni, toujours définitif. Il peut se transformer en « oui », par la même personne ou, une autre, à tout moment. Je me dis que je peux toujours « rebondir » avec tous, en tout et pour tout, tout le temps.

 

La réussite et le bonheur existentiels appartiennent et, sont loisibles à tous, moi, autant que les autres. J’ai toutes mes chances et, j’y ai droit, comme humain, par mes talents, vertus, atouts, mérites, efforts et, actions. Pour avancer et parvenir, en ma réalisation de vie.

 

En tant qu’humain, j’ai autant de poids et, d’assise que n’importe qui et, inversement. Je crois en moi et mes aptitudes, je me fais et les fait valoir, à juste titre, ès qualité. Ainsi, qui tente sa chance peut toujours l’obtenir, toujours !


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

Sans honte ni, tristesse ni, déception, ayant positivé, j’éprouve alors un sentiment de reconquête, de relativisation, décentration de moi et, d’optimisme. Cela me permet une autocongratulation justifiée et méritée, de principe, l’inverse devant être l’exception.

 

Le sentiment de compétence est une seconde nature et, une habitude, inhérent à ma personne. Car, comme tous, j’ai des aptitudes bonnes et utiles, à faire valoir. Alors, je les mets résolument en œuvre, les fais admettre et, j’en retire les meilleurs fruits, pour moi et autrui.

 

Le sentiment de réévaluation positive de moi-même. Je me suis cru, à tort, moins bien loti et doté, que je ne le suis, en réalité. De fait, je le suis bien plus, alors, je me juge et jauge, désormais, à ma juste valeur favorable, me perçois bien plus positivement. Je peux ainsi mieux m’accomplir et vivre.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative d’infériorité, au moment des faits : 6/10. Un certain temps après : 2/10. En cours de suivi, actuellement : 1/10. Niveau d’intensité d’émotion positive de bonne valeur personnelle, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 8/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Je ne m’acharne pas à vouloir, à tout prix, l’impossible. J’y renonce sans états d’âme, totalement et définitivement et, je passe à autre chose. Je continue à vivre normalement, en restant ouvert à d’autres occasions, bien meilleures encore. Pour être en bonne condition de nouer d’autres liens, alors réussis, avec d’autres personnes et, en d’autres circonstances. Je ne rate aucune bonne occasion pour cela. J’agis et je reste en contact et, ouverture permanents, avec l’univers.

 

Je conserve appétence, désir, volonté, exigence pour conquérir le monde, réussir, être heureux. J’existe, par et pour moi-même, pour l’être, par et pour autrui, en équivalence parfaite, pour mon meilleur et, celui de tous.

 

Je ne tolère aucun abus à mon encontre, ne m’en laisse pas conter et, ne me fais ainsi jamais abuser. De même que je ne nuis jamais à quiconque. Tel est le gage de l’égalité, juste et bénéfique, de tous pour tous.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Quoi qu’il arrive, par principe, je ne suis et, ne me considère jamais, comme inférieur ou supérieur, à rien ni quiconque. Je suis l’égal de tout et tous et, tout et tous sont mes égaux. Ainsi, je suis en harmonie avec les êtres, les choses et, toutes réalités, car je le suis avec moi-même !


 

 


31- Mon Sentiment d’Indignité


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un sentiment de démérite, à celui de fierté de moi-même. Ma personne, ma valeur, mon mérite, se suffisent à eux-mêmes et, témoignent pour moi. Je n’en suis que plus légitime, en véritable être d’honneur irréprochable, comme je tends toujours à l’être.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

En mes études secondaires, quand il s’agissait de constituer les équipes sportives, notamment de basket, il m’arrivait, le plus souvent, d’être choisi en dernier. Par défaut donc, et non par adhésion. Je me sentais indigne, victime d’injustice, d’avoir été déprécié, humilié et, maltraité à tort, qui plus est en public, devant tous mes camarades.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je passe toujours après les autres et, eux avant moi. Cela signifie que je suis moins valable qu’eux et eux, plus que moi. Je suis l’éternel « vilain petit canard ou, petit chose ».

 

Je compte moins qu’autrui et, lui plus que moi. Cela contribue à ma remise en cause personnelle, par moi-même et, les autres, altère encore plus la mauvaise image que j’ai de moi-même.

 

Je suis injustement maltraité et, les autres sont appréhendés plus justement et, mieux que moi. Cela me démoralise de voir que la considération va toujours aux autres et, l’opprobre toujours à moi-même.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

Le défavoritisme discriminatoire, car je suis bien moins traité que les autres et, eux mieux que moi. J’en retire un sentiment de colère, de ressentiment et, de tristesse, contre tous, de me nuire et, moi-même, d’encourir cela.

 

L’insignifiance stigmatisante, du fait que je me sens tout petit, marginal, déprécié, d’être ainsi traité, comme quantité et, qualité les plus négligeables. Mon estime de moi et, mon amour propre en sont encore plus ébranlés.

 

L’iniquité blessante, car je suis victime de préjugés, d’un a priori, de sectarisme, de personnes qui me jugent à tort, me sous-évaluent et, dévalorisent. En injustice gratuite, arbitraire et, totalitaire, des plus désobligeantes et, humiliantes. De façon injustifiée et injustifiable !


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Je me venge, en ne donnant pas toujours mon meilleur jeu sportif, en rétorsion de l’affront non fondé, qui m’a été fait. Alors que je peux bien mieux jouer, comme je l’ai déjà souvent prouvé.

 

Je me dévalue moi-même, en doutant de mes capacités sportives, alors que je suis un joueur honorable. Le mauvais jugement des autres, à mon encontre, me déstabilise et, nuit à mes performances et aptitudes.

 

Je me comporte avec rancune, rancœur, animosité, à l’égard des autres. Je les ignore, « boude dans mon coin », ne joue pas bien collectivement, comme il se doit, mais mal individuellement. Sabotant délibérément mon jeu et, les chances de victoire de mon camp et équipe.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Comme j’étais moins grand en taille que d’autres, j’étais donc suspecté, à tort, d’être peu et moins performant au basket. Cette discrimination inique étant récurrente, je finissais par douter encore plus de moi et, de mes aptitudes. Sans assurance ni, confiance en moi, je n’avais aucun sentiment de légitimité, me sentais toujours mal et, injustement traité, par autrui. En véritable syndrome paranoïaque. Si un comportement d’autrui, à mon égard, me semble négatif, je le ressens durement, me sens misérable et, je m’en accable moi-même.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o En mon esprit, quel que soit mon rang d’évaluation et, de classement initial, au basket, je me dis que l’essentiel est ailleurs. Or, plutôt, le fait qu’étant un bon joueur, je vais faire le maximum pour bien jouer, servir mon équipe, contribuer à sa victoire. Alors, je serai en un état d’esprit positif de vainqueur utile, pour moi et, mes camarades de jeu.

 

Mon importance réelle personnelle ne repose pas sur l’appréciation des autres, mais sur la mienne propre, exclusivement. Par estime de moi-même et, amour propre, je « pèse » donc toujours autant que tous, ni plus ni moins.

 

Je ne peux ni ne veux plus être la victime abusée, toute désignée, de quiconque, car ne le tolérant pas, j’empêche qu’il en soit jamais ainsi. Par prévention imparable.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

Je ne laisse pas apparaître mes émotions négatives de déconvenue. Je fais bonne figure et, contre mauvaise fortune bon cœur. Je délaisse mes ressentis pénibles. Je cultive des émotions positives, pour compenser et, surmonter les désagréments qui m’assaillent. Je vise la sérénité, convaincu que le discrédit qui me touche ne m’empêchera pas de faire un bon match et, même d’y briller !

 

Je me sens valeureux car cela correspond à la pleine réalité, de ce que je suis et vaux. Cela me suffit et, suffit à ma réussite et mon bonheur. Le reste ne compte pas, ne m’intéresse pas, n’influe en rien.

 

J’impose toujours que l’on me traite et, considère avec justice et justesse, comme je le fais toujours pour autrui. En loi de parité impérative. Je me perçois comme tel. Je traite bien les autres et, moi-même, ils font de même pour moi, je les y oblige. Sinon, j’en tire les conclusions qui s’imposent et, je sanctionne comme il se doit.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative d’indignité, au moment des faits : 7/10. Un certain temps après : 5/10. En cours de suivi, actuellement : 3/10. Niveau d’intensité d’émotion positive de rayonnement personnel, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 8/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Même si je suis choisi en dernier, je reste impassible, pour donner le change, surmonter mon trouble, ne pas montrer mon désarroi. Je garde ainsi la tête haute et, ma fierté. Je reste indifférent, motivé, ne me décourage pas pour autant, me promettant de faire toujours mieux.

 

Je joue avec encore plus de détermination, de brio et, de volonté de gagner, rage de vaincre, au mieux de mes capacités. J’ai à cœur de prouver que j’ai été mal jugé et, que je vaux bien plus que ce que l’on a cru. Au lieu de m’abattre, l’opprobre qui me frappe me rend encore plus fort et performant, me permet de me dépasser et, de m’imposer, par mon seul talent. Telle est ma vraie, bonne et, seule revanche légitime, idoine et, possible.

 

Je conserve une haute idée de moi-même et, de ma valeur personnelle, quoi qu’il arrive, de façon raisonnable et équilibrée. Sans arrogance, mais avec une juste fierté. Quoi qu’il en soit, je reste beau joueur, fair-play, impassible. Je m’impose par mon talent et prouve, ainsi, aux autres, qu’ils ont eu tort de mal me juger et, de ne pas me faire confiance, croire en moi et, mes qualités.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# En toute circonstance, je me sens digne, de façon inconditionnelle, car je vaux en et par moi-même. Je n’ai pas besoin des autres, pour me sentir reconnu et gratifié. Je me suffis à moi-même et, crois en moi et, mes atouts. Cela m’est bien assez, pour exister, briller, parvenir, aux yeux des autres et, surtout, de moi-même. Il me suffit d’être pour paraître, ma personne parle en, pour et, par elle-même !


 

 


32- Mon Sentiment de Déchéance


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un sentiment d’opprobre, à celui d’éminence. Cela ne dépend que de moi-même, mon rapport à ma propre personne. Si je décide, en moi-même, que je vaux, alors je vaudrai, sans nul besoin d’adoubement extérieur !


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Plus jeune, à l’école, je jouais au warhammer et, un mauvais camarade, qui m’enviait de ne pas en avoir, se vengeait de cela, en me maltraitant. De façon régulière et méchante.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je me sens coupable d’être plus favorisé qu’un condisciple. Je me dis que le pauvre n’a pas la chance, la possibilité, le talent, de posséder un tel jeu et, d’y exceller, comme moi.

 

J’en veux à mon tourmenteur et, à moi-même. Je lui reproche de s’en prendre ainsi à moi, de façon injustifiée, inique et, dommageable, à mon encontre. Je m’impute le fait de m’attirer tant d’ennuis et, de ne savoir m’en prémunir.

 

J’apprécie moins mon jeu, car il est gâché par le harcèlement récurrent de mon agresseur. Je considère, de fait, que mon activité ludique est la cause de mes tourments, ce qui l’amoindrit à mes yeux.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

La culpabilité de me croire maltraité, par ma faute et, du fait que c’est mon jeu favori qui en est la cause. Je me perçois comme un nanti, dont l’opulence attise l’envie d’un camarade moins favorisé.

 

Le ressentiment contre le sort qui me frappe injustement, contre mon agresseur fautif et, abuseur. Contre moi-même, incapable de faire front et, d’empêcher le trublion de me nuire.

 

La démoralisation de constater que ce qui se passe, gâche mon plaisir de jouer à mon jeu favori. De voir que mon harcèlement subi ne cesse pas, que je ne sais comment me défaire de mon ennemi et, de ses vilenies.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Je « pèche » par excès de bonté, injustifiée et imméritée, à l’égard de mon agresseur, j’ai presque pitié de lui et, de son « infortune » quant au jeu. Alors qu’il ne mérite que sanction, par son comportement odieux à mon encontre. Que c’est moi la victime, lui l’agresseur et, que je n’ai rien à me reprocher, contrairement à lui.

 

J’ai peur de mon ennemi et, je le fuis, au lieu de lui dire son fait et, de le mettre définitivement hors d’état de nuire. Je me tourmente pour rien d’être aussi faible, au lieu de réagir et me battre, pour me faire respecter. L’encourageant ainsi, par ma couardise, à persévérer et aggraver ses déviances.

 

Je tends à délaisser mon jeu, par dégoût de ce qu’il m’attire, alors que je l’appréciais tant. En double peine car, non seulement je suis agressé, mais, en outre, un déviant me prive, de façon arbitraire et crapuleuse, de mon activité de loisir favorite.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> J’étais démoralisé par mon harcèlement, j’en avais un sentiment de dévalorisation personnelle, me sentant diminué et déchu, de ce fait. Me demandant pourquoi je m’attirais tant de haine imméritée. Ne sachant comment faire cesser mon calvaire.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Même si le comportement de mon camarade est injuste, pénible et, dommageable, je relativise et, m’abstrais totalement de la situation. Me disant que l’essentiel est que je m’amuse bien, en mon loisir favori, avec mes amis. Que l’envieux, qui n’en fait pas partie et, qui ne représente rien pour moi, est négligeable et insignifiant, à mes yeux. Le fait que je possède ce qu’il n’a pas n’est pas de mon fait, ne me concerne pas et, n’entre pas en ligne de compte.

 

Je n’accorde aucun crédit ni importance, à un personnage malfaisant sans intérêt et, je l’ignore délibérément. Faisant comme s’il n’existait pas. Je suis serein et guilleret, car je ne me laisse perturber indûment par rien ni personne. En dernier ressort, je me débarrasse, une fois pour toutes, de mon agresseur.

 

Le camarade déviant étant définitivement écarté et, même s’il ne l’était pas, je continue de plus belle à aimer mon jeu et, à le pratiquer assidûment. Quoi qu’il arrive et, comme si de rien n’était.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

Je ne me laisse plus envahir par la rage, l’impuissance, la tristesse. Je neutralise mes émotions négatives, en les rééquilibrant, de façon positive, avec un sentiment de sérénité, de paix, d’assurance. Pour me prémunir contre les affects négatifs, issus des situations difficiles. Ainsi, j’ai toujours un sentiment de bonne conscience.

 

Le sentiment de bonne intelligence m’est permis, car je fais toujours en sorte de susciter bonne entente, harmonie et, plénitude entre tous. En commençant par moi-même. Si quelqu’un persiste à entretenir l’inverse, je veille toujours à m’en garder, ainsi que la collectivité, en mesures d’éviction justes et proportionnées.

 

L’épanouissement car rien ni personne ne peut me nuire ni, altérer, en rien, mon plaisir et, mon appétence pour mon jeu favori. Je rejette et, neutralise tout parasitisme négatif externe, pour ne goûter, pleinement, que ma plénitude intérieure.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative de déchéance, au moment des faits : 8/10. Un certain temps après : 3/10. En cours de suivi, actuellement : 2/10. Niveau d’intensité d’émotion positive d’affermissement moral, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 7/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

J’ignore mon agresseur, le maintiens écarté de ma vie et, je continue à pratiquer mes activités favorites, comme si de rien n’était. Avec autant de bonheur qu’avant. Je ne me laisse pas perturber.

 

S’il persiste, je l’éconduis sèchement et calmement. Si cela ne suffit pas, je le préviens, qu’en cas de récidive, il y aura de justes sanctions et, dépôt de plainte, auprès des autorités compétentes.

 

Si mon camarade indélicat élude et, ne tient pas compte de mes avertissements, je mets mes justes et légitimes mises en garde à exécution. Avec mesure, détermination et, efficacité.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Je suis toujours légitime, méritant, vertueux, car mon comportement, ma philosophie de vie, ma vision du monde le sont. Je n’ai donc jamais le moindre doute à ce sujet. Cela me donne une paix de l’âme incomparable et, inaltérable, en tout et pour tout, quoi qu’il arrive.


 

 


33- Ma Difficulté à Bien Gérer mes Enjeux
Pour Faire Face à mes Obligations
De Performance, Résultats, Réussite


 

 

§ Mon objectif : je passe d’un état d’incapacité, d’impuissance, de déroute, face à mes impératifs de vie, à celui d’aisance, d’efficacité, de brio. Je sais comment bien et mieux vivre et, je veille à y parvenir, sans coup férir et, quoi qu’il advienne.


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Quand j’ai préparé mon permis de conduire, code et conduite, surtout, la théorie du code, cela a été très difficile et, contraignant pour moi. J’avais, en outre, mes cours de lycée en internat puis, mes études ultérieures. J’ai obtenu mon permis, après plusieurs tentatives ratées. Cela m’imposait beaucoup de disponibilité et de travail. Je peinais psychologiquement, car je faisais beaucoup d’efforts, pour des résultats médiocres. Cela me démoralisait et, me faisait encore plus perdre confiance en moi, mes capacités et, compétences. Pour autant, j’ai bel et bien fini par décrocher le précieux sésame !


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Le permis est trop difficile pour moi, je ne sais comment faire pour m’en sortir et, je ne l’aurai jamais. Je suis convaincu de mon inaptitude et, de mon insuccès assuré subséquent.

 

Les conséquences de cet échec, que je crois inéluctable et définitif, vont être terribles pour moi. Je serai handicapé toute ma vie, par l’impossibilité d’avoir une mobilité autonome, faute de véhicule.

 

C’est toute mon assurance : mon estime, ma confiance, mon affirmation de moi-même, qui en prennent un coup ! Cela amoindrit ma foi en ma valeur personnelle, mes aptitudes, mes possibilités de m’imposer, me faire valoir, d’assurer ma pleine et juste place, en société.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

Le pessimisme de me croire toujours voué au pire, jamais au meilleur. Ce qui diminue d’autant, mes chances de réussite et d’épanouissement. Tant cela me freine et me dissuade, de seulement tenter d’y parvenir.

 

L’angoisse de me convaincre que mon malheur est de ma faute, que je m’attire moi-même « la poisse qui m’englue ». Que je suis malchanceux et mauvais et, que n’obtenant jamais rien de bon, je vais en payer les conséquences les plus affreuses, pour moi.

 

Le désamour de moi-même. J’ai une image désastreuse de ma personne, ce qui fait que je ne m’aime pas et, me rejette moi-même, à mes pires dépens. En véritable cercle vicieux. Mes difficultés aggravent mon refus de moi-même et, ce dernier alourdit et suscite, encore plus, mes problèmes.


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Je me décourage, me démobilise, baisse les bras, de façon défaitiste. Je veux, à tout prix, obtenir mon permis de conduire. Pourtant, je fais tout pour ne pas l’avoir, tant je n’y crois pas, moi-même.

 

Je fais comme si tout était perdu d’avance, comme si je ne pourrai jamais conduire, je m’imagine devant me passer de voiture à vie. Je renonce d’avance à toute autonomie, par défaitisme forcené.

 

Je me comporte d’office et, avant même de continuer à combattre, comme un perdant défait d’avance, de façon démoralisée et démoralisante. En plein combat, je fais comme s’il était déjà perdu. Je me projette en un futur de défaite avérée, en plein néant chaotique, purement imaginaire. Mon échec n’est pas dû à mon insuffisance, mais à mon manque de foi et, mon inaction pessimiste subséquente.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> Du fait qu’il y avait obligation de moyens, performances, résultats et, réussite, donc un enjeu important pour moi, cela bloquait tout. Je perdais tous mes moyens, stressais et, j’échouais. Tout cela, car je ne croyais pas en moi ni, en mes capacités et, possibilités de succès !


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Pour m’éviter de stresser, m’angoisser, d’être paralysé, je me dis que comme les entraînements de conduite déjà eus, l’examen est similaire. Il n’en est que les reproduction et, répétition exactes. Cela signifie que je suis censé, déjà, parfaitement maîtriser ce qui doit l’être. Que je suis donc totalement apte à réussir à l’identique et, de nouveau, les conditions étant à cette fin réunies, étant prêt, entraîné et, expérimenté, pour cela.

 

Assuré ainsi d’obtenir mon examen, je pourrai donc être conducteur, posséder une belle voiture et, circuler longtemps. De façon pratique, libre et, autonome. Cela sera, car je le veux, le vaux et, que je m’en donne les moyens !

 

Tous les espoirs m’étant permis, je suis donc confiant et, j’ai un « moral d’enfer ». Je crois en moi, mes aptitudes et, je me bats résolument, pour parvenir, en un état d’esprit conquérant. Mon dur labeur est le garant de ma réussite.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

Je remplace mes émotions négatives de stress, par des sentiments positifs, neutres ou, a minima, pour commencer, moins défavorables et intenses. Je ne retiens que les émotions les moins toxiques et, les plus bénéfiques, pour moi. Ainsi, je cultive surtout, plus que jamais, l’optimisme.

 

Je suis impavide car je sais que faisant mon maximum, pour donner le meilleur de moi, je réussirai sans entraves. Cela me rend serein, efficace et, déterminé, envers et contre tout.

 

L’amour propre me dissuade de renoncer et, d’échouer. Je veux être fier de moi-même et, que l’on soit fier de moi. Je suis donc condamné à travailler dur et, à réussir, au mieux. Il n’y a nulle autre alternative possible et, tout échec m’est donc interdit. Alors, « à bon entendeur »…


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative, de difficulté à faire face aux enjeux, au moment des faits : 8/10. Un certain temps après : 3/10. En cours de suivi, actuellement : 2/10. Niveau d’intensité d’émotion positive, d’aptitude à bien remplir mes obligations, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 8/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Pour être en un bon état d’esprit apaisé, avant l’épreuve, je me détends, en échangeant paisiblement avec les autres candidats. Cela m’aidera à bien passer et, réussir l’examen. Je me sers de tout ce qui est à ma portée, possible et, susceptible de me réconforter et, m’encourager, avant l’épreuve. Pour me renforcer, m’apaiser, réussir. Plus que jamais, je demeure mobilisé, combatif, déterminé, tenace.

 

Je suis et me projette déjà, en « des lendemains qui chantent » pour moi. Je pratique la projection mentale positive, me vois au volant d’une superbe voiture, que je conduis à ma guise, qui me mène où je veux. Le permis en poche et, ma dulcinée à mes côtés, pour de beaux et bons voyages.

 

Je suis un gagnant et, je me comporte comme tel, avec l’état d’esprit positif de conquérant. Je me fixe des objectifs et les bons, je m’en donne les moyens, les mets en œuvre, les atteins, veille à les maintenir durablement. Je savoure la victoire ainsi permise, par mes efforts, talents et, mérites.


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Les défis, les devoirs de victoire et, de succès, qui m’incombent, ne me font pas peur. Tout au contraire, loin de m’abattre, ils ne font que me galvaniser, de façon optimale, productive, constructive, fructueuse. J’ai la réussite en tête, au cœur et, aux tripes et, je la fais ainsi toujours mienne, sans contredit !


 

 


34- Mon Sentiment de Tristesse et de Déprime


 

 

§ Mon objectif : je passe de la mélancolie la plus profonde, à la plénitude absolue. Il s’agit d’une affaire d’état d’esprit favorable, entretenu sans relâche. Je suis bien plus heureux que je ne le crois toujours. Je suis atone, car je ne sais pas que je suis enviable !


 

 


– Mes Faits Circonstanciels Incriminés –


 

 

Préparant une formation, j’ai dû interrompre mes études, car le travail exigé était trop rude pour moi. Devoir abandonner, ce qui était pour moi un lourd échec, m’a affecté et déprimé. M’a conduit au repli sur moi, à l’isolement, la solitude, des difficultés relationnelles avec mes proches. J’éprouvais de la déception, de la colère, de l’inquiétude, pour mon avenir.


 

 


– Mes Pensées Négatives Dommageables –


 

 

* Je me sens abattu par un coup du sort, qui m’oblige à perdre ce qui m’importait, au premier chef. J’éprouve alors un sentiment de perte, d’arrachement, qui me déroute au plus profond.

 

Je me ressens comme diminué, amputé, d’une part importante de moi-même, dévalorisé au plus haut point. Je me traîne en mon marasme, comme un naufragé s’accroche à sa planche de salut ou, de perdition.

 

Je suis perdu, démuni, abandonné à mon triste sort, il me semble que je suis voué au pire, à tout jamais, sans pouvoir, en rien, y remédier. Cela me désespère au plus haut point.


 

 

– Mes Émotions Négatives Défavorables –


 

 

L’abattement par un sentiment de malédiction, car j’ai l’impression d’un éternel recommencement sans fin, toujours sur le même mode. Celui des déboires, déconvenues, avanies, à répétition.

 

La perte de mon identité, à force de n’être, n’avoir, ne faire, paraître, que ce que je ne veux pas, ne jamais connaître ce que je veux, je ne sais qui je suis. Je flotte dans l’irréalité de ma frustration, mon désappointement, mon dépit.

 

Le vide intérieur de me sentir démuni, perdu, dépossédé, à ce point. Cela entraîne un sentiment de déréalisation, qui me laisse exsangue et pantelant, comme si je m’étouffais, à force de ne me heurter qu’au « néant de ma vie ».


 

 

– Mes Comportements Négatifs Préjudiciables –


 

 

Je me réfugie dans le déni, l’irréalité, l’incrédulité. Je ne cherche même plus à savoir, comprendre, agir. J’admets mes déboires, comme autant de faits accomplis, inexorables et d’évidence. Je « me laisse couler à pic ».

 

Je fais comme si j’étais handicapé à vie, avec une tare congénitale, rédhibitoire et, incapacitante, définitive. J’appréhende mon sort, comme un verdict contraire sans appel, alors que « la carte et la boussole peuvent me remettre sur le chemin du salut » !

 

Je me sens comme un damné, entraîné, en une « spirale infernale », sans fin et sans fond, en des abysses desquelles je ne pourrai remonter. Cela est très angoissant et, fort désespérant pour moi.


 

 


– Mon Analyse Explicative de la Situation en Cause –


 

 

> J’ai été désolé et déçu, par la situation et, par moi-même, car malgré leur difficulté, ces études me plaisaient bien. J’aurais bien aimé et, préféré les poursuivre. Cela a remis en cause ma vocation professionnelle. En outre, étant encore célibataire et, désolé de l’être, être aussi en échec scolaire n’a fait que renforcer, douloureusement, mon échec sentimental. Ces deux impasses cumulées n’ont pu qu’aggraver mon marasme personnel. Mon estime, ma confiance et, mon affirmation de moi n’en ont été que plus écornées encore.


 

 


– Mes Pensées Positives Alternatives Bénéfiques –


 

 

o Il est vrai, qu’en cette année d’études, je ne suis pas très bon et, j’ai de réelles difficultés. Or, de façon tout aussi réelle, tout n’est pas perdu et irrémédiable, pour autant. Je me dis que je peux toujours me battre, pour m’en sortir, plutôt que de me tourmenter, m’accabler, « baisser les bras ». De façon négative, défaitiste, pessimiste.

 

Je pense qu’au lieu de renoncer, sans combattre, je peux faire l’effort de persister, mieux travailler, me faire aider, de façon tenace, résolue, assurée. Cela m’assurera de meilleurs résultats et, le succès. Rien n’est encore gagné, mais rien n’est davantage perdu. Je continue le combat, sans renoncer ni, me laisser abattre. Je ne suis pas amoindri ni, battu, car je peux toujours reprendre mes études, redoubler, retenter ma chance…

 

Je ne suis pas définitivement vaincu, car je peux toujours « rebondir », me reconfigurer, repositionner, pour repartir de plus belle, sur de meilleures bases. Faire autrement, plus, mieux, de façon plus adaptée et, accessible pour moi.


 

 

– Mes Émotions Positives Alternatives Favorables –


 

 

Je délaisse mon dégoût, mon stress, mon énervement, face à l’adversité. Même dans le pire malheur, il est toujours possible de conserver espoir. Même triste de ma dure situation présente, elle peut s’améliorer, en faisant face. Je peux donc être serein. Je me modère et, m’apaise, pour éprouver calme et, maîtrise de moi-même. Ce qui me rend résilient.

 

La repersonnalisation consiste, pour moi, à me raccrocher au réel, à mon vrai moi intérieur profond. En introspection, je m’interroge sur mon identité, ce que je veux faire de ma vie. Je définis un cap, des objectifs et, je m’y tiens.

 

La plénitude intérieure est atteinte, par une mécanique mentale d’hygiène morale de vie. Pour cela, j’élude les parasites néfastes, qui m’entravent et, m’étouffent. Je ne me concentre que sur les ferments, qui assurent ma paix de l’âme. J’y puise tous les éléments qui nourrissent mon bonheur et, entretiennent ma vitalité et, ma joie de vivre.


 

x Niveau d’intensité d’émotion négative d’abattement, au moment des faits : 9/10. Un certain temps après : 2/10. En cours de suivi, actuellement : 1/10. Niveau d’intensité d’émotion positive de joie de vivre, après mon accompagnement, ayant travaillé sur moi-même et, allant mieux : 8/10.


 

 

– Mes Comportements Positifs Alternatifs Fructueux –


 

 

Je fais contre mauvaise fortune bon cœur, gardant, malgré tout, le sourire, faisant bonne figure. Je suis réaliste, pragmatique, j’accepte la situation telle qu’elle est, même si elle ne me convient pas et, me heurte.

 

Je ne suis pas diminué ni, démuni, pour autant. Au lieu de me replier sur moi-même, ce qui ne fait que m’enfoncer encore plus, en mon marasme. Je persiste à aller vers les autres. Je n’hésite pas à faire part de mes difficultés, cela m’aide, me soulage. J’écoute les difficultés des autres et, cela relativise mes propres déboires, voyant qu’il peut même y avoir pire que moi. Je ne suis pas le seul à souffrir ! Je ne fais pas subir à autrui mes déconvenues, il n’y est pour rien.

 

Je ne suis pas enchaîné, mais libre et, apte à m’en sortir. Je me bats pour régler mes problèmes positivement, tel est le début de ma « guérison ». Au lieu de me punir et, de punir les autres, en restant rageusement coupé du monde, je conserve une vie sociale accomplie. Car, comme humain, je suis un être social et sociable. Je ne peux vivre ni sans ni, contre les autres, mais avec et pour eux, pour mon équilibre et, le leur !


 

 


– Mon Nouvel Atout Maître Bienfaisant –


 

 

# Ma vraie nature est mon bonheur de vivre, envers et contre tout, en dépit des coups du quotidien, grâce à eux, même. Au lieu de me tuer, mes marasmes me renforcent. Mes bénédictions existentielles sont ma joie quotidienne. Je sais toujours les savourer, à leur juste valeur. En « mes béatitudes et mes malheurs », je rends grâce de ma chance d’être, sans maudire ni, médire du sort, quel qu’il puisse être. En véritable gage de félicité, inconditionnelle et éternelle.


 

 


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