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Public XY AdoJeunesse AdoJeunoPratique 6 Résumé Contact




































































































































VOTRE ASSURANCE DE GARÇON JUNIOR
ESTIME, CONFIANCE, AFFIRMATION DE VOUS
L’assurance, de vous, telle, qu’enseignée, en votre coaching de vie d’Andro-AdoJeunoConseil®, consiste, à vous apprendre, à vous aimer, vous accepter, vous réconcilier, avec vous, au temps, de votre jeunesse masculine. Croire, en vous, autrui, la vie, votre destin, en confiance. Vous renforcer, vous imposer et, « oser », en tant que vous-même et, junior.




































































































































Kyle, dix-sept ans, se suicide. Son père, psychiatre, voit, sa vie, s’écrouler. Quelques années, plus tard, il est amené, à s’occuper, de Tommy, jeune tourmenté, au passé lourd. À huit ans, il a assisté, au meurtre, de sa mère, par son père. L’adolescent est placé, en institution, il n’est pas encore, jugé apte, à s’intégrer, de façon, autonome. Le praticien retrouve, en lui, son propre fils, disparu. Le cas est, des plus complexes, d’autant, que l’adojeune, est écrasé, par le poids, d’un affreux secret. Tommy est très violent, il assassine, un autre garçon.
La vérité, se fait jour : en réalité, c’est lui, qui a tué, sa mère indigne, qui l’agressait et, non, pas, son père. Le praticien le protège alors, de lui-même, l’empêchant, de se suicider. N’ayant pu, « sauver », son propre fils, Kyle, il parviendra donc, néanmoins, à préserver, un autre jeune, du « pire ». L’adolescence n’est pas, un « traumatisme », en soi, mais, nombre, d’adolescents, sont traumatisés, en souffrance et, désemparés. Ils sont, alors, soit, abattus, surtout, les filles, qui retournent, leur mal-être, contre, elles-mêmes. Soit, agressifs, surtout, les garçons, qui s’en prennent, alors, plutôt, à autrui.
Il peut, aussi, y avoir, alternance, voire, concomitance, des deux états. Quand, dans la brousse, un grand fauve, est blessé, par un chasseur, il devient, « fou furieux » et, charge, « tout, ce qui bouge ». Devenant, alors, des plus dangereux ! Il en va, ainsi, des juniors. Plutôt, que de seulement, s’indigner, des violences, capacités, de nuisance, de certains jeunes, la société doit, plutôt, s’interroger. S’interpeller, elle-même, quant aux causes profondes, des dérives, déviances juvéniles. Une jeunesse bien traitée, respectée, écoutée, intégrée, est fort épanouie, pacifique et, n’agresse pas ! Une nouvelle génération attaquée, discriminée, exclue, malheureuse, devient vindicative, hostile, violente, réserve, le pire. Aux adultes, de savoir, quels, jeunes, ils veulent, par leur attitude. Les cadets, sont bien, à l’image, des aînés, lesquels, ont donc, la descendance, qu’ils « méritent » fort !
(The Unsaid, Sous le silence, drame & thriller cinématographiques, du réalisateur américain contemporain, T. McLoughlin, États-Unis, 2002)806.




































































































































Vous aimer, accepter, « réconcilier
Avec vous-même », à l’andro-adoJeunesse
Foi, est un terme féminin, du dixième siècle, issu, du latin, fides, confiance ou, croyance. Cela, signifie, la « confiance absolue, que l’on met – en quelqu’un ou, en quelque chose -. Le fait, de croire, à un principe, par une adhésion profonde, de l’esprit, du cœur, qui emporte, la certitude ».
(Dictionnaire, de la langue française, Robert, France, 2007)807.
– Coaching Jeune XY – Paris 16 –




































































































































Le coaching de vie d’Andro-AdoJeunologie® aide, le garçon junior, à acquérir, la « paix, de l’âme », la sérénité complète, de ce qu’il est, en pleine légitimité. En totale réconciliation, avec soi, autrui, la vie. L’assurance est l’estime, l’acceptation, de soi. La confiance, en soi, autrui, la vie. L’affirmation, de soi. Il s’agit, pour le jeune, de développer, un « amour inconditionnel », de lui-même et, se réconcilier, pleinement, avec sa propre personne. Positivité, constructivité, paix intérieure, lui permettent de, toujours, se sentir, en sécurité, concorde favorable, harmonie. Avec, soi-même, ses semblables, son existence, sa destinée, en foi absolue. En aptitude, à combattre, tous les doutes et, replis, sur soi paralysants. Pour s’intégrer, tenir, sa juste place, s’imposer, auprès, de ses « frères et, sœurs » juvéniles. Même, s’il a parfois, envie, de les haïr, voire, de les détruire !
Avoir confiance, en soi, consiste, à croire, en son aptitude, à bien parvenir, à un stade donné, de réalisation, d’exigence, de réussite. Avoir « foi, en soi », est, avant tout, être assuré, de ses compétences, performances, de junior, en coaching de vie. Ce qui permet, de s’estimer et, de s’accepter. D’avoir, confiance. Par conséquent, d’être en mesure, de s’affirmer, à ses yeux, surtout, à l’égard, des autres. La confiance, en autrui, est le fait, d’être convaincu, de la possibilité, des autres, d’être efficaces, crédibles, sûrs, dignes, de son adhésion.
De façon, générale, la confiance est l’art, de se comporter, de façon, idoine, efficace, quoi, qu’il arrive, quels, que soient, les aléas, les revers, qui affectent. La confiance juvénile permet, de se dépasser, de surmonter, les états d’âme, les doutes et, peurs, pour faire, en sorte, d’atteindre, ses objectifs. Que les choses, se passent, au mieux, pour soi. De réaliser, ses attentes. Alors, la difficulté n’est plus, un obstacle, mais, un défi, une occasion, pour faire face et, triompher. La certitude, du meilleur, du plein succès, remplace, la crainte, du pire, de l’échec complet, définitif, rédhibitoire, du jeune homme.
L’anxiété androJuvénile pourra encore, être présente, or, sera bien intégrée, dominée, comme, une variable compréhensible, mais, neutralisée. Il est, des signes, des paramètres, de confiance, qui ne trompent pas. La fixation, d’objectifs, la croyance, en des idéaux, de façon, précise et, assurée. La motivation, en ses choix, quoi, qu’il arrive. Une pensée positive systématique. La maîtrise, de ses émotions. Des comportements idoines. La certitude, de ses qualités et, sans sous-estimation, arrogance ni, perfectionnisme. De la souplesse pragmatique. Une volonté, du jeune, en coaching de vie, de progresser, s’enrichir, sans cesse.
Une bonne santé, un dynamisme, toujours, bien entretenus. L’acceptation, des risques calculés, des défis, à relever. Le maintien, de son cap, de vie, de façon, inébranlable et, sereine. La confiance, en soi, vient, donc, de l’estime, de soi. C’est-à-dire, avoir, une bonne image, opinion, de soi, en un mot, s’aimer. Être lucide, sur soi-même, quant à ses défauts, qualités, « points forts et, faibles ». Ce qui permet, de faire face, avec efficacité, à tous les événements, de la vie, heureux, comme, malheureux. Si l’adojunior croit, en ses atouts, il a confiance, en lui, il sera donc, des plus optimistes, heureux, en réussite.
S’il ne voit, que ses faiblesses, il n’a pas confiance, il sera pessimiste, en malaise, échec. Il s’agit donc, de s’encourager, en se félicitant, de ses acquis. Les autres, ne peuvent apprécier, le jeune masculin, en coaching de vie, que s’il s’estime, lui-même. Alors, qu’il se focalise, sur ses seules, forces, les cultive. S’empêche, de développer, des pensées négatives, quant à ses travers, personnels, de vie, réels ou, supposés. Son premier objectif, de vie, pour être confiant, consistera, au préalable, à faire l’inventaire, de ses compétences. Afin, de pouvoir faire, au mieux, en fonction, de toutes ses aptitudes.
Il s’agit, ensuite, de s’en convaincre, pour les mettre, en œuvre, les optimiser. De fait, ces savoir-faire sont exclusifs et, originaux, car le junior est unique, comme, chaque être humain ! Il a, des atouts et, il sait, lesquels, quand et, comment, les mettre, en œuvre. Il s’entraîne donc, d’abord, en théorie, pour pouvoir, bien, les appliquer, ensuite, en pratique. La confiance, en soi, dépend, aussi, de l’opinion, d’autrui, sur soi-même. De fait, les appréciations extérieures, sur ses talents, peuvent les révéler, à ses propres yeux, l’encourager. Le jeune devient alors, capable, de s’affirmer, adéquatement, ni trop ni, trop peu, en pleine assertivité808.
Qu’il n’hésite donc, pas, à interroger, son entourage, à propos, de ce qu’il pense, de ce qu’il est capable, de réussir, le mieux, à ses yeux. Cela, l’aide, à améliorer, ses performances juvéniles, en prenant, en considération, ses « points forts », plutôt, que ses travers, donc, à consolider, sa confiance, en lui. La bonne confiance, en soi, est liée, à une vision favorable, des choses, des autres, de soi-même. À l’inverse, concernant, le manque, de confiance. La confiance, en soi, ne peut pas porter, sur tous les aspects, de sa vie, ni, à chaque instant. Elle consiste, à bien se concentrer, sur ses « priorités essentielles », non, à suivre, la volonté, d’autrui.
La technique, de visualisation positive, consiste, à se focaliser, sur ce que le garçon junior, en coaching de vie, attend, ardemment, en et, de, son existence, de se convaincre, que cela, arrive. Cela, motive, encourage, dope, sa confiance, en soi. Il s’agit, donc, d’établir, sa hiérarchie, de priorités, de choses capitales, pour soi, afin, d’y croire, de les mettre, en œuvre, au mieux. Chaque jeune, sans exception, a des capacités fantastiques. Or, beaucoup, n’en ont pas conscience ou, n’y croient pas, assez. Les adultes ont tellement, asséné, au junior, de France, qu’il « ne valait rien », qu’il s’en est, convaincu !
Ainsi, obère-t-il, leur mise en œuvre, bride-il, ses performances, compétences, comme, ses réussites. Inutile, d’être, son propre, pire ennemi, se dévalorisant, sans cesse, notamment, par rapport, aux autres. Chaque jeune homme, en coaching de vie, est unique, indispensable, comme, utile. Il convient, alors, de se convaincre, de la réussite, de fréquenter, des personnes, qui croient, en soi, de devenir, « ce que l’on est et, veut être ». Le junior est, ce qu’il est convaincu, d’être. « Qui, se considère, comme, grand, est et, restera, grand ! Qui, se conçoit, comme, petit, est et, demeurera, petit » !
Alors, dès, maintenant, se forger, une confiance, en soi, solide, s’opère, par un mental fort, positif, optimiste, constructif, favorable. C’est-à-dire, productif. Il s’agit, aussi, de détruire, les doutes, inutiles, toxiques, qui desservent. La plénitude physique, psychique et, spirituelle, est en jeu, à ce prix. Que le jeune, se défie fort, de ses croyances négatives et, autolimitatives, car, elles sont, très nuisibles, contre-productives. Elles ne reflètent pas, le réel, mais, sa juvénile vision pessimiste, des choses. Qui, se conçoit, comme, assiégé, en océan, de malveillance, danger, le vit, douloureusement. De façon, catastrophiste et, désastreuse, finit, par s’autodétruire809.
Ce qui empêche, le junior, en coaching de vie, d’être heureux, de réussir et, d’atteindre, ses objectifs. Génère, faute, de sérénité, confiance : angoisses, stress, déprimes. Pénible sentiment, d’insécurité, de vulnérabilité, faiblesse, d’indignité, de déchéance. Beaucoup, d’émotivité excessive, aussi. Il s’agit, de remplacer, la systématique, généralisation structurelle, négative, par un pragmatisme réaliste et, conjoncturel positif. La logique plaintive, du ressentiment, mène, au blocage et, à l’échec. Par passivité, réactivité, mise en cause, d’autrui, au lieu, d’être actif, proactif, interactif, responsable.
Il s’agit, de muter, soi-même, d’agir, pour modifier, le cours, de la conjoncture, sans, se perdre, en conjectures androJuvéniles. Les gratifications positives viennent, toujours, quand, on les saisit, à pleines mains, jamais, quand, l’on se contente trop, de les attendre, en vain. Il convient donc, de remplacer, la rancœur, par le choix, la décision, l’action. Ainsi, l’on opte, au lieu, de subir, l’on réussit, au lieu, d’échouer, de façon, épanouie, non, dépressive. Au lieu, de s’obséder, des blocages passés, l’adojeune tend, tous ses efforts, vers, les objectifs fixés. Le mouvement remplace, l’immobilisme, comme, l’attentisme. L’adaptabilité, fait suite, aux rigidités.
Pour asseoir, sa confiance juvénile masculine, en soi, il convient, de se défaire, de tout lien familial, abusif, toxique. À l’égard, de tous membres, de la famille, il s’agit, de bien préserver, l’intégralité, de sa souveraineté. Quoi, qu’il arrive, en pleins respects mutuels, de tous et, de chacun. Quand, le jeune, en coaching de vie, est capable, de vaincre, les difficultés, des plus anodines, aux pires, cela, accroît, toute sa confiance. Sa capacité, à faire face, à se consolider, de l’intérieur, face, à tous les aléas, revers, de l’existence. La meilleure façon, pour commencer, à restaurer, la confiance défaillante, du jeune, consiste, à détruire, tous les « démons, poisons » négatifs, qui lui nuisent.
À l’instar même, de tumeurs malignes, rongeant, tous les organes sains. Ordre, rigueur, méthode, effort, exigence, organisation, sont les maîtres mots, d’un tel programme, régénérateur. Il vaut mieux, prévenir, que guérir, gérer, que faire face, à des dysfonctionnements, si nocifs. Les convictions dévalorisantes, hostiles, sur soi-même et, sa vie, « sapent », les bases mêmes, de l’estime et, l’acceptation, la confiance et, l’affirmation, de soi. Ainsi, le junior aura tendance, à juger et, se comparer, aux autres, en rivalités jalouses, même si : « Comparaison, n’est pas raison ». (Proverbe français, XIIIe s.)810.
À toujours, les trouver, « mieux, que soi » et, soi-même, « moins bien, qu’eux ». Tout ceci, est fort subjectif, repose, sur ses estimations, fort erronées, non, sur des éléments, objectifs avérés, concrets, tangibles. Or, le jeune, en coaching de vie, prend, ces élucubrations mentales, pour la pure vérité, absolue. Le cerveau les enregistre, les met alors, en œuvre. À ses pires dépens. Ce dont, le garçon junior, ne veut pas et, ce qu’il craint, se réalise, alors. La vraie confiance, en soi, ne peut provenir ni, de l’oisiveté ni, du surmenage. À soi, de déterminer, le meilleur équilibre, pour bien emplir, chacune, de ses journées.
Sans, pour autant, être « débordé ». Il s’agit, d’établir, un ordre, de priorité, d’urgence, de tâches quotidiennes, du junior, à accomplir, par ordre, d’importance décroissante. En fonction, de cela, un programme journalier, sera établi, respecté, jour, après jour, semaine, après semaine, mois, après mois. Pour rendre, le tout, efficace, il sera avisé, de remplacer, la petite voix intérieure, démobilisatrice, par celle, de la motivation, l’encouragement, l’espérance. La confiance dynamise, quand, son absence, décourage, par crainte, face, aux enjeux, défis, à relever. La peur terroriste est utilisée, pour dominer, au jeune, à la rejeter !
Bienheureux, les confiants, qui seront, dans le « contentement et, la félicité ». Malheur, aux défiants, qui ne pourront alors, éprouver, que frustrations, marasmes. Que le junior, en coaching de vie, fasse, le tri, entre, ce qui lui paraît, tolérable, positif, bénéfique, pour lui, en sa vie et, ce qui lui semble, insupportable, négatif, néfaste. Conserve et, développe, ce qui ressort, du premier genre et, élimine, résolument, drastiquement, en la mesure, du possible, ce qui relève, du second. L’on ne peut, être confiant, que si, ses besoins, les plus fondamentaux, sont assouvis.
À défaut, il y a, souffrance juvénile. L’on ne peut, apporter, aux autres, le meilleur, de soi-même, que si, l’on débute, d’abord, par bien, s’occuper, de soi, bien, traiter, soi-même. Ne dit-on pas : « Charité, bien ordonnée, commence, par soi-même » ? (Proverbe français médiéval). Que le jeune homme s’assure, donc, que son existence, est satisfaisante, équilibrée, épanouissante, à tous, points de vue. Pour la meilleure santé, physique, psychique, sociale, affective, spirituelle. Trop, donner, aux autres, se fait, à son pire détriment, trop, se gratifier, s’accomplit, aux dépens, d’autrui. En double, dommageable peine811.
Pour être confiant, il est capital, de savoir, au préalable, où, l’on va, comment, pour le mieux. L’on déterminera, les champs androJuvéniles, d’action, existentiels, pour lesquels, avoir confiance, est vital. Cela, constituera, les registres, à doper, pour développer, sa confiance, en soi. Il s’agit, de savoir, distinguer, ceux, où, culmine, la confiance, ceux, pour lesquels, la confiance, est la plus défaillante. À charge, pour soi, d’ajouter, de la confiance, là, où, il y en a, le moins, pas assez. Pour un meilleur équilibre, de l’ensemble. En matière, de fixation, d’objectifs, de fond, le système « Smart », est très connu.
Cet acronyme signifie, que chaque but donné, doit être : spécifique, mesurable, atteignable, récompensé, cantonné, dans le temps. L’objectif fixé, du jeune, en coaching de vie, sera d’autant plus, atteint, qu’il aura, d’abord, été, clairement, précisé, visualisé, sous, toutes ses coutures. Le but se doit, d’être quantifiable et, évaluable. En une modélisation, dans le temps, l’espace, les personnes, l’action, l’ampleur, le volume. L’objectif sera atteignable, réalisable, ni trop modeste, ce qui démotive ni, trop ambitieux, ce qui décourage. Il sera très réaliste et, exigeant, pour, sans cesse, se dépasser. En fortes émulation, ambition, d’excellence, du junior.
D’un coup ou, par paliers successifs, progressifs. Le but, du jeune masculin, en coaching de vie, sera récompensé, une fois, atteint. Il s’agit, auparavant, de savoir, quels, en sont, les fondements, motivations et, causes. Quel rôle, impact, y tient, sa confiance, en soi. Le jeune sera, ainsi, aiguillonné, pour agir, de façon, idoine et, réussir, au mieux. Ce qui sera, sa meilleure récompense ! La motivation sera, d’autant plus, grande, que l’objectif, sera doté, d’une date butoir, à ne dépasser, en aucun cas. Cela, poussera, grandement, sur cette voie, avec étapes intercalaires, s’il le faut.
La meilleure façon, d’avoir confiance, en soi, est de choisir, décider, d’agir, avec des buts précis, à réaliser, coûte, que coûte. D’où, l’importance, de fixer, maintenir, un cap, du junior, ferme, jusqu’au bout, de se projeter, en l’avenir. Pour bien, s’organiser, savoir, où, l’on va et, parvenir, comme, on le souhaite, « à bon port ». Avec la transition, de tous les jalons successifs, nécessaires, idoines. Pour réussir, avec un maximum, de possibilités, d’y parvenir, la marche, à suivre, est simple. Il convient, d’arrêter, une décision. D’élaborer, un programme, d’action, pour arriver, à ses fins. D’arrêter, les dispositions, qui s’imposent. De bien, évaluer, les effets adojuvéniles, réalisés812.
D’ajuster, au mieux, l’entreprise, du garçon junior, en coaching de vie, selon, les résultats, réalisés. De recommencer, si et, tant, que nécessaire, tout, ce qui s’impose, pour obtenir, toutes les retombées, attendues. S’il manque, d’assurance, il est bénéfique, de prendre « exemple, modèle », sur des personnes… exemplaires. En termes, d’élévation morale, de richesse existentielle. Que ce soient, d’autres jeunes ou, des adultes. Il s’agira alors, de reproduire, pour soi-même, ce qui paraît, hautement, positif, valorisant, chez les autres. En observant, comment, l’être admiré, aura pu, accéder, à la maîtrise, qui paraît, si désirable, que le junior voudrait, lui-même, atteindre.
Il s’agit, alors, de devenir, son « meilleur ami », en s’entraînant, s’encourageant, agissant, croyant, en soi. Au lieu, d’être, son « pire ennemi », en se dépréciant, s’apitoyant, sur soi, étant passif, encore et, toujours. L’on sera, d’autant plus, « compétent », que l’on aura, été capable, d’avoir, les objectifs, des souhaits, plus exigeants. Des critères, de valeurs, propres, plus élevés. Pour cela, l’idée, est de changer, d’agir, pour pouvoir vivre, comme, on le souhaite. Ayant conscience, de ce que, le jeune, désire, au plus profond, de lui, de ce qu’il veut, résolument, faire, de son propre destin.
Par le biais, d’objectifs juvéniles, à court, moyen, long termes, pour la vie, tout entière. Que le jeune, en coaching de vie, programme, précisément, son évolution, par une prospective, très précise, résolue. En une planification, fort rigoureuse et, respectée, pas à pas, jusqu’au bout. Invente, crée et, développe. L’obstacle est souvent, plus, lui-même, en lui, qu’en autrui et, à l’extérieur, de lui. Qu’il soit donc, son meilleur allié, considère, les autres, aussi, comme, tels. Qu’il sache, tirer, tous les enseignements, du passé, de l’expérience vécue, pour mieux, avancer. Fasse, donc, « son miel », de tout, ce qui peut contribuer, à l’améliorer, le grandir, comme, le faire progresser.
Désirant, légitimement, le meilleur, pour lui-même, qu’il ne néglige pas, pour autant, les autres, leur plénitude, intérêt. Le salut, du jeune homme, est indissolublement, lié, au leur et, réciproquement. Puis, que le junior sache, aussi, toujours, tenir compte, des indications, de son for interne, de sa conscience. Cela, lui montre, toujours, de la façon, la plus sûre, le chemin, à suivre, quelles sont, ses nécessités réelles. Le jeune comprend, ses actes, motivations, modes opératoires, orientations choisies. Il sait bien, au fond, de lui, ce qu’il veut ou, pas813.
L’adojunior masculin, en coaching de vie, sait, quels sont, « son capital, ses atouts fondamentaux », en ce bas monde. La motivation permet, d’être capable, de lutter, contre ses difficultés, les vaincre et, ainsi, d’avoir confiance, en soi. La motivation consiste, à vouloir, assouvir, ses besoins humains, tels, qu’ils ont été définis, par la pyramide, dite, de Maslow. Il s’agit donc, tout d’abord, de répondre, à ses besoins physiologiques et, matériels élémentaires. Puis, à ses besoins, en matière, de sécurité, sûreté personnelles. Ensuite, le jeune cherchera, à réaliser, ses besoins affectifs, sociaux et, relationnels.
Après, cela, il sera impératif, pour lui, d’atteindre, une satisfaction, de ses besoins, d’estime, de lui-même, de pleine reconnaissance, de la part, d’autrui. D’appartenance, à une communauté et, d’affirmation, de soi, au sein, de celle-ci. Puis, le stade ultime, est celui, de la réalisation et, de l’accomplissement, de soi. Épanouissement, plénitude, paix intérieure. Là, s’établissent, les choix fondamentaux, de toute une vie. Le junior ne se contente alors, plus, de prendre, recevoir, or, il est capable, d’offrir, de gratifier, autrui, de façon, purement, totalement, désintéressée et, altruiste. Ce qui lui permet, par la même occasion, de sortir, de lui-même.
Bien percevoir, sa motivation juvénile, permet, d’agir, en conséquence, pour atteindre, ses fins. N’oubliant pas, que la peur, des autres, de l’inconnu, peut être, efficacement, combattue, par la générosité et, l’attention, que l’on accorde, aux autres. Il s’agit, de se « décentrer », de soi-même, se focalisant plutôt, sur autrui. Que le jeune, en coaching de vie, se fixe, plutôt, sur l’image, qu’il a, des autres, plutôt, que sur celle, qu’il pense, qu’ils ont, de lui ! Dans le travail, scolaire et professionnel, la note, le salaire, sont moins, des facteurs, de motivation, que la reconnaissance.
Ainsi, dans le contexte, des études, du système scolaire, de la discipline, du lien, aux enseignants. Les conditions, d’apprentissage, la notation, les liens, avec les autres, élèves ou, étudiants. Tout cela, peut démotiver, les garçons juniors. En revanche, la réalisation, de soi, la reconnaissance, l’intérêt, des cours et, des travaux scolaires, la responsabilité, l’autonomie. La confiance, la progression, dans les études, les diplômes, le développement personnel… Ces éléments, sont de puissants facteurs, de motivation. Le système scolaire, ne fait jamais, assez, confiance, aux enseignés, en pensant, a priori, par préjugé, que les jeunes sont mauvais, subversifs, rétifs, au travail814.
Il va, alors, les enfermer, en une logique, de suspicion, de surveillance, d’autoritarisme, de stricte directivité. Cela, aboutira, à démotiver, frustrer, faire perdre, leurs moyens, aux juniors, en coaching de vie. Considérés, comme, indignes, coupables, inaptes, ils finiront, par se comporter, comme, tels. Ainsi, fonctionne, l’école française, avec toutes les conséquences, si catastrophiques, que cela, implique, pour la jeunesse. Son épanouissement, sa réussite, ceux, de son pays, tout entier. Il en va exactement, de même, en matière professionnelle. Le scolarisé, de France, ne se voyait gratifier, d’aucun crédit. Il en ira, de même, du jeune homme actif.
Voilà, pourquoi, la nouvelle génération hexagonale a, généralement, moins confiance, en elle, que celle, des autres pays, d’Occident. Ces derniers vont, alors, plutôt, mettre en œuvre, une tout autre conception. Autrement, plus positive, confiante. Il s’agit, donc, de penser, au préalable, que le jeune masculin scolarisé, travailleur, aime, adhère, à ses études ou, son emploi. Qu’il s’y réalise alors, pleinement. Qu’il fait donc, tout ce qui est, en son pouvoir, pour s’y investir, totalement, y réussir. Qu’il faut, alors, lui faire confiance, croire, en lui, lui laisser, par conséquent, toute latitude, autonomie, liberté, comme, responsabilité. L’adojunior, en coaching de vie, sera donc, compétent, efficace. Il sera, en mesure, de s’exprimer.
Il agira, par lui-même, à bon escient, car il est, le mieux placé, pour savoir, comment, avancer, au mieux. Ainsi, le climat et, les relations, de travail, seront-ils, plus harmonieux et, motivants. Pour tout élève, scolarisé ou, jeune travailleur, en la vie active, le premier vecteur, de motivation, est la réussite. Cela, contribue, à l’épanouissement, l’estime, la confiance et, l’affirmation, de soi. D’où, l’importance, de savoir, quelle est, sa propre définition, de la « réussite ». Ce que cela, implique, pour soi, ce qu’il convient, de faire, en cette optique.
Alors, la réalisation, de soi, le contentement, la motivation, du garçon junior, en coaching de vie, ne pourront, que se renforcer, au fur et, à mesure, de l’avancée, sur le chemin, de la vie. Il est important aussi, de définir, ses valeurs fondamentales, prioritaires. Ainsi, que le mode, d’existence, auquel, l’on aspire, profondément, pour soi-même. Au jeune, de savoir, quelles sont, ses priorités, de vie, ses idéaux indépassables. En matière personnelle ou, générale. Les valeurs juvéniles mènent, à des objectifs. Il s’agit, de définir, ce que sont, ces derniers, car, il ne convient pas, « d’agir, pour agir », or, bien, à bon escient815.
Ce sont des pensées, sentiments, des émotions, comportements, qui façonnent, ce qu’est, le junior, en coaching de vie, ce qu’il fait, a et, paraît. Le jeune accompli, connaît, tout ce qu’il veut, réaliser, en son existence, comment, pourquoi. Alors, il peut accomplir, ses valeurs et, avoir, pleine confiance, en lui, autrui, la vie, son destin. Éviter, de connaître, des conflits, de valeurs et, devoir, alors, procéder, à des arbitrages éliminatoires, très douloureux, impossibles, cornéliens. Pour cela, il convient, d’établir, un ordre, de priorité, entre, lesdites valeurs. Ce qui permet, de faire figurer, en tête, l’essentiel, le reste, ensuite.
Sans, ainsi, nullement, avoir, à renoncer, à aucunes. Ce qui influence, le junior, est le sens, l’importance, l’interprétation, comme, la perception, qu’il retire, très personnellement, des choses. Plus, que leur réalité, factuelle objective. Cela, relève donc, plus, de la croyance subjective, que des faits réels, avérés. Le problème est que, s’il y a, manque, de confiance, en soi, le mode, de pensée, est négatif. Ce qui aboutit, alors, à un état d’esprit et, des situations, des plus pessimistes, défaitistes, limitatifs, autodévalorisants. Soit, à des blocages, échecs dommageables, du jeune homme. Souvent, évitables, contre-productifs.
D’où, l’importance, de changer, ce mauvais, conditionnement mental androJuvénile, défavorable. Par réalisme. De fait, les probabilités, pour que les choses, « aillent fort mal », sont infiniment, plus réduites. Par rapport, à celles, que « tout se passe, pour le mieux, en le meilleur, des mondes, possibles ». Si le jeune, en coaching de vie, craint, le pire, il ne peut, être serein, avoir confiance, en lui. S’il espère, le meilleur, en est convaincu, il sera, plus heureux, confiant. Il convient, de se focaliser, sur l’essentiel. Notamment, en prévoyant, précisément, la veille, au soir, le programme précis, du lendemain.
Quant aux priorités incontournables, du jour, à respecter, par l’action. En dormant, l’inconscient, du junior, travaillera, à faire en sorte que, ce qu’il a prévu, souhaité, puisse, se produire, au mieux. Au lever, il ne restera plus, qu’à bien, s’organiser, pour que ses prévisions, les plus incontournables, puissent, s’accomplir, en meilleures conditions. Accord, concordance, avec ses valeurs, les plus essentielles. À appliquer, au mieux, avec ses activités, du jour. À la fin, de ce dernier, il s’agira, d’établir, l’analyse, la synthèse, de son déroulement. Pour mieux, faire face, à l’avenir, du jeune, le cas échéant, s’il y a eu, insuffisance, défaut, de sa part816.
Ou, aléa imprévu. Pour avoir, une bonne confiance, en soi, il est capital, d’être en accord, avec soi-même, de façon, pleine et entière. Pour cela, le junior masculin, en coaching de vie, affirmera, son identité, de façon, fort congruente, hardiment et, sans peur ni, reproche. Auprès, de lui-même, comme, des autres. Il peut commencer, par contester, toute son identité, comme, étant, fort périmée, dépassée. Ne correspondant plus, à ce qu’il est devenu, avec la fin, de l’enfance. Ce, à l’adolescence. Puis, à la fin, de cette dernière, lors, de la survenue, de la jeunesse. Puis, avec l’arrivée, de l’âge adulte. Alors, le jeune « se cherche ».
Il intègre, toute sa singularité et, son essence plénière, irréductible, à toute autre. Ce qui le mènera souvent, à son « corps défendant », à bien, des conformismes et, mimétismes. Notamment, à l’égard, de ses semblables, pour être intégré, non, exclu. Peu à peu, l’idée, de l’évolution et, du changement, d’identité, se fait jour, dans les esprits, puis, est acceptée. Puis, le junior s’approprie, pleinement, sa nouvelle réalité. Il est, existe, en fonction, de ses propres priorités, idéaux, il « aligne », ses comportements, sur ses pensées, croyances, émotions. Sa personnalité s’affermit, il se sent, plus à l’aise, en sécurité, en son parcours. Être enfin, lui-même, va permettre, au jeune, de combattre, toutes ses peurs.
Ce qu’il n’était pas, en mesure, de faire, jusqu’à présent, faute, de juvénile confiance suffisante, en lui. Ce qui l’empêchait, de progresser. Or, pour pouvoir, « livrer bataille », en finir, avec les craintes, aussi paralysantes, il convient, d’acquérir, la confiance suffisante, pour agir. La peur représente, le passé régressif, les blocages, quand, la confiance symbolise, l’avenir épanoui, prometteur, qui va, sans cesse, de l’avant. L’essentiel, est de toujours, viser, au présent, « le plus haut et, le meilleur ». Car, telle est, sa véritable destinée, d’adojeune, en coaching de vie. Jamais, ce qui est facile, médiocre, terne, limité.
Ce, à quoi, l’on n’est jamais, tenu ni, condamné ! L’intelligence émotionnelle consiste, à mieux gérer, ses pulsions sentimentales, d’affects. Bien comprendre, celles, des autres, être capable, de développer, des liens humains, épanouis, réussis. Cela, concerne sa personne, son « ressenti », d’une part. Ses aptitudes sociales et, relationnelles, avec autrui, de l’autre. Bien maîtriser, les émotions, des uns et, des autres, permet donc, au garçon junior, de réussir, en plénitude, comme, l’inverse, d’échouer, en marasme, affliction, peine817.
La meilleure façon, de neutraliser, les fort mauvais souvenirs, du passé, consiste, à dissocier, la mémoire, des faits, en cause, de l’émotion, qui leur est re/liée. Il s’agit, de se remémorer, ce qui s’est passé. Puis, le souvenir, du jeune homme, en coaching de vie, afférent. Ensuite, la spécification, de l’émotion, de sa nature, sa force. Les conclusions, à retenir, des situations subséquentes, pour se prémunir, au futur. Puis, l’élaboration, de solutions, d’améliorations, idoines. Ainsi, les événements négatifs, du passé, sont-ils « déminés », émotionnellement, tout en permettant, d’en déduire, des pistes d’avancées, pour l’avenir.
Être créatif, inventif, permet, au junior, d’augmenter, sa confiance, en lui. De même, la confiance accroît, créativité, comme, inventivité. Créer, fait appel, à l’imaginaire, pour envisager, de l’inédit. De façon, très abstraite ou, concrète. Pour avoir plus, confiance, il convient, d’innover, à tous, points de vue. Tant, de façon, fort logique, qu’intuitive. L’impératif, de rationalité, ne peut dispenser, de manifester, ses émotions, pour être épanoui, en harmonie, avec autrui. Bien percevoir, son humeur, celle, des autres, permet, d’améliorer, sa perception, de ce qui génère, une significative modification, d’humeur juvénile. Positive et, négative.
En soi et, autrui. Son caractère habituel, ce que le junior, en coaching de vie, est, « au quotidien ». En prendre conscience, permet, de le faire évoluer, si cela, s’impose. Si cet état est positif, valorisant et, bienfaisant, qu’il soit conservé, amélioré, si possible. Or, s’il est négatif, inquiet et, tourmenté, alors, que le junior, se batte, pour changer, en mieux. Ne néglige, pas davantage, son intuition, fruit, de son inconscient bénéfique, en dehors, de tout raisonnement. Cela, permet, de mieux, se connaître, se comprendre, soi-même, en toute communion, avec son tréfonds physique, psychique, affectif, spirituel.
Les émotions androJuvéniles positives, comme, la joie ou, la surprise, sont toujours, plus faciles, à mettre en œuvre, positivement, bénéfiquement. Que celles, qui sont négatives. Comme, la peur et, la colère. Or, ces dernières, encouragent, à l’action, alors, que d’autres émotions négatives, comme, la tristesse, la culpabilité, dépriment, paralysent. La « mauvaise colère » consiste, à attaquer, la personne, d’autrui. Alors, que la « bonne colère », ne vise, que les comportements, des autres. Que le jeune, sache toujours, bien différencier, les méfaits, de ceux, qui les commettent. Cela, évite, les blocages, escalades, tant délétères818.
Il suffit, de dire, les faits incriminés. Les émotions juvéniles masculines, liées. Fixer, un correctif acceptable, à la personne, en cause. Le pardon libère, le jeune, en coaching de vie, quand, la rancune, la rancœur, l’étouffent. Il suffit, pour épanouir, tous les protagonistes, en cause, de pardonner, à la personne. L’acte en cause, quant à lui, demeure, impardonnable. Les émotions toxiques, sont à détruire. Jalousie, envie, rivalité, amertume, démolissent la confiance, empoisonnent l’existence. Pour cesser, de ruminer, les vieux reproches, traumatismes, il convient, de vite, refermer, les contentieux.
Pour enfin, panser, les plaies, du junior, en se faisant, bien aider, s’il le faut. Alors, l’empathie est un excellent outil, pour cela, par la compréhension, d’autrui, non, pas, seulement, de soi-même. De même, que le pardon, comme, nous l’avons vu. Les passions terrestres positives, bien maîtrisées, sont hautement, bénéfiques, pour tout jeune. Encore, faut-il, que ce dernier, sache, les exprimer, pleinement et librement, alors, que souvent, des paralysies annihilent, les élans, inclinations existentiels. Il s’agit, de rééquilibrer, sa vie, en laissant, plus, de place, aux affects, un peu moins, à la raison. Plus, de latitude, aux actes, du junior, moins, à l’inactivité.
Il s’agit, pour cela, de suivre, ses valeurs, idéaux majeurs, de jeune, en coaching de vie, en tout premier lieu. Cela, se sent et, ne se décrète pas. Ainsi, la congruence ou, adéquation, consiste, à se comporter, selon, ce que l’on ressent. De la façon, la plus fondamentale, qui soit. Cela, est très gratifiant, productif, à la condition, de développer, un objectif pertinent, majeur, déterminant. Tout à la fois, en matière, de pensées, de sentiments, d’émotions, de comportements. La confiance, en soi, relève, d’un conditionnement mental, lié, à différents vecteurs. Le milieu, de vie, l’entourage, du garçon junior. Ses attitudes et, actions.
Ses capacités, compétences et, savoir-faire. Ses idéaux et, adhésions. Son identité propre. Puis, son essence morale, spirituelle. La concordance et, l’authenticité, entre toutes ces composantes existentielles, assurent, une bonne confiance, en soi. Bien vivre, en confiance, consiste, aussi, à fixer, ses priorités, à savoir, pourquoi, à se battre, pour les réaliser. Tout en luttant, résolument, contre la peur, le doute, le refus, de tout risque, les hésitations, les atermoiements, procrastinations. Sachant, déterminer, les rêves, que l’on veut, pour sa vie et, les réaliser, pour avoir plus, confiance adojuvénile, en soi et, en autrui819.
Privilégiant, ceux, de l’être, plutôt, que de l’avoir, du faire, du paraître. Tout en agissant, pour réaliser, ses passions. Avec force, détermination, charisme. Si le junior, en coaching de vie, croit, à quelque chose et, le désire ardemment, il augmente, ses chances, de l’obtenir. De fait, il en donne, l’ordre, à son cerveau, qui va alors, s’empresser, de réaliser, ses volontés. Si la pensée est positive, elle s’appliquera. Si elle est négative, aussi. Alors, autant, positiver ! En étant, dans la certitude, du meilleur, en l’espoir, plutôt, que celle, du pire. Que le jeune homme, sache mettre, en concordance, ses aptitudes, concentration et, pensées, émotions, actes, comportements, valeurs et, motivation.
– Coaching Jeune XY – Paris 16 –




































































































































Alors, il sera, en « plénitude, efficacité maximales ». L’objectif est de lutter, contre ses peurs, lesquelles, sont toxiques, irrationnelles. Pour cela, qu’il diminue, son anxiété, par l’action, la remplace, par la confiance, la sérénité. À cet effet, qu’il détermine, au préalable, quelles sont, ces peurs. Quelles en sont, les causes, fondements. Quelles pensées, pourraient contribuer, à les limiter. Ce qu’il convient, de bien faire, comment, quand, pour rebondir, en toute quiétude. En optimisation cognitive, émotionnelle et, comportementale, du junior. (Burton, Platts, 2007)820.




































































































































Une jeune femme, Viviane, retrouve sa famille, après, des années, d’absence. Elle revoit, ses parents et, son demi-frère cadet, adolescent, Marc. Le lycéen, de quinze ans, au contact, de sa grande sœur affranchie, décide alors, de prendre, lui aussi, son envol et, indépendance. Se libérant ainsi, lui-même, de ses enfantines entraves. Viviane le prend, « sous son aile », lui révèle, ce qu’elle a vécu. Lui faisant part, de son expérience, elle contribue, à émanciper, le garçon. Marc ne peut plus, se contenter, satisfaire, de ce qui faisait, jusqu’alors, son quotidien lycéen.
Sa sœur rencontre l’amour et, lui-même, se prend, de fascination, pour un camarade. Il quitte alors, définitivement, les « arcanes, de l’enfance », pour les vertiges, irrésistibles et inédits, des passions juvéniles adultes. Pour « grandir », l’adolescence a besoin, d’éléments déclencheurs, de « déclics », de modèles identificatoires. De points, d’appuis, d’exemplarité, d’ancrage, pour mûrir. Seul, par lui-même, l’adojeune n’y parvient pas, plus difficilement, plus mal ou, moins parfaitement. D’où, l’importance, d’adultes, sachant bien, susciter, toute l’autonomie androJuvénile.
(Les Amoureux, drame romantique cinématographique, de la réalisatrice française contemporaine, C. Corsini, France, 1994)821.




































































































































« Croire en vous, autrui, la vie, votre destin »
À votre néogénération andro
La perfection n’est pas, de ce monde, nul d’entre-vous, jeune masculin, en coaching de vie, n’êtes parfait. Or, le manque, de confiance, en vous, implique, le plus souvent, votre perfectionnisme. Lequel, à son tour, aggrave, le manque, de confiance. De fait, ne pas pouvoir atteindre, ce qui est impossible, vous fait douter alors, de vous, par persuasion, d’être incompétent. Alors, que c’est l’objectif, lui-même, qui est déraisonnable. Alors, que vous, adojunior, rejettez, l’idéal, de la perfection, tant, en vos buts, que pour votre personne, même. Sinon, cela, conduit, à votre autodépréciation permanente, à votre exténuation et, à votre déprime. Par idéalisation, des autres, « démonétisation » juvénile, de vous-même.
– Coaching Jeune XY – Paris 16 –




































































































































Il est un adage, qui dit : « Le mieux, est l’ennemi, du bien ». (T. d’Aquin, Somme théologique, op. cit.). L’obsession perfectionniste est fort incompatible, avec l’obtention, de l’excellence. L’essentiel étant, de faire, de son mieux, tout en étant, ambitieux et exigeant, mais, réaliste et raisonnable. C’est-à-dire, en acceptant, les limites, du réalisme, pour mieux, se réaliser. Tout en étant, bien moins impitoyable, avec soi. Le but est d’atteindre, ses objectifs, car cela, est faisable, épanouit, fait réussir. Alors, que la volonté, comme, la quête, de l’idéal, l’absolu, trop parfaits, rendent, des plus malheureux, font, immanquablement, échouer, le jeune.
Pour avoir, pleine confiance adojuvénile, en soi, il ne suffit pas, de gratifier, autrui. Or, encore faut-il, au préalable, commencer, par s’aimer, soi-même, s’accepter, se réconcilier, avec soi. Comme, le disent, les Écritures : « Tu aimeras, ton prochain, comme, toi-même ». (Matthieu, XXII-39, op. cit.). Certes, pas moins, mais, pas davantage, mieux. Le manque, de confiance, en soi, conduit, à ne jamais, prendre en compte, profiter, de ses acquis, réalisations, succès.
Or, uniquement, toujours, ce qu’il reste, au jeune, en coaching de vie, à accomplir et, ses insuffisances, réelles ou, supposées. Ce qui est frustrant, destructeur, générateur, d’une confiance, en soi, encore plus, réduite. Il s’agit, donc, de ne jamais, minimiser ni, oublier, ce qui est réussi et, valorisant, en son parcours. Or, de le mettre en valeur et, d’en jouir, pleinement. Il s’agit, d’admettre, reconnaître, ses limites, car nul, ne peut tout faire ni, tout connaître, seul. Il est tout indiqué, au garçon junior, chaque fois, que nécessaire, de ne pas refuser, d’office, aide, soutien précieux, d’autrui822.
Comme, de savoir, déléguer, autant, que de besoin. Le manque, de confiance, en soi, génère, peurs et doutes, quant à ses capacités, donc, atermoiements, procrastination. Alors, le jeune homme, en coaching de vie, reporte, sans cesse, ce qui l’inquiète et, n’agit pas. Ce qui le stresse, encore plus, et diminue, d’autant, sa confiance, en soi. La solution est donc, pour être capable, d’agir et, de réussir, de s’insuffler, du dynamisme, de la détermination, de la foi, en soi, de la concentration. L’essentiel, est d’être, acteur entreprenant, de sa vie et, non, spectateur, passif et attentiste, qui subit, au lieu, de prendre l’initiative.
Il vaut, bien mieux, s’activer, de façon, insécure, que se complaire, en l’inaction confortable, rassurante, du junior. Or, des plus toxiques, bien plus, dangereuse, en tant, qu’immobilisme, fort déprimant, que le mouvement. La vie est le changement, le risque, l’action, non, la paralysie ou, l’éternelle reproduction, à l’identique, du passé. Afin, de cesser, de multiplier, les fausses excuses, faux-semblants, pour ne pas agir, il s’agit, de fractionner, les tâches, à réaliser, en plusieurs jalons, successifs. Ce qui facilite, la tâche, incite plus, à oser, entreprendre. La confiance juvénile authentique, ne peut venir, que de la ténacité, la patience.
La bonne gestion, maîtrise, optimisation, du temps, du junior masculin, en coaching de vie, est gage, de bonne confiance, en soi. Pour être pleinement, productif, il convient, de : « Laisser, le temps, au temps », pour reprendre, une expression mémorable, du président Mitterrand. (Homme d’État, France, 1916-1996). Issue, d’une formulation antérieure. (M. de Cervantes, romancier, poète, dramaturge, Espagne, 1547-1616, Don Quichotte, roman d’aventures, Espagne, 1605 et 1615). La vitesse excessive, ne peut tout résoudre. Ce sont les instants, de tranquillité, réflexion, qui inspirent, les meilleures idées et, réalisations. La temporisation est fructueuse, féconde et, permet, de : « Reculer, pour mieux, sauter ». (Expression française, XIIIe/XVe s.).
Cela peut passer, par la méditation adojuvénile. Si l’inaction excessive est nocive, l’activisme forcené, l’est, tout autant. D’autant plus que, le plus souvent, le cinquième, des efforts, génère, plus, des trois quarts, des résultats, en tout domaine. Il est inutile, de « se tuer, à la tâche » et, d’être perfectionniste impénitent. Afin, que tout fonctionne, au mieux, il convient, que les buts, tiennent compte, des réalités, de fait. D’être optimiste, serein, ce qui n’empêche pas, d’être lucide. Il s’agit, de se défier, des habitudes, routines, du jeune homme, en coaching de vie, trop systématiques et, ancrées, de ses rigidités. Afin, de mieux, s’adapter, en souplesse. Pour être plus libre, moins esclave, de ses inutiles, stériles, toxiques, contraintes perfectionnistes, par doute, de soi823.
Le garçon junior, en coaching de vie, se révèle, dans la difficulté, non, pas, dans la facilité. Car, c’est en l’épreuve, qu’il se renforce, se réalise, s’accomplit, en plénitude. Qu’il se défie aussi, d’un excès, de facilité, de confort et, de sécurité, car tout ceci, est factice, réversible, lénifiant. Qui, veut, enrichir, sa vie, ne se contente pas, de ces illusoires latitudes, qui peuvent endormir, donc, se révéler, fort dangereuses. Car, à force, de se contenter, de jouir, de ses acquis, sans jamais, sortir, de son périmètre, de confort, cela, est néfaste. Peut alors, empêcher, à tout jamais, d’être véritablement, capable, de faire victorieusement, face, aux aléas, revers, de l’existence, du jeune.
Il vaut mieux, une vie heureuse, trépidante, avec moins, de certitudes et, de protections, qu’une fort morne, existence routinière, sans joies ni, surprises, en toute quiétude. Un adage italien, ne dit-il pas, qu’ « il vaut mieux, vivre, un jour, en lion, que cent ans, en mouton » ? Ce qui rejoint, alors, l’idée, qu’ « il vaut mieux, vivre, ses rêves, que rêver, sa vie ». Face, aux défis, dangers, de l’existence, tel, l’animal, le junior a trois latitudes : la fuite, la paralysie, l’attaque. Généralement, l’évitement est délétère, car il consiste, à renoncer, au lieu, de faire face, s’endormir, au lieu, de s’éveiller, en plénitude.
À se laisser vivre, au lieu, d’affronter, les réalités androJuvéniles. Aussi dures, soient-elles. Car, se confronter, à ce qui fait peur et, indispose, crée, de la confiance, en soi. Aussi sûrement, que fuir, ce qui gêne, détruit, cette même confiance. Il s’agit, d’être, « à la manœuvre », à l’origine, d’initiatives, plutôt, qu’être, toute sa vie, à éternellement, attendre, en vain. En la si pathétique position, de « sœur Anne, ne voyant rien, venir », (Perrault, 1697, op. cit.) ou, de l’Arlésienne, (Daudet, 1866, op. cit.). Dont, l’on parle, sans cesse, encore et, toujours, sans, pour autant, l’apercevoir, en chair et, en os.
Assez, de rêves, assez, d’intentions, assez, de paroles, de velléités, mais, plus, d’actions, de réalisations, de résultats, du junior, en coaching de vie. Faire face, permet, de vaincre, de vaincre, de plus en plus et, de plus en plus, « loin, haut, fort ». Cela, permet, de réduire, les peurs, les anxiétés. L’action, l’audace, dominent donc, les craintes, alors, que c’était l’inverse, auparavant. Or, cela, requiert, des espaces-temps, de réconfort, détente, recharge, d’énergies physiques, psychiques, affectives, spirituelles. Ce qui implique, pour le jeune, de savoir, se reposer, en lieu confortable, tranquille. Tout en sachant, au mieux, respirer, inspirer, comme, expirer824.
Visualisant, de façon, inventive, ce qui plaît, fait envie, « rêver », le junior masculin, en coaching de vie. De façon, positive, apaisante et, satisfaisante. Puis, retrouvant, peu à peu, la réalité, du jour, pour vaquer, à ses occupations habituelles. Alors, très progressivement, le cerveau, qui avait secrété, des ondes alpha, pour détendre, le jeune, retrouve, ses ondes bêta. Qui sont celles, de la réalité, de veille ordinaire. Le manque, de confiance, en soi, consiste, à craindre, l’échec, à en être convaincu. Alors, que la bonne confiance, en soi, fait se concentrer, sur ce qui importe, pour atteindre, ses objectifs, réaliser, les effets souhaités.
Pour parvenir, à un but ou, souscrire, à une « option » adéquate, l’on se demandera, si le dessein visé, semble désirable ou, pas. C’est-à-dire, si on l’attend, par adhésion ou, par défaut. Par réelle attirance ou, pour éviter, quelque chose, de répulsif, à ses yeux. Que le junior, sache bien, ce, pour quoi, il se bat, ce, pour quoi, il vit ! Ait, conscience, de savoir, s’il maîtrise, son but, la façon, d’y arriver. S’il lui est bien personnel ou, non. Fasse, en sorte, de savoir, s’il a répondu, à tous ses objectifs ou, pas. Identifie, la source, l’origine, de ses souhaits, pour ne pas se tromper, de destination, y parvenir.
Qu’il sache, pourquoi, il veut, telle obtention. Cela, lui permettra, de faire, des choix juvéniles, plus adéquats. Ensuite, qu’il comprenne, définisse, ce qui est nécessaire, pour obtenir, « gain de cause ». Voie, si cela, même, entraînera, des inconvénients, l’empêchera, d’accéder, à des avantages, qui lui seraient chers. Puis, détermine, ce, par quoi, il convient, de commencer, pour parvenir, droit, au but. Car, les plus grandes entreprises, de l’humanité, ont, toujours, débuté, par un tout premier pas, un premier geste et, une première action. De fait, les plus grandes, puissantes, belles idées, ne valent, que par les concrétisations effectives, qu’elles entraînent, après elles.
Le garçon junior, en coaching de vie, récoltera, généralement, ce, à quoi, il croit, profondément, assidûment. D’où, l’importance, de ne pas se tromper, d’attentes, de valeurs fondamentales. Il est capital, de se focaliser, sur ses « vrais désirs », or, jamais, sur ce que, l’on ne souhaite pas. De fait, le cerveau ne comprend, que les choses positives, non, celles, qui sont négatives. Si l’on veut, par exemple, être en bonne santé, y croit fermement, cela, sera correctement, interprété, par ledit cerveau. Qui comprend parfaitement, les desiderata, du jeune, s’ils sont bien formulés825.
Donc, appliqué, si l’adojunior, en coaching de vie, fait, également, ce qu’il faut, pour cela, bien sûr ! Or, si l’on aspire, à ne pas être malade, formulation négative, le cerveau se méprendra. Il comprendra alors, à tort, que l’on est, en une volonté, une logique, de maladie, soit, l’inverse, de ce que, l’on veut ! C’est cela, qui risque, alors, de se produire, en la réalité, des faits. À son plus grand dam ! Ce que l’on fait, ici-bas, suscite, le contexte, le milieu, en lequel, l’on existe. L’on « récolte, ce que l’on sème ». Alors, que le jeune homme fasse, en sorte, de penser, croire, ressentir, agir, de façon, à inventer, obtenir, ce qu’il veut, au plus profond, de lui-même.
Pour cela, qu’il détermine toujours, au préalable, ce qu’il souhaite, véritablement, de et, en, son existence, en confiance. Réaliser, ses vœux, les plus chers, dopera, sa confiance, en soi. De la même façon, que cette confiance, permettra, d’atteindre, ses objectifs prioritaires. Agir, en pertinence, avec ses idéaux capitaux, tout en maintenant, le cap fixé, pour son existence, conduit, à la plénitude juvénile. Le junior a fort conscience, de ses désirs. Il choisit, la meilleure façon, de les réaliser. Par une décision, clairement et, sciemment, prise, tenant compte, de tous les paramètres, en cause.
Il agit, en conséquence. Il est tenace, jusqu’au succès final, en confiance, force. Il réussit, car il le veut. Car, il sait et, il fait. Ainsi, croyances positives, puissante volonté déterminée, se conjuguent, pour que le jeune, en coaching de vie, « aboutisse », selon, ses vues. Ayant aplani, tous les obstacles, quelles, que soient, les difficultés, « avanies », rencontrées. La confiance, en ses aptitudes et, compétences idoines, pour vivre l’existence, qu’il souhaite, les renforce, l’épanouit. Tout, lui paraît, plus facile, harmonieux, satisfaisant. Au lieu, de l’abattre fort, les épreuves androJuvéniles ne font, désormais, plus, que le renforcer.
À la mode chinoise, il devient, fort capable, de bien retenir, de la notion, de crise, non, pas, l’idée négative, de difficulté, or, celle, d’occasion, très positive, pour rebondir ! Ce qui « change, la face, du monde ». Avoir confiance permet, donc, d’être heureux et, de réussir, quand, à l’inverse, le défaut, de cette même confiance, ne mène, qu’aux tourments, à l’échec. La confiance, en soi, est une voie bénéfique, réaliste, rationnelle et, objective. Qui dit, que le junior, est capable, du meilleur, qu’il le mérite, que c’est toujours, possible. Que cela, sera, fort activement, provoqué et, se produira, en conviction et, actes826.
Alors, que le manque, de confiance adojuvénile masculine, est une magistrale impasse, délétère, erronée, irrationnelle, subjective, qui persuade, du contraire. Que le jeune sache, donc, toujours, suivre, le chemin, de l’espérance, bienfaisant, plutôt, que celui, des défaitismes, les plus toxiques. Une bonne santé, physique et psychique, bien entretenue, contribue, à une bonne confiance, en soi, et, inversement. Lutter, par le jeune, en coaching de vie, contre, les mauvais stress, excessifs, est bon, pour la santé, du corps, de l’esprit, la confiance, en soi. Il en va, de même, d’une bonne alimentation, équilibrée. Bien s’exprimer publiquement, sur le fond et, la forme, de façon, aisée, permet, également, d’avoir, une meilleure confiance, en soi, et, réciproquement. D’où, l’importance, de bien savoir, maîtriser, sa respiration, pour une qualité, plus optimale.
– Coaching Jeune XY – Paris 16 –




































































































































Le fait, d’être pleinement, inscrit, en une logique permanente, de droiture morale, influe, sur la confiance, du garçon junior, en coaching de vie. En franchise, honnêteté, respect mutuels. Une bonne allure, prestance physiques, élégance vestimentaire, une assurance et, affirmation, de soi, manifestes, forgent, une bonne confiance, en soi. L’on affirme, que c’est, « toujours, la première impression, qui compte ». Raison, de plus, pour qu’elle soit, la plus excellente, possible, avec une présentation, toujours, impeccable, quoi, qu’il arrive. Des comportements et, tenues vestimentaires, toujours, adaptés, aux contextes, aux milieux habituels, en lesquels, l’on est amené, à évoluer. Sans déficits ni, excès. Mettant, en exergue, ses points forts, masquant, le reste. En une apparence, en laquelle, le jeune est à l’aise et, qui lui correspond, le mieux. L’essentiel, est d’être soi, en toute authenticité. (Burton, Platts, 2007)827.




































































































































Les sentiments juvéniles sont ambivalents, faute, de maturité et, stabilité. Deux jeunes amis, Francis et Marie, s’intéressent, à Nicolas. Ce dernier, n’encourage ni, ne repousse, ni l’une ni, l’autre, entretient, ambiguïté, doutes, silence. Il attise, le désir, de chacun, se croyant, ainsi, élu-e, aux dépens, de l’autre. Cela, mène, à la brouille, de Francis et, Marie, qui se réconcilient, ensuite. Puis, Nicolas, les repousse, tous les deux. Ils le rejetteront, à leur tour, au profit, d’un autre. « Inconstances et, constances », d’une jeunesse incertaine, « en quête, d’elle-même ».
(Les Amours imaginaires, comédie dramatique, de cinéma, du réalisateur canadien contemporain, X. Dolan, Canada, 2010).



























































































































