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Jeune XY – (Andro)Jeunesse – AndroJeunoPratique 7 – Résumé – Contact
[ VOTRE APPROPRIATION DE « SOLIDES REPÈRES » ]
EN ANDROJEUNOCONSULTING
Quelle éthique promouvoir, pour vous, junior ? L’immanence du sujet. Quelles certitudes retenir, par vous, jeune masculin ? Culture, raison, réel. Quelles vertus, vous transmettre, jeunesse ? Intérêt général, morale. Tels sont, vos enjeux majeurs, en conseil androJeunologique. Ceux, de vos déontologie et, éthologie personnelles juvéniles XY.
Deux familles, avec adolescents, vivent, en Province. Les Groseille sont, de la classe populaire. En marasme, socialement, aidée, en habitat social et, vivotant, de procédés, peu orthodoxes. Leur fils, de douze ans, Maurice, se distingue, par sa finesse, d’esprit. Les Le Quesnoy sont, quant à eux, des plus favorisés et, vivent, en une fort belle propriété. Le père est cadre dirigeant. La mère s’occupe, d’œuvres caritatives. Leur fille, Bernadette, douze ans, est perturbée.
Or, en réalité, à leur naissance, l’identité, de ces deux jeunes, a été intervertie, par pur acte, de malveillance. Maurice est donc, un Le Quesnoy, Bernadette, une Groseille. L’auteur, du forfait, finit, par avouer, l’imposture, aux parents respectifs. Maurice retrouve, alors, sa vraie famille biologique, or, non, Bernadette, qui reste, dans la sienne, « d’adoption ». Elle ne connaît, la vérité, sur ses origines, que par une indiscrétion, de Maurice. Ce qui la bouleverse. D’abord, policé, par son nouveau milieu, le garçon finit, par retrouver, ses « vieux réflexes », en volant, ses « nouveaux parents ».
Tel est, le scénario, du film, de cinéma, d’É. Chatiliez, La Vie est un long fleuve tranquille. Il pose, la question, fort intéressante, de ce qui « façonne », un jeune. La personnalité concerne, les « traits psychiques constants », de tous. Elle est issue, de l’inné, le tempérament et, de l’acquis, le caractère. L’inné sera constitué, par la génétique « biohéréditaire ». Quand, l’acquis, se nourrit, des transmissions, socioculturelles et éducatives.
Dans le film, Maurice est, biologiquement, issu, d’un milieu favorisé, avec des prédispositions intellectuelles afférentes, subséquentes. Toutefois, sa famille, d’adoption, en difficulté, marginalisée, lui a inculqué, bien, des habitudes déviantes, qu’il a conservées. Bernadette a intégré, les bonnes manières, de sa famille adoptive. Or, sous le choc, de la révélation, de ses origines, elle retrouve, les attitudes, plus « crues », de sa famille biologique. Chaque junior, est le « plein produit », de son inné biopsychique, génétique, comme, de ses acquis socioéducatifs, appris.
(La Vie est un long fleuve tranquille, comédie cinématographique, du réalisateur français contemporain, É. Chatiliez, France, 1988)1007.
– Quelle « Éthique AndroJeunologique » –
Promouvoir Pour Vous ? Immanence du Sujet
Ataraxie, est un terme féminin, de 1580, issu, du grec, ataraxia, absence, de trouble. Il signifie, « tranquillité, de l’âme. Chez les stoïciens, état, d’une âme, que rien, ne peut troubler, idéal, du sage ». Équanimité, est un terme féminin, de 1572. Il est issu, du latin, aequanimitas, de aequus, égal et, animus, esprit, âme. Il veut dire, « égalité, d’âme, d’humeur ».
(Dictionnaire, de la langue française, Robert, France, 2007)1008.
L’AndroJeunoConseil® enseigne, au junior, à maîtriser, ses états d’âme, au profit, de la paix intérieure. À dominer, ses peurs, tout comme, ses désirs, envies, besoins, par l’ascèse morale profonde. Rappelons, les fondamentaux androJeunologiques, essentiels. Confiance, choix, décision, action, responsabilité, courage, organisation, positivité, optimisme, libération, effort, audace, sacrifice, force, réussite. Enrichissement, changement, persévérance, comme, espérance… L’AndroJeunologie®, en sa mission-vocation, à servir, l’accomplissement juvénile, met à profit, certains principes indépassables. Ils seront donc, proposés, aux jeunes, comme modèles, véritable « acmé », à atteindre, en fonction, des juniors, et, de leur maturité respective. Tous, sont différents et, avancent, à leur rythme, mais, tous, ont vocation, à se réaliser, en plénitude, jusqu’à, l’accomplissement, de soi.
L’épanouissement juvénile passe, par l’autonomie et, celle-ci, par l’emploi. Alliance for YOUth, l’Alliance pour la Jeunesse, projet, d’un groupe industriel, soutient, ainsi, l’insertion professionnelle, des jeunes européens. L’AndroJeunoConseil®, à l’instar, de la psychologie moderne, promeut, pour le jeune, vingt-quatre forces, de caractère. Se trouvant, en six champs, de sagesse, connaissance. Courage. Amour / humanité. Justice. Tempérance. Transcendance.
La sagesse, la connaissance – ataraxie et, équanimité ou, juste savoir – comprennent, la créativité : inventivité propre, aptitude concrète, à parvenir, à ses fins. Il s’agit, aussi, de la faculté, de jugement : esprit critique, compréhension pratique, ouverture, d’esprit. Puis, vient, la curiosité : envie, de savoir, comprendre, s’interroger, découvrir. La soif, d’apprendre : excellence, des tâches accomplies, goût, des investigations, des avancées intellectuelles et, morales. Puis, la hauteur, de vue : relativisation, distanciation, tolérance, perspicacité, clairvoyance, esprit, de synthèse. Pour prendre, de l’élévation, mûrir.
Le courage androJuvénile – puissance mentale, physique, spirituelle, de dépassement, de soi, de réussite – est la bravoure. Affirmation, de soi, selon, ses convictions, opposition franche, faire face, quoi, qu’il « en coûte ». Assumer, toutes ses positions, même, au prix, du rejet. Quant à la persévérance, il s’agit, de ténacité, d’acharnement, d’effort, de résolution, patience, même, en la pire adversité. Sans renoncer, jusqu’à la victoire finale, l’atteinte, des objectifs fixés. Citons, ensuite, l’intégrité : faire face, aux événements, à ses pensées, émotions, comportements et, actes, en droiture, dignité, sans forfaiture.
L’enthousiasme : logique délibérée, d’optimisme, de positivité, constructivisme, confiance, du junior. L’amour / humanité – don, de soi oblatif, à autrui – se noue, en l’intelligence émotionnelle. Empathie, compassion, congruence, affectivité, ainsi, qu’adhésion, aux autres, altruisme, générosité. La bienveillance est don gratuit, à autrui, grandeur et, noblesse d’âme, se réjouir, du bonheur, des autres, s’affliger, de leurs malheurs. Puis, la sociabilité est le plaisir, des fréquentations humaines, l’intégration sociale, l’ouverture, aux liens interactifs, de toutes sortes. La capacité, à « sortir, de soi-même », pour rejoindre, son prochain. Le jeune, qui « s’empêtre », en son ego, ne peut atteindre, l’altérité, en son essence.
La justice – liberté, égalité, fraternité, équilibre légaliste, entre tous – est d’abord, le sens, des responsabilités, du junior. Sens, de la communauté, de ses intérêts collectifs, des défavorisés, honnêteté, fidélité. La droiture est le scrupule exigeant, en toutes occurrences et, la neutralité désintéressée. Face, à tous, sans implications ni, états d’âme propres et, la rectitude morale. Puis, le charisme est la pleine aptitude, à influencer, gérer, mener positivement, hommes et, événements. Motiver, mettre, de la cohérence, de la rigueur, de l’efficacité et, de la concorde.
La tempérance juvénile – autolimitations, pour soi et, autrui – est le pardon. Dépasser, les outrages, offrir, une occasion, de « rédemption ou, miséricorde », refuser, la tentation, de la rétorsion et, du châtiment. L’humilité est la modestie, le retrait, la simplicité, non, la captation systématique, des honneurs. La prudence est le rejet, des extrêmes, des risques inconsidérés, du perfectionnisme, des abus. La recherche, de l’équilibre, la réflexion préalable, l’autocensure, la surveillance, de soi. Tout jeune, se doit donc, de se forger, une « autodiscipline, de fer »1009.
Le contrôle juvénile, de soi : en pensées, émotions, verbe, actes, selon, les occurrences, les personnes, sans impulsions irréfléchies. La transcendance – ontologie, de dépassement, des aléas, d’idéal, de sens existentiel – est le sentiment, du beau. Savoir saisir, jouir, de l’harmonie, l’indicible, en toute chose. La gratitude est la reconnaissance, la gratification, le remerciement, la gentillesse, envers, les autres. L’optimisme est la certitude, de la confiance, en l’avenir, la relativisation, des adversités, conçues, telles, temporaires.
L’humour, du jeune, permet, de gratifier, la vie, même, difficile, d’une légèreté souriante. Pour surmonter, les aléas existentiels pénibles et, embellir, plus encore, les temps heureux. Puis, la spiritualité autorise, en ascèse, tolérance, de développer, un idéal moral, très élevé, pour soi. Respecter, celui, d’autrui, impartir, un sens axiologique exigeant, à son existence, de junior, en plénitude, de soi et, d’autrui1010.
H. Goltz, dit, Goltzius (1558-1617), peintre, dessinateur, graveur hollandais maniériste, achève, sa toile, Vénus et Adonis, en 1614. (Pays-Bas)1011. Cette belle œuvre, de facture, fin, de Renaissance, symbolise, tous les élans, de cœur, de la jeunesse. Deux jeunes gens, nus, garçon et fille, s’enlacent, avec amour, sur fond, de paysage champêtre. Sous le regard bienveillant, d’un Cupidon ailé, dieu romain, de l’amour, dans la mythologie antique romaine, fils, de Vénus, alter ego, du grec, Eros1012. La jeunesse est, ici, représentée, comme, l’archétype, même, de l’érotisme, la sexualité, du plaisir, du désir, de l’amour et, l’envie. Également, des affects, globalement. De fait, les juniors sont, à l’âge, où, débutent, les grands attachements, les puissants sentiments, émotions, adhésions, engagements, choix, décisions, comme, orientations. Qui peuvent, faire et, défaire, toute une vie.
Dès lors, tout jeune commence, à opter, pour le type, de liens et, relations humains, personnels, sociaux, qu’il veut bâtir, entretenir, au présent et, pour l’avenir. En l’optique, de sa réussite, son épanouissement, comme, ceux, de ses partenaires existentiels. À cet égard, l’AndroJeunologie® peut apporter, tous « éclairages utiles ». Pour que le junior sache, non seulement, « tenir compte », de sa propre personne, or, tout autant, de celle, d’autrui. Qu’il apprenne, à relativiser, son ego, captatif, pour le replacer, à sa juste dimension, oblative, en un très large, contexte relationnel. Apte, à ennoblir, la jeunesse. En humilité et, assurance, assurance et, humilité, ni Petit Chose ni, Grand Meaulnes, tout jeune, se doit, d’être… lui-même !
(Le Petit Chose, roman autobiographique, d’A. Daudet, écrivain français, 1840-1897, France, 1868 / Le Grand Meaulnes, roman d’aventure, d’A.-Fournier, écrivain français, 1886-1914, France, 1913).
La notion, de sujet, concerne, principalement, la conscience, la perception, l’inconscient, autrui, le désir juvéniles. Selon, Descartes, (Philosophe français, 1596-1650), la pensée ou, cogitatio serait re/liée, à l’aptitude humaine, à faire, comme, appréhender, instantanément, ce qui est, en train, d’être accompli. Il s’agit, du registre, de la conscience. Non, seulement, éprouver, mentalement, mais, tout autant, clairement, percevoir, le fait, de ressentir. La conscience dépeint, l’humain. La conscience, d’objet, consiste, à envisager, ce que peut, sa conscience, jusqu’où, elle peut aller.
Il s’agit d’user, de celle du junior, pour savoir, connaître, comprendre et, apprendre ou, pouvoir. La conscience, de soi, est, selon, Locke, (Philosophe anglais, 1632-1704), le sentiment, que l’homme éprouve, de ses comportements, ressentis et, de lui-même. La conscience morale, selon, Hegel, (Philosophe allemand, 1770-1831), est la perception et, la volonté, du devoir. Il s’agit, d’une spécificité humaine. Puisque l’homme, est le seul, être vivant, de la création, à être, en mesure, de faire, la distinction, entre « le bien et, le mal ». À vouloir, rejeter, penser, mettre, en œuvre ou, non, bien et, mal. Car, tel, est le libre arbitre, de tout jeune, en marche.
La conscience est la pensée réflexive, intérieure. La conscience permet, au junior, d’être pleinement, lui-même. Car, totalement, présent, à sa personne, en toute intériorité et, non, en extériorité. L’être humain est bien, par essence, subjectif et, non, objectif. Or, si la conscience existe, l’inconscient est, tout autant, très inhérent, à l’homme. La phénoménologie, de Husserl, (Philosophe austro-allemand, 1859-1938), postule, que la conscience est, aussi, affaire, d’intentionnalité. Intérieure, la conscience pourrait, également, être extérieure, voire, ni l’une ni, l’autre.
Elle aurait toujours, par nature, un objet ou, pas, relativement, au sujet. En réalité, la conscience, du jeune, se transcende fort, en la morale. Elle est donc, car, lucide et, intentionnelle, une responsabilité première, de l’Anthropos. En véritable, « éthique anthroposophique », érigée, en ontologie, pleine et entière. Valeurs, métavaleurs, s’y enracinent. Au premier rang, desquelles, figurent, la liberté et, l’identité humaines, intrinsèques. La perception est vectrice, du lien, aux réalités pleines, de l’univers. La perception humaine, anthropologique juvénile, est subjective et, personnelle, conjoncturelle et, structurelle1013.
Elle est sensitive, corporelle : visuelle, tactile, auditive, olfactive et, gustative. La perception dépend, de la sensation personnelle, de chaque junior, des différentes époques temporelles, des diverses contrées, du globe. Également, de données objectives et, de fait. Les situations vécues, les pensées, émotions ressenties et, les comportements adoptés, influent également, sur les types, de sentiments éprouvés. Ces derniers sont donc, avant tout, empiriques, critiques, changeants. Il existe, trois définitions contemporaines, des contenus perceptifs.
La première, pense, que toutes les appréhensions juvéniles, perceptives d’objet, sont toujours, différentes, les unes, des autres. Les objets entrevus sont différents, leur perception l’est, tout autant. Il y a donc, une différence, dans le mode, d’apparition, de ces objets, dans le champ, de la perception. La deuxième définition, de la réalité perceptive, dit, qu’il est possible, de ressentir différemment, un seul et, même objet. De fait, ce dernier peut être perçu, par deux individus distincts, ayant deux opinions divergentes. Un objet ou, sa caractéristique, peuvent être appréhendés, par des sens distincts. La jeunesse est l’âge, où, la subjectivité atteint, sans doute, son « zénith ».
La troisième définition, de la réalité perceptive, fait le lien, entre la perception, les conceptions ou, appréhensions juvéniles, comme, la croyance ou, le désir. Ce que la philosophie analytique, nomme, les « attitudes propositionnelles ». Il s’agit, des états mentaux, relatifs, à l’univers et, leur représentation, qui s’expriment, par des propositions ou, énoncés. Ainsi, dans la croyance ou, le désir, il y a, la « posture mentale », de croire ou, de désirer. La réalité, qui en découle, en matière, de croyance, désir concrets. Ces deux éléments, peuvent concorder, être similaires, perçus, appréhendés, à l’identique ou, non.
L’état mental spécifique, du jeune, conditionne fort, toute réalité. S’il croit, quelque chose, la nature, la spécificité, de cette croyance, généreront, les conditions, de sa véracité ou, de sa fausseté. La réalité, d’une pensée, de l’inconscient ou, d’une appréhension, de l’inconscient, est compatible, avec la notion, de représentation, du sujet. En revanche, l’inconscient, de type freudien, dépossède, quelque peu, l’homme, de sa stature, de sujet. L’inconscient est de triple nature : psychique, social et, biologique. Le premier, est défini, par la psychanalyse, celle-ci, n’étant pas, la meilleure approche, de la jeunesse1014.
Le deuxième, par la critique idéologique. Le troisième et, dernier cité, par la génétique, des comportements, du junior. L’inconscient freudien est basé, sur la résistance, le refoulement. Tant, pour devenir, conscient, du conscient ou, de l’inconscient, qu’inconscient, du conscient ou, de l’inconscient. En toute occurrence, tout cas, de figure, l’homme a du mal, à accepter, ses réalités psychiques. Qu’elles soient conscientes ou, inconscientes. L’ensemble, sera, sous le primat, de l’envie, du plaisir, du désir, de la satisfaction. À l’exclusion, de l’inverse : la douleur et, la frustration.
Le refoulement, du jeune, est donc, un mécanisme, d’autoprotection, inhérent, à l’humain. L’insatisfaction excessive, amène, un déplaisir exponentiel. Le refoulement permet, alors, de les supporter. L’inconscient est donc, fondamentalement, du désir refoulé. Le tout, est gouverné, par trois vecteurs psychiques : le moi, le ça, le surmoi. Le moi a trait, à la conscience et, à ce qui est conscient. Le ça concerne, ce qui est inconscient. Entre les deux, le surmoi est une sorte, de « conscience morale », qui dicte, sa conduite, à l’individu. Le surmoi est donc, le grand facteur, de tous les refoulements juvéniles. Puisqu’il est bien, le « censeur, en chef ».
Dans la lutte épique, entre le ça et, le surmoi, des compromis interviennent, de telle sorte que, généralement, le plaisir, du jeune, l’emporte, sur le déplaisir. Dans la conception marxiste, il y a, une « conscience, de classe » et, de façon, corollaire, une « lutte, des classes ». Tout groupe social, en ses rapports sociaux, a conscience, de son appartenance et, de sa situation. Que ces dernières, sont largement, régies, par les intérêts, même, des membres, du groupe. Alors, le junior est mentalement, gouverné, par la forte sujétion, aux réalités sociales, très spécifiques, du groupe, dont, il fait partie.
La lutte sociale, de classe, divise, celle, qui possède, les moyens, de production et, celle, du salariat. Qui dépend, pour vivre, de la classe, d’entrepreneuriat, possédant et, l’outil, de travail et, le capital. Selon, le marxisme, le capitaliste, propriétaire, des moyens, de productions, d’échanges, exploite, le travail, des salariés, à son profit. La classe économique dominante est aussi, la classe politique prééminente, par sa direction, de l’État. Elle est, de même, la classe idéologique dominante, imposant, pleinement, sa propre idéologie. À rebours, de la « conscience sociale », il y a, de façon, corollaire, un « inconscient juvénile, de classe »1015.
Comme, en l’inconscient freudien, le junior a tendance, à refouler, en son inconscient, les vecteurs, d’intégration, à sa classe. Fondateurs, de son appartenance sociale. Ainsi, tous les déterminismes et, habitus culturels, socioéconomiques, conditionnent-ils, les humains. Pour l’essentiel, de façon, inconsciente et, à leur insu. De façon, préétablie, l’homme est donc, plus « prédisposé », par son milieu, que « décideur ». Seuls, la pleine conscience, le dépassement, de sa variable sociale, conduisent, le sujet, à son authentique, libre arbitre. Il existe, également, un inconscient génétique, héréditaire.
Pour tout sujet juvénile, le patrimoine chromosomique, hérité, de ses deux parents, détermine et, par avance, tout l’avenir. Le développement et, les caractéristiques essentielles, qui façonneront, le sujet, sa vie entière, durant. La neurobiologie contemporaine fait donc, émerger, la nouvelle notion, d’ « inconscient cérébral ». Au-delà, celle, d’inconscient biologique. Ainsi, certaines réalités génétiques, sont-elles, à l’origine même, de la programmation, de certaines affections psychiques. En les spécificités, du jeune, conscientes et, inconscientes, processus psychiques et, données biologiques, sont totalement, mêlés.
Comportements et, génétique vont donc, bien, de pair. D’où, la notion, d’inconscient biologique. L’inconscient psychique était mû, par le « refoulement ». L’inconscient social, par la force, du subterfuge. L’inconscient biologique prend figure, en la nature très profonde, de l’homme. Le sujet juvénile sera, pour l’essentiel, fondamentalement, inconscient. Seule, une part infime, de sa personne, appartient, au registre, du conscient. Sa conception, des autres, dépend, avant tout, de son appréhension, de soi-même. L’homme considère, tout d’abord, ce qu’il est, par le truchement, de son lien, à lui-même, par la conscience, la représentation, qu’il a, de lui-même.
Ce qui s’appelle, subjectivité, par opposition, à l’intersubjectivité, qui est le rapport, à autrui. La relation, du jeune, est, avant tout, un lien, d’action mutuelle. La communication, entre le sujet et, l’objet, se concrétise, en un mouvement interactif. La conscience, de soi, la conscience, d’objet, se rejoignent, alors, irrévocablement. L’objet, non-moi, s’apparente, à un autre sujet, autre-moi. L’autre sujet légitime, les menées, la liberté, de soi-même, en la condition, où, le junior valide, de même, les siennes. L’objet authentique est, parfaitement, un autre sujet1016.
Qui recueille, un « écho », en soi, suscite, dès lors, de la part, du jeune, une réaction, action, proaction, interaction ou, réponse. C’est le lien intersubjectif, la relation, à autrui, qui fondent, les bases, d’une relation, en laquelle, les deux aspects, de la subjectivité, figurent. Dans le lien, à l’autre, le moi n’est pas seulement, actif, comme, dans la conscience, de soi. Il est, en partie, inerte, comme, pour la conscience, d’objet. De fait, sollicité, par autrui, l’on se doit, de réagir, ce qui est très contraire, à la passivité totale. En la « relation intersubjective », le junior vit une conscience, d’objet, qui est passivité, une conscience, de soi, qui est activité.
Autrui est aussi, moi, un autre moi. De la Renaissance, (France, XVIe s.), à la philosophie, des Lumières, (Europe, XVIIIe s.), l’humanité est perçue, comme, « entité particulière ». Elle se définit, par ce qui relie, tous les humains, ce qu’ils cultivent, ensemble, ce qui les caractérise, de façon, commune. Naturelle, ès qualité. À essence égale, correspondent, des droits juvéniles identiques, au-delà, de toutes distinctions, de fait. L’article premier, de la Déclaration française, des Droits de l’Homme et du Citoyen, de 1789, édicte, que « tous les hommes, naissent et, demeurent libres et, égaux, en droit ». Celle, universelle, de 1948, aussi.
L’autre, même différent, du junior, est semblable, à lui, car il a, les mêmes droits, que lui ! Toutefois, les dangers, d’une telle conception, pouvaient provenir, des conséquences, terribles et totalitaires, d’un rejet, des particularismes humains. Si l’humanité n’est considérée, que d’un point de vue global, il y a, un risque réel, de nier, les différences, spécificités, qui peut mener, aux pires persécutions. Comme, aux plus terribles discriminations, iniquités. Alors, l’approche universaliste, de l’identité propre, de l’humanité, a été complétée, par une autre vision, de l’autre.
Non, plus, holistique, or, différenciée, en fonction, des réalités, besoins, attentes, mentalités. Selon, les cultures, langues et, genre, des jeunes, eux-mêmes. Car, à trop globaliser, l’humanité, en tant, qu’entité commune abstraite, pointe, toujours, la catastrophe totalitaire, de la pire déshumanisation, de l’aliénation. L’uniformisation n’est jamais, l’universalité et, aboutit, aux pires déculturations, déracinements. Ainsi, l’humanité globale, ne doit-elle pas, faire oublier, la « communauté individualisée ». Alors, l’appartenance dépasserait, l’abstraction. Aujourd’hui, l’humanisme tend, à proclamer, l’identité commune, du genre humain, juvénile, y compris1017.
Tout autant, qu’à reconnaître, le droit, du junior, à toutes les différences, quelles, qu’elles soient. L’autre, n’est plus méconnu, mais, reconnu, en tant, que tel, ès qualité. L’identité, d’autrui, n’est plus absolue, mais, différenciée. En l’Antiquité, gréco–romaine, l’autre, est le parfait étranger, le barbare allogène. Il est perçu, tel, un danger, une menace, exogènes et, hétérogènes. L’ère moderne considère l’autre, tel, le semblable. Un individu égal, à tout autre, gratifié, de droits identiques, à ceux, des autochtones. L’égalité, des conditions, prime. Le jeune se définit, par son essence intrinsèque, avec droits spécifiques, corrélés.
Non, pas, en vertu, d’appartenance communautaire, mais, selon, le principe, de sa spécificité individuelle. Ce qui, théoriquement, permet, une relative mobilité sociale. Contrairement, à la fixité, des sociétés hiérarchiques, en lesquelles, places et, appartenances, sont irrévocablement, liées. Si les inégalités demeurent vivaces, elles ne sont plus, « irréfragables et, absolues », mais, potentiellement, réversibles, relatives. Elles ne reflètent plus, des différences supposées, de nature. Il ne s’agit pas, pour autant, de nier, des différences, de fait, fondamentales, légitimes, irréfutables, de la jeunesse.
La conception contemporaine, de l’autre, opère, alors, un très subtil compromis, entre les deux appréhensions, précédentes. La différence, entre juniors, ne vaut plus, ipso facto, inégalité, mais, pour autant, la différence, de l’autre, est acceptée, intégrée. L’autre est semblable, non, pas, contre, ses différences, mais, avec, elles. Il s’agit donc, tout autant, d’éviter, l’uniformisation mutilante, au détriment, des individus et, l’individualisme excessif, des jeunes, à l’encontre, du vrai « bien commun ». L’égalité, mais, non, l’égalitarisme. L’altruisme, plutôt, que l’égoïsme. L’individuation, plus, que la globalisation totale.
En somme, l’humanisme, de 1789-1791, plutôt, que la Terreur criminelle, de 1792-1794. L’identité, de soi, d’autrui, ne saurait, donc, être absolue, mais, différenciée. À la différence indépassable, des individus, succède, l’égalité, au moins, relative, des sujets, en droit-s. Puis, la « différence égalitaire » ou, l’ « égalité différenciée ». De façon, imparfaite, la discrimination positive, du junior, n’étant pas plus, satisfaisante, que la discrimination négative. L’autre est, désormais, un « égal différent » et, un « différent égal ». L’égalité n’est pas l’assimilation, la négation, des différences, de fait, mais, la pleine similitude, en droit-s1018.
L’identité est une altérité, de fait, commune, à l’ensemble, du genre juvénile. La différence existe, elle est reconnue, non, combattue, mais, il y a, désormais, une nette concordance, entre « l’autre, non-moi » et, « le moi, non-autre ». Le tout, en les limites, de toutes les différences, mutuellement, reconnues. Chaque culture, tout système, de valeurs, se doivent, donc, d’être reconnus, en leur spécificité. Or, de façon, fort différenciée, car tous, n’ont pas, d’équivalence objective, absolue. Ainsi, « différentialisme particulariste » et, « assimilation globaliste », sont-ils amenés, à laisser place, à une prise en compte. Tout à la fois, différenciée et, égalitaire.
La notion, de désir, celle, de manque, du junior, sont indissolublement, liées. L’on ne désire pas, ce que l’on a, mais, toujours, ce que l’on ne possède pas, encore. Le désir est, donc, corrélé, à la souffrance. L’on souffre, de ne pas jouir, de l’objet, du désir, par la frustration, la privation, la déprivation, comme, le manque, que cela, génère. Il s’agit donc, de surmonter, toutes les affres, de l’absence, par atteinte, des objectifs, objets, convoités. Le plaisir vient alors, de la satisfaction obtenue, par la substitution, de la satiété, à l’appétit, en appétence adéquate accrue, du jeune.
Or, il s’agit, d’un cycle, sans fin, inhérent, à la nature, du junior, puisque l’alternance, manque-désir, comme, satisfaction-contentement, est perpétuelle. Ceci, durant, toute l’existence, des hommes, puisque cela, est consubstantiel, à leurs passions terrestres. Le tout, en une sorte, de « bal tragique et, démoniaque ». Lequel, voit, de façon, récurrente, éternelle, coexister et, alterner, malheur et, bonheur, de façon, synchrone et, asynchrone. Le drame, des humains, vient, de leur douleur, à désirer, en envie, plaisir, tout, ce qui n’est pas.
Comme, tout autant, de leur blasement, à obtenir, jouir, quant à ce qui correspond, à leurs besoins et, attentes ! Pour ne pas désespérer, le jeune se met alors, en quête, de nouveaux désirs. Il est donc, malheureux, car frustré, s’il ne les comble pas et, encore, malheureux, par ennui, une fois, satisfait, de les avoir exaucés. Serait-on donc, condamné, aux pires insatisfactions chroniques, en une sorte, de malédiction terrible, toujours, recommencée ? Tel, Sisyphe, rivé, à tout jamais, à son rocher, sans cesse, hissé, toujours, dégringolé. (Mythologie grecque antique).
Également, le pauvre Don Juan, jamais, rassasié, de ses conquêtes. (Personnage mythique, de l’Espagne médiévale, puis, théâtral espagnol, au XVIIe s. L’Abuseur de Séville et, le Convive de pierre, Espagne, 1630, pièce, du dramaturge espagnol, T. de Molina, 1579-1648). L’affreux dilemme, de la jeunesse, est que le désir, donne, du plaisir subséquent1019. Le plaisir, du désir. En une juvénile, « sarabande endiablée ».
Puisque, ne pas avoir, fait souffrir, qu’avoir, continue, sans cesse, à donner, d’autres envies, encore, la solution semble résider, en la fin, du désir. Or, les terrestres ne parviennent pas, à s’y résoudre. Tant, l’objet, de leurs souffrances, le désir, est, tout autant, un plaisir ! Insoluble quadrature, du cercle : le désir insatisfait perturbe, de même, que le désir assouvi, tue le désir et, tourmente fort, tout autant. La jeunesse est le lancinant temps, permanent, de l’infernal trio, « envie, désir, plaisir ». Avec son diabolique, duo-corollaire successif, de « bénéfices-déficits ». (Renaut, 2006)1020.
1978, le Nord, de la France, connaît, les stigmates, d’une terrible, crise socioéconomique, qui ne fait, que commencer. À Lens, en plein effondrement sidérurgique, minier, des lycéens, de terminale, traînent leurs doutes, inquiétudes, désabusement et, mal-être. Ils s’apprêtent, à passer, le bac, ce qui n’est pas rien, à l’époque. Or, leur avenir est, des plus réduits, en contrée, de chômage implacable. D’autant plus, que ces jeunes ne sont pas, de milieu favorisé.
Ils se réconfortent alors, mutuellement, comme, ils peuvent, en se retrouvant, à leur café favori. Agnès ne supporte plus, ses parents, est prête à tout, pour s’évader, de son « bagne quotidien ». Bernard veut partir, coûte que coûte, et, rejoindra, la capitale. Philippe et, Élisabeth resteront et, formeront un couple, plus solidaire, qu’amoureux. Ils seront des étudiants, sans illusions. Jusqu’à, leur propre professeur, de philosophie, qui déprime, lui-même, totalement ! Tel est, le sinistre tableau, brossé, par le film, de cinéma, Passe ton bac, d’abord, de M. Pialat.
Déjà, les « Trente Glorieuses », (Occident, 1945-1975), sont caduques et, le marasme, de société, fort entamé. La jeunesse, temps, de préparation, d’espérance, est déjà, celui, de l’échec anticipé, de la malédiction. Les juniors ne pensent, qu’à fuir, le pire, en sursaut-réflexe, de survie élémentaire. Au-delà, du Nord, tant sinistré, le pays, tout entier, s’est « effondré, sur lui-même ». Chaque décennie nouvelle étant, pire encore, que la précédente. La juvénilité a pris, la triste figure, d’épouvante, du Désespéré, (Œuvre picturale, France, 1845), de G. Courbet. (France, 1819-1877). Autoportrait halluciné, du jeune artiste peintre. Quarante ans, après, le film, de Pialat, la néogénération, est encore plus, livrée, à elle-même, son triste sort, sa résignation, sa révolte et, déprime. D’autant plus, que ses aînés, ne se portent guère, mieux. Comme, déjà, l’enseignant pessimiste, esseulé, de la fiction.
(Passe ton bac d’abord, drame cinématographique, du réalisateur français contemporain, 1925-2003, M. Pialat, France, 1978)-1021.
– Quels Paradigmes Retenir, Pour Vous –
Jeune Masculin ? Culture, Raison, Réel
La notion, de culture, regroupe, essentiellement, tout, ce qui a trait, à l’art, au travail ou, à la technique, à la religion, à l’histoire. L’art a été considéré, comme, vecteur, de vérité, au même titre, que la philosophie ou, la spiritualité. L’art est beauté, esthétique, quand, il est corrélé, à un jugement, de goût, subjectif, bien plus, qu’objectif. Ce dernier, a pu découler, de la raison, du sentiment. Dans le premier cas, l’accent sera mis, sur la rationalité et, la règle préétablie. Dans le second, il reposera, sur la pleine sensibilité et, sur l’émotion ressentie.
En la matière, s’opposent donc, l’intellect et, la sensibilité juvéniles. Au dix-neuvième siècle, la vision marxiste, du travail, de la production capitaliste, repose, sur la notion, de l’ « aliénation, par le labeur ». Contrairement, à l’animal, le junior ne travaille pas, seulement, pour répondre, à ses seuls, purs besoins. Également, en fonction, d’autres paramètres, fort librement, choisis, par lui-même. Le labeur est, donc, inhérent, au genre humain. Si le jeune travaille, bien, au-delà, de ses seuls, besoins, cela, signifie, que son labeur n’est pas, pour lui, un moyen, mais, une fin.
En l’univers industriel moderne, le travail ne représente plus, la caractéristique fondamentale, des juniors, en conscience, libertés. Or, le seul moyen contraint, disponible, pour convertir, sa force, de labeur, en rémunération salariale. Laquelle, seule, permet, d’acquérir, les biens, les services indispensables, pour la survie physique, même, du travailleur. Le travail n’est plus, alors, ici, en l’espèce, une fin, mais, un moyen. Le salaire est une fin, le labeur, le seul moyen, d’atteindre, cette fin. En ces conditions, le travail n’est pas, un réel mode, d’épanouissement, d’accomplissement personnel.
Or, une simple condition vitale, de survie biologique. Ce qui rapproche plus, la jeunesse, de l’animalité, que de l’essence supérieure, du genre humain. Le jeune vit, seulement, de son labeur et, non, par et, en son travail, sinon, pour. Le labeur, qui devrait caractériser, l’humain, ne ferait, que le ravaler, au rang, de l’animal. Alors, la réalisation, de soi, juvénile, devrait, fondamentalement, prendre corps, en ce travail, considéré, comme, réalisation, de soi. Non, plus, le labeur, telle, corvée, mais, vraie transcendance juvénile1022.
Elle ne pourrait plus, que s’opérer, en la seule sphère, de la vie « privée ». Ce, hors-emploi, considéré, comme, une seule nécessité. En outre, le productivisme mécanisé et, automatisé, la parcellarisation, la répétitivité, des tâches, ne font, qu’accentuer, toujours plus, encore, la « déshumanisation », du travail, du jeune. La grande différence, entre les temps antiques et, temps modernes, est que les Anciens, considèrent, que l’homme se réalise, avant tout, par le loisir. Alors, que les Modernes fondent, surtout, l’accomplissement, de soi, humain, sur le labeur.
Avec, la pleine prospérité économique, politique, comme, démocratique, sociale, des Trente Glorieuses, (Occident, 1945-1975), le plein emploi s’ensuit. La valeur reconnue, au travail, est, à son zénith. L’accès, à la profession, est « l’alpha et, l’oméga », de la vie juvénile et, citoyenne. Le junior est censé, se réaliser, avant tout, par et, dans, son métier. Le tout salariat, promu, par la société industrielle, connaît, son âge d’or. Puis, le monde postindustriel, des services, postérieur, au milieu, des années 1970, marque la fin, du plein emploi, l’ère, du chômage, de masse, des jeunes. Le lien, entre travail, emploi, métier, activité, est profondément, bouleversé, remis, en cause.
Parallèlement, le temps journalier, hebdomadaire, dévolu, au labeur, n’a cessé, de se réduire. De même, la durée, des congés payés annuels, a augmenté, l’âge moyen, du départ, en retraite, s’est abaissé. L’entrée juvénile, en la vie active, s’est effectuée, de plus en plus, tardivement. Notamment, du fait, de la prolongation, d’études, de la généralisation, d’accès, à l’enseignement supérieur. La durée, du temps, de travail a, ainsi, été divisée, par deux, en pays développés. Si l’on considère, celle, qui prévalait, encore, il y a, un siècle. Les automatisations poussées, font que l’économie a, de moins en moins, besoin, de travailleurs.
De plus en plus, que ces derniers, soient, toujours plus, qualifiés. En outre, la limite, entre labeur et, non-labeur, est beaucoup plus, floue. Le jeune travailleur doit, toujours plus, améliorer, ses compétences, capacités, s’adapter, aux mutations, du monde, du travail. La formation continue, qui en est, l’outil principal, a effacé, les frontières, entre temps, d’études, et, vie professionnelle. Également, les horaires, de labeur, sont, de plus en plus, variables, selon, les nécessités, de l’entrepreneuriat. Le temps, de l’emploi ouvré, du junior, devient, des plus flexibles. Toujours, plus, « taillable et, corvéable, à merci »1023.
Le travail se fait partiel, pluriel, à durée déterminée, plurifonctionnel ou, évolutif. En un mot, beaucoup plus, précaire et, incertain. Avec, un emploi, bien plus rare, plus fluctuant, relativisé, l’accomplissement, du jeune, passe, du métier, à la sphère privée, des loisirs, d’autant, pour les jeunes générations. Il n’en demeure, pas moins, que l’emploi reste et, malgré tout, une valeur capitale, tant, pour l’individu, que pour la société. Le labeur est donc, encore, aujourd’hui, non seulement, le moyen indispensable, de gagner, sa vie, mais, aussi, un symbole fondamental, de l’identité, de chacun, chacune.
L’ensemble, étant, à corréler, avec l’image, l’estime, de soi- même, de façon, « évaluative ». Appartenance, cohésion juvéniles, en découlent, encore. De même, qu’un sentiment, de contentement et, reconnaissance. À l’avenir, il est certain, que la vie privée, sociale, culturelle, spirituelle, les loisirs, prendront plus, d’importance, au détriment, du travail. L’identité, de l’individu, pourrait, ne plus passer, si prioritairement, essentiellement, par l’emploi. Or, par bien, d’autres « vecteurs », de la vie, toute personnelle, de chaque junior. Qualitativement et, quantitativement, le labeur serait ainsi, amené, à être fortement, relativisé.
Pour autant, l’emploi professionnel continuera, à conserver, une forte signification, pour chaque individu juvénile. Cela, permettrait, notamment, de pallier, les risques, les plus importants, d’un communautarisme, d’une désocialisation, trop excessifs, généralisés. Le travail est aussi, un moyen, d’affirmation, de reconnaissance, des différences, des rôles, en la vie sociale. Alors, la fonction première, du labeur, ne serait plus tant, en la satisfaction, de besoins élémentaires, de survie. Or, dans l’estime, de soi, et, des autres, par la reconnaissance professionnelle, d’un rôle indispensable, occupé, par tous les juniors. En une existence, un monde communs, au profit, de tous… Au douzième siècle, la redécouverte, de la pensée aristotélicienne, permet, de relier, la rationalité, de la philosophie et, la foi, de la spiritualité religieuse.
Une profonde, nouvelle exégèse, de la morale axiologique, est entreprise, par de grands penseurs, du fait théologique monothéiste. Avec, notamment, Averroès, (Philosophe, théologien, médecin andalou arabe, 1126-1198), pour l’islam. M. Maïmonide, (Médecin, philosophe, rabbin andalou, 1135-1204), pour le judaïsme. T. d’Aquin, (Religieux, théologien, philosophe italien, 1224-1274), pour le christianisme. Il y aurait, une foi, plus rationnelle et, une raison, du jeune, plus morale, sinon, spirituelle1024. Le junior croyant, tient la foi, la spiritualité, pour une doctrine, du Salut, héritée, en contexte, d’appréhension, de certains dogmes. Par transmissions ou, en conversion. En une visée, de protection et, de félicité ou, d’espérance. En les limites, de la vie temporelle terrestre, comme, en l’éternité, post mortem, de l’Au-Delà.
Fondamentalement, la religion se définit, avant tout, comme, un vecteur, de sens, à la vie humaine. Le Salut sera alors, accordé, aux Justes, par le Divin. L’homme, indigne, déchu, ne saurait, se sauver, lui-même, mais, ne pourrait, l’être, que, par une entité, très supérieure. Le Salut est, donc, une grâce divine, qui échappe, totalement, au jeune et, qui ne relève, que de l’entière, « discrétion », de Dieu. Accordée ou, non, par Lui, la béatitude, sans fin, dépend, des actes, des humains, lors, de leur existence terrestre. Le tout, en un idéal, de liberté, proclamé, puisque, c’est l’homme, lui-même, qui décide, en conscience, de ses comportements. Qui détermine, ainsi, son Salut ou, sa Chute. En pleine compatibilité, avec les « sociétés démocratiques modernes ». Puisque, la spiritualité, ressortit, désormais, de la seule, stricte sphère, de la conscience juvénile, individuelle privée et, du for interne1025.
Ainsi, par exemple, y aura-t-il, de jeunes chrétiens français, de droite ou, gauche, républicains ou, monarchistes, laïcs ou, religieux, démocrates ou, non. Ainsi, également, la France est-elle, une république laïque démocratique, de liberté religieuse. Le Royaume-Uni, une monarchie chrétienne, tout autant, démocratique, libre. Dont, le souverain, est le gouverneur suprême, de l’Église d’Angleterre. Ce pays, tout autant, que son voisin, autorisant donc, toutes les croyances.
Autant, que les non-croyances, l’agnosticisme, le scepticisme, l’indifférentisme ou, l’athéisme, du junior. L’individualité, la liberté, la fraternité, l’universalisme et, l’égalité, de la foi chrétienne, auront permis, des avancées. Aux sociétés démocratiques, d’établir, ce qui fait, leur essence, même. Ainsi, que la sacralité, de l’être humain, telle, valeur absolue, en soi. L’on peut concevoir, que l’homme, lui-même, soit l’acteur principal, de « l’Histoire, de l’humanité », en fort bonne logique.
Ce qui donne, une philosophie, de l’action historique. En cette vision, le champ historique est volontariste. L’on peut, notamment, l’illustrer, par les menées révolutionnaires, en particulier, juvéniles, de toutes les ères chronologiques et, toutes les aires géographiques. Cela, afin, de tendre, à un idéal, de progrès, libération, prédéfini. La liberté, de tout junior, pourrait alors, constituer, l’un, des principaux ferments, de l’Histoire.
Ainsi, l’avenir, ne saurait-il être, tributaire ni, du présent ni, du passé. Sans, pour autant, les nier. Toutefois, le volontarisme historique a ses limites, faute, de quoi, les pires totalitarismes, peuvent, advenir. La raison ou, la rationalité peuvent, quant à elles, également, constituer, un moteur, de l’histoire, des jeunes. En réalité, il semblerait bien, qu’aucune, logique particulière, globale, comme, générale, ne soit, à l’origine, des événements historiques. Ni, puisse, les gouverner, de façon, très ordonnée et, significative.
La raison, le réel, regroupent, la réflexion, sur la théorie, l’expérience, la démonstration et, l’interprétation, le vivant, la matière, l’esprit et, la vérité juvéniles. Théorie et, expérience sont-elles réductibles, au seul, primat scientifique, logico-mathématique déductif ou, expérimental ? De façon, démontrable, vérifiable, reproductible. De manière, irréfutable. D’une certaine façon, une « vérité universelle », donnée. Laquelle, consisterait, alors, à s’assurer, de la réalité, de la véracité, des énoncés, sous-tendant, toutes les théories.
La méthodologie scientifique serait, pour le junior, progressive, en trois stades successifs. Tout d’abord, une observation, recensant, les données, telles, que perçues, par les sens. Ensuite, la certitude, de la présence universelle, de phases, de phénomènes, invariablement, posés, organisés, fixés. Puis, des hypothèses, explicatives et pertinentes, subséquentes, viendraient, éclairer, les données disponibles, en cause.
Leur donnant, un sens, précis et accessible, à l’entendement, du jeune. Si l’approche expérimentale vérifie, corrobore, appuie, les présupposés émis, ces derniers se muent alors, en règles scientifiques, considérées, comme, fort avérées. Ainsi, les effets alors, mesurés, n’autoriseraient, à ne retenir, que certaines hypothèses, car, estimées, valides. Au détriment, d’autres, qui se verraient, ainsi, réfutées, car, jugées, non concluantes. Théorie, comme, expérience scientifiques, seraient, donc, inductives. L’observation, de la réitération, à l’infini, d’un même processus phénoménal, donnerait alors, lieu, à un principe général. Validant, la rationalité, du protocole, suivi. Il n’en demeure, pas moins, que les analyses, enseignements, ainsi, dégagés, ne sont pas, pour autant, rigoureusement, irréfutables. Ainsi, ce qui vaut, partout et, toujours, pour toutes les jeunesses1026.
En outre, en matière scientifique, comme, en toutes autres, tout, serait, plus, affaire, de pensées subjectives, du junior, reposant, sur des potentialités hypothétiques. Que de réalités, purement, objectives, strictement, avérées. Il y aurait, toujours, plus, de conjectures conjoncturelles, que de certitudes empiriques, structurelles. Généralement, il sera donc, bien plus, loisible, de prouver, la fausseté, d’une théorie, que sa véracité. Serait donc, scientifique, ce qui peut être, réfutable et, non-scientifique, ce qui ne peut pas, l’être. Stricto sensu, la démonstration mathématique, logique, résulte, d’une suite, de propositions.
Ainsi, le très fameux, syllogisme aristotélicien. Un postulat démonstratif, de base, mène, le jeune, à des raisonnements, afférents et, subséquents, par la seule, réalité prosaïque, des choses. Deux propositions, les prémisses, fort étroitement, liées, interdépendantes, suscitent, une troisième, la logique « déductive ». Ce qui dirige, ipso facto, vers les conclusions, qui s’imposent. C’est ainsi, que nous avons déjà, évoqué, la capacité juvénile, à développer, le raisonnement, de type adulte, dès, l’âge, de quinze ans. À savoir, le stade hypothético-déductif. Le mode, de validation, de données, par la jeunesse, est multiple.
Citons, notamment, l’expérience, déjà, décrite. Le jugement « analytique », du jeune, est celui, en lequel, une analyse, qui explique, le sens, d’un concept, permet, d’en déceler, un tout autre, déjà, présent. Il en va, différemment, dès lors, qu’il y a, mouvement subjectif méthodique, vers, une assertion, concernant, la réalité, elle-même. « Le conditionné mène, à l’inconditionné ». L’existant peut provenir, de la conception mentale juvénile. Quand, le potentiel, l’hypothétique, deviennent, réalités tangibles. L’on passe alors, à la vision synthétique, des choses.
La réalité existentielle, n’est pas, une propriété « conceptuelle », or, elle ne peut être, garantie, validée, que par l’expérimentation, de la réalité, elle-même. Non, plus, tel, un concept mental, du junior, mais, comme, une donnée factuelle, solidement, avérée, tangible. Pour passer, de l’inconditionné, des connaissances, à la certitude, du fondement supérieur inconditionné, il s’agit, que la raison, se suffise, à elle-même. Qu’elle soit, « l’Alpha et, l’Oméga », de toute chose. En procédant, par conceptualisation, certitude, quant à la réalité inconditionnée. Ce qui différencie, les champs, du scientifique et, de la métaphysique. Ainsi, la jeunesse est réalité, technique et, morale1027.
Tout énoncé, du junior, est susceptible, de comporter, des erreurs. Le rationalisme critique estime, qu’aucune source, du savoir, n’est fondamentalement, sûre. L’erreur n’est, à peu près, réductible, que par l’effet, d’une critique, systématique, vigilante, de tout postulat. L’infaillibilité, n’est qu’un leurre et, la faillibilité, voire, le faillibilisme, une prudence et, un réalisme, des plus nécessaires. Les certitudes, les plus assurées, sont, souvent, croyances révisables. D’autant plus, que la plausibilité, des faits, données, la satisfaction, qui en résulte, sont toujours, sujettes, à évolution, donc, à caution.
Scepticisme, dogmatisme, du jeune, sont fort inopérants, puisque tout, est si incertain et, faillible, car tout, sur Terre, est sujet, à erreur. Le rationalisme critique, se fonde, sur la raison, le doute, le rejet, des vérités absolues, considérées, tel, un arbitraire dogmatique. Pour nombre, d’auteurs, il n’y a nulle, vérité ou, fait avérés, mais, uniquement, toujours, des interprétations. Il s’agit, de fait, de bien savoir, qui est réellement, l’auteur, de tout énoncé juvénile. Avant même, de savoir, de quoi, il peut « retourner », objectivement. Pour l’essentiel, de nos jours, tout objet, d’interprétation, se constitue, d’un ensemble, de « signes ».
Un signe regroupe, un signifiant sensible, un signifié conceptuel. Alors, toute expression, du jeune, écrite ou, orale, toute réalité structurée, impliquent, un ensemble, significatif et, signifiant. Plus, que jamais, l’interprétation est libre, se suffit, à elle-même. Elle s’est affranchie, de tout présupposé rigide, convenu, préétabli, pour ne relever, que du libre arbitre, de l’individu, lui-même. Alors, objectivité et, subjectivité, se mêlent, selon, les convictions personnelles. En un temps, où, tout sujet, est supposé, se déterminer, en tout premier lieu, souplement, par rapport, à sa conscience, même.
Non, plus, seulement, au travers, de dogmes, régissant, de façon, rigide, la vie juvénile, de la naissance, à la mort. La « science contemporaine, du vivant », est fort révolutionnée, par les avancées, de la génétique. Notamment, les biotechnologies permettent, d’intervenir, sur le vivant, en particulier, humain. De nouvelles questions éthiques, se posent donc. Ce qui a été défini, sous le terme générique, de « bioéthique ». Tout particulièrement, concernant, les débuts, de la vie : fécondation, insémination, clonage. Également, quant à la fin, de l’existence, du junior : critères, de mort, acharnement thérapeutique et, euthanasie1028.
Assistance, au suicide juvénile… La science, les scientifiques, eux-mêmes, ne sont pas, en mesure, d’imposer, des limites, car, le progrès se suffit, à lui-même. Il revient, aux systèmes démocratiques, de réguler, réglementer, d’encadrer, les avancées, en matière, de sciences, du vivant. En particulier, par la loi, le contrôle parlementaire, l’intervention, de l’exécutif, comme, la sanction, du judiciaire. Le rôle, des différents comités, d’éthique, constitués, en la matière, a également, son importance. L’antagonisme, entre la matière et, l’esprit, du junior, les zélateurs et, contempteurs, de l’une et, de l’autre, constitue, un grand classique, du genre, en philosophie.
Le matérialisme, en tant, que doctrine philosophique, appréhende, la matière, telle, l’exclusive source, de compréhension, d’éclairage, du monde. Tout, est alors, considéré, comme, point, de départ et, d’aboutissement, « Alpha et, Oméga », de l’univers. Il y eut, une pensée matérialiste, de l’Antiquité gréco-romaine. Or, la qualification même, de matérialiste, n’apparaît, qu’au dix-septième siècle. En lien étroit, avec la vision empiriste, de la connaissance. L’esprit est, alors, jugé, comme, dépendant, de la matière, réductible, à celle-ci. Ce qui donne, une biojeunesse.
À l’inverse, le spiritualisme défend, la pleine souveraineté, de l’esprit, du junior, par rapport, à la matière. En séparant et, opposant, radicalement, les deux dimensions ou, en réduisant, la matière, à l’esprit. Tout, sera, alors, jugé, à l’aune, de la pensée, procédant, de cette dernière. Tout, est donc, évalué, comme, étant, de nature, spirituelle. Or, si le matérialisme nie, l’esprit, le spiritualisme procède, de même, quant à la matière. Cela, constitue, une forme, d’ « idéalisme » platonicien, puisque, les choses, de l’esprit, sont la mesure, de toutes choses. Que la matière n’a donc, plus lieu, d’être.
L’on peut aussi, évoquer, un immatérialisme. Puisque, la réalité n’existe pas, en cette approche, des choses, mais, seule, la représentation, qui en est faite. C’est ainsi, que la philosophie épictètienne antique, estimait, que la jeune n’était, pas tant, affecté, par le réel, que par la vision personnelle, qu’il s’en faisait. L’être juvénile, n’est-il, qu’entité matérielle, que personne spirituelle ou, les deux ? Le junior n’est-il, qu’un composé, physique, chimique ou, un pur esprit psychique ? L’esprit est-il anatomique ou, le corps spirituel ? Ou, alors, les deux1029 ? La jeunesse est-elle matérielle, morale, les deux ? Telle est, la question éthique, la plus fondamentale.
Si le corps, du jeune, est purement, matériel, l’esprit, exclusivement, moral, comment, interagissent-ils, l’un, sur l’autre ? La pensée n’est-elle, que neuronale, le corps, uniquement, tributaire, du psychisme ? L’esprit n’est-il, que mentalisation, l’anatomie, que densité charnelle ? Naturalisme et, spiritualisme, sont les dimensions, d’un tel débat. Neurosciences, intelligence artificielle, apportent leur contribution, contemporaine, quant à la distinction, entre l’âme et, le corps. Ainsi, il ne s’agirait plus, de distinguer, matériel et, immatériel, mais, à les associer, en un « tout », de même nature.
Notre temps fait prédominer, le matériel, sur l’esprit. Le matérialisme n’est plus jugé, aujourd’hui, contrairement, au passé, comme, opposé, à la vertu, à la morale, du jeune. Il est apparu, que l’Histoire, par son empirisme pragmatique, était plus mue, par le matérialisme, que par le spiritualisme. En outre, l’inconscient freudien donne, également, la primauté, à la matérialité. Ce qui en limite, la portée. Ainsi, le désir, conscient ou, non, serait-il, « plus fort », que la spiritualité, le moteur principal, de toute vie humaine. La pulsion mènerait, l’esprit, plutôt, que l’inverse. Les sciences, de la vie, aussi, notamment, la génétique, semblent, induire, que le fonctionnement, de l’esprit juvénile, provient et, est conditionné, par la matière.
Le matérialisme, de notre siècle, semble être, avant tout, d’essence biologique. Le domaine organique, notamment, cérébral, régit, fondamentalement, la sphère mentale, des juniors. Selon, les cas, le corps influe, sur l’esprit, l’esprit, sur le corps. Ou, encore, il n’y aura aucunes, interactions réciproques. Telle est, la vision dualiste, des choses. L’approche moniste consiste, à considérer, que corps et, esprit, ne sont, qu’une seule et, même entité, à double composante. Quoi, qu’il en soit, le réalisme, le plus « raisonnable », consiste, à reconnaître, la nécessité, d’un juste et, bon équilibre juvénile. Entre un humanisme, spirituel et réaliste, d’une part, et, une matérialité, physique et maîtrisée, de l’autre… La vérité consiste, à discerner, ce qui est réel et, non, contradictoire, cohérent, conforme, aux faits, donc, parfaitement, avéré.
En évitant, le double écueil, de la crédulité, trop excessive, comme, du doute, le plus « borné », des jeunes. En se gardant, également, tout autant, des pires totalitarismes, issus, des certitudes, unilatérales exclusives, imposées, par certains, à tous. Par net idéologisme, doctrinaire rigide, sectaire aveugle1030. La vérité juvénile, plutôt, qu’être absolue, doit-elle, se contenter, de n’être, qu’un « relativisme » pragmatique ?
En réalité, ni dogmatismes ni, scepticismes, ne sont, en mesure, de résoudre, la question première, de la force, comme, de la légitimité, de la vérité, par et, pour, elle-même. Pas davantage, le réalisme et, l’idéalisme. Peut-être, alors, convient-il, de faire appel, aux notions, « d’objectivité et, de subjectivité ». Ainsi, l’objectivité consisterait-elle, à voir, les choses, telles, qu’elles sont, réellement. La subjectivité, telles, qu’on les voit alors, avec ses points de vue, des plus particuliers. Le junior peine, à être objectif, par passions partisanes. (Renaut, 2006)1031.
Greenock est une banlieue, d’Écosse, fort déshéritée. Liam est un jeune garçon, qui y vit. Il est orphelin, d’une vraie famille unie, qu’il n’a jamais, connue et, il en souffre fort. Son père est parti et, l’a maltraité. Son beau-père est un délinquant, violent et, hostile. Sa mère est une droguée, emprisonnée. Elle doit être libérée, juste à temps, pour fêter, les seize ans, de l’adolescent. Liam rêve, d’une cellule familiale unie, avec sa mère et, sa sœur et, il veut, « faire le bonheur », de sa maman. Cela passe, pour lui, par l’acquisition, d’un beau mobile home, à crédit, lequel, serait installé, en un panorama, de carte postale. Il convient, de trouver, le budget adéquat. Il troque donc, son trafic habituel, de cigarettes, qui ne rapporte pas assez, pour celui, plus lucratif, de drogue. Avec son meilleur ami, qu’il perdra, dans cette affaire. Il vole, la marchandise, de son beau-père, puis, passe, par un fournisseur.
Cela, lui permet, de s’enrichir, de s’installer, seul, en son confortable logement. Il compte bien, que sa mère viendra vivre, avec lui. Or, à sa sortie, de prison, celle-ci, retourne vivre, avec son conjoint. Au grand désespoir, de Liam. Fou, de douleur, il poignarde, son beau-père. Ainsi, va, le film, de cinéma, de K. Loach, Sweet Sixteen. À la désinsertion socioéconomique, la crise psychomorale, de la jeunesse, s’ajoute, le marasme affectif et, l’éclatement, de la cellule familiale. Ici, le jeune Liam, n’est pas déviant, par vice ou, goût, du lucre, mais, pour recréer, une famille réunie, plus aimante, paisible. Sans violence ni, étrangers, au cercle domestique, du sang. Le drame juvénile est, d’abord, celui, du manque, d’amour, surtout, parental. Tous les jeunes, concernés, en souffrent tant, tout comme, Liam !
(Sweet Sixteen, drame cinématographique, du réalisateur britannique contemporain, K. Loach, Royaume-Uni, 2002)1032.
Hélas, d’autres juniors, se mettent, hors-la-loi, sans « circonstances atténuantes », par pure et, simple, déviance criminelle crapuleuse. Ainsi, P. Henry, âgé, de vingt-deux ans, (Criminel, France, 1953-2017), enlève-t-il, assassine-t-il, de sang-froid, en 1976, un garçon, de sept ans. Aux fins, de rançon. Ne faisant, « nul honneur », à sa jeunesse. Trahissant, ses devoirs, les plus sacrés, il préférera, l’avilissement, à la droiture, se perdant !
– Quelles Vertus Vous Transmettre –
AndroJeune ? Intérêt Général, Morale
L’intérêt général concerne, essentiellement, la société, la justice, le droit. La morale a trait, à vos liberté, devoir, comme, bonheur juvéniles. Le holisme pense, que l’ensemble social, dépasse, ses composantes. La communauté, en cette optique, l’emporte, sur l’individu. Il s’agit, d’une conception, de société, verticale et, autoritaire, valorisant, l’ordre social, l’appartenance sociétale, groupale. Au détriment, des sujets, eux-mêmes.
L’individualisme, à l’inverse, promeut, l’individu junior, comme, entité indépendante, autonome, libre et, ayant, pleine valeur, par et, pour, lui-même. Selon, ses propres vertus, mérites intrinsèques. La communauté sociale, n’étant, que seconde. Cela, va, en plein sens, de l’égalité. Car, le sujet, en tant, que tel, étant, la mesure supérieure, de toute chose, il ne saurait, être réduit, qu’à lui-même, non, à autrui. Liberté et, égalité l’emportent, sur toute hiérarchie. Il s’agit, donc-là, d’une société horizontale. Ce type, de modèle, de société, est moderne, occidental. Libéral aussi, car l’individu, en tant, que tel, a des droits et, libertés irréductibles. Ce qui convient, particulièrement, aux jeunes1033.
Hors, de portée, de l’État, tenu, en marge, de la vie, des sujets. La subordination holistique est, ici, remplacée, par le libre arbitre, la pleine autodétermination souveraine, en conscience, du junior. Il se détermine, ainsi, avant tout, par rapport, à lui-même, aux choses et, non, plus, par rapport, à sa communauté, aux autres humains. L’autosuffisance autarcique, des sujets, prime, favorise, ainsi, la sphère matérielle et, économique, au détriment, de celle, du politique. Le christianisme, en tant, que foi, intrinsèquement, individuelle, de lien personnel direct, avec Dieu, aura privilégié, le jeune, lui-même.
Au détriment, de l’organisation sociale, politique holiste. En égalité, de tous, transcendée, dans le lien, même, privilégié, avec le divin. Sans nier ou, détruire ni, rejeter, pour autant, les hiérarchies sociales, les plus temporelles. Notamment, à l’ère médiévale. Puis, en une lente évolution, jusqu’à nos jours, l’individualisme et, l’universalisme chrétiens, ont fini, par atteindre, le domaine social, lui-même. Universalisant, par-là même, en la société entière, les principes, d’égalité, de libre arbitre personnel, juvéniles.
La Réforme protestante, puis, catholique, transforme, l’institution ecclésiale « holiste ». Ce, en communion, d’individus. Puis, le libéralisme politique, à partir, de la Renaissance, parachève, le processus. La philosophie, des Lumières, et, les Déclarations des Droits de l’Homme, de la fin, du dix-huitième siècle, défont, les vieilles sociétés verticales. Au profit, de l’individualisme horizontal. En imposant, les valeurs, de liberté, comme, d’égalité, des jeunes, au détriment, de l’omnipotence, des puissances publiques. Ainsi, la communauté, tel, un groupement, d’hommes captifs, dépendants, est, peu à peu, remplacée, par une société, de membres indépendants.
Qui se suffisent, à eux-mêmes. Une simple relation, entre associés, égaux, en valeur, droits, devoirs et, dignité. Désormais, la volonté individuelle l’emporte, sur l’intérêt général. Le junior n’est plus, un être social, mais, individuel, qui passe, avant, la vie sociale. La société moderne est une association, d’individus, non, plus, une communauté « holiste ». Tout, le défi majeur, contemporain, consiste, à concilier, cette réalité individualiste, avec le minimum, d’unité sociale. Indispensable, pour assurer, à la jeunesse, un minimum, de cohésion, individuelle et, collective.
La société occidentale contemporaine, est alors, dite, « démocratique ». En ce sens culturel, de symboliques et, valeurs, reflétant, une certaine vision, de la vie et, de l’univers. La société démocratique est celle, en laquelle, l’individu l’emporte, sur la collectivité, comme, métavaleur supérieure, à toute autre. La tradition prédéfinie, imposée, à tous, a ainsi, été remplacée, par la libre, volonté personnelle juvénile ou, de groupes délimités. Puisqu’il n’y a, désormais, plus, de règle générale préétablie, universelle, chacun, élabore donc, sa propre « loi individuelle », unique. Cela, aboutit, à la démultiplication, des référents, alors, à ce qu’il, n’y en ait, en réalité, aucun.
Les abus, de la tradition, sont relayés, par la tyrannie, de l’arbitraire, du caprice ou, de l’égoïsme. Ce qui aboutit, au totalitarisme, des ego, du junior, aux dépens, de tous. Pire, encore, que celui, de la loi, d’airain, des conformismes collectifs, antérieurs. La question, de l’importance, du droit, prend, une centralité cruciale, en sociétés contemporaines. Du fait, des champs, fort accrus, des libertés, individuelles et collectives. Un besoin croissant, de régulation, du loisible et, du proscrit, se fait donc, jour. Y compris, en la jeunesse, qui sait, avoir besoin, de limites, pour grandir1034.
Entre traditions, repères disparus et, conscience individuelle exacerbée, du junior, la norme juridique, s’impose, à tous. Elle devient, même, capitale, pour fixer, les limites indispensables, à toutes sociétés, organisées, civilisées. Il est même, affirmé, que, « la liberté, des uns, s’arrête bien, où, commence, la latitude, des autres ». Quant à la justice, elle tranche, par rapport, à ce qui est considéré, comme, juste ou, injuste. La justice trouve, sa légitimité, en société humaine, de « sujets relationnels ». Qui admettent et, observent, des principes, de comportements, comme, étant impératifs.
Le tout, en une optique, de coopération juvénile, en l’intérêt général, de tous. Étant admis, que cette vision collective, est plus bénéfique, pour l’ensemble, des membres, de la société, que les menées, purement, individuelles, isolées, de chacun. Cela, se fait, autour, du plus petit, dénominateur commun, d’intérêts, à défaut, de pouvoir, s’accomplir, par le plus grand. Serait, juste, une société, en laquelle, tous les sujets, possèdent, un droit égal, à l’exercice, des mêmes libertés fondamentales. Égalité, n’étant pas, égalitarisme, toute différence ou, inégalité matérielles, ne serait pas, à proscrire ou, illégitime. Les jeunes savent, leur dissemblance1035.
Sinon, il pourrait, y avoir, risque, de totalitarisme, d’atteintes, aux libertés individuelles juvéniles, les plus essentielles. Il reste, à distinguer, entre les inégalités, injustes, indues et, celles, qui sont plus justes. Ce, aux yeux, de tous, à condition, que les mêmes, libertés capitales, soient assurées, à l’ensemble, des membres, de la société, sans nulles, exceptions. Il y a, un impératif préalable, d’égalité réelle, des chances, de libertés concrètes, pour tous. Le fait, que l’absence totale, de toutes inégalités, ne serait pas, forcément, profitable, à tous, y compris, pour les plus défavorisés.
Quant aux inégalités, de la jeunesse, non, justifiables ni, justifiées, l’État peut donc, légitimement, agir, pour les rectifier, compenser, de façon, juste et, adéquate. Est donc, juste, l’état social, en lequel, il serait impossible, en l’amendant, de parfaire, la réalité, de certains, sans, en même temps, détériorer, celle, d’autres. En substance, l’on ne saurait, « déshabiller, Paul, ce, pour vêtir, Pierre ». La justice sociale, n’est pas, la stricte égalité, égalitariste, mais, une réalité, de maximalisation, d’un minimum social. Que le junior le plus démuni, soit convaincu que, même, l’état social, sans nulle, inégalité, ne serait pas, pour autant, plus bénéfique, pour lui.
Il s’agit, d’améliorer, la situation, des jeunes, les plus défavorisés. Pour, qu’ils ne soient plus, incités, à espérer, exclusivement, de la disparition, des inégalités, l’amélioration, de leur réalité. L’égalité serait donc, légitime, uniquement, si le sort, des plus déshérités, en était, fort amélioré. L’injustice serait réalisée, par les inégalités, ne profitant pas, à tous. La justice serait, non, de supprimer, les inégalités, mais, d’optimiser, le minimum social. La notion, d’équité, l’emporterait alors, sur celle, d’égalité. La liberté peut se définir, comme, le « libre arbitre », plus propre, à la condition, du junior, qu’animale.
Car, l’homme, est le seul vivant, authentiquement, en mesure, de cultiver, des jugements, de valeur, notamment, moraux. Ce, en étant capable, de faire, des différences, toutes axiologiques, entre le bien et, le mal, la droiture et, la déloyauté, le juste ou, l’injuste… Seule, la liberté, autorise, de tels, arbitrages moraux. Contrairement, à l’animal, l’être juvénile est toujours, libre, en conscience, de « faire, le bien ou, le mal ». Par le libre arbitre raisonné, la volonté, comme, la capacité, de choix, qui le caractérisent. La philosophie antique, notamment, stoïcienne, considère, que la liberté, n’est pas, latitude, de choix total.
Or, un phénomène, de pleine libération, à l’égard, de deux réalités. Les illusions théoriques, psychiques et, les erreurs, d’une part, les situations pratiques et, d’attachement, de peurs, de l’autre. La liberté réelle, pleine et entière, ne règle pas, le comportement, des juniors. Elle est le fruit, d’une difficile ascèse, de soi-même, et, sur soi. Ainsi, fondamentalement, la liberté, de la sagesse antique, consiste, non, pas, à faire, ce que l’on veut, mais, à travailler, sur soi-même. Afin, de se défaire, des peurs, qui coupent, de la paix, de l’âme. L’objectif est alors, l’ataraxie, l’équanimité, qui seules, permettent, au jeune, de s’élever, moralement.
Pour ne se préoccuper, que de ce qui dépend, de lui. Non, de ce qui lui échappe, totalement. Cela, rejoint, la pensée antique, spirituelle, qui consiste, à dire, qu’il s’agit, d’ « avoir, la sérénité, d’accepter, ce qui ne peut être, modifié, par soi-même. Le courage, de changer, ce qui peut l’être, personnellement. La sagesse, d’être en mesure, d’en connaître, la différence ». Le principe stoïcien suprême, est donc, moins, de modifier, l’ordonnancement, du monde, que d’en accepter, l’ordre immuable, incontournable, immémorial. Ce qui est difficile, à faire admettre, à une jeunesse, si avide, de changements, rapides et, radicaux1036.
Ultérieurement, en une optique, augustinienne et cartésienne, la liberté sera, plutôt, conçue, comme, libre arbitre, volontarisme, d’action, comme, de choix. Ainsi, le junior, est-il, pleinement, capable, de « maîtriser, sa propre destinée, par sa conscience, même ». Cette liberté prévaut, quant à sa personnalité, comme, à son corps, de façon, interne. Concernant, les influences extérieures, notamment, éducatives, sociales. La conception, de la liberté, est donc, fort duale. D’une part, la totale acceptation, d’un ordre indispensable et, préétabli. De l’autre, la volonté souveraine, de fixer, soi-même, les conceptions, décisions, actions, engagées, au service, des buts envisagés, souhaités.
À notre époque contemporaine, l’inconscient psychique, tel, que, révélé, par la psychanalyse, fait, que la liberté, du jeune, est, à tort, une donnée relative, non, absolue. Il y aurait, aussi, un inconscient social, défini, notamment, par le marxisme. Qui ferait, que chaque humain, se déterminerait, d’abord, en fonction, de son éducation et, de son milieu social. Puis, troisième élément, si « limitatif », des libertés personnelles, celui, de l’inconscient biologique. Avec, notamment, la forte influence, génético-chimique, de l’organisme juvénile, sur l’humeur, le comportement. Par exemple, la testostérone, hormone mâle, de l’agressivité, par excellence.
Chez les Anciens, du passé, la liberté était volonté, comme, choix absolu. Chez les Modernes contemporains, la liberté est née, d’une libération, une émancipation, une désaliénation, quant à des illusions, des irréalités. Liberté et, libre arbitre, y compris. La seule, vraie liberté, serait donc, de renoncer, aux chimères, de la… liberté. En réalité, il n’en demeure, pas moins, plus, que jamais, aujourd’hui, comme, hier et, demain, que le jeune demeure, bel et bien, maître, de ses choix et, de sa destinée. Cela, a pour nom : responsabilité.
La notion, de devoir, implique, deux réalités afférentes : l’éthique « déontologique » et, l’éthique « téléologique ». L’éthique déontologique juvénile, est celle, du devoir, dès lors, qu’elle définit, que certains comportements, actions, sont moralement, ipso facto, impératifs ou, interdits. Quels, qu’en puissent être, les effets. Il s’agit, d’une philosophie, de la conscience et, de l’obligation. L’éthique téléologique est celle, du but, de l’objectif, qui sous-tendent, une attitude. Quand, elle juge, qu’il y a-là, un bien, à accomplir, que la morale, la meilleure, est d’y conduire, pour un bénéfice, du junior1037.
Quels, qu’en soient, les moyens. En une sorte, de « philosophie, du bonheur, de la vertu ». La notion, de devoir, est à relier, à celle, d’individualisme. Le « sujet Anthropos » juvénile se considère, comme, « indépendant », vis-à-vis, de la collectivité. L’humanisme, la modernité, mettent, l’homme, en position, de « capacité, d’autonomie ». Désormais, l’être humain est et, se considère, comme, la source, le fondement, l’auteur, même, de ses représentations, ses actes. Alors, que les Anciens, en un contexte, d’assujettissement collectiviste, percevaient fort, leurs normes, lois, comme, issues, d’un ordre naturel ou, de Dieu.
Les Modernes les élaborent, eux-mêmes, par leur raison et, leur volonté. L’autonomie humaniste, du junior, n’accepte, de se plier, à la loi ou, à la norme, que si elles sont, pleinement et librement, acceptées. Quant à l’indépendance individualiste, elle promeut, le primat absolu, de l’ego, comme, valeur unique, suprême et, irréductible. Individualisme, préoccupation, de soi, l’emportent donc, alors et, se suffisent, à eux-mêmes. L’autonomie humaniste, du plein devoir, tient compte, d’une dimension humaine juvénile, commune. Au-delà, de la seule unicité, du sujet jeune, même, la plus remarquable.
À laquelle, la singularité, de tout junior, doit, se plier. Cela, étant, compatible, avec le respect, de certaines valeurs et, règles. L’indépendance individualiste s’oppose, à cela, ne se basant, que sur la primauté, d’absolues dissemblances, qui, seules, prévalent. L’eudémonisme antique ou, bonheur, est l’approche existentielle morale, qui postule, haut et fort, que l’heureuse vie et, l’accomplissement moral, de soi, se recoupent. La vie bonne, celle, du bien moral et, la bonne vie, celle, qui rend heureux, par les plaisirs, seraient donc, « fondues », l’une, en l’autre. Telle est, la vision aristotélicienne, du bonheur terrestre.
Il s’agit, d’un principe ontologique, en vertu, duquel, chaque jeune, visera, son bien propre, lequel, est le bonheur, en tant, que réalisation, de son propre capital, d’atouts. Le tout, en une optique, de dépassement, de soi, d’excellence. Le bonheur terrestre serait, la valeur suprême absolue, puisqu’il est lié, à l’idéal indépassable, de perfection. Toute autre visée, ne saurait, alors, qu’être fort relative, seconde. Contrairement, aux autres objectifs, de la vie, le bonheur se suffit, à lui-même et, n’a point, d’autre finalité, que lui-même. Tout, est choisi, en un but juvénile, autre, que le choix, lui-même1038.
Alors, que le bonheur, du jeune, est le seul objectif, qui soit, une fin, en soi, son propre but. Le bonheur absolu, est considéré, telle, une sagesse suprême, celle, de la béatitude, de l’ataraxie, l’équanimité. Désirs, passions et, peurs, laissent alors, la place, au détachement, des choses, de ce monde. À la félicité, qui est celle, de la paix intérieure, du corps, de l’esprit, du cœur et, de l’âme. Extérieure, de la « pacification » totale, de tout lien, à autrui. Ainsi, passé, présent, avenir, en leurs tourments, sont-ils abolis, au profit, des vérités, des absolus, si éternels, des méditations contemplatives. Le tout, à l’aune, de l’existence entière, achevée, à l’instant, du trépas. Quand, vient, le temps, du bilan final, des adieux terrestres, avec, l’ici-bas. En véritable anthroposophie, juvénile et, jeunologique. (Renaut, 2006)1039…
En octobre 1815, Napoléon Ier, (Homme d’État, France, 1769-1821), part, en exil, à Sainte-Hélène, sous l’égide, du Royaume-Uni. Il y côtoie, une famille anglaise, les Balcombe. Il fait la connaissance, de leur fille, de treize ans, Betsy. (Royaume-Uni, 1802-1871). Une amitié se noue, elle surnomme même, l’ancien souverain, Boney. Elle lui rendra souvent, visite, jusqu’à son départ familial, pour l’Angleterre, en mars 1818. Sa vie durant, elle reste fidèle, à la mémoire, de l’Empereur, en contact, avec sa famille. Le frère aîné, de Napoléon, Joseph, (Homme d’État, France, 1768-1844), la rencontre, à Londres, en 1830. Napoléon III, (Homme d’État, France, 1808-1873), lui octroie, des terres, en Algérie, en remerciement, pour son lien, d’amitié, avec son oncle.
Ayant adouci, sa lointaine relégation. Extraordinaire histoire, que cette entente, si improbable, rare, entre, l’un, des plus illustres personnages, de l’Histoire, de l’Humanité et, une si jeune fille ! Qui plus est, fait, fort remarquable, de la nation, ex-ennemie, d’alors. Reflet, des immenses, capacités relationnelles juvéniles1040. À la jeunesse, l’amitié prend, une importance majeure. De fait, des liens puissants, sûrs, porteurs, tendent, à un renforcement personnel indispensable, prenant, la suite, d’une affectivité familiale, devenue caduque. Cette reconnaissance mutuelle, de pairs, renforce, une estime, confiance, affirmation, de soi, juvéniles, par essence, incertaines. De façon, choisie.
L’on est une génération éponge, qui va payer pour les autres
L’on connaîtra l’insécurité d’emploi, pouvant être viré, à tout moment
Avec nos parents à charge ! […]. L’on est une génération sacrifiée
Julien, dix-sept ans–1041
10
VOTRE « PLÉNITUDE INTÉRIEURE »
Décupler Vos Ressources AndroJuvéniles
C’est la fièvre de la jeunesse, qui maintient le reste du monde
À la température normale. Quand la jeunesse refroidit
Le reste du monde claque des dents
G. Bernanos
Écrivain, France, 1888-1948
Les Grands cimetières sous la lune
Pamphlet littéraire, France, 1938
La jeunesse est souvent la saison des douleurs
J.-F. Ducis
Écrivain, dramaturge, poète
France, 1733-1816
Othello, acte II, scène 5
Lorédan
Œuvre théâtrale, France, 1792
La raison d’être, de votre AndroJeunoConseil®, est de préparer, votre néogénération masculine, à la « compétition, de la vie ». D’accueillir, votre jeunesse, en toutes ses capitales dimensions. Ainsi, votre cheminement androJeunologique est, pour vous, jeune suivi, vecteur d’affranchissement, hautement, favorable !
Le junior est un « vrai spaghetti al dente« .
« Le spaghetti est espiègle et, vivant. Il ne se laisse pas manger, sans réagir : ce n’est pas un aliment, que l’on saisit, avec la fourchette et, que l’on porte, à sa bouche, comme, une patate ou, un navet. Le spaghetti, on le traque, on le chasse, on l’entortille et, on le maîtrise, d’abord. – il faut, le mériter. Il se rebelle, glisse, échappe – la stratégie, mise en œuvre, contre lui, est celle, du Sioux et, du chasseur, de gazelle. […]. Cela, à la nuance près, avec l’adolescent, que c’est lui, qui risque, de vous bouffer » !
(Préface, de C. Duneton, écrivain français, 1935-2012).
« Vous venez, de découvrir, subitement, qu’un ado, vivait, chez vous, alors, que vous pensiez, jusqu’à, hier matin, avoir, un enfant. […]. Il grogne, tapi, dans l’ombre, montrant, des dents, pleines, de barbelés. De la couette, dépassent, des pieds immenses, velus ! Si le il, est une elle, eh bien, c’est à peu près, la même chose, si ce n’est, que la métamorphose, aura commencé, un peu, plus tôt » !
(A. de Rancourt, auteure française, Comment élever un ado d’appartement ? Témoignage sociologique, France, 2006)1042.
Un jeune n’est plus… un enfant, infans, non, encore, doué, du langage, cqfd ! Or, a minima, un adolescent, adolescens, en train, de grandir. Un junior, à défaut, d’être pleinement encore, un adulte, adultus, déjà, mûri. Le paradoxe est que, bien que la jeunesse soit, scientifiquement, de plus en plus, connue, elle continue, à être, une énigme, pour l’adulte. Pourtant, ex-jeune, lui-même ! « Un mystère, un casse-tête, une sidération », dépourvus, de signification ! Le magicien, de la cité d’Émeraude, est dépourvu, de magie. Un épouvantail, sans cerveau, un homme, de fer, sans cœur, un lion, sans courage, font appel, à lui. En sage, il leur démontre, que chacun, a, en lui, la clé, de son accomplissement. De même, la jeune Dorothée, pourra rentrer, chez elle, selon, sa propre voie. Que tout junior, sache, donc, qu’il est, le seul, ordonnateur, de lui-même et, sa vie.
(Le Magicien d’Oz, The Wonderful Wizard of Oz, roman fantastique, de L. F. Baum, écrivain américain, 1856-1919, États-Unis, 1900).
Plus nous aurons donné de sens à notre vie
Moins nous éprouverons de regrets, à l’instant de la mort
Dalaï Lama, T. Gyatso
Actuel chef spirituel
Du bouddhisme tibétain, Tibet, Inde
PRÉPARER VOTRE NÉOGÉNÉRATION MASCULINE
[ À LA « COMPÉTITION » DE LA VIE ]
Votre AndroJeunologie® veut « stimuler », vos divers genres d’intellect, de jeune homme, en totale synergie. Entretenir, le dialogue et, la paix, par votre intelligence émotionnelle juvénile. Faire bénéficier, votre nouvelle génération, des vecteurs, de votre « optimale équanimité ». Pour votre accomplissement.
Une jeune fille, de quinze ans, donne ses conseils, des plus avisés, aux parents, de juniors, pour que, la coexistence, adultes-jeunes, se passe bien. « Quatre règles, d’or, à retenir.
1- Impliquez-vous, dans la vie, de votre jeune.
2- Gagnez, le respect, de votre junior.
3- Faite confiance, à votre jeune !
4- Ne vous mettez jamais, en colère
Pour une chose, que votre junior, vous a avouée ».
Selon, la jeune auteure, jouer, son rôle, de parents, de junior, consiste donc, d’abord, à éviter, l’indifférence. Échanger, dialoguer, avec lui. L’aider. Le questionner, sur ce qu’il pense, ressent. S’intéresser, véritablement, à son existence, ses relations proches et, ses passions. Se comporter, de façon, à ce que le jeune, soit assuré, d’être aimé. Le respect s’obtient, en mettant en œuvre, les peines encourues, prononcées, en cas, de transgressions, des règles établies. Humour, souplesse et, fantaisie, s’imposent fort, aussi ! La confiance passe, par le fait, de conférer, des responsabilités, des avantages, « faire crédit, non, débit » moraux systématiques.
D’éviter, les modes, de contrôle, surveillance, insidieux, déloyaux, dissimulés. Les réactions colériques, rageuses et, excessivement, courroucées, face, à des confessions, aveux, sont à bannir. Pour que le jeune, ne se referme pas, sur lui-même, se défie, à jamais, de ses parents. Être dans la tête d’un jeune est un ouvrage intéressant, qui sort, de l’ordinaire. Car les conseils, donnés, aux adultes, pour bien vivre, avec les juniors, ne sont, chose rare, pas délivrés, par un parent ou, un expert adulte.
Or, par un jeune, lui-même. De l’intérieur, donc, le mieux placé, pour bien connaître et, décrypter, les réalités, besoins, attentes juvéniles ! (Jellyellie, jeune auteure britannique, Être dans la tête d’un ado – Guide pratique de cohabitation, avec l’adolescent, essai psychosociologique, France, 2009)1043. Une jeunesse, plus capable, ingénieuse, que l’on ne le croit, habituellement. Ainsi, ce garçon, de seize ans, qui invente et, fabrique, lui-même, une prothèse, de main, avec une imprimante 3D. Qui bénéficiera, Ô combien, à un enfant, privé, de quatre doigts !
(Quotidien, d’information, Metronews, entrefilet sociologique, France, 2014).
– Stimuler Vos Divers Genres d’Intellect –
De Garçon Junior, en « Synergie »
Plénitude, est un terme féminin, de 1300. Issu, du latin, plenitudo, de plenus, plein. « État, de ce qui est complet, dans toute sa force ».
(Dictionnaire, de la langue française, Robert, France, 2007)1044.
Votre plénitude intellectuelle est, donc, la totale maîtrise, l’amplitude maximale, de vos facultés cognitives et, de raisonnement. Telles que stimulées, en votre suivi androJeunologique.
J.-S. Bach, (Compositeur autrichien, 1685-1750), produit, Le clavier bien tempéré, Préludes et Fugues, Bwv 846-869, en 1722-1723. (Saint-Empire)1045. Cette œuvre monumentale, magistrale, a été écrite, notamment, pour le clavecin ou, l’orgue. Elle est aussi, souvent, jouée, au piano. Mettons, tout particulièrement, en exergue, le Prélude et, Fugue, numéro 1, Bwv 846, en do majeur, interprété, au clavecin. Plus, qu’avec l’orgue ou, le piano, ce « morceau, d’anthologie », s’accorde, tout spécialement, à l’exécution, par cet instrument exceptionnel, tout aérien1046. Ce prélude évoque, notamment, en sa première partie, toute, la grâce juvénile, masculine et, féminine. Les hésitations et, en réalité, toute, la virtuosité, la beauté, la finesse, l’intelligence, tout en légèreté, d’une jeunesse virtuose. Menée, à son terme, avec maestria, sans encombre et, « d’une main, de maître ».
Tout le doigté, si élégant et, diaphane, du son cristallin, du clavecin, se prête, à merveille, à cette métaphore musicale, quant aux débuts, de l’âge, d’homme. Tout ceci, rappelle fort, une jeunesse, bien plus charmante et, attachante, touchante, harmonieuse et, épanouie, que, véritablement, répulsive. Ingrate, souffrante, en crise. Comme, sa méchante caricature, nous le dépeint, habituellement, bien trop, volontiers. De même, l’AndroJeunoConseil® se veut, une pièce maîtresse, savamment, orchestrée, prestement, enlevée, avec tout, le brio, nécessaire. Pour que, tout junior guidé, en son cheminement, en tire, le meilleur profit, en sorte, « meilleur », encore, qu’il ne l’était, à son entrée.
Ce qui signifie, s’amender et, s’enrichir, se dépasser et, « accomplir, son destin », en plein empire, de soi-même, totale transcendance, plénitude. Depuis, une trentaine d’années, nous savons, notamment, grâce, aux travaux, du professeur, H. Gardner, que l’intelligence humaine, n’est pas une, mais, multiple. (H. Gardner, cognitiviste américain, psychologue du développement, de l’université Harvard, États-Unis). Ce qui importe, pour le junior. Lequel, est parfaitement, capable, d’optimiser, ses capacités cognitives. Ainsi, ce jeune britannique, qui a eu, l’idée géniale, de distributeurs gratuits, de première nécessité, pour les sans-abris !
Cette réalité, si révolutionnaire, est capitale, pour faire reconnaître, les atouts et, capacités spécifiques, de chaque junior, en tous domaines. Elle gagnerait, à être plus et, mieux, mise en pratique, en particulier, dans le champ, des études, de l’orientation scolaire et, des métiers. En un pays, la France, où, le modèle, de réussite, purement, intellectuel, domine. C’est-à-dire, langagier, logique. Aux dépens, d’autres types, d’aptitudes. Lesquelles, sont bien mieux, prises en compte, en d’autres contrées, systèmes éducatifs. Dont, l’on ferait bien, de plus, s’inspirer, en l’Hexagone, au profit, du jeune.
H. Gardner a isolé, sept grands types principaux, d’intelligence. Il affirme, que d’autres, sont possibles. L’intelligence musicale est reliée, au fait, que certaines zones cérébrales, interviennent, dans l’audition, l’émission musicales. Surtout, en l’hémisphère droit. L’intelligence kinesthésique concerne, la pleine maîtrise, des mouvements, du corps, via, le cortex moteur. Chaque hémisphère, gérera, les mouvements contralatéraux. L’intelligence logico-mathématique juvénile, qui est non verbale, consiste, en l’aptitude, à résoudre, des problèmes, susceptibles, de survenir, en toutes matières.
L’intelligence langagière, du junior, permet, de recevoir, d’émettre, des signes, messages. De les comprendre, sous forme, d’un ensemble, élaboré et structuré, ayant, un sens. Façon humaine, de communiquer, universelle, dans le temps, l’espace, les cultures, les civilisations. L’intelligence spatiale concerne, surtout, l’hémisphère droit, l’aptitude, à se mouvoir, s’orienter, visualiser, en l’espace. L’intelligence interpersonnelle permet, de saisir, tout, ce qui différencie, tous les humains. Notamment, d’un point de vue cognitif, émotionnel, comportemental.
Pour bien comprendre, les autres, les « fondements, de l’âme, du jeune ». Cela, concerne, surtout, le lobe frontal. L’intelligence intrapersonnelle est celle, de la « conscience endogène », de sa personne. La pleine introspection, de pensée, mentale, intellectuelle, comme, d’affects, morale, affective, d’imagination. Pour diriger, ses actes, attitudes, paroles, omissions et, abstentions. Avec, une bonne autoreprésentation. Les lobes frontaux sont concernés, au tout premier chef. Chaque type, d’intelligence juvénile, est pleinement, autonome, se suffit, à lui-même. Il n’influe pas, sur d’autres et, réciproquement. Ce qui permet, de riches combinaisons multiples1047.
Un genre, d’intelligence, élevé, n’implique pas, qu’il en sera, de même, pour d’autres. Ceci, étant dit, la plupart, des activités humaines, requièrent, plusieurs types, d’intelligence, simultanément, à défaut, de tous. Tout enseignement, digne, de ce nom, ne peut, que tenir compte, des divers types, d’intelligence, des jeunes et, de leur développement. Non, des seules, intelligences, langagière, logique. Revenons, sur les intelligences, dites, personnelles : interpersonnelle et intrapersonnelle. Quant aux autres et, à l’égard, de soi-même.
Il nous semble que, de toutes les intelligences, il s’agit, de la plus importante, pour « bien vivre ». De fait, vivre, en « bonne intelligence », c’est le cas, de le dire, avec soi-même, autrui, est fort capital, pour la réussite existentielle, de tout junior et, humain. Les autres types, d’intelligence, étant plus techniques, limités, car, bien plus spécialisés. Les intelligences personnelles étant, plus globales, vastes, généralistes, centrées, sur l’humain. Ce sont celles-ci, qui devraient, très prioritairement, être inculquées, développées et, prises en compte, pour l’accomplissement, de soi, de tout jeune. En tous domaines, de sa vie, en ses études et, en dehors. Nous en sommes encore, bien loin.
Les seules intelligences, dites, langagières, logiques, étant encore, bien trop exclusivement, privilégiées. L’intelligence interne juvénile comprend, la pensée, l’affectivité, les émotions, la capacité, à en tirer, le meilleur parti. Pour agir, se comporter, de la façon, la plus appropriée. La notion, de plaisir, celle, de souffrance, y sont importantes. L’intelligence externe est dominée, par la capacité, à bien comprendre, les autres, que soi, leurs réalités, attentes, besoins. Ce qui permettra, de réguler, très adéquatement, ses propres attitudes, en fonction, d’autrui, de ses caractéristiques conjoncturelles, structurelles.
Les intelligences personnelles dépendent, non, seulement, des juniors, or, aussi, des cultures, époques. Elles relèvent, largement, du temps, de l’espace, fluctuent, se différencient, en fonction, de paramètres historiques, géographiques. Intelligence intrapersonnelle, intelligence interpersonnelle sont liées, car, elles se nourrissent, réciproquement, mutuellement, l’une, de l’autre. Le jeune apprend alors, sur lui-même, grâce, à l’observation, l’approche, des autres, notamment, ses pairs. Il enrichit, sa sociabilité, par la connaissance, de sa propre personne juvénile, pour bien mûrir1048.
Chaque intelligence personnelle, endogène, exogène, a donc, besoin, l’une, de l’autre, pour se développer, fort harmonieusement. Elles sont donc, inséparables. L’intelligence personnelle joue, pour chaque jeune, un rôle, de développement existentiel majeur. Son optimum, lui bénéficie, son déficit, lui nuit, bien plus, encore, que tous les autres types, d’intelligence, réunis. Si le jeune est « en guerre, avec lui-même, comme, le reste, du monde », cela, est bien plus dommageable, que d’être limité, en intelligence classique. Musicale, spatiale, kinesthésique, langagière ou, logico-mathématique.
Car, il en va, du fondement, même, de la vie : soi-même et, les autres congénères humains. À l’inverse, être en plénitude maximale, avec soi et, autrui, transcende, encore plus, que toute autre aptitude, d’intelligence. En matière, d’accomplissement personnel. Tout junior, a donc, un besoin viscéral, d’avoir, une bonne conscience, de lui-même, de son identité et, spécificité unique. Ainsi, que des autres, en leurs propres particularismes. Le jeunesse implique, de tous nouveaux types, de savoirs, connaissances. L’intellect et, la psychologie juvéniles se renforcent, se développent, pour atteindre, un stade, de type adulte.
Les juniors comprennent mieux, les autres, les fondements, moteurs, de la personnalité et, des comportements, d’autrui. En leurs relations, la gratification matérielle cède toujours, le pas, aux interactions psychiques et, morales, d’empathies réciproques et, partagées. L’abstraction immatérielle domine, la seule conception, concrète physique, de l’enfance. Les compétences sociales progressent, avec l’acceptation, des lois, en vigueur, leur relativisation distanciée. En fonction, des occurrences atténuantes, neutres, aggravantes. La notion, de justice, d’injustice, repose, sur l’idée, de « personnalisation ». Conjoncture et, structure, objectivité et, subjectivité, pensées, émotions, comportements, sont bien perçus et, différenciés.
Les besoins juvéniles, d’amour, de reconnaissance, demeurent prégnants, mais, avec la prise de conscience, que la réciprocité humaine, n’est pas systématique. Le jeune comprend, que donner, n’implique pas, ipso facto, recevoir. Qu’il s’agit, de majorer, ses attentes, exigences, à l’égard, de soi-même et, de les minorer, à l’égard, d’autrui. Le junior se connaît mieux, ainsi, que les autres, pairs et, adultes. En conscience, de son identité juvénile propre et, de celle, différente, d’autrui1049. Le jeune comprend, que ses désirs, sa volonté, ses choix, objectifs, ambitions, intérêts, sa liberté, sont limités, par ceux, des autres. Par la nature, des réalités anthropologiques, qui sont, avant tout, bornées. Tout comme, la durée, de la vie, de chacun. (Gardner, 1983, 1997, 2004)1050.
Il est, d’usage abusif, d’évoquer, de stigmatiser, la soi-disant « crise de jeunesse ». Laquelle, n’existe, qu’en l’esprit embrumé, des « experts » ! En réalité, il y a surtout, tourment d’adultes. Notamment, celui, des « parents difficiles », des juniors. Qui doivent, stoïquement, supporter, leurs ascendants. Bien plus, que l’inverse ! Ce que démontre, le sociologue français contemporain, M. Fize, en son ouvrage, aux « adolescents qui ont des parents difficiles ». Quelques comportements, de ces parents, sont alors, relevés. « Le refus systématique. L’exigence permanente. L’impatience constante. L’émotivité trouble. Le complexe, de supériorité. La jalousie. Le copinage. L’inquiétude. Le transfert ». Vingt conseils, de jeunes, à l’usage, des juniors, sont prodigués, pour l’harmonie relationnelle, parents-jeunes. Agir, au mieux, avec doigté, avec, un « parent difficile ».
« 1. Ne cherchez pas, à être, des jeunes parfaits ou, exemplaires.
2. Ne répondez pas, à ses provocations.
3. Attendez, le bon moment, pour lui demander, un service.
4. Sans oublier, ses défauts, louez, ses qualités.
5. Ne cédez, cependant, pas, à tous ses caprices.
6. Ne pratiquez pas, le « copinage », avec lui.
7. Aidez, votre parent, à faire, sans tracas, le deuil, de votre enfance.
8. Concentrez-vous, sur un problème, du parent difficile, à la fois.
9. Essayez, de bien dominer, vos émotions, tandis, que votre parent, est submergé, par les siennes.
10. Aidez, votre parent, à réinvestir, sur lui-même.
11. Conseillez, à votre parent, de faire, de l’exercice.
12. Rassurez-le.
13. Incitez, votre parent, à s’engager, pour une cause.
14. Vous n’avez pas, à donner, d’explications, sur votre sexualité.
15. Évitez, toute remarque, sur les changements physiques, de votre parent.
16. Méditez : Nos parents rient, quand, nous avons l’air, sérieux ! (A. Frank, jeune allemande, victime du nazisme, 1929-1945).
17. Faites le deuil, du parent idéal.
18. Un parent ne réfléchit pas et, ne se comporte pas, comme, vous.
19. L’autorité est un cache-misère.
20. Faites parler, votre parent, de sa jeunesse ».
(M. Fize, Manuel illustré, à l’usage des adolescents, qui ont des parents difficiles, ouvrage, de psychosociologie, France, 2009)1051.
Salutaires préceptes idoines ! Au-delà, l’AndroJeunologie® est une approche pratique, permettant, à tout jeune, d’être, enfin, délivré, de son syndrome, d’échec. Il le fait passer, de sa circonvolution, de marasme, à une linéarité, de sortie, de crise. Au lieu, de persister, à « tourner en rond », sans fin, en vain, autour, de ses difficultés, le junior devient capable, de se mettre, en marche. D’aller, du point A, des blocages, au pôle B, des solutions.
– Entretenir Dialogue, Paix –
Par Votre Intelligence Émotionnelle de Jeune Homme
Votre AndroJeunologie® vous aide, junior masculin, à atteindre, l’optimum, d’épanouissement humain, auquel, vous êtes en droit, de prétendre. En regard, de vos capacités, spécificités, souhaits. En la mesure, du possible, des réalités, bien tangibles. Confronté, aux aléas, de votre quotidien existentiel, vous, jeune, pouvez alors, faire face, de quatre grandes façons, différentes. Seule, la dernière, étant positive. Votre premier type, cognitif, émotionnel, comportemental, est constitué, par l’indifférence, l’appauvrissement moral. Vous, junior, vous repliez, en « autarcie », sur vous-même, votre intériorité et, environnement. Par facilité, vous refusez, d’appréhender, d’accepter, la réalité dérangeante.
En une sorte, d’ « autisme » délétère et, de fuite, en avant, vers la « déréalisation ». Le junior peut, également, opter, pour la résignation, la souffrance. Il se persuade, que le monde, son univers, sa personne, sont indignes, sa situation, irrémédiable, qu’il est condamné, à subir, passivement. Sans être, en mesure, d’avoir, la moindre prise, sur sa propre destinée, en une nocive logique, de défaitisme. Le jeune peut, aussi, choisir, la révolte, le mépris. Il éprouve, un sentiment, d’injustice intolérable, la tentation, d’user, de violences. Pour exprimer, tout son refus, sa rage, sa frustration, son mal-être juvéniles, exiger, vivement, ses droits, réels ou, supposés1052.
L’on peut citer, les émeutes suburbaines françaises, de la fin 2005, certaines délinquances. Les manifestations, de rues, récurrentes, de jeunes, lycéens, étudiants, depuis, trente ans. En opposition, à certaines réformes ou, réglementations nouvelles, les concernant, par peur, de l’avenir. En ce cas, nihilisme, négativisme, prévalent. Puis, en courage, espérance, le junior peut décider, de se battre, avec résolution, détermination, « y croire », malgré tout, pour s’ « en sortir ».
En un esprit, de confiance, d’optimisme, s’acharnant, en persévérance, sans jamais, renoncer ni, se résigner. L’intelligence émotionnelle est la bonne pratique et, le bon vécu, de ses émotions, présente, la plus grande utilité. Pour aider, tout jeune, à faire, au mieux, face, aux frustrations, difficultés, de l’existence. Les émotions sont inhérentes, aux vivants et, sont capitales, pour bien vivre. Il s’agit donc, ni de les refouler ni, de se laisser submerger, par elles.
Or, de bien, les identifier, d’en faire, bon usage, de dominer, celles, qui sont négatives. De bien exprimer, celles, positives. Il est donc, très important, d’avoir, conscience, d’où, viennent, ses émotions juvéniles, notamment, négatives. De savoir, déterminer, quelles sont, ces dernières, pour les limiter, pour éviter, les explosions, toujours, désastreuses, pour tous. Comprendre, ses propres émotions et, celles, d’autrui et, mieux, les appréhender, est si fondamental, pour être mieux, avec soi, les autres. Ce qui est qualifié, d’ « intelligence émotionnelle ». Cela, permet, d’être plus épanoui, d’obtenir, plus et, mieux, de soi, des autres et, de la vie.
Avec empathie, compassion et, congruence. Le jeune peut influer, sur ses émotions, celles, d’autrui. Pour le meilleur, à bon escient et, pour le pire, dans le cas contraire. L’intelligence mentale diffère, de l’intelligence émotionnelle. Les deux, ne vont pas toujours, de pair, très loin, s’en faut, même, si cela, est l’idéal, pour bien vivre. Généralement, les juniors disposent, de l’une ou, de l’autre, plus rarement, des deux. L’intelligence émotionnelle consiste, en une appréhension fine, des sentiments, une harmonie, communion, avec l’ensemble, de l’univers ambiant prédominant.
Les émotions négatives, du jeune, sont sous contrôle, surmontées. Les émotions positives sont ressenties fortement, avec profit et, sans euphorie excessive, pour autant. Les cinq sens sont tous, sollicités positivement et, avec fort avantage. En dialogue, l’attention, la pensée, se reportent, sur l’interlocuteur. En l’optique, de le comprendre, le soutenir, l’aider, si besoin. Avec altruisme et, en prenant en compte, les réalités, besoins, attentes, des autres. En s’oubliant, soi-même, au profit, de l’autre. Un défaut, d’intelligence émotionnelle, implique, un manque, de conscience, des émotions ressenties, par soi, autrui.
Ce qui cause, des difficultés juvéniles, avec tous, aux dépens, de soi, comme, des autres. Faute, de savoir faire, adéquatement, face, aux défis, revers et, choses, de l’existence, aucune, « plénitude, de vie », n’est alors, possible. L’on peut être intelligent, intellectuellement, mais, peu, émotionnellement et, réciproquement. L’intelligence émotionnelle fait transformer, ses émotions négatives, en émotions positives, car, elle implique, d’être optimiste. Cela, consiste, à envisager, la solution, plus, que le problème, à toujours, se battre, pour obtenir, des effets positifs. Telle est, la loi, d’une jeunesse debout1053.
En pleine conscience, de ses forces, comme, faiblesses. En estime, acceptation, confiance et, affirmation, de soi. L’intelligence cognitive, du junior, se mesure, par le quotient intellectuel. Il s’agit, de l’aptitude, à se comporter, volontairement, d’analyser, rationnellement, de maîtriser, de façon, adéquate, son milieu, de vie. L’intelligence émotionnelle, est la pleine compétence, à percevoir, ses émotions personnelles, bien, les saisir, utiliser, de même, que celles, d’autrui. Pour répondre, de façon, la plus idoine, aux impératifs, épreuves, de l’existence.
En un mot : adaptation, compréhension, des réalités, liens, à autrui, en étant acteur, de son destin. Cela, s’évalue, par le « quotient émotionnel », du jeune. Au travers, de différents tests. Le principal distingue alors, le champ intrapersonnel : connaissance, gestion, de soi. Ce qui regroupe, la lucidité, quant à ses émotions. L’affirmation, de soi. L’autonomie. L’estime, de soi, la confiance, en soi. La réalisation, de soi. Le registre interpersonnel : insertion, interaction sociales. Cela, relie, l’empathie, la compassion, congruence. La participation sociale. Les liens multilatéraux, multipolaires juvéniles, à autrui. Toutes choses capitales, pour la nouvelle génération1054.
Le domaine d’adaptabilité : habiletés, à faire face, aux aléas existentiels, du jeune. Cela, a trait, au réalisme, à l’objectivité. Inflexion, selon, l’orientation, des données conjoncturelles, comme, structurelles. Dépassement, des blocages, des difficultés. Le registre, de maîtrise, des stress : savoir-faire, à se dominer, surmonter, tensions, pressions. Cela, vise donc, la résistance, aux anxiétés et, crises, revers et, aléas. La maîtrise, des impulsivités. Puis, l’item, de l’état d’esprit global : performance émotionnelle, la plus positive, en matière, de force mentale constructive, productive, favorable.
Cela, assemble, l’optimisme, l’enthousiasme juvéniles. Nous pouvons, ensuite, distinguer, quatre grands secteurs émotionnels. L’appréhension, des émotions. L’usage émotionnel. La compréhension, des émotions. Comme, la maîtrise émotionnelle. Cinq vecteurs majeurs, de personnalité, corroborent, la bonne intelligence émotionnelle. La largesse, de vues. La rigueur, d’esprit. L’extraversion. La bienveillance. Puis, l’égalité d’âme. Le plus souvent, les caractéristiques émotionnelles restent, très stables, des débuts, à la fin, de la vie. Celles, qui « dépeignent », un junior, ont donc, toutes les chances, d’être, les mêmes, qu’à son enfance.
Elles perdurent donc, aussi, fort vraisemblablement, à l’adultisme, comme, au grand âge. La personnalité juvénile, dite, de type A, est explosive, hypervolontariste. La personnalité, de type B, est tempérée, à l’aise. La personnalité, de type C, est tourmentée, inhibée. Pour autant, il est toujours, possible, de faire évoluer, son intelligence émotionnelle. L’intelligence émotionnelle se développe, surtout, entre l’âge, de vingt ans et, celui, de cinquante-cinq. De fait, la maturation implique, bien plus, de recul, de sagesse, comme, de réflexion, d’altruisme, d’allocentrisme, d’objectivité.
Or, il est assurément, possible, d’aider, les juniors, les treize – vingt-quatre ans, à grandir, émotionnellement. Au même titre, que les anciens, de plus, de soixante ans, les plus âgés, retraités. Tout jeune, éprouve, des émotions. À l’exception rare, de ceux, frappés, d’un trouble psychiatrique, les privant, alors, de tout accès, au plein sentiment émotionnel, qui est l’alexithymie. L’émotion est un processus court, physique, qui débute toujours, par un stimulus ou, déclencheur. Ce qui génère, une réaction physiologique. Puis, une attitude réactive : le plus souvent, fuite, paralysie ou, attaque. Ensuite, viennent, des pensées, adhésions, liées, du junior.
L’émotion afférente, du jeune, est identifiée. Le sentiment est le décodage mental, rationalisé, d’une émotion ou, sensation subjective, perçue. Il est long, psychique, inhérent, à la pensée. L’humeur est un état d’esprit, spécifique, conjoncturel, durable, sans déclencheurs. Il s’agit, d’une disposition psychique, diffuse globale. Les six grandes émotions universelles sont, la joie, la surprise, la peur, la tristesse, la colère, le dégoût. Toutes, reconnaissables et, identifiables, sur tout visage humain, de la planète. Un excès émotionnel, du junior, qu’il soit, négatif, neutre, positif, inquiète, tandis, qu’un manque, démotivera.
Il est important, de bien savoir, identifier, ses émotions, leur type, notamment, défavorable, indifférent ou, dynamique et, leur intensité. Afin, de bien identifier, gérer, vivre, ses émotions, de façon, positive, sereine et, constructive, diverses étapes s’imposent. Tout d’abord, bien prendre conscience, bien comprendre, le fait déclencheur. Ensuite, analyser, son interprétation, de ce qui s’est passé, qui a plus, d’impact, sur soi, que les événements, eux-mêmes. De fait, ce sont les pensées propres, qui créent, les émotions et, les comportements juvéniles, non, les seuls et, simples faits, eux-mêmes1055.
Puis, bien voir, les effets émotionnels, sur soi, de la situation. Alors, le junior serait bien avisé, de contester, ses pensées et, croyances contre-productives, afférentes, à ce qui a causé, son état émotionnel, notamment, négatif. La perception lucide, objective, rationnelle et, relativisée ou, distanciée, des conséquences, sur soi, des émotions, devrait mener, à un vrai remaniement. Un travail, sur soi, qui consistera, à tempérer, les émotions éprouvées, suite, à une occurrence extérieure. Pour en sortir, serein et indemne, plutôt, que tourmenté et blessé. Tant, d’un point de vue physique, psychique et, moral.
Pour des pensées, émotions, comportements juvéniles apaisés. La meilleure solution, pour ne pas, se laisser empoisonner, par des états émotionnels pénibles et, destructeurs, consiste, en une recomposition mentale. En une optique cognitive, émotionnelle et, comportementale, car, ce sont toujours, ses pensées, sa façon, de raisonner, qui fondent, sa vie, façonnent, sa personne. Il s’agit, donc, de bien corriger, ses croyances, non fondées et, destructrices, par des certitudes, objectives et, bénéfiques. Passer, du négatif, au positif, du pervers, au sain, du contre-productif, au favorable. Voilà, qui transcende, la jeunesse.
La mauvaise pensée juvénile crée, une émotion toxique, laquelle, produit, un comportement inapproprié. Ce qui mène, à l’action inadéquate, l’échec et, au mal-être. À l’inverse, la pensée apaisée suscite, une émotion bienfaisante, qui engage, à une attitude, plus idoine. Puis, à des agissements adaptés, au succès et, à la plénitude. Naturellement, cette théorie schématique implique, toutes les nuances et, variantes, de réalités possibles. Des plus difficiles, aux plus encourageantes. Il convient, de reconsidérer, plus positivement, de fond en comble, les faits déclencheurs, aussi négatifs, soient-ils ! L’interprétation, des situations, en cause.
Les pensées du junior développées, alors. Les émotions, sentiments, subséquents. Les effets, sur soi. Les comportements, actes, induits. Leurs conséquences, pour soi. Pour pouvoir alors, envisager, d’autres modes cognitifs, émotionnels, comportementaux et, d’autres stratégies, d’action, plus constructifs et, productifs. Les mettre en œuvre, pour mieux, avancer, s’épanouir. Rappelons, qu’il s’agit, toujours, d’être affirmé, non, inhibé, manipulateur, agressif. D’opter, pour la lutte, au sens positif, du terme. Ce qui est le propre, d’une jeunesse, en conquête, de son avenir1056.
Se battre, pour soi, non, attaquer, au détriment, d’autrui. La lutte, du junior, non, la fuite ou, la paralysie. Parfois, toutefois, la meilleure solution consiste, à « se mettre, hors-jeu », au moins, transitoirement, si telle est, la seule ou, meilleure alternative, en son intérêt. L’immobilité, le statu quo, peuvent aussi, ponctuellement, provisoirement, se révéler être, les meilleurs atouts, pour faire face, bien, « s’en tirer ». Or, le plus souvent, l’ « action combattante », sera la plus indiquée. L’activité physique, sportive, la détente, la relaxation, la respiration basse ventrale, le rire, la méditation, aident aussi, à discipliner, apaiser, le maelström émotionnel et, corporel.
Que le jeune n’oublie pas, non plus, de pratiquer, quotidiennement, assidûment, la « pensée positive ». Ce, en communion permanente, avec, ses points forts avérés, non, ses faiblesses, réelles ou, imaginaires. La bonne santé émotionnelle passe, par l’empathie, la compassion, la congruence. L’empathie est une communion, qui consiste à être, en harmonie, plénitude, avec l’autre. Ce qui permet, de le comprendre, se mettre, à sa place. La compassion juvénile est un soutien, qui permet, d’exprimer, que l’autre, sa réalité, comptent fort, pour soi.
De « souffrir », avec autrui, des difficultés, qui lui sont propres, sans éprouver, de la pitié. Or, allégeant, quelque peu, le « fardeau », de sa peine, en la partageant, même, si elle n’est pas, la sienne. La congruence, du jeune, est une adéquation, harmonie, vérité émotionnelles, qui autorisent, à être sincère et, soi-même, naturel, simple et, respectueux. Sans jugement et, de façon, aimante, inconditionnelle, avec autrui, sans nulle, attente ni, exigence. Tel, qu’il est et, en communion désintéressée, humaniste et, positive. Pour bien comprendre, autrui, l’on peut apprendre, à bien décoder, son langage verbal, paraverbal, gestuel juvénile.
Ainsi, que ses expressions faciales. En particulier, des lèvres, du front, des sourcils et, des yeux. Dans les études ou, l’emploi, l’intelligence émotionnelle a trait, à plusieurs champs et, critères majeurs. L’estime, la confiance, l’affirmation, de soi. La conscience émotionnelle, de soi. La capacité, d’autonomie, d’indépendance, d’initiative, de responsabilité. La réalisation, l’accomplissement, de soi. L’empathie, comme, toutes les qualités humaines personnelles. L’aptitude relationnelle interpersonnelle et, la sociabilité, du junior. La résistance, aux stress, comme, aux peurs1057.
La maîtrise, le contrôle, de soi, pulsionnels. La lucidité, le sens, des réalités. L’adaptabilité, la souplesse, la flexibilité. La compétence juvénile, à résoudre, des problèmes, surmonter, des conflits, crises, blocages, difficultés. L’optimisme, positif et constructif. L’enthousiasme, l’élan créateur inventif. La coopération, productivité, performance, l’ambition, comme, l’excellence. La compétence, la plénitude, le dépassement, de soi, comme, l’efficacité féconds. La maîtrise communicationnelle et, informationnelle. La motivation, l’effort, la rigueur, l’organisation et, la planification, la persévérance, la ténacité, la détermination, du junior.
La fixation, d’objectifs, d’étapes, de temps impartis, à respecter. La rapidité, d’exécution, des tâches, la ponctualité. Le charisme, l’influence. L’aptitude, à l’insertion, l’intégration, en collectivité. Le dynamisme, l’équilibre, la force mentale, la sérénité, l’audace, le courage, la droiture, l’originalité, d’esprit. La force, de conviction. La pleine capacité, de « coopération participative ». L’exemplarité. La connaissance, de soi, d’autrui, de ses forces, faiblesses. L’aptitude, à décider et, commander, exécuter, obéir, collaborer, avec des semblables. En bonne sociabilité interactive, du jeune.
L’aisance, avec l’autorité, des enseignants, des supérieurs, l’égalité, des condisciples ou, des collègues. Ou, la déférence, d’élèves, moins avancés ou, encore, de subordonnés. La bonne intelligence émotionnelle, du junior, se travaille, sans relâche, cultivant, avec grand soin, certains fondamentaux incontournables, à cet effet. Tout d’abord, une bonne conscience, de soi. Bien identifier et, comprendre, ses propres émotions, pour mieux appréhender, celles, des autres ! Par exemple, la méditation, pleine conscience, de soi, permettent, de bien saisir, gérer, ses propres états d’esprit.
Pensées, émotions, sentiments, comportements, actions, du jeune. Par l’analyse, de leurs nature, intensité, effets. Aux fins, d’en tirer, des enseignements, les infléchir, de façon, plus appropriée, bénéfique. Il s’agit, de savoir, communiquer, ses cognitions, affects et, adhésions, pour mieux, les ordonner, en bénéficier, pour soi, autrui. De façon, tempérée, sans refoulements ou, inhibitions toxiques ni, extraversions ou, explosions, tout aussi, nocives. Que le jeune trouve, pratique et, intensifie aussi, ses centres d’intérêts, passions et, autres vocations. Ce qui lui permettra, créativité, inventivité, ingéniosité juvénile, à leur sommet1058.
Il est important, de faire coïncider, autant, que faire, ce peut, ce qui attire, motive, le jeune. Avec, ses occupations réelles, du quotidien : professionnelles et, personnelles. Bien identifier, ses atouts, pour les ancrer et, développer et, ses failles, pour les amender, aide aussi, à bien progresser, émotionnellement, humainement. Sans excès, d’assurance, par surestimation, de sa personne et, ses aptitudes, performances. Ni manque, de foi, en soi et, ses compétences, par déficit, d’estime, d’acceptation, de confiance, d’affirmation, de soi.
Cela, est rendu opérant, par la meilleure connaissance juvénile, de soi, possible, pour devenir, ce que l’on est. Selon, les sages préceptes philosophiques, des Anciens. Il s’agit, de s’appuyer, sur ses points forts, sans arrogance, sentiment, de supériorité. Combattant, ses faiblesses, sans autodévalorisation ni, apitoiements, sur soi, pour s’accomplir. Développer, ses pôles, d’excellence, enrichit, fait progresser, tandis, que s’enfermer, en ses insuffisances, désintérêts, conduit, à l’échec et, au mal-être. Sachant aussi, se positionner, « à la place », des autres. Ce qui se nomme, empathie, comme, nous l’avons déjà, évoqué. Ainsi, le junior s’ancre, en un vrai « humanisme, de vie ».
Cela, permet, de bonifier, les rapports juvéniles, d’éviter, les conflits ou, de les dénouer. De s’intéresser, à autrui, pour mieux, le comprendre, l’apprécier, en richesse, d’interaction humaine, accrue. Bien faire, avec les émotions, d’autrui, est aussi, un atout, pour apporter, aux autres, en qualités, de cœur, congruence. Idem, pour la responsabilité sociale altruiste, qui consiste, à donner, gratuitement, de façon, désintéressée, à autrui, la communauté, la collectivité. En ne se contentant pas, de ne servir, que ses intérêts personnels propres ! Par une générosité, en temps, argent, énergie, compétences, service, présence, don, de soi, qualités, du junior…
Nous avons déjà, dit, à quel point, contrôler, maîtriser, ses pulsions, était nécessaire. Par des pensées alternatives, plus sereines, sur tout autre sujet. Une analyse rationnelle, distanciée. Un processus, d’adaptation, pour dépasser, les passions perturbatrices. La flexibilité, souplesse d’esprit, aident aussi, grandement, à l’équilibre émotionnel. À l’apaisement, au bon règlement pacifique, gagnant-gagnant, des conflits et, crises. En l’intérêt, de tout jeune, sans vainqueur ni, perdant. Or, avec de seuls bénéficiaires, tous, justement, nantis, à l’aune, de leur vertu1059.
Cela, consiste, à accepter, le changement, à être, en une logique, de résolution multipolaire, plurilatérale. Non, restrictive, exclusive ou, unilatérale. En une optique évolutive, adaptative et, non, immobiliste. Puis, l’intelligence émotionnelle, du junior, mène, à l’épanouissement. Car, ce dernier est issu, de soi-même, non, de l’extérieur, par autosuggestion positive. Ce qui permet, de dépasser, tous les problèmes, par focalisation, sur les solutions, non, les difficultés. Sans tourments inutiles, regrets, apitoiements, sur soi. Le bonheur permet, de mieux réussir, mieux vivre, plus longtemps.
Le jeune est en succès, car il est heureux, non, l’inverse. En réalité, il n’est souvent, pas heureux, car, « il ignore fort, qu’il est heureux » ! Donner, rend plus heureux, que recevoir ! La bonne gestion, de ses émotions, la bonne santé émotionnelle, permettent, de bien mieux, prendre soi, de soi, comme, des autres. En humanité. En l’espèce, l’intelligence, purement cognitive, mentale, n’est d’ « aucun secours » ! L’intelligence émotionnelle et, donc, comportementale, conduit, à tenir plus compte, d’autrui, à lui prêter, pleine attention, pour faire avancer, l’univers. Se transcender, soi-même, autorise, la jeunesse, à ennoblir, autrui1060.
Le hissant, ainsi, plus haut, que soi, au-delà, de chacun et, de la somme, des deux, réunis, au bénéfice, de tous. Le total étant ici, plus, que la somme, l’ensemble, des parties. Une émotivité juvénile riche bénéficie, à ses proches et, pairs, à toute la communauté. La faisant bénéficier, en retour, de tout, ce que l’on en a « reçu » et, de toutes ses qualités et, aptitudes humaines propres. Y compris, dans le contexte, des études, de l’emploi. Toujours, en un état d’esprit, de respect, de considération, d’attention mutuels, de tous, pour chacun.
Ce qui s’est perdu, par excès, généralisations, de narcissismes, d’égocentrismes, d’arrogance, d’intérêt, comme, de matérialisme. Aux dépens dramatiques, du jeune. Le rejet, la haine, de soi, surtout, d’autrui, contribuent, également, à la généralisation, des violences, de façon, plus fréquente, intense. Sur l’ensemble, de la planète, depuis, ces dernières années, décennies. S’investir, pour des valeurs, une cause, une collectivité, les autres, est toujours, humainement, émotionnellement, très gratifiant, enrichissant.
Tant, pour soi, que pour les autres. Les juniors l’ont bien compris, qui disent tant, vouloir, s’engager ! Aux adultes, à mieux, les aider, à passer, à la concrétisation ! Il est dit, que « les battements d’ailes, d’un papillon, peuvent avoir, un retentissement, à l’autre bout, de la planète ». De la même façon, tout jeune, du monde, peut s’investir. Pour aider, d’autres juniors et, son prochain, en besoin, moins favorisés, que lui, partout, sur cette Terre. De multiples façons. Car la jeunesse est généreuse, altruiste, sensible, à l’idée, de justice, d’entraide. Elle le démontre, chaque jour, par d’innombrables initiatives et, actions caritatives et, autres, dans son pays et, ailleurs, de par le monde. Les adultes le font, aussi. À eux, de « montrer l’exemple », aux jeunes, les y encourager, plus et mieux, leur en donner, l’occasion, la possibilité et, les moyens. En l’intérêt, de toute la société. (Dorn, Stein, 2011)1061.
11 septembre 2001, des attentats terroristes, sans précédent, frappent, les États-Unis. Dans un lycée, de la banlieue parisienne, une enseignante perçoit alors, des réactions délétères. Certains élèves, issus, de l’immigration, ont des réactions antisémites. S. Essabaa, elle-même, venant, de la même culture, d’origine, que ces élèves, décide alors, de faire positivement, bouger, les esprits. Elle part, du principe, que les pires intolérances, proviennent bien, des plus grandes ignorances. Elle fait, donc, réfléchir, ses élèves, sur les persécutions nazies.
Les fait rencontrer, d’anciens déportés juifs, dont, S. Veil. (Femme politique française, 1927-2017). Des résistants, telle, L. Aubrac. (France, 1912-2007). Elle mène, ses élèves, aux camps, d’extermination, d’Auschwitz / Birkenau, en Pologne. Les fait rencontrer, leurs camarades, d’un lycée juif, en Île-de-France. Ceux, d’un établissement scolaire mixte, accueillant, des jeunes juifs et, musulmans, au Maroc. Tous, se recueilleront, ensemble, à Auschwitz, en seront bouleversés. Il y aura, aussi, des visites, à la Grande mosquée, à la synagogue des Victoires, à Paris.
La visite, aux camps, de la mort, les rencontres, entre jeunes juifs et, musulmans, changeront, les mentalités. La connaissance, des faits, de l’autre, l’amitié, entre juniors « différents », mèneront, à la tolérance. Face, à la différence, le rejet se muera, en richesse, concorde. La formidable initiatrice, de ce si magnifique rapprochement, entre jeunes, S. Essabaa, sera reconnue et, décorée, à juste titre ! Pour sa contribution, pour la paix et, la jeunesse.
En remarquable mission, pour l’humanisme, la nouvelle génération, tout unie ! (S. Essabaa, enseignante française, avec C. Azouvi, Le Voyage des lycéens – Des jeunes de cité découvrent la Shoah, essai socioéducatif, France, 2009)1062. Tout ceci, illustre, à merveille, que l’on peut toujours, dépasser, les habituels et, désastreux : « Faut pas, dois pas, veux pas, peux pas », nationaux français. Au profit, de l’exact inverse bénéfique, soit, de tous les possibles, qui sont, toujours… possibles ! La foi, en l’homme, la positivité, l’optimisme, le volontarisme, chassant, à profit, la négativité, le pessimisme, le défaitisme !
– Jouir des Vecteurs de Votre « Optimale Équanimité » –
Votre réussite de vie, de jeune, est « La Question fondamentale », qui domine, tous vos préoccupations, objectifs, existence entière. Votre félicité humaine, juvénile, est dominée, par trois conditions capitales, impératives. La connaissance et, le savoir, qui seuls, permettent, votre aptitude, votre action. Une mise en œuvre, appropriée, de vos ressources cognitives, émotionnelles, comportementales, pour agir, au mieux, des effets optimaux. votre capacité à, toujours, muter, vous adapter, vous améliorer, progresser.
Savoir, agir, changer, tels sont, les trois maîtres-mots et, principes, des succès, du junior. Le jeune, ses capacités et, son milieu, entrent en résonance, pour « fabriquer, l’accomplissement juvénile, sur mesure ». En, par, pour, lui-même. Pour cela, le junior use, de ses capacités, d’entraînement mental, psychique, de jonction, entre pensées, sentiments et, attitudes. Pour avancer, vite et bien, de mieux en mieux et, plus encore, que la moyenne, de ses pairs. Il y a alors, une réussite interne, du junior, lui-même, liée, à un succès externe, d’osmose, avec autrui, l’environnement, les circonstances.
Combinant, des données structurelles, comme, conjoncturelles, plus ou, moins, stables ou, évolutives. Il s’agit, d’évaluer, les atouts, potentiels, du jeune, pour en user, optimalement. Cela, permet, de constater, les insuffisances, de fixer, les avancées, progressions, nécessaires, pour s’amender, s’améliorer. Il s’agit, de toujours, s’informer. Bien maîtriser, ses émotions, stress, anxiété. Mieux développer, ses aptitudes relationnelles. Mobiliser, sa vitalité, sa force motrice, d’entraînement, de motivation, d’autoencouragement, d’ambition.
Nourrir, estime, confiance, affirmation, de soi, du junior. Capacités, aptitudes, résultats, peuvent être maintenus, entretenus, améliorés, en permanence. En véritable, travail mental, sur soi-même. Ce qui est défaillant, est amendé, ce qui est satisfaisant, est perfectionné et, ce qui est performant, devient, excellent ! Puis, une véritable stratégie, de « victoire », sera mise, en action. Pour vaincre, les obstacles, l’adversité, les aléas, difficultés, pour parvenir, à ses fins. Dans les meilleures conditions, de moyens et, de résultats optimaux. Le plus vite et, le mieux possible, en progrès juvénile1063.
Ce qui permet, de transcender, le passé, d’enrichir, le présent, de densifier, l’avenir, du junior. Une bonne information passe, par la prise en compte évaluative, des réalités extérieures, fort utile. Par l’analyse interne, des paramètres impliqués, qui autorise, d’arrêter, les décisions. Le « traitement informatif » conduit, à passer, à l’action, par mentalisation endogène préalable, de celle-ci. La dernière étape exogène, est la mise au point, concrète et dynamique, de l’action, son lancement effectif. Tout le processus informationnel, d’ensemble, fait appel, aux cinq sens juvéniles : visuel, auditif, olfactif, gustatif, tactile / sensitif / kinesthésique.
De façon, temporelle, spatiale. Externe, interne, en visualisation mentale. De façon, globale, précise, transversale, pluridisciplinaire, universelle, particulariste, généraliste et, spécialisée. Avant, d’agir, l’anxiété est anti-réussite. Seule, la sérénité, est gage, de prospérité, de succès, d’épanouissement. La peur, de l’échec, le doute, de ses compétences, sont, tout autant, des vecteurs, de blocages. En l’action, l’excès, de mauvais stress, distress, est aussi, paralysant, contre-productif. L’eustress est le bon stress motivant, du jeune. Il s’agit, alors, de toujours, rester « zen », quoi, qu’il arrive.
De réguler, ses émotions juvéniles positives, négatives. Après, l’action, le résultat, satisfaisant ou, décevant, sera appréhendé, avec détachement, recul, distanciation, relativisation. La victoire sera appréciée et, la défaite dépassée. La réussite exige, aussi, communication et, relations, de qualité, avec autrui. L’on ne peut réussir, sans ni, contre, les autres, or, avec et, pour eux, outre, que pour soi. Savoir parler, écouter, autrui, de façon, adéquate, est facteur, d’harmonie inter relationnelle, de succès. En tolérance, ouverture, attention. En une bonne sociabilité, du jeune, tournée, vers le monde extérieur, comme, autrui.
En optimisme, dynamisme, initiative, coopération, activité, réactivité, proactivité. Point, de succès, non, plus, sans action, à base, de dynamisme énergétique, comme, d’énergie dynamique. Il y faut, la volonté, de parvenir et, l’ambition. Cela, permet, de pousser, ses compétences, en relevant, des défis. Poursuivant, des objectifs, toujours, plus haut, plus loin, plus vite, plus fort, plus grandement, mieux. En sportivité et, lutte. En effort, persévérance, résolution, farouche et, obstinée. Jusqu’à, la victoire finale, quoi, qu’il puisse, en coûter, au junior. À lui, de savoir dépasser, les aléas, « rebondir »1064.
Avec force, volonté, de gagner, sans craintes, doutes, tergiversations. De façon, iconoclaste, originale, inédite, innovante. Ce qui permet, de se réaliser, au-delà, de ses limites, même. Le jeune, en réussite, a une image, de soi, positive, reposant, sur une identité, une conscience, de soi, confiantes, solides, rayonnantes. Ce qui confère, tout le charisme, l’assurance nécessaires, au succès et, à la victoire. Foi, en soi, en ses aptitudes, d’être, « le meilleur », de sa catégorie. Force mentale absolue, au-delà, de toutes les souffrances, tous les obstacles et, handicaps.
En vertu, de l’adage, selon, lequel : « Nécessité, fait loi » ou, du proverbe arabe, qui dit que : « Si cela, permet, de sauver, sa peau, il s’agit, de saisir, la braise, la plus ardente, à pleines mains » ! L’on parle même, de « la rage, du désespoir ». De celle, qui a permis, à tant, de juniors et, moins jeunes, à la rue, d’y échapper, par colère, de s’en sortir, « coûte, que coûte et, à tout prix ». La confiance, en soi et, autrui, ses buts, capacités, la victoire, face, aux aléas, revers, vient, à bout, du pire, assurera, le meilleur ! Il s’agit, de s’accepter, tel, que l’on est, tout en se battant, pour s’améliorer. En progressions juvéniles constantes et, sans régressions, les plus dommageables.
D’oublier, ses défaites, pour ne se fixer, que sur ses victoires. S’aimer, aimer, autrui, à égalité, sans arrogance ni, complaisance. D’avoir confiance, en la vie, son existence personnelle, son destin. De façon, positive, favorable, constructive et, productive. La bonne affirmation, de soi, du jeune, préserve, du triple écueil, de la passivité, de l’agressivité, de la manipulation. Elle consiste, à s’imposer, sans « écraser », l’autre, de sa morgue ni, « raser, les murs ». Le tout, en la bonne humeur, l’enthousiasme, ce qui fait tant, défaut, en ce pays, si « chagrin », ce qui nuit tant, à sa réussite mondiale.
La confiance, en ses desseins, vaut, de renverser, tous les obstacles, d’obtenir, tout, ce que l’on veut, de la vie ou, presque. Par convictions, croyances, certitudes juvéniles, viscéralement, ancrées, visualisations mentales, profondément, incrustées. Jusqu’à, une réalisation tangible, en la réalité. Pour réussir, l’on se doit, de faire, préalablement, l’inventaire, de ses atouts, capacités, richesses propres. En matière, d’approche informative, de maîtrise cognitive, émotionnelle, d’aptitudes, de communication, de liens, aux autres. De force, tonicité comportementale, confiance, en soi, du junior, bien trempées1065.
En cinq niveaux, pour chaque item : très faible, faible, moyen, bon, très bon. Cela, dans les différents domaines, de la vie juvénile. Dans les études ou, l’emploi. En famille. Dans la vie affective, amicale, sociale. Dans les loisirs… Ce bilan évaluatif et, prospectif permet, de bien prendre conscience, de ses meilleurs atouts, pour les renforcer, encore plus ! De ses réelles insuffisances, pour les corriger. De ses « failles majeures », pour les annihiler. L’entraînement mental bénéfique, positif, de renforcement, de soi, implique, de savoir, bien respirer, de façon, ventrale, pour bien, s’oxygéner. Cela, est évoqué, également, en cet ouvrage.
De même, que la relaxation, la visualisation mentale, du junior. Il est aussi, bénéfique, de se remémorer, un aspect, éminemment, positif, reproductible, de sa vie, une réussite éclatante ou, un souvenir, extrêmement, agréable. Afin, de s’en servir, comme, point d’appui, pour le reproduire ou, se renforcer. Notamment, en temps difficiles ou, face, à un vrai défi, à relever, une dure épreuve, à surmonter. La base heureuse, de référence, sera mentalement, visualisée et, revisitée. Plus globalement, il s’agit, de faire appel, à toutes les ressources positives, du jeune, ou, ancres.
L’ancre use, des cinq sens, du junior : vision, audition, olfaction, gustation, taction ou, proprioception. Individuellement ou, plusieurs, concomitamment. Elle est un stimulus positif, qui encourage, rassure, fait progresser. Elle peut être interne, comme, un grand calme ou, externe, comme, un objet, un son, une senteur, un met ingéré. Ou, un contact, de soi, avec une surface matérielle, un autre humain, un animal, un végétal ou, minéral. Un même type, d’ancre, peut être interne, externe. Comme, une ancre visuelle : un tableau et, tout autant, une visualisation mentale. L’ancre induit un effet, un état mentaux.
Sérénité, dynamisme, assurance. Les ancres juvéniles sont liées, à des situations, vécus, demeurent, en son esprit. Il suffit, de faire appel, en réminiscence, à ses « ancres », les plus positives, pour adopter, tous les états mentaux bénéfiques, correspondants. Il est, tout autant, possible, de neutraliser, des ancres négatives, en leur substituant, des ancres positives, antagoniques et, inverses. Lesquelles, remplaceront alors, les mauvaises ancres. Ce qui permettra, au jeune, de connaître, tous les états mentaux afférents, subséquents bénéfiques, en lieu et, place, des négatifs. Ce qui le fera, avancer1066.
Le junior qui réussit, a une appréhension sereine, de son passé. Un regard confiant, sur son présent. Surtout, une vraie vision, d’avenir, déterminée. Cela, consiste, en une stratégie cohérente, de fixation, d’objectifs, que le jeune est alors, fort résolument, décidé, à atteindre. Un objectif adéquat, valable, est strictement, délimité, réalisable, lié, à l’action définie, localisée, datée. En de strictes limites, notamment, de délais, d’exécution. Le but est exigeant, ambitieux. Il repose, sur un idéal, de progression, perfectionnement. De façon, pragmatique, réalisable.
Il relève, de soi-même, son initiative, action, sa résolution, foi, ses capacités. En mobilisation optimale, de tous les atouts et, potentiels juvéniles, en croyance positive, confiance, volonté, motivation, action, résultat. L’objectif est quantifiable, évaluable, mesurable, précis, de façon, objective et, subjective. Cela, permet, d’évaluer, le résultat final. L’objectif est évolutif, adaptable, révisable, selon, la conjoncture, les effets obtenus, les aléas, obstacles ou, les réactions, des protagonistes concernés. L’objectif sera fixé, à court, moyen ou, long termes, ce qui en définit, l’échéance. En fonction, du type, de but, imparti, au jeune, comme, du champ d’action, concerné.
Souvent, les objectifs modestes, sont à court terme. Les objectifs médians, à moyen terme. Les plus ambitieux et, importants, à long terme. Pour le junior, en matière, d’études, un devoir, à rendre, dans une semaine, est de court terme. Le passage, en classe supérieure, à la fin, de l’année scolaire, alors, qu’elle ne fait, que débuter, est du moyen terme. L’obtention, du bac, pour un entrant, en seconde, est du long terme. À l’échelle, de la jeunesse, les échéances temporelles, ne sont pas, de mêmes perceptions, que pour les adultes. Elles apparaissent, plus longues et, lointaines. Le jeune vit, surtout, l’instant présent.
Un jour, d’adulte, lui paraît durer, une semaine, une semaine, un mois, un mois, un an. Le temps semble être, plus long et, plus lent, moins vite passé, pour les juniors, plus court, plus rapide, pour les adultes. Sauf, quand, le jeune est concentré et, passionné, par une activité captivante, à ses yeux. Généralement, le temps scolaire, n’en fait pas partie ! Réussir, consiste, aussi, à savoir dépasser, ses échecs, en tirer, tous les enseignements utiles, pour mieux, rebondir, ensuite. L’on apprend autant, voire, plus, de ses déboires, que de ses succès. D’où, l’importance juvénile, à ne pas faiblir1067 !
Il est même dit que, « pour réussir, il faut commencer, par échouer ». Les plus belles réussites humaines, de l’Histoire, ont souvent, commencé, par des échecs ou, séries, d’échecs. L’ampoule électrique, de T. Edison, (Inventeur, scientifique et, industriel américain, 1847-1931), n’aura été mise, au point, qu’après, d’innombrables tentatives, avortées. Ténacité, acharnement, comme, confiance, interdisent, le découragement, l’abandon, assurent, en cela, même, les plus éclatants succès. Que l’on pense aussi, ainsi, à nos présidents français, de la Cinquième République, élus, qu’à la troisième tentative. F. Mitterrand (1916-1996), en 1981 et, J. Chirac (1932-2019), en 1995, mais, tous deux, réélus, ensuite.
L’échec, du jeune, n’est pas, un couperet final, mais, une occasion, de « rebondir », mieux encore. La vie n’est pas linéaire, mais, à retournements. « Qui perd, gagnera, qui gagne, pourra perdre ». Échecs, réussites, ne sont jamais, absolus, définitifs, mais, relatifs, provisoires, car révocables. L’un et, l’autre, sont souvent, partiels. En réalité, les meilleurs, plus significatifs combats, les plus belles, grandes victoires et, réussites juvéniles, sont ceux, menés, par et, pour, soi-même. En « dépassement, de soi ». Non, contre, autrui, mais, avec, pour les autres. Réussir, est « grandir », se grandir, vaincre, ses petitesses. Cela, est capital, au temps, de la jeunesse ! (Missoum, 2000)1068.
« […]. Il ne faut pas oublier, que l’éducation a pour but, l’élévation, de la moyenne, au niveau, de l’élite. Que c’est, sur les consciences moyennes, qu’elle laisse, l’empreinte, la plus profonde. Celles-ci vivent, presque toujours, sur le capital spirituel acquis, pendant l’adolescence. Il se trouve, en réalité, que la valeur, d’un peuple, varie, en proportion, de la somme, de dévouement, que l’on y dépense, pour la jeunesse ».
Ainsi, s’exprime, P. Mendousse, (Enseignant, psychopédagogue, 1870-1933), l’un, des pionniers, de la psychologie du jeune, en France. En ultime conclusion, de son fort célèbre, ouvrage fondateur, L’Âme de l’adolescent, en 1909. Notre pays était très défaillant, en matière, d’étude, de traitement, du jeune. Il l’est toujours, plus, d’un siècle, après, en dépit, d’indéniables progrès, depuis, seulement, trois décennies. Oui, comme, le dit, déjà, Mendousse, dès, avant, la guerre, de 1914-1918, le plein degré, d’une civilisation, se mesure, à la place, qu’elle réserve, à sa jeunesse. La France « régresse » donc, car elle minore, sa descendance. Seuls, les aînés, ayant, exclusive, absolue « préséance, droit, de cité »1069 ! L’AndroJeunoConseil® se veut donc, « praxis correctrice, réintroduisant, le junior masculin, au cœur, de l’essentiel ».
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EN TOUTES SES « CAPITALES DIMENSIONS »
Votre AndroJeunologie® a, à cœur, de favoriser, l’intégration, la reconnaissance, la valorisation, de votre nouvelle génération mâle. D’appuyer, vos relèvement, ardeur, habiletés juvéniles. De privilégier, vos sociabilité, facilités, de junior. Pour « transformer, favorablement, votre essai de vie ».
La marginalisation psychosociale, de la jeunesse, de France, est due, à un fort défaut, d’histoire, de transmission, d’intégration, de notre néogénération. Un déficit, de statut, d’image, de reconnaissance, du jeune. Une subordination, un conditionnement, une dépendance juvéniles. Le Nouveau Testament évoque, Quatre Cavaliers de l’Apocalypse. L’Antéchrist, la Guerre, la Famine et, la Mortalité. Comme, autant, de fléaux, semant, le chaos, par les bêtes fauves, l’épée, la faim, le trépas. (Nouveau Testament, Livre de l’Apocalypse, VI, 1-8, la Bible, Moyen Orient, Ier s.)1070. De même, nos juniors, sont-ils, fort exposés, à un « quadruple mal », qui les ronge. L’abandonnisme moral, le manque, d’amour, manifeste, la défaveur constante, le « pervertissement » généralisé. Sombre réalité, qui obère, la jeunesse, dès, sa genèse !
« Pour comprendre, ce qu’est, le dénuement, la faiblesse, de l’adolescent, empruntons, l’image, des homards et, des langoustes, qui perdent, leur coquille. Ils se cachent, sous les rochers, à ce moment-là, le temps, de sécréter, leur nouvelle coquille, pour acquérir, des défenses. Or, si, pendant, qu’ils sont fort vulnérables, ils reçoivent, des coups, ils sont blessés, pour toujours. Leur carapace recouvrira, les cicatrices et, ne les effacera pas. […]. Tout, ce que les adultes font, peut favoriser l’essor, la confiance, en soi, le courage, à dépasser, ses impuissances. Ou, au contraire, le découragement, la dépression ».
(F. Dolto, pédiatre, psychanalyste française, 1908-1988, La Cause des adolescents, essai psychosociologique, France, 1988)1071.
Or, hélas, depuis, des décennies, la néogénération est humainement, moralement et, ontologiquement, « analphabète, illettrée, inculte ». Par l’abyssale incurie, d’aînés, des plus « falots » ! La jeunesse, de France, est « abattue », « éteinte », par rapport, à d’autres jeunesses, du monde. Car, elle ne bénéficie, en son propre pays, d’aucune latitude, d’épanouissement, d’accomplissement, de soi. Il ne peut en être, autrement, en un système hexagonal, en lequel, pour réussir, pour être accepté, il faut, ne plus être, jeune – moins, de vingt-cinq ans -. Or, adulte et, avoir, déjà, réussi. « Ubu national » ! Cette « infernale, quadrature du cercle, assassine, nos juniors, tue, notre société, tout entière ».
– Favoriser Vos Intégration –
Reconnaissance, Valorisation, d’AndroJunior
Intégration, est un terme féminin, de 1700, issu, du latin, integratio, intégrer. Il signifie, – milieu, du vingtième siècle – une « opération, par laquelle, un individu, un groupe, s’incorpore, à une collectivité, à un milieu ».
(Dictionnaire, de la langue française, Robert, France, 2007)1072.
L’AndroJeunoConseil® contribue, à lutter, contre la marginalité, de la nouvelle génération. Pour chaque jeune homme, individuellement, ainsi, que comme, membre, de la jeunesse. Il s’agit, que chaque junior, trouve, sa « juste et, pleine place », en sa société. Que l’ensemble, de ses semblables, puissent assumer, tout le destin, qui leur revient, de droit, en la famille humaine. L’AndroJeunologie® est un « combat », pour défendre, la « Cause des Jeunes ».
Lutter, contre les discriminations, les iniquités, qui les frappent, sans vergogne, concessions ni, aménité, en condescendance, de la part, de leurs aînés ! Trois maux principaux, affectent, cette génération. Son image de marque, statut social, appréhension morale, sont détestables. Les juniors sont considérés, en ennemis menaçants et, fort dérangeants, car ils sont « prétendants-demandeurs », face, à des adultes « parvenus-détenteurs ». Ils ne sont donc, pas « favoris, mais, outsiders ».
Ils n’ont « rien, à perdre », contrairement, à des adultes, « recroquevillés », sur leurs seules prébendes. Leur image est « répulsive, subversive, sulfureuse ». Ils constituent, les « parfaits boucs émissaires, toujours, coupables, débiteurs, du pire, jamais, crédités, du meilleur, quoi, qu’ils soient, fassent » ! Les jeunes sont, souvent, considérés, telle, valeur hypothétique conditionnelle, révocable, de futurs adultes, en devenir. En sempiternel devoir, de « faire leurs preuves », non, pas, en force positive actuelle, d’humains.
Au supermarché, même, les jeunes, les plus « inoffensifs », pourront être accompagnés, pas à pas, dans les rayons, par un vigile suspicieux. Il les surveillera, limitera, leur temps, de présence, ce qui est illégal, inacceptable, discriminatoire. (Témoignage, d’un garçon, en androJeunoConsulting, de seize ans). Puis, la jeunesse est fort injustement, privée, d’authentique statut social, place, à part entière. Elle n’est admise, qu’à étudier, consommer, s’amuser. Cette néogénération, notamment, française, est subordonnée, dépendante, conditionnée. C’est-là, la première source, de son fort mal-être moral existentiel.
Car, cela, implique, son rejet, sa « mise à mort sociétale », à l’écart, de l’essentiel. Les jeunes français, d’aujourd’hui, souffrent, du fait, qu’ils sont autrement, moins bien lotis, d’un point de vue socioéconomique, que leurs parents, grands-parents, jadis, à leur âge. Également et, surtout, que d’autres jeunes occidentaux, actuels. Notamment, en Amérique du Nord, Australie et, en Europe scandinave, germanique. Il y a aussi, l’échec et, la rupture, des transmissions, idéaux et, valeurs morales, intellectuelles, éducatives, spirituelles, culturelles. De la part, des familles et, de l’école.
Ce qui obère, l’insertion sociale et, sociétale, des juniors. La jeunesse est aussi, exclue, du champ politique. Elle est bien trop peu, prise en compte, en tant, que telle, par les gouvernants, comme, par le système politiques. Elle ne participe, quasiment pas, au pouvoir décisionnaire et, représentatif public. Une sorte, de quasi- « retour, à l’avant 1960 ». En emploi, nombre, de jeunes, en sont totalement, exclus ou, ont des postes, très précaires, provisoires, souvent, révocables, révoqués. Cdd, contrats, à durée déterminée, mais, également, stages, missions d’intérim, sans débouchés. Instabilité, surtout, prioritairement, « réservée », aux seuls juniors.
Cela, plus souvent, plus longtemps, qu’en Occident septentrional. En moyenne, le jeune français, devra attendre, les débuts, de la trentaine, minimum, pour seulement, commencer, à se stabiliser. Soit, une décennie entière ou, presque, après, la fin, de ses études ! Quant aux juniors non, mal ou, encore, peu qualifiés, issus, souvent, des milieux et, lieux défavorisés et / ou, issus, de l’immigration, pauvretés, exclusions, seront leur lot durable. À vie, pour certains. Pour la plupart, des jeunes, les chances, de « progression sociale », sont bien moindres, que pour les générations antérieures, depuis 1945.
Le rendement socioéconomique, du diplôme, est bien moindre. Il en faut plus et, mieux, qu’autrefois, pour obtenir, moins, de gratifications, d’emploi. Seules, les qualifications, les plus rares, comme, cumulées, permettent, un rapport, « investissement / rentabilité », pleinement, satisfaisant et, élevé. Même, si les diplômes, de l’enseignement supérieur, protègent le plus, du chômage et, du déclassement important. Avec un minimum, de bac +3 et, surtout, bac +5. Seulement, si le diplôme est professionnalisé, à débouchés, sur l’entreprise, le monde, du travail. Les conditions, du salut, sont donc, toujours, plus dures, pour ces juniors1073.
Rappelons, encore, une fois, de plus, que l’État français, ne dispose même pas, d’une réelle administration Jeunesse. Donc, de nul outil puissant et, efficace, de « traitement adéquat, de la question Jeunes ». La néogénération, elle-même, n’est pas structurée, organisée, en tant, que telle, ès qualité. Tant, côté juniors, que du point de vue, des pouvoirs publics, il n’y a donc, pas, d’interlocuteurs idoines. En ces conditions, rien, de « décisif ni, d’adéquat », ne peut se faire ni, bénéficier, aux jeunes. Il n’y a pas, de vraie politique, de la Jeunesse. Laquelle, n’est appréhendée, que par le biais associatif, ce qui est insignifiant et, « ne mène, nulle part ».
Les juniors sont largement, absents, de ces associations et, la plupart, d’entre elles, sont gérées, par les seuls, adultes. Quant à des domaines adultes, totalement, étrangers, aux jeunes et, aux questions, de jeunesse. La plupart, des juniors, n’appartiennent, à aucun groupement, quelconque. Il s’agit, d’un mode, de faire, qui n’est pas représentatif, de la nouvelle génération. Non-sens, grotesque aberration, à la française, une, de plus ! Tout cela, est stérile, obsolète, « ringard », contre-productif. En outre, lycéens, étudiants, jeunes actifs, se désintéressent fort, de la vie collective1074.
Élective, syndicale, représentative, participative, de leur établissement, d’études ou, de leur entreprise. Ils ne s’y impliquent guère. Y compris, dans les « conseils, de la vie lycéenne ou, étudiante ». Redisons-le, l’école, du collège, à l’université, n’est pas, pour les juniors, un cadre, de plénitude ou, de citoyenneté, mais, de sélection, de contrainte. Ils le perçoivent, ainsi. Le système est, bien trop, rigide, autoritaire, « quasi, anti-jeunes », pour que le scolarisé, même, dans l’enseignement supérieur, y soit associé et, y prenne, toute sa place. Le système scolaire français est, bien trop peu, performant, productif, puisque, le taux-ratio annuel, de diplômés, est anormalement, bas.
Par rapport, au nombre total, d’enseignés. L’un, des plus médiocres, même, d’Occident. Le chiffre, des jeunes, quittant, le système éducatif, de façon, fort prématurée et, précoce, sans qualification ni, diplôme, bien trop, important. Au collège, au lycée. Également, en formations supérieures. De la première année, au doctorat. Même, en thèse, de fin, d’études, de troisième cycle universitaire, nombre, d’abandons, s’observent. Tout ceci, contribue fort, au nombre, bien trop, élevé, en essor constant, de juniors, exclus, déclassés, aigris, en France.
Outre, que cela, correspond, pour le pays, à un gâchis immense, une perte, de compétences, néfaste. Tant, que la nation, ne parviendra pas, à qualifier, chacun, de ses jeunes citoyens, quel, qu’il soit, elle sera, en échec. Faute, d’optimiser, de tirer parti, des aptitudes, de chacune et, chacun, de ses filles, ses fils. Or, on le sait, le but, de l’école française, n’est pas, de qualifier, tous les juniors, en études, or, d’en distinguer, les meilleurs. Soit, 0,1 pour cent. Ce qui signe, la faillite, du système éducatif national et, du pays, tout entier. Une nation moderne prospère, ne peut se permettre, le « luxe », si insensé, de ne reposer, que sur une base, d’excellence, si étroite.
Elle a besoin, des compétences, de tous ses jeunes, tous ses ressortissants, sans exceptions. Du chef de l’État, « Pater patriæ », au plus simple, modeste, de ses travailleurs. Il n’y a donc, plus, en France, de rapport, entre le mérite, la qualification, le niveau social. Il n’y a plus, d’avancées, en la matière ni, même, de stagnation, mais, un recul. Ainsi, le recrutement social, des élèves, d’une très Grande école, telle, Polytechnique, est-il, désormais, revenu, à ce qu’il était, il y a un siècle. Juste avant, la Grande Guerre (1914-1918). Consternante régression !
L’objectif éducatif national est, prioritairement, la formation, des élites, non, celle, de tous les juniors. À commencer, par ceux, des formations professionnalisées. Alors, rien, de bon, ne sera possible. En outre, les classements internationaux, des performances, des élèves, sont mauvais, pour la France. Il y a donc, inadéquation, déperdition, entre les moyens financiers, si élevés, engagés et, les résultats intellectuels, fort décevants, obtenus. En matière littéraire, comme, scientifique, écrite, comme, orale, concrète, comme, abstraite. Le pays, contrairement, à tant, d’autres, comparables, ne sait donc, pas bien, « former », l’ensemble, de sa jeunesse.
Or, alors, seulement, une microélite privilégiée. Ce qui est, en contradiction flagrante, avec les idéaux, objectifs, officiellement, si affichés et, proclamés. De Droits de l’Homme, de démocratie, dite, républicaine, libre, égale, fraternelle. L’école française n’est pas faite, pour faire réussir, tous les jeunes ou, au moins, le maximum, mais, seulement, une minorité « supérieure ». Elle fera plus, échouer, que réussir, car tel, est son but ultime : éliminer, la majorité, ne promouvoir, que la minorité. Telle est, la vérité ! Les grands pays, ne promeuvent, que la qualité personnelle1075.
La France, uniquement, l’excellence, purement, académique, sur critères scolaires, exclusifs. Telle est, la raison majeure, de l’échec, du pays, entier. Pour le plus grand malheur, d’une part croissante, de sa jeunesse et, de son peuple. Les meilleurs élèves, bénéficient, des meilleures conditions, d’études. Les plus, en difficulté, des pires. Paradoxe, terriblement, inique, destructeur, qui favorise plus, les forts, que les faibles. Écarte, de plus en plus, de jeunes, même, capables, méritants, de la réussite, à laquelle, ils pourraient, pourtant, fort bien, prétendre.
Il n’y a pas, assez, d’élèves « moyens », bien trop, d’écarts, en France, entre les premiers lauréats, trop, minoritaires et, les derniers, recalés, trop nombreux. Bien plus, qu’ailleurs, en Occident. L’école française échoue, car elle n’est pas assez, favorable, aux juniors, à leur réussite. Elle ne croit pas assez, en eux et, ne les aide donc, pas assez et, adéquatement, à réussir. Elle table, sur l’échec, de la masse, majoritaire et, la seule, réussite, des meilleurs, minoritaires. L’égalitarisme éducatif, de principe, a desservi, dans la réalité, des faits, l’égalité, des conditions, traitements et, chances scolaires juvéniles. Promu, les pires inégalités académiques.
Le principe, des « mêmes choses éducatives, pour tous les jeunes », favorise, en réalité, les forts, disqualifie, les faibles. Puisque, tous les élèves, ne sont pas, initialement, égaux et, ne bénéficient donc, pas, ipso facto, du même capital, de départ. En France, études, classements, diplômes, prennent trop, de place, d’importance, en la destinée personnelle, professionnelle, des juniors. Bien plus, qu’ailleurs. La qualification n’y est donc, pas, gage, de compétences, or, dignité supérieure statutaire, assignant, un niveau imparti, en l’ordre social. Modeste, moyen ou, supérieur.
À chaque niveau, d’études, du Cap, au doctorat ou, diplôme, de Grande école, correspond, le niveau, d’emploi, afférent. Le scolaire et, le social sont trop liés et, scellent, le destin personnel, à vie. Lequel, échappe, alors, aux sujets, même. Pour ne relever, que d’une assignation collective, rigide, institutionnelle, comme, socioacadémique. D’où, le funeste, total, découragement, résigné, fataliste, d’une part croissante, de la jeunesse, de France. Qui, par sa naissance, aura, parfaitement, conscience que, quoi, qu’elle fasse, elle ne saurait, jamais, prétendre, au meilleur. Tant, son sort, est « prédéterminé », à l’avance. Elle le sait, fort bien1076.
Le peuple commence, à murmurer, contre, la Cinquième République gaullienne, (France, 1958-), des années 2020. Pense même, que celle-ci finit, par salement, ressembler, par bien, des aspects, à la monarchie capétienne, d’Ancien Régime finissant. (France, 1589-1789). Serait-on, de nouveau, « en 1788 » ? Comme, l’avait dit, P. Mendès France, (Homme d’État, France, 1907-1982), dès, 1953. Quand, le si peu glorieux régime, de la Quatrième République, (France, 1946-1958), commençait déjà, à s’enliser ! La violente crise, des Gilets Jaunes, (France, 2018-2019), n’est, à cet égard, qu’un premier et terrible, coup de semonce ! Lequel, peut être annonciateur, du pire !
Aucune, autre école occidentale, que la nôtre, n’a ce pouvoir, si exorbitant, extravagant, de « sauver » ou, de « perdre », à ce point, une vie entière. Dès, avant, l’âge, de vingt-cinq ans ! Ce qui fait dramatiquement, confondre, qualité-valeur personnelle et, gratification scolaire. En un sinistre déterminisme précoce, prématuré, qui « brise », plus, de vies, qu’il n’en bonifie. L’académisme, le formalisme, sont trop privilégiés, par rapport, à l’humain. Ce qui est terriblement, français, détestable, dommageable, pour ce pays et, lui nuit, au plus haut point. La plupart, des formations, se font, par « défaut résigné », non, par « adhésion élective ». Les meilleurs, « se saisissent, du meilleur ». La masse, des autres jeunes, se contente, du « peu, de ce qui reste » et, est dédaigné, par l’élite socioculturelle nationale !
Les conseillers d’orientation, sont des spécialistes, de la psychologie. Pas, des études ou, des métiers, du monde, du travail, de l’adéquation, avec les aptitudes et, appétences, des juniors. Autre, aberration nationale, qui ne fait, qu’aggraver, le mauvais sort, fait, aux jeunes, de ce pays. Le système scolaire, professionnel et, social français est archaïque et, inadapté, obsolète et, inique. Car, il prétend, encore, faire, très largement, correspondre, le milieu socioéconomique, culturel. Le type et, niveau, d’études. Ainsi, que le métier, l’emploi, exercés, à vie. De façon, très arbitraire, rigide et, aveugle.
En un monde globalisé, au contraire, très ouvert, multipolaire et, souple. Ce qui nuit, profondément, à la jeunesse, de France, la handicape, si lourdement. Par rapport, à ses homologues mondiales occidentales et, des grands pays émergents. Le droit, à l’erreur, au choix, à l’expérimentation et, à la deuxième ou, même, troisième chance, est nié. L’assignation autoritaire, des places scolaires, sociales, d’emploi, d’office, à la française, n’est plus admissible et, productive, en notre siècle ! Le temps, des prébendes féodales, est révolu, depuis, « la nuit, du quatre août » 1789. Il serait, fort bon, de s’en souvenir1077 !
Seule, la libre autodétermination, des destins, est de mise, en toute nation moderne, civilisée, démocratique. Un cinquième, des étudiants, quittent, l’enseignement supérieur, sans diplôme ni, qualification. L’orientation, du supérieur, est aussi mauvaise, que celle, du secondaire. Nombre, de filières, sont sans débouchés, l’ensemble, demeure, trop éloigné, du monde, du travail et, de l’insertion idoine. Statu quo et, immobilisme, prévalent, depuis, trois décennies. Les jeunes, eux-mêmes, par peur, que la nouveauté, ne soit pire, que l’acquis existant, s’opposent, toujours, farouchement, à toute réforme.
Scolaire, universitaire et, professionnelle. Notamment, depuis, 1986. La jeunesse n’est « ni menace, ni fardeau, ni victime ». L’idée, est que les jeunes, soient moins, défavorisés, que les adultes, en l’emploi, qu’ils y soient, plus stabilisés. La nébuleuse organisationnelle, d’information, d’orientation, des juniors, gagnerait, à être unifiée, simplifiée, clarifiée, plus accessible, visible et, efficace. L’accompagnement financier, du chômage et, de l’inactivité, du jeune, par la collectivité publique, pourrait être sensiblement, amélioré. Par des prestations, personnellement, versées, aux jeunes majeurs, eux-mêmes, « en tant, que tels ».
Permettre, à chaque junior, sans exception, de bénéficier, d’une formation, d’une qualification et, d’un diplôme opérationnels, pour l’emploi. Cela, est un devoir majeur, pour la collectivité. À défaut, de pouvoir, offrir, garantir, un travail, à tous, il s’agit, au minimum, de faire, en sorte, que chaque jeune, soit le mieux armé, pour intégrer, l’emploi. Le système, d’orientation, doit être axé, sur les études, leur adéquation, aux métiers, au marché, de l’emploi. Non, sur la psychologie. Les juniors orientés, vers les études professionnelles, doivent, se déterminer, plus tôt, que les autres élèves, ce qui n’est pas justifié. Ils auront donc, droit, comme, les autres, à une classe, de « seconde, de détermination », non, spécialisée, avant, de choisir, la suite, de leurs études. Toutes les études supérieures, seront « professionnalisées », même, les plus littéraires, plus abstraites, des lettres et, sciences humaines.
Pour assurer, de meilleurs débouchés, d’emploi. Les études, quelles, qu’elles soient, ne servent pas, seulement, à former, de purs esprits. Or, aussi, au minimum, tout autant, à permettre, aux jeunes, de trouver, un emploi. Puis, l’association, des juniors, à la vie collective, notamment, en leur milieu, d’études et, d’emploi, s’impose1078. Leur assurer, une représentation et, représentativité propres, est capital, pour mieux, prendre en compte, la jeunesse, ses réalités, besoins, attentes. Pour, qu’elle ne se sente pas, exclue, de sa propre collectivité nationale. Or, y soit pleinement, actrice active, membre, à part entière, totalement, intégrée et, épanouie. À ce prix, la jeunesse, de France, ne s’en portera, que bien mieux. Sinon, elle finira, par émigrer, en masse, aux dépens, du pays entier ! (Galland, 2009)1079.
M. Fize, sociologue français contemporain, intitule, son ouvrage, Le Deuxième homme. En pleine référence, à celui, de S. de Beauvoir, (Philosophe française, 1908-1986), Le Deuxième Sexe. (Essai philosophique, France, 1949). Il le sous-titre : Réflexions sur la jeunesse et, l’inégalité des rapports, entre générations. De fait, l’adulte « assujettit », le jeune, tout comme, l’homme, « astreint », la femme.
« On peut dire, qu’avant, d’accéder, à l’âge adulte, l’être humain traverse, des stades, de développement, où, il n’est guère, mis en valeur. Or, où, il apparaît, en revanche, toujours, dominé. […]. Il est temps, de dire, que toute société, a la liberté, de codifier, les rôles respectifs, des générations. Sans nécessairement, recourir, aux critères, de soumission, domination, comme, critères, de classement. […]. Pour que l’homme, soit grand, il faut… que la jeunesse, soit faible. […]. Rêvons, d’un monde, où, l’homme pourrait, en tant, que tel, sans condition, d’âge, de sexe ou, de position sociale, être inséré, au sein, de la société, pour s’y épanouir, librement. […] ».
(M. Fize, Le Deuxième homme, essai sociologique, France, 2002)1080-1.
Quel sort, la société française, consent-elle, à réserver, à sa descendance ? Comparativement, au monde scandinave, germanique, nord-américain… Est-ce, un destin « tragique », à la Paul et Virginie ? (J.-H. Bernardin de Saint-Pierre, écrivain français, 1737-1814, Paul et Virginie, œuvre littéraire, France, 1788)1080-2. Pelléas et Mélisande ? (M. Maeterlinck, écrivain belge, 1862-1949, Pelléas et Mélisande, œuvre théâtrale symboliste, France, 1893)1080-3. Ou, plus riant, comme, l’on peut, l’espérer, tel, seul, l’avenir, en décidera ? Présentement, la réalité n’incite guère, à l’optimisme. Quand, même, les sanitaires, réservés, aux jeunes, des collèges et, lycées français, sont répulsifs, en plein, vingt-et-unième siècle !
Comme, le montre bien, un rapport, de l’Observatoire National, de la Sécurité et de l’Accessibilité, des Établissements d’Enseignement (Ons), en 2014. Les élèves évitent, les toilettes, en un tiers, des écoles secondaires. Du fait, du manque, de papier, de savon et, d’hygiène, la plus élémentaire, des odeurs, de la saleté, des bagarres ou, de la drogue. En France ! Aujourd’hui ! Honte, à nous, du mépris, le plus absolu, en lequel, cet indigne pays, sa société, tiennent, leur propre descendance. Lui réservant, un sort, aussi, « indécent ». Propre, aux nations, les plus déshéritées. Lesquelles, n’en peuvent, mais et, ont, au moins, l’excuse, de l’indigence !
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De Votre Nouvelle Génération Mâle
La France présente l’un, des plus forts taux mondiaux, de mortalité suicidaire. En particulier, pour vous, junior, de quinze – vingt-quatre ans et, plus encore, de vingt-cinq – trente-quatre ans. Tel est, le fruit, d’une société inhumaine, purement, matérielle et, démoralisée. Vous, jeune, en souffrez, tout particulièrement, aspirez, désespérément, au « bien vivre ». Ayant souvent, plus besoin encore, de « philothérapie », que de psychothérapie1081.
La dépression est une psychopathologie, relevant, de la médecine psychiatrique. Elle se soigne, par médication, bien adaptée et, thérapie psy. Les juniors déprimés, sont encore, plus nombreux, que les jeunes dépressifs ou, suicidaires. Cela résulte, du fait, que notre société, ne répond pas ou, fort mal, aux réalités et, besoins ou, attentes, de notre nouvelle génération. Même, les plus capitaux. La déprime est un défaut, d’appétence existentielle et / ou, une frustration, continue ou, récurrente, à vivre et, bien vivre. Avec tristesse et, démoralisation. Nombre, d’affections physiques, voire, la majorité, sont d’origine psychique. Cela, constitue, les troubles psychosomatiques juvéniles.
La bonne santé morale, de l’âme, conditionne celle, du corps biologique. Notre jeunesse a du mal, à être heureuse, car elle n’est, « chez elle », nulle part, n’étant ni, attendue ni, entendue ou, acceptée. De façon, inconditionnelle, telle, qu’elle est, non, telle, que les adultes, même, ses pairs, voudraient, qu’elle soit. Par-dessus tout, elle manque cruellement, d’amour reçu, peine donc, à en donner, malgré, son fort « grand cœur ». Tous les jeunes aspirent, avant tout, viscéralement, à aimer et, être aimés, trop souvent, en vain.
Tout junior, voyant, ses besoins, pleinement, assouvis, ne peut être déprimé, mais, épanoui, car, contenté, rassasié, désaltéré, en ses quêtes vitales. Plaçons, en exergue, le besoin relationnel, affectif, d’une part et, celui, d’amour, d’acceptation, de soi – et, d’autrui -, de l’autre. Abandonnisme solitaire, manque, de plénitude et, de sérénité, avec soi-même, étant, les deux grands fléaux, causes, du marasme psychomoral juvénile. Comme, tout humain, le jeune est un être relationnel, social, comme, sociable. Plus, que l’adulte, avec, une « passion viscérale », pour ses congénères juvéniles.
S’il est seul, il dépérit, corps et âme. Sa santé psychosomatique s’altère. Le junior a besoin, en son incertitude, d’appuis, de repères. L’appartenance, au groupe, des pairs, est donc, pour lui, symbole, moyen, de réassurance, de mise, à l’abri, de l’isolement, non, choisi. De protection, contre, le sentiment douloureux, de différence, rejet. De jugement perçu, de non-conformité, aux normes juveniles dominantes, prisées. Lien, identité, amour, de soi, ne vont pas, de soi, à la jeunesse. La solitude subie y est donc, particulièrement, mal vécue, l’attachement, aux pairs, d’autant plus, bienvenue, appréciée.
Virtuellement, via, les moyens, de communication, numériques. Physiquement, en sorties, loisirs, rencontres, activités communes, entre juniors. Ces derniers sont particulièrement, sensibles, à l’image, que leurs semblables, du même âge, ont, d’eux. Ils sont préoccupés, par le jugement, d’autrui, sur eux, y apportent, crédit, en souffrent, lorsque, leur réputation, est négative. D’où, l’impératif, de se détacher, de ce qui est pensé, d’eux. Pour se préoccuper, seulement, d’être, eux-mêmes, en pleine, intégrale, acceptation, de soi. Sans se modeler, sur quiconque, car, chaque jeune, est unique, de sa naissance, à sa mort.
Avec, une valeur propre, fort inestimable, hors, de toute évaluation, quantifiable, possible ni, valable ! Pour s’estimer, s’agréer, il s’agit, de fuir, tout perfectionnisme. À défaut, le junior ne peut être serein ni, satisfait, de sa personne, sa vie, ses pensées, émotions, comportements, résultats. Ni d’autrui ou, des choses, événements, dans le temps et, en l’espace. Ce qui est le plus court et, plus sûr chemin, vers l’insatisfaction, la déprime, la pénurie, l’échec, comme, le malheur. L’éducation trop exigeante, dure, négative, est toujours, vectrice, de dégoût, de soi, de frustrations, de défaut, d’assurance.
Gare, aussi, aux délétères, destructeurs, sentiments, de honte et, de culpabilité juvéniles. Tout en étant lucide, sur ses insuffisances. Un bon équilibre personnel repose, sur le sentiment, de compter, aux yeux, des autres, de « servir, à quelque chose ». Grandir, affectivement, consiste, à se détacher, d’autrui, n’avoir, nul, besoin captatif, de lui, pour s’accomplir, de façon, oblative. Ce qui permet, d’apprivoiser, la solitude, aussi inhérente, nécessaire, à toute vie, que la sociabilité, le « commerce », de ses semblables humains. Le jeune homme prise fort, ses pairs néogénérationnels, mais, doit, se suffire, à lui-même1082.
Le junior est d’abord, seul, face, à lui-même, sa conscience. Avant, de prétendre, « se frotter, à autrui », il se doit, d’être capable, de se suffire, à lui-même. L’autre, n’est « ni, ange ni, démon, mais, pauvre pêcheur faillible », tout comme, soi-même, ni plus ni, moins. Le jeune, « riche, de lui-même », s’élève, en référence, non, aux autres, mais, à sa densité morale immanente. Quand, le junior sait, qui, il est, ce, qu’il veut, d’où, il vient et, où, il va, il n’a plus besoin, d’autrui, pour combler, des failles, étayer, ses doutes. Il aime, sert, échange, avec les autres, pour donner, non, prendre, offrir et, partager, non, « se servir ».
Avant tout, compte, l’appel, à ses richesses intérieures morales. Ce qui fonde, la force mentale et, spirituelle, d’un individu. Sans négliger, pour autant, les fruits féconds, de l’univers externe. Or, sans dépendances psychoaffectives. Redisons-le, identité, estime, de soi, lien, à autrui, sont gages, de paix et, de sérénité, d’anti-déprime. S’instaure alors, un équilibre, en solitude choisie et, bien vécue, d’une part, relations juvéniles bienfaisantes, à autrui, de l’autre. Quoi, qu’il en soi, il est impossible, d’aimer, autrui, d’être bien, avec les autres, si l’on ne s’aime pas, soi-même et, si l’on est fort fâché, avec soi.
De même, qu’il n’est pas possible, d’apprécier, de faire la paix, avec sa propre personne, si l’on rejette, le genre humain. L’idéal est donc, de bien vivre, en relation harmonieuse, proche et, distanciée, avec les autres terrestres. L’épanouissement passe, par le fonctionnement cérébral, du jeune, en sa triple composante neuronale. Le cerveau « reptilien » gère, les instincts, les pulsions primaires, pour répondre, aux besoins fondamentaux, de survie. Il permet, de contrer, les dangers, par peur et, fuite, colère et, attaque ou, résignation et, paralysie. Il concerne donc, les réflexes. Le cerveau « limbique » est le siège, de l’inconscient mental, émotionnel, comme, comportemental juvénile.
Affects, sentiments, sont « lot quotidien », en autoconditionnements comportementaux, préétablis. Puis, le cerveau « néocortical » régit, les pensées, émotions, comportements, les plus conscients. Y prédominent, les cognitions, le langage, la logique, le raisonnement, l’analyse, en son hémisphère gauche. L’intuition, la créativité, notamment, en son hémisphère droit. La pensée pourra dominer, les émotions et, réciproquement. Un conflit, entre l’émotion limbique et, la pensée corticale, engendre, un stress excessif, nocif, du junior1083.
Un accord assure, la plénitude juvénile. Le premier outil, de sauvegarde, d’avancée, pour tout jeune, est son cerveau, ses pensées. À lui, de ne cultiver, que les meilleures, supprimer, prévenir, les autres. Cela, est un travail capital, de salubrité individuelle et, collective, puisque, chaque pensée entretenue, modèle, les émotions. Donc, tous les comportements, afférents, subséquents. Puis, l’existence, même, tout entière. Ce qui aura, fort immanquablement, des effets, positifs, neutres ou, négatifs, sur soi, comme, sur autrui. Une pensée paisible donnera donc, des émotions, de paix, un comportement détaché, bénéfique.
Une pensée tourmentée ne peut, que générer, des émotions pénibles et, des attitudes perturbées, inappropriées. Que le junior sème, de bonnes graines, pour récolter, de bons fruits. Seule, la plénitude, permet, de penser, sereinement. Le cerveau limbique est rigide, purement, rétroactif, réactif, irrationnel, atavique. Le néocortex préfrontal permet, tempérance, réflexion, proactivité, distanciation. Le cerveau reptilien ne fait, que provoquer, automatismes, réflexes viscéraux : évitement, combat, passivité. Il est celui, des vieux ancêtres archaïques, du jeune, soumis, à tous les dangers1084.
Le limbique émotionnel sera, d’autant meilleur, qu’il sera, bien régulé, par le cortex cognitif. Ce dernier sera, d’autant performant, qu’il sera, enrichi, adouci, par le premier. Une sorte, de fort « bonne intelligence, d’équilibre tempéré, entre raison et, passion, passion et, raison, raison passionnée et, passion raisonnée ». Chiasme et, alliance, des plus indispensables, au junior ! L’émotion est plutôt, intense, transitoire. Positive, comme, la joie ou, la surprise et, négative, comme, la colère, la peur, la tristesse. L’émotion est plutôt, consciente et, souvent, suivie, de manifestations physiques. Le sentiment est plus durable, modéré, complexe.
Les sentiments, d’infériorité, de honte, de culpabilité, d’abandon, sont négatifs. Ceux, de sécurité, de plénitude, force intérieure, légitimité, valeur personnelle, sont positifs. Le sentiment peut être, conscient ou, inconscient. Le premier besoin juvénile est d’être aimé et, reconnu, pris en compte et, accepté ou, intégré. À défaut, il s’agit, d’une cause majeure, de déprimes, des juniors. Faute, d’amour, des autres, le jeune s’étiole et, peut mourir, par suicide ou, se laisser mourir. L’on connaît l’expérience, très célèbre, des deux groupes témoins, discriminés, de nouveau-nés.
Le premier, reçoit, des soins physiques normaux, des marques, d’affections : par la voix, le regard, le toucher. Le second, seulement, des soins corporels et, de nourrissage. Les enfants choyés, ont présenté, des marques, de fort bonne santé. Les autres, ont été affectés, de troubles psychosomatiques et, affectifs. Le junior veut être, très légitimement, « adoubé », en sa réalité propre, non, en celle, qu’autrui, lui impose ou, prétend, lui voir adopter. Le jeune peut vivre, bien vivre, s’il est reconnu, important, aux yeux, des autres, donc, aux siens. Sinon, il souffre et, s’étiole, en marasmes, sans fin.
Pour être signifiant, exister, il peut se poser, en éternelle victime ou, en bienfaiteur permanent. Agir, vaut mieux, que subir et, « geindre », sans cesse, en pseudo-victime juvénile, maltraitée. Or, se négliger, sous le prétexte, de toujours, vouloir jouer, les « bons samaritains », en sauvant, les autres, même, malgré eux, est aussi néfaste. Il s’agit, de d’abord, s’aider, soi-même, plutôt, que se réfugier, en l’attentisme, en sa propre vie. Sous, le louable prétexte, de ne s’occuper, que des autres, jamais, de soi-même. Un équilibre épanouissant, équitable, s’impose, aux jeunes : l’altruisme, sans l’auto-négligence.
L’on ne peut, bien donner, à autrui, si l’on ne commence, à « bien, se gratifier », soi-même. Comme, le rappellent, les Écritures. Pour être heureux, fuir, la déprime, tout junior se gardera, de l’attente abusive, d’être approuvé. L’idée, de supériorité, d’infériorité, de jugement, de soi, sur soi-même, autrui, des autres, sur soi-même, l’obsession, de son image, sont à bannir. Il s’agit, de rejeter, les gens malfaisants, les critiques indues, pour ne retenir, que les personnes bienfaisantes, les propos dignes, constructifs. La préoccupation, voire, la pleine compulsion, à plaire et, séduire toujours, tous, à tout prix, sera abandonnée.
Prenant garde, à la tristesse récurrente et, au marasme moral permanent, du jeune. Cela, advient, par lassitude, défaitisme, résignation, renonciation, perte, de tout désir, plaisir, envie. Il s’agit, de se remobiliser, de façon, dynamique, pour agir et, revivre. Il convient, aussi, de vaincre, ses « rages intérieures », pour s’apaiser, recouvrer, paix et, sérénité intérieures. Pour être exorcisées, les colères intérieures, de soi-même, seront, au préalable, évacuées, pour assainir, le terrain émotionnel. Maîtrise, de soi, sérénité, recul, relativisation, forment, l’impératif juvénile, indépassable, pour survivre1085.
Pouvoir, ensuite, les remplacer, par des sentiments, plus bénéfiques, rassérénés, du junior. Le meilleur moyen, d’extirper, sa colère, de soi, de façon, positive, inoffensive, pour soi, autrui, consiste, à user, de dérivatifs, nobles, bienfaisants. En fonction, des appétences, de chacun : sport, art, thérapie, bénévolat, dépassement, don, de soi. Les colères, d’autrui, dirigées, contre soi, seront, purement et, simplement, ignorées. La majorité, des peurs, sont non fondées, le produit, de l’imaginaire, l’irrationnel juvéniles.
Pour les annihiler, il s’agit, d’en re/connaître, l’existence. Les principales peurs, sont celles, du dénuement, du jugement, de la maladie. De la vieillesse, de la mort, de la perte affective, du rejet, de la solitude… L’action est le meilleur antidote, à la peur. Il suffit, d’oser, entreprendre, ce qui est bénéfique, pour soi, mais, inquiète, en affrontant progressivement, tous ses blocages. La peur « s’envolera », face, aux avancées, constatant, que le jeune est capable, de le faire, qu’il avait exagéré, les périls, ses limites. Qu’il a finalement, vaincu, tous les obstacles, les uns, après, les autres, se dépassant, vaillamment, lui-même.
Tels, Roland, dit, le preux. (Chevalier franc, VIIIe s.). Le connétable, du Guesclin. (Chef des armées, France, XIVe s.). Le chevalier, Bayard, (Chef militaire, France, XVe-XVIe s.)1086, réputé, « sans peur ni, reproche ». Nombre, de juniors, manquent, de confiance, en eux-mêmes, tant, il leur a été inculqué, la conviction négative, de leur soi-disant « insuffisance ». Faute, de vision, fort positive, d’eux-mêmes, ils doutent. Développant, au maximum, leurs atouts, compétences, s’appuyant plus, sur eux, en y « croyant », davantage, leur confiance s’accroît.
Ils ont bien moins, besoin, de la reconnaissance, d’autrui. Le jeune comprend, qu’il est, qu’il peut, bien plus et, mieux, qu’il ne le pensait, initialement. Pour vaincre, la morosité, il évitera, de trop, intellectualiser, sera, plus inspiré, par ses émotions et, sentiments positifs. Qu’il exprimera, de façon, mesurée et, sage, mais, sans retenue excessive. Il jouira, pleinement, du présent, sans ressasser, ni le passé ni, s’obséder ou, craindre l’avenir.
Il osera choisir, décider, comme, agir, sans, se décourager ni, renoncer, s’acharnant, sans relâche ni, défaitisme, jusqu’à, la victoire finale. Il évitera, toujours, les « comparaisons, qui ne sont jamais, raison », selon, l’adage. Chacun, est unique, différent. Chaque junior aura à cœur, de cultiver, sa « différence », plutôt, qu’un conformisme, si factice. L’aval, d’autrui, est superflu. Seule, compte, la conscience, du devoir accompli. Le jeune évitera, toute tension, inutile et, nocive. Il soignera, sa santé, sa discipline, son hygiène globales, de vie.
Il allégera et, simplifiera, son existence et, se délivrera, des bornes néfastes. Il sera libre, autonome, souverain. Sa vie sera basée, sur la confiance et, l’amour, de soi, des autres, de l’existence, comme, de la sienne, propre. Le tout, en un climat, de détachement, d’humour, de distanciation et, de relativisation. Peu, de choses, hormis, la mort, sont définitives, irréversibles ou, dramatiques. Le junior aura donc, toujours, au cœur, l’espérance, la foi, en soi, comme, en le meilleur, de la vie. Car, cela, « lui est promis, par la grande force de l’Esprit ». (Aubry, 2001)1087.
« Appréhendée, telle, une menace, non, une ressource, la jeunesse constitue, un point, de crispation, d’une société, en déroute ».
(C. Autain, M. Garnier-Lavalley, responsables jeunesse français, Salauds de jeunes !, essai sociologique, France, 2006)1088-1.
« Pour les jeunes, [de France], il y a, la perspective, d’un avenir, fort décourageant, avec des stages, à la chaîne, des salaires, trop bas. Monter, une startup, ici, [en France], est un parcours, du combattant. La première expérience, peut être fatale. Les gouvernements et, tout particulièrement, l’actuel, facilitent surtout, la vie, des grandes entreprises. Là, l’on se heurte, à la question, de l’élite française. Il y a, une distorsion, d’intérêt, entre, une oligarchie, qui laisse, peu de place, aux jeunes et, des jeunes entreprenants, qui ne peuvent rien, entreprendre » !
(F. Gibbons, journaliste irlandais, Les jeunes ont raison, de quitter la France, article sociologique, publication, Courrier International, France, 2014)1088-2.
Il est vrai, qu’oligarchies, ploutocraties, féodalités, fermetures adultes, en tous genres, ne favorisent pas, la jeunesse. Quand, être junior, devenir adulte ou, vouloir, s’intégrer, s’apparente, de plus en plus, à de véritables, « ordalie et, bizutage, de société ». Quand, en France, être jeune, est devenu, voire, a toujours, été, une « malédiction », pour tous, juniors et, adultes, il en va, tout autrement, ailleurs. En bon nombre, de pays occidentaux, plus dynamiques, comme, dans les grands États, émergents. En leur sein, la nouvelle génération est vue, comme, une « chance », une richesse et, une formidable occasion, de progrès.
Que ce soit, la jeunesse estudiantine, des États-Unis ou, d’Australie. Celle, des jeunes « as », de l’informatique, en Inde. Des « jeunes cadres dynamiques », qui bâtissent, la « formidable Chine, de demain ». Quand, notre jeunesse, se traîne, si lamentablement, misérablement, éternellement, de formation indigente, en échec scolaire, de chômage, en petit emploi, de stage, en aide publique, la plus « bidon » ! De la façon, la plus pathétique, inique, désastreuse, qui puisse être. Pour tous ou, presque.
– Privilégier –
Vos Sociabilité, Facilités d’AndroJuvénilité
Quand vous, jeune, « allez mal », certains signes, ne trompent pas. Ainsi, vos plaintes somatiques, liées, à des douleurs, très localisées. Vos excès alimentaires, par gavages et / ou, privations, obsessions nutritionnelles abusives, nettes fluctuations pondérales. De même, votre dépendance consumériste nocive, d’alcool, de tabac, de drogues, notamment, le cannabis. Trop, de sorties et, d’absences, de votre maison ou, vos relations « louches », sont aussi, inquiétantes.
Le malaise juvénile peut aussi, passer, par des violences, déviances. Un mépris, d’autrui, des biens étrangers, à soi, est révélateur, de troubles. Le mal-être peut amener, le jeune, à « persécuter », ses proches, famille, amis, partenaire affectif, pour « compenser, exorciser et, extérioriser », son tourment. Il peut se malmener, lui-même, pour les mêmes raisons, par automutilations, scarifications ou, coups. En autopunitions, rejet, de soi, du fait, de la souffrance. Les pensées, paroles, tentatives suicidaires, sont toujours, à prendre, au sérieux. Car, elles sont, toujours, le signe, d’une détresse intense, avec danger, de mort, si le junior s’isole.
Il s’agit, aussi, de prêter, la plus grande attention, aux mutismes prolongés, aux solitudes, isolements juvéniles. Replis, sur soi, et, retraits, de la vie sociale, scolaire, familiale, affective, amicale, des loisirs. Il en va, aussi, des altérations durables et, accentuées, des performances scolaires et, absences récurrentes, des cours. Des modifications brutales, fortes, d’attitudes, d’habitudes, d’humeur, sans raisons précises et, compréhensibles, sont toujours, alarmantes. En forme, d’état bipolaire, oscillations, importantes et, rapides, entre stades euphoriques et, déprimés, du junior et, réciproquement.
Citons, aussi, des négligences soudaines, quant au corps ou, à l’habillement, l’hygiène, l’entretien et, le rangement, du cadre, de vie. Contrastant, avec le soin, l’ordre habituels. De même, les insomnies et, troubles, du sommeil, réguliers et, importants, les difficultés massives, à s’endormir, se réveiller, lever. Des propos incohérents, aberrants, obscurs, inquiétants et, exaltés, sont, aussi, de fort mauvais signes. Avec ou, sans, hallucinations, déréalisation, dépersonnalisation, décompensation, des plus pathologiques, du jeune1089.
Il y a, aussi, les idées obsessionnelles et / ou, compulsives. Rationalisations, ordre, propreté, rituels, vérifications, pratiques maniaques. De façon, de plus en plus, invasive, handicapante. Sans compter, les peurs, anxiétés, angoisses, paniques irraisonnées, non, fondées. Concernant, le corps, la santé, le temps, l’espace, un objet, des personnes, circonstances, certains actes, pourtant, habituels, anodins. Avec, des évitements gênants. Plus, le junior renonce, à des choses, pratiques et, habitudes, de sa vie courante, plus, cela, peut être, signe pathologique, anormal.
Si le jeune reconnaît, ses difficultés, troubles, accepte, d’en parler, de se faire aider, « tout, va bien », en ce sens, qu’une solution acceptée, est en vue. Sinon, en réaction juvénile, de déni, le cas risque d’être, ainsi, plus pathogène. Un traitement rapide, est gage, de prompt et, bon rétablissement. À défaut et, non, résolu, le cas s’aggravera, avec le temps. Les troubles psychiques juvéniles, ont une triple nature, comme, origine : biologique, psychologique, sociale. Le corps, l’esprit et, le lien, interagissent fort. Vulnérabilité héréditaire génétique, occurrences, de vie, personnalité, rapports, à autrui et, à soi-même, données, comme synergies sociales, sociologiques et, sociétales…
Tous ces vecteurs influent, positivement, sur l’équilibre, du jeune ou, négativement, sur ses failles. Les pathologies psychiques ne sont pas héréditaires, mais, issues, d’une réelle fragilité génétique. Les affections psychiques, comme, mentales, sont dues, à des dysfonctionnements, de liaisons, entre neurones. Cela, occasionne, des troubles cognitifs, donc, sociorelationnels. Il y a deux grandes familles, de troubles psychiques. Les névroses sont des conflits, ruptures, déchirements, contradictions, internes, au jeune. Entre le conscient et, l’inconscient, la raison et, la passion, le désir et, sa régulation.
Le junior les perçoit, en a conscience. Les psychoses sont plus dysfonctionnelles, car elles sont un conflit, entre la réalité psychique endogène, du jeune et, celle, de l’extérieur. Ce qui perturbe, le sujet, son entourage, les liens, entre eux. Le junior n’a pas réelle conscience, de son mal. Il est convaincu, que ce qu’il croit percevoir, existe et, constitue, pour lui, un danger, issu, de l’extérieur, étranger, à lui-même. Divers syndromes, d’autodéfense, peuvent affecter, le jeune. Le refoulement, par rejet, de perceptions pénibles, du conscient, vers l’inconscient, ce qui provoque, une pleine amnésie, du conscient juvénile1090.
Le déplacement permet, de muer, une émotion insupportable, en une autre, plus positive, neutre ou, admissible. L’intellectualisation est un processus, de rationalisation mentale. Pour mieux, se préserver, dominer, contrôler, appréhender, des réalités qui, à défaut, pourraient perturber. Un mécanisme proche, sera la sublimation, permettant, d’idéaliser, d’élever, un champ, jugé, peu légitime et, noble ou, digne. Vers un registre, plus « admissible », aux yeux, du junior, car estimé, plus acceptable. L’ascétisme, par excès, de rigueur physique, psychique, morale, est un autre mode, de pleine préservation, par peur.
De « mise, en accord », entre des valeurs, de conformité, d’exigence et, ses pensées, émotions, comportements, plaisirs, désirs, envies. La projection juvénile tend, à conférer, aux autres, des cognitions, sentiments, attitudes, plutôt, négatifs, hostiles. Ce qui consiste, à trop prêter, ses propres émotions négatives, à autrui, à le percevoir, comme, malveillant, à son encontre. Le junior rejette, sa responsabilité, l’impute, à autrui, se défausse, sur ce dernier. Le déni conduit, le jeune, à refuser, d’endosser, comme, de reconnaître, des réalités, qui lui sont pourtant, propres et, avérées.
Ou, qui concernent, les autres ou, certaines circonstances. Cela, permet, au junior, de se protéger, en refusant, d’appréhender, ce qui gêne. Le clivage est une pensée dichotomique, manichéenne, concernant, « tout et, tous ». Également, une scission, de la personnalité, en deux entités antinomiques, ce qui provoque, de lourdes incohérences. De façon, inconsciente. Au pire, il peut y avoir, maladie psychotique, de type schizophrénique. Avec hallucinations, délires, double personnalité ou, vision, réelles et, imaginaires. Double réalité, celle, intérieure perçue, subjective, comme, faussée, du jeune, et, celle, objective tangible, de l’extérieur, telle, qu’elle est, effectivement.
À la jeunesse, les dépendances addictives, sont fort fréquentes. Leur rôle est de constituer, un mode compensatoire hédonique, consumériste, aux frustrations, limites et, désappointements, de cette période, de vie. En laquelle, il y a hiatus, entre une maturité, des aptitudes et, désirs accrus, d’une part. Des contraintes, obligations, limitations et, devoirs, de l’autre. De fait, la société perçoit, traite, le junior, comme, déjà, trop grand, pour être petit et, encore, trop petit, pour être grand. Période juvénile médiane, donc, inconfortable1091.
Puisque, les facilités, conforts, si obsolètes, de l’enfance, ont disparu. Alors, que ceux, encore, inaccessibles, de l’adultisme, plein et entier, font encore, défaut. Les addictions, du junior, jouent donc, alors, le même rôle, que la succion, du pouce, du nourrisson. Il y a, trois grands types, de dépendances. Celles, aux personnes, aux idées, comme, celles, de nature, affective, amicale, amoureuse, captative, non oblative. Ou, celles, de type sectaire et / ou, idéologique excessif. Les dépendances, à des produits, tels, l’alcool, le tabac, les drogues, aliments, médicaments.
Puis, celles, à des comportements, comme, l’abus, de jeux vidéo, de sexe, de travail, comme, les conduites, à risques et / ou, déviantes… La dépendance addictive, est un abus récurrent, croissant et, dommageable, dont, l’on ne peut, se passer. Le jeune ne domine pas, la pulsion compulsive, mais, est dominé, par elle. Sa volonté propre, est donc, paralysée. Le danger, est que le cerveau, s’habitue, au plaisir, de l’addiction, exige donc, de plus en plus, de dépendance et, consommation matérialistes. Pour continuer, à assurer, un contentement suffisant. Jusqu’au pire, comme, l’overdose mortelle, de stupéfiant, marquant, la non-maîtrise juvénile, de soi1092.
L’addiction est un manque, d’assurance, une fragilité, une faille. Qui font, que le jeune a besoin, d’une « béquille, physique et psychique », pour « tenir ». À défaut, il y aura, un pénible état, de manque, souffrance accrue, d’obsession morbide. Qui ne laisse, en paix, que quand, la satiété addictive, est de nouveau, assouvie. Par modification métabolique, psychosomatique, apaisante, hédonique, néfaste. Le danger est donc, l’accoutumance et, la dépendance physique et / ou, psychique, morale. L’anxiété, le sentiment, d’insécurité, peuvent conduire, le junior, à des troubles, dits, obsessionnels et, compulsifs.
À des phobies, pour se rassurer et, s’apaiser. La phobie est une peur irrationnelle, concernant, une chose ou, un lieu. Elle peut donc, concerner, l’école, les études. Les Toc sont des préoccupations excessives et / ou, des comportements irrépressibles et, impulsifs. Pensées et, doutes obsédants, méticulosités, maniaqueries, rites, vérifications… Plus, ils sont envahissants, en temps, énergie, investissement, préoccupations, plus, ils sont handicapants et, pathologiques. Le jeune, qui en est conscient et, le reconnaît, souffre, de névrose. S’il y a, déni, inconscience, un diagnostic, de psychose, peut être, alors, posé.
Le junior peut être déprimé, s’il souffre moralement, de façon, brève, limitée. La dépression est une souffrance, forte et, durable, à base, de tristesse, d’anxiété, d’inhibition, de souffrance morale, notamment. L’aboutissement, le plus grave, est de l’ordre suicidaire. En pensée, par tentative, non létale et, par aboutissement mortel. Le trouble bipolaire est un état récurrent, de variations brutales, d’humeur, entre des extrêmes maniaques, de gaieté, comme, dépressifs, de tristesse.
La schizophrénie juvénile, est une dissociation, de la personnalité, une déréalisation et, décompensation, par angoisse, souffrance et, insécurité. Avec sentiment, de persécution, paranoïa, délires, hallucinations, comme, replis, sur soi. Les états limites, dits, « borderline », peuvent signifier, que le jeune est à la frontière, notamment, entre névrose et, psychose. Ou, concerné, par les deux pathologies. Il est inconscient, de son état, le nie, mais, il conserve, le contact, avec les réalités. Ce qui peut, toutefois, empirer, sans aide.(Bochereau, Jeammet, 2007)1093.
Les schémas, de pensées, d’émotions, de comportements, sont des « ancrages » cognitifs, d’affects, comme, d’attitudes, négatifs. Ils sont issus, du passé, obèrent, le présent, des juniors. Cela, est dû, aux dysfonctionnements éducatifs, de l’enfance. Qui rendent, le jeune, inadapté, figé, en difficulté, mal-être. En ce qu’il pense, ressent, agit ou, non. S. Hahusseau décrit, ces schémas. « Le schéma, d’abandon- carence affective : je ne compte, pour personne. Celui, de sujétion : je fais tout, en fonction, des autres. Le schéma, d’injustice : l’on me fait, tout le temps, du mal. Celui, de culpabilité : j’ai mauvaise conscience. Le schéma, de manque, de reconnaissance : je ne me sens pas, reconnu. Celui, de manque, d’estime, de soi : je suis nul-le. Le schéma, d’incompréhension juvénile : l’on ne tient jamais, compte, de ce que, je dis. Celui, de rejet : je suis toujours, exclu-e.
Le schéma, de manque, de limites : je mérite, bien mieux, que les autres ». L’auteur propose, quelques pistes, d’annihilation, de ces schémas toxiques. Rêver, répartir, les responsabilités, « tourner, la page », du passé, mieux communiquer, dominer, ses pensées automatiques, faire évoluer, tous ses comportements. Pour grandir, réussir et, s’épanouir, nul, jeune, ne peut donc, se contenter, de ses acquis passés. Il ne peut, que les adapter, au présent. (S. Hahusseau, psychiatre française contemporaine, Comment ne pas se gâcher la vie, essai de psychologie, France, 2003)1094. Au-delà, une vie, des plus accomplies, consiste, pour tout humain, jeune, y compris, à constamment, « revoir, sa copie ». La remanier, corriger, amender. En « chantier permanent ». Ce qui signifie, le devoir, de dépassement, de soi, meilleur don, de soi. Pour, toujours, « s’améliorer, se bonifier ». En excellence, non perfectionniste.
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« Quand, comme un oiseau, On sent, l’heure, du départ, Les ailes, au ras, du dos, On « éteint », son histoire. C’est pas, qu’ça fait souffrir, Ça fait, même pas, pleurer, C’est, pas dur, de partir, Quand, on n’veut plus, rester » !1095-1.
Telles sont, les paroles, d’une chanson, interprétée, en 1988, par l’actrice française, D. Grey (1896-1996), parvenue, centenaire, intitulée : Devenir vieux. Hélas, bien des juniors, d’aujourd’hui, pourraient reprendre, cette si triste complainte, à leur compte ! La retitrer : « Devenir jeune » ! Trop, d’entre eux, désabusés, résignés et, tant désespérés, ne supportent plus, la morne destinée, qu’ils subissent et, ne peuvent plus, « enrayer ». Trop, voudraient, « partir », par l’exil, de la migration géographique, voire, du trépas. Pour mieux, re/vivre, ailleurs, autrement, en renouveau, nouveau départ. Jeunesses, Ô combien, tragiques, de la mythologie, la littérature et, l’Histoire. Adonis et Aphrodite, Narcisse et Echo, Iphigénie. (Mythologie grecque antique). Saint Sébastien. (Martyr romain, IIIe s.). Paolo et Francesca.
(D. Alighieri, poète florentin, 1265-1321, Paolo et Francesca, Divine comédie, poème épique et allégorique, États italiens, 1321)…
En son ouvrage, La Teuf, M. Dagnaud, interroge, de nombreux juniors, au sujet, de la passion juvénile, pour les soirées-sorties festives, entre juniors. (M. Dagnaud, sociologue française contemporaine, La Teuf – Essai sur le désordre des générations, ouvrage sociologique, France, 2008)1095-2. Ces collectives réjouissances néogénérationnelles, n’ont pas ou, plus, pour seul but, de s’amuser, prendre, du plaisir, profiter, de la vie, de sa jeunesse. De plus en plus, il s’agit, d’abord, de s’étourdir, s’abrutir, « se défoncer ».
Pour s’/oublier, fuir, un « malaise générationnel ». Un sentiment déprimant, désespérant, d’inutilité, de dérision, vacuité, pathos. De vie, dénuée, de tout sens, sans nuls, genèse ni, réalité ni, aboutissements. Le « trop vide » existentiel, du manque, est alors, compensé, par le « trop plein », en excès, de la « catharsis festive ». Pauvre jeunesse, qui n’a plus, à sa portée, que l’autodestruction nihiliste, pour se donner, encore, la pauvre illusion, d’exister. Plutôt, que l’accomplissement, de soi, authentiquement, constructif !
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Impavidité, Résistance d’AndroJeune
Malaise, est un terme masculin, du douzième siècle. Il signifie – seizième siècle – « sentiment pénible et, irraisonné, dont, l’on ne peut, se défendre ».
(Dictionnaire, de la langue française, Robert, France, 2007)1096.
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T. Gainsborough, peintre anglais, achève, de réaliser, à même pas, vingt ans, son beau tableau : Conversation dans un parc, en 1746-1747. (T. Gainsborough, 1727-1788, Conversation dans un parc, œuvre picturale, Royaume de Grande-Bretagne, 1746-1747)1097. Cette peinture représente donc, deux jeunes gens, à l’orée, de la vingtaine, sans doute, l’artiste, lui-même et, sa jeune épousée, Margaret. Ils conversent, tous deux, sur un banc rustique, en pleine nature luxuriante, à ce qui semble être, la saison automnale. Avec, en arrière plan, un petit temple, d’inspiration antique1098. La jeunesse, notamment, masculine, aime l’action, le mouvement, le changement et, les sensations physiques. Or, elle apprécie, tout aussi bien, de rester, au calme, à ne rien faire, rêver, « refaire, le monde ». Parler, échanger, deviser, écouter, être entendue et, donner, son opinion, solliciter, des avis.
En un mot, « pétrir, la glaise intellectuelle, par le verbe et, l’ouïe », en pleine réciprocité, mutuelle. En « émetteurs et, récepteurs ». Les juniors sont fort attachés, à leurs libertés, autonomie, indépendance, toutes neuves, en sont fort jaloux et, ombrageux. Or, ils savent, tout autant, qu’ils ont grand besoin, des autres, pour grandir et, s’épanouir, en dignité. En premier lieu et, au tout premier chef, naturellement, leurs pairs, qui leur sont, d’un si grand, secours, réconfort.
Également, les adultes, pour leur sagesse, leur expérience et, maturité : parents, enseignants… Ainsi, le jeune Sébastien, veut rester libre, mais, évoluera, grâce, aux autres. (Libre et assoupi, comédie de cinéma, du réalisateur français contemporain, B. Guedj, France, 2014). Pour ceux, qui requièrent, une relation d’aide, le veulent, les juniors sont, à raison, fort exigeants. Ils n’attendent pas, seulement, écoute, compréhension, soutien authentiques, attentifs, attentionnés.
Également, surtout, guidance, éclairages, conseils concrets, avisés et, efficaces. Adaptés, adéquats, pertinents, qui « parlent », à leur génération, les convainquent fort, par leur utilité, performance, l’intérêt, qu’ils en retirent. Pour « bien vivre, aller mieux, devenir meilleurs » et, progresser, pas à pas, optimiser, leurs potentiels. En congruence, compassion, empathie. Un véritable préceptorat, de vie. C’est la raison, pour laquelle, nombre, de jeunes, sont en nécessité, de recadrage, comme, de restructuration, de vie. Sauf, cas pathologiques, vraies souffrances psychiques, aiguës. Ils relèvent alors, non, de la psychothérapie, mais, de l’accompagnement, en développement personnel, accomplissement, de soi, du conseil androJuvénile. Comme, de l’AndroJeunologie®.
La culpabilité est un sentiment douloureux, souvent, éprouvé, à la jeunesse, qui suscite, des émotions pénibles et, fragilise, le junior. Cela, est d’autant, plus fréquent, difficile, à vivre, que cette période, de vie, est très incertaine. Emplie, de doutes, de soi et, d’autrui, des choses et, événements. Une époque, de construction, et, mise, à l’épreuve. En laquelle, il s’agit, de faire montre, de qualités, d’aptitudes, d’efforts, de ténacité, pour grandir, devenir adulte et, « faire ses preuves ». D’où, le sentiment, d’incompétence, de maints jeunes, d’incapacité, d’indignité, de peurs, de l’échec, du rejet. De ne pas, y arriver et, s’en sortir, de ne pas trouver, sa place. D’être stigmatisé et, incompris, de décevoir, les autres et, d’être déçu, par soi et, autrui. À cet âge, la pression, des pairs et, des adultes : parents, enseignants ou, employeurs, est terrible, insupportable, pour certains.
En une époque, de compétition, si acharnée, de performances maximales exigées. En laquelle, il faut parvenir, réussir, coûte que coûte et, à tout prix, pour prouver, que ce que l’on est, fait, est valable. Ainsi, le jeune confondra, souvent, la qualité et, le résultat, de ce qu’il fait, a, paraît, avec la valeur, de ce qu’il « est », lui-même, en tant, que personne humaine. S’il réussit, est ainsi, conforme, aux attentes sociales, « tout, va bien » ou, presque. Sinon, le junior verra, son image, son estime, de lui-même, fondre, « comme, neige, au soleil ». D’où, un fort sentiment, de culpabilité, plus ou, moins, récurrent, important, voire, dramatiquement, handicapant. Ce qui aboutit, alors, à un véritable, mal-être. En certains cas, la culpabilité est, d’autant plus, « pathologique », qu’elle ne repose, sur rien1099.
Rien, d’objectif ni, de tangible, mais, un état d’esprit perturbé, de faible estime, confiance, affirmation, de soi. Lequel, aboutit, à se sentir « indigne, déchu », par principe. Certitude, de toujours, mal faire et, être, quoi, qu’il en soit, à son corps défendant. Le jeune qui se sent et, se croit coupable, est toujours, insatisfait, de lui-même. Par croyance erronée, nocive, de n’être jamais, à la hauteur, de quelque enjeu, que ce soit. Petit, moyen, comme, grand. En pensées, émotions et, comportements : actes, paroles, abstentions. Le junior se condamne, se punit, lui-même, en véritable, impitoyable, « bourreau intérieur ».
Sans circonstances atténuantes ni, remises, de peines ou, clémence possible. Mauvais, par conviction, il doit toujours, « expier, en châtiment, pour la rédemption, de ses fautes », sorte, de « congénital, péché originel », par prédestination. Par devoir, de perfection, terreur, de l’échec, de faillir, refus, impitoyable, de toute erreur possible. Jusqu’à, presque, « demander pardon, d’être né », d’exister. Perpétuel accusé, coupable, condamné, exécuté, jamais, absous ni, lavé, de ses « offenses ». Le plus souvent, pourtant, totalement, imaginaires. Ainsi, va, la jeunesse, si mal-aimée, déconsidérée, rejetée !
Le jeune « coupable » cultive des pensées, de culpabilité, en se jugeant, sans cesse, bien trop durement, sans indulgence ni, commisération. Il éprouve, des émotions, des sentiments, de culpabilité, notamment, de peur et, tristesse. Il adopte, des comportements, de culpabilité, par l’inhibition, la manipulation ou, l’agressivité. Or, sans jamais, ni pouvoir ni, vouloir ou, savoir, s’affirmer, en toute assertivité. Le junior s’exprime ou, agit. Il observe, les effets, de son attitude, sur lui-même, autrui. Il réprouve, son attitude, ne la juge pas, conforme, à l’aune, des canons, qu’il estime, acceptables, par lui-même et, supposément, autrui.
Il se morigène fort, se fustige intérieurement, dépité, se promet, de mieux, procéder, la prochaine fois. Verdict et, sentence, de culpabilité, sont tombés, durement. D’autant plus, que le jeune, « plaide toujours, coupable, Votre Honneur » ! La honte et, le tourment ou, le regret, en sont, la marque, d’opprobre, le sceau, d’infamie. Humiliation, rage, mortification, torture, de soi, et, chagrin…, itou. Le junior ressasse, rumine, ses déboires, sa déroute, à l’infini, s’accablant, de reproches. Imaginant, un scénario, une issue, plus favorables, pour lui et, regrettant, de n’avoir su, mieux faire. L’anxiété suit1100.
Le jeune se surveille, se sent, « en sursis », sous la menace permanente, l’angoisse, que le drame, ne se reproduise. Le prenne, derechef, à défaut. Il multiplie, précautions, circonspection, sur le permanent, qui-vive, aux cent coups, le cœur battant. À l’affût, du moindre danger, des chausse-trappes et, autres infâmes traquenards. En lesquels, il s’obsède, à ne point, trébucher ni, horreur suprême, tomber. Le junior se culpabilise, lui-même et, lui seul, par fort mauvaises interprétations et, dramatisations. Imagination irrationnelle excessive, distorsions, de pensées, d’émotions et, de comportements.
Le jeune retient, à tort, tout, ce qui semble, en apparence trompeuse, aller, à ses yeux, dans le sens, de sa culpabilité, supposée. Il élude, nie, refuse, de voir, occulte, consciemment et, inconsciemment, tout, ce qui pourrait, pourtant, corroborer, son innocence. Tout, ce qui existe, ici-bas, est perçu, par lui, comme, allant, contre lui, mais, rien, en sa faveur. Le junior autoculpabilisant se pare, toujours, de la pourpre toge cardinalice, du martyr, du sacrifié, du persécuté et, du condamné. Ou, du sombre appareil, du bourreau. Des réalités anodines, habituelles et, légitimes ou, normales, même, si elles peuvent paraître, injustes ou, inadéquates, provoquent, chez lui, une culpabilité destructrice. De celle, qui n’a pas lieu, d’être.
Sa culpabilité juvénile, étant devenue, une habitude réflexe, une « seconde nature », en lui-même, il la cultive, d’instinct. Il finit même, par « y prendre goût ». En quasi- « masochisme », car, ce travers, pourtant, si dommageable et, si pénible, pour lui, semble être, à ses yeux, un indicateur rassurant. Protecteur, d’alarme, de sécurité, pour se prémunir, du pire, par alerte, vigie permanentes. En quête éperdue, pour annihiler, les impitoyables, sentiments ravageurs, de vulnérabilité, faiblesse, d’infériorité et, d’impuissance, du junior.
Mettre en œuvre, d’autres tactiques, plus appropriées et, dérangeantes, que la culpabilité, pénible, mais, rassurante, car protectrice, permet, de se défaire, de cette dernière. Car, l’on ne supprime, véritablement, que ce que l’on remplace. Ce qui déclenche tant, à tort, la culpabilité, par routine, sera attaqué et, défait. Coupable et, honteux, en son esprit, le jeune se croit « vaurien, bon à rien et, mauvais, en tout et, pour tout ». Il croit, que se sentir coupable, de façon, supposée, implique, ipso facto, de l’être, réellement, ce qui le fait souffrir. Il revêt, la « tunique, de la victime, du martyr »1101.
Le junior est « aux abois », en colère, plaintif, sans confiance, attentiste, routinier et, anti-mouvement, changement, craintif. Il s’autodévalorise, s’apitoie, sur lui. Il s’en veut, est tendu, stressé. Sous le coup, de l’opprobre universel. Il refuse, les signaux positifs et, encourageants, qui lui sont adressés. Il se sent incapable, mal aimé, rejeté. Il ne se voit, que des défauts, pas de qualités. Il se sent malheureux, fuit, crises et conflits. Le sentiment, de culpabilité, entraîne, immanquablement, la terreur, de nuire, aux autres, de les blesser, fâcher, vexer. D’en subir, les mauvaises conséquences, sous forme, de rétorsions.
Le jeune va donc, toujours, se projeter et, anticiper, pour ne pas, être « pris, en défaut ». Fuir, le déshonneur, l’avanie, l’anathème. Ne pas provoquer, de blâme, rejet, d’abandon. Lui seul, peut comprendre, se convaincre, lui-même, qu’il n’est pas coupable, fautif, responsable, de ce qui n’existe, qu’en son imagination troublée. En cercle vicieux, plus, il se sent coupable, subit, sans broncher, acquiesce, à tout, même, au pire, plus, les autres, prendront, un malsain, lâche plaisir, à lui confirmer, le poids, de ses fautes imaginaires. Le junior endurera, alors, une malveillance manipulatrice, des plus perverses1102.
Ce qui, les dédouanera, de leurs propres turpitudes, se défaussant, sur le plus faible. Le cercle vertueux juvénile, consiste, à être sûr, de soi, de son bon droit, innocence ou, sa bonne foi. Ce qui dissuade, les autres, de s’en prendre, à lui, le sachant, inébranlable, impavide. Apte, à tacler, l’impudent, qui oserait, le moucher, imprudemment. La culpabilité indue, vient souvent, de l’enfance, l’éducation parentale, professorale. En normativité, dressage, conditionnement, instillés, de chaque instant. Face, à l’autorité, aux injonctions, préceptes, des adultes, alors, réputés, d’excellence supérieure.
L’enfant, puis, le jeune, se sentent infériorisés, incapables, malfaisants. Chaque milieu familial, scolaire, social, professionnel, culturel ou, amical, a ses codes, savoir-faire et, être imposés, culpabilisateurs. Si l’éducation est tempérée, équilibrée : souple, ferme, le jeune croit, en lui, élude, ce qui est pensé, de lui, ignore, avec superbe, son image, de marque. Une éducation trop rigide, intolérante, rend, soi-même, impitoyable, à ses propres yeux. Réfractaire, aux moindres écarts et, travers, de sa personne. Le junior a des parents, qui le rabaissent, le dévalorisent, le rudoient, le sanctionnent, de façon, « aveugle ».
Ne lui font, aucun crédit, rendent toujours, le jeune responsable, du pire. Ils ne croient pas, en lui, le lui signifient. Ils critiquent, sans cesse, le junior, l’infériorisent, par rapport, à autrui. Ils mettent, en exergue, ses supposées erreurs, éludent, ses mérites, succès. Ils ne l’écoutent, en rien, restreignent, ses libertés. Le jeune est un « réprouvé », pour tout, félicité, encouragé, soutenu, en rien. Il n’est pas pris, en compte, sa personne même, est niée. Il n’est crédité, de rien, débiteur, de tout. Un voile, de malédiction, d’avanie, d’indignité, permanent, est jeté, sur lui.
Tant et, si bien, qu’il se croit « coupable, de tout, porteur, de tous les forfaits, du monde ». Sans compter, les colères, menaces, agressions verbales, physiques, subies, depuis, l’enfance, de la part, de ses parents. Avec les traumatismes, l’insécurité, la peur juvéniles, générés, par l’arbitraire, la violence, la maltraitance, l’injustice. Perversité, fort malsaine, consistant, à faire croire, au junior, depuis, sa naissance, qu’il était, est, le seul, « responsable », de son sort. Du traitement subi, du fait, de sa pseudo-culpabilité. Soi-disant, fautes, erreurs, insuffisances et, mauvais comportements, résultats scolaires et, autres. En « bizutage social, anti-jeune »1103.
Par imposture, le junior a été fort convaincu, de son « indignité » factice. Il se sent donc, en permanence, en la peau, du coupable type, par excellence. Endossant, un rôle convenu, de composition, d’acteur, comme, une vraie nature, seconde. Consistant, à croire avoir, soi-même, toujours, tort, les autres, jamais, mais, eux, toujours, raison. Le jeune culpabilisant, veut trop, contenter, tout le monde, tout le temps, ne fâcher, personne, ce qui finit, par tous, les indisposer, contre lui. Il privilégie, les autres, leurs besoins et, attentes, aux dépens, de lui-même et, des siens propres. Le junior a peur et, s’affole, à la moindre difficulté.
Il n’exprime rien, sur rien. Il adopte toujours, la « stratégie, de fuite, d’évitement », face, à toute gêne. Il est submergé et, tétanisé, par ses émotions. Il est inhibé, il subit, est dépendant, attend, ce qui ne vient jamais. Il éprouve, rancœur, rancune, reproche, ressentiment ou, volonté, de vengeance, revanche, rétorsion, contre, les offenses. Il éprouve, un sentiment, d’imposture, de duperie, de mensonge et, de tricherie, tant, il se croit, médiocre, incapable. Le jeune porte, les malheurs, du monde, d’autrui, sur ses frêles épaules, se sent alors, des plus déprimés, indignes et, déchus, à longueur, de temps.
Par préjugé négatif, systématique, sur lui-même, le junior pense, que tout, ce qui émane, de lui-même, est mauvais. Sera donc, perçu et, stigmatisé, comme, tel, par autrui. Il prête, à tort, aux autres, des intentions hostiles, malveillantes, malfaisantes, à son égard. Sans, nul, début, de preuve, signe, en ce sens. Il suppute, gratuitement, extrapole, inutilement, à partir, de riens. Il décode, décrypte, de façon, erronée, les pensées, émotions, affects, paroles, abstentions, comportements, des autres. Non, à partir, de faits réels, avérés, mais, de ses interprétations pessimistes, inquiètes, toujours, défavorables, à son encontre, selon lui.
Suite, à ses propres critères biaisés, d’évaluation. Seule, compte, la réalité existentielle et, non, ses causes réelles ou, supposées. Le jeune ne prendra, en considération, que ce qu’il constate, objectivement, non, ce qu’il pressent, subodore. Tant, qu’aucun, fait tangible, n’incrimine, le junior, ce dernier, se doit, de se convaincre, que cela, implique, ipso facto, qu’il n’a donc, commis, aucune faute. Faute, d’indices, de confirmation directe, assurés, il cherchera, toujours, à vérifier, ses simples croyances et, intuitions. En investiguant et, interrogeant, pertinemment, toutes les personnes, concernées.
Quel, que soit, le résultat, de l’enquête, positif, neutre, négatif, pour lui, le jeune restera zen, sans céder, à l’anxiété ni, au stress ni, à la panique. Ne compte, que ce qui est, non, ce que le junior pense, craint ou, aimerait, que ce soit. Il a donc, appris, à ne plus, se laisser manipuler, duper, par ses propres failles. Il lui reste, à ne plus, se laisser intimider, par les manœuvres, d’autrui, à son égard ! S’il ne s’ « en laisse plus, compter », il est fort probable, que les autres, mettront en œuvre, des mécanismes, de défense, contre, sa nouvelle fermeté. Le jeune prendra alors, bien soin, de les éluder et, passer outre, sans états d’âme, aucuns.
Toute muraille, peut être contournée, escaladée, percée, creusée ou, simplement, pénétrée, par toutes ses entrées naturelles. Seule, la fermeté, la plus inébranlable, les « rapports, de force », de souveraineté, entraînent, le respect, d’autrui. Jamais, la désastreuse politique, des « bons sentiments ». Cela, se vérifie, entre les nations, tout comme, entre les individus ! La culpabilité injustifiée, rend trop faible, dépendant, contrit, inférieur, vulnérable. Stressé, anxieux, apeuré, émotif, insécure et, honteux, indigne, déchu, démuni, triste et, déprimé. Ce qui abat, le junior, au plus profond1104.
La certitude, de sa légitimité, de son bon droit, de son innocence, avérés, assurent, l’inverse. Force, indépendance, sérénité, suprématie, solidité, paix intérieure, rayonnement, assurance. Maîtrise, de soi, et, sécurité, fierté et, dignité, accomplissement, de soi, et, valeur, joie de vivre, enthousiasme ! Le jeune prend, la saine habitude, de ne plus jamais, accepter, de porter, le poids, de fautes imaginaires ou, qui sont celles, d’autrui et, non, les siennes. Même et, surtout, si les autres, tentent, de lui « faire porter, le chapeau », de façon, malhonnête, abusive. Le premier outil défensif, du junior culpabilisant, est la fuite, l’évitement, notamment, des conflits, crises, tensions et, difficultés.
Par peur, sentiment, d’impuissance. Mauvais souvenirs, d’événements négatifs similaires, du passé. L’évitement est un procédé dilatoire, d’opposition, de blocage, à l’égard, de ce qui incommode. La fuite est le fait, d’échapper, à une réalité dérangeante. Alors, souvent, le jeune prend, les devants, notamment, en cas, de tension prévisible, présumée, avec autrui. Il y a, désintérêt, refus, de ce qui est nouveau, imprévu, inopiné. À l’inverse, des juniors inventeurs, tel, G. Rolland, créateur, doublement primé, du SensorWake, réveil olfactif. (France, 2014). Lequel, sera, outre, une prouesse technologique, un grand succès commercial !
Le jeune reste toujours, enfermé, en sa bulle, de confort, sécurité familière, qui le rassure, car, il la maîtrise, parfaitement. Il ne se manifeste, en rien, ne s’exprime, sur rien, pour éviter, d’avoir, des ennuis. Il s’excuse, se justifie, trouve, des prétextes, pour se cacher, se protéger. L’agressivité colérique excessive, est un autre moyen, de ne pas faire face et, adéquatement, aux réalités. Il y a aussi, la paralysie, l’effondrement, la perte, de ses moyens, les pleurs, cris. Le junior n’a confiance, ni en lui ni, en autrui, la vie, son destin, car il n’a, ni estime ni, affirmation, de lui-même.
Il n’exprime donc, ni besoins, ni désirs, ni demande. Il ne veut être redevable, à personne, est convaincu, que lui seul, peut bien faire, jamais, autrui. La « mauvaise gestion » émotionnelle paralyse, empêche, tout jugement sain, sensé et, toute concentration. Par peur, manque, d’assurance, le jeune procrastine fort et, repousse toujours, dans le temps, tout, ce qui l’inquiète. Lui paraît, hors, de ses capacités, nouveau ou, pénible, ainsi, que par mauvaise habitude, d’inertie. La bonne organisation, à l’avance, paraît redoutable et, hors, d’atteinte ou, de propos. Souvent, l’attentisme paraît, à la jeunesse, bien plus attractif, que l’action pure1105.
Le junior est trop perméable, aux attaques, critiques, mauvais procédés, d’autrui, à son égard. Ces derniers ne sont pas dramatiques, en soi, mais, deviennent, dévastateurs. Du simple fait, que le jeune les appréhende, lui-même, comme, d’atroces forfaits douloureux. Les reprend, à son compte et, leur accorde, pleine foi, en tant, que tels et, d’office. Il fait bien trop, crédit, aux sentiments, d’autrui. Il se sent trop, partie prenante, aux malheurs, des autres. Cela, le rassure et, soulage, d’y prendre, sa part, en « bon samaritain ». Cela, lui permet, d’être bien perçu, par autrui.
Le fait, d’aider, son prochain, conforte, le junior, en élevant, son estime, de lui-même, si défaillante. Il ne vit pas, « par, pour, lui-même », mais, les autres. Le danger, est que cela, est toujours, « à sens unique ». Le jeune se fait exploiter, il n’obtient, aucune réciprocité ni, même, nulle, reconnaissance. Il ne s’en fait, qu’encore, un peu plus, toujours, maltraiter. La culpabilité pathologique, n’est qu’une marque, d’immaturité, qu’il est urgent, de détruire, pour enfin, devenir, adulte ! Le junior ne fait, que discréditer, à ses propres yeux, tout, ce qu’il est et, fait, même, le meilleur. Le jeune culpabilisant ne s’aime pas, ne s’accepte jamais, se rejette, délibérément.
Il est donc, incapable, de pouvoir imaginer, être valable, important, méritant. Pour fuir, la fuite, éviter, l’évitement, il n’aura plus peur, des conflits éventuels. Il veillera alors, à toujours, bien exprimer, son avis, tel, qu’il est, sincèrement. Chaque fois, que c’est le cas, le junior affirmera, son opposition ou, désaccord, sans faiblir, avec assurance. De même, si cela, s’impose, par devoir, de vérité, il critiquera, ce qui est condamnable, chez autrui, mais, non, la personne, elle-même. Autant, que nécessaire, il n’hésitera pas, à être audacieux, iconoclaste et, à violer, les conventions, canons, communément, admis, les habitudes.
Dans le respect, des personnes, de la bienséance et, de la droiture. En ces limites morales, le jeune se doit, d’être lui-même, de suivre, ses propres principes, légitimes et, fondés. Non, ceux, d’autrui, de codes extérieurs, préétablis. Surtout, en un pays, une société hexagonaux, aussi rigides, figés, malthusiens, la jeunesse se doit, de bousculer, les routines, inerties, conventions. Imposées, par et, à l’avantage, des seuls, adultes. L’on n’oblige, les juniors, à évoluer, qu’en les « bousculant », avec respect, jamais, en étant complaisant, avec eux. La considération passe, par le devoir, de vérité1106 !
Le jeune apprendra aussi, à refuser, contrarier, peiner, déplaire, offusquer, choquer, décevoir, autrui. Si cela, est « à bon escient », correspond, à ses justes opinions et, intérêts. L’essentiel, n’est pas, de complaire, aux autres, mais, de veiller, à ses plus légitimes, intérêts personnels. Qu’importe, que ceux-ci, soient contraires ou, conformes, à ceux, des autres humains. Il est fort normal, que le junior satisfasse, ses envies, plaisirs ou, désirs, en la mesure, du raisonnable. Même, au prix, de passer, parfois, pour égoïste. Chaque « bienfait », service, accordé, à autrui, le sera, sous condition expresse, immédiate, de réciprocité, mutualité, complètes et, rapides.
Le jeune exigera, quelque chose, de même nature et, valeur comparable, en échange, de ses « bons et, loyaux services ». Car, la vraie loi, de la vie, est « donnant-donnant ». Cela, permet, de prévenir, tout abus, en un monde, en lequel, le but, est de « prendre, au maximum, donner, au minimum ». Un vrai, bon, « coup de pouce », n’est jamais, unilatéral, à sens unique. Si le junior a été « offensé », il répliquera, sur-le-champ, face, à l’agresseur, jamais, indirectement et, ultérieurement, en secret, se cachant. Loyauté, honneur, noblesse et, dignité, l’imposent, sans contredit.
Le courage juvénile est la solution, pas, la dissimulation ni, la lâcheté. De même, vengeance, représailles, rétorsions, seront prohibées, car, contre-productives, amorales. Seule, l’explication directe, franche, calme et, ferme, s’impose. Toute violence, physique ou, verbale, est inutile. Disparaître, en piteuse déroute, est à éviter. « Qui, ne dit mot, consent » ! Qui, capitule, en rase campagne et, prend la fuite, donne raison, à l’ennemi, lui laisse, pleins champ libre et, victoire. Les addictions, de compensation, des frustrations, sont interdites, quelles, qu’elles soient. Elles ne résolvent rien, aggravent tout, ne sont, que les vecteurs, d’une lâche fuite, en avant, dans l’irréalité, l’irresponsabilité, du junior.
Tromper ou, quitter, « sur un coup, de tête », son ou, sa partenaire, de cœur. Arrêter, ses études, son travail professionnel, pour prétendre, s’affirmer, compenser, ses « déboires ». Tout ceci, ne sert, à rien, ne règle, davantage, rien. Les mêmes mauvaises causes généreront, toujours, les mêmes, mauvais effets. Aussi sûrement, que « la pluie mouille ou, que le soleil réchauffe ». Il s’agit, alors, d’obtenir, de très bons résultats, les meilleurs possibles, en instaurant, par le jeune, de non moins, bonnes sources, originelles1107.
D’où, l’impératif, d’adopter, des attitudes inédites, plus appropriées, meilleures. Si le junior a été maltraité, par autrui, il lui signifiera, ce qui constitue, l’agression. Il dira, quels sont, les effets négatifs, pour lui, ce qu’il éprouve, à cet égard et, de ce fait. Le jeune proposera, à l’offenseur, de s’amender, corriger, son comportement inadéquat. Puis, l’agresseur sera avisé, que s’il fait l’effort, de revenir, à de meilleurs sentiments, le junior sera tout disposé, à se montrer, avec lui, plus conciliant. Qu’à défaut, la relation s’en ressentira fort, aux dépens, de l’agresseur.
Si ce dernier, ne fait toujours pas, amende honorable, le jeune répétera, une seconde fois, toutes ses mises en garde, précédentes. Si cela, ne suffit toujours pas, à calmer, l’abuseur, il lui suffira, de prendre, fermement, congé, de lui. En lui disant, regretter fort, le blocage, qu’il persiste, à faire. Souvent, le junior culpabilisant, est bien trop, complaisant, avec tous, par peur, d’être rejeté. Or, il vaut mieux, être rejeté, en ayant défendu, ses droits, sa dignité. Que de ne pas l’être, or, au calamiteux prix exorbitant, de se faire allègrement, bafouer, jour et nuit, par un entourage, sans vergogne. Ou, des « scélérats, de sac et, de corde, aigrefins, gredins, sans foi ni, loi »1108 !
Le rejet, de soi, par autrui ou, l’inverse, n’est pas, un mal, en soi, mais, doit être accepté, tel, un aléa, normal, habituel, de la vie. Au même titre, qu’un autre. Aussi, désagréable, pour l’ego juvénile, soit-il. D’autant plus, que nul, n’est irremplaçable et, qu’ « un, de perdu, dix, de retrouvés », comme, le dit, l’adage. Qu’ « il vaut mieux, être seul, que mal, accompagné » ! Être débarrassé, de gens, qui ne veulent pas, de soi, même, au prix, d’être congédié, par eux. L’essentiel, pour le junior, est que l’ « abcès, soit crevé », alors, qu’importe, la provisoire, petite « piqûre, d’amour propre », subie.
Puisqu’elle « rend service » ! Pour s’affirmer, il convient, de s’imposer et, pour s’imposer, il s’agit, de savoir, « déranger », autrui, à bon escient, pour exister. Qu’importent, les conséquences et, réactions, l’opinion, des autres, l’image, que le jeune donne, alors, de lui, à autrui, bonne, neutre ou, encore, mauvaise. Il s’agit, du problème, des autres, pas, du sien. Si les autres, sont irrités, vindicatifs, cela, les regarde ! L’essentiel, est de s’accepter, s’aimer, se comprendre, se reconnaître, se soutenir, s’encourager, se motiver, se consoler, soi-même. Le réconfort, de soi, par les autres, n’est pas, une obligation, mais, une libre faculté, de leur part.
S’ils y souscrivent, tant mieux ! Sinon, le junior peut s’en passer. L’essentiel, est qu’il ait foi, en lui, se batte, avance, dans la vie, pour le meilleur, même, possiblement, le pire. Car, ainsi va, l’existence juvénile terrestre ! Aimer, autrui, ne consiste pas, à en être, esclave. S’aimer, soi, pas, davantage. Le jeune doit donc, apprendre, à s’affirmer, pour cela, ne plus craindre, de déplaire, aux autres. Il cassera, toutes ses habitudes journalières, fera évoluer, ses opinions habituelles, sa personnalité, il renoncera, aux relations toxiques. Bouger, soi-même, permet, de faire « changer », les autres, de les mener, à reconsidérer, leur opinion, sur soi.
Lâcher-prise, distanciation, relativisation, sont aussi, les meilleurs moyens, de mieux, s’affirmer. Le junior est responsable, de lui-même, mais, jamais, des autres ni, de tout, ici-bas. En tant, que personne, il accordera, plus d’importance, à ce qui le concerne, l’intéresse, le caractérise, qu’à ce qui a trait, aux autres. Autre loi naturelle et, légitime, de la vie. Le jeune culpabilisant est fort habité, hanté, par la peur, de l’échec, ce qui doit être annihilé. Il est toujours, persuadé, qu’il n’est pas compétent, pense donc, qu’il dupe, indûment, la terre entière, à ce sujet. En coupable honte et, sentiment d’indignité.
Tant, le junior est convaincu, n’être capable, que du pire, multiplier, erreurs, fautes, calamités. Il est terrifié, à l’idée, d’être « démasqué, pris, sur le fait ». Alors, il se surveille, en permanence, pour ne pas « fauter ». Il espionne, sans cesse, autrui, dans l’inquiétude, de la découverte, de son imaginaire forfait. Il prévoit, le pire, l’éclatement, d’un scandale, révélant, ses supposées turpitudes, la nécessité, de « battre alors, en retraite ». Cela, vient, d’une mutilante éducation passée, impitoyable. Alors, le jeune est « perfectionniste », ce qui ne règle rien et, aggrave, les choses, par fuite, en avant, accrue.
L’erreur sera acceptée, apprivoisée, car elle est humaine. Cela, n’empêche, nullement, d’être quelqu’un, de hautement, valable, de réussir, d’être heureux, d’entreprendre, de progresser, s’améliorer. L’on apprend plus, de ses erreurs et, échecs, que de ses succès et, exploits. Ni culpabilité ni, vanité, or, saine affirmation, de soi. L’exigence ne saurait être, ni trop élevée ni, trop basse, mais, juste, ce qu’elle doit être, pour progresser. Sans stagner, régresser ni, se décourager. Tout en se battant, pour « s’améliorer », le junior peut accepter, de faillir, d’être faible, fragile, en insécurité. Il sait, qu’il est imparfait, comme, tous1109.
Il le peut, car, il comprend enfin, que sa valeur, en tant, que personne unique, est indépendante, de ses résultats, capacités et, actes. Un jeune pourra être valeureux, en l’erreur et, l’échec, comme, il peut être médiocre, en la réussite. Or, il peut aussi, naturellement, être misérable, en ses ratés, sublime, en ses succès. La personne n’est jamais, le résultat et, réciproquement ! Le junior acceptera, aussi, de se confronter, à tout, ce qu’il ne maîtrise pas, ignore, à l’inconnu, l’imprévu, au risque – intelligent, calculé -. À ce qui lui échappe et, qu’il ne sait pas, accomplir.
Pour s’obliger, à se dépasser, sortir, de lui-même, le jeune, d’ordinaire, suiviste, se muera, en leader charismatique et, initiateur. Si, d’aventure, il est habituellement, « chef, de bande », il se fera, « secundus, inter pares », pas même, « primus ». Second, parmi, les siens, non, pas, premier. Les compliments, des autres, à l’égard, du junior, seront agréés, même, recherchés, par lui, non, plus, esquivés, minorés ou, rejetés. Le jeune acceptera et, aimera, son corps, sa personnalité, tels, qu’ils sont, ni plus ni, moins. « S’il ne peut avoir, ce qu’il aimerait, il aimera, ce qu’il a » ! Très sage précepte, à appliquer, par une nouvelle génération, fort consumériste, hédoniste et, matérialiste !
Cela, vaut, pour les jeunes, des deux sexes, qui souffrent, de se croire ou, d’être convaincus, par autrui, d’être, trop peu ou, pas, attirants. Comme, pour ceux, qui pensent ou, sont réputés être, très séduisants. Les premiers, souffriront, du « syndrome, de rejet », par image répulsive. Les seconds, ne supportent plus, d’être, sans cesse, harcelés, recherchés, par « syndrome, d’attractivité » excessive. Quant à celles ou, ceux, qui sont, en la « moyenne », laissent donc, plutôt, indifférent, ils regrettent souvent, de n’être, « que medium ». Que le junior (se) plaise ou, pas ou, laisse indifférent, s’accepter, s’aimer, physiquement, moralement, est indispensable, pour bien vivre.
Tout jeune, a le droit, devoir, d’être libre, indépendant, heureux, en réussite, prospérité, bonheur. À lui, de s’octroyer, ces bienfaits, auxquels, il a, inconditionnellement, droit. À lui, de les arracher, à la vie. Car rien, ne s’obtient, d’autrui, ici-bas, tout, se conquiert, de haute lutte, par soi-même, son propre combat acharné. Comme, les ex-peuples colonisés, opprimés, en savent, le prix même, du sang. Le junior culpabilisant doit cesser, de vouloir, tout maîtriser, contrôler, dominer, prévoir, gérer, car, cela, est strictement, impossible et, même, nuisible1110.
« Le mieux, est l’ennemi, du bien ». Vouloir, trop bien, faire, aboutit, toujours, à mal faire. Le jeune prétend tout contrôler, par peur, de l’imperfection, des reproches ou, des conflits. Alors, il se « plie, en quatre », pour les autres, sans avoir, leur aval, donc, leur gratitude, il finit, par « se mettre, tout le monde, à dos ». Ayant, beaucoup – trop – fait, pour les autres, le junior culpabilisant saura, désormais, inciter, les autres à, aussi, se mettre, « à son service ».
Il leur donnera, tout loisir, de faire, à sa place, sans même, avoir, à le leur demander, explicitement ni, même, à leur suggérer, implicitement. Faire bien, n’est pas, faire trop. Le jeune restreindra, ses bons offices, afin, qu’ils ne deviennent pas, intempestifs, mais, restent, raisonnables, donc, appréciés. Les autres doivent savoir, aussi, « se débrouiller, par eux-mêmes ». Le junior saura, communiquer, s’exprimer, écouter, à bon escient, ni trop ni, trop peu. Il évitera, de vouloir, systématiquement, « être, en première ligne ». Il faut aussi, savoir, « lever le pied », ne rien faire. (Ruben, 2004)1111.
« […]. Quand, on sort, les gens nous regardent, comme, si on était, de trop. Quand, tu vis cela, depuis, dix-neuf ans, tu as envie, de tout casser. […]. Ces regards, constamment, posés, sur toi, comme si, tu étais, une bête sauvage, échappée, d’un zoo ! C’est étouffant. Tu as envie, de les oublier, mais, tu ne peux pas. C’est ta vie, qui est, comme ça, tu ne la changeras jamais, c’est impossible… On ne vit pas, un conte de fées. On voudrait, bien sûr, s’en sortir, mais, on ne peut pas. C’est foutu. C’est mort. C’est fini » !
(J. Broda, sociologue français, 1944-2020, C’est un jeunocide !, essai sociologique, France, 1996)1112.
Ainsi, s’exprime, un garçon, de dix-neuf ans, d’une cité défavorisée. Terrifiants propos, d’un vieillard amer, au seuil, de la mort ? D’un adulte, qui se sait condamné, à brève échéance, par un mal incurable ? D’un enfant, qui vient, de perdre, ses deux parents, par accident ? Non, ceux, d’un jeune homme, au seuil, de l’existence, avec, ce que cela, implique, de possibles, tonicités, d’espérances. Or, déjà, vaincu, désespéré, résigné. Non, au dix-neuvième siècle, de misère ouvrière. Ni, d’un pays déshérité, du Sud. Bel et bien, de notre temps, en France ! Certes, non, des beaux quartiers, mais, pas davantage, dans la misère. Ces paroles, datant, de vingt ans, étaient très minoritaires. Aujourd’hui, elles reflètent fort, le réel abattement, majoritaire, de la jeunesse, de France, scandale, de fait, des plus jeunocidaires ! En un véritable, « bûcher, des innocents ».
– Avantager Vos Aisance, Pondération –
« Authenticité » AndroJuvéniles
Faute, d’être capable, de bien vous affirmer, jeune, vous avez tendance, à être passif ou, agressif, voire, manipulateur. Vos timidité, inhibition, introversion excessive et, peur, des autres, voire, phobie sociale, sont très courantes, chez vous, junior. Surtout, en un pays, la France, en lequel, l’affirmation, de vous, jeune, est encore, bien trop mal, considérée, trop peu, encouragée, valorisée. Notamment, à l’école, mais, plus généralement, en la société entière.
Il est plus attendu, des jeunes français, qu’ils soient « dociles, sous contrôle », plutôt, qu’ils prennent, de fort libres initiatives, de réelles responsabilités. Ils seront donc, bien plus, « conformistes, que subversifs ». Contrairement, à leurs homologues occidentaux, nord-américains, nord-européens, germaniques ou, australiens. Il s’agit, donc-là, d’un principe, tant culturel, que psychologique. Le junior affirmé est « bien outillé », pour « affronter, toute la vie ». Fort heureusement, le jeune, purement, agressif ou, manipulateur, est minoritaire. Nous traiterons, de l’inhibition, la timidité juvéniles, problématique centrale, avant, l’âge adulte. Même, si cela, peut continuer, après.
60 pour cent, des Français, se disent « timides », soit, bien plus, que la moyenne occidentale. L’éducation, le système sociétal français, relevant, plus encore, pour tous, de l’ordre autoritaire et, rigide vertical, que du système participatif, souple et, horizontal. Le junior timide a besoin, d’être conforté, rassuré, il prise donc, ce qui lui est familier et, plus sûr, à ses yeux. L’inconnu l’inquiète et, il l’évite. Il a peur, de l’évaluation, d’autrui, sur sa personne, de l’impression, qu’il donne, de lui, aux autres.
Surtout, si l’échéance, est d’importance, comme, un examen ou, une rencontre amoureuse. La difficulté n’est pas ponctuelle, conjoncturelle, mais, permanente et, structurelle. Le jeune inhibé est mal à l’aise, avec lui-même, car il l’est, avec les autres et, inversement. Ce qui occasionne, frustrations, désamour, de soi, comme, autodévaluation. La timidité s’accompagne, souvent, de signes, sensations physiques pénibles. Comme, la transpiration, les tremblements, rougissements, le cœur, qui s’emballe ou, la gorge nouée. Le junior timide s’efface, ne se défend pas ou, mal, car, il craint fort, les autres et, leurs réactions hostiles1113.
Étant convaincu, de leur déplaire, de s’attirer, leurs foudres, s’ils s’affirment ou, s’opposent. Les situations sociales, d’exposition, de soi, comme, la prise, de parole, publique, inquiètent, tout particulièrement, le jeune inhibé, timide. Ainsi, à des interrogations orales, devant, sa classe ou, en examen, il aura le trac. Le plus souvent, il ne prendra pas, spontanément, la parole, en classe, il sera peu ou, non participatif. Par peur, de se tromper, des moqueries ou, du rejet, de l’enseignant, même, quand, il est certain, d’avoir, la réponse adéquate ou, question pertinente.
Nombre, de lycéens ou, d’étudiants, le disent, en consultation. Ajoutant, regretter, leur mutisme, quand, ils constatent, qu’un-e autre, plus audacieu-x-se, a donné, la bonne réponse, avec tout le bénéfice, que cela, implique. Or, qu’eux, sont demeurés silencieux et, perdants, murés, en leur timidité. Cela, peut aller, jusqu’à, l’angoisse extrême, la crise, de panique, paralysante. Le junior, qui savait, son cours, par cœur, à la maison, perd, ses moyens, au contrôle, à l’école. Les connaissances ne parviennent plus, à être restituées, à la mémoire, par panique, défaut, de concentration. Alors, le jeune s’effondre, sûr, de son indignité1114.
Le jeune est persuadé, de ne plus rien, savoir, est convaincu, de son échec, ce qui finit, par arriver. Faute, de sang-froid, de raisonnement calme, maîtrise, de soi. De même, en amour, le junior timide, ne parvient pas, à se déclarer. Le jeune timide, n’arrive pas, à exprimer, à autrui, des sujets ou, préoccupations personnels. La timidité est donc, une véritable anxiété sociale. Le junior timide souffre, d’un manque, d’estime et, d’acceptation, de lui-même. D’un déficit, de confiance, en lui. D’un défaut, d’affirmation, de sa personne.
Alors, il est inhibé, tourmenté et, fuit, les moments, lieux, personnes, choses, événements, circonstances, situations et, actes, qui l’inquiètent et, l’indisposent. Les pensées, du jeune timide, sont alarmistes. Ses émotions sont excessives. Ses comportements ne peuvent donc, qu’être malhabiles, inappropriés ou, inefficaces. Surtout, en occurrences, qui le mettent, en position, d’insécurité, par tout, ce qu’elles impliquent, à ses yeux. Enjeux, jugements ou, mise à l’épreuve, obligation sociale collective, devoir, de performance, compétence… Le junior timide, manque, d’assurance, doute, de lui. Il craint donc, tout particulièrement, les situations, de contact direct, avec d’autres humains.
Jeunes et, adultes. Il redoute, les autres, car, il n’est pas sûr, de lui-même et, réciproquement. Être jugé et, mal, le terrifie, tant, il est persuadé, d’être très indigne. Le junior timide, intimidé, intimidable, craint, quatre grands types, d’occurrences principales. Celles, qui impliquent, une performance, des compétences, résultats, à produire, devant, un public. Examens, concours, entretiens, d’embauche, prise, de parole publique… Le jeune s’obsède, de devoir, être capable, à tout prix, sur le fond et, sur la forme. Ce qui le mène, à la crainte panique, de faillir et, d’être, alors, fort déconsidéré.
Il y a, aussi, les cas, en lesquels, le junior, est amené, à se dévoiler, en évoquant, sa personne, en libre propos. Il se croit, obligé, de briller, ce qui le stresse, car il redoute, d’être terne, banal, emprunté, médiocre, dans l’esprit, de ses pairs, notamment ou, avec les adultes. Viennent, ensuite, les circonstances, conduisant, le jeune, à devoir, s’imposer, étayer, son opinion, défendre, ses droits, intérêts, en affirmation, de soi. Dire, ses préférences, s’opposer, refuser, contredire, se démarquer, faire, des propositions. Ceci, requiert, estime, de soi, et, foi, en sa valeur, confiance, en sa personne et, ses aptitudes, audace et, assertivité juvéniles. À défaut, un effacement nocif, s’instaure.
Le junior a peur, de ne pas parvenir, à convaincre ni, faire face, aux disputes, désaccords, de perdre pied, donc, la face, de blesser, autrui, de l’être. Il craint, les moqueries, de déplaire. Puis, évoquons, les réalités même, qui obligent, le jeune, à subir, l’observation visuelle, donc, les jugements, des autres. Connus ou, inconnus, notamment, ses congénères. En toutes les circonstances, de la vie, le junior craint, d’être maladroit, ridicule, gauche, décalé, détonnant, comparativement, à autrui. Son objectif, est de passer, inaperçu, se fondre, dans la masse, le paysage.
Son idéal : « être invisible, couleur passe-muraille, raseur, de murs ». Surtout, ne pas laisser, transparaître, son trouble, tel est, le moteur, de cette démarche « ectoplasmique ». L’anxiété sociale trouve, sa pleine source, en des vecteurs biologiques, en partie, héréditaires. Psychiques, par le passé, du jeune. Sociologiques, du fait, de son éducation et, de sa culture. Des parents, eux-mêmes, timides, peuvent induire, les mêmes traits, chez leurs enfants, par mimétisme. Une éducation parentale hostile, rigide, trop exigeante, répressive, de soumission, négative, dévalorisante, d’imprécations, d’injonctions abusives, est nocive. Pour tout junior1115.
Elle mènera, le jeune, à la dissimulation, la crainte, l’isolement, le doute, de soi. Des souvenirs, de circonstances, de honte, peuvent conditionner, des réflexes, de peur, de malaise, d’évitement. Quand, des occurrences, de même type, adviennent, de nouveau. La peur, du regard, d’autrui, du jugement, de la confrontation, crée, de l’anxiété sociale. Pensées, émotions, comportements, en sont alors, empreints. Le garçon junior timide, se sent déstabilisé, par le regard, des autres, par un sentiment, d’inquisition hostile. Il a grand peur, d’être « jaugé », par certitude, du rejet, dû, à son insuffisance, supposée.
Le jeune minore alors, ses aptitudes et, qualités, majore, les risques, encourus. Il veut plaire, mais, est convaincu, qu’il en est, des plus incapables. Car il se perçoit, négativement. Il a « soif », d’être valorisé, reconnu, par incapacités, à le faire, par et, pour, lui-même. Peu sûr, de lui, le junior s’obsède, de son image, notamment, physique, craint fort, de défaillir, en présence, d’autrui. Il évite, au maximum, les situations, d’interactions sociales. Alors, il n’est nullement, en mesure, de développer, ses capacités relationnelles, sociales, faute, de pratique. Ce qui ne fait, qu’aggraver, ancrer, la timidité, du jeune, en véritable, cercle vicieux.
La timidité est maladive, quand, elle est excessive, eu égard, à la réalité, de ce qui inquiète. Si elle perdure, après, la fin, de ce qui la provoque. En cas, de dysfonctionnements intellectuels, sociaux, scolaires, professionnels. Si elle occasionne, des perturbations psychosomatiques. Le junior timide souffre, d’un sentiment, de peur, de honte. Face, à ce qui l’inquiète, le jeune timide, anxieux social, éprouve un malaise, physique et psychique, en pensées et, émotions, ainsi, que comportemental. Pour dominer, sa timidité, il établira l’inventaire, des situations, qui l’indisposent.
Chaque occurrence, d’anxiété sociale, sera évaluée, sur une échelle graduée, de zéro à dix. Zéro, implique, l’absence, d’anxiété. Entre un et, trois, l’anxiété est légère. De quatre à six, moyenne. De sept à neuf, forte. À dix, l’anxiété est extrême. De même, l’évitement social sera coté, de zéro à dix. Zéro, signifie, jamais. De un à trois, rarement. De quatre à six, parfois. De sept à neuf, souvent. Dix, toujours. Les tout premiers ennemis, du junior timide, seront ses émotions, excessives et pénibles. Pour éviter, qu’elles ne l’engloutissent, corps et âme, il s’agit, pour le jeune, de les accepter, pleinement, sans états d’âme, sans nullement, s’y opposer1116.
Ce qui serait illusoire. Le raisonnement juvénile, peut apaiser l’esprit, par l’amendement, des pensées et, la manifestation émotionnelle, plus appropriée. La bonne maîtrise émotionnelle et, d’attitude, passe, par une bonne respiration. Calme, régulière, profonde. La respiration sera ventrale, apaisée, avec diaphragme assoupli. La respiration abdominale profonde, consiste, à inspirer, par le nez, en gonflant, d’air, son ventre, tel, un ballon. Bloquer, la respiration. Expirer, par la bouche, en dégonflant lentement, son ventre. À plusieurs reprises. Plusieurs fois, par jour, une semaine.
Un diaphragme souple, permettra, un complet emplissage, des poumons, du junior. Il s’agit, pour cela, d’inspirer, brièvement, par le nez, gonflant, son ventre, puis, d’arrêter. À plusieurs reprises, jusqu’à, ce qu’il ne soit plus possible, de faire entrer, plus, d’air. Puis, le jeune expirera, calmement, peu à peu, par la bouche. À plusieurs reprises. Plusieurs fois, par jour, pendant, une semaine. La respiration, d’apaisement, tend, à inspirer, plus profondément, par le nez, en gonflant, le ventre. Arrêter. Expirer, très calmement, par la bouche. À plusieurs reprises. Cela, sera pratiqué, par le jeune, lors, des situations stressantes.
La relaxation, de Jacobson, consiste, à contracter, décontracter, ses muscles, en alternance consciente, de tensions et, détentes, pour se détendre, psychiquement. La détente, du corps, de l’esprit, sont réciproquement, liées. Le junior pourra pratiquer, ainsi, avec tous les muscles, du corps. Éviter, ce qui fait peur, maintient et, accentue, la peur. S’y confronter, par exposition et, habituation ou, acceptation, la fait diminuer, voire, disparaître. Le junior choisit, les situations, de malaise, auxquelles, il est habituellement, confronté, qu’il évite, généralement, par peur. L’exercice, d’exposition, sera mentalement, préparé, au mieux.
Le jeune le fera, peu à peu, commençant, par le plus facile, jusqu’au, plus redoutable. L’objectif, est que chaque situation, d’anxiété, finisse, par ne plus jamais, dépasser, le niveau deux, sur l’échelle, de cotation, d’anxiété sociale. D’évitement, préalablement, établie, comme, déjà, évoqué. La durée, d’exposition, sera suffisamment, longue et / ou, répétée, selon, les cas concernés, pour être pertinente. Avec une anxiété, au moins, diminuée, de moitié. Il s’agit, de s’entraîner, régulièrement. L’excellence vient, de la répétition, sans relâche, jusqu’à, atteinte, des meilleurs résultats juvéniles1117.
Il est important, de travailler, sur les pensées négatives, du jeune, afin, de les rendre, favorables et, sereines. Ce qui permettra, de positiver, ses émotions, sa conception, des choses. Donc, d’adopter, des comportements, plus appropriés, aisés, à effets, plus réussis et, satisfaisants. Ce ne sont pas, les réalités et, circonstances, qui affectent, inquiètent, mais, les interprétations et, visions tourmentées. Les situations, cognitions, affects, attitudes, actes, comme, résultats subséquents, sont liés. Ils s’enchaînent, en mode cognitif, émotionnel, comportemental.
Ce ne sont pas, les situations, qui alarment, le junior timide, mais, toutes ses pensées automatiques, négatives, d’anxiété sociale. Lesquelles, ne reflètent jamais, la réalité tangible objective, or, seulement, ses inquiètes élucubrations illogiques, subjectives, irrationnelles. Ainsi, le jeune aura, une pensée dichotomique, manichéenne, sans nuances, du « tout ou, rien ». Il généralisera, en tirant, des conclusions globales, fort hâtives, à partir, d’un fait limité. L’abstraction sélective, consiste, à ne voir, que le négatif particulier, non, le général, plus neutre ou, positif. L’inférence arbitraire, fait tirer, des conclusions hâtives, erronées, sans preuves, donc, des plus toxiques.
Le junior ira aussi, majorer, le négatif, minorer, le positif, pour tout, ce qui le concerne, a trait, à sa personne. Il s’accablera, au lieu, de s’encourager. La personnalisation, fait, que le jeune timide, anxieux social, fonde tout, sur sa personne, non, sur d’autres vecteurs. De façon, à se croire responsable, de ce qu’il juge mauvais, mais, jamais, de ce qui est bien. Pour vaincre, ses préjugés, le junior commencera, par inventorier, ses pensées automatiques pessimistes, en liens, avec les situations, d’anxiété. Puis, il déterminera, tous les processus mentaux erronés, illogiques, qui ont conduit, à ses pensées automatiques défaitistes.
Ensuite, le jeune se battra, pour annihiler, ses pensées automatiques. Il comprendra, que ses cognitions, ne sont, que des croyances, supputations partisanes, non, des faits avérés, établis. En vérifiant, si sa pensée est fondée ou, non, le junior voit, que la réalité, est plus positive, qu’il ne le croyait. Que c’est, son état d’esprit, qui est alarmiste, bien plus, que ce qui est. Il isole alors, l’opinion mauvaise et, ses distorsions. Il découvre, des cognitions alternatives, bien plus rassurantes. Des arguments, pour et, contre, sa pensée. Il opte, pour une mentalisation, plus positive, pragmatique, sûre1118.
Conforme, adéquate, quant à la situation. Le « processus », est une sorte, de « déminage » bénéfique, de relativisation et, distanciation, de ce qui n’est pas réaliste, conforme, à la réalité, plus favorable. La décentration permet, aussi, de se détacher, de soi-même, pour s’ouvrir, aux autres. Se rendre alors, compte, que chacun, a ses qualités, ses failles, y compris, soi-même. Que les autres, ne sont pas toujours, des « héros mirobolants » et, soi, un « éternel perdant ». Le jeune doit apprendre, à être moins dur, plus indulgent, avec lui-même. Les pensées sont fort négatives, du fait, de solides croyances pessimistes, ancrées, au plus profond, de soi.
Qui constituent, des conditionnements rigides, nocifs, inadaptés et, dépassés, issus, de l’enfance. En un corset, d’obligations, d’impératifs, paralysants. Ainsi, le junior se croit, perpétuellement, obligé, d’être aimé, approuvé. D’être, à la hauteur, fort. D’avoir, ce qu’il désire. De mal, juger et, critiquer ou, punir, ceux, qui lui nuisent. De se tourmenter, de ce qui lui paraît, dangereux, nuisible. De trouver, comment, améliorer, sa vie. De se sentir, impuissant, face, au mal, qui est toujours, censé, venir, de l’extérieur, occasionner, les pires difficultés juvéniles intérieures.
De croire, qu’il est plus facile, de fuir, les duretés, de la vie, que de les affronter, pour mieux, se réaliser. De s’obséder, du passé, aux dépens, du présent, de l’avenir, car, le passé a joué, un grand rôle, en son existence antérieure. Qu’il est bon, que cela, continue, maintenant. De croire, que « le meilleur », est possible, par l’inhibition et, l’attentisme, jamais, par l’action et, l’audace entreprenante. Les croyances excessives, de l’enfance, blessent, à la jeunesse.
Le junior réagit, alors, en ne les changeant, en rien, en les évitant ou, en adhérant, à des valeurs antinomiques. Comme, dans l’enfance, le jeune timide, anxieux social, continue, à s’inféoder, aux autres. Il croit toujours, devoir, être compétent et, efficace. Méfiant, à l’égard, des autres, de lui-même. Il est convaincu, que sa « nullité » est patente, aux yeux, de tous. Il se sent, en permanence, vulnérable et, menacé, car il se considère, comme, fragile, donc, en danger, en tant, que tel.
Le junior timide, sera plus affirmé, en relativisant, se distanciant, dédramatisant, tout, ce qui lui arrive. Il agira, affrontera, ce qui l’inquiète, s’y confrontera, habituera, exposera, l’acceptera, au lieu, de l’éviter. Pour diminuer, son anxiété juvénile afférente, en sérénité1119. Il adoptera, des habitudes, d’ouvertures, non, plus, de fermetures sociales. Son anxiété, plus mesurée, deviendra, son alliée, non, plus, son ennemie, de même, que le « bon stress » limité, encourage et, le « mauvais stress » violent, paralyse.
Les pensées, émotions, comportements irréalistes, seront neutralisés. Le jeune s’encouragera, trouvera confiance. Il se prendra, tel, qu’il est, sans, se juger. Il s’ouvrira, sur autrui, sera plus indulgent, avec lui-même. Il exprimera, ses cognitions, ses sentiments, adoptera, des attitudes et, actes, plus positifs, vivra ainsi, bien mieux. La jeunesse a donc, pour devoir, de s’élever, moralement ! (Macqueron, Roy, 2004)1120.
Le rapport, de l’Observatoire de la Jeunesse et des Politiques de Jeunesse, 2012, (France), s’intitule : Inégalités entre jeunes, sur fond de crise. En préface, V. Fourneyron, alors, ministre française, de la Jeunesse, s’y exprime, ainsi :
« […]. Le rapport 2012 souligne, la fragilisation accrue, de la jeunesse, le creusement, des inégalités, entre les jeunes, en ces temps, de crise, économique et, sociale. Le diagnostic […] nous place, dans l’impérieuse nécessité, d’agir, rapidement, pour lutter, contre, tous les risques, d’exclusion et, amplifier, les efforts, afin, de donner, à chacun, sa place, en notre société. […]. La mobilisation, de tous, […] est nécessaire, pour assurer, l’avenir, de la jeunesse et, garantir, la cohésion sociale. […] ».
En France, le diplôme prend, une importance croissante, démesurée. Le système éducatif amplifie, le phénomène. Cela, favorise, les jeunes privilégiés, handicape, la jeunesse modeste, plus vulnérable, à l’échec scolaire. De la façon, la plus dommageable et, discriminatoire. La crise barre l’accès, à l’emploi, des juniors. Pour ces derniers, la qualité, du travail, décroît. Alors, la paupérisation matérielle, financière juvénile, s’aggrave. De même, que la dépendance, d’habitat, si induite. La difficulté, à se loger, croît. Les jeunes sont bien plus, vulnérables, au chômage, aux emplois instables, aux dépressions conjoncturelles. Le niveau acquis, de diplôme, est, de plus en plus, déterminant. (F. Labadie, chargée, de recherche, française, direction, Injep / Ojpj, Inégalités entre jeunes, sur fond de crise, rapport sociologique, France, 2012)1121-1.
« Frappée, de plein fouet, par le ralentissement, de la croissance, consécutif, aux chocs pétroliers, des années 1970, notre jeunesse a « fait les frais », de la nouvelle donne économique. Elle a payé, le plus lourd « tribut », aux mutations profondes, du marché, du travail : chômage, précarité, petits emplois, intensification du travail et, flexibilité. […] ».
(C. Baudelot, R. Establet, sociologues français, in, D. Cohen, économiste français, coordination, Cepremap, Une jeunesse difficile, étude sociologique, France, 2007)1121-2.
– Fonder Votre AndroJeunologique Ataraxie –
« Élévation, Vision d’Avenir »
Il s’agit, de revenir aux « fondamentaux », qui avaient pu, être mis, à profit, par nos aïeux : les valeurs, du parfait « Honnête homme ». Selon, le vocable, du Grand Siècle, le XVIIe, notamment, celui, de Louis XIV, (Homme d’État, France, 1638-1715), en usage, alors. Vos convictions personnelles fortes, votre large ouverture, d’esprit et, votre enrichissement éducatif, culturel et, de valeurs, en profondeur. Votre jeunesse n’est pas tant, « crise endogène » : biologique, psychique, que « souffrance exogène » : sociale, culturelle, morale.
Comme, l’exprime, en substance, l’un, de nos meilleurs spécialistes français contemporains, des juniors, le sociologue, M. Fize. « Ce que les jeunes, ont, de meilleur, c’est, à eux, qu’ils le doivent, le reste, à la société » ! Cette génération peine, à transcender, corps bio-anatomique, esprit psycho-intellectuel, cœur socio-affectif, âme spirituelle et, morale. Elle est, en fragilité, danger, difficulté. En ses cinq champs, d’accomplissement humain, tels, que, définis, par le Pentagramme, de S. Ginger. (France, 1981). Pôles, physique-matériel, psychoaffectif-relationnel, rationnel-cognitif, social-organisationnel, spirituel-idéologique. Ils font, la vie même, du junior1122.
Les jeunes sont considérés, comme, menace et, danger, ainsi, pour la « Beat Generation », des décennies 1950-1960. Fardeau et, gêne, avec la « Bof Génération », des années 1970-1980. Victimes, de la crise, pour la « Génération Sos », des époques 1990-2000. Aujourd’hui, n’a-t-on pas, le sentiment, que nos juniors cumulent, tour à tour, cette triple appréciation, d’infamie, « tunique de Nessus », si peu flatteuse ? (Périodes 2010-2020). En hostile conjoncture, l’AndroJeunoConseil® s’attaque, au structurel « cercle vicieux », du déséquilibre, manque, de confiance, en soi, de la démotivation, des jeunes hommes.
En cette réalité, très piteuse, s’ensuivent : négativité et, pessimisme, défaitisme et, passivité. Stress, anxiété, émotivité excessive ou, à l’inverse, « alexithymie ». Mal-être, frustration et, échec. Le « cercle vertueux », de l’épanouissement, l’assurance et, la mobilisation suscite, quant à lui, le meilleur. Positivité, optimisme, foi, en soi, proactivité. Paix intérieure, sérénité, maîtrise, de soi. Plénitude, contentement, réussites. Il y a, une détresse diffuse collective, de la jeunesse, une triste situation individuelle, de jeunes tourmentés.
Prenons, conscience, agissons, vite et, bien ! La néogénération requiert, une famille, qui aime, éduque, socialise et, entretienne, matériellement. Une école, génératrice, de savoirs, d’emploi et, d’humanisme. Un travail, qui permette, l’autonomie, la maturité, l’utilité sociale, l’insertion, l’épanouissement. Des relations psychoaffectives, basées, sur la confiance, le partage, comme, l’altruisme. Des loisirs récréatifs, qui assurent, détente, mobilité physique et, convivialité. Une culture, qui élève, ouvre et, enrichisse. Des valeurs, d’accomplissement, de plénitude, don, de soi.
Une société et, des politiques publiques, réglementaires, qui encadrent, sauvegardent et, promeuvent… À défaut, le « déni, de jeunesse », est une imposture ! Les juniors aspirent fort, à des valeurs, solides et, intangibles, intemporelles et, universelles. Les leurs, sont pleinement, libertaires-contestataires, consuméristes-hédonistes, généreuses-idéalistes. Les métavaleurs font, de façon, déchirante, défaut, à notre jeunesse, toute la société. La génération nouvelle désespère, se considère, comme, « sacrifiée », par ses aînés. Les idéaux juvéniles actuels, peuvent être, aussi classiques, que modernes ou, de franche, avant-garde.
Un certain conservatisme, attentisme, face, aux peurs et, incertitudes, de la crise, prévalent. Depuis, l’effervescence, de « Mai-68 », malgré, des divergences, encore, notables, les valeurs, des juniors, celles, des adultes, se sont, quelque peu, rapprochées. La jeunesse reste, méfiante, à l’égard, de la politique, des idéologies, institutions, mais, manifeste encore, un intérêt relatif. L’on observe, un grand éloignement, de la « res publica ». La globalisation a remplacé, la vertu civique et, patriotique nationale.
Les aspirations morales, éthiques et, spirituelles, demeurent, extrêmement fortes. En un puissant déclin, des pratiques théologiques, cultuelles, croyances religieuses monothéistes. Ces jeunes n’en gardent, pas moins, une « conscience », des limites, des sinistres matérialismes, qui les assaillent, de toutes parts ! Quêtes éperdues, du bonheur, de l’absolu, du sens donné, à la vie, à l’encontre, des vacuités ataraxiques, les plus dommageables…
Tout cela, reste, pour toujours, l’ontologique empreinte, des jeunesses, du monde, comme, de tout temps. Cette génération exige, une transcendance : être heureuse, s’accomplir, se réaliser, dépasser. Elle aspire toujours, fort, à l’amour : être utile, aux autres, donner, se donner, partager, adhérer1123. Elle tend, à l’universalisme : avoir, « imprimé », un sens, à sa vie, servi, la collectivité, laissé, une « trace, en l’Histoire ». La société adulte est « verticale, rigide, fermée », celle, des jeunes, « horizontale, souple, ouverte ».
Le monde, des aînés, désire, « prendre », celui, des juniors, « offrir ». L’ascendance appelle, le « statu quo, l’immobilisme », les jeunes, le « changement ». L’AndroJeunologie® se veut, le liant, le lien transversal, pluridisciplinaire, qui prend, en compte, le jeune masculin, en son « tout », en holisme. Pour l’amener, sans encombre, sur l’autre rive : celle, de la maturité, l’autonomie, la responsabilité, du plein adultisme, accompli. En plénitude, du junior.
La méditation est l’une, des techniques juvéniles, permettant, le mieux, l’introspection. Comme, l’élévation morale, le mieux-être, physique, psychique, spirituel. Il s’agit, de se défocaliser, de ses préoccupations externes, ses analyses afférentes. Puis, de se concentrer, sur le ressenti sensoriel interne. L’équilibre, le contentement, viennent plus, de son intériorité, que du monde extérieur. Le corps, la pensée, l’esprit, l’émotion, les actes, forment un tout. Les perturbations psychiques influent, fort négativement, sur son organisme physique. La méditation, basée, sur l’être, relaxe, le corps, en focalisant, l’esprit. Il s’agit, d’abord, de bien, se détendre, se concentrer, sur le moment présent et, sa respiration, ainsi, que sur tous sensation, vécu, cognition, affect. L’objectif préalable, du junior, est la pleine maîtrise contrôlée, de soi, de son corps et, de son psychisme, comme, de son esprit.
Pour bien méditer, la posture idéale, sera assise, droite et, immobile, l’esprit apaisé. L’on peut être assis, sur une chaise. À genoux, avec ou, sans banc. Sur un coussin, les jambes croisées, en tailleur, le dos bien droit. La posture, la plus stable, est celle, du lotus. Assis, en tailleur, sur un coussin, le pied gauche est placé, sur la cuisse droite, le pied droit, sur la cuisse gauche. Avec, alternances, du croisement, des jambes, pour une pression, bien répartie. La tenue vestimentaire, de la méditation, sera ample, confortable. Le temps, de méditation, sera fixé, tôt, le matin, en forme, après, le sommeil. Elle aura, ainsi, un net retentissement positif, sur l’ensemble, de la journée. L’on peut aussi, méditer, avant, de dormir, ce qui prépare, au sommeil, augure, de sa meilleure qualité. À défaut, le jeune peut méditer, en rentrant, de cours, aux pauses, de repas, café, lors, de tout moment libre et, inoccupé1124.
La méditation, du junior, peut aussi, se faire, à genoux, debout, allongé, en marchant. Selon, chacun, le temps, de méditation, pourra être, de cinq minutes, dix, à quinze ou, vingt minutes, à une heure. L’idéal, conseillé, est de quarante minutes, à une heure, chaque jour. La régularité, est de mise. Avant, de méditer, la prise, de repas, trop copieux, d’excitants, de stupéfiants, est nocive. Il s’agit, de méditer, dans la nature, en espace isolé, calme, serein, toujours, le même, réservé, à la méditation. Un endroit dédié, permet, d’éviter, les distractions, de concentrer, les bonnes vibrations, du jeune, d’associer, une mémoire paisible.
La lumière sera tamisée, l’air frais, avec des éléments naturels végétaux, minéraux, pour leur énergie particulière. Quelques objets, de type spirituel, peuvent être disposés, aussi. La méditation exige, de l’autodiscipline : efforts, persévérance, ténacité, comme, capacité, de répétitivité. Cela, exige, engagement et, régularité, retenue. Cela, passe, par de l’automotivation, de la résolution, l’autoengagement, la non-renonciation, de la progressivité dynamique. La régularité implique, de la concentration totale, de la pleine et, complète conscience réceptive, juvéniles.
La rigueur impose, une parfaite hygiène, autodiscipline, de vie, avant, tout exercice spirituel, du jeune. Une coupure, d’avec, les pensées, émotions, comportements, du quotidien, lors, de la méditation. Une « puissance énergétique » spirituelle, de « pleine conscience », après. La bonne méditation, ni insuffisante ni, excessive, requiert, énergie, constance et, « efforts, sans peine ». Plus, la méditation, se dynamise, plus, elle produit, du dynamisme, de l’énergie. La constance oblige, à la pleine concentration résolue, déterminée, sans faille. L’effort, bien dosé, n’est ni, trop appuyé ni, trop relâché.
Le bon méditant juvénile, est sérieux, joyeux, attentif et, détendu, spontané, réservé, impliqué, impartial. La méditation est un véritable, lâcher-prise, un renoncement, à ne pas confondre, avec la renonciation. Il s’agit, d’avoir prise, sur sa vision, des choses, non, sur les occurrences existentielles, elles-mêmes : espace, temps, personnes, choses ou, situations et, événements. Il s’agit, en toute sérénité, d’accepter, ce qu’il n’est pas, en son pouvoir, de modifier. La méditation détache, le junior, de lui-même, d’autrui, de sa vie. Pour pleinement, accepter, le monde, « tel, qu’il est », non, « tel, qu’il voudrait, qu’il soit »1125.
Car, « tout est, pour le mieux, dans le meilleur, des univers, possibles ». Pour cela, il convient, de cesser, tout jugement, de valeur, juvénile. D’accepter, tout, en l’état, prosaïquement, objectivement. Il ne s’agit, ni d’adhérer, ni de rejeter, ni d’être, dans le doute ou, l’indifférence. Or, en une certaine, paisible, « neutralité bienveillante ». Ce qui permet, d’éviter, les délétères déchirements, intérieurs. Lâcher-prise, signifie, abandon, de toute velléité, de maîtrise absolue, sans limites, sur sa propre existence. Il s’agit, d’accepter, de ne plus, contrôler, son esprit, en fort détente, du junior, au moment présent, intérieurement, extérieurement.
Cela, conduit, tout droit, à la pleine ontologie ou, art absolu, d’être et, d’être soi. L’aboutissement en est, l’abandon, de soi. L’énergie et, la force, qui mènent, son existence juvénile, dépassent, de loin, son ego. Elles sont, bien plus, sûres, légitimes ou, de nette valeur, encore. Le jeune est, bien moins, le maître, que les valeurs morales, spirituelles supérieures, qui le transcendent. En cela, réside, la vraie félicité. La méditation combat, l’attachement, l’aversion, l’indifférence. De même, que la peur, le désir, l’envie, le plaisir, l’avidité, l’impatience. Elle favorise, la « paix intérieure »1126.
Que le junior n’oublie pas, de bien, respirer, par le nez, avec régularité, emplissant, largement, d’oxygène, à la fois, la cage thoracique et, l’abdomen. Nombre, de jeunes, ferment, leur cœur, du fait, d’un certain nombre, de facteurs, très négatifs. La peur, le ressentiment, la tristesse persistante, l’envie, la jalousie et, la rivalité, la souffrance, l’emprise et, l’attachement ou, l’ego excessif. Ainsi, le cœur, perpétuellement, ouvert, sera l’apanage, exclusif, des juniors, les plus spirituels. L’amour permet, de concentrer, énergie, dynamisme, sérénité et, plénitude, vitalité, santé, sentiment, d’appartenance et, liens ou, spiritualité.
En outre, pour être, en mesure, de bien aimer, autrui, il convient fort, de commencer, par s’aimer, soi-même. De fait, l’on ne peut « donner », aux autres, ce que l’on n’a pas, déjà, « en soi ». Pour y parvenir, quatre grandes émotions, s’imposent : bonté, compassion, joie, de la bonne fortune, d’autrui, sérénité. L’amour est également, favorisé, par la gratitude, le pardon. À l’égard, d’autrui, comme, de soi-même. En sage méditation, le jeune peut dépasser, ses émotions négatives, perturbatrices. Comme, la colère, la peur, l’anxiété, la tristesse, la désolation, la dépression. En sérénité.
La spiritualité est une morale, qui dépasse tout junior, toute existence, toute chose, toute intelligence. Sacralité fondamentale, qui fait sens, finalité, comme, vérité, à toute existence juvénile. Cette transcendance suprême, se trouve, en chaque jeune, en une « aura mystique, supérieure ». L’essentiel capital, de tout parcours juvénile, est la prise, de conscience, la culture, de ce mystère axiologique. Cette plénitude morale constitue, l’une, des plus grandes aspirations, des jeunes vivants, consciente ou, non. L’approfondissement spirituel peut alors, s’accomplir, en six étapes successives.
La croyance, la prise de conscience, le contact, la pénétration, la fusion, la consubstantialité spirituels. La souffrance morale provient, essentiellement, de la coupure, entre le junior et, sa nature, intrinsèquement, profondément, spirituelle. La méditation est l’un, des moyens, qui permet, de réparer, cette cassure. Afin, que l’être juvénile, recouvre, sa pleine unité, de communion, entre l’être, l’esprit, les cognitions, émotions, actes. L’ego est l’un, des principaux ferments, qui séparent, le jeune, de sa part spirituelle. Sinon, en la réalité, du moins, dans la pensée, l’émotion, l’attitude, le mode, de fonctionnement, des juniors terrestres.
Plus, l’être juvénile se libère, de son excès, de conscience, de lui-même, plus, il se rapproche, des forces, de l’esprit. Il devient, ainsi, lui-même, pleine, entité spirituelle, en ses « cimes et, ses abysses » moraux. En réalité, la méditation permet, de bonifier, sa vie, se comprendre et, s’accepter, connaître, sa vraie nature, éveiller, autrui, révéler, sa grandeur propre. La méditation apaise, l’esprit, cela, retentit, de façon, positive, sur la santé physique. Tant, le corps, l’esprit, sont indissolublement, liés. La méditation favorise, le bonheur, stimule, le système immunitaire.
Elle abaisse, la tension artérielle, en réduisant, le stress, relaxant, le corps, calmant, l’esprit. Elle aide, les jeunes malades, à guérir. Elle réduit même, le taux, de cholestérol, en combattant, les stress. La méditation donne, globalement, une meilleure santé. Elle permet, une vie, plus longue, un bien meilleur, vieillissement. Elle contribue même, à la prévention, guérison, des maladies cardiaques, car, la plénitude, l’amour, protègent fort, l’organe cardiaque. Quand, le stress, l’anxiété, la peur, l’émotivité excessive, nuisent, très fortement, à l’intégrité, du cœur. La méditation, du junior, autorise, à, positivement, cultiver, empathie, compassion, congruence1127.
Elle lutte aussi, contre, les affections, de peau, d’origine nerveuse, liées, au stress, du jeune, tel, le psoriasis. La méditation est un régulateur bénéfique, positif, dopant, de l’humeur. Puis, celle, de « pleine conscience », soulage fort, avec la relaxation, la lutte, contre, les stress, la douleur physique et, morale chronique. Toutes ces contributions bénéfiques, de la méditation, à la bonne santé, physique, psychique, sociale juvénile, ont été mises, en évidence. Ce, lors, de protocoles scientifiques rigoureux, élaborés, par maints experts médicaux, reconnus. Après, examen approfondi, d’effets physiologiques, très positifs, avérés, au sein, de l’organisme, du junior. Induits, chez des malades, adeptes réguliers, de ces pratiques méditatives. Voyant, ainsi, du fait, notamment, de ces dernières, leur santé s’améliorer, de façon, patente. (Bodian, 2007)1128.
Concluons, par la notion liminaire, évoquée, plus haut, celle, d’ « Honnête homme ». Telle, que conçue, entre, la fin, de la Renaissance et, le début, des Lumières. Au dix-septième siècle français. Cela, implique, une solide, vaste culture générale juvénile, des aptitudes sociales, une humilité, éducation, un respect, de soi, d’autrui. Une tempérance, maîtrise, de soi, de ses sentiments. L’humanisme s’érige, en un véritable, devoir moral strict, des consciences. Nuances, équilibre, incarnent, cet idéal inédit, vraie, vertu existentielle. Illustrée, par l’aspiration forte, la quête, de l’équilibre, entre raison et, passion, corps et, esprit, matérialisme prosaïque et, pensée, canons, de l’Antiquité. Préceptes, de la foi, du Christ. Modérations, en tout et, pour tout, détestation, des abus, en sont, le dessein sacré, l’indépassable horizon, de tout junior, valeureux et droit.
« Goût sûr » et, savoir holistique, forment, le « parangon », de ce nouvel ordre, si fort recherché, de l’universalisme, des « honorables savoirs ». Une métavaleur, une passion, si humaines, qui présideront, aux destinées, du monde occidental, entier, trois siècles et, demi, durant. Jusqu’au, bouleversement civilisationnel, introduit, par la décennie 1960. Or, voie, qui rejoint, encore, tout l’idéal spirituel, qui devrait être, celui, de « l’Honnête homme », du troisième millénaire1129 ! Nonobstant, que voyons-nous, aujourd’hui ? Une jeunesse coupée, de toute transmission humaniste. Qui assiste, impuissante, à la déliquescence morale, d’un temps, fort éloigné, des éthiques ambitions, de ses aïeux ! Génération abandonnée. Pourtant :
« Je suis venu vous chercher. Vous êtes venus. Je vous remercie » !
(Derniers mots, du pape, Jean-Paul II, mourant, Saint-Siège, 1920-2005, pour la jeunesse du monde, Vatican, 2005).
« Une intériorisation, de la compétition scolaire, survenant, de plus en plus, jeune. Une pression sociale, familiale, au placement, en formation ou, en emploi. Une vulnérabilité forte, en cas, d’échecs scolaires. Des trajectoires étudiantes massives, continues. Un âge médian, aux études supérieures, le plus précoce, d’Europe. Des mouvements sociaux, de jeunesse, principalement, centrés, sur les questions, d’orientation, d’insertion. […]. Traits, d’une société française, […] méritocratique et, corporatiste ».
À sainte trilogie : études, hiérarchie sociale, statut. (C. van de Velde, sociologue française contemporaine, coordination, Jeunes d’aujourd’hui, France de demain, étude sociologique, France, 2010)1130.
Au-delà, l’ensemble, de la nouvelle génération, en tant, que telle, souffre fort, des pressions excessives, abusives, de ses aînés adultes. En vertu, de la « loi, du plus fort ».
« Je ne cesse, de chercher, un moyen, de devenir, comme, j’aimerais, tant, être et, comme, je pourrais être, si… personne d’autre, ne vivait, sur terre ».
(Derniers mots, du Journal, d’A. Frank, 1929-1945, adolescente allemande, morte, déportée, autobiographie, 1942-1944, Pays-Bas, 1947).
Nous proposons, aussi, pour conclure, « trois cents mesures jeunologiques », de « progrès » et, d’avancées, pour la jeunesse, de France. Moins favorisée, que certaines, de ses homologues, occidentales septentrionales, elle en a, de fait, « le plus grand, besoin ». Trente-trois, grands champs, d’intervention, pour les jeunes, ont, à cet effet, été retenus. La santé. Les soins sanitaires. La résilience. La psychologie particulière. La réalisation, de soi. La famille. La psychoaffectivité. Les liens, aux pairs. La socialisation. Les relations, entre les générations. La médiatisation. L’image, de marque. Les qualités juvéniles, propres.
La reconnaissance, du jeune, par l’adulte. L’économie. La globalisation mondiale. L’Histoire. La philosophie, de vie. La revalorisation sociétale, au profit, de la néogénération. La formation. L’emploi. Les loisirs. La culture. Les valeurs, idéaux. Les engagements. Le-s droit-s. Les politiques publiques, de la Jeunesse. Les moyens, de la collectivité, pour les jeunes. Le traitement national, afférent, aux juniors. L’(Andro)Jeunologie®. La prise en compte, de la nouvelle génération. La plénitude. Les conditions de vie juvéniles. Ces propositions seront suivies, de quelques autres1131.
Je connais beaucoup de jeunes […] sans crise de jeunesse
D’autres qui la nient. Moi, je le reconnais : j’ai 20/20 en la matière !
C’est un âge passionnant, où l’on découvre une foule de choses
Guillaume, seize ans–1132
VOS TROIS CENTS MESURES
D'(ANDRO)JEUNOLOGIE®
Oser, Votre Pari Junior !
La jeunesse est la « quintessence de l’être »
Génération à part entière, non entièrement à part
« L’air lui est plus léger et vif » qu’aux aînés !
Yves Remy
Dr / PhD
Conseil androJeunologue®
Consultant Éducation-Jeunesse
France, XXIe s.
I
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Optimisation de Votre Santé ]
1- Vous, jeune, serez mieux sensibilisé, à votre santé psychosomatique préventive
> Par campagnes, d’Information spécifique ciblée, votre meilleure éducation sanitaire scolaire, selon les besoins, de votre jeunesse.
2- Vous, junior, serez incité, à consulter plus régulièrement, pour aller mieux
> Pour cela, les praticiens adoJeunologues spécialisés iront, à la rencontre, de votre nouvelle génération, pour dialoguer, librement, sur le fond.
3- Vous, jeune, serez plus « mis en garde », sur les pratiques à risque, pour votre santé
> Il sera insisté, sur les nuisances majeures irréversibles, sur vos bien-être, plastique, séduction juvéniles.
4- L’attrait, des toxiques addictifs / tymonaleptiques, chez vous, jeune, sera contré
> L’accent sera plus mis, sur les graves dangers immédiats, encourus, par votre jeunesse, pour préserver, votre santé, votre beauté.
5- Les campagnes préventives de vos risques sexuels juvéniles seront mieux ciblées
> Coût / accessibilité, des préservatifs, contraceptifs, seront « revus », pour votre nouvelle génération, notamment, en milieu étudiant.
6- Les campagnes préventives de sécurité routière, pour vous, jeune, seront bien plus incisives
> La répression sera accrue, concernera, l’alcool, les drogues, la vitesse, vos excès, risques juvéniles.
7- Aucun de vous, junior, ne sera plus laissé, à sa solitude ni, à sa souffrance morale
> Cela passera, par la considération, l’écoute, la prise en charge, le suivi immédiats, adaptés, individualisés, de votre jeunesse.
8- De meilleures campagnes préventives, de vos suicide, souffrances psychiques, de jeune, prévaudront
> Vos structures spécialisées, de « Suicidologie juvénile », se multiplieront.
9- L’adulte sera plus sensibilisé à l’impératif, de mieux lutter, contre vos déréliction, dépression juvéniles
> En vous redonnant plus, espoir, affection, vous, jeune, en déshérence.
II
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Adaptation de Vos Soins ]
10- Vos autonomie, confidentialité sanitaires, de mineur scolarisé, seront accrues
> Votre majorité médicale sera fixée, à quinze ans. Avec un régime personnel, de protection sociale Maladie, pour votre jeunesse mineure.
11- Un but préventif de sensibilisation, à votre santé publique, de jeune, sera fixé
> Elle sera déclarée « Grande Cause nationale ». Un état-bilan en sera régulièrement, établi, amélioré, au profit, de votre nouvelle génération.
12- Vous, jeune, accèderez mieux, à des centres spécifiques de soins, d’écoute, d’information anonymes, gratuits
> Le nombre, de médecins, d’infirmières, de psychologues scolaires, sera fort accru, pour votre public juvénile scolarisé.
13- Vos unités de soins spécialisées de jeune, notamment, à l’hôpital, seront développées
> Une vraie politique générale de Santé, de votre Jeunesse, sera créée, dotée, de moyens suffisants.
14- Des praticiens adoJeunologues seront formés, les soignants seront « sensibilisés », à votre santé de junior
> Une « écoute médicale / de médiation scolaire » sera instituée, généralisée, pour votre nouvelle génération.
15- Vos Unités hospitalières, pour Adolescent / Jeune seront réaménagées
> Il sera mieux tenu compte, de vos besoins, attentes, particularismes juvéniles. Votre hospitalisation néogénérationnelle sera « adoucie ».
16- Le cursus universitaire des études de médecine inclura, pour vous, l’adoJeunologie
> Elle deviendra, une spécialité médicale à part entière, pour votre jeunesse, avec praticiens généralistes / spécialistes.
17- La formation continue jeunologique sera obligatoire, pour tout praticien adologue
> Elle sera mieux contrôlée, au profit, de votre nouvelle génération. Tout médecin, en exercice, pourra choisir de se spécialiser, en adologie.
18- AdoJeunologue ou non, le médecin basera mieux sa relation, à vous, jeune, sur la confiance, la considération
> Avec votre appréhension « intégrative et holiste » adoJuvénile : corps et, esprit.
III
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Résilience Accomplie ]
19- Une « grande Campagne nationale de Prévention » sensibilisera l’opinion, vous, jeune, au phénomène de vos maltraitances juvéniles
> Votre jeunesse victime concernée sera mieux aidée, accompagnée et, protégée.
20- Votre protection morale de jeune sera accrue
> Par création, d’une Instance nationale de Veille, pour la Sauvegarde de votre nouvelle génération, chargée, d’alerter le public, d’agir efficacement.
21- Vous, jeune inadapté, serez mieux traité
> Par plus de vigilance, pour que votre personne juvénile soit plus acceptée. Pour lutter, contre les préjugés, réussir, comme vous êtes, contre la « norme unique ».
22- Une structure spéciale étudiera vos populations juvéniles, en difficulté socioéconomique
> Pour agir, sur les méfaits des marasmes, de votre jeunesse, en s’attaquant, aux causalités, par prévention.
23- Les pouvoirs publics lutteront efficacement, contre vos marginalisations, errances, fugues accrues, de junior
> Offrant, de bien meilleures prises en charge, de votre nouvelle génération, sous forme d’insertion idoine.
24- Vous, jeune en marasme socioéconomique, serez mieux aidé
> Un nouveau système, de suivi individualisé, de votre personne juvénile, vous permettra, de mieux « vous en sortir », par accompagnement adapté.
25- Vos « écarts » juvéniles seront plus limités
> En proposant, fermement, à votre jeunesse, un idéal de vie, plus motivant, sapant, les fondements, de votre mal : la « désertion des adultes ».
26- Le climat de « déchéance morale, de société et, de votre juvénilité », sera inversé
> Les adultes retrouvant, leur plein devoir d’exemplarité, à l’égard, de votre nouvelle génération, par conviction, action.
27- Vous, junior, aurez moins le loisir, de la déviance
> Confronté, à un adulte droit, crédible, qui s’occupe, de votre personne juvénile, vous assume, sans faille, vous dit la loi, prévient, amende, sanctionne, résolument.
IV
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Sérénité Psychologique ]
28- À partir, de quinze ans, vous, jeune, commencez, à posséder le « raisonnement adulte ». Or, votre irresponsabilité sociale se prolonge
> Confier, à votre jeunesse, plus de prérogatives authentiques, vous fera mieux grandir.
29- De même, votre jugement moral, de junior, commence, à être plus abouti, or, il est brouillé, par l’inconséquence de l’adulte
> L’aîné se doit, de mieux éclairer, votre nouvelle génération, en matière éthique et, axiologique.
30- Votre jeunesse pâtit, d’une société française pessimiste
> Notre devoir est d’aider, votre personne juvénile, à développer votre pensée positive, constructive, non négative ni, défaitiste, pour votre salut.
31- Les émotions néfastes assaillent votre néogénération, par un contexte culturel défavorable
> Votre jeunesse sera incitée, à privilégier vos affects bénéfiques, par « relativisation-distanciation ».
32- Vous, junior, n’avez pas appris à appréhender sereinement les aléas, de votre vie
> De meilleurs apprentissages sociaux aideront, votre nouvelle génération, à pratiquer une « intelligence émotionnelle » plus favorable.
33- Vous, jeune, succombez à l’émotivité pulsionnelle, irrationnelle, médiatique, de l’Internet
> Il s’agit d’inculquer, à votre personne juvénile, la maîtrise, de vous-même, par votre réflexion, votre raisonnement, votre analyse décentrés.
34- En un monde surmédiatisé, votre jeunesse se saisit de la parole, ce qui est fort positif, mais, non, sans excès
> Le verbe est art majeur de communication, à mieux enseigner, à votre nouvelle génération.
35- Vous, junior, ne savez pas assez diriger, à bon escient, vos actes
> Pour agir mieux, quand, comme il convient, votre jeunesse accepte de vaincre, ses inerties, paresse, peurs, doutes, procrastinations.
36- Quand il s’agit, de vous abstenir, de parler, d’agir ou, pas, vous, jeune, êtes souvent démuni
> Votre personne juvénile se doit de savoir, quand, comment, vous taire ou, pas, agir ou, non. Vos silence, retrait, importent fort.
V
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Complète Réalisation de Soi ]
37- Nombre d’entre-vous, junior, malmenez votre corps, par souffrance psychique, négligence ou, êtes malade
> La bonne santé somatique, de votre jeunesse, passe par vos ataraxie morale, prévention, soin.
38- Vos difficultés / perturbations psychiques ne sont pas absentes, à la jeunesse
> Un meilleur accueil, traitement, plus de reconnaissance, de votre nouvelle génération, seraient, pour vous, gages, de plus de paix.
39- Votre plénitude morale, spirituelle, de jeune, souffre, d’un monde de vacuité axiologique
> Empreindre, votre personne juvénile, de cette dimension humaine, majeure, est alors, œuvre de « salut public ».
40- En temps de superficialité, vitesse, d’immédiateté, d‘artifice matérialiste, votre intellect, de junior, peine, à se nourrir
> Vos études étant lacunaires, il s’agit, de susciter le meilleur savoir, de votre jeunesse, par tout mode.
41- Vos relations, entre vous, jeune & adultes ou, pairs, ne sont pas toujours harmonieuses
> Dialogue, écoute, compréhension, altruisme, tolérance, ouverture, générosité, s’imposent, notamment, au profit, de votre nouvelle génération !
42- En famille désunie, carences affectives, nombre d’entre-vous, junior, ne savez aimer ni, l’être
> Vos liens sont à restaurer, vos manques, à combler, pour plus, de votre maturité psychoaffective juvénile.
43- En époque fort troublée, l’essentiel socioéconomique va, à l’adulte, vous, jeune, êtes paupérisé
> Une meilleure répartition, redistribution intergénérationnelles, des richesses, s’impose, au bénéfice, de votre jeunesse.
44- Vous, junior français, souffrez, du grand manque de considération, à votre égard, de votre société
> Un important effort national, collectif, d’acceptation, d’ouverture, à l’égard, de votre nouvelle génération, y pallierait.
45- Les turbulences culturelles, de civilisation, de notre époque, n’épargnent pas, votre jeunesse
> Il s’agit, d’inciter, votre personne juvénile, à privilégier la dimension équanime, de votre vie, la seule, « faisant sens ».
VI
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Totale Protection Familiale ]
46- De façon plus oblative, vos parents privilégieront votre intérêt de jeune, avant, le leur
> Ils veilleront, à ne plus conditionner, votre jeunesse, sur le mode captatif, par une visée, à eux, mais, pour vous.
47- L’affectivité, de vos parents, jeune, sera plus constante, tempérée
> Elle permettra, à votre nouvelle génération, de mieux construire, votre personnalité, votre avenir, en maturité, vers votre adultisme, en sécurité morale.
48- Vos parents vous « aimeront, accepteront » mieux, vous, jeune, tel que vous êtes
> Comprenant, vos besoins, votre personne. Des Pôles d’Échange Pluriel, Parents / Junior / Experts, existeront.
49- De nouvelles dynamiques Écoles de Parents, pour vous, jeune, émergeront
> Elles apprendront, à ceux, le souhaitant, l’art équilibré de transmettre, à votre jeunesse et, d’éviter, les excès psychoéducatifs nocifs.
50- Ni tyrans ni, absents, vos parents assumeront mieux, leur rôle éducatif de guides, pour vous, junior
> Ils s’attacheront à dire, à votre nouvelle génération, la loi, en redonnant, à votre père, les pleins attributs, de son autorité.
51- Vous, jeune, saurez plus devenir, un adulte accompli, nanti, d’un vrai « équipement éducatif »
> Vos parents veilleront, à transmettre, à votre personne juvénile, sans se limiter, au basique rudiment, inopérant.
52- Selon, leurs moyens financiers, vos parents garantiront votre entretien matériel décent, de jeune
> Sans carence ni, excès, inculquant, à votre jeunesse, le sens de l’effort persévérant, la valeur de l’argent.
53- Votre famille assumera son « devoir de socialisation », pour vous, junior, de façon équilibrée
> Permettant, à votre nouvelle génération, de vous intégrer, en suscitant, les débats, qui s’imposent, régulant, vos conflits aigus.
54- Votre insertion sociale de jeune sera facilitée
> Par l’intériorisation, de vos valeurs familiales, de base, codification, de principes intangibles. Plus fondateurs, de l’intégration, de votre personne juvénile, future adulte.
VII
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Harmonie Psychoaffective ]
55- Tout adulte, parent, enseignant, responsable de jeunes, pourra se former, à la pratique, de vos questions de jeunesse
> En Séminaires pédagogiques, d’Apprentissage jeunologique spécialisé, au profit, de votre nouvelle génération.
56- Vous, jeune / vos proches, pourrez mieux résoudre vos difficultés relationnelles
> En Unités cognitives, émotionnelles, comportementales jeunologiques interactives, de dialogue, pour votre jeunesse.
57- Vous, junior, serez mieux en mesure, de réussir votre « individuation-séparation » des adultes, pour grandir
> Parents, vous, jeune, serez « conseillés », par des jeunologues spécialisés compétents.
58- Au collège, lycée, votre éducation adosexuelle sera revue
> Remplacée, par un enseignement cognitivo-émotivo-comportemental, de biophysiologie / psychoaffectivité, de votre jeunesse, d’optique plus vaste.
59- À l’école, vous, jeune, serez mieux sensibilisé, au respect des différences, entre les sexes
> À l’appréhension, des comportements, orientations sexuels, de votre nouvelle génération, pour plus de tolérance, à autrui.
60- Vous, élève de lycée, serez familiarisé, avec des « éléments de psychodéveloppement »
> Pour comprendre votre éthologie juvénile, humaine, en toutes ses dimensions, significations.
61- Vous, jeune, serez éduqué, à la maîtrise de vous-même / de vos pulsions
> En une philosophie de respect, de vous-même, d’autrui, de relativité, de votre « ego ». Pour mieux prévenir les dérapages, de votre jeunesse.
62- Vous, jeune, serez hautement responsabilisé, aux implications & conséquences, de votre vie affectivosexuelle
> Par votre éducation / la vertu d’exemplarité adulte. Sans complaisances ni failles, à l’égard, de votre nouvelle génération.
63- L’adulte sera plus rappelé, à son devoir pédagogique « antiperversions », à votre égard, mineur / jeune majeur
> La protection légale, contre vos violences, déviances juvéniles sera accrue, sans concessions aucunes.
VIII
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Bonification du Lien aux Pairs ]
64- Vos amitiés juvéniles sont fortes, mais, aussi, fragiles, votre meilleur-e ami-e, votre groupe de pairs, comptent !
> Votre jeunesse sera sensibilisée, au plein respect d’autrui et, de toutes dissemblances.
65- À votre jeunesse, l’amitié est souvent, homotypée, vous, junior, aimez, à vous retrouver, avec ceux, de votre âge, sexe
> Votre ouverture, aux autres générations, à l’autre sexe, sera encouragée, concernant, votre personne juvénile, pour grandir.
66- L’amitié, garçon / fille, existe, chez vous, jeune, mais, est trop souvent parasitée, par le sexe ou, l’amour
> Votre nouvelle génération sera incitée, à la cultiver, de façon, plus désintéressée, surtout, vous, garçon.
67- Votre jeunesse est l’ « âge de l’amour », or, entre garçon et, fille, il est bien trop souvent, captatif, non, oblatif
> L’équité amoureuse, sera plus érigée, pour vous, préadulte, en idéal, par l’exemplarité adulte irréprochable.
68- Votre jeunesse Lgbt, lesbienne, gay, bi, transgenre, souffre trop, non, de sa « différence », or, du rejet, des autres jeunes
> Votre acceptation anti-homophobe, sans réserve, de tous, par tous, s’impose, toujours, à votre nouvelle génération !
69- En amour, vous, junior, peinez, à vous engager, rester fidèle, ensemble, à l’image adulte & sociétale
> Des consultations gratuites, pour votre couple juvénile, pourraient utilement, vous y aider.
70- Votre sexualité de jeune est celle, des rapports de force, inégalités, entre sexes, « vous, garçon impulsif, dominez, vous, fille soumise, cédez »
> Modération, respect de l’autre, affirmation de vous, seront inculqués, à votre jeunesse.
71- Sida, Ist / Mst, sont en recrudescence, chez vous, junior, aussi
> Des Campagnes accrues, d’Information, de Prévention, Dépistage, Soins, les structures afférentes, s’imposent, à destination, de votre nouvelle génération.
72- Moyens contraceptifs, préservatifs, ne sont pas assez, utilisés, par vous, jeune, grossesses non désirées, avortements, sont trop nombreux
> Y sensibiliser, votre personne juvénile, de façon incitative, est une priorité, des plus urgentes.
IX
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Socialisation Intégrative ]
73- Vos insertion / reconnaissance, de junior, sont mauvaises, en France
> Un organisme national assurera la promotion, de votre jeunesse. Notamment, par discriminations positives de quotas.
74- Nombre de familles sont « éclatées », monoparentales : mère seule & vous, jeune, votre socialisation familiale juvénile est défaillante
> Des Structures adaptées Parents / Junior seraient, pour vous, un soutien, fort utile.
75- Votre socialisation relationnelle, de jeune, laisse à désirer, faute d’apprentissages idoines
> Les adultes éducateurs, parents, surtout, veilleront, à mieux inculquer, à votre nouvelle génération, les règles afférentes.
76- Votre socialisation juvénile récréative, culturelle, des valeurs, est lacunaire
> Votre école, vos institutions concernées, auront plus, à cœur, de mieux permettre, votre plénitude juvénile, en l’espèce.
77- Votre intégration scolaire, professionnelle, de jeunesse, est défectueuse
> Les autorités vous assureront, junior, de votre pays, une formation, un diplôme, un débouché d’emploi.
78- Votre bonne socialisation de jeune passe, aussi, par un logement autonome, décent
> Plus de campus, résidences, pour vous, étudiant, personne juvénile active, seront construits, en France.
79- Vous, jeune, des classes populaires et, moyennes avez, de plus en plus, de mal, à subsister
> Un effort national de reconnaissance, des atouts, de votre jeunesse, s’impose, sans discrimination sociale.
80- Vous, jeunesse maltraitée ou, handicapée peinez, à vous insérer
> Vos structures spécialisées, aides spécifiques, seront accrues, mieux adaptées, aux forts besoins réels, de votre nouvelle génération.
81- Vous, jeunesse, en marasme socioéconomique ou, déviante, êtes désocialisée
> Votre prise en charge nationale « curative », surtout, préventive, plus dynamique et, efficace, prévaudra, pour votre personne juvénile.
X
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Richesse Intergénérationnelle ]
82- Il sera lutté, contre la formation, de vos ghettos néogénérationnels
> Des Rencontres-Débats thématiques régulières, Adultes / Jeune, noueront, un dialogue fructueux, entre-vous, pour aller de l’avant.
83- Vous, junior, adultes, serez sensibilisés, à l’importance, de vos « échanges de fond »
> Par votre prise de conscience, des intérêts, enjeux mutuels, communs. L’outil, en sera, pour votre jeunesse, la prospective.
84- Une Campagne Nationale Préventive, contre les Dangers de votre Solitude de Jeune & des Aînés, sera menée
> Elle incitera, à des contacts, entre tous les âges, contre tous les ostracismes, notamment, à l’encontre, de votre nouvelle génération.
85- Vos rapports intergénérationnels seront décrispés, pour vous, junior
> Par plus, de solidarités réciproques concrètes, projets motivants, mobilisant, votre savoir-faire juvénile, par plus, de mises en commun.
86- Les blocages, fossés psychiques, de fait, avec vous, jeune, seront plus atténués
> Par décloisonnement, création de liens, Pôles socioculturels, de Rapprochement InterGénérations, au profit, de votre jeunesse.
87- Il sera mieux lutté, contre la mise à l’écart sociale, de votre jeunesse
> Des Pépinières de jeunes Talents, seront développées, pour permettre, à votre nouvelle génération, de « faire vos preuves », en situation.
88- Pour plus de compréhensions mutuelles, vous, jeune, serez incité, à mieux vous ouvrir, sur d’autres réalités générationnelles
> Par propositions à votre personne juvénile, d’options socioéducatives et, plurirelationnelles attractives.
89- Contre vos disparités sociologiques iniques, persistantes, entre juniors, les pouvoirs publics aideront, votre « Égalité des Chances »
> Par plus, de « discriminations positives », correctives et, de justice sociale, en faveur, de votre jeunesse.
90- Un effort important, de solidarité nationale, pour vous, jeune précaire, vous octroiera, une vraie « Seconde Chance »
> Sous forme, de « Bourses financières d’Apprentissage » et, d’Insertion professionnels, de votre nouvelle génération.
XI
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Médiatisation Positive ]
91- Les médias seront incités, à faire plus d’effort, pour s’intéresser, aux événements vous valorisant, vous, junior
> Par une connaissance, présentation, plus positives, de vos vraies réalités juvéniles.
92- Les productions médiatique prendront plus, en compte, la globalité de vos états juvéniles
> Une Instance consultative spéciale, auprès, de l’Arcom, composée, surtout, de vous, junior, y veillera.
93- Les médias seront invités, à ne pas vous utiliser, vous, jeune, comme « faire-valoir commercial »
> Plutôt, à respecter votre jeunesse, en vous donnant la parole dignement, aussi souvent, que possible.
94- Le parti pris médiatique, de la dramatisation, la violence, l’outrance anti-juvéniles, sera modéré, pour vous
> En un esprit responsable particulier, de protection / d’enrichissement, de votre esprit néogénérationnel.
95- En une optique pédagogique adaptée, pour vous, des « médias juniors » seront créés & menés, à mieux traiter l’information
> En donnant sens, aux faits les plus significatifs / pertinents, pour votre personne juvénile.
96- Vous, jeune, serez libéré, de l’accoutumance nocive, à l’excès de malsanités, perversions
> Le discours médiatique sera plus positivement, recadré, par une déontologie plus stricte, au plus grand bénéfice, de votre jeunesse.
97- Les médias seront encouragés, à produire plus d’émissions régulières : avec, pour, sur vous, préadulte
> Des chaînes, programmes spécialisés, pourront, mieux & plus se développer, pour votre nouvelle génération.
98- La qualité, la moralité, l’intérêt, des productions médiatiques : avec, pour, sur vous, jeune, seront améliorés, assurés
> Par une Instance déontologique, de Surveillance « spéciale » audiovisuelle et, Internet, en lien direct, avec votre personne juvénile.
99- Les médias, du Service public, seront fort sensibilisés, à l’intérêt, de parfaire, d’accroître, la présentation, de vos réalités de junior
> Par incitations concrètes motivantes, des autorités de tutelle, concernées, au profit, de votre jeunesse.
XII
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Favorable Image de Marque ]
100- Il sera lutté, pour vous, contre les préjugés jeunophobes, de votre société adulte
> Des Médiateurs de la jeunesse seront chargés, d’une responsabilité pédagogique, préventive & corrective, en faveur, de votre nouvelle génération.
101- Un Pacte social de Confiance sera conclu, entre la société / votre jeunesse
> Sous forme, de Contrat de Plan Annualisé, pour votre meilleur accueil sociologique, vous, junior.
102- Les pouvoirs publics, la société, veilleront, au respect de plus, d’équité sociale, entre vous, jeunes, contre privilèges / discriminations
> Par des mesures, les plus adéquates et, décisives, incitatives et, dissuasives, pour votre personne juvénile.
103- Les adultes se réapproprieront leurs responsabilités d’aînés, à votre égard, junior
> En renouant, avec leur devoir d’exemplarité morale, sans « moralisme », par l’action de terrain, avec et, pour votre jeunesse.
104- Le rapprochement, vous, jeune / adultes, s’établira, sur un mode commun d’entente : plus réaliste, pour vous, cadet, plus humaniste, pour vos aînés
> Le catalyseur en sera, pour votre nouvelle génération, le meilleur dialogue intergénérationnel possible.
105- Votre sentiment d’abandonnisme de junior, sera combattu
> Les adultes retrouveront leur mission fondamentale d’éducateurs, de « passeurs de vie », par transmissions d’idéaux, à votre personne juvénile.
106- La société reconnaîtra mieux vos valeurs / qualités particulières de jeune
> Par la confiance, l’écoute, la concertation, car, elle a autant besoin, de votre jeunesse, que réciproquement.
107- Pour que vous, junior, « alliez mieux », vos aptitudes seront plus valorisées
> Il sera redonné, à votre nouvelle génération, espoir, foi en vous, en mettant en exergue, vos capacité, utilité, apport propres.
108- Votre juvénilité sera introduite, dans le jeu social, afin, de vous re/motiver, vous re/dynamiser
> En permettant, à votre personne juvénile, de réaliser / vous réaliser, par tous les moyens d’apprentissages adaptés.
XIII
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Appui sur Vos Qualités Propres ]
109- Vos rapports, adulte-jeune, seront plus pragmatiques
> En accordant, à votre jeunesse, plus de confiance, de responsabilité particulière, faisant, mieux droit, à vos qualités spécifiques.
110- De nouvelles aides, publiques / privées, vous seront apportées, jeune, voulant développer, tout projet crédible, à solides atouts, pour vous, votre société
> Des commissions spécialisées, ad hoc, y veilleront, très soigneusement, en faveur, de votre nouvelle génération.
111- Vous, jeune, serez aidé, à développer, des structures d’activités variées, de type micro & coentrepreneur
> Pour tous domaines qui s’y prêtent, conviennent, particulièrement, à votre personne juvénile.
112- Adultes & vous, junior, apprendrez plus, à vivre ensemble, en partenaires, à intérêts égaux, mutuellement respectables
> Par des Passerelles transversales, de Coopération à Échanges catégoriels bilatéraux, au bénéfice, de votre jeunesse.
113- Votre renouvellement néogénérationnel sera mieux organisé
> Par plus d’investissements adultes, dans les transmissions, transferts de compétences, livrant, à votre nouvelle génération, un champ propre.
114- Votre insertion socioéconomique de junior, sera plus favorisée
> Des instances, mécanismes de régulations spécifiques, défendront vos intérêts juvéniles, pour une meilleure justice redistributive.
115- Une plus juste conception, de votre lien adulte-jeune, prévaudra
> Elle reposera, sur le respect, de la liberté, de votre jeunesse, à choisir votre voie personnelle, sans conditionnement préétabli.
116- Le déni de droit, d’équité, par votre discrimination d’âge, anti-jeune, sera combattu
> Une loi anti-jeunophobie le pénalisera, de façon volontariste, comme pour le racisme, le sexisme…
117- En votre intérêt, de jeune, les facteurs de blocages : routines, immobilismes, conservatismes, seront limités
> En laissant, plus de place sociale, à votre nouvelle génération, par des moyens « résolutifs ».
XIV
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Inconditionnelle Reconnaissance ]
118- Vous, junior, serez « reconnu », pour vous-même, pris en compte, au présent, quel que soit votre âge
> Par le critère unique, de votre seule valeur personnelle juvénile, non, de votre nombre d’années, vécu.
119- Votre parole, de jeune, sera mieux créditée positivement, en fonction, de son seul poids propre
> Par l’écoute, le dialogue, sans le préjugé d’immaturité supposée ni, discrimination, aux dépens, de votre jeunesse.
120- Votre exclusion sociale prolongée, de junior, votre impréparation coupable, seront contrées
> Des transitions d’intégration plus rapides, seront ménagées, pour votre nouvelle génération, avec des temps d’adaptation.
121- Vos apprentissages juvéniles seront améliorés
> Vous, jeune, pourrez transmettre, à plus jeune que vous, aux adultes, vos propres savoir-faire spécifiques, utiles, en maints domaines.
122- Votre condition de jeune scolarisé sera mieux reconnue / revalorisée
> Avec, votre véritable Statut d’Élève / Étudiant, vos prérogatives accrues, sous forme, d’un « Crédit Droits-Libertés ».
123- Votre jeunesse aura un plus grand rôle & plus de place, en votre société
> Votre statut social juvénile sera élargi. Des structures collégiales représentatives y veilleront, en fixeront les moyens.
124- L’élargissement de votre assise sociologique néogénérationnelle sera assuré
> Par la révision, de la finalité de vos études / de la viabilité, du projet professionnel, de votre jeunesse, par des évaluations plus « fines ».
125- Votre autonomie juvénile sera facilitée / accélérée
> Par de meilleures Aides, au Logement, à la fondation, de votre foyer. Avec subventions adaptées, allocations, dès votre premier enfant, pour votre nouvelle génération.
126- Votre « mise hors jeu socioprofessionnelle » de jeune sera palliée
> Par des formations, des stages, des débouchés, de qualifications bien plus performants, rapides, opérationnels, pour votre personne juvénile.
XV
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Préservation Économique ]
127- Vous, junior, serez plus incité, à occuper de petits emplois, compatibles avec vos études
> Particuliers, entreprises, seront encouragés, à plus faire confiance, à votre jeunesse, comme cela est plus observé, à l’étranger.
128- Votre logement étudiant / jeune actif sera prioritaire
> Par effort accru de constructions, réhabilitations, en secteur public & privé, mesures incitatives, pour plus louer, à votre nouvelle génération.
129- Dans le contexte de votre cursus lycéen, votre formation de junior, à la gestion économique, financière, au consumérisme domestiques, sera dispensée
> Pour sensibiliser, de façon opérationnelle et, pratique, votre personne juvénile, en la matière.
130- Votre jeunesse active ayant, un taux de chômage double, de celui des aînés, il s’agit de doper, votre insertion
> Des Antennes spécifiques Emploi Jeunes, 16-25, seront créées, pour vous, à cet effet.
131- Comme en Scandinavie, votre autonomie propre, de junior étudiant sera assurée, hors famille, par une aide publique, selon vos ressources, à vous
> Par une Allocation étudiante universelle, de subsistance personnelle autosuffisante. Pour votre jeunesse, en études supérieures.
132- En France, votre chômage de jeune est mal indemnisé, votre paupérisation juvénile croît
> Votre indemnisation sera meilleure, ses conditions assouplies, par Indemnité spéciale Junior.
133- Votre jeunesse débute, a besoin de plus d’argent, pour vous lancer, que les adultes installés
> Votre compte bancaire sera donc, mieux rémunéré, par un Livret Jeunes, plus « avantageux ».
134- Vous, jeune, êtes trop voué, au contrat d’emploi précaire
> Pour allonger, votre durée de travail, vous sera réservé, entre Cdd / Cdi, un Cdg Junior, Contrat à Durée Garantie, d’au moins un an.
135- Votre jeunesse a besoin de mieux progresser en entreprise, gagner plus
> Votre Formation professionnelle Continue Juniors améliorera vos compétences, promotions juvéniles, au travail.
XVI
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Globalisation de Progrès ]
136- Il s’agit, de favoriser vos voyages & séjours d’échanges, de jeune français, à l’étranger / de junior étranger, en France
> Une Agence nationale InterJeunesses, de mobilités transcontinentales, en assurera l’essor.
137- Il convient, de développer vos études & emploi de junior de France, à l’étranger / de jeune étranger, en France
> Une nouvelle Mission nationale Job-Études Transfrontières Juniors y veillera.
138- L’identité française de votre nouvelle génération sera « refondée »
> Un Volontariat national Jeunes vous permettra, de coopérer, un an, à des projets, de promotion et, de valorisation, de la France.
139- Votre origine européenne de jeune, du continent, sera accrue
> Une Mission InterEuropéenne Juniors vous fera participer, à des chantiers d’intérêt européen majeur, en tout pays, de l’Union.
140- Votre appartenance occidentale juvénile sera confortée
> Un Programme InterContinental Jeunesse, Amérique du Nord / Australie / Europe vous mènera, à collaborer, à des échanges socioculturels.
141- Votre essence émergente de junior de pays, en croissance, sera encouragée
> Un Partenariat développemental Jeunes, Afrique / Amérique latine / Asie / Océanie vous associera, à la prospérité.
142- La dimension mondiale, planétaire, de votre jeunesse, sera prioritaire
> Une Union internationale Juniors Pour la Paix, l’Entraide entre Jeunes, du Globe, sera l’outil, de vos menées humanistes universelles.
143- Les organismes internationaux, Nations Unies comprises, vous feront plus de place, Junior du monde
> Un Conseil international Jeunes veillera, à vos intérêts juvéniles mondiaux.
144- Il importe, que votre jeunesse, des cinq continents, se fasse entendre, participe, aux affaires du monde
> Un Directoire mondial Consultatif des Jeunes, pourrait enrichir, la décision adulte.
XVII
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Pleine Part en l’Histoire ]
145- En l’Histoire, vous, junior, êtes souvent, perçu comme menace, danger, contre l’ordre établi
> L’image réelle, de votre nouvelle génération, doit être celle d’une chance, de « régénération sociétale ». En renouveau, des plus positifs, pour tous.
146- Vous, jeune, êtes aussi considéré, comme charge, fardeau excessifs, pour la collectivité
> Votre personne juvénile est, au contraire, la génération montante, qui assurera la relève, le financement, des anciens.
147- Votre jeunesse est appréhendée, telle victime, du marasme mondial actuel
> Vous, jeune, êtes, surtout, potentiel, force vive, qui devez pouvoir jouer, votre rôle, de fort catalyseur dynamique.
148- Votre néogénération est en apprentissages, se prépare, à l’avenir, notamment, par l’étude
> Vous, junior, devez pouvoir le faire, en de bien meilleurs conditions, débouchés.
149- Vous, jeune, aimez plutôt, les plaisirs de la vie, êtes, généralement, hédoniste
> Cela, n’est pas un but constructif, en soi, or, doit s’inscrire, pour votre jeunesse, en un dessein, plus large, de sens de votre vie.
150- Vous, junior, vous plaisez, à jouir, des biens de ce monde, en matérialisme consumériste
> Cela, est humain, mais, vos avoir, faire, paraître, ne sauraient tuer votre être, qui seul, transcende, l’essentiel, de votre nouvelle génération.
151- Vous, jeune, êtes idéaliste, libertaire, participant, à des révoltes, révolutions, en l’Histoire
> Que l’adulte bâtisse, un monde, plus juste, votre personne juvénile aura moins motif, à rébellion !
152- Votre juvénilité est pragmatique, réaliste. L’Histoire vous aura appris, à vous défier, des promesses illusoires
> Il convient, de permettre, à votre jeunesse, de s’accomplir, pour que vous puissiez croire, en votre avenir.
153- Vous, junior, êtes pétri de déconvenues, résignations, mais, aussi, d’espérances
> Plutôt, que décourager votre nouvelle génération, vous nuire, sachons mieux, vous motiver à vous battre, pour vous-même, autrui.
XVIII
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Optimiste Philosophie Existentielle ]
154- Vous, jeune, n’avez pas appris, à conserver l’empire de vous-même, quoi qu’il arrive
> Éduquons, votre personne juvénile, à faire prévaloir, votre raison-réflexion, sur votre passion-pulsion, pour dominer votre vie, non, l’inverse.
155- Par essence, votre personnalité juvénile est encore incertaine
> Un solide modèle adulte plus sûr, de référence, devrait, en exemplarité, mimétisme, aider votre jeunesse, à mieux grandir.
156- Vous, junior, avez souvent du mal, à devenir autonome, par incapacité, à vous autogérer, sans aide
> Pour inverser, la donne, l’adulte apprendra, à votre nouvelle génération, à ne « compter », que sur vos atouts propres.
157- Vous, jeune, manquez souvent, de rigueur, d’audace, car vous ne savez comment, affronter la vie
> Il revient, à vos aînés, à fournir, à votre personne juvénile, les « clés de décodage », pour que vous puissiez agir, non, subir.
158- La notion de votre responsabilité, vous fait trop défaut, junior, car celle, de vos droits & devoir, tout autant
> Il s’agit, donc, de rappeler, à votre jeunesse, la vertu, de votre effort, votre ténacité, les effets, de vos actes.
159- Prévoir, organiser, planifier, gérer, autant d’atouts existentiels, bien trop peu juvéniles, pour vous
> Contre l’improvisation, le hasard, il s’agit, que votre nouvelle génération conduise sa vie, non, se laisse mener.
160- Défaitisme, découragement, fatalisme, tels sont vos « dangers anti-junior »
> Face, à vos obstacles, il convient, de faire face, résister, vous acharner, à vaincre, en votre combativité juvénile déterminée.
161- La complexité du monde, de la vie, les doutes, vous empêchent, jeune, d’oser trancher
> Aider, votre jeunesse, à clarifier, vos enjeux, en cause, vous permettra, de pouvoir mieux choisir, décider, agir.
162- Vous, junior, ne savez pas, assez, différencier, hiérarchiser, le capital, l’urgent, le prioritaire, l’important, par ordre décroissant
> Rappelons, à votre nouvelle génération, que les vraies valeurs, qui font sens, ne sont pas égales.
XIX
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Revalorisation Sociétale ]
163- Vous, jeune, n’avez nul statut social, vous n’êtes, que scolarisé, consommateur, jouisseur, vous souffrez, de votre minoration
> Donnons, à votre personne juvénile, un vrai rôle sociétal, pour que vous soyez « utile, heureux, accompli, inséré ».
164- Vous, junior de France, n’êtes « reconnu », que de façon conditionnelle, incertaine, ultérieure, à l’adultisme
> Il s’agit, d’apprécier votre jeunesse, sur le mode inconditionnel, assuré, immédiat, en ouverture.
165- Votre jeunesse est déconsidérée, « défigurée », par une image négative, en débit, du pire
> Créditons, votre nouvelle génération, du meilleur, estimons-vous, favorablement, vous valorisant, pour que vous grandissiez.
166- La néogénération d’Ancien Régime était indifférenciée, intégrée. La vôtre est différenciée, non insérée
> L’on peut, tout à la fois, « reconnaître » votre personne juvénile, en vos différences, tout en vous assimilant !
167- Votre jeunesse inactive se prolonge, de plus en plus. En « interminable moratoire », avant l’emploi, l’autonomie
> Il faut raccourcir, ce délai excessif, en accélérant, pour vous, junior, votre processus de réalisation de vous, de type adulte.
168- Votre juvénilité n’est pas appréhendée, à sa juste valeur, par préjugés, ignorances
> La création des Sciences de la Jeunesse y palliera, par la recherche, l’enseignement idoines.
169- De façon naturelle, vous, junior, aurez toujours, été une force de contestation positive, des blocages adultes
> Il s’agit, d’un droit, de votre nouvelle génération, à préserver, permettre, en l’intérêt, de toute la société.
170- Vous, jeune, êtes, aussi, une force de propositions d’avancées, de progrès, pour tous
> Écoutons, votre personne juvénile, prenons-vous, en compte, appliquons-en, votre meilleur, au profit, de votre nation.
171- Vous, junior, êtes une dynamique force d’action, de levier d’évolution, pour votre pays, entier
> Accompagnons, votre mouvement de vie, positif, plutôt que de rejeter, votre jeunesse, d’office, par préjugés, principe, peur.
XX
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Formation d’Excellence ]
172- L’école repensera ses objectifs, moyens, programmes, pour vous, jeune
> Assurant mieux, la maîtrise, de savoirs plus utiles. La psychopédagogie du maître sera améliorée, en continu, au profit de votre nouvelle génération scolarisée.
173- L’école privilégiera votre formation, de junior, sur le classement
> Elle encouragera mieux l’interactivité, la participation, de votre public juvénile. Les après-midi, du secondaire, seront réservés, à l’extrascolaire.
174- L’école équilibrera vos formations de base & travaux pratiques, dirigés. Elle s’adaptera plus à votre public jeune
> Soutien scolaire, structures, contre l’échec, seront développés, par tutorat, pour votre jeunesse.
175- L’école assumera plus les exigences de votre emploi juvénile
> La formation professionnelle ira, à l’entreprise. Les formations continues en alternance, seront développées, généralisées, pour votre nouvelle génération.
176- L’école assurera plus votre mobilité sociale de junior
> Culture & visées professionnelles, en seront, la base. Avec plus, d’information, de conseils, structures, sur vos filières, débouchés, pour votre personne juvénile.
177- Les valeurs scolaires & socioéconomiques seront « mises en cohérence », pour intégrer votre jeunesse
> Par une université plus professionnalisée, sélective, plus d’ouverture, d’échanges, au profit, de votre jeunesse.
178- L’école accroîtra sa mission humaniste & éducative, pour vous, junior
> Elle adaptera plus ses moyens pédagogiques, matériels, maîtrisera mieux, ses flux. Pour plus, de performances. Pour le plus grand bénéfice, de votre nouvelle génération, en études.
179- L’école « se recentrera » sur vous, élève, en vous rendant autonome, épanoui, éclairé
> Cursus, diplômes, seront simplifiés. Vous, junior, pourrez, en tirer profit, par affinement, de votre projet propre.
180- L’école tiendra mieux compte de vos attentes, besoins, intérêts, spécificités, de jeune
> Elle aidera, votre public juvénile, à maîtriser, votre avenir, par votre meilleure orientation, personnalisée.
XXI
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Insertion Professionnelle ]
181- L’accès à votre emploi juvénile sera facilité
> Par formation professionnalisée, garantissant un premier débouché, à vous, junior. La loi en fixera des quotas annuels minimums, obligatoires.
182- Vos goûts, aptitudes, de jeune, seront plus pris en compte, encouragés, décelés
> Par une meilleure orientation individualisée, qui suivra adéquatement votre jeunesse, du secondaire, à l’emploi.
183- Une adéquation entre vos études, emploi, goûts, compétences, de junior, sera plus assurée
> Par Modules d’Insertion, d’Échanges, École-Entreprise, plus d’évaluation, des capacités, de votre nouvelle génération.
184- Le travail vous épanouira plus, vous, jeune, vous intégrant mieux
> Par apprentissage professionnel, des stages, plus performants. Le Tutorat-Parrainage, d’Entreprise individuel, « sur mesure », pour votre personne juvénile.
185- Votre entrée juvénile en emploi sera plus favorisée
> Par l’établissement préalable, d’un vrai projet professionnel cohérent. Le travail de proximité, d’utilité sociale, sera valorisé, accru, pour votre jeunesse.
186- Culture d’entreprise / votre mentalité de jeune, se rapprocheront plus
> Par effort d’adaptation réciproque. Les dispositifs d’insertion en l’emploi, seront revus, pour répondre aux attentes, de votre nouvelle génération.
187- Vous, junior, aurez plus de perspectives de carrière, pour « faire vos preuves »
> Un Pôle Emploi Jeunes, ses agences locales spécialisées regrouperont, tous les dispositifs concernés.
188- Mobilité sociale, votre accueil de junior en l’emploi, seront accrus
> L’entreprise, qui recrute votre personne juvénile, sans expérience, peu qualifiée, sera totalement, exonérée de charges sociales, pour trois ans.
189- Votre chômage de jeune sera limité
> Par une Activité rémunérée, à Formation individualisée, adaptée, pointue. Pour votre jeunesse, en recherche avérée d’emploi, depuis plus d’un an.
XXII
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Vos Loisirs de Ressourcement ]
190- Votre loisir juvénile sera revalorisé, enrichi
> Une « Carte Jeune », plus attractive, sera créée, ainsi, que des structures sportives, de loisirs de qualité, proximité, ouvertes, à vous tous.
191- Votre détente de junior sera privilégiée, sur la pulsion violente
> Votre nouvelle génération disposera, d’espaces urbains récréatifs. Librement organisés, par vous, facilement accessibles, selon vos attentes.
192- Les villes vous consulteront, jeune, sur vos besoins récréatifs
> Par des moyens de concertation, pour améliorer, mieux adapter les horaires, infrastructures, activités idoines, à vos attentes juvéniles.
193- Vous, jeune, pratiquerez plus des sports, liés, à vos aspirations
> Les équipements scolaires seront accessibles, à votre jeunesse, en dehors, des heures d’enseignement, pour entraînement, compétition.
194- Vos cours d’éducation physique de junior seront revus
> Ils inculqueront, à votre nouvelle génération, les techniques de la performance, les notions, de discipline personnelle, d’éthique comportementale sportive.
195- Il sera mieux veillé sur vous, jeune, engagé, en la compétition sportive
> Pour que votre personne juvénile ne soit pas, excessivement, exploitée, à de seuls profits extérieurs, aux dépens, de votre épanouissement.
196- L’infrastructure scolaire sera revue, pour intégrer votre loisir juvénile
> Votre jeunesse sera aidée, par des conseils idoines, pour mieux l’organiser, le réussir, en interaction, avec autrui.
197- Votre système de loisirs jeunes, sa philosophie même, seront repensés
> Pour leur redonner sens, se refonder, sur l’idéal de la rencontre, du partage collectif, le plus authentique, pour votre nouvelle génération.
198- La société a un rôle récréatif, pour votre jeunesse
> La civilisation des loisirs, l’esprit ludique, ne peuvent reposer que sur le respect de l’autre, votre plein accomplissement moral juvénile, de soi.
XXIII
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre / Vos Culture-s de Qualité ]
199- Vous, junior, appréhenderez mieux les « arcanes complexes » du monde, qui est le vôtre
> En étant plus, « instruit », à l’école, des principales cultures / civilisations, passées, étrangères, ce qui enrichit, votre jeunesse.
200- L’école se chargera mieux de vous enseigner, jeune, l’histoire des religions / du fait spirituel
> En une visée humaniste de plénitude, d’élévation morale, pour votre nouvelle génération, avec des maîtres compétents.
201- Le goût de lire / d’écrire sera cultivé, chez vous, junior
> Par généralisation, d’Ateliers de Lecture / d’Écriture, au sein de l’institution scolaire. Théâtre, votre expression orale juvénile, s’y ajouteront.
202- Votre éducation néogénérationnelle à la culture passera par une « revalorisation » de vos enseignements artistiques, sorties culturelles scolaires
> Ils deviendront obligatoires, plus développés, élargis, en collège & lycée, pour votre jeunesse.
203- Votre enseignement secondaire de jeune livrera vos après-midi, aux activités périscolaires de qualité, notamment, sportives / culturelles
> En une acculturation d’excellence et, d’exigence, pour votre nouvelle génération scolarisée.
204- Un nouveau partenariat sera conclu, pour vous, élève, entre l’Éducation & la Culture
> Pour que des intervenants du monde, des Arts, puissent vous insuffler, à vous, junior, leur passion artistique.
205- Un grand effort de votre savoir juvénile sera accompli
> En sensibilisant, les médias, au besoin, de produire, des programmes culturels ambitieux, accessibles, à vous, jeune, pour vous ouvrir, l’esprit.
206- Des conditions attrayantes vous feront connaître, junior, des genres culturels enrichissants, que vous ignorez, souvent
> Théâtre, musées, expositions, concerts classiques, cinéma d’art et d’essai, d’auteur… Pour votre plus grand enrichissement juvénile.
207- À l’école ou en établissements spécialisés, vous, jeune, serez culturellement encouragé
> Par pratique, de genres d’avant-garde / classiques, intéressants, de façon plus accessible, pour votre jeunesse.
XXIV
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Développement de Valeurs ]
208- Tous vos établissements d’enseignement, publics & privés, de junior, seront jumelés, avec un « pair » étranger
> En échanges réguliers, afin, que votre nouvelle génération soit plus « ouverte, sur le monde ».
209- Une tribune d’expression de votre jeunesse tendra, à promouvoir votre approche originale
> Sous forme de Commissions mixtes consultatives, avec votre personne juvénile et, les décideurs publics territoriaux.
210- Les méthodes, mentalités, qui empêchent trop votre jeunesse, d’avancer, changeront, bien plus
> Par rotation, plus rapide, des générations, aux affaires publiques, privées, au profit, de votre jeunesse.
211- Les adultes vous proposeront, junior, un authentique projet de société, que vous amenderez
> Votre nouvelle génération opérant, plus vite, vos propres choix, à bon escient, de façon participative.
212- Les adultes, au pouvoir, redéfiniront, les universaux qu’ils entendent mettre en œuvre, pour votre jeunesse
> En charte cohérente, pour mieux, faire progresser votre personne juvénile, vous éclairer, sur l’avenir.
213- Les adultes se garderont mieux des maladresses, erreurs psychomentales, à votre égard, junior
> Se défaisant, des pensées, émotions, attitudes inappropriées, pour aider, votre jeunesse, à grandir.
214- Pour compenser votre faiblesse numérique, votre jeunesse se constituera en « groupes de pression » structurés, de types catégoriels
> Pour mieux peser, vous-même, sur votre destinée / société, en tant, que nouvelle génération.
215- Vous, junior, contrerez mieux les exigences contraignantes, excessives, s’imposant, à vous
> Votre personne juvénile fera bloc, pour les discuter, faire, des contre-propositions plus conformes, à votre intérêt.
216- Vous, jeune, passerez outre, aux barrages arbitraires, interdits excessifs, qui vous sont illégitimement, opposés
> En appliquant, chaque fois, que possible, les propres conceptions spécifiques, de votre jeunesse.
XXV
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Facilitation d’Engagements ]
217- Vous, junior, aurez mieux les moyens matériels, moraux, de votre volonté d’engagement, de vocation
> Votre nouvelle génération bénéficiant, de plus de facilités, bourses, pour servir, la cause lui tenant, à cœur.
218- Vous, jeune, serez plus associé, aux débats éthiques, car votre apport est des plus utiles
> Votre personne juvénile participera, aux Commissions d’Échanges, d’Analyses, des « Problèmes du Monde ».
219- Vous, junior, garçon ou, fille, serez incité à plus & mieux, profiter du Service civique
> Votre jeunesse aidant, vos semblables ou, partant, notamment, en mission humanitaire, pour des pays émergents.
220- Un nouvel Enseignement civique, éthique, vous sensibilisera, préadulte, au sens, que vous entendez donner, à votre projet de vie citoyen
> Par interventions, des plus porteuses, pour votre nouvelle génération, de « Grands Témoins d’Espérance ».
221- Vous, junior, bénéficierez de plus de transmissions, par vos famille, école, collectivité
> En apprentissages moraux, propres à éclairer, épanouir, grandir, votre personne juvénile, vers l’adultisme accompli.
222- L’adulte veillera attentivement, à vous enraciner, jeune
> Reliant, votre jeunesse, à vos origines, celles, de votre famille, votre culture, votre nation, pour que vous bâtissiez mieux votre destin, en sage, sans vacuité.
223- Vous, jeune, serez en pleine mesure de savoir « qui vous êtes », pour vous forger une identité, qui vous construise
> L’adulte fournira à votre nouvelle génération les éléments fondamentaux propres, à être « forte / libre ».
224- Les adultes vous rediront, junior, toutes les valeurs qui fondent votre civilisation
> Faisant, que la continuité intergénérationnelle soit, pour votre personne juvénile non oblitérée. Or, transcendée, en Projet commun.
225- Fanatisme, sectarisme, nihilisme, captativité anti-jeune seront combattus, pour vous
> Votre jeunesse sera éclairée, sur la nocivité de croyances, d’endoctrinements, conditionnant, l’esprit, sans, jamais, vous libérer.
XXVI
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Garantie de Droit-s ]
226- La Convention internationale des Droits de l’Enfant / l’Adolescent sera mieux appliquée, pour vous
> La France se dotera de sa propre Charte nationale des Droits du Junior, adaptée, à votre évolution.
227- Vos atteintes à mineur seront mieux sanctionnées
> Il sera institué, des Centres plus adaptés, pour Jeunes déviants, une détention provisoire, « réaménagée », pour vous, mineur.
228- Votre majorité civile sera fixée, à seize ans, votre droit d’association du mineur sera amélioré
> Sera créée, la Responsabilité parentale, avec sanctions accrues, des défaillances éducatives graves, aux dépens, de votre nouvelle génération mineure.
229- Votre inscription d’office, sur toutes les listes électorales, dès seize ans, sera systématisée
> Votre élection, personne juvénile, aux conseils territoriaux, sera encouragée, généralisée, dès cet âge.
230- Dans les instances publiques ou, privées, de la défense des intérêts catégoriels, votre place de junior sera accrue
> Par instauration, de quotas & de structures particuliers, réservés, à votre seule jeunesse.
231- Vos attributions de délégué de classe seront élargies
> De même, que vos droits, vos libertés, de jeune lycéen, qui seront également, appliqués, de façon générale, à vous, collégien.
232- Pour tout mandat électif, national & territorial, l’éligibilité sera fixée, pour vous, jeune, à seize ans
> Les conseils municipaux, de juniors, seront généralisés, les conseils de jeunesse, directement, élus.
233- Vous, jeune, serez représenté, consulté, au sein, des grands organismes paritaires, politiques, sociaux ou, de mission
> Syndicats, associations, partis, groupements d’intérêts… La loi y veillera, au profit, de votre nouvelle génération.
234- Votre influence, de junior scolarisé, sera accrue, au sein, des instances représentatives éducatives
> Votre poids d’élève y sera, très réévalué. Vous serez plus systématiquement, consulté.
XXVII
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Vos Politiques Publiques Ciblées ]
235- Seront élaborées une politique européenne de votre Éducation, ainsi, que de votre Jeunesse
> Outre, une politique nationale générale, de l’ensemble, de vos questions juvéniles, en France.
236- Des passerelles seront établies, entre toutes les administrations, de vos affaires de Jeunesse
> Par une collaboration, de tous les services concernés. En Commissions mixtes paritaires, au bénéfice, de votre nouvelle génération.
237- Des rencontres régulières, entre vos représentants de jeunesse, ceux, des pouvoirs publics, seront organisées
> En concertations, entre toutes les parties prenantes, pour l’action concrète, idoine, à destination, de votre jeunesse.
238- Une volonté, un signal politiques forts, des pouvoirs publics, se manifesteront, pour vous, junior
> Par déclaration, de votre personne juvénile / de l’Éducation, « Grande Cause nationale ».
239- Des « États Généraux de votre Jeunesse » se réuniront
> En un objectif, d’établir, un État-Bilan, de vos Populations juvéniles, un Calendrier national d’Action Jeunes, rigoureux, précis.
240- Un Comité Intergouvernemental Jeunesse, européen, sera institué, pour vous
> Il sera en charge, de faire des propositions concrètes, d’assurer un suivi, de la politique continentale, de votre nouvelle génération.
241- Une Mission spéciale de Réflexion concernant, votre Jeunesse en Difficultés, sera créée
> Elle recensera, les situations existantes, pour choisir un traitement performant, adéquat, pour votre personne juvénile.
242- Un train de mesures Jeunes appropriées sera lancé, pour vous
> Pour les champs d’action, relatifs à l’insertion socioéconomique, de votre jeunesse, en situation normale, tenant compte, de vos vrais besoins.
243- Il sera réalisé une revalorisation réelle, de votre jeunesse des classes moyennes
> Par amélioration notable, des conditions d’intégration socioprofessionnelle, de votre nouvelle génération, en concertation.
XXVIII
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Vos Moyens Collectifs Idoines ]
244- Un budget de l’État propre, important, sera affecté, à l’ensemble, de votre secteur Jeunesse
> Un effort similaire, durable, prévaudra, pour les collectivités locales, l’Union Européenne, en faveur, de vos publics juvéniles.
245- Des Audits, de votre juvénilité, seront réalisés, à l’échelle nationale, territoriale
> Pour préciser, les états financiers existants, fixer, des besoins, affectations plus rationnels, ambitieux, pour votre jeunesse.
246- Des règles strictes seront établies, pour la formation, le recrutement, la déontologie, des décideurs, intervenants, de votre secteur Jeunesse
> Les exigences professionnelles d’exercice seront des plus accrues, au profit, de votre nouvelle génération.
247- Au niveau national & local, sera structuré, en maillage territorial étroit, tous les organismes publics d’intervention, pour votre jeunesse
> Sur le mode généralisé, du Guichet unique spécialisé multiservices Juniors.
248- Des consultations régulières, des quinze – vingt-quatre ans, sur vos besoins / attentes, seront instaurées
> Pour mieux planifier, réussir, l’action publique nationale, locale, afférente, pour votre personne juvénile.
249- Les structures juridiques, managériales, de vos organes publics, d’action Jeunesse, seront refondues
> En meilleure optique, souple, horizontale, plus participative, efficace, moderne, pour votre nouvelle génération.
250- Des études d’impact de votre juvénilité seront menées
> S’assurant, de la faisabilité, la pertinence, l’utilité, de nouveaux programmes d’action Jeunesse, pour plus adapter, au préalable, l’existant.
251- Votre politique jeunesse sera globalisée, transversalisée, unifiée
> Par l’appréhension, de l’ensemble, de « la problématique spécifique, de vos besoins juvéniles », les plus urgents.
252- L’action Jeunesse des pouvoirs publics sera pérennisée, rendue permanente, pour vous
> Par la perpétuation de dispositifs stables adéquat, donnant lieu, à Rapport national Jeunes, annuel.
XXIX
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Équitable Traitement National ]
253- Sera mise en place, pour vous, auprès du Premier ministre, une Cellule de Veille Juniors
> Elle suivra, toutes les tendances concernées, fera des propositions judicieuses, agira vite, bien, pour votre jeunesse.
254- Les travaux législatifs & réglementaires, sur votre jeunesse, seront relancés
> Un Code juridique spécial rassemblant, structurant, l’ensemble des textes épars, relatifs, à votre nouvelle génération, sera rédigé.
255- La Fondation Nationale de la Jeunesse sera instituée, sur vous
> Pour la recherche pluridisciplinaire, la formation, de praticiens, l’enseignement des sciences jeunologiques.
256- À tous vos échelons de décisions : nationaux & territoriaux « Jeunesse & Sports » seront séparés
> Avec, des Unités Jeunesse spécialisées, autonomes, compétentes, efficaces.
257- Votre véritable ministère plein, autonome, du Jeune & des Droits du Junior, sera créé
> Avec tous pouvoirs interministériels, sur vos questions juvéniles, en approche holiste.
258- Les autorités de l’État redéfiniront les priorités du pays, en matière de votre jeunesse
> En une vision politico-philosophique, claire, cohérente, ambitieuse, de la place, de votre jeunesse, dans votre nation.
259- La tâche première de votre ministère / de la cellule de Veille Jeunes, sera de « catalyser » les initiatives, pour vous
> En ouverture, sur l’extérieur, pour un calendrier prévisionnel d’action, rigoureux, pour votre nouvelle génération.
260- Décideurs publics et vous, jeune, communiqueront régulièrement
> Par le biais, d’Antennes de Dialogue, centrale & locales, avec des médiateurs Jeunesse, national & départementaux.
261- L’État se dotera d’un Organisme national d’Évaluation, de Prospective, de votre état de junior français, à visée statistique
> Pour éclairer, plus précisément, l’action publique, concernant, vos réalités juvéniles.
XXX
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre AndroJeunologie® d’Avancées ]
262- Vous, jeune, ne savez pas toujours « vous passionner », comme et, quand, il convient
> Votre androJeunoMentoring aide votre jeunesse masculine, à cultiver vos centres d’intérêt, car, sans vous, rien, de grand, beau, fort, n’est possible.
263- En société « hostile », par manque de confiance, vous, junior, n’avez pas assez de convictions propres, n’êtes pas assez assuré
> Votre AndroJeunoConseil® permet, à votre nouvelle génération mâle, de vous affirmer, pour mieux vous imposer.
264- Faute, de « stratégie » idoine, préétablie, vous, jeune, « ne savez pas, où vous allez, ne vous rendez nulle part »
> Il s’agit, de vous inciter, garçon juvénile, à vous en munir, pour mieux fixer vos buts optimaux, les atteindre.
265- Sans valeurs précises claires, solides, suivies, sans faille, vous, junior, vous enlisez
> Il convient, que vous, jeune homme, puissiez, les définir, choisir, au préalable, pour mieux avancer, selon, vos priorités morales.
266- D’un point de vue physique, psychique, spirituel, dynamisme, énergie, autorisent vos action, réussite, de jeune
> Votre AndroJeunologie® veille, à ce que les lois afférentes, soient appliquées, par votre jeunesse masculine.
267- Rien, ne vous est possible, junior, sans l’entretien, de liens satisfaisants, avec autrui
> Votre nouvelle génération mâle y sera encouragée, car, de votre harmonie relationnelle, dépend vos succès, bonheur personnels.
268- Vous, jeune, ignorez trop les règles, de bonne communication, avec vous-même & autrui, ce qui cause préjudice, à tous
> Votre personne androJuvénile en apprendra les arcanes, pour mieux réaliser, vos buts essentiels, « mieux échanger ».
269- Souvent, vous, junior, trébuchez, faute de mobilisation totale, de tous vos potentiels physiques, mentaux, moraux
> L’androJeunoMentoring, de votre jeunesse masculine, vous en fait prendre conscience, vous en donne, tous les outils d’activation.
270- Il n’est pas aisé, pour vous, jeune, de bien « user » du temps, de l’espace, des circonstances, gens, choses
> Votre AndroJeunoConseil® fait optimiser, à votre nouvelle génération mâle, ces vecteurs vitaux, pour mieux parvenir.
XXXI
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Holistique Prise en Compte ]
271- Vous, junior, avez besoin de confiance, en vous-même, autrui, l’existence, votre destin, pour « bien » vivre
> Votre personne juvénile en sera plus capable, si les adultes savent mieux, vous l’insuffler, en bienveillance.
272- Vous, jeune, requérez des « échanges tous azimuts », avec vos pairs, les adultes, pour mûrir, vous épanouir
> L’adulte se doit, d’en faire l’effort, avec votre jeunesse, vous apprendre, la tolérance, avec tous.
273- Vous, junior, avez besoin d’autonomie, de liberté, d’indépendance, pour grandir, être vous-même, faire votre vie
> Il s’agit, de vos droits de l’Homme de mineur, jeune majeur, à mieux appliquer.
274- Vous, jeune, requérez des responsabilités, expérimentations, pour progresser, apprendre, être adulte
> La possibilité, pour votre nouvelle génération, d’agir, de tenter, de vous tromper, d’avoir des prérogatives, est à élargir.
275- Vous, junior, avez besoin de sécurité maximale, pour avoir la sérénité, les repères, l’assurance nécessaires, à votre construction
> Il revient, à l’adulte, d’assurer l’épanouissement optimal, de votre personne juvénile, à tous points de vue.
276- Vous, jeune, requérez de l’espoir, pour croire en votre destinée, avoir l’envie, la force, de vous battre, pour réussir, être heureux
> Seule, une société positive de confiance, peut donner, à votre nouvelle génération, votre pleine réalisation, de vous.
277- Vous, junior, avez besoin de reconnaissance, pour être en mesure de croire, en vous, autrui, la vie
> Cela, est dû, à votre jeunesse, de la part, des adultes, pour que vous puissiez, contribuer à la marche, de votre société.
278- Vous, jeune, requérez l’amour oblatif, non captatif, de vous, des autres, pour pouvoir donner, recevoir, aimer, en retour, être bien, avec vous, autrui
> À chacun, d’entre-vous, d’en livrer, votre part mutuelle, pour votre plénitude juvénile optimum.
279- Vous, junior, avez besoin d’encouragement, de récompense. Pour différencier ce qui est bien ou, non, vous motiver, persévérer
> L’on relèvera, positivement, les succès majeurs, de votre jeunesse, avant, vos erreurs vénielles.
XXXII
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Votre Félicité Existentielle ]
280- Vous, jeune, êtes trop stressé, par votre environnement. Vous subissez, tensions, pressions, agitation, anxiété
> Votre nouvelle génération apprendra mieux, à cultiver paix, calme, sérénité, par climat, bien être, meilleurs.
281- Trop peu d’entre-vous, junior, connaissez l’équilibre : égalité d’âme, maîtrise de vos peurs, de vos désirs, du bonheur
> L’adulte fera taire son propre malaise, pour réjouir votre personne juvénile, au lieu, de vous abattre.
282- À votre jeunesse, le progrès est vital, pour grandir : « bien faire, aller mieux, être meilleur », relever vos défis, avec succès
> C’est possible, quand l’adulte croit plus en vous, cadet, de façon inconditionnelle.
283- Pour mûrir, vous, junior, avez besoin d’estime de vous : amour, acceptation, bonne image, de vous-même
> Seul, l’adulte, peut, les inculquer, à votre jeunesse, par la bienfaisance éducative, affective, psychomorale.
284- Votre confiance juvénile est aussi capitale : foi, espoir, crédit en vous, autrui, les choses, la vie, votre avenir
> Si l’adulte fait confiance, à votre nouvelle génération, cette dernière aura pleins assurance, équilibre.
285- Vous, junior, devez vous affirmer : défendre, imposer vos droits, intérêts, actes, votre personne, vos valeurs, idéaux, choix, croyances, préférences
> De façon complète, libre, irrévocable et, irréfragable, pour que votre personne juvénile soit, pleinement, acceptée.
286- Vous, jeune, avez fort besoin de vous fixer des buts : appropriés, déterminés, évaluables, à échéances fixes, pour progresser
> Cela, est du ressort, de votre jeunesse, de votre initiative individuelle, avec aide éventuelle, de l’adulte.
287- Vous, junior, aurez « foi », en la valeur, l’accessibilité, de votre objectif, votre capacité, à le réaliser, vous vous en donnerez les moyens
> La résolution, de votre nouvelle génération, à y parvenir, viendra, de vous-même, mais, sera encouragée, par vos aînés.
288- Vous, jeune, servirez votre but sans relâche, avec détermination, ténacité, effort : vous battre, tenir jusqu’au succès, entretenir votre résultat
> Sans faiblir, face à vos difficultés, hostilités, aléas juvéniles, aussi durs, soient-ils.
XXXIII
Vous, (Andro)Jeunesse /
[ Décence de Vos Conditions d’Existence ]
289- La plupart de vous, junior, manquez de sommeil, ce qui obère, votre bonne santé physique, psychique, sociale, votre travail
> Il importe donc, que votre jeunesse veille, à plus et, mieux, dormir, chaque nuit, pour mieux être.
290- Votre équilibre alimentaire, de jeune, peut être, positivement, amélioré
> Votre nouvelle génération veillera, en qualité, quantité, à ingérer fruits, légumes, eau, plus, que féculents, lipides, glucides, protéines, sel.
291- Votre activité physique & sportive, de junior, est un impératif de santé, souvent, négligé
> Votre personne juvénile a intérêt à pratiquer, un sport bihebdomadaire / assez, de mouvements physiques, chaque jour.
292- Votre jeunesse aime les dépendances addictives : gens, produits, pratiques
> Il s’agit, de convaincre, votre nouvelle génération, que l’accoutumance néfaste, s’oppose à votre santé, votre liberté, votre intérêt.
293- Trop d’entre-vous, jeune, regrettez, déplorez le passé, comme paradis perdu & cuisant souvenir
> Il s’agit, d’aider, votre jeunesse, à le neutraliser, pacifier, dépasser, pour avancer, mieux vivre, être fort.
294- Vous, junior, pouvez trop « vous projeter », en l’avenir, en craintes & espoirs excessifs, avec risque d’inhibition, de désillusion
> Il convient, pour votre personne juvénile, de croire en votre futur, quoi, qu’il arrive, sans trop « en attendre ».
295- Vous, jeune, vivez trop & pas assez, au présent, vous ne prévoyez pas l’avenir & ne profitez pas de votre vie, avant tout, actuelle
> Il s’agit, pour votre jeunesse, de bien vivre, ici / maintenant, tout en préparant, l’après et, assimilant, le passé.
296- Vous, junior, ne savez pas gérer votre temps. Vous en perdez, pour rien, en improvisation, en manquez, pour l’essentiel
> S’imposent, pour votre nouvelle génération : rigueur, méthode, planification, organisation, répartition et, anticipation.
297- Votre travail d’études, de jeune, exige des efforts
> En cours, votre personne juvénile sera fort attentive, concentrée, prendra bien en notes, ni trop ni, trop peu. Se fixera, sur la parole, de l’enseignant, rien d’autre.
298- Votre tâche scolaire juvénile sera exigeante
> Régulière, au fur et, à mesure, sans tarder. En temps suffisant, concentration, calme, méthode, chaque jour, jusqu’à, total achèvement, par votre jeunesse.
299- Le support principal, de vos études de junior, est votre cours écrit
> D’où, l’importance, pour votre nouvelle génération, de bien, le présenter, mettre en valeur. Pour que l’essentiel ressorte bien, mémoriser, optimalement.
300- Votre mémoire scolaire de jeune est : visuelle, auditive, scripturale, kinesthésique, orale, mentale
> Votre personne juvénile, en études, aura des notes, bien tenues, répétera, à haute voix, écrira, des résumés, plans…
Vous, (Andro)Jeune
[ & Votre Santé ]
> Un Centre, de Santé Jeunesse, gratuit, par ville, de plus, de trente mille habitants. Majorité sanitaire, à quinze ans, avec Carte Vitale Junior, tiers payant, dès cet âge.
Vous, (Andro)Jeune
[ & Votre Famille ]
> Un organe, de Médiation familiale, Parents-Juniors, en toutes communes urbaines.
Vous, (Andro)Jeune
[ & Vos Violences ]
> Une cellule, « Anti-Violences », au sein, de tout collège, lycée, dit, « sensible ».
Vous, (Andro)Jeune
[ & Votre Socialisation ]
> Finalisation, d’un Projet d’Avenir, global / révisable, pour vous, jeune, en fin, de chaque année, d’études secondaires, supérieures.
Vous, (Andro)Jeune
[ & Vos Médias ]
> Un journaliste Jeunesse, en chaque rédaction.
Vous, (Andro)Jeune
[ & Votre Reconnaissance ]
> Protection et, droits, à l’insertion, de votre jeunesse, dans le préambule, de la Constitution française.
Vous, (Andro)Jeune
[ & Votre Plénitude ]
> Cours, de développement personnel / réalisation de soi, au lycée.
Vous, (Andro)Jeune
[ & Votre Revalorisation ]
> Statut, de « Jeune Travailleur intellectuel », pour vous, élève / étudiant.
Vous, (Andro)Jeune
[ & Votre Économie ]
> Une allocation, Autonomie d’insertion, d’études, pour vous, dix-huit – vingt-cinq ans, en formation ou, recherche, d’emploi. Selon, vos ressources, de jeune, non, celles, de vos parents.
Vous, (Andro)Jeune
[ & Votre Globalisation ]
> Généralisation, de vos séjours, stages, échanges, junior français, à l’étranger et, jeune étranger, en France.
Vous, (Andro)Jeune
[ & Votre Formation ]
> Revalorisation, du bac, des universités, professionnalisation, des études, refonte, de l’orientation scolaire et, des métiers. Réservation, de l’accès, à l’université, à vous seul, bachelier général. Priorité, d’entrée, pour vous, bachelier technologique et, professionnel, aux sections, de techniciens supérieurs et, instituts universitaires, de technologie. Création, d’un cursus préparatoire, d’études supérieures, de deux ans, entre le baccalauréat et, la première année, de formation universitaire.
Seul, vous, étudiant ayant réussi, ces deux années préparatoires, serez admis, à l’université. Revalorisation et, reconnaissance, du grade de Docteur des Universités, hors santé, à l’image, des PhD universitaires anglo-américains, bien plus performants. Création, de véritables campus étudiants, regroupant enseignements, hébergements, vie étudiante.
Vous, (Andro)Jeune
[ & Votre Emploi ]
> Tutorat, d’Insertion professionnelle, pour vous, jeune, du collège, à la fin, de vos études. Favoriser, les Juniors Entreprises, l’entrepreneuriat jeune. Discrimination positive, sanctions, en faveur, de votre emploi, de junior.
Vous, (Andro)Jeune
[ & Votre Culture ]
> Gratuité, pour vous, ayant moins, de vingt-cinq ans, pour tous, les lieux et, manifestations culturels.
Vous, (Andro)Jeune
[ & Vos Engagements ]
> Développer et, rendre, votre Service civique, plus attractif.
Vous, (Andro)Jeune
[ & Vos Droit-s ]
> Une Charte nationale, des Droits / Obligations, de votre Jeunesse.
Vous, (Andro)Jeune
[ & Votre Logement ]
> Généraliser, l’habitat jeune autonome : individuel, collectif, en campus, foyers, hlm…
Vous, (Andro)Jeune
[ & Votre Internet ]
> Les autorités veilleront, à votre meilleure protection, de mineur, en cyberespaces, de tous types.
ÉPILOGUE
La jeunesse est une ivresse continuelle
C’est la fièvre de la santé, la folie de la raison
F. de La Rochefoucauld
Écrivain, moraliste, mémorialiste
France, 1613-1680
Réflexions ou sentences
Et maximes morales
Œuvre philosophique, France, 1665
VOTRE « JEUNESSE REVIVIFIÉE »
Depuis, le début, du siècle, la vitalité démographique, de notre pays, est remarquable, au sein, du monde occidental. Vous, jeune français, si ce contexte, très favorable, venait, à perdurer, pourriez, alors, à l’avenir, connaître, un grossissement numérique, significatif. Une influence sociétale, plus prépondérante. Le dynamisme, le poids juvéniles, des années 1960-1980, seraient ainsi, en la décennie 2020 et, au-delà, soit, trois décennies, après, une nouvelle acmé. Il y avait eu, une forte importance, en nombre, des quinze – vingt-quatre ans, en les années 1960 à 1980. Huit millions et demi, d’individus et, plus.
Cela, avait bénéficié, aux mouvements contestataires, des jeunes, de l’époque « Baba-cool ». À la mobilité professionnelle, des juniors diplômés, du supérieur, des années « business ». Les célèbres « Baby-Boomers » passés et, actuels ou, futurs « Papy-Boomers » sont, tous, nés, en les deux décennies, depuis, le Second Conflit mondial (1939-1945), entre 1940 et, 1960. Ils auront « raflé, toute la mise ». Celle, de la relative prospérité socioéconomique, antérieure, aux années 1990. Les dénatalités, des trois ou, quatre décennies ultérieures, sont l’une, des causes, de la marginalité, des juniors actuels.
Affaiblis, par la « décimation » démographique, de leur classe d’âge. Il y a eu, une massification continue, des effectifs, de l’enseignement secondaire. Toutefois, depuis, notre siècle, ceux-ci, ont décru. De façon, nouvelle, du fait, de jeunes, qui se sont « raréfiés ». Or, la décennie 2020 verra, une jeunesse, plus nombreuse, avec la relative bonne natalité, encore, fort présente, même, moindre, désormais. Cela, se vérifie, avec l’augmentation, des effectifs collégiens, lycéens, étudiants.
Cependant, la « quantité » juvénile ne « profitera », pleinement, au pays, que si les « qualités », de la juvénilité, sont pleinement, reconnues. Qu’il en est, intégralement, « tiré profit ». Cela, consiste, à renoncer, enfin, à une « absurdité française », faisant le choix, d’inconvénients majeurs, afin, d’éviter, un « risque », de bien moindre, importance. Ainsi, l’on préfère, se priver, de façon, dommageable, des immenses talents, créativités, novations, des jeunes, sous fallacieux prétexte, de leur inexpérience. En pathologique syndrome, de Gribouille. Lequel, jocrisse, pour éviter, de gâter, par la pluie, un habit neuf, se réfugie, en… un ruisseau, sous un saule !
(S. de Ségur, écrivaine française, 1799-1874, La Sœur de Gribouille, roman, pour la jeunesse, France, 1862).
Citius / Plus Vite
[ Vous, Junior Re/Motivé ]
Dans les années, à venir, le redressement démographique pourrait, positivement, bouleverser, la donne. Pour vous, junior, vous-même, comme, pour votre nation, tout entière. Une nouvelle ère, de prospérité, d’inventivité, tous azimuts, serait alors, peut-être, de nouveau, possible. Vous, jeune, étiez considéré, comme, « vil gêneur, menace, empêcheur, de tourner, en rond, chienlit, sauvageon, racaille ». Qualificatifs proférés, à votre encontre, par certains, de nos dirigeants.
Vous, jeune, re/deviendriez, grâce, au retournement contextuel nouveau, pleinement, « fréquentable ». Car, acteur, vecteur, de progrès, croissance, gain, pour tous. Comme, déjà, en Allemagne. Une authentique politique, globale, holistique, des Jeunes, verrait, peut-être, le jour, pour la première fois, en France. Un fructueux, dialogue intergénérationnel, reprendrait alors, tous ses droits. Vous, junior, joueriez, votre rôle moteur, en un monde adulte, plus ouvert, à votre écoute.
Le droit-devoir, à l’adultisme, avec, tous les puissants attributs, responsabilités, dignité, qui en découlent, deviendrait, une réalité, plus accessible. À aboutissement, concrétisation, plus rapides, généreux. Brisant, le pénible sentiment, d’incomplétude, d’inutilité mutilante, actuelles. D’indignité, de déchéance, de toute une cohorte d’âge, montante1133. La pleine importance, de la nouvelle génération, pour le pays, serait officialisée, institutionnalisée. Par l’inscription, d’une mention spéciale, dans le préambule, de la Constitution, de la Cinquième République française (1958-). Rappelant, les devoirs primordiaux, spécifiques, de la nation, à l’égard, de ses ressortissants, les plus jeunes.
Seraient institués, un ministère, inédit et exclusif, des Jeunes et, des Droits de la Jeunesse, de plein exercice. Une assemblée permanente, des quinze – vingt-quatre ans, élue, au suffrage universel direct, par tous les juniors, du pays. En matière, de jeunesse, ces nouvelles entités publiques, auraient, bien plus, de réels pouvoirs, décisionnaires, généraux. Non, plus, seulement, propositionnels ponctuels, or, plus étroitement, ciblés. Contrairement, à l’illusoire actuel, ministère de l’Éducation, accessoirement, en charge, de la Jeunesse. Aussi, au Forum Français de la Jeunesse. Comme, à la Délégation interministérielle, à la Jeunesse. Honteusement, il n’y a plus eu, de ministère des Jeunes, distinct et autonome, en France, en 2017-2018, avant, rétablissement, tardif et coupable !
Il n’y a jamais, eu, en notre pays, d’entité ministérielle puissante, spécifique, pour les seuls, jeunes. Cela, est révélateur, du pathétique « déni, de jeunesse », qui existe, en France. Être ministre, des Jeunes, n’a pas, le même sens, qu’être ministre, de la Jeunesse. Il en aura été, de même, quand, suite, à la Révolution française, de 1789, puis, celle, de Juillet 1830, le roi, de France et, de Navarre, est devenu, roi, des Français. Louis XVI (1754-1793)1134, puis, son cousin et, lointain successeur, Louis-Philippe Ier (1773-1850)1135. D’absolu, le monarque est devenu, constitutionnel. La symbolique met l’accent, sur le service, direct et significatif, rendu, aux peuples concernés, eux-mêmes.
Non, une notion, globale désincarnée, moins signifiante. Les jeunes, du pays, n’ont pas l’habitude, que l’on s’occupe, d’eux, de façon, spontanée, désintéressée, positive. C’est, cela, qui devrait changer. Tout jeune reconnu, intégré, associé, à la marche, du monde, s’ouvre et, s’épanouit, construit et, se construit. La « société de confiance », comme, la décrit, A. Peyrefitte, annihilerait, dans la jeunesse, le sentiment, de rancœur hostile. Tel, que le lui inspire, l’univers adulte, « dévoyé », maussade, suffisant, de défiance, « à la française ».
(A. Peyrefitte, homme politique, écrivain français, 1925-1999, La Société de confiance, essai historique, économique, sociophilosophique, France, 1995, 2017)1136.
Ainsi, les protestations lycéennes, étudiantes et, juvéniles, quadriennales exacerbées, en France, de 1986, 1990, 1994, 1998, 2002, 2006, 2010, 2014, 2018, outre, 2016, n’auraient plus lieu, d’être1137. Il s’agit, de refondre et, de refonder, littéralement, les finalités, conditions, philosophie, du système éducatif, des jeunes, de ce pays. Il n’est pas-là, question, d’énième « réforme/tte », de degré, conjoncturelle. Plutôt, de changement drastique structurel, de nature, d’objet, jamais, encore, entrepris, même, en 1968.
D’usager-sujet passif, assujetti et, infantilisé, de l’Éducation nationale, le scolarisé enseigné, devient alors, citoyen-acteur. Pleinement, associé, actif et, comptable, de son « préceptorat » renforcé, bien plus, qualitatif, que quantitatif. Tel, que le suggère, F. de Closets, l’élève éduqué contraint, indifférent, voire, indisposé, par son cursus, d’études, cède place, au jeune, libre de et, en sa formation. Intellectuellement, intéressé, passionné, motivé et, porté, par son apprentissage. Une école, des études, dignes, de ce nom, sont plus attractives !
(F. de Closets, écrivain français, Le Bonheur d’apprendre et comment on l’assassine, essai socioéducatif, France, 1996)1138.
Au lieu, de subir, de façon, amorphe, rétive, son instruction, le jeune, la fait pleinement, toniquement, activement, fructifier. Comme, à l’école finlandaise, l’une, des plus performantes, d’Occident. Tout, le système académique français, secondaire et supérieur, est appelé, à cette véritable, complète, « révolution copernicienne ». À l’image, d’une Sncf, (France, 1937-), qui commence, seulement, à comprendre, que tous ses interlocuteurs, ne sont pas, de simples usagers administrés. Or, de « vrais clients, prescripteurs » ! Les formations, des enseignants, pourront être, plus exigeantes, mieux adaptées, aux réalités, de l’enseignement.
De même, la rigueur, des transmissions, assurées, aux jeunes, serait fort accrue. À chaque type, d’études, correspondraient, des aptitudes précises, des vocations solides, des débouchés professionnels donnés, avérés. Précisément, définis, non, un « néant total, chômé ». Tout élève, sera amené, à être personnellement, « suivi », durant, toute sa scolarité secondaire, supérieure. Pour son orientation, « sur mesure », adéquate, réussie, performante. Un effort particulier, portera, sur la réforme, la rénovation drastiques, de l’université publique française. Laquelle, s’enlise, en fin, de classement, de ses homologues occidentales. La réforme, dite, d’autonomie, ne suffit pas ! (France, 2007, compléments 2013). Pas davantage, le Plan Étudiants, de 2018.
Sorbonne Université (Paris), 36e mondiale, 1ère, en France. Université Paris Sud, (actuelle Université Paris-Saclay), 42e mondiale, 2e, en France. École Normale Supérieure (Paris), 64e mondiale, 3e, en France. Les cent meilleurs pôles, d’université : États-Unis, quarante-six. Royaume-Uni, huit. Australie, six. Suisse, cinq. Allemagne, Canada, Pays-Bas, quatre, chacun. Chine, France, Japon, Suède, trois, chacun. Parmi, les dix premiers, huit, sont américains et, deux, britanniques. Harvard, Stanford, Cambridge, Mit, Berkeley, Princeton, Oxford, Columbia, Caltech, Chicago.
Score établi, selon, le nombre, de prix Nobel, médailles Fields, citations, de chercheurs, dans les publications scientifiques. De parutions, dans Nature, comme, Science… (Université Jiao-tong de Shanghai, Classement mondial 2018, des cent premières universités)1139. Nombre, de nos universités, sont en état académique, moral, matériel, « misérable ». Nulle, ne possède, de vrai campus, digne, de ce nom ! L’autonomie budgétaire, de recrutement, des personnels, le regroupement, en pôles, d’excellence, sont très insuffisants. Amorcée, dès, 1968, la réforme n’a, de fait, conditionné, aucun, vrai changement, bénéfique, majeur, décisif ni, significatif, à long terme. Celles, de 2007, 2013 et, 2018, (op. cit.), pas davantage.
Quatre-vingt-dix-mille étudiants quittent, chaque année, l’université, sans diplôme. Les deux tiers, des étudiants, de première année, auraient souhaité, choisir, une tout autre filière. Le taux d’échec, en premier cycle, est de moitié. Nos universités attirent trop peu, d’étudiants étrangers. Nos enseignants-chercheurs fuient, hors, de l’Hexagone. Le système, de gestion, universitaire, est dépassé, inefficace. Les moyens manquent fort.
L’adaptation, au changement, d’échelle, d’époque, à l’afflux, d’une part étudiante générationnelle, de masse, la formation, de nouveaux publics, a été ratée. De même, au bouleversement, des missions attendues, à de nouveaux enjeux majeurs, nationaux, mondiaux. Sans sélectivité, vrais droits, d’inscription, élevés, sans rigueur académique, une université, « ouverte, à tous les vents », quasi gratuite, laxiste, ne mène, qu’à l’échec. Excellence, sélection, moyens matériels, humains, massifs, s’imposent, comme, chez nos grands homologues1140 ! L’échec scolaire, du secondaire, est aussi grand !
De même, le public, trop restreint, de nos Grandes écoles, se doit, d’être élargi, sans, pour autant, nuire, à la sélectivité, la qualité, des enseignements. La « carrure », de nos meilleurs établissements supérieurs, n’est pas, à l’échelle mondiale adéquate. Un remarquable modèle, à suivre, est celui, du Pôle universitaire privé, Léonard-de-Vinci, de Paris-La Défense. Dont, le net succès, ne se dément pas, depuis, sa création, il y a, vingt-cinq ans. À l’image, des Grandes écoles, l’Université peut aussi, plus encore, s’ouvrir, à l’international, au monde, du travail, de l’entreprise. Les formations, en alternance, ont vocation, à se dé/multiplier. Faute, d’évolutions modernes, l’école trahit, sa charge civilisatrice, d’insertion.
Les jeunes ne peuvent plus, la percevoir, comme, une véritable chance, égalitaire, or, telle, une « grande duperie », élitaire. Discriminatoire, mensongère, véritable, contrat léonin, de dupes. L’égalitarisme apparent, la massification aveugle, des études « ouvertes », couplés, à un malthusianisme, « patricien », très excessif, des filières, dites, « fermées »… Ceci, est totalement, inadapté, à l’actuel, monde moderne. À la compétition internationale. N’est plus, « de saison ». Cela, ne peut, que laisser place, à l’égalité réaliste et, la démocratisation qualitative, réelle, du mérite, de l’excellence, bien plus larges1141 ! Non, plus, à la seule, démographisation quantitative.
L’emploi sera, une vraie valeur, d’intégration, qui bâtit, mûrit, épanouit. Plus accessible, à tous les juniors. Ces derniers, représentent, une chance unique, pour l’entreprise, le pays, non, un poids mortel. Après, la grande prospérité, dite, des « Trente Glorieuses », (Occident, 1945-1975)1142, surviennent, les « Quarante Honteuses », conjoncturelles, de ces quatre dernières décennies. « Horreur économique », dépeinte, par V. Forrester. (Écrivaine française, 1925-2013, L’Horreur économique, essai socioéconomique, France, 1996)1143. Seule, une réelle « imagination » nouvelle, peut « doper », la croissance, l’emploi juvénile, des années 2020. Pour, que tous les jeunes, aient, des conditions, de vie, décentes, un partage réel, de fruits, de la richesse. Au lieu, des monopoles et, accaparements, d’une minorité, « gratifiée ». Au détriment, de la majorité, la plus « déshéritée ».
Le taux, de chômage, de nos jeunes actifs français, de seize – vingt-cinq ans, est l’un, des plus élevés, d’Occident. Depuis, déjà, un tiers, de siècle. Le double et, plus, en moyenne, de celui, de la population générale adulte. Il s’agit, de « donner, leur chance professionnelle », aux juniors, même, inexpérimentés, peu qualifiés. Cela, est, notre devoir moral, à leur égard, il en va, de nos intérêts collectifs, bien compris. Au-delà, des « nantis, tout-puissants », des Damnés, de la Terre. (F. Fanon, essayiste français, 1925-1961, Les Damnés de la Terre, essai anticolonialiste, France, 1961). Assistés ou, non. Il serait permis, au plus grand nombre, de nos classes moyennes, « en perdition », de prospérer1144. Les précarisations, déclassements, inemplois, du travail, des jeunes, deviendraient ainsi, stabilité, reconnaissance, meilleure activité, professionnelles juvéniles.
Il importe, aussi, qu’un effort, de protection écologique, curatif et préventif, sans précédent, soit accompli, par tous. Pour préserver, des ressources naturelles terrestres, trop sollicitées et, qui s’épuisent. Lutter, contre, les altérations climatiques néfastes. Relevons, un quadruple défi, incontournable. Celui, de la forte mutation éducative ; de l’emploi ; numérique ; environnemental. De demain. À défaut, la jeunesse, du monde développé et, émergent, sera menée, au « désespoir », à la révolte. Tels, ces jeunes étudiants chinois, de Tian’anmen, à Pékin, en 1989. Les juniors grecs, d’Athènes ou, espagnols, protestataires, de la Puerta del Sol, à Madrid, au printemps 2011. Se proclamant, Les Indignés, contre, leur discrimination-exclusion socioéconomique. Comme, les jeunes mutinés, des Printemps arabes, de Tunis, du Caire, de Tripoli, Sanaa, Damas, d’Alger…
Altius / Plus Haut
[ Vous, Jeune Encouragé ]
Élargir, le champ, de vos ouvertures familiales, affectives, relationnelles, culturelles, de jeune, tel est, le grand enjeu, des décennies, à venir. Une famille nucléaire désunie, ne peut assumer, tous ses devoirs éducatifs, affectifs ou, directifs, à l’égard, de vous, son enfant. Vos ascendants ne sauraient, oublier, qu’un couple conjugal défait, n’en demeure, pas moins, une entité parentale, étroitement, associée. Même, en état, de rupture, très conflictuelle. Combien, d’entre-vous, jeune, de parents séparés, la plupart, vivant, avec votre mère, ne sont-ils pas, dépourvus, de tout contact ou, presque, avec leur père ?
Cas, particulièrement, dommageables, pour les jeunes garçons. Un mode opératoire familial, vertical, sain, équilibré, permet, au junior, de bien, réussir, sa propre trajectoire domestique, horizontale, future, d’en avoir, pleine envie. Des parents épanouis, en harmonie, bonne entente mutuelle, équilibrent mieux, le jeune, le rendent, plus heureux. Cette exemplarité adulte, lui donne, les moyens, la force, la maturité, de nouer, lui aussi, des liens affectifs solides, durables, comme, constructifs. Avec, le ou, la « partenaire, d’affinité élective ».
Sans peur, de s’engager, donner, recevoir, faire, des concessions, réciproques. Par crainte panique, irrationnelle, quasi magique, syncrétique, de l’échec relationnel, la pire, souffrance, d’abandon, du rejet-condamnation, sans appel. Ce n’est, que si, le schéma, la configuration familiaux, parentaux, « nourriciers », du cadet, sont pleinement, satisfaisants, pour lui, qu’il peut, véritablement, grandir. Devenir, un adulte accompli, au lieu, de se complaire et, à tout jamais, dans l’immaturité, si rassurante. Car, irresponsable, mais, des plus inquiétantes, par sa toxicité sociomentale.
Il s’avère, que l’appréciation juvénile, des situations familiales vécues, est, généralement, bien plus objective, que celle, portée, par les parents. Convaincus, de faire, tout le « bien » nécessaire, en faveur, de leurs rejetons. Quand, ceux-ci, perçoivent, plus justement et, finement, toutes les carences néfastes, parfois, si funestes, des adultes, à leur égard. La jeunesse plébiscite, aussi, à raison, l’amitié, procurée, aux autres, entre pairs générationnels et, acquise, par leur entremise. Après, la famille, avant, même, le travail ou, l’amour. L’amitié, entre pairs, est, encore et, toujours, ce qui caractérise, le mieux, la noblesse, de la juvénilité.
Or, elle ne sait pas, toujours, ce que cela, implique, au juste. Une véritable éducation, au lien relationnel, affectif, à autrui, s’impose. Pour aider, tout jeune, à bien, comprendre, la portée symbolique, de cette amitié vraie, sincère, gratuite. Non, pas, prendre, manipuler, dominer et, imposer, l’unilatéralisme, tromper. Plutôt, au contraire, offrir, respecter, pratiquer, l’égalité, la réciprocité, bilatérale et, multipolaire. En un mot, être loyal. Les adultes, les plus crédibles, qui s’inscrivent, en cette voie heureuse, autorisent, les jeunes, qui observent, attentivement, et, prennent exemple, à la suivre, avec profit.
Sinon, les pires abus, de pouvoir, d’ascendants malveillants, malfaisants, du type sectaire, prévalent, sur l’estime, de soi, d’autrui, l’humilité, le cœur. Il sera alors, selon, les cas, opté, pour une sotte vanité narcissique, anesthésiante ou, la bienveillance rayonnante. Le jeune est volontiers, consommateur « forcené », avide, pas assez, éclairé, de biens, d’activités, de loisirs culturels, récréatifs. Un mercantilisme, de masse, frénétique, ne saurait tuer, toute sève ludique, conviviale, fructueuse, de la naturelle catharsis juvénile. Il est capital, de miser, sur l’enrichissement, des esprits, toujours, très prometteur.
Plutôt, que sur la simple expérimentation, de la matière, par nature, décevante. Le junior, qui mûrit, prend, alors, conscience, des dangers, des uniformisations, conformismes, nivellements. Lesquels, mènent, tout droit, au totalitarisme, de l’ordre, du médiocre, du concentrationnaire. Il préférera, l’intégral libre-arbitre, en conscience, for interne, de l’individualité, qui n’est jamais, l’individualisme. Il fera valoir, avec courage, panache, toute son originalité, particulière, quels, qu’en soient, les implications, les risques. Plutôt, que de se soulager, lâchement, avec le plus grand suivisme. « Hurlant, de concert, avec la meute ».
En réalité, psyché, soma, aura, étant, fort indissolublement, liés, la bonne santé biopsychique, morale, de nos jeunes descendants, ne peut, que s’en trouver, renforcée ! La famille peut comprendre, que sa désunion, mènera, au chaos psychoaffectif, de tous ses membres, sans exceptions. Que l’amour oblatif, sans faille, uniquement, garantit, à l’inverse, le plein et, entier, façonnement, d’âme, de glaise humaine, de chaque jeune. Ce dernier, ne « s’en porte » alors, que mieux. Seule, cette noble conception, généreuse, est, pour lui, gage, porteuse, d’avenir. L’authentique inclination, pour l’autre, est, d’avoir recours, à lui, besoin, de lui, car, on l’aime. En toute sincérité, fort désintéressée.
En revanche, le mensonge amoureux sera, d’aimer autrui, car, seulement, car, l’on éprouve, l’impérieuse nécessité, de le posséder. Par le seul, intérêt, ego. De même, l’amitié, sans fard, est celle, qui fait s’oublier, se dépasser, se transcender, pour le seul, « bien », de l’ami-e. Au détriment, même, du sien propre, en esprit, d’ascèse, voire, de « sacrifice ». À ces conditions exclusives, le loisir juvénile, quasi monogénérationnel, se pratiquant préférentiellement, entre pairs, d’âge identique, acquiert, toute sa dimension festive. Au sens, très noble, du terme.
Cela, débarrasse, à jamais, le temps, des retrouvailles, de la détente, des bas oripeaux instinctuels, consuméristes, psychédéliques. Par l’exemple alors, la prévention, l’éducation, l’altruisme, la santé, des jeunes, corpus et anima, s’améliore. En extinction, de ses principales causes majeures, d’altération. Folles désespérances, compensatrices prises, de risques, irréfléchies, ignorances, hédonismes forcenés, « déprédateurs défis » et, manque, d’estime, de soi1145…
En son mythique roman, pour la jeunesse, Sans famille, (France, 1878), H. Malot, (Romancier français, 1830-1907), évoque, les durs débuts, dans la vie, d’un jeune garçon, puis, jeune homme. Rémi, enlevé, aux siens, vendu, à un saltimbanque, se retrouve ensuite, seul, au monde, livré, à lui-même, son triste sort. Contraint, à « se débrouiller », très solitaire, au seul hasard, de ses pérégrinations, au travers, de toute la France et, à l’étranger. Il est amené, par ses tribulations, rencontres, de toutes sortes, bonnes et, mauvaises, à se reconstruire, trouver, sa voie, s’en sortir, avec bonheur. En courage, persévérance, obstination, foi, en lui, son destin1146.
En son infortune, notre jeunesse, de ce début, de vingt-et-unième siècle tourmenté, rejoint, ainsi, son homologue exclue, de la fin, du dix-neuvième. Une génération nouvelle déshéritée, paupérisée, « dont, nul, ne veut ». Qui doit s’arracher, à sa « condition déchue », par son seul, labeur, mérite, talent, sa grande rage, de vivre, vaincre. La force, de s’imposer, à tout prix, aux adultes, à leur pouvoir monopolistique établi. Quasi, tels, les esclaves et, peuples colonisés, du Tiers Monde, ayant dû, établir, leur juste souveraineté. Souvent, par violence et, coercition. À l’encontre, de l’occupation, l’oppression et, l’exploitation, occidentales et japonaises, notamment, illégitimes, attentatoires et, amorales.
Fortius / Plus Fort
[ Vous, Progéniture Rassérénée ]
La grande préoccupation, de votre jeunesse, n’en déplaise, aux esprits chagrins, est votre plénitude, votre communion spirituelles, morales, d’idéal. Vous n’êtes pas l’âge, des seuls, plaisirs compulsifs, de leur exclusive recherche, obsessionnelle. Or, celui, par excellence, de la « métaphysique », de vos interrogations premières, sur le sens, de l’existence, de votre propre vie. Relier, votre présent, à votre passé et, votre avenir, participe, au tout premier chef, à l’élaboration, au façonnement, de votre personnalité, identité juvéniles.
Vous, junior, en éprouvez, une quête, soif, aspiration inextinguibles, d’absolu. Vous ne demandez, qu’à vous investir, corps et âme, pourvu, que vous y soyez, incité, aidé, motivé ! Vous adhérez, très fort, au verbe messianique, de J. Kennedy :
« By believing, in his dreams, man turns them, into reality ». « Ayez foi, en vos aspirations, les plus profondes, afin, qu’elles puissent, prendre corps » !
Prolongement, de ses idées, développées, en recherche, de fin, d’études, sur le « déclin britannique » d’alors, face, à la menace nazie.
(J. F. Kennedy, homme d’État, États-Unis, 1917-1963, Why England slept, Pourquoi l’Angleterre s’est endormie, États-Unis, mémoire, d’études, Université Harvard, 1940)1147.
Apprenons, à nos jeunes, à savoir, pourquoi, ils vivent. À qui, à quoi, ils veulent consacrer, leur existence. Procurons-leur, les racines, de leur identité. Pour qu’ils comprennent, d’où, ils sont issus, où, ils vont et, comment. Réhabilitons, l’être, sur le faire, l’avoir, le paraître. Osons, leur dire, sans moralisme excessif, que le bien, tel, le mal, ont toujours, une vraie signification phénoménologique, suréminente, indépassable. Qu’il existe, encore et, toujours, une gradation, des valeurs, qui donne, tout son prix, à chaque parcours humain.
Rappelons-leur, qu’une vraie société humaniste, civilisée, adulte, est celle, en laquelle, chacun, se plie toujours, à son devoir. Par intime conviction, autopersuasion, que tel est, le bien, de tous, comme, la tâche impérative, de chacun. Le « civilisé » se conforme, à une morale, même, si cela, doit nuire, à ses propres intérêts. Redisons, haut et fort, que le monde inhumain, le barbare et, l’infantile, quant à eux, n’exécutent, leurs obligations, que sous la seule, contrainte coercitive. Jamais, par raison pure. Comme, toujours, plus, que jamais, la scélérate loi, du plus fort, prévaut, aux dépens, du jeune.
Le « barbare » ne sert, que ses seuls, avantages. Quand, bien même, cela, doit attenter, à la morale. La démocratie athénienne, de Périclès. (Homme d’État, Grèce, 461-429 av. J.-C.). La république vénitienne, des doges. (États italiens, 697-1797). Le bolchevisme communiste stalinien. (Urss, 1922-1953). Le nazisme, de l’Allemagne, d’A. Hitler. (1889-1945, dictateur, 1933-1945). Ces régimes politiques n’ont, ainsi, pas tout à fait, la même conception, de l’Histoire. Comme, du gouvernement, des peuples ! Il est temps, que les adultes, se décident, à re/transmettre, aux plus jeunes, ce, en quoi, ils croient. Même si, en des temps incertains, fluctuant, à l’infini, à vitesse, de plus en plus, vive, cela, peut paraître, très présomptueux, hasardeux ou, vain.
« De l’audace, encore, de l’audace, toujours, de l’audace1148 » ! (G. J. Danton, homme politique français, 1759-1794, Discours, à l’Assemblée nationale législative, Paris, 2 septembre 1792). C’est, à cette suprême condition, que nos descendants pourront alors, grandir, éduquer, à leur tour. « Educo, educare », du latin, élever, nourrir, avoir soin de, former, instruire, produire et, porter. « Maintenir » – devise, des Pays-Bas et, de Guillaume Ier, d’Orange-Nassau, (Prince d’Orange, Pays-Bas, 1533-1584) – la destinée, de l’espèce humaine. À défaut, nos juniors nous reprocheraient, nos désertions, errements et, manquements éducatifs, comme, moraux. Plutôt, assurément, que notre prétendu, hypothétique, improbable, surencadrement éthique.
Nous croyons voir, chez eux, cynisme, amoralismes, incivismes, égoïsmes, indifférentismes. Relativismes, individualismes, désinvoltures, hédonismes, matérialismes… Cependant, nous, adultes, sommes, seuls, bien coupables, de ces potentiels travers. Par notre propre incurie, nos laisser-aller, mesquines perversions, qui les écœurent tant. Les protections sécuritaires illusoires, que les temps modernes, ont tant, instaurées, ont détruit, l’idée même, de bonheur1149. Retrouvons, crédibilité, exemplarité, droiture.
Cela, motivera, nos cadets, à aimer, la vie, être stoïques, en l’adversité et, tenaces, persévérants ou, vaillants. Quoi, qu’il puisse, arriver ! Les aînés ont la jeunesse, qu’ils méritent ! Offrons-lui, des motifs, à espérer, bien plus, que de ne pas, s’affliger. Calmons, sa légitime angoisse, devant, les hallucinations, de vides, dont, nous la flagellons, sans cesse. Changeons, le monde indigne, inhumain, que nous lui fabriquons, jour, après jour. Pour qu’elle puisse, mieux vivre, sa jeunesse, rêver, en transcendance. Cela est, tout son droit. Arrêtons, de vouloir, à tout prix, « profiter », de tout et, son contraire, maintenant.
Pour, qu’il ne lui reste rien, à l’avenir ! Chute, de jeune, est, avant tout, déchéance adulte. Il est purement, inconcevable, « désolant », de priver, la nouvelle génération, de son droit, aux belles choses, de l’esprit. Car, c’est, l’ « assassiner », moralement, chaque instant, un peu plus, l’empêcher, de se réaliser, harmonieusement. Aujourd’hui et, demain, comme, autrefois, en l’indifférence générale. Le pays se complaît, en un contexte, de divisions, quasi-« guerre civile, permanente ». Féodalités, particularismes, chapelles, sous-chapelles, opposent, déchirent. Ce qui n’est pas, favorable, à notre jeunesse.
Tout jeune, peu ou, prou, souffre seul et, en silence, de cette déliquescence. Du lent délitement, de la « salvatrice rédemption », laquelle, est féconde introspection, intériorité, de la méditation vraie. Elles seules, absolvent, consolent, encouragent, irradient, forces et, espérances. Faisons, acquérir, à tout junior, les repères essentiels, pour progresser, mieux, s’épanouir, réussir. En ce monde, si dur, affolé, en perte, d’âme, vertigineuse. Les jeunes ont un grand, besoin viscéral, de guidance morale adulte. Ils désespèrent, de ne pas, la trouver, faute, de « passeurs, de vie » ! La vacuité, ne peut porter1150.
Notre devoir, d’aînés, est de croire, en eux, nous-mêmes, l’existence. Pour bien, leur insuffler, cet oxygène, d’idéal, vital, pour tous. Le jeune ne peut croire, en rien, si l’adulte, ne croit, en rien. Si ce dernier, ne lui transmet rien ou, du mauvais ou, pas grand-chose ! L’on ne supprimera, véritablement, que ce que l’on remplacera. La « tragédie juvénile » vient, de ce qu’un très long, méthodique, travail, de « sape civilisationnelle », se soit opéré, en Europe, en Occident. Depuis, déjà, trois siècles.
Avec, un emballement foudroyant, depuis, le Premier Conflit mondial (1914-1918), puis, le Second (1939-1945). Sans, qu’il soit, pour autant, proposé, de réel modèle, de succession, fondateur pertinent. Notre ère / aire culturelle occidentale, initiale, reposait, sur la pensée philosophique, de l’Antiquité grecque, classique et, hellénistique (510-146 av. J.-C.). En particulier, socratisme : raison, connaissance, de soi, méditation, en soi1151. Platonisme : primauté, de l’idée intérieure, cogitée, sur le monde extérieur, perçu1152. Aristotélisme : empirisme, logique, syllogisme1153.
Notre socle, de pensée morale commune, est, également, issu, de l’Antiquité romaine (509 av. J.-C.-476). Notamment, stoïcisme : prônant, la vertu, selon, la raison, au-delà, du bien individuel. Pour atteindre, le bien, des valeurs morales. Privilégiant, tout, ce qui dépend, de l’homme, son devoir. Enseignements, de Sénèque, (Philosophe romain, v. 4 av. J.-C.-65) : pleine maîtrise, de toutes les passions, par la seule, raison. Formation, de l’âme, par la connaissance. Recherche, de la sagesse, du bonheur1154.
Vision, d’Épictète, (Philosophe, Grèce, Rome, 50-125) : droiture, d’esprit, liberté, humanisme et, saine reconnaissance, des ultimes, limites humaines. Au regard, de la perfection divine. Acceptation, de son destin, tolérance, humilité1155. Pensée, de Marc Aurèle, (Philosophe, empereur romain, 121-180) : pleine autonomie, de l’individu, libre, par son jugement et, rattachement, de l’homme, à l’univers. Intériorité morale supérieure, le préservant, des aléas prosaïques matériels, de la vie. Ce qui implique, force ascèse et, exigeants dépassements, de soi, permanents1156.
La spiritualité chrétienne (Ier s.-) vient, en contrepoint, à la foi juive (XIXe s. av. J.-C.-). Théologie révélée trinitaire, incarnée, rédemptrice, universaliste, issue, des enseignements moraux, du Christ. (Moyen-Orient, v. 5 av. J.-C.-30).
« Je suis le Chemin, la Vérité, la Vie. Nul, ne vient, au Père, que par moi ».
(Jean, évangéliste, Ier s., Évangile, XIV-6, Nouveau Testament, La Bible, Moyen-Orient, Ier s.)1157.
« Il n’y a, ni Juif, ni Grec, ni homme, ni femme, ni esclave, ni homme libre, car, tous, ne faites qu’un, en Christ ».
(Paul de Tarse, apôtre, Ier s., Épître aux Galates, III-28, Nouveau Testament, La Bible, Moyen-Orient, Ier s.) 1158.
« Là, où, deux ou, trois, sont assemblés, en mon nom, je suis, au milieu d’eux ».
(Matthieu, Ier s., évangéliste, Évangile, XVIII-20, Nouveau Testament, La Bible, Moyen-Orient, Ier s.)1159.
F.-R. de Chateaubriand a, très bien, résumé, sublimé, la quintessence, de la divinité consubstantielle, créatrice et salvatrice. En ses trois hypostases, du Père-Déité, Fils-Verbe, de l’Esprit-Amour. (F.-R. de Chateaubriand, écrivain français, 1768-1848, Génie du christianisme, œuvre littéraire et, apologétique, France, 1802)1160. Le subversif substrat, de la mystique des Lumières, du scientisme, couronnait l’édifice, de notre philosophie, d’Occident. Cartésianisme, rationalisme, cosmopolitisme1161. Ce qui allait conduire, les citoyens et, peuples, de la planète, à faire valoir, leurs droits humains.
Suit, l’ « espoir », des déclarations, des Droits de l’Homme, des révolutions, anglaise (1642-1651 / 1688-1689, en 1689)1162, américaine (1765-1783, en 1789)1163, française (1789-1799, en 1789)1164. Postulats, de progrès, justice fraternelle, quasi illimités, pour tous. Foi, en l’humain, tolérance absolue, liberté, égalité, sûreté. Cela, habitait, tous les esprits, en quête, d’avancées, épris, de dépassement terrestre. Cette précieuse herméneutique, s’est délitée, perdue.
Tout, change, quand, l’accomplissement individuel et, collectif bienfaisant, passe, après, la passion mauvaise « obsédante », compulsive, quasi instinctive. Celle, du lucre, du confort, du pouvoir, de la force et, la domination violente, des plaisirs frelatés, perversités, insanes et cyniques. Quand, l’intérêt personnel, le plus vil, parfois, le plus illégitime, obère, le « salut moral » général, de tous. Quand, les jeunes intègrent, dès, l’enfance, que pour réussir, être bon, ne suffit pas. Qu’il faut, faire mieux, que les autres, les dépasser, « réduire, à néant », pour parvenir. Que, vaut donc, un succès, un bonheur, pour soi, aux pires dépens, d’autrui ?
Ce, qui est « gagné », en primes licences, facilités matérialistes, hédonistes, individualistes, « se perd », en ultimes aptitudes, à la sérénité, la paix, l’amour. Le « bonheur » a été évincé, par le « profit ». L’homme contemporain se retrouve, fort aliéné, manipulé, conditionné, par la multiplication, de faux besoins, totalement, artificiels, superficiels. Ce qui crée, des frustrations, dépendances, conformismes matériels, idéologiques, moraux. Ainsi, la société, d’aujourd’hui, n’est pas plus, en réalité, « libérée », que celles, de jadis1165. Après, la sagesse, des Anciens, celle, des traditions orales actives, de l’écriture, l’impression, puis, la numérisation, ont valu, pour l’humanité, une certaine déperdition, de mémoire vive.
Or, il est, plus, que jamais, possible, de bien concilier, « vie, dans le siècle » et, conformation, à un minimum, de « règles » valides, recevables, structurantes. Sans anarchies, décérébrantes, ni, fermetures d’esprit, rigides. Les libertés tempérées, en conscience, sont la seule et, unique voie, d’authentique « Salut ». Pour le plein épanouissement, des jeunes, moins jeunes, des générations actuelles et, futures1166 ! Afin, de concilier, tant, les latitudes, de chaque junior, que le libre-arbitre, des autres humains. Le jeune n’est pas, cet « olibrius », irresponsable et inconséquent, que l’on se plait, bien trop souvent, à dépeindre. Aux adultes, à permettre, à la juvénilité, d’acquérir, pleine densité morale. Par l’exemplarité irréprochable, d’une rigueur existentielle, à toute épreuve !
1815, marque, l’ultime fin, de la première dynastie impériale française, (Premier Empire, France, 1804-1815), depuis, les souverains francs carolingiens et, empereurs d’Occident. (Europe, IXe-Xe s.). D. de Villepin s’interroge, alors.
« Dans ce cimetière, des illusions perdues et, des légitimités défuntes, partout, pointe, la désespérance, d’un peuple, troué, de haines et, défaites. Partout, rôde, le spectre, du désenchantement, tandis que, les âmes rongées, portent, le soleil noir, de la mélancolie1167. Cette marée basse, du cœur et, de la raison, « fait le lit », d’un universel scepticisme, d’un étrange attentisme, à rebours, des passions violentes, qui ont ponctué, notre histoire ».
(D. de Villepin, homme d’État, écrivain français contemporain, Les Cent-Jours ou, l’esprit de sacrifice, essai historique, France, 2001)1168.
Comment, ne pas entrevoir-là, un grand, saisissant, suffoquant, parallèle, entre, l’historique fresque dépeinte et, tout, ce que ressentent, nombre, de jeunes, « en déroute », recherche, d’eux-mêmes ? De ce que, la Constitution, des États-Unis d’Amérique, nomme, « The Pursuit, of Happyness, La Quête, du Bonheur » (1787). Ne laissons pas, mourir, l’idéal, de toute une génération, « catatonique », écrasée, par son destin !
Elle nous attend, compte beaucoup, sur nous, pour lui « révéler », les vraies raisons, de croire, croître, d’espérer. Ne la décevons pas, nous aurions alors, à en subir, les conséquences, les plus cuisantes, exorbitantes ! Aider, nos jeunes, à mieux, s’accomplir, s’épanouir, réside, en un savant équilibre, un délicat compromis. Entre, un certain idéalisme raisonné, d’une part et, un réalisme tempéré, d’idéal, de l’autre. En cette téléologique optique, la première école, est celle, du nominalisme, avec son grand théoricien, G. d’Ockham (1285-1347)1169. Philosophe, théologien anglais, disciple, du célèbre mystique franciscain, écossais, J. Duns Scot (v. 1266-1308)1170.
Arguant, de la supériorité, du divin, du spirituel, sur la pure rationalité. L’accent est alors, mis, sur l’individu, en opposition, à l’universel, sur tout être humain, à l’encontre, de la seule, raison. En cette même, filiation intellectuelle, comme, morale, le théoricien italien, Marsile de Padoue (v. 1275-1343), assigne, comme, fondement, à la vie humaine, le salut et, le bonheur, distinguant, résolument, foi et, raison1171. Ce qui reste, d’actualité, pour tout jeune : l’équilibre profitable, entre adhésions personnelles et, réalités extérieures.
La seconde vision, est celle, de la scolastique, de T. d’Aquin. (Théologien, philosophe, États italiens, 1225-1274). Elle met, en avant, l’universalité suprême, des entités essentielles supérieures, intangibles1172. Loin, du romantisme « échevelé », de leurs devanciers, du premier dix-neuvième siècle, comme, du nihilisme vengeur, de ceux, du second vingtième. C’est ainsi, que nos jeunes, d’aujourd’hui, ne souhaitent, qu’une unique chose. Au demeurant, légitime, raisonnable : vivre, réussir et, être heureux.
Ils n’aspirent plus, aux illusoires refuges, de nouveaux « eldorados » imaginaires. Pas davantage, à la fallacieuse, rageuse, destruction, d’anciens mythes fondateurs. À l’hypothétique fin, d’une société, à laquelle, malgré, les « infâmes tares, souillures », qu’ils lui re/connaissent, ils veulent pourtant, encore, croire. Solidement, s’arrimer. Tant, ils savent, avec sagesse, courage, que peu ou, pas, d’autres alternatives, conservatrices ou, révolutionnaires, sont à portée, de probable horizon, prévisible.
Ainsi, les juniors contemporains, ont-ils rejoint, J. Racine, (Dramaturge, France, 1639-1699) ou, R. Aron. (Philosophe, France, 1905-1983). En leur appréhension, du monde, de la vie, des humains. Tels, qu’ils sont, qu’ils les voyaient, en leur syncrétique « brutale, froide objectivité ». Plutôt, que P. Corneille, (Dramaturge, France, 1606-1684), ou, J.-P. Sartre, (Philosophe, France, 1905-1980), plus subjectifs. Jaugeant, la société, telle, qu’ils auraient, idéalement, aimé, préféré, qu’elle soit, telle, qu’elle aurait dû être, à leurs yeux1173. C’est, avec, cette juvénilité, si ordinaire, plutôt, réaliste, pragmatique. Qui refuse, à juste titre, d’être « allogène », à sa propre culture, que le monde adulte, a, à composer. En l’intérêt, fort commun, de notre siècle contemporain, le vingt-et-unième.
« Entre, silencieusement, le vice, appuyé, sur le bras, du crime, M. de Talleyrand, [Homme d’État, France, 1754-1838], marchant, soutenu, par M. Fouché, [Homme d’État, France, 1759-1820] ; la vision infernale passe, lentement, devant moi, pénètre, dans le cabinet, du roi et, disparaît ».
(F.-R. de Chateaubriand, écrivain français, 1768-1848, Mémoires d’Outre-tombe, autobiographie historique, France, 1849-1850)1174.
Ainsi, notre jeunesse, encourt, de la part, de ses aînés, deux potentiels fléaux. Le vice abandonnique, de la vacance éducative et, morale ou, spirituelle. Le coercitif crime, de l’ « encasernement » social, idéologique, de type monopolistique1175. Or, cela, ne sème pas, espérance, mais, amertume, au cœur, de notre génération nouvelle. Considérée, avant tout, comme, « hérétique », elle ne récolte, que féroce et, implacable malédiction. Elle peut s’infliger, à elle-même, en « folle desperado kamikaze », deux autres dangers. Le découragement, de l’autodévalorisation. Les chausse-trappes, de la suffisance. Les adultes éprouvent, les plus grandes difficultés, à observer, une attitude, d’équilibre. Faite, de respect, fermeté, à l’égard, des jeunes. La tentation, de la commodité, est toujours, fort grande. Soit, de déserter, la responsabilité pédagogique. Soit, de dominer, sans nuance.
Quant aux jeunes, eux-mêmes, il leur arrive, trop fréquemment, de céder, à la coupable faiblesse, des afflictions autocomplaisantes. À celle, de l’excès, de la sotte confiance, en soi, vaniteuse, narcissique. Il appartient, aux éducateurs, d’éclairer, hardiment, les juniors. Sans, brutal passage, en force. De leur apprendre, l’amour, de soi, et, d’autrui, en l’humilité. En apparence, la « fracture, des générations », ce que, S. Huntington, appelait, dans le domaine géopolitique, le « choc des civilisations », s’est réduite. (S. P. Huntington, politiste, États-Unis, 1927-2008, Le Choc des civilisations, essai, d’analyse géopolitique, États-Unis, 1996)1176. Jeunes et, adultes, ne s’ « empoignent » plus, avec hargne, comme, jadis. La cohabitation semble devenue, plus harmonieuse, apaisée.
Les valeurs et, habitudes, de vie, se sont rapprochées. La « libération », des années 1970, est passée, par-là. Comme, le dit, la chanson, « Chacun, fait, fait, fait, c’qui, lui plaît, plaît, plaît » ! (Groupe, Chagrin d’Amour, Chacun fait (c’qui lui plaît), œuvre musicale, France, 1981)1177. En réalité, cette très belle entente, d’apparence, tantôt, apollinienne, tantôt, dionysiaque, n’est, qu’une pauvre illusion. Les frictions sont moindres, plus rares, car les générations, ne vivent plus, véritablement, ensemble, mais, chacune, de son côté. En une sorte, de forts « éparpillement et, émiettement, générationnels ». Il y a, la société enfantine. Le monde juvénile.
L’univers, des adultes. Le milieu, des personnes âgées. Les passerelles, d’intercommunication, se font, « ténues ». Sans contacts réels, les crises sont rendues, improbables. L’on fait semblant, de se comprendre. Tant, que chaque communauté, vaque, comme, elle l’entend, à ses petits intérêts et, arrangements propres. Telle est, la vile société, des « pleutres consensus mous » et, menus compromis ou, concessions factices. Comme, autant, de sinistres compromissions morales. Le dialogue, des générations, n’est qu’un vœu pieux.
« L’homme est un jeune diminué ».
(M. Houellebecq, écrivain français contemporain, Extension du domaine de la lutte, œuvre littéraire, France, 1994)1178.
Entre cadets et, aînés, Modernes et, Anciens, monologues, soliloques, apartés, prévalent ! Les jeunes sont, tout juste, tolérés. Tant, qu’ils ne dérangent pas, le délicat ordonnancement, si savamment, inlassablement, patiemment, établi, par les adultes. Les cadets se montrent, pourtant, souvent, plus pondérés, que leurs aînés. Ils ont définitivement, adopté, la conception, de la félicité, d’A. Camus.
« Qu’est-ce, que le bonheur, sinon, l’accord vrai, entre, un homme et, l’existence, qu’il mène » ?
(A. Camus, écrivain français, 1913-1960, Noces, recueil d’essais autobiographique, France, 1939)1179.
« Le bonheur est la plus grande, des conquêtes, celle, que l’on fait, contre, le destin, qui nous est imposé ».
(A. Camus, Lettres à un ami allemand, chroniques, France, 1945)1180.
À la réflexion, une acuité juvénile mature, lucide, toute virgilienne. Si éloignée, des trépidations, soubresauts, convulsions, que le monde veut, à toute force, lui imposer. « Felix, qui potuit, rerum cognoscere causas ». « Heureux, qui se voit, en mesure, de percer, les fondements, même, de l’existence ». Serait-ce, encore, envisageable1181 ?
À l’aune, de la Révolution d’Octobre, (Russie, 1917-1918), la « ci-devant », Russie impériale, est devenue, Union Soviétique (1922-1991). Le « cacique » bolchevique, K. Radek, (Autriche-Hongrie, Russie, Urss, 1885-1939), se voit, surpris, à déambuler. Devant, une ex-institution, de jeunes filles, de l’aristocratique, haute société, de l’Ancien Régime. Ses pairs sont étonnés, de cet étrange comportement, quasi déviationniste, pour un laudateur, de l’ordre nouveau. Ils le questionnent donc, sur l’inavouable raison, de son intérêt, pour les « stigmates », de temps, si révolus. L’intéressé aura alors, cette forte répartie, remarquable : La nostalgie, camarades1182 !
Prenons garde, à ce que nos descendants, par trop, mélancoliques, faute, de pouvoir, s’épanouir, au présent, ne soient incités, à l’ « égotisme », de nostalgiques replis, d’enfermements. Vers l’infantile, passé révolu, tout comme, en, l’à venir, d’illusoires, faux « paradis, d’évasions », maudits. À l’image, de ce garçon, de dix-neuf ans, si inquiet, de l’approche, de ses vingt ans ! En craintes, de son avenir, à l’instar, de tant, de ses semblables. Avouant, de façon, régressive, préférer, revenir, à ses dix ans ! Si, vingt ans, n’est pas, ipso facto, « le plus bel âge, de la vie », comme, l’a, fort justement, écrit, P. Nizan, c’était une étape, de vie, espérée, des jeunes. C’est, désormais, un « grand effroi » juvénile !
(P. Nizan, écrivain français, 1905-1940, Aden Arabie, essai pamphlétaire, France, 1931)1183.
Le magistral, drame historique cinématographique, sorti, pour le bicentenaire, de 1789, La Révolution française, s’ouvre, sur une scène, d’anthologie. Un jeune élève, est à genoux, dans la boue, sous la pluie battante. Il déclame, un compliment, en vers latins, à un haut personnage, dont, l’on ne voit pas, le visage, resté, assis, à l’abri, de son carrosse, à l’arrêt. L’un, des chevaux, de l’escorte, donne, un coup, de sabot, ce qui couvre, de boue, le potache, déclenche, la risée, de ses camarades. Puis, sur un geste, de l’Excellence, le convoi s’ébranle. Nous sommes, en l’an, de grâce, 1775, quatorze années, avant, la prise, de la Bastille.
Le nouveau roi, Louis XVI, (France, 1754-1793), vient, de monter, sur le trône. C’est lui, qui écoute, l’adresse, de son jeune sujet, scolarisé. De retour, de la cérémonie, de son couronnement, à Reims, le souverain fait son entrée, en sa capitale. La scène se déroule, exactement, le 15 juin 1775. Devant, l’entrée, de l’éminentissime, collège royal, de Louis-le-Grand, rue Saint-Jacques, à Paris, la communauté éducative, assemblée. Le jeune déclamant est un élève de dix-sept ans. Il a été choisi, comme, le meilleur représentant de sa classe de rhétorique. Il s’appelle… M. de Robespierre, (Avocat, France, 1758-1794), son condisciple présent, C. Desmoulins ! (Avocat, France, 1760-1794).
Facétieuse ironie, de l’Histoire ! Ce jeune collégien ne sait pas, qu’il sera, un jour, amené, à succéder, à la tête, de son pays, au monarque, qu’il congratule. Qu’il contribuera, à sa déposition, au remplacement, de la monarchie, par la république. Que, quand, il aura doublé, son âge, il enverra, le roi, de sa jeunesse, à l’échafaud, avant, que d’y finir, lui-même, l’année suivante ! Maximilien, au collège, n’envisageait, nulle, carrière politique, or, juridique. Il était, bien en peine, d’imaginer, la fin, de la royauté, l’établissement, d’une république, dont, il serait, l’un, des acteurs majeurs. Les jeunes ignorent tout, du destin, qui sera, le leur.
Tout occupés, qu’ils sont, à grandir, apprendre, savoir, connaître, découvrir, le vaste univers. Qui sont, les juniors actuels, appelés, aux plus hautes destinées, à l’échelle, de leur pays, continent, voire, du monde ? Seul, l’avenir, peut le dire. Or, n’oublions jamais, que si, l’homme adulte, peut être grand, cela, signifie, qu’il l’était déjà, en gestation, en ses vertes années. En toute humilité, honorons donc, nos jeunes cadets, de la considération, qui leur revient, de droit. N’attendons pas, qu’ils aient quitté, leur jeunesse, car, cela, serait une faute et, une iniquité ! Le film se clôt, par les dernières paroles publiques, de Danton, (Avocat, France, 1759-1794), avant, son exécution. Puis, par la mort, de Robespierre1184. Le premier, y livre, son testament politique.
« Nous avons brisé, la tyrannie, des privilèges, en abolissant, ces pouvoirs, auxquels, n’avait droit, nul, homme. Nous avons, mis fin, au monopole, de la naissance et, la fortune, dans tous ces grands offices, de l’État et, dans nos églises. Dans nos armées, dans toutes les parties, de ce grand corps magnifique, de la France. Nous avons déclaré, que l’homme, le plus humble, de ce pays, est l’égal, des plus grands.
Cette liberté, que nous avons acquise, pour nous-mêmes, nous l’avons affectée, aux esclaves. Comme, nous confions, au monde, la mission, de bâtir, l’avenir, sur l’espoir, que nous avons, fait naître. Cela, est plus, qu’une victoire, dans une bataille, plus, que les épées, que les canons et, toutes les cavaleries, de l’Europe. Cette inspiration, ce souffle, pour tous, les hommes, partout et, en tout lieu, cet appétit, cette soif, de liberté, jamais, personne, ne pourra, l’étouffer ».
Magnifique idéal, offert, à la jeunesse, d’ici et, d’ailleurs, d’hier, d’aujourd’hui et, de demain ! Raillerie, de l’Histoire, Robespierre vit, ses derniers instants, en son ex-collège, devenu, prison ! Ainsi, de sa juvénilité, à sa disparition, via, la fin, de son rival, Danton, tout est consommé, dit, l’âge, d’homme, est accompli. En ses subtils jeux, prométhéens, d’ombres et, de lumières1185.
L’essentiel, pour nos jeunes actuels, demeure : la réalisation, de soi. Pour la France, à venir, ils veulent promouvoir, les valeurs, de travail, à 37 pour cent. Le respect, entre les gens, à 34 pour cent. Le respect, de l’environnement, à 29 pour cent. La réduction, des inégalités, à 27 pour cent. La solidarité, à 22 pour cent. La justice sociale, à 22 pour cent. L’innovation, la créativité, à 17 pour cent. La famille, à 15 pour cent… Leurs principales préoccupations, sont l’emploi, à 51 pour cent. Le pouvoir, d’achat, à 46 pour cent. Le logement, à 30 pour cent. Les études, l’enseignement, à 26 pour cent. L’insécurité, à 17 pour cent. L’environnement, à 17 pour cent. Les conditions, de travail, à 14 pour cent. Puis, la dette publique, à 14 pour cent… 69 pour cent, des juniors, interrogés, se disent, heureux. 30 pour cent, pas heureux.
Face, à la société, les juniors disent, avoir, un état d’esprit réaliste, à 31 pour cent. En rupture, à 27 pour cent. Contestataire, à 22 pour cent. En retrait, à 17 pour cent. Pragmatique, à 15 pour cent. Modéré, à 15 pour cent… 63 pour cent, ne se sentent pas tenus, en considération, dans la société française. 24 pour cent, seulement, se sentent, pris en compte ! L’avenir, de la France, est, pour eux, surtout, une source, d’inquiétude, à 78 pour cent. Surtout, une source, d’espoir, à 15 pour cent. 65 pour cent, ne pensent pas, vivre mieux, que leurs parents. 26 pour cent, sont convaincus, du contraire. Les jeunes, qui croient que, c’est l’État, qui pourra, « faire évoluer, la société », sont parmi, les plus nombreux, à 43 pour cent. Ce qui est fort inquiétant, en terme, de dynamisme, d’un pays et, d’une jeunesse ! Il n’en va ainsi, en nul, autre pays, d’Occident ! Cela, mène, aux pires totalitarismes, collectivismes, tyrannies.
L’école est source, de plaisir, pour les jeunes, à 60 pour cent. Une source, de difficultés, à 27 pour cent. 70 pour cent, pensent, que ladite école, prépare mal, à l’emploi. 23 pour cent, qu’elle le fait bien. 66 pour cent, estiment, que la priorité, de l’institution scolaire, est de bien, préparer, à un métier. 29 pour cent, de former, un citoyen. 70 pour cent, affirment, que l’école ne donne pas, les mêmes « chances », à tous. 27 pour cent, qu’elle y parvient. 60 pour cent, des juniors, pensent, que le travail professionnel, est plutôt, un épanouissement.
29 pour cent, plutôt, une contrainte. 64 pour cent, des jeunes, sont plutôt, pour un « changement, de modèle économique ». 18 pour cent, ne le souhaitent pas. 69 pour cent, disent, que leur entrée, dans la vie active, a été facile. 30 pour cent, difficile. Les adojuniors se sentent français, à 40 pour cent. De leur région, à 24 pour cent. Citoyens, du monde, à 15 pour cent. Européens, à 10 pour cent. Rien, de cela, à 9 pour cent. Pour eux, l’Europe n’est pas, une source, d’espoir, à 48 pour cent. L’est, à 39 pour cent.
(Sondage d’opinion, pour les publications, Libération et, Animafac, Les jeunes et l’avenir, France, 1008 jeunes, de 18-25 ans, Viavoice, 2012)1186.
Ce tableau, de la jeunesse actuelle, est contrasté, ambivalent. Un certain équilibre personnel, d’une part. De grandes inquiétudes, quant à l’environnement existentiel, de l’autre. Les jeunes vivent leur quotidien, « du mieux, qu’ils peuvent ». Or, ils sont désabusés, malheureux, du monde adulte, qui leur échoit ! Le propre, de la jeunesse, est d’attendre beaucoup. La déception est, à la mesure, de l’espoir. Pour autant, en dépit, des mauvais procédés, qui lui sont faits, qu’elle conserve, sa foi, en elle.
« La Russie est un rébus, enveloppé, de mystère, au sein, d’une énigme ». (W. Churchill, homme d’État, Royaume-Uni, 1874-1965). De même, « la jeunesse reste, un ésotérisme, auréolé, de secret, en un tout, des plus hermétiques » ! Beaucoup, a été accompli, depuis, un siècle, en Occident, pour mieux, la comprendre, l’accompagner, l’aider, à grandir, s’épanouir. Or, la juvénilité demeure, fort inconnue, méconnue, ignorée, délaissée, incomprise, maltraitée, vilipendée. Ce qui doit, changer. Pour le reste, sa part inaccessible, lui appartient et, la préserve, du pire !
En son livre d’exception, Le Mal français, l’auteur, A. Peyrefitte, nous livre, des clés capitales, pour éclairer, les difficultés, de notre jeunesse. À la lumière, des travers, de son pays, de sa société nationale. Parue, en 1976, cette grande leçon, d’intelligence, de salutaire introspection, si lucide, a fait date. Elle demeure, plus, que jamais, fort, d’actualité, quatre longues décennies, après. Bien plus, de façon, très prémonitoire, elle se révèle, plus pertinente, encore, aujourd’hui, qu’à l’époque, de son écriture, entre 1968 et, 1976. Le pays sortait alors, de trois décennies, de réformes, changements, prospérité, d’expansion, sans précédents, en notre Histoire.
Ce qui n’empêchait, nullement, hélas, nos blocages conjoncturels et, surtout, structurels, de perdurer. Aujourd’hui, après, de si dures décennies, de marasme socioéconomique, moral, tout autant, inédit, nos défauts sociétaux sévissent, d’autant plus, que jamais. Car, aux fondements même, de tant, de désastres humains, depuis, plus, de trois siècles, figurent, des conceptions mentales rigides, archaïques et, inadaptées. Dont, la jeunesse, de France, est la première victime, toute désignée. Notre passé national, depuis, Vercingétorix, (Souverain, chef de guerre, Gaule, 80-46 av. J.-C.), en porte, le sinistre sceau, funèbre et funeste. Avec, dramatique accélération, depuis, la Fronde, (Troubles politiques, France, 1648-1653), la Révolution, (France, 1789-1799).
Multiplication, des régimes politiques, depuis, l’Ancien Régime, (France, 1589-1789), dont, nul, ne dure, à l’échelle historique. L’on évoque, une Sixième République, alors, que l’actuelle, a à peine, six décennies ! Échecs, renversements, funestes fins, de nombre, de chefs d’État. De saint Louis (1214-1270), à Henri IV (1553-1610), Louis XVI (1754-1793), à Napoléon III (1808-1873), S. Carnot (1837-1894), à P. Pétain (1856-1951). Changements, de dynasties, sous nos monarchies, médiévale et moderne. Sanglantes révolutions, suite, sans fin, de régimes politiques, de 1789, à 1804, 1815, à 1830, 1848, à 1870, 1940, à 1946, puis, 1958. Effarante succession, de conflits armés, batailles perdues, guerres civiles, coloniales, rébellions partisanes, révoltes sociales.
D’occupations étrangères, d’idéologiques luttes, de religions et, d’hexagonales dissensions, des plus tragiques. De 1814 / 1815, à 1870, 1914-1918, 1940-1944, à 1962. De la Guerre de Cent Ans (1337-1453), à celle, de Trente (1618-1648), aux effroyables pertes, des guerres (1667-1714), de Louis XIV (1638-1715). Celles (1803-1815), de Napoléon Ier (1769-1821). Sans compter, une économie anémiée, sauf, quand, elle s’ouvre, sous Louis XV (1710-1774), Napoléon III ou, C. de Gaulle (1890-1970). Une vie sociale, éducative, scientifique, étouffée, par des mentalités figées. Pourquoi, un tel gâchis, d’une nation, si brillante, d’un point de vue, intellectuel, culturel, spirituel, moral, inventif et, créatif ? A. Peyrefitte, (Homme politique, écrivain, France, 1925-1999), le démontre, avec grand brio, sans concessions ni, complaisances. Il s’interroge, d’emblée, en saine et fructueuse introspection et, profonde et féconde analyse :
« Quelle fatalité, semble peser, sur les Français ? Pourquoi, le peuple, des Croisades, [Europe, Moyen-Orient, 1095-1291], de la Révolution, [France, 1789-1799], de Pascal, [Philosophe, France, 1623-1662] et, de Voltaire, [Philosophe, France, 1694-1778], ce peuple vif, généreux et, doué, fournit-il, si souvent, le spectacle, de ses divisions, son impuissance ? Pourquoi, parmi, les nations avancées, d’Occident, compte-t-il, les écoles d’ingénieurs, les plus prestigieuses ?
Une industrie, si longtemps, retardataire, une balance technologique, si constamment, défavorable ? […]. De si bons chercheurs et, aussi peu, d’innovations ? Les meilleurs universitaires, mais, de si médiocres universités ? […]. Les soldats, les plus courageux, les officiers, les plus brillants et, tant, de défaites ? L’administration, la mieux sélectionnée et, la plus apte, à intervenir, en toutes choses, mais, de tels échecs, dans les domaines, qu’elle est censée, diriger ? […]. Semblable passion, pour les libertés et, pareille maladresse, à les organiser ? […] ».
La société, de confiance, celle, de l’Occident, du Nord, est plus apte, à réussir. La nôtre, latine, à échouer. Le sujet, à qui, la société, fait confiance, acquiert, « foi », en lui-même. Les libertés sont sauvegardées. Le citoyen conserve, la majeure partie, de sa souveraineté, sans déléguer, plus, que nécessaire, aux dirigeants. L’autorité est d’abord, individuelle, chacun, assume, sans échappatoire, toutes ses responsabilités. Adaptation, efforts personnels, initiative, réactivité, d’actions pratiques. Tels sont, les traits, de la société, de confiance. La société, de défiance, est celle, des dépendances hiérarchiques, inconsidérées.
L’autorité sacralisée vient, du haut, vers, le bas, est verticale, rigide, laxiste, au lieu, d’être horizontale, souple, rigoureuse. Totalitaire, impérative, subie, au lieu, d’être démocratique, participative et, très librement, consentie. Le supérieur l’emporte toujours, ès qualité, sur le subordonné. Tout, concourt ainsi, à l’inertie, la passivité, l’attentisme, au découragement. Les interdits, contrôles a priori et, non, a posteriori, l’emportent, sur les latitudes personnelles, d’action, d’expression. Cela, ne laisse, d’autre choix, que l’ « esclavage résigné » ou, le « nihilisme violent ». À l’administré, toujours, contraint, qui l’est, bien plus, qu’authentique citoyen, souverain. L’ « inquisitoire l’emporte, sur l’accusatoire ».
Le mal français est, avant tout, la stérilisation, des forces, de tout citoyen, par l’omnipotence, de l’État. Qui en est, impotent, à force, d’enflure démesurée, déraisonnable. Il a, pour noms : centralisme, concentration, bureaucratie, dirigisme, excès, abus, de pouvoir, réglementation, sur tout et, tous, fiscalisme. Cela, débute, avec l’absolutisme, du Roi-Soleil, (France, 1661-1715). Sous couvert, de puissance, cela, signe, déjà, le « déclin », du pays. Préjugés nobiliaires, antiéconomiques, fixité, le parachèvent. Dès, 1694, Fénelon, (Prélat, France, 1651-1715), s’en alarme, en une missive, au souverain.
« Vos peuples, meurent de faim. La culture, des terres, est presque, abandonnée ; les villes et, la campagne se dépeuplent ; tous les métiers languissent et, ne nourrissent pas, les ouvriers. Tout commerce, est anéanti. Vous avez détruit, la moitié, des forces réelles, du dedans, de votre État… La France entière, n’est plus, qu’un grand hôpital, désolé ».
La France, jusqu’alors, appelée, « Grande Nation », ne l’est plus, en la réalité, des faits, dès, sa défaite, de Waterloo. (Belgique, 1815). Du point de vue, démographique, politique, diplomatique, militaire, socioéconomique et, culturel. L’Ancien Régime, (France, 1589-1789), meurt aussi, d’incapacité, à assurer, la subsistance, de ses peuples. 1789, est année, de disette. Outre, les raisons politiques, peste, famines, guerres, le balaieront.
En revanche, le Nouveau Monde protestant, assurera, sa pleine fortune, honorant, sa triple devise : « Créer, Croître, Croire, en soi » ! Le catholicisme romain, de l’Ancien Monde, est plus théorique, rigide et, dogmatique, mystique et, centralisé. Il n’a pas assez, favorisé, la prospérité, des sociétés, des États latins. Contrairement, au protestantisme, si pratique, de la Réforme luthérienne, surtout, calviniste, des pays, du Nord (XVIe s.). M. Weber, (Sociologue, Allemagne, 1864-1920), le démontre, en son ouvrage : L’Éthique protestante et l’Esprit du capitalisme (1905/1920).
Jusqu’au seizième siècle, le christianisme est, tout à la fois, apostolat libérateur et, césarisme oppressif. Puis, la Réforme protestante, se veut libératrice, quand, la Réforme catholique mise, sur le plus strict contrôle, des esprits. Les sociétés protestantes, plutôt, innovantes et, prospères, vont, vers la tolérance, la démocratie et, le polycentrisme. Sous l’influence, d’Érasme. (Théologien, Pays-Bas, 1469-1536). Quand, le catholicisme, fils, de l’imperium romain, spirituel, unitaire, routinier, se défie, davantage, du pluralisme, de l’économie, choisit, le monocentrisme. Le monde monocentrique malthusien, immobiliste, protectionniste, limite, dynamisme, créativité, dépassement, de soi.
La société polycentrique, d’échanges, d’innovations, d’ouverture, tous azimuts, les favorise, tout au contraire. Les petites structures polycentriques, encouragent, l’autonomie, de décision et, le libre-arbitre individuel. Elles sont plus capables, d’adaptation, de progrès et, de créativité inventive. Les grands agglomérats monocentriques, se condamnent, à périr, car, leur démesure, même, leur interdit, toute adaptation, au monde. Comme, en Mai-68, notre jeunesse refuse, de « ne pas mourir, de faim », en pâles contreparties, de « mourir, d’ennui ». En pays protestants, les écoles sont autonomes ou, sous le regard, des autorités locales.
L’enseignement public ne vient, que suppléer, le privé. Le système scolaire est diversifié, ce qui assure, le dynamisme, des méthodes éducatives. Prévaut, une pédagogie horizontale, de confiance, qui encourage, l’effort, la ténacité, la persévérance, l’initiative, l’autodiscipline. Également, le dynamisme, la force mentale, l’autonomie, le jugement personnel, la richesse et, la hardiesse intellectuelles. En un mot, l’intelligence, d’esprits puissants, originaux, libres ! Les matières enseignées sont concrètes, utiles et, pratiques. Les sports, notamment, d’équipe, les arts, sont encouragés et, comptent autant, que le reste. Les filles sont les égales, des garçons, « en tout et, pour tout ».
En sociétés verticales, d’essence jacobine, catholique, l’éducation est, de type hiérarchique. L’école suit, ce système, d’autorité rigide, étatique ou, d’Église. Le monopole scolaire ecclésial, du passé, a tendu, à perdurer, sous le primat, de l’État. Le système éducatif est fort centralisé, uniforme, jusqu’à l’absurde. Ce qui limite, toute innovation, adaptation, évolution pédagogique. La défiance réciproque, entre jeunes, qui ne savent pas et, adultes, qui savent, prévaut. L’école n’adhère pas, aux jeunes, les élèves, pas, à l’éducation. L’enseignement repose, sur le cours, magistral et, unilatéral, sans participation, des enseignés.
En cas, d’oppositions, il y a, rigidité accrue, du système ou, effondrement. L’éducation est très abstraite, théorique, spéculative. Sans, applications pratiques, expérimentales ou, peu. Sports, culture artistique, sont seconds. Le sport individuel l’emporte, sur le collectif. Les garçons restent privilégiés, par rapport, aux filles, notamment, en filières, d’excellence. Même si, cela, est plus subtil, que par le passé et, si les filles, réussissent mieux, font, bien plus, d’études, désormais. Ce qui mène, à la société, de confiance, ouverte. L’homme peut s’autodéterminer, librement, en conscience.
La destinée est personnelle, première. L’autorité verticale, n’est que seconde. Si l’homme est pensé, mauvais, il est alors, considéré, comme, incapable, de juger, de lui-même, du bien et, du mal, pour sa personne et, autrui. Il en sera donc, décidé, pour lui, à sa place, de l’extérieur, par des « autorités éclairées ». La France et, les Français promeuvent, ce système, si défiant et, autoritaire. Tout particulièrement, aux dépens, des juniors. Qui auront, ainsi, plus, de mal, à grandir, être autonomes, que d’autres jeunes, d’Occident, relevant, du premier modèle.
Il y a toujours, préjugé dépréciateur, d’insuffisance, d’indignité, au détriment, de ces jeunes. De ce que, le Premier ministre, d’alors, (France, 2002-2005), J.-P. Raffarin, avait qualifié, de « France, d’en bas ». Par opposition, à la France, dite, « d’en haut ». Il y a donc, de façon, corollaire, fort favorables présomptions, d’excellences, pour les élites. Les échanges se propagent, toujours, unilatéralement, « du faîte, aux abysses », jamais, l’inverse. Pour cela, le pouvoir est sacralisé et, déifié. Depuis, la monarchie, « l’imperium romanum, césarien et pontifical », perdure.
L’auctoritas-potestas, quasi totalitaire, à la Orwell, (Écrivain anglais, 1903-1950), est une réalité, pour tous. Prévenir, surveiller, contenir, châtier, rééduquer. Le pouvoir ultra-étatique collectiviste, gère, tous les domaines existentiels, du citoyen, « de la naissance, au trépas ». Ce qui évoque, presque, le mot, de B. Mussolini, (Duce italien, 1883-1945) : « Je prends l’homme, au berceau et, je ne le rends, au pape, qu’après, sa mort ». Notre école même, est l’héritière directe, de l’enseignement jésuitique, tel, qu’issu, de la Réforme catholique (XVIe s.). L’autorité, la loi, l’ordre, y prédominent.
I. de Loyola, (Religieux, fondateur, des Jésuites, Espagne, 1491-1556), Napoléon Ier, (Souverain, France, 1769- 1821), ont modelé, de façon, très verticale et, rigide, notre système scolaire. Les républiques adoptent, prolongent, cette vision, d’assujettissement, de la jeunesse, de son éducation. Ainsi, l’école transmet, l’essentiel, à l’élève, considéré, comme, « terreau vierge et, ignorant ». Tout adojeune, est censé, s’adapter, au système éducatif et, non, l’enseignement, tenir compte, du jeune. À défaut, le junior sera rejeté. Notre école reste, avant tout, faite, pour les plus doués, plus encore, pour le « marais », fort majoritaire, central, des élèves moyens. Celui, des jeunes, les plus « malléables et, adaptables ». L’enseignement français-auctoritas, échappe, aux vraies réalités, de la vie et, se veut, avant tout, d’abstraction.
Ainsi, les langues mortes, la rhétorique littéraire, philosophique, morale antiques, sont-elles, remplacées, par les mathématiques. Autre langage, des plus abstraits et, théoriques. L’école ne tient pas, par l’adhésion, l’intérêt, de ses publics juvéniles, mais, par pure coercition, l’autorité intellectuelle, morale. La peur, de l’échec, de la menace, la sanction. Au lieu, de la passion, de la curiosité, d’apprendre, le jeune en retire, un grand sentiment, contre-productif, d’infériorité, de frustrations, d’agressivité. Voire, d’humiliation, d’indignité, de déchéance. Ce qui fait, des adultes amers, aigris, déclassés, à vie. Notre école est, peut-être, démocratique, d’un point de vue, quantitatif, or, pas, qualitatif. Ce qui génère, un enseignement, qui suscite, chez nombre, de juniors, violences, révoltes, contestations, chahuts, quasi permanents.
Ce, depuis, l’instauration, de ce système autoritariste, au début, du dix-neuvième siècle. (A. Peyrefitte, homme politique et, écrivain français, 1925-1999, Le Mal français, essai sociopolitique, France, 1976, 1996, 2006)1187. Notre jeunesse continue, de subir, à ses dépens, un système, de pouvoir, de société, de type, autoritaire, rigide, immobiliste. Lequel, ne peut, l’épanouir, la rendre prospère, la mener, à la réussite. Puisqu’il est, avant tout, fondé, sur le tourment, la pénurie, l’échec, de la majorité.
Au profit, d’un petit nombre, très restreint, d’ « élus ». Toujours, les mêmes, les « avertis », ceux, qui parviennent, à tirer profit, du régime, au lieu, de le subir, comme, la masse. Du fait, de leur précoce initiation, fort privilégiée, à ses arcanes, les plus prometteurs, difficiles et, secrets… Notre jeunesse mérite mieux, que cela, notamment, à l’âge, de fin, des études secondaires et, l’entrée, dans le supérieur. Au temps, de toutes les promesses, tous les possibles !
« Il venait, d’avoir, dix-huit ans – Il était beau, comme, un enfant – Et, fort, comme, un homme. […]. Il venait, d’avoir, dix-huit ans – C’était, le plus bel argument – De sa victoire. […]. Il venait, d’avoir, dix-huit ans – Ça le rendait, presque, insolent – De certitudes…1188 ».
(P. Auriat, compositeur, France, 1948-1989, P. Sevran, auteur, France, 1945-2008, et al., Il venait d’avoir 18 ans, œuvre musicale, France, 1974).
N’oublions pas, que les adultes, ont bien plus, de préjugés négatifs, à l’égard, des jeunes, que l’inverse. Il s’agit, pour ces aînés, de faire montre, de plus, de tolérance. Pour connaître, aimer, comprendre, aider, la néogénération, à grandir, à sa façon, vers sa destinée, propre1189. Si le monde adulte, reproche, à la jeunesse, immaturité, inconséquence, il l’a voulu, ainsi ! En son Énéide, Virgile, en un épique récit, narré, par Énée, à Didon, reine, de Carthage, fait parler, Laocoon. « Timeo, Danaos et, dona ferentes » : « Je crains, les Grecs, y compris, quand, ils offrent, des présents ». (Virgile, poète, Rome, 70-19 av. J.-C., Aeneis, Énéide, épopée, Rome, entre 29 et, 19 av. J.-C.)1190. Il s’agit, d’une référence, à la mythologie grecque antique, celle, de la Guerre, dite, de Troie, de son cheval machiavélique. Tels, qu’évoqués, par Homère, en son épique et, héroïque Odyssée.
(Homère, poète grec, VIIIe s. av. J.-C., L’Odyssée, épopée, Grèce, fin VIIIe s. av. J.-C.)1191.
Avec, Ulysse, à la tête, des envahisseurs, cachés, en piège, qui aboutira, à la perte, de Troie. En dépit, des avertissements, de Laocoon, Cassandre. Ainsi, notre jeunesse, est-elle, toujours, crainte, soupçonnée, du pire, jamais, créditée, du meilleur. Même, quand, elle est exemplaire, cas, le plus avéré, les adultes éprouvent, les pires difficultés, à avoir foi, en elle. En a priori et, préjugés, les aînés préfèrent, en réflexe, préventif et défensif, de débit – dépit ? -, se défier, d’elle.
Ce qui a, pour effet, pervers, malsain, de braquer, les jeunes, les inciter, à mal faire ou, pire, puisque, l’on ne leur accorde, nulle, confiance. Ainsi, en terrible cercle, engrenage vicieux, la société adulte, se méfie-t-elle, plus encore, de la néogénération. Laquelle, en juste retour, se fait, un devoir et, malin plaisir, de confirmer, l’injuste soupçon, des plus âgés, en multipliant, les provocations, déviances. En rétorsion, d’être si peu, comprise, écoutée et, entendue, encouragée, soutenue et, aimée.
Kongen av Bastøy, Le roi, de Bastøy, est un drame cinématographique norvégien. (Réalisation, M. Holst, 2010). Les Révoltés de l’île du Diable, titre, de la version française, rend, magistralement, compte, de ce syndrome, d’escalade, entre juniors et, adultes. L’histoire est authentique. À l’hiver 1915, deux jeunes, « en difficulté », Erling et, Ivar, sont internés, au centre, de correction, norvégien, insulaire, pour jeunes, « en perdition », de Bastøy. Créée, en 1900, l’institution conserve, son strict, régime disciplinaire, jusqu’en, 1953, ferme, en 1970. À force, de brimades, sévices, maltraitances, systématiques et inhumains, les jeunes prisonniers, sont poussés, à la révolte, la vengeance. Ils finissent, par se rendre maîtres, des lieux, chasser, leurs gardes chiourmes tortionnaires. La rébellion est durement, matée, par l’armée, les mutins, châtiés, réenfermés1192. Or, selon, J.-J. Rousseau, (Philosophe, Genève, 1712-1778) :
« L’homme est bon, c’est la société qui le corrompt ».
(Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, essai philosophique, Pays-Bas, 1755). Idem, pour le jeune !
H. Finn, le mythique personnage central, du roman éponyme, de M. Twain, est l’archétype même, du pur jeune masculin. Il s’agit, de fait, d’un jeune garçon, d’environ, quatorze ans, qui rejette fort, les contraintes sociétales adultes, pour la vie, en liberté, dans la nature. Dans le cadre et, contexte, des États-Unis, si pionniers, de la première moitié, du dix-neuvième siècle, de la conquête, vers l’Ouest. Huck fuit, le monde ordonné, ses contraintes, en compagnie, d’un esclave fugitif. En un long voyage, en radeau, au fil, du Mississippi, vers, la Louisiane.
Cela, est, pour le jeune résolu, l’occasion, d’établir, un implacable réquisitoire. Contre, l’univers adulte, ses tares, contradictions, erreurs, faux-semblants. Dans les années 1840, en l’Amérique « sauvage », d’avant, guerre de Sécession (1861-1865). Le jeune stigmatise, les rigidités morales, sociales, éthiques, les hypocrisies mêmes, des notables, éducateurs ou, prétendus, tels. Libertaire, iconoclaste, anticonformiste, Huck rejette, les conventions, de son temps, qu’il juge, illégitimes, non, fondées. Il le fait, d’autant plus, volontiers, qu’il est, lui-même, de « basse extraction » sociale, se définit, avant tout, comme, fier vagabond, sans attaches.
En véritable, philosophe moraliste, en herbe, le jeune homme, a la conscience lucide, des folies humaines. De leurs absurdités, pusillanimités, bêtise, a priori, duretés et, iniquités. Quand, le faux, se fait passer, pour le vrai, l’indigne, pour le sublime, le Mal, pour le Bien. Le junior finira, alors, par considérer, le genre humain, comme, plus déchu, répulsif, que noble, digne, d’amour. Le dualisme, l’ambivalence, entre Bien et, Mal, seront, le fil conducteur récurrent, de l’histoire. Ils ne cessent, de se mêler et, l’un et, l’autre, ne sont pas toujours, là, où, l’on pourrait, le croire. À l’encontre, de tous les préjugés, préétablis, des bienséances, les plus communément, admises et, de la société bien-pensante, dominante, installée.
Il y a, tout autant, le classique combat, de la jeunesse, des jeunes, entre, la pensée raisonnée construite et, l’instinct primitif irrépressible. À un âge, où, le cerveau adulte, se construit, de façon, spectaculaire. Une sorte, d’impitoyable, « guerre du feu », sans fins, sans merci, entre, les sphères neuronales, reptilienne, limbique et, néocorticale. Respectivement, siège, des attitudes réflexes primaires, archaïques, des émotions subtiles profondes, de l’intellect, la mentalisation, les plus élaborés. De façon, rousseauiste, Huck perçoit, le « bien », comme, étant, fort « sauvage, instinctif ».
Le « mal », comme, d’essence sociétale, civilisationnelle. L’homme policé dégrade, ainsi, par sa nature, ses actes, la notion même, du Bien, comme, celle, du Mal. En outre, Huck est orphelin, de mère et, a un père indigne, perverti, crapuleux. Il a souffert, du manque paternel, est en avide quête, du père idéal, qu’il trouvera, en son ami adulte, l’ex-esclave Noir, Jim. Les Aventures, de Huckleberry Finn1193, sont un chef-d’œuvre américain et, de la littérature mondiale éternelle. (M. Twain, écrivain américain, 1835-1910, Les Aventures de Huckleberry Finn, roman picaresque, Royaume-Uni, 1884).
Il sera jugé, par le monde écrivain anglo-saxon, comme, le cinquième joyau, du « panthéon littéraire mondial ». Après, Anna Karénine, (L. Tolstoï, écrivain russe, 1828-1910, Russie, 1877)1194. Madame Bovary, (G. Flaubert, écrivain français, 1821-1880, France, 1857)1195. Guerre et Paix, (L. Tolstoï, Russie, 1869)1196. Lolita, (V. Nabokov, écrivain russo-américain, 1899-1977, France, 1955)1197. Ainsi, les longues tribulations géographiques, du jeune « Huck », se doublent-elles, d’un parcours réflexif moral.
Quant à la destinée, la nature, au sens, à la légitimité, du genre humain, de la vie terrestre. Cela, est parfaitement, révélateur, de la prise, de conscience, ontologique, ontogénique, axiologique, de la jeunesse. Âge métaphysique, par excellence, avons-nous déjà, relevé. Dès lors, qu’il s’agit, pour tout jeune, de penser, d’être et, d’agir, comme, humain, à part entière, en sa personne, son temps, son espace. Comme, forte entité, physique, psychique, spirituelle unique, au présent, comme, au passé et, à l’avenir.
De façon, absolue, irréductible et, à tout jamais. La jeunesse est cette quête, du dépassement perpétuel, vers des cimes, hors, de portée. « Graal sacré », vouant, toute néogénération, à l’acmé, de son accomplissement, le plus fort, comme, à l’abîme, de sa pire désespérance… Il convient, dès lors, d’aider, tous nos cadets, à « s’autoréguler », pour mieux, se réaliser. Sans euphorie ni, abattement. Alors, seulement, la juvénilité, si capitale, pour l’avenir, des nations, pourra, donner, le meilleur, d’elle-même ! Non, ab irato, en tourments, bouderies, frondes, mais, in pace, en confiance, sérénité, espérance.
Quand l’on est jeune, l’on se cherche. Je me suis trouvé, cela a été dur
J’ai grandi. L’adolescence était cet état où, je ne me sentais pas bien
Aujourd’hui, je me sens entre le jeune et l’adulte
Léandre, dix-sept ans–1198
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