AndroJeunoCoaching / AdoJeunesse 5


 

 


                          

 

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LES CONCEPTIONS PÉDAGOGIQUES

DE LA NATION POUR VOTRE JEUNESSE


 

 

L’orientation, de vos études, métiers, se fait plus, par défaut, hasard, que par adhésion, vocation. Les critères, de votre sélection, vos formations, privilégient, des aptitudes, purement, techniques. Au détriment, de vos intelligence, audace intellectuelle, originalité, pleine finesse d’esprit. Vos établissements d’enseignement constituent, une offre éducative, non toujours, « lisible », pour vous, jeune, votre famille. Parents, enseignants, élèves, sont des partenaires, d’éducation, aux rapports, « qui ne vont jamais, de soi ».

 

Vos rythmes, choix éducatifs, d’élève, gagneraient, à être mieux adaptés, à vos réalités, besoins, attentes, d’adojunior. Les conditions matérielles, pédagogiques, de vos études, sont encore, très perfectibles. Vos débouchés professionnels, de formation, sont des plus aléatoires. Vos réussites académiques, de junior scolarisé, sont insatisfaisantes. Le nombre, des diplômés annuels, par filières, niveau, d’études, est encore, bien trop modeste, proportionnellement, à la masse, de scolarisés. Par rapport, aux pays étrangers occidentaux, homologues .


 

 

Charlie a quinze ans, il débute, sa scolarité, au lycée. Timide, il est rejeté, par ses condisciples, qui le perçoivent, comme, différent, d’eux, donc, inintéressant. Son professeur, de littérature, l’apprécie, car il le juge brillant. Charlie est isolé, marginalisé, souffre, du suicide, de son meilleur ami. Puis, deux élèves, de terminale, Patrick et, une fille, Sam, l’adoptent, l’introduisent, parmi leurs relations. Ils lui permettent, de s’intégrer, découvrir, les joies de la vie, mieux profiter, des délices, de la jeunesse, en études. Charlie tombe amoureux, de Sam… Ainsi, débute, la trame, du film, Le Monde de Charlie, (Comédie dramatique, S. Chbosky, États-Unis, 2012), tiré, du roman épistolaire, du réalisateur : Pas raccord. (États-Unis, 1999)801.

 

Cette fiction illustre très bien, à quel point, le milieu scolaire, d’un adolescent, influe sur lui et, combien, la personnalité, d’un jeune, va conditionner, son environnement d’études et, sa scolarité. Il s’agit alors, de mieux préparer et, d’aider, un adojunior, à s’adapter, s’intégrer, à l’univers académique. Comme, de ménager, le cadre, d’études, convenant, à tout adojeune, susceptible, de l’épanouir. Les conditions, de la réussite, psychique et scolaire, sont très liées, car l’élève reste, toujours, avant tout, un junior, non, l’inverse ! Les blocages scolaires, de toutes sortes, viennent souvent, de sa mauvaise prise, en compte.


 

 

Orientation, sélection, formation

De votre nouvelle génération en études


 

 

Orientation, est un terme féminin, de 1874, pour le sens, qui nous intéresse. « Action, de donner, une direction déterminée ».

(Dictionnaire, de la langue française, Robert, France, 2007)802.

 

– Coaching Jeune XY – Paris 16 –


 

 

Concernant, les études, il s’agit, pour chaque adojeune, de décider, de la formation, qu’il souhaite. En tenant compte, de certains « paramètres ». En vue, d’un exercice professionnel, donné. En France, le système, de l’orientation scolaire, reste bien trop, « flottant », aléatoire, très incertain. Tant, pour le choix, des établissements, d’enseignement, des filières, d’études, métiers, du projet global, d’avenir, scolaire et professionnel, de chaque junior. Les structures, d’orientation, restent insuffisantes, en nombre, compétences.

 

Les conseillers d’orientation psychologues, demeurent, trop peu nombreux, leur approche, bien trop théorique, parcellaire. Pour véritablement, éclairer, concrètement, les adojeunes, sur l’ensemble, des cursus, d’études, et, des métiers existants. L’orientation, des élèves, se fait, encore et toujours, plus, par défaut, échec, hasard, dépit et, résignation, que par adhésion, réussite. L’empirisme l’emporte trop, encore, sur la planification rigoureuse, des études, comme, des carrières professionnelles.

 

Trois grands critères incontournables, de l’orientation scolaire, des métiers, des jeunes, sont à prendre, en considération. Ils sont encore, trop souvent, éludés, aux dépens, des juniors. Les appétences personnelles propres. Les capacités, résultats scolaires, effectifs. Les débouchés réels, concrets juvéniles, quant à leurs formations, emploi futur. La nomenclature, des cursus, d’études, est encore, trop complexe, peu lisible, pour les jeunes et, leur famille. L’orientation scolaire reste un véritable, « parcours, du combattant ».

 

Les cursus non généraux sont, encore et toujours, discriminés. Ils accueillent, prioritairement, non, les juniors, dont, c’est la vocation, mais, ceux, que l’on juge « indignes », des études « classiques », si discriminantes. De grands progrès, restent, à accomplir803. Aucune information valable, n’est directement, d’office, donnée, aux jeunes, dans les établissements même, d’enseignement. L’ « opacité », demeure la règle. Les conseillers d’orientation sont psychologues, pas experts, en métiers, débouchés, d’emploi.

 

Les rares organismes existants, en la matière, sont défaillants, lacunaires. Citons, les Cio, Centres d’Information et, d’Orientation, avec bases de données documentaires, les psychologues conseillers d’orientation. Les Cidj, Centres d’Information et, de Documentation Jeunesse, sites Web spécialisés. Les publications spécifiques, sur les études, métiers, de L’Étudiant, l’Onisep, l’Office National d’Information, sur les Études et, les Professions… Également, les salons spécialisés, comme, celui, de l’Étudiant. Les portes ouvertes, des écoles, métiers, chambres de métiers et de l’artisanat, chambres de commerce et, d’industrie

 

Ces entités spécifiques aident, tous les adojeunes, en matière, d’orientation scolaire, d’insertion professionnelle, or, peinent, souvent, à les éclairer, pleinement. Tant, la tâche, est fort ardue, les moyens, limités, l’information détenue, diffusée, insuffisante. Seuls, les juniors, à vocations, bien arrêtées, les milieux, les plus favorisés, mieux informés, font les choix, les plus éclairés, judicieux. Car, ils ont toujours, la meilleure possibilité, d’accéder, aux filières, les plus exigeantes, quoi, qu’il arrive, quels, que soient, leurs goûts. Pour le présent, comme, l’avenir. Les autres, ultramajoritaires, vont « là, où, ils peuvent », au gré, des « possibilités restantes », plus ou, moins, grandes ou, limitées, qui s’offrent alors, à eux.

 

Il est plus, tenu compte, des « lubies » passagères, obstacles, barrant la voie, de tel ou, tel, type, d’études. Que des appétences authentiques, aptitudes, résultats scolaires réels, débouchés concrets, autorisant l’exercice, d’une profession donnée. Il arrive aussi, bien souvent, que des études soient choisies, « pour elles-mêmes » et, l’intérêt, qu’elles représentent. Sans l’attrait particulier, pour le ou, les métiers, auxquelles, elles correspondent, ce qui est, non-sens total. En outre, le maquis, des cursus, se fait, de plus en plus, dense, complexe.

 

Il est, de plus en plus, difficile, de bien relier, un type, d’études, avec l’exacte famille, des métiers, correspondante. Tant, l’évolution, en est, des plus rapides, les exigences, sophistications, complexes. Les différentes filières, d’études, choisies, par les adojeunes, en France, nous l’avons vu, le sont, selon, certains critères précis. Les goûts, capacités, débouchés, l’impossibilité, de faire, autre chose, le milieu socioculturel, l’influence, des parents et, pairs. L’imaginaire personnel ou, encore, faire comme, une personne admirée… Nous avons déjà, passé, en revue, les différents cursus, de formation, retenus ou, qui s’imposent, aux juniors, du pays. Le diplôme choisit le jeune, plus, que l’inverse.

 

En fonction, des époques, certaines études, sont plus « courues, en l’air, du temps », que d’autres. Comme, les formations informatiques ou, encore, de santé804. L’école maintient, sa tâche première, de détermination, des « meilleurs ». Puisque, le monde, du travail, continue, de privilégier, les détenteurs, des diplômes, les plus prisés. Le rôle fondamental, de tout jeune, est, désormais, d’obtenir un label, de préférence, le plus élevé, le meilleur possible.

 

L’avancement social passe, cependant, d’emblée, plus, par le milieu socioculturel, d’origine, que par la seule, certification scolaire. En France, le diplôme acquis, dans la prime jeunesse, continue, toutefois, de conditionner, l’ensemble, de la carrière professionnelle. Du tout premier emploi, au départ, à la retraite. Désormais, il y a, raréfaction, des postes disponibles, surtout, d’encadrement et, démultiplication, des diplômes et, diplômés, de tous rangs. C’est alors, que l’appartenance, socioéconomique et culturelle, d’origine, reprend, donc, toute sa décisive importance majeure.

 

Les concours, de la Fonction publique, attirent, de plus en plus, de jeunes, car ils garantissent, en cas, de succès, un emploi sécurisé, à vie. Ce qui est fort apprécié, en ce temps, de grande instabilité professionnelle. Quoi, qu’il en soit, seuls, les meilleurs diplômes, de l’enseignement supérieur, mettent, le plus sûrement, à l’abri, du chômage, permettent, de faire carrière. Cela, est vrai, pour les seuls, diplômes, des Grandes écoles, notamment, les meilleures parisiennes, de réputation nationale. Au-delà, des meilleurs masters universitaires, professionnalisés et, surtout, labels, d’excellence, de gestion, des affaires, tels, les Mba.

 

L’école française échoue, par trop, à transmettre, des connaissances, savoirs adéquats, peine, à assurer, aux juniors, des débouchés professionnels. Elle a aussi, des difficultés, à inculquer, à ses publics, l’humanisme, qui leur est, si indispensable, pour « grandir », devenir adultes accomplis. Être, d’ « honnêtes hommes, femmes », selon, la terminologie même, des « beaux esprits », du Grand Siècle (XVIIe s.), liberté, dépassement, de soi et, plénitude. La traditionnelle instruction civique, est remise, à l’honneur, aux collège / lycée, sous l’appellation, d’Enseignement moral et, civique. Elle n’est pas assez « adaptée », pour apprendre, au jeune contemporain, le bon « savoir -vivre, ensemble ». L’ « éducation citoyenne ne parle pas, au junior », par excès, d’abstraction.

 

Elle est trop institutionnelle. Enseigner, est une véritable vocation, quasi « sacerdotale », à laquelle, l’on est appelé. Presque, à l’image, de la prêtrise, la vie monastique. Bien transmettre, exige, une triple aptitude. Brillante maîtrise, scientifique et disciplinaire. Capacité pédagogique sûre. Puis, fine connaissance psychologique, des scolarisés. Ce sont surtout, ces trois critères prioritaires, d’excellence, qui font, « Le bon prof ». Or, la synergie demeure, par trop, imparfaite, entre l’enseignant, la discipline enseignée, l’acte, de transmettre et, les élèves.

 

Cette grande « mystique », est souvent, défaillante805. Les programmes sont inadaptés, pléthoriques, des matières fort importantes, sont occultées, de façon, dommageable, pour l’adolescent. L’école néglige, sa mission éducative. Elle conforme et, sélectionne, bien plus, qu’elle ne forme. Elle s’adresse, à un modèle abstrait, d’élèves moyens, impose, un moule unique obligatoire. Elle exclut, malgré, sa massification, n’enrichit plus. Elle est inadaptée, aux jeunes. Ses moyens, pédagogiques et matériels, sont insuffisants, fort obsolètes. Les sureffectifs sont importants.

 

Ses publics ont fort changé, mais, le système demeure encore, inexorablement, coercitif. La pédagogie autoritaire, hautaine, ne peut plus convenir, aux juniors, des années 2020. La libre participation, des élèves, est trop peu, sollicitée. La culture même, des enseignants, celle, des enseignés, ne cessent, de diverger. Le malentendu, la rupture, sont consommés. Le bénéfice éducatif est, bien trop souvent, « quasi nul ». Les publics « choisis » laissent place, au « tout-venant », de la masse, dont, les attentes, diffèrent drastiquement, face, à une école, encore, si pérenne, très rigide.

 

L’école prépare insuffisamment, à la vie professionnelle et, proclame, à tort, que ce n’est pas, son rôle central. Il subsiste, un hiatus important, entre ses formations intellectuelles théoriques et, les aptitudes, impérativement, attendues, par l’entreprise. Facultés, d’adaptation, de mobilité, d’initiative et, d’autonomie, de proposition, d’efficacité et, de résultat rapide concret. Que l’école ignore, n’encourage pas encore, assez, ce qui handicape fort, ses anciens élèves. Notre école n’est plus, un « vecteur, de mobilité ni, d’ascension sociales »806. S’il est indispensable, de se former, le titre ne suffit plus. Une forte valeur personnelle, prime !

 

Les diplômes se dévaluent, par leur multiplication même, ne protègent plus, tout autant, du chômage. L’excellence socioculturelle, économique, revient, en force, au détriment, du mérite académique, personnel. Cette école a tendance, malgré, plus d’ouverture, sur l’entreprise, les sciences et, technologies nouvelles, à bien trop, s’isoler, frileusement, des influences externes. Encore, trop réputées nocives, par préjugé ancien. L’institution scolaire ignore, de façon, fort dommageable, la culture, des adojeunes, qu’elle accueille. Ceux-ci, ont des habitus culturels extrascolaires, liés, aux médias audiovisuels, au multimédia informatique, à l’Internet et, aux réseaux sociaux.

 

À des pratiques musicales, d’avant-garde, des sports inexistants, en milieu scolaire. Le fort « malentendu », entre l’adolescent, la vie extérieure moderne et, une école « dépassée », est une réalité inquiétante. Cela, compromet, l’insertion sociale, des adultes, de demain. Cette école ne donne pas assez, à tout adojunior, les clés, de son avenir. Éclairer, sur l’univers, inculquer, un humanisme et, une culture, être, un pôle dynamique, d’intelligence. Cet enseignement n’est pas « éducatif », mais, « instructif », il forme, encore et toujours, plus, des « têtes bien pleines, plutôt, que bien faites ».

 

Méthodologie, raisonnement, font défaut. Le gavage-rabâchage, le par cœur, l’emportent encore, sur la libre expression, de soi, le vrai débat interactif, au détriment, du jeune. Le cours magistral aride, l’académisme convenu, le conformisme, triomphent, de l’originalité, l’audace intellectuelles. Les besoins, attentes, des juniors élèves, sont trop ignorés, de même, que leur personnalité, capacités, goûts. Ils ne sont pas épanouis, ne se sentent pas aimés, reconnus, respectés. L’adolescent n’existe pas, du tout, en tant, que tel, or, comme, scolarisé anonyme.

 

L’école ne façonne, que l’ « élève médian », il s’y ennuie. Ses talents en sont perdus. Alors, violences, ratages, dépressions aigus, se multiplient. Très mal orientés, les jeunes effectuent leurs études, au hasard et, par l’échec, sans vocation, motivation ni, projet. Ils se sentent, non compris, écoutés, aidés, mais, rejetés, méprisés, par l’école, les enseignants, qui possèdent trop peu, de notions psychopédagogiques. Ceux-ci sont souvent, démotivés, indifférents, donc, bien peu crédibles. « Ignorant », l’adolescent, le jeune, l’école est en crise. Il s’agit, d’inculquer, aux élèves, une véritable « propédeutique, des choses, valeurs fondamentales, de la vie »807.

 

Incluant, le sens, à donner, à son existence, les valeurs intangibles universelles, le courage personnel, la droiture morale, le civisme. Les notions capitales, du droit, les meilleures clefs, pour comprendre, le monde contemporain, la psychologie ou, les relations interhumaines. Le respect anti-discriminatoire, de toutes les différences, en la tolérance, le respect, de soi, des autres, une fort solide méthode, de travail808… Les choix, d’études, de métiers, restent liés, au milieu social, d’appartenance et, au sexe.

 

Les ambitions affichées, sont bien plus exigeantes, élevées, dans les milieux favorisés, que plus populaires. Pour les études technologiques, du secondaire, les garçons optent plutôt, pour le secteur industriel, les filles, plus volontiers, pour celui, du tertiaire ou, de la gestion. Dans les études générales, les filles sont minoritaires, en filière scientifique et, majoritaires, en section économique, très dominantes, en cursus littéraire. Les métiers liés, à la technique manuelle, l’informatique, l’ingénierie, sont encore, masculins. Ceux, de l’assistance, de la comptabilité, du professorat, des écoles, demeurent fort féminins.

 

Les jeunes plébiscitent, les filières secondaires générales, les études supérieures longues. Au détriment donc, des filières technologiques, professionnelles courtes. À la fin, du collège, comme, du lycée, la moitié, des adojuniors, n’a pas encore, de choix professionnel arrêté. Les garçons ont bien plus, d’ « affinités », en matière académique scientifique, les filles, en domaine littéraire. L’orientation scolaire, professionnelle, tient encore, trop peu compte, des intérêts et, capacités, compétences, potentialités, de débouchés. De la personnalité, concernant, chaque jeune. Dans l’orientation professionnelle, des juniors, six types, peuvent être isolés.

 

Concret, réflexif, artiste, social, actif et, normatif. Le premier type, manie, les habiletés techniques. Le deuxième, est intellectuel. Le troisième, est sensitif. Le quatrième, est oblatif. Le cinquième, est directif. Le sixième, gestionnaire. L’âge moyen, des étudiants français, tourne autour, de vingt-deux ans. La plupart, sont des célibataires. Un cinquième, des étudiants, sort des études, sans diplôme. Les filles sont fort majoritaires, dans les études supérieures, car leurs performances scolaires antérieures, sont meilleures. Elles tentent plus, le bac, y réussissent mieux, que les garçons. Elles optent, plus qu’eux, pour les filières postbac et, plus complètes. (Coslin, 2007).

 

Or, elles sont, encore et, surtout, dans les cursus littéraires, tertiaires. Ensuite, en filières juridiques, économiques, de santé. Les garçons ont toujours, le grand monopole, des études supérieures, scientifiques et technologiques. Ils font, « en moyenne », des études supérieures, plus longues et, plus prestigieuses, que les filles. Or, ces dernières travaillent mieux et, plus, que les garçons. Toutefois, elles sont, moins qu’eux, carriéristes, s’engagent, affectivement, plus tôt.

 

Les jeunes populaires sont moins nombreux, que les autres, dans le supérieur, Sts et, Iut, exceptés. Moins présents encore, dans les filières, les plus prestigieuses et, socialement, gratifiantes. En classes préparatoires, Grandes écoles, formations, de santé, les enfants, de cadres supérieurs, membres, des professions libérales, sont majoritaires. Ceux, d’ouvriers et, employés, agriculteurs, le cinquième. Il n’y a, en moyenne, seulement, encore, qu’un cinquième, d’enfants, d’ouvriers, dans le supérieur.

 

De nombreux étudiants, ont des parents, eux-mêmes, déjà, diplômés, du supérieur. Les études secondaires, le bac obtenu, le redoublement ou, non, le milieu social, culturel, économique, d’origine, influent, sur la réussite, aux examens. Ainsi, la quasi-totalité, des étudiants, en santé, ont eu un bac S. Les trois quarts, des étudiants, ont un travail salarié, au moins, intermittent. Moins, du tiers, travaillent, l’été. 15 pour cent, seulement, dans l’année. Plus, du tiers, de façon continue. Les filles travaillent, bien plus, que les garçons. À partir, de vingt-et-un ans, la moitié, des jeunes étudiants, travaillent. Pour tous les étudiants, les revenus professionnels, atteignent 40 pour cent, des revenus, les bourses, les allocations, 25 pour cent et, l’aide parentale, 35 pour cent. À partir, de vingt-cinq ans, les salaires, d’emploi professionnel, deviennent la principale et, plus importante, ressource financière étudiante809.

 

L’orientation scolaire, universitaire, des jeunes français, n’est donc, ni performante ni, juste. Les critères, de sélection, sont très réducteurs et, socialement, des plus discriminants. Le seul, résultat académique, limité, aux savoirs abstraits, est appréhendé. Seule, une forme unique et, parcellaire, d’intelligence, est toujours, prise en compte, aux dépens, d’autres, notamment, manuelle. Une hiérarchie préétablie, depuis, le primaire, est validée, par l’orientation. Le milieu social, d’origine et, la qualification originelle acquise, des parents, ont un poids « exorbitant ». L’orientation, des élèves, de cursus professionnels, est définitive, faute, de réelles passerelles adéquates. Le mode, d’orientation, est très hiérarchisé. En tête, vient, la « dignité », des filières générales, au milieu, le « medium », des cursus technologiques et, en dernier, le « reliquat », des formations professionnelles, niées.

 

Au sein même, de chacune, des trois grandes filières, du secondaire, il en va, de même. Ainsi, pour les études générales, la série S, scientifique, est première, la Es, économique et, sociale, deuxième, la série L, littéraire, dernière. En matière technologique, la série Stmg, sciences et technologies, du management et de la gestion, est plus prisée, que la Sti2d, sciences et technologies industrielles et, du développement durable. En toutes qualifications professionnelles, le lycée est fort mieux, considéré, que l’apprentissage, de terrain.

 

La filière, d’ébénisterie, jugée, plus noble, que celle, de la mécanique automobile. Le féodalisme scolaire français, demeure plus vivace, que jamais. C’est encore pis, dans le supérieur, où, les très Grandes écoles, écrasent tout le reste. Où, même, au sein, de la seule, université, les disparités, les plus immenses, s’observent. Entre établissements, comme, entre filières. Paris domine, les provinces. Les filières, les plus élitistes, comme, de médecine ou, droit, l’emportent, sur les études littéraires ou, de sciences humaines.

 

La faiblesse, de l’école française, vient, notamment, de la rigidité, des possibilités, d’études professionnelles. Il y a, nombre, de cursus, or, les options accessibles, à chaque élève, sont, des plus ténues. La formation professionnelle s’adapte, trop peu, aux besoins économiques. Les jeunes concernés optent, majoritairement, pour des formations professionnelles tertiaires, courtes. Au détriment, de toutes filières, de production, qui permettent pourtant, autrement, de possibilités, d’emploi. L’apprentissage demeure, le mode, de formations, qui assure, le mieux, l’adéquation, études-emploi.

 

Du fait, de sa configuration complète, entre la théorie et, pratique, cours et, travail, en entreprise, études et, emploi. En fonction, des seuls, besoins réels, de la vie active. En France, une orientation erronée est, souvent, irréversible. En fin, de troisième, six élèves, sur dix, sont orientés, en voie générale ou, technologique et, quatre, sur dix, en section professionnelle. Le plus souvent, cette orientation engage durablement, voire, à tout jamais. Les parcours, de réorientation, sont limités, malaisés, dissuasifs. Ce qui mène, encore trop, à des orientations imposées et, des abandons ou, déqualifications, comme, à du chômage.

 

La réforme universitaire a déjà, amélioré, l’orientation, des étudiants, même si, celle-ci, demeure encore, insuffisante. Il existe, désormais, un dispositif, dit, d’ « orientation active ». Tout lycéen, a accès, à l’information, l’aide, à l’orientation, de l’établissement, de sa préférence. Le résultat étant fort mitigé, impliquant encore, bien trop peu, de jeunes, il s’agira, sans doute, de le rendre obligatoire. Dans l’intérêt, des juniors, du pays entier. Quatre-vingt-dix-mille étudiants, quittent, annuellement, l’université, sans aucun diplôme, soit, un cinquième, des sortants.

 

La mauvaise orientation, le défaut, de toute méthode, de travail, comme, l’emploi concomitant, sont les trois causes principales, de ces échecs universitaires. Les universités sont, désormais, obligées, de publier, leurs indicateurs, de réussite, d’insertion, dans l’emploi. Or, cela, reste, encore, très limité, aléatoire. Des Bureaux d’Aide, à l’Insertion Professionnelle étudiante, existent, en chaque université. La crise oblige, à bien mieux, tenir compte, des nécessités, des filières, en difficulté, d’embauche. Offres et, demandes, d’emploi, ne sont pas, en adéquation suffisante.

 

Les métiers, de services, aux particuliers, aux entreprises, sont les plus recherchés, par les employeurs. Il en va, de même, des aides-soignants, des métiers, de la vente, la restauration, certains postes, d’encadrement, notamment, d’études, comme, de recherche. Tout le système, d’orientation, est à redynamiser, harmoniser, pour lutter, contre, les abandons scolaires. Il s’agit, d’y guider, les jeunes, en « perdition ». En 2006, ont été créés, à cet effet, une délégation, un délégué interministériels, à l’Orientation810. Il y a trop, de structures disparates, d’information, sur les études et, métiers. Les juniors s’y perdent.

 

Il s’agit, de mieux, mettre en liaison, toutes les structures, d’orientation. L’on pourrait, faire figurer, la bonne connaissance, des métiers, en la formation, la pratique, des psychologues conseillers d’orientation. Cela, n’est, que peu, le cas, aujourd’hui. Notre école reste peu performante, d’un point de vue, intellectuel, académique. Elle ne permet pas, assez, une bonne insertion, dans l’emploi. Elle fragilise psychiquement, les jeunes, en les faisant douter, d’eux. Elle les démobilise, au lieu, de les encourager811. L’objectif est de rapprocher, l’école, de l’emploi. Demandes et, offres, de stages, ne sont pas corrélées.

 

La législation affirme, le lien école-entreprise. Un parcours, de découverte, des métiers, des formations, existe désormais, dans les collèges et, lycées. Or, les possibilités, de stages, sont sans cesse, plus limitées, même, sans rémunération. Toutes les conventions, de stage, école- entreprise, indispensables, sont soumises, à critères, d’obtention, très stricts. Au lycée général ou, technologique, comme, à l’université. Il convient donc, vraiment, des débuts, des formations secondaires, à la fin, des études supérieures, de familiariser, les jeunes, avec l’économie, la culture, d’entreprise.

 

Les stages seraient, bien plus, accessibles, par une meilleure coopération, écoles-entreprises. Il convient aussi, de bien plus, ouvrir, les acteurs scolaires, aux réalités, de l’entreprise. Tous les entrepreneurs professionnels, pourraient aussi, être plus présents, dans le système éducatif. Les compétences, des juniors, ne sont pas encore, assez claires, pour les employeurs, en terme évaluatif précis. Les diplômes, qualifications, ne sont pas harmonisés, lisibles. Toutes les filières, en alternance, requièrent, d’être appuyées, valorisées. Il y a, quatre cent mille apprentis, aujourd’hui, en France, dont, un cinquième, dans l’enseignement supérieur.

 

60 pour cent, des apprentissages, concernent, les Cap, Bep. La moitié, des apprentis, sont mineurs. Un dixième, ont entre vingt-deux et, vingt-cinq ans. La plupart, des apprentis français, choisissent le commerce, la construction, l’industrie, les services, aux particuliers. Les deux tiers, sont formés, en petites entreprises, de moins, de dix salariés. L’artisanat, les branches professionnelles, l’apprentissage, de l’enseignement supérieur, sont les trois grandes filières, d’apprentissage. La dernière citée, est en expansion, la plus nette. L’apprentissage se fait, par voie, de contrats, de professionnalisation.

 

Cela, concerne, tous les seize – vingt-cinq ans et, les demandeurs, d’emplois, plus âgés. Les employeurs sont ceux, qui financent, toute la formation continue. La durée minimum, est de six mois. Formation et, activité professionnelle alternent. La rémunération est une partie, du Smic, pour les jeunes. L’alternance peut, aussi, se faire, à l’école et, concerne, le tiers, des lycéens. Du Cap, au baccalauréat professionnel. La formation, d’apprentissage, en alternance, Centre de Formation d’Apprentis, entreprise professionnelle, permet, une bien meilleure intégration, d’emploi. Que les formations professionnelles scolaires. Comme, en lycée professionnel. Car, au sein, de ces derniers, la théorie domine, la pratique.

 

La réussite, aux examens, est moins bonne, en apprentissages, d’entreprise, de Cfa, qu’en lycées professionnels. C’est, aussi, le cas, de nos lycéens professionnels, par rapport, à ceux, des études générales et, technologiques. Les dispositifs, de la Deuxième Chance, sont aussi, à développer. Cent mille jeunes sortent, par an, du système scolaire secondaire, sans nuls, qualifications ni, diplômes. Pour enrayer, un tel phénomène, il y a, les Écoles de la Deuxième Chance. Cela, concerne, la formation, des jeunes, de dix-huit – vingt-cinq ans, sans qualification professionnelle ni, diplômes. Une formation personnalisée est, alors, possible. En alternance, avec rémunération, de la formation professionnelle, sous statut spécifique, de stagiaire.

 

– Coaching Jeune XY – Paris 16 –


 

 

Pour un maximum, de quatre ans. Le dispositif, « Défense Deuxième Chance », gère les jeunes, de dix-huit – vingt-deux ans, volontaires, en total échec familial, scolaire et, professionnel. Sans qualification ni, emploi, en risque, de marginalité sociale. En règle, avec la Journée Défense et Citoyenneté, Jdc, qui détecte, les difficultés éventuelles. Il y a, formation comportementale, civique, de socialisation, maîtrise, des savoirs fondamentaux, aussi, formation professionnelle, à débouchés, d’emplois. Le tout, en internat, avec même, petite rémunération. Les résultats, de ces dispositifs, sont encore, très limités, mais, encourageants. Ils concernent, un dixième, des juniors, sortant, de l’école, sans certifications : dix mille, sur cent mille. Il s’agit, donc, de réformer, toute l’école, le système, d’insertion professionnelle, des jeunes. (Sénat, France, 2009)812.


 

 

Les « lacunes », de notre éducation secondaire, comme, supérieure, sont séculaires. Il y a déjà, cinq siècles, en 1518, un jeune étudiant zurichois, se forme, à Paris. Il critique, vertement, la médiocrité et, l’archaïsme, l’étroitesse d’esprit, de l’université française, ses ravages, pour la jeunesse, d’alors. « Je me rends mieux compte, chaque jour, en quelles profondes ténèbres, se languit, la jeunesse française. De quels enfantillages, quelles tristes bouffonneries, son esprit est pénétré »…

 

Hélas, ce jugement, si sidéré, d’un jeune étranger, sur notre pâle, système éducatif universitaire, reste, d’actualité. Toujours, « en retard », il est urgent, d’en changer813 ! À défaut, de le faire, c’est le pays, entier, qui régressera, encore, un peu plus, dans le concert, à venir, des nations. Faute, de structures, d’équipements idoines et suffisants, les conditions, d’études, dans les universités françaises, sont des plus déplorables. Il est capital, de créer, au minimum, vingt-cinq universités nouvelles, portant, leur nombre, à une centaine.


 

 

Écoles, parents, enseignants, vous, enseigné

Rythmes, choix didactiques


 

 

À l’échelle, de l’Europe, un système, d’échanges universitaires, tend, à s’organiser, au travers, du continent. Ainsi, le Programme, d’Éducation et, de Formation, « durant, toute la vie », 2007-2013, ex-Socrates, regroupe-t-il, plusieurs dispositifs européens. Également, extraeuropéens, d’enseignements, secondaires et supérieurs. Comenius, enseignements scolaires. Erasmus, enseignements supérieurs. Erasmus Mundus, enseignements universitaires, de type Master. Grundtvig, parcours complémentaires.

 

– Coaching Jeune XY – Paris 16 –


 

 

Puis, Leonardo da Vinci, enseignements et, formations professionnels, non supérieurs. Lingua, langues. Aussi, Minerva, enseignements, à distance, « technologies, de l’information et, de la communication » éducatives. Il existe, également, une mobilité étudiante, des études supérieures, à l’échelle globale internationale, non européenne. Notamment, avec les universités, d’Amérique, du Nord, d’Australie, du Japon… Aujourd’hui, comme, hier, les jeunes diplômés, « s’en sortent », bien mieux, en leur vie professionnelle, que ceux, qui ne le sont pas. Les « grands diplômés », mieux, que les « moyens » ou, « petits ».

 

L’école remplit, à l’égard, de ses scolarisés, trois fonctions fondamentales. « Instruire », par la transmission, des savoirs académiques. « Permettre, de devenir, un professionnel », apte, à l’emploi, avec des débouchés concrets et, accessibles. Inculquer, un humanisme existentiel, « porteur, de sens », qui serve, de bonne « boussole, de vie », à tout junior. Ces trois grandes « missions sacrées », de l’Éducation nationale, sont fort difficiles. Tout particulièrement, en des temps, de majeures turbulences, changements et, mutations drastiques rapides.

 

En lesquels, le consensus, du contrat social, qui fonde, une société, scelle, un pacte, d’entente collective, sur l’essentiel, est moribond. Comment, bien instruire, quand, les savoirs disponibles, ne cessent, de s’enrichir et, d’évoluer ? Quelles priorités et, hiérarchisations établir ? Comment, enseigner, quand, l’information médiatique, informatique, foisonnante et, instantanée, concurrence tant, la parole, du maître ? Quand, la discipline, le respect, de l’autorité hiérarchique, verticale, entre, l’enseignant, l’apprenant, ne vont plus, de soi ? Quand, tout se périme, si vite ? Il y a crise, des transmissions académiques, car, le monde moderne privilégie, nombre, d’autres approches !

 

Toutes plus séduisantes, les unes, que les autres, aux yeux, des jeunes. Concernant, l’emploi, l’essentiel, de l’enseignement, y est encore, trop hermétique. Entreprise et, école, continuent, à largement, s’ignorer, malgré, certains progrès. Le monde, du travail, se méfie, d’une école, jugée, obsolète, inadaptée, incapable, de former, une main-d’œuvre, inapte, à satisfaire, aux exigences, de l’économie. L’école « se défie », de l’univers, d’entreprise, qui reste, à ses yeux, celui, de l’argent, du profit, de l’exploitation capitaliste, libérale, de l’homme. Notre enseignement est, demeure encore, bien trop théorique, abstrait, académique.

 

Déconnecté, de l’impératif, d’être, véritablement, directement, opérationnel, sur le marché, de l’emploi, dès, la sortie, des études. Nombre, d’employeurs, se plaignent, de la pénurie, de main-d’œuvre compétente, répondant, à leurs besoins réels. Ce qui est un comble, en un temps, de chômage, si élevé. En lequel, un dixième, de travailleurs, chôme. Un cinquième, de la génération, seize – vingt-cinq ans, actifs, souhaitant travailler. En France. Quant au type, d’humanisme, à transmettre, aux élèves, l’école se fait hésitante, ne sait pas, quel, parti prendre. Faute, de consensus, contrat social clair, en la matière, en notre pays. Où, tout, est si volontiers, sujet, à incessantes polémiques, stériles, inutiles, contre-productives. Contrairement, à bien d’autres nations, homologues.

 

L’enseignement civique ou, du fait spirituel, ne répond pas, à cette finalité, puisqu’il demeure, des plus parcellaires, limités. En résumé, notre école peine, à bien former, intellectuellement. À l’heure où, cent mille adojeunes, quittent, le système académique secondaire, par an, sans qualification. Où, notre jeunesse, reste fort insuffisamment, qualifiée, par rapport, à l’étranger. L’école ne sait pas assez, apprendre, un métier, à chaque junior. Alors, que la première tâche, de celui-ci, au sortir, des études, est de trouver, du travail, pour exercer, un métier, gagner, sa vie. Filles, comprises.

 

Former, de « beaux esprits », ne suffit plus. L’école demeure incapable, de transmettre, le moindre bagage humaniste, transversal, pluridisciplinaire, global, à toute la néogénération. L’immense majorité, quitte, ses études, sans avoir, la moindre idée, quant à la « nature, du genre humain, de sa destinée ». L’année, de philosophie, en terminales, n’a pas davantage, donné, la moindre réponse, aux « interrogations existentielles fondamentales », de la jeunesse. À un âge, où, l’on se pose, pourtant, le plus, de questions, d’ordre métaphysique !

 

Notamment, entre dix-sept et, vingt-trois ans. Le gâchis, la faillite morale, de l’école sont, en cela, retentissants ! Passé, cet âge, il est presque, toujours, « trop tard ». Qui, n’a pas mûri, ces « capitales interrogations », avant, « l’âge, d’homme », ne le fera, sans doute, jamais, plus. Pris, dans le tourbillonnant maelström, de la vie active814. Nulle, véritable éducation, pérenne, utile, ne peut s’affranchir, de ses incontournables fondements. Sa pleine essence philosophique, morale, des valeurs. Il s’agit, pour l’école, de « se réapproprier », ce qui faisait, sa force, aux origines, de la scolastique antique (VIe s. av. J.-C.-IVe s.) et, médiévale (Ve-XVe s.).

 

« Qui, suis-je ? D’où, viens-je ? Où, vais-je… Quel est, le sens, que j’entends, donner, à l’existence humaine, à la mienne propre » ? Nos juniors ont besoin, pour « se construire », d’obtenir, les réponses adéquates, à leurs méta questionnements. Il n’est pas impensable, que l’école, dans le plein respect, des croyances, non-croyances, de tous, sans prosélytisme, aucun, transcende, tous ses élèves. Leur inculque mieux, les « bases morales », universelles et intemporelles, de toute civilisation. Propres, à faire progresser, tout adolescent et, jeune, sur la voie, de la sagesse, de l’épanouissement, la réalisation et, du dépassement, de soi.

 

Le programme européen, d’échanges universitaires, d’étudiants, d’enseignants, permet, une richesse intellectuelle dense, qu’il s’agit, de saluer. Toutefois, l’on est bien loin, de la vitalité, du système universitaire nord-américain, ses moyens colossaux et, son rayonnement mondial ! Comme, de la tonicité, de l’Europe universitaire médiévale, si brillante. À l’échelle, du globe, l’Europe universitaire actuelle, « pèse » bien peu. Elle manque, de cohésion, d’unité, comme, d’uniformisation et, de cohérence. Seules, les plus prestigieuses, des universités britanniques, y émergent.

 

Une harmonisation, d’ensemble, s’impose, avec des interactions, moyens idoines, autrement, développés. Une simple « organisation, d’échange », ne saurait, y bien suffire. Les étudiants européens partent, en masse, étudier, en Amérique, du Nord, sans, que l’inverse, se vérifie ! D’immenses « progrès », restent, à accomplir ! En France, l’agence gouvernementale, Campus France, a pour mission, de promouvoir, le système éducatif national, d’enseignement supérieur. Auprès, de la « jeunesse, du monde », afin, de l’inciter, à venir étudier, en notre pays. Avec, des résultats, très variables, bien trop incertains et, insuffisants, encore, aujourd’hui815.

 

Plus, d’étudiants, des pays émergents, que des nations occidentales. Plutôt, dans les filières littéraires et, artistiques, comme, de sciences humaines, que scientifiques, commerciales. En université, plutôt, qu’en Grande école. Le rôle et, l’intervention, des parents, dans les études, secondaires et, même, supérieures, de leurs enfants scolarisés, sont capitaux. L’aide parentale, concernant, l’orientation, le travail scolaire, des jeunes, leur est souvent, très précieuse ! Les associations, de parents, d’élèves, comptent, également, beaucoup. L’on peut, alors, citer, la Fcpe, Fédération des Conseils, de Parents d’Élèves, des Écoles publiques (France, 1947). La Peep, les Parents d’Élèves, de l’Enseignement Public (France, 1966).

 

L’Apel, Association nationale, de Parents d’Élèves, de l’Enseignement Libre (France, 1935). Avec, surtout, des implantations régionales, comme, départementales. Les liens, parents / adojunior / enseignants / école, sont primordiaux, dans le secondaire, en l’intérêt même, des adojeunes, en études. Les parents participent, aux diverses instances, de gestion et, éducatives, des établissements, ont des liens, avec les enseignants, l’administration scolaire. Il est utile, de rappeler, combien, ce rôle, des parents, est capital, dans l’orientation, le travail, comme, la vie scolaire, de leur enfant, notamment, dans le secondaire. Il s’agit, même, de l’un, des facteurs, les plus discriminants, qui soient, en matière, de « démocratie scolaire », comme, de pleine démocratisation, des études.

 

Il y a, un impact socioéconomique, culturel, évident, déjà, longuement, évoqué. Nul, n’ignore, que certains adojeunes, sont bien plus favorisés, pour mener, à bien, leurs formations, que les autres. Il s’agit, des juniors, dont, les parents, sont capables, de bien, les conseiller, les aider, en la réussite, de leurs études. Notamment, concernant, le travail scolaire, à la maison et, la préparation, des contrôles. L’impact, des associations, des parents, d’élèves, est insuffisant, amené, à se développer.

 

De même, concernant, la « démocratie scolaire » et, la participation, des parents, d’élèves, à la bonne marche, des collèges, lycées. À leur conseil, d’administration, aux conseils, de classe, discipline, à la vie, des établissements. Cela, reste, encore, trop limité, malgré, les progrès, de ces dernières décennies, n’est pas assez, satisfaisant. Les relations, avec l’administration scolaire et, les professeurs, sont souvent, plutôt, lointaines, épisodiques, orageuses. Car, plus défiantes et, hostiles, de part et, d’autre, que solidaires et, concertées816. Demeure entier, le problème, de la formation, des enseignants, de tous les degrés, d’études.

 

Elle n’est plus adaptée, à notre temps, aux publics adojuvéniles, à la triple mission, de l’école, les savoirs, l’emploi, l’humanisme. Une « remise à plat » complète, devient urgente817. Depuis, la fin, des années 1960, le monde enseignant est en crise, dans le secondaire et, le supérieur. Car, la fonction, le statut, de professeur, sont, depuis, la massification, des études, dévalués, la charge se féminise, de plus en plus. Ce qui est signe, de désaffection croissante, en ce pays, pour le métier818. La gratification sociale, matérielle, de la profession, a disparu.

 

L’enseignant, du secondaire ou, du supérieur, était rare, considéré, pour son savoir « monopolistique ». Il était recruté, en milieu social favorisé. S’adressait, à des publics clairsemés, sélectionnés, de même milieu, culture, que lui-même, en attente, d’apprendre. Les Iufm, Instituts Universitaires, de Formation des Maîtres (1989), ont failli. Alors, depuis, 2013, les Espé, Écoles Supérieures, du Professorat et, de l’Éducation, forment, les enseignants, du secondaire. Puissent-elles, mieux réussir, que par le passé ! En 2019, elles deviennent les Inspé : Instituts Nationaux Supérieurs du Professorat et de l’Éducation.

 

Les professeurs sont devenus, plus nombreux, issus, de la classe moyenne ou, populaire. Ils font face, à des effectifs « pléthoriques », de culture et, milieu, très différents, des leurs. Fort étrangers, hostiles, aux savoirs académiques, y compris, en premier cycle universitaire819. Ils ont perdu, le monopole, des savoirs intellectuels, détenus, aussi, par bien d’autres métiers. Ils sont aussi, concurrencés, par les connaissances médiatiques, informatiques, des nouvelles technologies, de l’information et, la communication.

 

Leur autorité est remise, en cause, par une société, une jeunesse, récusant, la hiérarchie verticale, académique, unilatérale. Au profit, de l’interactivité horizontale. Ils ne sont pas ou, plus, reconnus ni, soutenus, par la société, leur hiérarchie, les élèves et, parents. En un monde, qui ne prise, que la réussite matérielle, leurs revenus limités les disqualifient, surtout, hors supérieur. Ils ont perdu, de leur prestige, comme, l’intellectualisme abstrait. Au profit, des cultures numériques et, « matérialistes, hédonistes et, consuméristes ». De l’immédiat, du prêt-à-consommer, de la facilité, l’éphémère jetable et, de l’artifice, du superficiel.

 

Les enseignants ne sont plus, à l’abri, des violences, outrages verbaux et, physiques. Ce qui était fort impensable, il y a, seulement, un demi-siècle. Leur formation n’est plus adaptée, aux réalités, du monde contemporain, des jeunes, des savoirs actuels, de l’emploi, l’humanisme, du vingt-et-unième siècle. Connaissances, savoirs brillants, pédagogie sûre, psychologie fine, de l’adojeunesse, sont à revoir, de fond en comble. De même, gestion, des crises, du stress, management, des groupes, communication, pour leur formation, d’enseignants, d’excellence. Le malaise enseignant est, également, dû, au manque, de redéfinition, du rôle, de l’école, des finalités, de l’enseignement, d’aujourd’hui, de leur mission, d’éducateurs.

 

En ces conditions, le mal-être psychique, de plus en plus, d’enseignants, ne cesse, de croître, en fait, un « métier, à hauts risques ». Le film, Le plus beau métier du monde, (Comédie, G. Lauzier, 1932-2008, France, 1996), en rend bien compte. L. Monier, professeur, d’histoire-géographie, à Annecy, est muté, en région parisienne. En un collège, très difficile, de banlieue, des plus « défavorisées ». Il se voit alors, attribuer, la classe, la plus dure, de quatrième technologique, qui le traite, sans ménagement aucun, en l’indifférence générale. Il doit faire face, aux pires avanies820.

 

Les enseignants, du secondaire, comme, du supérieur, ne sont pas formés, à appréhender, comprendre, aider, aimer, faire progresser, leurs publics juvéniles. Ils maîtrisent, leur discipline spécifique, mais, ne sont pas assez aptes, à bien la transmettre, intéresser, les juniors. Leur connaissance, de la psychologie, des adolescents, des jeunes, qui leur sont « confiés », est quasi nulle. En ces conditions, ils multiplient, les erreurs, psychologiques et, pédagogiques. La plupart sont, certainement, très compétents, en termes intellectuel, savant, de recherche académique.

 

Trop peu, en matière, d’inculcation, de relations humaines, avec des juniors. Ce qui explique, en partie, le mal-être, la révolte, le désintérêt, l’échec, de bien, des adolescents scolarisés. Les enseignants, de tous niveaux, et, de tous types, d’études, se devraient, d’être capables, avec, une formation « adéquate », de bien mieux, respecter, leurs élèves. Les aimer, comprendre, motiver, encourager, soutenir et, passionner. Sous peine, du pire. Ainsi, Holden, est-il renvoyé, de son école, livré, à lui-même. Désillusionné et, en rupture, de ban, il vivra, de lourds errements.

(J. D. Salinger, écrivain américain, 1919-2010, L’Attrape-cœurs, roman, d’apprentissage, États-Unis, 1951).

 

Il y aurait alors, moins, de déchaînements scolaires, y compris, contre, les formateurs. Les enseignants sont, eux-mêmes, victimes, d’un système pléthorique, qui les dépasse. S’ils ne cessent, de stigmatiser, l’attitude irrespectueuse, de leurs élèves, à leur égard, c’est aussi, en partie, car, ils ne « respectent » pas, assez, les adojeunes ! Nous ne cessons, en notre travail, avec, la jeunesse, d’entendre, ce qu’elle rapporte, concernant, les brimades, humiliations, abus, de pouvoir, marques, de mépris, d’indifférence. De la part, de trop, d’enseignants ou, soi-disant tels, à l’égard, de leurs élèves.

 

Ce qui est particulièrement, indigne, inacceptable, de la part, de ceux, qui se prétendent pédagogues. Il est particulièrement, lâche, méprisable, de la part, d’adultes, en fonctions, de responsabilité, de profiter, de leur prééminence, pour maltraiter, des juniors, à leur merci ! Que les enseignants, de ce pays, fassent, tous, un effort, d’humilité, de respect, car ils sont, au service, des jeunes, non, l’inverse. Tout en étant, naturellement, fermes, en leur position, d’autorité. Alors, seulement, les juniors les « respecteront », bien mieux ! Il y a, trop, d’arrogance, de suffisance, dans la mentalité adulte nationale, y compris, enseignante.

 

Il suffit ! Que les profs commencent, par donner, l’exemple ! Ils sont trop souvent, « honnis, vilipendés ». Car, ils ne savent pas, s’attirer, l’adhésion, la déférence, la passion intellectuelle, des élèves, étudiants. Un exemple, si navrant, parmi, d’autres, des « avanies » infligées, aux élèves, que se permettent, encore, trop, d’enseignants. Une professeure, de français, en début, d’année, de seconde, de lycée, ose, « insulter », ses élèves, les traitant, de « bébés, de fin, de troisième ». Au lieu, de les aider, car, les jeunes sont encore, si peu familiers, avec le nouveau système lycéen ! Elle les surcharge, de travail excessif, trop lourd, pour les temps impartis.

 

Elle n’accepte pas, que cela, « bloque », du fait, de son incurie, non, de l’impéritie, des juniors. Naturellement, ces adojeunes n’ont pas été préparés, à passer, du collège, au lycée, ils sont censés, se débrouiller seuls ! Il est urgent, de « refondre », l’ensemble, d’un système éducatif délirant, qui tend, avant tout, à maltraiter, faire échouer, de plus en plus, de jeunes. Vital, de réformer, de fond en comble, la formation, le métier, d’enseignant, complètement, obsolètes. Ce qui fait, que les formateurs n’ont plus, la foi, la vocation, de transmettre. Ils ne peuvent, que réprimer, déprimer, laisser aller et, renoncer. Au plus grand dam, de la jeunesse, de ce pays !

 

Le lien capital, de confiance bilatérale, qui devait unir, apprenant et, dispensateur, de savoirs, constitue, ce que l’on pourrait qualifier, d’ « occasion perdue ». À l’origine, dès, la plus haute Antiquité humaniste, toutes les « conditions idéales », sont réunies. Pour faire, de cette belle relation, de re/transmission, maître-élève, une réussite pédagogique, humaine et, réciproque, d’exception. D’un côté, des « précepteurs », ayant vocation, passion, à maîtriser, un corpus, de connaissances intellectuelles. Mettre en œuvre, tous ses mécanismes, d’inculcation, faire progresser, éveiller, intéresser.

 

Posséder, la « pratique », de leur public adojuvénile, accorder, leur estime et, attention, à l’égard, des juniors. De l’autre, des « disciples », censément, avides, de connaître, savoir, comprendre, découvrir, s’enrichir, d’apprendre. Désireux, en émulation, de s’améliorer, se dépasser et, perfectionner. Motivés, à se préparer, pour être capables, au temps, des responsabilités adultes, de mettre, en application, les sommes assimilées, au long, du parcours, d’études. Pour accéder, au meilleur, à l’image, du « cursus honorum », de la Rome antique. Qui a tant, servi, la grandeur, du premier empire mondial, d’alors (Ier-IVe s.) !

 

Cette « configuration didactique, des plus harmonieuses », voit les pleins intérêts, des deux protagonistes, enseignants et enseignés, « coïncider ». Elle se dégrade, en trois étapes. À la fin, de l’Ancien Régime (France, 1589-1789). Au dix-neuvième siècle. À partir, de la décennie 1960. Au second dix-huitième siècle, l’adojeunesse scolarisée, conteste fort, ses études. Le primat, du religieux, des langues anciennes et, de la scolastique philosophique, littéraire et morale. Telle, qu’issue, de la disputatio dialectique, la rhétorique, de l’Antiquité romaine (VIe s. av. J.-C.-IVe s.).

 

Le dix-neuvième siècle, du Premier Empire, à la Troisième République, (France, 1804-1900), ne cesse, de connaître, maintes révoltes, jacqueries, lycéennes, étudiantes. Contre, le système établi, d’autorité, comme, relationnel, éducateurs-élèves, scolarisés-administration scolaire. Dès, les années 1960, avec, la massification, des études, l’on change, d’ « échelle éducative », pour la première fois, en l’histoire. Le lien, « prof-potache », se brise, faute, de réel consensus. École, pédagogues, juniors, en formation, se séparent, pour toujours. Depuis, un demi-siècle, le « feu sacré enseignant » : passion-vocation, à transmettre, maîtrise pédagogique, « amour », des jeunes, n’est plus, « le même ». Surtout, le « métier, d’élève », a profondément, muté.

 

Le public, d’élite, de lycéens, d’étudiants, était favorisé, motivé, intellectualisé, peu nombreux, autrefois. Son avenir était choisi, balisé, certain, prometteur. Les adojeunes adhéraient, à la « philosophie scolaire ». Leur succèdent, des cohortes juvéniles, de plus en plus, nombreuses, non préparées, sans vocation ni, centres d’intérêts particuliers. Indisciplinées et, dénuées, de tout « profil éducatif », du sens, de l’effort, de la ténacité, rigueur, méthode, de travail. Il s’agit, souvent, de jeunes, dont, les parents, eux-mêmes, n’ont pas atteint, le même niveau, d’études et, ne peuvent, être soutien didactique. De plus en plus, d’élèves, d’étudiants, effectuent, leur cursus entier, par défaut, échec, hasard et, sans nulle orientation, véritable et, adéquate821.

 

Ils rejettent, le système éducatif, ses contraintes, comme, son autorité, ses obligations. La relation, maître-élève, n’est plus basée, sur la libre acceptation mutuelle, l’échange pédagogique et, la richesse, d’acquisition. Or, sur le malentendu, l’incompréhension et, la défiance antagonique réciproques, l’ennui, la violence ou, le rapport, de force. La coercition disciplinaire verticale : physique, mentale et, intellectuelle et, l’utilitarisme, des formations et, diplômes… Le jeune ne comprend plus, l’intérêt, la finalité, des études. L’enseignant doute, est « mal formé », n’a pas, de moyens adéquats. L’école « se coupe » fort, du monde. Ses valeurs rigides, autoritaires, celles, libertaires, hédonistes, contestataires, informelles, des juniors, divergent. La motivation, à inculquer, celle, d’apprendre, ayant faibli, la relation éducative, s’est fortement, délitée822.

 

« Bon ben le bac sa c’est bien pasé j’ai eu 15 de moyenne general donc menssion bien. bref en philo, je pensai avoir mieux fait j’ai eu que 13… otant dire que je suis dessus, je pensais avoir bien assuré ».

(Le Figaro, quotidien national, d’information, article sociologique, France, 2006)823.

 

S’agit-il, de l’exécrable sabir, d’un « méchant cancre », écolier ou, collégien débutant ? Que nenni ! Celui, d’un bachelier S, mention Bien, censé être, l’élite, du secondaire français ! L’on est au cœur, de la faillite, du système éducatif national, de la baisse continue, du niveau, des élèves. Du primaire, au supérieur. Depuis, des décennies. Ce qui, en bien, des domaines, place, les « performances », de cet enseignement, parmi, les « pires, d’Occident ». Nous sommes loin, des critères, d’exigence, d’excellence éducatives, d’avant, 1914 ou, encore, 1960 !

 

Un tiers, des enseignants français, disent, « vouloir changer, de métier » ! Cela, se passe, de commentaire. La plupart, des parents, ont de grandes ambitions scolaires, pour leurs enfants, jusqu’au-delà, de l’âge, de vingt ans. Plus, le milieu socioculturel, est élevé, plus, les capacités, dépenses, attentes, souhaits, investissements, comme, stratégies éducatifs, sont importants, organisés, efficaces. Les classes moyennes, en rapport, aux milieux populaires et, supérieurs, sont les plus « motivées », en cela. Par leur mobilité sociale effective, passée, leurs espoirs, d’ascension socioprofessionnelle, future, pour leur propre descendance.

 

Les familles, les plus favorisées, bénéficient, de « moyens éducatifs » puissants. Visant alors, à maintenir, voire, à améliorer encore, la « position sociale », de leur progéniture. Au point de vue, tant, financier, informationnel, que d’influence. Les milieux populaires sont souvent, bien plus, en retrait, par rapport, au projet scolaire, de leurs enfants. Faute, de latitudes, aussi développées, que celles, des autres classes sociales. Toutefois, ceux, qui ont un niveau, de formation, d’emploi, de lien social, plus étoffé, sont plus aptes, à bâtir, pour le junior, une ambition éducative et, sociale ascendante. L’origine conditionne plus, l’avenir, que les études.

 

Les familles immigrées sont, à raison, généralement, exigeantes, quant à la réussite scolaire, de leurs enfants. Car, elles ont, la volonté, d’une fort bonne insertion migratoire. Aujourd’hui, la réussite scolaire, masculine et féminine, des jeunes, est autant, encouragée, l’une, que l’autre, par les familles. Toutefois, les garçons continuent, à se voir, plus souvent, réserver, les filières scientifiques, technologiques, industrielles, professionnelles. Les filles, les études générales, intellectualisées, littéraires, tertiaires. La majorité, des mères, suivent, au quotidien, le travail scolaire, des collégiens et, des lycéens.

 

Le plus souvent, l’aide éducative parentale est plutôt, d’encadrement, des travaux, apprentissages scolaires, d’adolescents. Tandis, que celle, des familles, les plus favorisées, est plus académique, didactique, au sens strict, en un ambitieux, coaching pédagogique. En toute famille, les tâches scolaires, des garçons, sont, toujours, plus surveillées, que celles, des filles. Les études masculines, peuvent sembler prioritaires et / ou, car, les garçons, peuvent être considérés, comme, souvent, plus rétifs, à la « chose scolaire »824.

 

En outre, l’usage, des enseignements particuliers, du soutien scolaire, se répand, de plus en plus, du haut, en bas, de l’échelle sociale. Cela, accentue, le niveau, d’études, des jeunes, qui en ont besoin et, assure, la « paix scolaire », des familles. Les parents favorisés utilisent, les cours individuels, en une optique, d’optimisation, des capacités académiques, d’excellence, au lycée. En un cadre privé contractuel, géré, par la famille. Les familles, plus modestes, usent, plutôt, d’un objectif, de remise, à niveau, par le biais, de structures non payantes, publiques, scolaires ou, sociales, dès, le collège.

 

Les loisirs culturels et, sportifs extrascolaires « aident », aussi, les adojuniors, à renforcer, leur plein « capital, proprement, éducatif ». Or, ces activités constituent, un vecteur, hautement, discriminant, selon, les milieux sociaux. Ceux, qui sont, les plus favorisés, optent, pour des pratiques, à « haute valeur socioculturelle et, sportive scolaire ajoutée ». Il en va, de même, pour les lectures savantes et, à fortes teneurs intellectualisées. Le choix, d’un établissement scolaire, est aussi crucial, entre le domaine public et, le privé et, au sein même, du service public éducatif national. Il conditionne aussi, l’échec ou, le succès.

 

Seuls, les milieux sociaux, les plus favorisés, sont encore, les plus aptes, à outrepasser, la carte scolaire, concernant, le choix, du collège ou, lycée public. Pour obtenir, en dérogation, de fait, sinon, de droit, les meilleurs, d’entre eux. Les autres familles se contentent, habituellement, de l’établissement, de leur secteur, « commis, d’office ». Car, cela, ne leur disconvient pas ou, car, elles ne peuvent ou, ne savent pas agir, très différemment. Même, en cas, de changement, demandé et obtenu, les parents populaires choisissent, des établissements, fort similaires, à ceux, de leur sectorisation. Pour raisons, de « convenances homéostatiques sociologiques ».

 

La plupart, des parents, privilégient aussi, le lien, avec les enseignants, de leur descendance, car, ils l’estiment bénéfique, en l’intérêt, du jeune. Les professeurs sont plus réservés, en un souci surtout, de pleine sauvegarde, de leur souveraineté académique. Les contacts, parents-enseignants, s’amenuisent fort, à mesure, que l’on s’approche, de la fin, des études, de collège, puis, de lycée. Ils sont bien plus nombreux, dans l’enseignement privé, qu’en celui, du public. Les parents, les plus « favorisés », sont plus enclins, à vouloir rencontrer, les enseignants, les chefs, d’établissement et, autorités éducatives externes. Par exigence et, aisance sociale.

 

De façon générale ou, en cas, de difficultés particulières, du junior. Les parents plus modestes ont, plutôt, tendance, à se distancier, des enseignants, surtout, les migrants, notamment, si le jeune est en perdition. Particulièrement, car, ils sont culturellement, très peu proches, à l’aise et, familiers, de l’institution enseignante, ses représentants pédagogues. En outre, ils sont mal vus, du corps professoral, tenus, en opprobre, car, jugés inaptes, bien peu compétents, en leur tâche éducative. Depuis, 1968, les parents entrent, aux conseils, d’administration, de classe, des collèges et, lycées. En outre, depuis, les années 1980, les parents ont droit, de cité, dans la pleine gestion, des établissements.

 

Ils sont également, membres, de droit, des commissions départementales, comme, académiques, de l’Éducation nationale. Les associations, de parents, d’élèves, sont donc, la Peep, les Parents, d’Élèves, de l’École Publique, qui promeut, l’action, des parents, au sein, de l’école publique. La Fcpe, la Fédération, des Conseils, de Parents, d’Élèves, revendique, la démocratie scolaire publique, laïque et, gratuite. L’Apel nationale, l’Association, des Parents, d’Élèves, de l’Enseignement Libre, celui, du privé, veut défendre, la parfaite liberté, d’enseigner. Les particularismes, de l’éducation chrétienne, par rapport, à l’école publique.

 

Ces organismes sont en « crise », comme, tout organe représentatif, idéologique, militant, d’aujourd’hui. Du fait, du déclin, très accéléré, de la crédibilité, des vertus éducatives, face, au consumérisme scolaire. La Fcpe « traditionaliste », est la plus touchée, par cette nette érosion, d’adhésion, suivie, par la Peep, alors, plus « moderniste ». L’Apel n’est pas concernée, par la désaffection parentale, car elle associe, « libre-service pédagogique » et, valeurs éducatives consensuelles, de tous ses adhérents. L’enseignement privé, particulariste et, plus restreint, présente, peut être, bien plus, de cohésion, que son homologue, du public, plus pléthorique, hétérogène.

 

Concernant, le « projet scolaire, comme, d’emploi », des collégiens, les exigences professionnelles, des adolescents, sont très fortes. Ils plébiscitent, les activités, d’encadrement, et, libérales. Les filles aiment bien les emplois, de type traditionnellement, connoté « féminin » et, les responsabilités, liées, à des études poussées. En une optique, d’ascension sociale. Les garçons, notamment, de familles, les plus modestes, ont des visées moindres. Leur promotion socioculturelle passe, à leurs yeux, par des avancées sociales, exogènes et, extrascolaires.

 

Comme, le sport professionnel, de « très haut niveau », de compétition. Le destin scolaire, professionnel, véritable, des jeunes, ne commence vraiment, à se dessiner, qu’à partir, du lycée. Même si, la plupart, des juniors, n’ont pas encore, de « vrai projet, d’emploi ». Chez les élèves, d’excellence, pour qui, le métier, est grand synonyme, d’accomplissement, de soi, d’équilibre propre, la profession n’est jamais, utilitaire. Or, « patrimoniale » et, d’exception. Les lycéens moyens, des filières non scientifiques générales, ne voient pas encore, leur vie active future.

 

Faute, de claires représentations et, d’assurances et, par leurs peurs, du néant et, d’échec, à venir. Les lycéens technologiques et, professionnels, des filières, les moins gratifiantes, ne se donnent pas, de projet, de métier. Car, ils n’entrevoient, leurs études, que telle, une parenthèse, précédant, une mise au travail répulsive, à leurs yeux. Les élèves, des lycées, d’enseignement non général, de sections, plus « élitistes », parviennent, quant à eux, à lier, études et, parcours professionnels. Les filles, en lycée général, visent, l’épanouissement personnel, les garçons, la réussite, d’objectifs, de paliers précis. En matière, d’études, d’emploi.

 

En secteurs technoprofessionnels, les garçons aspirent, à la stabilité, au contentement, de vie personnelle. Alors, que les filles rejettent, les modes, de vie, parentaux classiques et, visent, l’ambition sociale ascensionnelle. Même si, elles croient, bien moins, que les garçons, en leur destinée, ce qui réduit, d’autant, le champ, de leur avancée sociale. Il en va, de même, des filles, des filières générales. Elles savent, que les hommes dominent encore, largement, le marché, du travail. Qu’elles seules, auront, à affronter, à la fois, emploi professionnel et, vie, de mère, de famille.

 

Une bonne partie, des étudiants, ignorent, quelle sera, leur destinée professionnelle, après, la fin, des études supérieures. Les ambitions socioprofessionnelles, de ces jeunes, n’en sont pas moins, généralement, élevées. Ils souhaitent, en outre, jouir, du maximum, d’intensité, et, de durée, de leur existence estudiantine. Les étudiants diffèrent, en leur projet, d’avenir, plus ou, moins, bien établi, clair, solide et, pertinent. Selon, les filières, d’études suivies, les types, d’établissements, d’enseignement supérieur, fréquentés, l’adhésion intellectuelle réelle, à leurs études. La projection professionnelle et, l’insertion, dans le système, de formation, choisi825.

 

Dès le début, des études collégiales, les jeunes s’éloignent, des connaissances, comme, des enseignants, car le savoir, se spécialise. Que le maître, unique, du primaire, fait place, à un enseignant différent, par matière. L’adhésion intellectuelle, aux disciplines transmises, est fort conditionnée, par les professeurs, eux-mêmes et, leurs qualités didactiques. Plus, que par la chose académique. Ainsi, que par les pairs, qui peuvent donc, encourager, par leur exemple, l’excellence scolaire ou, la desservir. Il y a, consumérismes, utilitarisme, instrumentalisations, des études, en fonction, des centres, d’intérêt.

 

Ainsi, les garçons sont-ils, globalement, bien plus attentifs, aux matières scientifiques, les filles, plutôt, aux disciplines littéraires. Au lycée, l’attachement culturel, pour les « choses, de l’esprit », est plus tangible, car, il dépend moins, de l’enseignant, des parents, des résultats scolaires. Les exigences, du cursus, la finalité, du baccalauréat, comme, des études supérieures, accentuent, encore, la « marchandisation », des études. Le lycéen, d’ « excellence sociale et, académique », travaille beaucoup, survalorise, la culture scolaire, de la performance, pour ne pas être déclassé et, maintenir, rang et, avance.

 

Le lycéen, socialement et, scolairement, « moyen », vise, la rentabilité, la maximalisation, de son labeur, ses résultats, d’études. Le lycéen, « de milieu modeste », cherche, généralement, à se maintenir, à un niveau, de notes, acceptable, honorable. Le plus souvent, selon, la filière lycéenne suivie, il y a, d’autant plus, d’investissement personnel, scolaire, de l’élève, que la matière concernée, est importante. À fort coefficient, de notation, dans l’année et, au bac, pour le cursus concerné. Dans les études supérieures, il y a, une « corrélation », très étroite, entre l’intérêt, pour la formation choisie et, la réussite, l’épanouissement, l’insertion, qui en dépendent et, résultent.

 

Nombre, de jeunes, « s’égarent, s’étiolent », encore, en leur formation supérieure, faute, d’adaptation, à un système éducatif, si différent, nouveau, plus exigeant. À défaut, d’une méthode, organisation, du travail, adéquates. Il y a, souvent, fort hiatus, entre la maîtrise académique nécessaire, la volonté juvénile, de récréativités nouvelles, permises, par l’éloignement, de la famille. Les moindres surveillances, du système universitaire. Au collège, les jeunes sont, très globalement, démobilisés, démotivés, désenchantés, à l’égard, de leurs études. L’adolescent n’arrive pas, à comprendre, la chose scolaire, son intérêt et, y adhérer.

 

Il se sent dépassé, incompris, peu soutenu, en situation, de blocage, compromettant, l’avenir. Cela, génère, nombre, d’échecs, de souffrances, de dysfonctionnements, à l’âge délicat, des bouleversements pubertaires. Le lycée est le temps, du travail et, de l’effort persévérant, car, l’élève a intégré, le fait, que cela, est gage, de sa réussite. Méthode, rigueur, divergent, selon, les jeunes, leur établissement, d’études. Les ressortissants, des lycées modestes, éprouvent, des difficultés, à mener, de pair, travail assidu, temps libre, sociabilité interjuvénile.

 

Dans les lycées privilégiés, chose scolaire et, extrascolaire sont liées, à la réussite académique, ce qui favorise, travail, de cours et, efficacité didactique. Les élèves, plus favorisés, saisissent mieux, que d’autres, les consignes professorales, ce qui accentue, leur réussite. Alors, les juniors plus modestes, se distancient plus, de leurs études. Le lycéen peut être gros travailleur ou, cancre notoire. Le plus souvent, nombre, de lycéens, font de très gros efforts, de travail scolaire, or, sans méthode, cohérence, organisation pertinente ni, efficacité. Ce qui mène, à l’échec, à la mésestime, de soi. La bonne volonté, comme, l’action, ne sont optimisées, que par la rigueur.

 

Cela, se retrouve, dans le premier cycle universitaire. En lequel, par inadaptation même, aux exigences, de l’enseignement supérieur, plus, de la moitié, des étudiants, échouent alors, fort. Notamment, dans les filières, les moins cotées. Habitus maîtrisés, net brio estudiantins, des campus anglo-américains, scandinaves et, germaniques, restent inconnus, en France. Même, dans les cursus universitaires, les plus sélectifs et, les meilleures Grandes écoles. De fait, le passage, de la terminale, à la première année, d’études supérieures, est plus difficile, que de la troisième, à la seconde.

 

Car, dans le premier cas, il y a, changement, de nature et, transition, de l’enseignement secondaire, au cursus supérieur. Dans le second, la mutation n’est alors, que de degré, ne s’effectue, qu’au sein même, de l’enseignement secondaire, même, si l’on passe, du collège, au lycée. Cela, se fait même, souvent, au sein, du même établissement. Alors, qu’il y a, toujours, par définition, total changement, d’établissement, pour intégrer, l’enseignement supérieur. Sauf, pour les classes préparatoires, aux Grandes écoles, Cpge, les sections, de techniciens supérieurs, Sts. Dont, les cours sont toujours, dispensés, en lycées. La mauvaise appréhension et, la non-intégration, du fait, comme, du statut étudiants, sont gages, d’échecs.

 

– Coaching Jeune XY – Paris 16 –


 

 

Les collégiens accordent, beaucoup de prix, aux liens humains, aux enseignants, ainsi, qu’à la qualité, comme, l’engagement pédagogiques professoraux. En toute fin, de premier cycle, du secondaire, la relation, entre adojeunes et, enseignants, s’est dégradée, défiance, rancœurs, conflits, l’emportent. Le rapport, à l’enseignant, compte fort aussi, au lycée. Le lycéen favorisé entrevoit, le professeur, sous l’angle intellectuel, didactique. Le lycéen « populaire » apprécie, l’enseignant, apte, à le mobiliser, le considérer ou, prendre en compte, sa propre personne.

 

Il travaille, progresse, à cette condition. La masse, des adolescents, valorisent, idéalisent, leur lien, aux maîtres. La majorité, en sont « meurtris », car, ils le ressentent, comme, dévalorisant, répulsif, arrogant, à leur encontre. Bien trop, souvent, encore, « à raison » ! Globalement, les étudiants, du supérieur, notamment, universitaire, stigmatisent, la distance, l’indifférence, la « morgue », des enseignants, à leur égard826. Il y a plus, d’adhésions, au corps professoral, en filières, les plus sélectives, moins pléthoriques, de fin, de cursus. (Duru-Bellat et al., 2012, 2018)827.


 

 

À quinze ans, 98 pour cent, des jeunes, sont scolarisés. 75 pour cent, à dix-huit ans. 43 pour cent, à vingt-et-un ans. 18 pour cent, à vingt-quatre ans. 11 pour cent, à vingt-cinq ans. (Ministère de l’Éducation Nationale, France, 2012-2013)828.

 

Les enfants, d’ouvriers ou, ceux, d’inactifs, constituent, 38 pour cent, des effectifs, d’élèves, en classe, de sixième. 29 pour cent, de l’ensemble, des bacheliers. 19 pour cent, des bacheliers généraux. 15 pour cent, des bacheliers généraux, avec mentions. 9 pour cent, des inscrits, en classes préparatoires. Les enfants, de cadres supérieurs, professions libérales, constituent, 16 pour cent, des effectifs, de collégiens, de sixième. 23 pour cent, de l’ensemble, des bacheliers. 33 pour cent, des bacheliers généraux. 42 pour cent, des bacheliers généraux, avec mention. 55 pour cent, des inscrits, en classe préparatoire. (Ministère de l’Éducation Nationale, France, 2002)829.

 

À dix-huit ans, 28 pour cent, de nos enfants, d’ouvriers, ont arrêté, leurs études. 22 pour cent, sont au collège, en enseignement spécialisé, en Cap, Bep, apprentissages. 10 pour cent, sont en seconde ou, première, de lycée. 24 pour cent, sont élèves, de terminale. 8 pour cent, sont en Iut ou, Sts, secteur paramédical, social. 9 pour cent, sont étudiants, d’université et, de classes préparatoires. À dix-huit ans, 5 pour cent, des enfants, de cadres, ont arrêté, leurs études. 4 pour cent, sont au collège, en enseignements spécialisés, Cap, Bep ou, apprentissage. Plus, le milieu social s’élève, plus, les études, aussi. 7 pour cent, sont élèves, de seconde, première, de lycée.

 

24 pour cent, sont en terminale. 15 pour cent, en Iut, Sts, secteur paramédical et, social. 45 pour cent, sont étudiants, d’université ou, encore, de classes préparatoires. À dix-huit ans, 19 pour cent, des enfants, de tous milieux sociaux, ont arrêté, leurs études. 16 pour cent, sont au collège ou, en enseignement spécialisé et, Cap, Bep ou, apprentissages. 10 pour cent, sont élèves, de seconde ou, première, de lycée. 24 pour cent, sont en terminale. 12 pour cent, en Iut, Sts ou, secteur paramédical et, social. 19 pour cent, sont étudiants, d’université, de classes préparatoires. Niveaux, à élever, encore, donc. (Cerc, France, 2002)830.

 

Les étudiants, en universités, sont 1 531 300. Ils sont 116 400, en Iut. 255 200, en Sts. 95 000, en classes préparatoires. 472 800, en « autres établissements et, formations supérieurs ». Soit, un total, de 2 470 700 étudiants, du supérieur. (Ministère de l’Éducation Nationale, France, 2014-2015)831.

 

Les enfants, d’ouvriers, constituent, 12,3 pour cent, des étudiants, d’université, en licence. 7,7 pour cent, de ceux, de master. 4,7 pour cent, de ceux, de doctorat. Les enfants, de professions libérales, cadres supérieurs constituent, 28,6 pour cent, des étudiants, d’université, en licence. 34,1 pour cent, de ceux, de master. 36,2 pour cent, de ceux, de doctorat. Les étudiants, en licences universitaires, sont 768 442. Ceux, de masters, sont 412 539. Ceux, de doctorat, atteignent, les 37 759. (Ministère de l’Enseignement Supérieur et, de la Recherche, France, 2011)832.


 

N’oublions pas que, comparativement, à l’Amérique du Nord ou, aux pays scandinaves, à l’échelle, de populations respectives, la France n’a pas encore, assez, de jeunes, en études supérieures. Notre taux d’accès, de la néogénération, à ce niveau, de formation, est moindre, insuffisant, stagne. Il faut, au moins, quatre millions, d’étudiants, avec le niveau licence, au minimum, à la fin, des études supérieures. Il s’agit, d’avoir plus, d’étudiants, plus, d’étudiants performants, mieux et, plus formés et, plus, de diplômés, en rapport, au nombre, d’étudiants.

 

Ce ratio est fort mauvais. Notre enseignement, de tous niveaux, sera d’excellence, quand, il fera plus réussir, qu’échouer. Nous en sommes, encore, fort loin, avec un taux d’échec, dépassant, les 50 pour cent, en premier cycle universitaire. Actuellement, les bacheliers, visant, les filières d’université, en France, choisissent, surtout, quatre cursus. Droit, médecine, psychologie, sports. Or, il s’agit, de disciplines sélectives, à débouchés, des plus limités, peu d’emplois disponibles !


 

 

Vos conditions, débouchés

Succès d’instruction d’adoJeune formé


 

 

Les rythmes scolaires, de votre enseignement secondaire français, sont en complet déphasage. Par rapport, à votre chronobiologie, chronopsychologie, d’adolescent, de jeune, vos capacités, besoins. Vos rythmes, charges, de travail, sont excessifs, très mal répartis, contre-productifs. Il convient, de s’inspirer, des modèles étrangers, notamment, allemand et, brésilien, bien plus, équilibrés et, réalistes. Qui réservent, les activités intellectuelles, à une demi-journée, le reste, aux activités extrascolaires, sportives, culturelles ou, artistiques…

 

La qualité, de vos études, ne serait, non seulement, pas altérée, mais, y gagnerait, car, vous, jeune y seriez bien plus, épanoui, reposé, attentif833 ! Le calendrier annuel, de vos cursus d’études, vous, adojeune français, du secondaire et, du supérieur, n’est jamais, adapté, à vos rythmes de vie, de junior. Nous avons, l’une, des années scolaires, les plus courtes, d’Occident. Avec, le plus, de vacances, les plus grandes concentrations, d’heures, de cours, par jour, semaine, mois, année. Extrêmes surcharges !

 

– Coaching Jeune XY – Paris 16 –