AndroJeunoCoaching / AdoJeunoPratique 3


 

 


                                 

 

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RÉALISER, « À TOUT PRIX », VOTRE DESSEIN ADULTE

PAR L’ANDROJEUNOCOACHING DE VIE


 

 

Le but premier, de votre coaching de vie d’Andro-AdoJeunologie®, est de vous faire passer, jeune masculin, de votre jeunesse, à l’adultisme. En favorisant, vos mûrissement, autonomie, responsabilité aboutis, de junior. Par l’appui, de votre volonté juvénile. À cet effet, les rôles, qualités, savoir-faire « illimités », de votre jeunesse, sont étendus. Vos rayonnement, altruisme, ouverture généreux, de jeune, en seront, également, les vecteurs attisés, les plus privilégiés. Que chacun d’entre-vous, s’élève donc, au-dessus, de lui-même388 !


 

 

Les juniors, de France, n’ont pas – trop – à « rougir », de leur Histoire nationale. Or, pour autant, ils ne sauraient, reprendre, à leur compte, une certaine « arrogance, hexagonale, trop donneuse, de leçons universelles », de leurs aînés. Qui exaspère fort, à raison, le reste, du monde. Ainsi, en 1989, lors, du bicentenaire, de la Révolution française, M. Thatcher (1925-2013), Premier ministre, du Royaume-Uni, rappelle-t-elle, certaines vérités. À juste titre. La France n’a inventé ni, les Droits de l’Homme ni, la démocratie parlementaire.

 

En 1642-1651, (« Grande Rébellion ») et, 1688-1689, (« Glorieuse Révolution »), un siècle et demi et, un siècle, avant, la Prise de la Bastille (1789), la double Révolution anglaise, en est l’initiatrice. Par, le Bill of Rights, la Déclaration des Droits, de 1689, sauvegarde, des libertés individuelles et, collectives. Avec, aussi, le renforcement, du parlementarisme moderne. Dès 1679, l’Habeas Corpus garantit, formellement, contre l’arbitraire, la sûreté personnelle, de tous, en germe, depuis, l’ère médiévale, au Royaume d’Angleterre (927-1649 / 1660-1707). Futur Royaume de Grande-Bretagne (1707-1801). Puis, Royaume-Uni, de Grande-Bretagne et d’Irlande  (1801-1922) et, Royaume-Uni, de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord (1922-).

 

Que la jeunesse se batte, sans relâche, pour ses droits, intérêts, en plein respect, de ses devoirs. Aussi immanquablement, que le clergé régulier, célèbre, Matines, Laudes, Vêpres, comme, Complies, en ses monastères. Le premier enjeu adojuvénile, est éducatif. En France, 43 pour cent, d’une classe d’âge, seulement, sont diplômés, du supérieur. L’État souhaite, 50. Le taux moyen, des « pays, de tête », est de 60 pour cent ! Au lieu, de nos 2,7 millions, d’étudiants, il en faudrait, au moins, quatre, pour être, bien plus dynamiques. Le problème, des études, en France, est surtout, celui, de l’orientation.

 

Les jeunes prisent, les filières, sans nuls, débouchés ni, besoins économiques. Ils « boudent », les secteurs, à très forts potentiels, de recrutement ! En outre, le ratio, entre le nombre, de scolarisés ou, d’étudiants et, celui, de diplômés, est des plus exécrables, chez nous. L’Université française, tout entière, est à rebâtir, de fond en comble ! Le monopole étatique universitaire, est obsolète et, contre-productif. Il s’agit, qu’en France, comme, en la plupart, des pays occidentaux, des universités privées, de plein exercice, d’excellence, existent.


 

 

Maturité, autonomie, responsabilité

Appuyer votre volonté androJuvénile


 

 

Maturité, est un terme féminin, de 1485, issu, du latin, maturitas. « État, de ce qui a atteint, son plein développement. (1685), état, de développement complet – de l’organisme humain – ; âge mûr, celui, qui suit immédiatement, la jeunesse, confère, à l’être humain, la plénitude, de ses moyens, physiques et intellectuels. Sûreté, de jugement, qui s’acquiert, d’ordinaire, avec l’âge, l’expérience ».

(Dictionnaire, de la langue française, Robert, France, 2007)389.

 

Votre coaching de vie d’Andro-AdoJeunoConseil® vous aide, garçon junior, à passer, du stade inachevé, de votre jeunesse, à celui, plus abouti, de l’adultisme, plein et entier. Avec, tous les droits et, devoirs, que cela, implique. Tant, en terme, de gains, que de sacrifices. Car, chaque vie, est menée, en ses luttes.


 

 

J. Albers, peintre, graphiste américain, d’origine allemande (1888-1976), met une touche finale, à sa toile, Hommage au carré / Parfum vert, en 1963. Issu, du Bauhaus, il sera, l’un, des chefs de file, de l’art optique, cinétique ou, Op Art390. L’idée centrale, d’Albers, est que, chaque couleur, seule et isolée, n’a aucune « valeur », en elle-même. Or, uniquement, si elle est, en toute interaction, avec d’autres, en regard, de ces dernières. C’est la théorie, dite, de la relativité, des couleurs, car, la perception, de chaque nuance, est éminemment, « subjective ». La peinture, qui nous intéresse, ici, représente, un petit carré, vert foncé, figurant, en un carré, de taille moyenne, en vert médian.

 

Lui-même, enchâssé, en un grand carré, vert clair391. Ainsi, l’adojeunesse : le premier carré, cœur du tableau, serait, le noyau vital originel, de l’espèce humaine, mais, fort minoritaire, sans nul, pouvoir. Elle serait « confrontée », à la majorité adulte, aux affaires : le deuxième carré, zone intermédiaire. Cette dernière, alors, elle-même, sous le regard prééminent, de la « sagesse », des anciens. En marge, désormais, fort retirés : le troisième et, ultime carré. Certes, le premier carré adojuvénile, est le plus petit, mais, c’est le plus central, celui, qui a, le plus, de vitalité, étant, le plus foncé. Le deuxième, est plus clair, moins tonique. Le dernier, est plus pâle, évanescent et, affaibli, encore. L’on part, de l’éclat, le plus intense, à la fadeur, la plus terne. En decrescendo.


 

Le cheveu humain se dévitalise, perd, de sa force, densité, en vieillissant, peut même, tomber, devient, de plus en plus, clair, dépigmenté. De même, l’adojeunesse est plus dynamique, que l’adultisme et, ce dernier, bien plus, encore, que l’âge mûr, vieillissant. Également, comme, en peinture, chaque génération, vaut moins, en et, par, elle-même, que « confrontée », aux autres. Avec elles, en pleine richesse, d’existence interactive commune. Le coaching de vie d’Andro-AdoJeunologie® se veut, le « revitalisant », de jeunes hommes, atteints, par des réalités innées et, acquises, endogènes et, exogènes, débilitantes, incapacitantes.

 

– Coaching Jeune XY – Paris 16 –


 

 

L’objectif, de tout adojunior, « digne, de ce nom », est l’adultisme accompli. Cela, passe, par la maturité, l’autonomie, la responsabilité. Pour cela et, pour agir, en conséquence, il convient, de développer, une pensée, très positive, une croyance ou, foi optimiste. Une forte confiance, en soi. Une volonté, très forte. Une motivation, des plus solides. Une action, adéquate et résolue. Pour bien réussir, dans la vie, ainsi, que sa vie, en équilibre et, épanouissement, cognitifs, émotionnels, comportementaux. Tous ces aspects supérieurs, incontournables, fondamentaux, pour le jeune, sont évoqués, ailleurs, en ce second tome.

 

Sauf, le sujet, de la volonté, que nous traitons donc, ici. De fait, nul junior, en coaching de vie, ne peut acquérir, les pleins attributs, de l’adultisme, que sont, la maturité, l’autonomie, comme, la responsabilité, sans le vouloir, au préalable. D’où, l’importance capitale, l’impact décisif, d’un processus, de pure volonté, de sa part. Outre, naturellement, les facteurs éducatifs, économiques, socioculturels, psychoaffectifs, génétiques. De formation académique, d’emploi, de valeurs personnelles, de santé, relationnels ou, juridiques… Tous vecteurs, également, pleinement, envisagés, en notre étude, notamment, en son premier tome.

 

Pour devenir des hommes, les adojeunes masculins ont besoin, de cultiver, une puissante force propre, de caractère. Une estime, confiance, assurance, affirmation, d’eux-mêmes, caractérisées, quoi, qu’il arrive. Une volonté, inébranlable, déterminée, résolue, à toute épreuve. Une grande maîtrise, de soi, un empire, sur toute sa personne. Une aptitude, à se diriger, gouverner, en toute souveraineté juvénile. La capacité, d’influencer les pensées, émotions, comportements, d’autrui, de façon, positive, bénéfique, bienveillante, légitime, idoine. Ce qui permet, d’agir, optimalement392.

 

La force mentale, les habiletés, aptes, à vaincre, les obstacles, revers, de la vie, par efforts, persévérance, ténacité. Toutes ces aptitudes, sont moins innées, qu’acquises et, acquérables. Chaque jeune garçon, en coaching de vie, est conditionné, de façon, prédéterminée, par son tempérament et, caractère, propres, spécifiques, uniques. De façon, héréditaire et, acquise. En interaction étroite, corps- esprit. Tout junior pense, ressent et, se comporte donc, en rapport, de façon, préfixée. Or, il conserve toujours, sa conscience ou, for interne, sa souveraineté. Ce qui lui permet, toujours, de cogiter, choisir, décider, d’agir, par lui-même, sans automatismes, selon, les circonstances.

 

Cela, peut se travailler, s’affiner, s’éduquer, seul et, par les enseignements, l’exemplarité, de modèles adultes sûrs. Sans négliger aussi, l’impact, l’influence, des pairs néogénérationnels, si importants, entre treize et, vingt-cinq ans. Au lieu, de se laisser aller, à ses penchants naturels ou, à sa réaction première, le junior peut toujours, se contrôler, par la force mentale, l’éducation ou, l’autoéducation. En effort, la pensée aboutit, à l’action. Le jeune peut alors, y parvenir, par la visualisation mentale, méditative, par concentration. Voir, est croire et, croire, est faire !

 

À défaut, il est bon, d’écrire, les changements, actions, à entreprendre, pour bonifier sa vie, sa personne. Ainsi, que les effets positifs, afférents et, subséquents. En objectifs, échéances précis, clairs et, quantifiés. À cet égard, des formulations cognitives, optimistes, favorables, sous forme, d’autosuggestions répétées, de façon, convaincue, sont, des plus constructives. Efficaces et, productives. Après, bonne intégration, mémorisation mentales, point, par point, il s’agit, de bien comprendre, ce dont, il retourne. De se figurer, en imagination, l’état ressenti, si le junior, en coaching de vie, obtient, ce qu’il veut, ce que cela, impliquerait, concrètement, bénéfiquement, pour lui.

 

En immobilité physique, pour se calmer ou, en mouvement, du corps, en marche, pour activer la pensée. Un effort minimal, de raisonnement, s’impose, pour mettre, en branle, sa volonté. Pour tout jeune homme, se proposer, d’être adulte, devient, un aboutissement réalisé, en y associant, la force mentale, de la volonté. Cela, étant rendu possible, par la croyance positive, qu’il le veut, qu’il est capable, d’y parvenir. Alors, il devient loisible, de se fixer, ce but, d’y croire, de s’en donner, les moyens performants, aboutis. Par, la mise en œuvre, d’une logistique juvénile, idoine393.

 

De s’y tenir, sur la durée, sans fléchir, jusqu’à atteinte, réalisation progressives, du dessein imparti. En efforts, ténacité, abnégation. Pour cela, il convient, que la conscience, du junior, en coaching de vie, l’emporte, sur ses impulsions automatiques… La conscience est le raisonnement, la pensée réflexive, le jugement. La pulsion est le réflexe, irraisonné et mécanique. La décision androJuvénile part, de là. Le combat est gagné, quand, la pleine conscience, de l’action positive, l’emporte, sur l’automatisme, de l’inertie, du laisser-aller. Il s’agit, de rester réservé, non exubérant, de se dispenser, des dépenses, d’énergie, inutiles, comme, contre-productives.

 

En pensées, émotions, paroles, actes. L’objectif, est de se réserver et, concentrer, non, de se disperser et, dépenser, en pure perte. Ne pas chercher, à être approuvé, soutenu, compris, encouragé. Cela, est vain. L’adojeune fort, « se suffit », à lui-même, par sa propre force mentale. De même, il se contrôle, en toutes circonstances, ne succombe pas, à la tentation, des débordements et, colères. La maîtrise, de ses cinq sens, est aussi, capitale, pour grandir. Qu’il sache fort, résister, de façon, impavide, ferme, aux simples impressions. Aussi puissantes, insistantes, puissent-elles être.

 

Positives, comme, négatives, suscitées, par sa vision, son audition, olfaction, sa gustation, taction. L’effort tenace, comme, continu, donne, de l’énergie, surtout, fait agir, de façon, très énergique ou, comme si, le junior masculin, en coaching de vie, l’était. Il lui permet, de réprimer, ses mauvais penchants et, impulsions. L’essentiel, est d’agir, en se faisant violence, pour s’obliger, à « bouger ». Car, nul résultat bénéfique, n’est à attendre, de l’immobilisme, mais, bien, uniquement, de l’action idoine. L’idéal et, l’envie supérieurs, de vaincre, constituent, un fervent, efficace, aiguillon.

 

Pour être, en bonne santé psychique et, volontaire, une bonne santé physique, du jeune, est impérative. Avec, une hygiène, discipline, de vie, irréprochables, en matière, d’alimentation, de sommeil, d’activité physique, sportive. De bonne relaxation, détente, physiques et mentales, générales et, pleine respiration nasale, abdominale. Ce qui garantit, notamment, une bonne oxygénation et, circulation sanguines. Il s’agit, de supprimer, tout nutriment nocif, de se nourrir, ni trop ni, trop peu, mais, selon, ce que l’organisme, requiert. Selon, l’âge, l’activité journalière, le sexe, le climat saisonnier. L’alimentation juvénile sera légère, équilibrée, jamais, lourde, excessive394.

 

Une aération suffisante, régulière, des pièces, à vivre, du garçon  junior, en coaching de vie, s’impose. Concentration, calme et, méditation, renforcent le pouvoir, de la volonté, pour grandir, se grandir. Il est capital, de ne jamais, se laisser distraire, de sa tâche importante, en cours, par des pulsions, d’envies futiles, dommageables. Le cap initial fixé, sera maintenu, jusqu’à, atteinte finale, de l’objectif imparti, coûte, que coûte, quoi, qu’il arrive. Pour cela, se ménager, des temps réguliers, mais, limités, de détente, loisirs gratifiants, sains, de récompenses, des efforts, aide, à maintenir, l’effort. En cas, de coup dur, ne pas s’effondrer ni, se décourager.

 

Or, puiser, au plus profond, de soi, les ferments, de ressourcement, permettant, de rebondir, renouer, tout le fil, du combat, à mener, victorieusement, jusqu’à terme. Tout jeune, a tendance, à se créer, de faux besoins, inutiles, de mauvaises habitudes, nocives et automatiques. Qui ne sont irrésistibles, que parce qu’il le veut bien. La volonté, comme, la force mentale, permettent, de supprimer, les addictions, par la persuasion, qu’il est parfaitement, capable, de s’en débarrasser. Il s’agit, aussi, de se représenter, à l’avance, les avantages, de ne plus être esclave, de ses pires dépendances et, entraves adojuvéniles !

 

Pour s’encourager, à s’en défaire, vite et bien. Les bonnes habitudes, du junior, en coaching de vie, sont aisées, à adopter, les mauvaises, si difficiles, à annihiler. La prévention étant, en l’espèce, comme, en d’autres, toujours, meilleure, plus facile, que la guérison, l’idéal est donc, de ne jamais, laisser s’installer, les mauvaises habitudes. Tant, elles sont, ensuite, dures, à déloger. Il vaut mieux, n’en choisir, que de bonnes. L’agacement, la gesticulation, le survoltage, détruisent fort l’équilibre, physique et psychique, du jeune homme, l’abattent. Quand, la tranquillité, la sérénité, comme, la paix intérieure, le transcendent, en plénitude, accomplissement, de soi, du corps et, de l’esprit, du cœur et, de l’âme.

 

Le junior équilibré résiste, au pire, quand, celui, qui est tourmenté, tenaillé, par la peur, le stress, l’anxiété, s’effondre. Le but est de ne jamais, se laisser atteindre, par les aléas et, revers, de la vie. Par la « force mentale », restée intacte. La respiration approfondie, complète, permet, également, de régénérer l’organisme, l’oxygénant, le purifiant, de ses toxines viciées. Cela, calme, rassure. La pensée se réalise. Se répéter, des affirmations positives et, optimistes, bénéfiques et, favorables, est toujours, bénéfique, pour la nouvelle génération395.

 

Car, cela, est constructif, productif, l’aide, à sortir, de ses blocages. En résultats, féconds et fructueux. À force, de lutter, contre, les mauvais penchants, les pensées limitatives, négatives, les peurs et, faiblesses, le jeune, en coaching de vie, renforce, sa volonté. Sa puissance mentale positive. Ce qui permet alors, de s’élever, vers l’adultisme, en maturité, autonomie, responsabilité. L’aisance et, l’assurance peuvent, se forger et perdurer, en toute confiance. Là encore, la force mentale le permet. Pas d’évolution possible, vers l’adultisme, sans pleine affirmation, de soi. Cela, passe, d’abord, par un regard ferme, direct, assuré.

 

Ce qui permet, au junior, d’être à l’aise, avec tous, de dominer, toute situation. Voix, paroles énergiques et, bien posées, en timbre et, sonorité, permettent, de faire, la meilleure impression et, de s’imposer, en société. Ni trop aiguë ni, trop grave, mais, médiane, en bonne articulation. Il importe, de savoir, fort adéquatement, dire, sa pensée. En parlant, lentement, en accentuant, les consonnes, de façon, la plus posée, calme, réfléchie. De même, les émotions seront tempérées, dominées. Attitudes et, comportements, comme, gestuelles andro-adoJuvéniles, seront maîtrisés, calmes, d’ampleur limitée et, sobre.

 

Toute expression, de soi, du jeune masculin, en coaching de vie, vaut toujours, moins, qu’une impassibilité indéchiffrable, de marbre, en toute circonstance. Convaincre, autrui, sans manipuler, importe, pour progresser. En incitant, l’autre, à l’acceptation, à l’influence, de ses propositions. Par la séduction et, non, la répulsion, l’agressivité. En écoute, calme, patiente, de l’interlocuteur, sans nulle, opposition frontale. Sans même, jamais, dévoiler, ses batteries ni, ses buts réels, terminaux. Tout en feignant, l’indifférence totale, à l’issue, de la confrontation. En réitérant, tout son message principal, avec ténacité et, régularité, sans excès.

 

En technique, du disque rayé. Face, à toute circonstance ou, personne, il convient, pour le junior, de ne jamais, se laisser démonter. Il s’agit, de résister, à la facilité, de plier et, de rester, plutôt, fermement, « campé, sur ses légitimes positions ». La persévérance paye, le plus souvent. En focalisation, sur la volonté et, le dessein exclusifs, de parvenir, l’emporter. En tout et, pour tout, audace, aplomb, aisance, assurance, s’imposent, pour s’affirmer, s’épanouir, réussir. La volonté est servie, par un médiateur, des plus efficaces et, redoutables. L’effort juvénile, inflexible, soutenu, déterminé, sans faille et, sans relâche396.

 

Alpha et, Omega, de l’avancée, sur le chemin adulte, de la maturité, l’autonomie, comme, de l’adultisme. Cela, commence, par un drastique, complet travail, sur soi. Une autre condition, est une santé psychosomatique, satisfaisante et suffisante. À chaque jeune, en coaching de vie, de la susciter et, l’entretenir, de la meilleure, des façons, possibles. Tout garçon  junior, peut « aller, très loin », s’il suit, scrupuleusement, méthodiquement et, de façon, résolue, continue, systématique, un dessein rigoureux. Selon, une visée prédéterminée. Pour orienter, sa destinée, à sa guise, l’unir, à ses idéaux, les plus chers.

 

« Tout soldat, a son bâton, de maréchal, en sa giberne, tout clerc, sa barrette, de cardinal, en sa sacristie ». Le médiocre, qui s’échine, réussit mieux, que le génie, qui n’use nullement, de ses dons. Il ne sera alors, envisagé, ni la difficulté, de l’entreprise souhaitée ni, la possibilité, de l’échec. Nulles citadelles, n’étant imprenables, il ne sera songé, qu’à sa rage, de vaincre, réussir, en rejetant, toutes idées, de défaite et, d’infortune. Il s’agit, non pas, de se disperser, mais, de se concentrer, en jetant, toutes ses forces, dans la bataille. Tendues, en un seul et unique, méta-objectif juvénile : « l’ardente, l’immanente, la sainte victoire sacrée » !

 

Avec, une énergie, du junior, en coaching de vie, canalisée, orientée, utilisée, à bon escient : ni trop fougueuse ni, insuffisamment, puissante. Le dessein fixé, il ne reste alors, qu’à « se mettre, au travail », avec, acharnement et, méthode, pour le réaliser, pleinement. En ne tablant, que sur soi-même, ses propres ressources. En améliorant, sans relâche, ses compétences, sa force, en volonté, sans faille et, sans états d’âme, sans se préoccuper, des aléas extérieurs. Une seule chose, compte : sa force mentale et, morale intérieure, pour vaincre et, l’emporter. Geindre, ne sert, jamais, à rien, que le jeune homme, agisse !

 

Oublie, les problèmes, mais, ne voie, que les solutions ! Si la porte, lui est fermée, il y a, les fenêtres, sinon, les cheminées, soupiraux, toute ouverture, possible, imaginable. Voire, passer, en creusant, sous terre ou, en descellant, des pierres, de murailles… Qui veut, parvenir, parvient ! Il y a, toujours, moyen, de s’accomplir. Chacun, étant comptable, de son destin, en acteur dynamique, non, en sujet passif, qui subit, la chance n’est jamais, un facteur sérieux, à prendre, en considération ! Face, aux revers et, autres duretés, de la vie, un seul, mot d’ordre, du junior : ni défaitiste abattement ni, colère vengeresse, cela, tue l’espoir397.

 

Or, maîtrise, de soi, volonté andro-adoJuvéniles résolues, de faire face, pour inverser, la tendance malheureuse. Car, il n’y a nulle, fatalité, nul, déterminisme, mais, la possibilité, de tous, de lutter, pour vaincre, les pires adversités. En l’espèce, volontarisme et, espérance, abnégation, lutte, méditation, détermination et, courage, sont gages, d’apaisement. De renversement favorable, des situations difficiles. Loin, de la désastreuse résignation, passive. Si les desseins se doivent, d’être idéalistes, leur réalisation ne peut qu’être, fort pragmatique, pour aboutir. Le général de Gaulle, (Homme d’État, France, 1890-1970), recommandait, d’ « aller, au plus haut », les sommets, étant moins embouteillés, que les vallées.

 

L’air, bien plus pur ! En son projet, de vie, tout jeune, en coaching de vie, « digne, de ce nom », se doit, de viser, au plus loin ! À condition, de tenir, le plus grand compte, des obstacles, efforts, labeurs, capacités et, sacrifices, à consentir, pour cela. Loin, de tout rêve illusoire, naïf, irréaliste, qui n’aboutit, qu’à se complaire, en l’inaction, l’utopie, des mirages, les plus délétères. Au junior, à se former, positionner, adéquatement, pour réussir, selon, ses vues, ambitions élevées, mais, accessibles. Un idéal, hors de portée, ne se réalise, jamais, nourrit, les germes, de sa vacuité.

 

Ne fait, qu’entretenir, amertumes, aigreurs, marasmes, à vie. « Le regard, dans les nuées, les pieds, au sol ». Seule, la persévérance juvénile, prolongée, donne l’excellence, du savoir-faire / être supérieurs. Ce qui donne, paix intérieure, positivité. Outre, l’estime sociale générale, la sécurité ou, le confort matériels, accrus. Force psychique, comme, personnalité développée, s’imposent, pour compléter, avantageusement, ce tableau idéal. La valeur personnelle, aussi éminente, soit-elle, ne suffit pas. Il convient, en outre, au junior masculin, en coaching de vie, pour s’imposer et, prospérer, sortir du lot et, se faire valoir et, remarquer, de se donner, tous moyens concrets, réalistes ou, réalisables.

 

Pour « percer », à tous points de vue, en son domaine, de compétences, d’idéaux, d’ambitions. Différents moyens, permettent, de développer, sa force mentale, pour devenir, plus autonome, mature, responsable, adulte, en sa jeunesse. L’isolement, psychique et physique, régulier, permet, de se ressourcer, pour se renforcer, repartir, plus fort, encore. Pour se couper, du stress, de la foule, des tracas, du quotidien, du travail, de la vie domestique. Notamment, en la nature, à la campagne, mer ou, montagne, pour se revitaliser, de la plus sûre façon398.

 

Relaxation, détente psychosomatiques, du jeune, en coaching de vie, contribuent, à la régénération, du corps, de l’esprit. De même, que les pratiques méditatives. L’objectivation permet, à la volonté, de suivre, la réflexion raisonnée. Cela, évite, de succomber, à des tentations impulsives, satisfaisantes, à court terme, mais, dommageables, à moyen, long termes. La procédure consiste alors, à faire prendre conscience, des inconvénients majeurs, des faiblesses, des avantages, bien supérieurs, de ne pas, y succomber. De même, avant, tout effort, et, pour s’y encourager, il s’agit, pour le garçon  junior, de se pénétrer, des avantages, à les pratiquer et, des inconvénients, à… s’en abstenir.

 

Face, à tous projet, entreprise, objectiver, permet, d’atteindre, le but impliqué. En concrétisant, en esprit, ce qu’implique, un dessein théorique, sourdent, ses types, de réalisations pratiques, idoines. En concentration, il importe, de ne se focaliser et, faire, qu’une seule action, à la fois, en pleine intériorisation, exclusive. La quiétude morale intérieure, ne sera pas affectée, par les réalités extérieures. Pour ne pas perdre, sa sérénité et, ne pas dévier, de son cap supérieur. L’autosuggestion juvénile, est la réitération mentale, d’une certitude, un commandement forts.

 

Pour s’en imprégner, afin, que cela, s’impose, au jeune homme, en coaching de vie, en l’emportant alors, sur ses convictions opposées. La force, de la suggestion, est telle, sur l’individu, qu’en hypnose, un sujet se sent brûlé, en aura, une marque physique. Si on le lui suggère, en lui appliquant, sur la peau, un simple crayon et, en lui faisant croire, qu’il s’agit, d’une cigarette allumée ! La puissance, de la croyance, imprimée, sur le subconscient, est foudroyante ! Une seule pensée ou, idée fixe, a un impact majeur, chez tout junior, qui s’en persuade et, finit, donc, par la réaliser, de façon tangible. À l’inverse, s’il n’y croit pas, il n’y aura, nulle matérialisation.

 

En cas, de conflit, entre une volonté certaine et, une croyance sceptique, la croyance l’emportera, toujours. Pour faire obstacle, à l’accomplissement, de ce qui est pourtant, souhaité. D’où, l’importance, décisive et fondamentale, de ce, à quoi, le jeune croit, pour que sa volonté, puisse être renforcée, suivie, d’effets. Mieux, que la répétition régulière, de pensées, formulations, la visualisation mentale d’images, fixes ou, animées, permet, d’obtenir, concrètement, une réalité. D’atteindre, un but, fort précis, fixé. Comme, sur un vaste écran, de cinéma, hémisphérique, en couleurs et, relief399.

 

Il s’agit, de préciser, ce que le junior masculin, en coaching de vie, ambitionne, les avantages, attendus. De se convaincre, que c’est déjà, acquis, d’imaginer, ses comportements subséquents. Le « film », qu’il se projette, le représente, jouissant déjà, pleinement, de ce qu’il veut, ardemment ! Le plus efficace, est de s’autosuggestionner, juste, avant, le sommeil. En dormant, le cerveau s’en imprègne fort, s’en convainc, cela, programme, toute la réalisation escomptée. Par exemple, si le jeune veut, se réveiller, lever, à telle heure, il constate que, souvent, il s’éveille, effectivement, à ce moment-là.

 

Sans besoin, de sonnerie, du réveil matin, car, il sort, du sommeil, juste, avant, qu’elle ne se déclenche ! Il est programmé, par ses pensées, ses croyances, certitudes ! L’on sait, qu’un malade, qui veut, à tout prix, guérir, y croit, fermement, se bat, pour cela, s’en sortira, plus vite, mieux et, plus durablement, sans rechute. Qu’un malade, de même pathologie, état de santé, vigueur, sexe et, âge, conditions, de vie, qui ne croit pas, à sa guérison, souhaite, mourir. Ne combat pas, la maladie, accepte l’idée, qu’il est condamné, se laisse dépérir. La réalité importe moins, que la conception, que le junior, s’en fait, les conclusions, comme, la volonté, qu’il en tire.

 

Alors, que pour ces deux patients, soins, traitements, conditions, de prise en charge, sont similaires. La volonté mentale, de s’en sortir, compte toujours, au moins, autant, que le protocole thérapeutique, suivi. Toute pensée, imprimée, au plus profond, de l’inconscient, par suggestion ou, autosuggestion, influe, sur l’ensemble, du système nerveux androJuvénile. Le mental régit, le corps physique et, réciproquement. Corps et esprit, sont en très étroite, interaction mutuelle, constante. De même, que le cœur, l’âme, en quadruple dimension, fort mêlée. Somatique et, psychique, affective et, spirituelle.

 

Le jeune, en coaching de vie, y parviendra, s’il croit, en lui-même, ses qualités, en sa réussite, son bonheur, sa prospérité, s’en donne, l’objectif, les moyens. S’il persévère, en son combat afférent, sur la durée, jusqu’à réalisation terminale et, au-delà, durablement. S’il ne croit pas, en lui, ne table, que sur son échec, son malheur, son indigence, alors, il en sera, ainsi. Tant, il ne récolte, que ce qu’il sème, comme, tout bon agriculteur, le sait. La force mentale, psychique, positive, optimiste, comme, favorable, suscite, le bien. Aussi, sûrement, que la pensée négative, pessimiste, défavorable, du junior, attire, des effets néfastes, non constructifs, désastreux400.

 

La soustraction, la division morales, funestes, malsaines, vicient, le corps et l’esprit, de façon, dommageable. Comme, l’addition et, la multiplication mentales, bénéfiques, les régénèrent, les dopent, constructivement. Tout jeune garçon, en coaching de vie, peut influer, sur sa destinée, pour devenir, adulte accompli, en maturité, autonomie, responsabilité. Il peut, à cet effet, amender, favorablement, par lui-même, ses propres conditions, de vie, à tous points de vue. Comme, user, d’efforts adéquats, en ténacité, pour réaliser, ses objectifs, ambitions, idéaux existentiels, s’élever et, s’épanouir.

 

Il peut, également, agir, par sa pensée positive, sa force mentale intérieure, comme, sa volonté, résolue et inflexible. Sur tous les facteurs extérieurs, déterminant, l’adojunior et, son parcours terrestre. Humains, événements, circonstances, réalités, choses. En temps et, espace. Volonté et, efforts, ténacité et, force, de caractère, sont les valeurs cardinales, de ce façonnement, vers l’adultisme. Hasard, improvisation, n’en font pas partie, mais, la planification juvénile, la plus stricte. De façon, décidée, active, rigoureuse. À vision, privilégiant, les résultats, à moyen, long termes et, non, court. Il s’agit, de « vouloir, ce que l’on peut, de pouvoir, ce que l’on veut » !

 

– Coaching Jeune XY – Paris 16 –


 

 

Tout, en se battant, pour progresser, l’adojeune, en coaching de vie, se doit, d’apprendre, à « aimer, ce qu’il a, s’il ne peut avoir, ce qu’il aime ». Cela, lui évite, bien, des frustrations, souffrances, désespérances, amertumes, aigreurs, inutiles et dommageables. Excellence et poursuite, de son plan, de vie, guident, de la façon, la plus sûre, les juniors, vers leur accomplissement adulte. Chaque jeune homme peut, beaucoup plus et, mieux, qu’il ne le croit et, que ce que les autres, adultes et pairs, lui ont fait croire ! En patience, abnégation ou, courage, sans relâche. Avec, toujours, un emploi du temps, millimétré, strictement, organisé, géré, sans failles ni, faiblesses, quoi, qu’il arrive.

 

Jour et, nuit, chaque jour, semaine, mois ou, année, que le « Ciel fait ». Ainsi, par la consolidation, d’une volonté, inébranlable et inexpugnable, chaque adojeune, en son optimisme et confiance, motivation et action, bâtit, son destin. Pierre à pierre, vers l’adultisme, le plus réussi, épanoui, complet. « Agere, sequitur esse, l’action, suit l’existence ». Il s’agit, d’une forte loi, métaphysique et morale, qui met, en exergue, l’indissoluble correspondance, entre ontologie, responsabilité et, éthique. Ce qui est, le plus sûr chemin, pour tout junior, en voie, de sagesse. (Jagot, 1950)401.


 

 

Étendre les rôles, qualités, savoir-faire illimités

De votre jeunesse masculine


 

 

S. Covey, auteur américain contemporain, en sciences humaines, définit, vos sept habitudes bénéfiques, incontournables, pour vous, jeune masculin, en coaching de vie, qui vous respectez402.

 

 

1- Votre « proactivité » ou, votre propre responsabilité assumée.

2- Vos objectifs, de vie, votre « vocation terrestre », personnels, à déterminer et, accomplir.

3- Votre fixation, d’urgences, de priorités existentielles, pour vous-même.

 

 

4- Votre foi, en vous et, autrui, pour votre réussite, à vous.

5- Votre don, de vous, aux autres, avant, la culture, de votre propre ego.

6- Joindre, toutes vos forces, aux autres, pour être « meilleur », vous-même.

7- L’optimisation permanente, de tous vos potentiels, de junior, pour vous accomplir.


 

 

Les trois premiers principes, ont trait, au contrôle, à la réalisation, de soi, du jeune homme, en coaching de vie. Les trois suivants, concernent, le lien, aux autres, la pleine coopération interhumaine. Il s’agit donc, tout d’abord, d’ « être bien », avec soi, pour ensuite, pouvoir, être en plénitude, avec les autres. La dernière étape est celle, du « dépassement, de soi », elle transcende, toutes les autres. Il s’agit, donc, de ne pas se défausser, sur autrui, de ses difficultés, en victime. Ni, de se laisser-aller, à ses envies, instincts adojuvéniles. Ni, de ressasser, médire et, se plaindre.

 

– Coaching Jeune XY – Paris 16 –


 

 

Or, de savoir, différer, gérer, ses frustrations, être patient, tolérant. « Se laisser vivre », au jour le jour, sans orientations, d’avenir, du garçon  junior, en coaching de vie, selon, ses seuls, instincts, pulsions, caprices, est à prohiber. De même, que de ne privilégier, que le superflu, le secondaire, l’artifice et, la superficialité, le futile, tout ce qui est facile, inutile et, sans intérêt. Il convient aussi, d’éviter, la politique, du pire : « après, moi, le chaos ». Laquelle, consiste, à considérer, la réussite, des autres, comme, symbole, de son échec personnel et, leur insuccès, comme, sa victoire positive.

 

En infernale logique, du perdant-perdant, au lieu, de gagnant-gagnant. Que le jeune sache fort, écouter, comprendre, valoriser, autrui, plutôt, que de systématiquement, monopoliser, l’attention, la parole. Voulant, toujours, prendre, plutôt, qu’offrir, dominer, au lieu, de partager, d’accueillir. Isolement, rejet, des autres, méfiance, individualisme, égoïsmes, sont toujours, inféconds. À l’inverse, de la collaboration, l’altruisme, l’acceptation, la confiance, la fréquentation, d’autrui. L’accommodation, du pire, du médiocre, de ce qui « avilit », ne rend pas, le junior, authentiquement, heureux.

 

Contrairement, à l’ascèse, l’exigence, l’effort, la plénitude, du ressourcement. Que le jeune homme, en coaching de vie, prenne garde, à ses habitudes, car elles peuvent, autant, assurer, sa félicité, que son malheur, selon, qu’elles sont bénéfiques ou, néfastes. Les mauvaises habitudes ou, les neutres, peuvent être amendées, pour devenir bonnes et, les bonnes, pour être meilleures, encore ! Les vies sont le reflet, des croyances. Si celles-ci, sont négatives, pessimistes, défaitistes, restrictives, l’existence sera, de même, et, en sera bloquée.

 

Si les certitudes sont positives, optimistes et, convaincues, du meilleur, ouvertes, sans limites, la réalité en sera, aussi, ainsi, c’est-à-dire, dopée. Le junior est, ce qu’il croit être. Il pense, souvent, faussement, à ses pires dépens. À lui, de « penser vrai, pour être vrai, vivre vrai, mieux » ! La force, de sa conviction, ardente et positive, peut « opérer, des miracles, renverser, des montagnes ». Au travers, de l’histoire, de l’Humanité, les plus grandes et, belles choses, ont toutes été, le fruit préalable, de la volonté, la certitude, d’y parvenir. Toujours et, partout, en tout et, pour tout, pour tous, les adojeunes, sans exception !

 

Pour croire, en soi, ses aptitudes, il est capital, de pouvoir bénéficier, du renforcement, d’une personne, qui ait foi, en celle, du junior, en coaching de vie. L’encourage, le motive, réconforte, le console et, tire, vers le haut, le « pousse », en avant, le « dope », lui donne envie, de se dépasser. Fournir, le meilleur, de lui-même. Il lui appartient, aussi, pour aller mieux, de considérer, non seulement, lui-même, mais, aussi, les autres. De façon, plus bénéfique, favorable, positive, constructive. Se mettre, à la place, d’autrui, en empathie, compassion, congruence. L’adojeune se fait, le plus souvent, les idées, les plus fausses, à propos, des autres, comme, de lui-même.

 

Cela, ne peut, que l’inciter, à l’indulgence, la compréhension, la souplesse, la prudence, la patience. Sans juger, rejeter, condamner, cataloguer, d’office, par préjugé, parti pris, facilité, arrogance, peur, méfiance. Son regard est parcellaire, limité, subjectif, partial, non holistique, éclairé ni, pertinent, juste. Les difficultés, les plus importantes, fréquentes, proviennent, le plus souvent, d’erreurs, de jugement. D’une vision, des choses, erronée, faussée, toxique. D’où, l’importance vitale, urgente, de modifier, ses paradigmes, nocifs et illusoires. De façon, à les muer, en ethos, doxa androJuvéniles, positifs, sains, constructifs, sereins, pour bâtir, avancer, être heureux403.

 

Pour sa conception, de soi-même, d’autrui, de l’ensemble, de l’univers. Pour tout adojeune masculin, en coaching de vie, l’amitié est sacrée. Or, cela, n’est pas une raison, pour faire reposer, soi-même, l’ensemble, de son existence, sur les amis. Tous, ne sont pas, d’une qualité, loyauté, à toute épreuve et, vouloir, à tout prix, leur complaire, mène, aux pires compromissions. Comme, à l’abdication, de sa souveraineté, sa personnalité propre, ses valeurs. La plupart, des amitiés, notamment, adojuvéniles, sont conjoncturelles, plus, que structurelles. Elles s’évanouissent donc, sitôt, que les circonstances, auront changé.

 

Elles ne résistent, souvent pas, au temps ni, à l’éloignement, physique, spatial, temporel. Attention, aussi, à ne pas trop, se focaliser, sur les possessions matérielles, titres et, réalisations. L’être compte plus, que le faire, l’avoir et, le paraître. L’être reste acquis, quoi, qu’il arrive, alors, que tout le reste, peut disparaître, du jour, au lendemain. Ce qui est, une « assurance-vie ». Ne se reposer, que sur le matériel, laissera, tout junior, fort démuni, s’il vient, à manquer. Hédonismes, matérialismes, consumérismes, ne sauvent pas, les jeunes, du pire. Contrairement, aux choses, de l’Esprit, qui, seules, transcendent, l’universel, en ascèse.

 

La richesse, du garçon  junior, en coaching de vie, n’est pas exogène, mais, endogène. Elle est morale, non, matérielle. Il ne peut, davantage, faire reposer, le bonheur, l’équilibre, la plénitude, sur un partenaire affectif, amoureux. Dépendre, affectivement, d’un autre, que soi, plutôt, que de soi-même, pour « être bien », exister, est fort dangereux. Cela, donne, un pouvoir exorbitant, à autrui, sur soi, rend dépendant. D’autant, que tout amour, est fluctuant et, très révocable, à tout instant ! L’avidité, l’addiction relationnelles, incommodent, sont fort répulsives, pour les autres. Cela, mène donc, plus, vers la solitude, le délaissement, que le lien et, l’harmonie, avec son prochain.

 

L’amour juvénile authentique, n’est pas la dépendance, mais, l’inverse. Libertés et, autonomie attirent, jamais, l’opposé. L’obsession scolaire, professionnelle, exclusive, absolue, est aussi, délétère, mauvaise. La course excessive, aux honneurs, aux ambitions, fait négliger, tout le reste, de façon, fort déséquilibrée. Elle ne rend pas heureux, pas plus, que la permissivité abusive. Elle peut faire réussir, le jeune, au prix, de souffrances, harassements, solitudes extrêmes. Comme, elle fait aussi, échouer, par tous les excès, induits. « Qui, trop embrasse, mal étreint » ! (Proverbe français, XIVe s.)404.

 

« Le mieux, est le mortel ennemi, du bien ». (Montesquieu, philosophe français, 1689-1755). Gare, aussi, au junior, en coaching de vie, à ne pas faire, de ses parents, des modèles absolus, à ne pas vouloir, toujours, leur complaire. Agir, n’être, qu’en fonction, de leurs attentes et, bon plaisir. Cela, constitue, la pire, des aliénations, des tyrannies. Il s’agit, de se gouverner, soi-même, en fonction, de soi, non, d’autorités tutélaires. Dans le respect, dû, aux parents, comme, l’enseignent, les Écritures. En les quittant aussi, physiquement et moralement, comme, le proclame, tout autant, la Bible. Tout en leur restant, fidèle et loyal, mais, en toute liberté, souveraineté.

 

De même, l’obsession, du  jeune homme, des plaisirs et, loisirs, ne mène, à « rien, de bon ». La tempérance, en la matière, comme, en toute autre, est fort bénéfique, comme, l’excès toxique. Puis, l’égocentrisme total est destructeur, car il nie autrui, en se déifiant, soi, au détriment, des autres. Il convient, de tenir compte, de soi-même, ses besoins, en priorité, certes. À la condition de, toujours, intégrer, ses semblables, à son schéma, de vie, en l’intérêt, de tous. L’essentiel axiologique, ontologique juvénile, est de baser, son existence, sur des valeurs, règles intangibles, solides, fondamentales.

 

Ce sont elles, qui feront un sens, à sa destinée, de jeune masculin, en coaching de vie, l’éclaireront, l’enracineront, en vérité, pour n’avoir pas vécu, en vain, laissé, une trace féconde. « Apporté, sa pierre, à la construction humaine ». Pour honorer, sa condition terrestre, ses aïeux, contemporains, successeurs. De façon, absolue, intemporelle, comme, universelle. Droiture, don, de soi, amour, vérité, justice, fidélité, loyauté, effort, respect, gratitude, tempérance, responsabilité… Autant, de « balises, guidances, vigies » sûres, transcendantes, pour l’existence, en plénitude, accomplissement, de soi. Servir, des principes éthiques, de vie, sauve, sert, ennoblit. Les trahir, asservit, perd, avilit.

 

La récompense, du garçon  junior, en coaching de vie, est dans l’ascèse, le châtiment est le salaire, du dévoiement. Loi, foi, sont toujours, garants sûrs, inconditionnels, comme, indéfectibles, quand, la corruption morale trompeuse, fallacieuse, illusoire, est la perdition. Le jeune ne peut, jamais, baser, du « bon, sur du pur mauvais ». « Le bon grain donne toujours, de bons fruits, quand, l’ivraie ne produit, que de nuisibles récoltes ». Tel, pourrait être, l’enseignement, à tirer, de la parabole, Le Bon Grain et l’Ivraie. (Matthieu, apôtre, Moyen-Orient, Ier s., XIII, 24-30, Évangile néotestamentaire, La Bible, Moyen-Orient, Ier s.). De droits et, sains préceptes, de vie, de l’adolescent, en bonifient, tous les domaines405.

 

Quels, qu’ils soient, à son plus grand profit. Sur le mode, du gagnant-gagnant. Cela, le grandit, moralement et spirituellement. L’essentiel juvénile, est de se dépasser, soi-même. Les seuls combats, qui vaillent, se livrent, contre soi, ses pires démons. Le pire est, de ne pas donner, le meilleur, de soi, pour soi, autrui, toujours et, pour tout. L’accomplissement, de soi, passera, surtout, par, soi-même, non, par l’entremise, d’autrui. Le premier pas, sur la voie, de la sagesse et, de la plénitude, est l’opinion positive, l’acceptation, de soi. Estime, confiance, affirmation, de soi, du junior, en coaching de vie. L’autonomie, l’indépendance, d’esprit.

 

L’indifférence, par rapport, à l’opinion, des autres, sur soi. Une vision positive, de l’existence. Des objectifs auto impartis, tenus, en progression. La prohibition, de toutes jalousies, envies, rivalités. Il est très important, de se fixer, des limites et, impératifs et, de les respecter. L’altruisme, les bons procédés désintéressés, bienveillants et, bienfaisants, au profit, des autres, de la part, du jeune homme, sont bénéfiques. Non seulement, pour les heureux destinataires, mais, pour lui-même. Être utile, faire le bien, à autrui, rend, plus heureux, que se contenter, de la narcissique autogratification, limitée, au jour, le jour.

 

Éviter, le perfectionnisme, qui rend, trop exigeant, avec soi-même, ne procure, qu’insatisfactions et, frustrations. L’adojunior, en coaching de vie, est perfectible, faillible et, aucun, n’est parfait. L’essentiel, est de tirer les leçons, de ses erreurs et, de s’amender. Tout en se pardonnant. Être exigeant, avec soi, va de pair, avec l’indulgence, à son propre égard et, sans nulle, complaisance, mais, avec compréhension. La droiture morale est vitale, pour qui, veut, « réussir sa vie », lui donner, un plus juste sens. Cela, commence, par la pratiquer, à son propre égard. Puis, à celui, de ses comportements et, aussi, à l’égard, d’autrui.

 

Il convient, régulièrement, autant, que de besoin, de se ressourcer, pour se vider, de ses soucis, stress, anxiétés, déconvenues. Se recharger, positivement, en apaisement, espérance, sérénité et, bonnes résolutions. Cela, peut prendre, toutes sortes, de formes. À chaque jeune, de trouver, le lieu, la pratique, de détente, de don et, d’accomplissement, de soi, qui lui convient, le mieux, lui est, le plus bénéfique. Travailler, ses talents, aptitudes, passions, hobbies et, vocations, compte, aussi. L’essentiel, est d’aimer cela, sans retenue, d’y prendre intérêt, avantage et, plaisir androJuvéniles. Pour se transcender406.

 

Cela, permet, de se réaliser, s’aimer. En la vie, il s’agit, pour le jeune masculin, en coaching de vie, d’être actif, non, passif, « la cause est entendue ». Or, pas actif, n’importe comment et, de mauvaise façon : proactif, non simplement, « réactif ». Le premier, est responsable, de lui-même, de ses actes, agit. Le second, se défaussera, sur autrui, subira. Chacun, est acteur, de sa vie, non, spectateur. Le réactif est régi, par ses pulsions. Il ne fonctionne, qu’en vertu, des événements extérieurs et, d’autrui. En infantilismes, éruptivités, excès. Le proactif est mu, par sa raison, des valeurs et, agit, selon, lui-même, sa conscience, en sagesse, recul, pondération.

 

Chez le junior proactif, la réflexion précède l’action. Ni, le réactif ni, le proactif, n’ont pouvoir, sur tout ! Or, le proactif a conscience, que l’essentiel, est l’appréhension mentale, des choses, plus, que les choses, elles-mêmes. Qu’il est, en son pouvoir, d’influer, positivement, sur sa vision, des êtres, événements, situations, objets, réalités humaines. En contrôle, de soi. Le réactif prétend, avoir la possibilité, de « changer, le monde ». Cela, étant loin, d’être, toujours, possible, il en éprouvera, force rage, frustrations, pertes, de maîtrise, de soi. En illusoire et, « infantile loi adojuvénile, de toute puissance ».

 

Ce qui peut mener, le garçon  junior, en coaching de vie, aux pires violences, s’il n’obtient, immédiatement, exactement, ce qu’il désire, quand, où et, comme, il le veut. Le simple réactif est irresponsable, fataliste, impuissant, passif. Il fait dépendre, son bonheur, sa réussite, toute sa condition, d’éléments extérieurs, à lui-même. Le proactif est responsable, volontaire, conquérant, actif, efficace. Il fait reposer, toute sa fortune, sur lui-même, ses atouts, son courage, ses combats. Le réactif se met toujours, dans la position, d’une victime paranoïaque, qui subit. Il est susceptible, se plaint, de tout et, tous, voire, de lui-même, aussi.

 

Il enrage et, ne bougera, que sous la seule, contrainte. Quand, le proactif juvénile, sait, qu’il est comptable, de l’essentiel, que nul, ne lui doit rien, qu’il ne doit rien, aux autres ou, raisonnablement. Qu’il a, plus généralement, des devoirs, non, seulement, des droits. Le jeune est, souvent, son pire ennemi, lui-même, son moins bon ami. Les combats, les plus centraux, significatifs, sont ceux, qu’il mène, pour lui et, contre, ses propres travers, non, contre, autrui. Il en va, de même, de ses victoires. Le réactif attend, « la manne providentielle », le proactif « endure, stoïquement, mille morts »407.

 

L’adojunior, en coaching de vie, se bat, en « vendant chèrement, sa peau », pour réussir. Il surmonte, les aléas, revers, réalise, ses desseins, par efforts et, actions adéquats. Il ne tient compte, que de ses marges de manœuvre, possibles et, accepte, ce qui ne peut être modifié. S’il « ne peut avoir, ce qu’il aime, il aime, ce qu’il a », sans résignation, en continuant, à se battre, pour avancer. Ignorant, tout ce qui est, hors, de ses contrôle, volonté, action et, se focalisant, sur ce qui est, en son pouvoir. Pour agir, changer, les choses, positivement. Cela, rend plus heureux, serein, prospère, en tout et, pour tout.

 

Tout l’art juvénile, de la vie, consiste, à muer, ses déconfitures et, déroutes, en autant, d’occasions, d’éclatantes réussites. N’oublions pas, qu’en chinois, le mot crise signifie, autant, difficultés dommageables, que possibilités favorables, de « remise, en selle ». Tirer, tous les enseignements utiles, de ses déboires, est bien plus important, instructif, utile, significatif, que les déconvenues, elles-mêmes. Ce qui compte, toujours, surtout, n’est jamais, ce qui échappe, au jeune homme, ou, ce qui a été perdu, mais, ce dont, il a bénéficié et, ce qui reste. Les acquis, profits, bénéfices bénéfiques, comptent plus, que les manques, pertes et, déficits dommageables.

 

Tout dépend, de la façon, dont, le junior, en coaching de vie, voit les choses, de l’angle d’observation, choisi. Nous le savons, « voir, le verre, à moitié vide », rend malheureux, « à moitié plein », bien plus serein. Le bonheur et, le marasme relèvent, essentiellement, de la volonté, du choix, d’appréhension. S’accommoder, même, du pire, peut aboutir, au… meilleur ! Se laisser anéantir, par le pire, ne conduit, qu’au… pire ! Même, les « pires épreuves, sévices », peuvent être surmontés, par le renforcement mental, de la « résilience » androJuvénile.

 

C’est-à-dire, l’inversion, du pire malheur, par la volonté, de « rédemption », coûte que coûte. Son progrès, son destin et, sa réussite, sont entre ses mains, tout autant, que ses enlisements, marasmes et, malédictions. Il appartient, à chacun, de vaincre, ses propres démons, comme, de doper, d’optimiser, ses potentiels. Il n’y a nulles, fatalités. La spirale, de l’échec, peut, toujours, être arrêtée, net. Quels, que soient, les obstacles, handicaps, issus, du passé, du jeune ou, de son milieu, d’origine. Chacun, se doit, d’être, son propre modèle, de vie. Le proactif est intégralement, comptable, de lui-même, de l’ensemble, de ses comportements, quels, qu’ils soient. Les assumant, en « responsable »408.

 

Le junior masculin, en coaching de vie, entretient, toujours, quoi, qu’il arrive, un mental combatif. Ce qui ne signifie pas, pour autant, agressif, vindicatif, belliqueux. Plutôt, ardent, volontaire, incisif. Il décide, choisit, planifie et, agit. Il ignore, les problèmes, difficultés et, ne voit, que les solutions afférentes, idoines. En effort, persévérance, ténacité. Le réactif est défaitiste, attentiste, suiviste, il subit, n’entrevoit, que les blocages. Dans la facilité, le confort, le découragement. Il s’agit, de provoquer, avec succès, toutes choses, pour réussir, ce que le jeune veut, non, d’attendre, en vain, en échec, qu’elles se produisent.

 

« Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien, venir » ?

« Je ne vois rien, que le soleil, qui poudroie et, l’herbe, qui verdoie ».

(C. Perrault, écrivain français, 1628-1703, La Barbe bleue, Contes de ma mère l’Oye, contes, France, 1697)409.

 

Telle, l’Arlésienne, que l’on évoque aussi, sans cesse, sans, pour autant, au grand jamais, la voir, apparaître » ! (A. Daudet, écrivain français, 1840-1897, L’Arlésienne, nouvelle / Lettres de mon moulin, recueil de nouvelles, France, 1869)410. Le volontarisme actif et, le tempérament résolu et, déterminé, du jeune homme, en coaching de vie, sont la clé, du succès et, de la plénitude. Inventivité, créativité, courage, abnégation, ingéniosité, les corollaires. Le secret, de la sérénité, est, dans la maîtrise, de soi, en toute circonstance. Ce qui permet, d’éviter, les pires dérapages, incontrôlés, de se comporter, de façon, sage, appropriée et, opportune. En ataraxie et, équanimité adojuvéniles.

 

Pour cela, la lucidité, la perception, de soi, d’autrui, une morale exigeante et, l’intelligence imaginative ou, une force mentale autonome, en sont les clés, fondamentales. Ce qui implique, saine distanciation, sage discernement et, relativisation clairvoyante. Conscience axiologique et, « déontologie » élevées. Inventivités, ouvertures, d’esprit. Liberté farouche, du jeune, en coaching de vie, sans faille, autodétermination et, souveraineté, à opter, décider et, agir, en « toute conscience ». En un mot, comme, en cent, l’essentiel, de toute vie, est de toujours, savoir faire, les bons choix, prendre, les meilleures décisions, possibles.

 

Pour, le plus optimal résultat, loisible ! Pour soi, en son intérêt propre, comme, en faveur, d’autrui. Selon, la loi, du déterminisme, du garçon  junior : un rapport constant, de cause, à effet. Ce qui incite, à infléchir, soi-même, son propre destin ou, à le subir. La nature a horreur, du vide. Si le jeune n’agit pas, lui-même, de façon, endogène, en son intérêt, d’autres ou, des éléments exogènes, extérieurs, à lui-même, le feront, à sa place. À son désavantage. Aussi, sûrement, que, « qui va, à la chasse, perd, sa place ». (Proverbe français).

 

Puisque, hors, de ses choix, sa volonté, ses intérêts. L’adage, ne dit-il pas, que : « L’on n’est jamais, si bien servi, que par, soi-même » ? (France). Tout junior, en coaching de vie, est responsable, de sa destinée, de ses succès et, échecs. Il s’agit, aussi, de fixer, un cap pertinent, précis, sûr, à son existence. Ce qui signifie, un projet, de vie, des valeurs, des desseins existentiels. Il s’agit, de connaître, ses priorités et, urgences et, de s’y tenir, en agissant, pour bien, les réaliser. Concrétiser, ses souhaits, désirs, idéaux, ambitions et, préférences, implique, donc, de choisir, pour cela, une destination.

 

De s’y diriger, « dare-dare », sans relâche ni, découragement ou, abandon, jusqu’à, arrivée finale. Sain et sauf ou, égratigné, sans encombre ou, dans la tempête, l’essentiel, est de parvenir. Au jeune homme, de se procurer, boussole, cartes, gouvernail, voile, sextant, compas, godille, accastillage, gréement, pour manœuvrer, au mieux. Le mieux est, alors, de planifier, à moyen et, long termes, pour naviguer, au long cours et, grand large. Le pire, de caboter, le long, des rivages, au jour le jour, à la petite semaine juvénile, court terme. Le courant se doit, d’être fort dominé, car, « se laisser dériver, au fil de l’eau », s’avère, toujours, des plus délétères et, toxiques.

 

Tout, ce que, le jeune, en coaching de vie, détermine, l’engage, parfois, à vie, alors, qu’il prenne garde, à bien décider, aujourd’hui, pour demain. D’autant plus, qu’il se situe, en juvénilité, phase, d’envol, comme, de prédisposition, pour le restant, de l’existence. Le choix, des fréquentations, est crucial, il s’agit, donc, de ne pas se tromper et, de toujours, miser, sur les « bons chameaux ». « Dis-moi, qui tu fréquentes, je te dirai, qui tu es » ! (Proverbe français). Les bonnes relations, donneront, de bonnes influences et, les mauvaises, de… mauvaises ! Alors, prudence et, discernement ! Il en va, de la sexualité, de l’amour, comme, de l’amitié, du junior.

 

Attention, à bien savoir, où, l’on « met, les pieds », pour ne pas aller, de déconvenues, en pires désastres ! D’un point de vue, tant, psychoaffectif, comme, de santé physique. Le sexe, pour le sexe, ne mène, à rien, de positif, en soi. Pas plus, que l’amour, mal partagé et, à mauvais escient ou, inauthentique. Gare, aux mauvais choix, en la matière ! Également, pour l’avenir, l’option, des études, la façon, sérieuse, assidue, continue, de les mener, influent, grandement, sur toute réussite. D’où, l’importance, de bien, s’orienter, travailler. Décidant, par soi-même, pour soi, en souveraineté, de son propre destin andro-adoJuvénile411.

 

Si le junior masculin, en coaching de vie, « suit la masse », au lieu, de se prédéterminer, lui-même, il risque, la facilité, la médiocrité, puis, l’échec, plutôt, que l’exigence, l’excellence ou, la réussite. Pour s’impartir, la bonne direction, de vie, savoir, comment, s’y diriger, il convient, au préalable, d’élaborer, son propre code, de principes, de comportement. Lequel, résume, la ligne, de conduite, à tenir, sa vie, durant. Ce qui permet, de définir, ses priorités, sa morale, de vie. Ce qui est, la meilleure aide, aux choix, à l’action, possible. En un monde, de plus en plus, instable et, changeant, ce, de plus en plus, rapidement, un « roc sûr », de solidité, s’impose, donc.

 

Un « code, de bonne conduite », est, par excellence, cette balise existentielle. Qui guide, éclaire, chaque jeune, le préserve, du pire, l’aide, à parvenir, au meilleur. En évitant, pièges, chausse-trapes et, autres perfides traquenards, de toute vie. À un âge, lui-même, si incertain. Il est important, aussi, de connaître et, capitaliser, ses dons, talents, vocations et, savoir-faire et, être. Dans le domaine humain, bien, au-delà, des seules, compétences techniques. Que l’adojunior, se garde bien, des vils préjugés réducteurs, dépréciateurs, menant, au pire, à l’égard, des autres et, de lui-même.

 

Nul jeune garçon, en coaching de vie, ne peut être enfermé, en une seule case, en dérisoire catégorisation, typologie. Car, il y a, autant, de genres, d’humains, sur cette Terre, que d’humains, chaque personne, étant unique. Vouloir, se conformer, à son image publique, est, des plus toxiques, car, cela, implique, non, être soi, mais, un clone factice. Forgé, de toutes pièces, par autrui, pas même, par soi. Que le junior, n’oublie pas, ce sage précepte, de Pindare, (Poète grec, 518-438 av. J.-C.) : « Deviens, qui tu es, quand, tu l’auras appris » ! Qu’il fuie, le défaitisme, le catastrophisme, la dramatisation, le pessimisme. Le manque, de foi, en soi, ses capacités, la culpabilité et, la honte, abusives.

 

« Errare humanum est, perseverare, diabolicum ». Tout le monde, se trompe, s’est trompé et, se trompera. L’essentiel, est, de se corriger, d’en tirer, les leçons, sans récidiver, à l’excès ni, à l’envi. Cet antique adage, gréco-romain, sera repris, en une re/formulation proche, par saint Augustin. (Théologien chrétien, Afrique du Nord romaine, 354-430). En ses Sermons. (Œuvre religieuse, Empire romain, 410/412). Attention, à ne pas se tromper, d’objectif majeur, de priorité412. Sachant, aller, à l’essentiel, sans confondre, réussite matérielle, dans la vie et, réussite morale, de sa vie. La première dimension juvénile, est légitime, honorable, quand, la seconde, est capitale.

 

Il ne suffit pas, de cheminer, encore, faut-il, se diriger, vers, la « bonne destination ». Donc, se poser, les bonnes questions, comme, il convient, les plus essentielles, au préalable. Selon, ce que dicte, la conscience, du jeune homme, en coaching de vie, au plus profond. Pour réaliser, sa « mission terrestre », il convient, d’en fixer, les buts, le dessein existentiel, essentiel. Pour cela, il s’agit, d’établir, les sacrifices, à consentir, à cet effet, pour se donner, les vrais, bons moyens, de « parvenir, au sommet », ambitionné. Ensuite, les avantages, les profits, fort escomptés.

 

Puis, s’impose, la question, de savoir, si le junior, est disposé, ou, non, à consentir, l’effort impliqué. Condition, sine qua non, en cas, d’accord, pour être, en mesure, de relever, le défi, réussir, à le concrétiser, sur la durée. L’objectif, trop élevé, décourage, trop peu, ambitieux, il démobilise. Il s’agit, qu’il soit exigeant, mais, accessible, pour pouvoir, lucidement, raisonnablement, le réaliser. Avec, le maximum, de chances, de succès. En efforts, ténacité. Pour, que l’objectif juvénile, ne reste pas, à l’état, de simple ébauche stérile, incantation gratuite, vaine ou, de vœu pieux, il sera, ainsi, que ses modalités, implication, écrit, « encre sur papier ». Autrement dit, noir sur blanc.

 

Les belles paroles, les résolutions orales, du jeune masculin, en coaching de vie, s’envolent, au vent, des illusions perdues. Seuls, les écrits restent, ont, force, de droit, loi. Partout ou, presque, à l’ère contemporaine, le droit écrit, l’a emporté, sur le droit oral ou, coutumier. Napoléon Ier, (Homme d’État, France, 1769-1821), affirmait : « Un bon croquis, vaut mieux, qu’un long discours » ! L’écriture est symbole, de précision, comme, de résolution, d’impératif, de durée, de ce qui s’impose, peu à peu, à soi, finit, par se réaliser, en prophétie autoréalisatrice. Au lieu, de ratiociner, tergiverser, barguigner, fonçons, droit, au but ! Sans nuls, états d’âme, du junior. Les Écritures exhortent :

 

« […]. Que votre oui, soit oui, que votre non, soit non, afin, que vous ne tombiez pas, sous le jugement ».

(Jacques, apôtre, Moyen-Orient, Ier s., Épître de Jacques, V-12, Nouveau Testament, La Bible, Moyen-Orient, Ier s.).

 

Quelle, que soit, la décision, il s’agit, de l’appliquer, bouger, d’oser. Non pas, de s’abstenir. En audace, hardiesse, aplomb, sans peur, doute ni, hésitation. Choisir, décider, aide, à agir, pour exécuter, l’intention ferme, résolue. Le but existentiel n’est pas, de tenter, mais, d’agir, parfois, de s’abstenir. Contrairement, à la pensée, de P. de Coubertin, (Historien français, 1863-1937), l’essentiel, du jeune garçon, en coaching de vie, n’est pas, seulement, de participer. Plutôt, de vaincre, d’atteindre, les objectifs, impartis, à soi, par, soi-même413 !

 

Participer, sans, se dépasser, s’accomplir, équivaut, à se laisser vivre, donc, sous-vivre, en misérable, indigne déchéance. Pour fixer, son dessein adojuvénile, il est bon, de profiter, des temps, les plus porteurs, fastes, pour soi. Ce sont, souvent, les moments, de débuts ou, fins, de cycles. Tout démarrage ou, accomplissement, tout événement, heureux ou, malheureux, est occasion, de renaissance, régénération, « transcendance », mutation.

 

À condition, de tenir, tous ses engagements, promesses, résolutions, sur le long terme, une fois, la pleine période, de flux ascendant, passée. S’assurer, les concours, soutiens, conseils, encouragements, de personnes, de confiance, proches, est un grand atout, du jeune homme, en coaching de vie. Pour, bien mieux, progresser. Bénéficiant, des forces, d’autrui, non, des seules, siennes. Le slogan, d’une grande banque, (Société Générale, France, années 1990), n’affirmait-il pas : « Conjuguons, nos talents » ? (Covey, 1999)414.


 

 

C’est, dès, leur jeunesse, que les juniors masculins, en coaching de vie, se doivent, de s’accomplir, sur-le-champ. Sans plus, attendre, d’être devenus, adultes, à part entière. Comme, les aînés veulent, trop souvent, le leur faire croire, pour « avoir la paix » et, conserver, ainsi, toutes prééminences, tous pouvoirs, avantages. Tout autant, en leur pays, même, non, en de potentiels, « paradis lointains ». Tel est, leur droit, le plus légitime. De fait, notre nouvelle génération est, d’abord, « hic et, nunc, ici et, maintenant » !

 

Raison même, pour laquelle, le coaching d’Andro-AdoJeunologie®, veut lui « ouvrir, les horizons, les plus insoupçonnés ». Paris, août 1944, de jeunes résistants, de vingt ans, du réseau, Archimède, se battent, pour la libération, de la capitale, un avenir « meilleur ». Mai 1968, ils sont devenus, adultes et parents. Leurs rejetons, de vingt ans, l’âge, de leurs anciens combats, « battent le pavé » et, érigent des barricades. En « libertaires luttes ».

 

– Coaching Jeune XY – Paris 16 –


 

 

Le rouge, de la Révolution d’Octobre, (Russie, 1917), le noir, de l’Anarchie, ont remplacé, les couleurs tricolores, de la Libération. Les jeunes, de 1968, font leur « révolution ». Tandis, que ceux, de 1944, reprennent, du service. Assurant, la logistique, de négociations secrètes, entre Américains et, Nord-Vietnamiens, pour clore, la guerre, de l’ex-Indochine. Ce roman, Archimède 1968, illustre, l’immanence, de la jeunesse. Toujours, partout, en pointe, de l’essentiel, pour défendre, ses fortes valeurs : liberté, générosité et, humanisme. (R. Kauffer, écrivain français contemporain, Archimède 1968, œuvre littéraire, France, 2012)415. Ainsi, en mai 2018, un jeune homme, de vingt-deux ans, sauve, d’une mort certaine, un enfant, de quatre ans, suspendu, dans le vide, au quatrième étage. Au péril, de sa propre vie, il n’hésite pas, à escalader, à mains nues, la façade, d’un immeuble parisien. Par son geste héroïque, il fait honneur, à toute sa génération !


 

 

Attiser, par l’Andro-AdoJeunologie®

Vos rayonnement, altruisme, ouverture


 

 

Volonté, effort, ténacité, persévérance, force mentale, foi, en vous, détermination et, croyance positive… Autant, de qualités, qui font, que tout, ce que vous, garçon adojeune, en coaching de vie, décidez, ce, à quoi, vous adhèrez, mentalement, finit, par se concrétiser, en la réalité, la plus tangible. Ainsi, de vos pires handicaps et, faiblesses ou, échecs, vous pourrez faire, vos atouts, points forts, réussites éclatantes. Par votre conditionnement physique, mental, spirituel, adéquat, résolu et, continu. Votre essentiel adoJuvénile, est de faire, de votre vie, un « pur chef-d’œuvre existentiel », pour, le terme venu, ne rien, regretter.

 

– Coaching Jeune XY – Paris 16 –