Affermir, vos forces mentales, maîtrise de soi andro-adoJuvéniles. Planifier, votre changement, avec rigueur, systématisation. Concrétiser, votre passage, à l’action, jusqu’à, votre victoire, de junior masculin. Telles sont, les conditions idoines, de votre accomplissement de vous néogénérationnel. Sous l’égide, de votre coaching de vie spécifique androJeunologique.
L’adojeunesse est toute, d’ambivalences. Parce qu’elle « se cherche », est encore, instable, inachevée et, en mutation, elle est « tout et, son contraire ». À la fois, tour à tour, « ange et, démon, charmante et, détestable, séductrice et, répulsive ». Le beau roman, de J. Cocteau, Les Enfants terribles, en rend, magnifiquement, compte. Paul et, Élisabeth, sont deux adolescents, orphelins. Le frère et, la sœur vivent seuls, en reclus, repliés, sur leur monde fantasmagorique. Agathe, une amie, d’Élisabeth, les rejoint.
Or, il y a aussi, deux camarades, connus, au cours, des études : Gérard et, Dargelos. Gérard a aimé Paul, Paul, Dargelos. Perverse, Élisabeth « divise, pour mieux régner ». Elle sème, doutes et zizanies. Paul aime, ensuite, Agathe. Élisabeth fait croire, à Paul, qu’Agathe aime Gérard. Elle convainc aussi, Gérard, qu’Agathe l’aime. Ceux-ci, se rapprochent, Élisabeth peut, ainsi, continuer, à gouverner, son frère cadet, Paul. Au tout début, de l’intrigue, Dargelos blesse Paul, d’une boule, de neige, contenant, une pierre ! Il finit, par le tuer, d’une boule, d’opium. Élisabeth, très liée, à son frère, s’en suicide.
Cruelles et enchanteresses jeunesses, se mêlent, ici. L’ensorceleur, Dargelos, se mue, en funeste, esprit frappeur. Éros et, thanatos, liés. Pour l’adolescent, la vie est jeu, d’amusement et, de drame, en fort dures, conjurations et provocations. Entre fantasmes, rêves, allégories, totems, mystères, mythes, de l’imaginaire juvénile. Glissant, presque, « du burlesque, de la commedia dell’arte, au pur tragique, à l’antique ». En la réalité, comme, dans le récit, le jeune est, fort irrémédiablement, le « meilleur ami et, le pire ennemi », de son semblable congénère.
Étant capable, à son égard, du meilleur et, du pire, de lui faire, le plus grand bien et, le pire mal. En amitié, amour, sexualité, le junior veut « se suffire », à lui- même, tout en « fusionnant », avec ses pairs. Oui, la jeunesse est, d’ambivalences ! Elle se doit, de fort cultiver, son « intériorité », pour pouvoir, enfin, parvenir, à la pleine altérité relationnelle. Possiblement, « malsaine et perverse », elle se doit, à elle-même, la rédemption, de l’ontologique transcendance.
Action, est un terme féminin, du quatorzième siècle. Il est issu, du latin, actio. Il signifie : « Ce que fait quelqu’un et, ce, par quoi, il réalise, une intention ou, une impulsion. Fait, de produire, un effet, manière, d’agir, sur quelqu’un ou, sur quelque chose. Exercice, de la faculté, d’agir – par opposition, à la pensée, aux paroles -, déploiement, d’énergie, en vue, d’une fin ».
Le coaching de vie d’Andro-AdoJeunologie® permet, au garçon junior, d’agir, au lieu, de se complaire, en la pire, procrastination, l’immobilisme. Comprenant, que la souffrance, du faire, est moindre, que celle, de l’abstention. Qu’elle permet, en outre, d’atteindre, des résultats et, objectifs. Hors, de portée, en l’inaction. Le coaching de vie d’Andro-AdoJeunoConseil® aide, le jeune homme, à être lucide, pour affronter, l’adversité, mieux résoudre, ses difficultés, évoluer, positivement, favorablement.
En effort, persévérance, ténacité, le junior va clarifier, ses besoins et, désirs. Souligner, établir, ses priorités, projets, desseins. Aptitudes, valeurs, seront mises, en exergue. Il pourra faire, des choix. Il se verra, notifier, les moyens adéquats, d’atteindre, ses objectifs adojuvéniles. Les meilleures conditions, de mettre en œuvre, ses décisions. Il apprendra, comment, aller, de la théorie, à la pratique, en actes, volontarisme, ascèse, discernement. En abnégation résolue, transcendant sacrifice, de soi.
Bramante est un grand peintre, architecte italien, de la Renaissance (1444-1514). Il est, l’un des principaux concepteurs, de la basilique Saint-Pierre, de Rome, au Vatican. Avec Raphaël. (Architecte, peintre italien, 1483-1520). Michel-Ange. (Architecte, peintre, sculpteur italien, 1475-1564). Le Bernin. (Architecte, peintre, sculpteur italien, 1598-1680). À l’instigation, du pape Jules II, (Saint-Siège, 1443-1513), celle-ci sera édifiée, entre 1506 et, 1626. Bramante jette, en particulier, les plans, du dôme, hors normes, qui coiffe, tout l’édifice615. Cette imposante coupole, est la plus haute, du monde, d’un diamètre, parmi, les plus importants. Elle sera édifiée, durant, tout le seizième siècle. Sur le pourtour intérieur, de cette célèbre création, d’exception, s’inscrivent, en lettres, des plus impressionnantes, de deux mètres, de haut, l’une, des citations majeures, du Christ.
Sous, cette coupole, figure, le monumental baldaquin, de bronze, lui-même, ultérieurement, édifié, en surplomb, du maître-autel, aussi, par Le Bernin (1633)617. En architecture, tout dôme, est un couronnement, d’édifice, un point culminant, une acmé physique, comme, il en est, de morales. Sa solidité et, pérennité ne dépendent pas, seulement, de celles, de sa voûte, mais, d’abord, de celles, de ses piliers, de soutien. Ainsi, pour tous, les humains, les débuts, de leur adolescence seront-ils, le « sacre », de l’enfance.
Ceux, de l’adultisme, l’achèvement, de leur jeunesse. Il est donc, important, de veiller, à ce que l’enfance, soit harmonieuse, sûre. Pour avoir, une adolescence, fort réussie et, la jeunesse, prospère, épanouie. Pour connaître, un adultisme accompli, plein et entier ! Certes, un passé « raté », peut être dépassé, transcendé, en un présent et, futur apaisés, amendés. Or, cela, est plus malaisé, incertain, qu’avec, une antériorité sereine, plus, de nature, à assurer, un avenir, des plus quiets.
Hélas, une enfance « malheureuse » donnera, plus souvent, une adolescence perturbée et, une jeunesse tourmentée, un adultisme obéré, que l’inverse. Parfois, même, une enfance fort riante pourra, aussi, mener, à une adolescence chaotique et, une jeunesse porteuse, à une maturité bancale. Or, il est vrai, qu’il est, généralement, récolté, ce qui a été semé, que des « graines, de chardons, enfouies, ne pourront donner, de bons fruits ». L’éducation morale et, affective, les conditions, de vie, les spécificités, des individus, interviennent donc, fort largement, comme, conditionnement, d’avenir.
Même, s’il n’y a jamais, nulle, fatalité et, qu’une résilience, un retournement complets, de la destinée, de chacun, sont, toujours, fort heureusement, des plus loisibles. Comme, l’entreprise, du coaching de vie andro-adoJeunologique, le démontre, amplement, au quotidien, auprès, de jeunes masculins, requérant, aides et, soutiens. Comme, en architecture, tout junior, a grand besoin, de fondements et, bases, « à toute épreuve ». Pour être, en mesure, de bien, faire face, durablement, adéquatement, aux exigences, de la vie. L’Andro-AdoJeunologie® y contribue, des plus puissamment, à sa pleine mesure. Car, elle laisse entrevoir, une paix intérieure, que l’extérieur masque, largement.
À cette fin, elle aide, le jeune, en coaching de vie, à acquérir, la force mentale, indispensable, à la réussite, de son destin. Cela passe, par une parfaite maîtrise, de soi, de chaque instant, en tout domaine. Ce contrôle, cet empire, sur soi-même, sont innés, or, peuvent, surtout, s’acquérir, se travailler, chez tout garçon junior. La maîtrise, de soi, est la capacité, à mettre, en application intégrale, un plan, d’action, de choix adéquat, voulu, décidé, en toute clairvoyance. Il s’agit, de souverainement, décider, de façon, volontariste et dynamique, de s’obliger, à entreprendre ou, alors, à ne pas intervenir.
Hors matière, ressortissant, aux impératifs quotidiens obligatoires, incontournables, du jeune. Comme, se nourrir, aller, en cours. La maîtrise, de soi, permet, de prendre, de bonnes habitudes régulières, qui deviendront, des réflexes favorables. Elle engage, aussi, à renforcer, sa volonté, sa force mentale intérieure. Ainsi, qu’à réduire, les pulsions, les plus mauvaises. La croyance positive, optimiste, constructive, autorise, la volonté productive, de s’exprimer. Si la pensée, est trop négative, il est toujours, possible, en efforts, détermination, de l’inverser, positivement. L’effort androJuvénile acharné renforce, la volonté, la plus défaillante.
De même, que l’envie, le désir, le souhait, les plus vifs, du junior, en coaching de vie. Ce qui est gage, d’action, de mouvement, de réussite, quand, leur absence crée, au contraire, immobilismes, inactions, passivités. L’objectif, est de demeurer attentif, vigilant, concentré, afin, de mieux, se contrôler et, d’être en mesure, d’agir, adéquatement. En constantes « autovérifications ». Une activité, à la fois, mais, menée, intégralement, scrupuleusement, de main, de maître, jusqu’à complète, diligente, parfaite, exécution finale. Distraction et, inaction seront, ainsi, vaincues. De même, que le laisser-aller.
Organisation, rigueur et, exigence, régularité, autodiscipline, en sont, les maîtres mots. La bonne tenue renforce, quand, la mollesse avachit. L’adojeune, qui ne veut ni, ne désire, rien, est l’amorphe jouet, de son inertie, apathie. Ce qui le décourage, le démotive, le désespère, par paralysie, consomption. Il s’agit, de se défier, des sollicitations extérieures, intempestives, des tentations intérieures, hédonistes, de toutes sortes. Le but suprême, est de ne jamais, se laisser distraire, de la tâche principale, impartie, que l’on s’est fixée, à soi-même. Rien, ne peut ni, ne doit, faire dévier, du chemin andro-adoJuvénile tracé, pour s’accomplir618.
Chaque jeune homme, en coaching de vie, veillera, à rester maître, de ses pensées, émotions, comportements, actes. Il s’agit, pour cela, de bien et, mieux, répartir, au quotidien, labeur et, repos. Par une rigoureuse planification, prédéterminée et organisée, comme, véritable, « papier à musique ». Autonomie, indépendance, liberté, de jugement, de pensée, d’action, s’imposent, en rigueur, libre-arbitre, for interne. Il importe, toujours, de « vouloir ». Le plus souvent, ne pas pouvoir, n’est qu’une illusoire, dérisoire et, pathétique excuse, pour ne rien faire et, justifier, l’incurie et, la paralysie coupables.
Nulle, conduite juvénile saine, droite, active, n’est possible, sans alimentation, de qualité, équilibrée. Limitée, en quantité, au nécessaire et, aux besoins caloriques journaliers, de chacun. Une nutrition excessive, médiocre et, nocive, ne mène, qu’à l’indolence, aux nets désordres. Tout repas sera pris, calmement, lentement, en bonne mastication préalable, pour bien assimiler, digérer et, tirer profit, de ses repas. De même, le contrôle, de soi, exclut, toutes addictions toxiques. La dépendance, du junior, est une aliénation et, atteinte, à sa liberté. Aux personnes, comme, les sectes. À des pratiques, comme, les jeux vidéo ou, les excès sexuels.
À des produits, comme, l’alcool, le tabac et, les drogues. En tout et, pour tout, tempérance, régularité juvéniles masculines, feront merveille, pour affermir, force mentale, maîtrise, de soi. De saines habitudes, hygiène, de vie, une bonne composition cognitive, émotionnelle, comportementale, concourent, à la bonne santé physique, comme, psychique. En renforçant, ainsi, son immunité psychique, l’on consolide fort, son immunité physique et, réciproquement. Rappelons, à cet égard, l’impératif, d’une bonne, comme, complète respiration abdominale, plutôt, que seulement, thoracique, pulmonaire, pour bien, s’oxygéner.
Prendre, régulièrement, l’air, aérer, suffisamment, les espaces intérieurs. Faire, quotidiennement, bouger, son corps. S’exposer, raisonnablement, à l’air, la lumière, au soleil. Dormir, suffisamment. Le psychisme, du junior, en coaching de vie, influe, toujours, sur l’organisme physique et, réciproquement. Un mental fort et, positif, crée, un corps vigoureux, sain. Une anatomie, en bonne santé, génère, un mental dynamique. Une psychologie déprimée, finit, par altérer, la santé somatique, un corps affaibli, par la maladie, débilite, l’esprit. Les états d’âme, ne font, que tourmenter, inutilement, de façon, fort néfaste, une jeunesse, faite, pour le bonheur619.
Ils sont, à éviter. L’envie, la jalousie, la rivalité, tout autant. Tout ceci, ne fait, que nuire, à la santé, du corps, comme, de l’esprit. Les avantages détenus, par autrui, les « regardent », leur appartiennent. Il ne revient pas, au jeune, en coaching de vie, de les « convoiter », mais, de se battre, en « pensée positive », pour s’élever, en et, par, lui-même, vers, ce, à quoi, il aspire, le plus. Avec vigueur, saine avidité et, détermination. Vanité, orgueil, suffisance et, arrogance, ne conviennent pas, davantage, à la vraie, force mentale, l’empire, sur soi. L’être est à cultiver, quand, le paraître n’est, le plus souvent, que vain artifice, superficiel.
La curiosité abusive, indiscrète, malsaine, n’est, aussi, qu’autant, d’égarements, sots, stériles, qui n’éclairent et, n’enrichissent, en rien, l’être adojuvénile. Il s’agit, de, toujours, être responsable, authentique, en droiture et, vérité, courage, lucidité, justice. Loin, des récurrentes, imbécillités humaines. Sans complaisances, échappatoires, lâchetés ni, faux-semblants. Les bassesses, dévoiements, d’autrui, à son égard, ne sauraient toucher, le garçon junior ou, lui faire éprouver, de mauvais sentiments, à l’égard, de ses pires offenseurs. Ce qui ne ferait, que nuire, salement, à tout, son équilibre psychosomatique personnel.
Il suffit, que le jeune homme, en coaching de vie, y soit indifférent, car, il ne s’agit, que d’abus, non fondés. Donc, de fort mauvais procédés et, fausses querelles, sans importance ni, légitimité. Qu’il ne convient, que d’ignorer. Leur accorder, la moindre valeur, attention, ne ferait, que leur donner, un crédit, qu’ils n’ont pas. Les attaques n’auront, d’effet, que si on le veut bien et, seulement, à la mesure, de la considération, que l’on accepte, de leur porter. Car, selon, le célèbre mot, de C.-M. de Talleyrand-Périgord, (Homme d’État, France, 1754-1838) :
« Tout, ce qui est excessif, est insignifiant » !
Les « bons » sentiments, que le junior, en coaching de vie, cultive, à l’égard, de lui-même, des autres, attirent autrui et, de positifs effets bénéfiques, pour lui et, aussi, ses semblables. Les mauvais, nuisent, aux autres et, surtout, l’isolent et, le détruisent, lui-même. Le bien suscite et, renforce fort, le bien, tout comme, le mal, engendre, décuple, le mal. Découragements, renonciations, défaitismes, attentismes, passivités, inhibitions, sont à fuir, comme, la peste. Force, résolution, proactivité, dynamisme, audace, foi, garantissent, le meilleur, préservent, du pire. N’oublions jamais, que « la passivité adojuvénile, est du plus vil métal, l’observation, de bronze, la parole, d’argent620.
Le silence est, quant à lui, d’or, surtout, l’action, du jeune masculin, en coaching de vie, de platine » ! Si le dynamisme actif s’impose, l’impatience est contre-productive, car il s’agit, de ne jamais, « confondre, vitesse et précipitation ». La première, est si féconde, quand, la seconde, dessert toujours. Concentration, activité régulière, soutenue, préviennent, l’excès, d’impétuosité. Cela, permet, aussi, de rester serein, en cas, de déception, de contretemps, difficulté, au lieu, de s’exaspérer, en vain. Le contrôle, de soi, est à ce prix. Les excès, d’émotivité, de réactivité, d’impulsivité, de spontanéité, sont nocifs.
Même, si cela, est tentant, paraît, réaction naturelle, quand, le junior est piqué, au vif. Impavidité, patience, froide réflexion, objective et détachée, au calme et, a posteriori, sont les meilleures garantes, de la paix, de l’âme. De la sauvegarde, de l’ « essentiel ». Il s’agit, en la matière, de « se hâter, lentement », de façon, fort réfléchie. La colère est mauvaise, pour la santé physique, psychique, ne résout rien, ne fait, que faire perdre, le contrôle, de soi-même. Envenimer, la situation, de crise juvénile. C’est un acte, de faiblesse, non, de force. Raison, pour laquelle, elle est réputée, « mauvaise conseillère », par la vox populi.
Qui démontre, que le jeune, en coaching de vie, se laisse atteindre, par des éléments nocifs, extérieurs. Il convient, de ne se laisser, influencer, que par les « ferments bienfaisants », de sa pleine force, morale et mentale, intérieure, pour y faire face. En sérénité, silence, secret, solitude, distanciation et, relativisation. La force n’est jamais, dans l’éclat, mais, dans la paix. Agitations, expressivités excessives, seront toujours, remplacées, à grand profit, par le calme, l’immobilité, l’impassibilité, la relaxation. Idem, pour le stress, la nervosité, les tics et, brusqueries.
Envies, com/pulsions, subites et irrépressibles, seront disciplinées et, neutralisées, par la temporisation, l’analyse logique. Le garçon junior est le maître, de ses désirs, ne se laissera pas, gouverner, tyranniser, par eux. C’est la condition, sine qua non, de sa souveraineté, de son libre-arbitre. En fermeté et, résistance, les inclinations excessives, non fondées, finissent, ainsi, par disparaître, d’elles-mêmes. Preuve, qu’elles n’étaient pas, si « indispensables », mais, des plus illusoires et, fort capricieuses. De même, il sera opposé, aux fausses passions, de type obsessionnel, le grand détachement, le plus ferme. En la matière, s’impose, la plus saine distanciation adojuvénile621.
La vraie passion vocationnelle, bénéfique, s’avère telle, par la maîtrise, le détachement, la raison, que cela, implique. Par le fait, que le jeune homme, en coaching de vie, en reste, l’ordonnateur, non, l’esclave. De même, que : « Si l’argent, est un bon serviteur, il est toujours, un mauvais maître ». (Horace, poète latin, 65-8 av. J.-C. : « L’argent est serviteur ou, maître », Rome, Ier s.). La bonne « passion », n’est jamais, un « étourdissement », mais, un accomplissement authentique, de soi. Les saines inclinations, détachées, comme, oblatives, ne sauraient, se confondre, avec les vénéneuses, dépendances capiteuses. Car, bien trop attractives, captieuses ou, captatives.
Les craintes et, inquiétudes permanentes, par manque juvénile, de confiance, exagération, des risques, malheurs, dangers, sont aussi, à juguler. Elles ne font, qu’attaquer, la santé, précipiter, les mauvaises occurrences, redoutées. Par excès, de pessimisme, négativité, défaitisme et, d’autodévalorisation. Il suffit, alors, de se distancier, relativiser, positiver, en sérénité, pour recouvrer, toute sa tranquillité, d’esprit. Le junior se gardera, aussi, d’être trop passif, réceptif, influençable, manipulable, à un âge, de fragilités, doutes, d’incertitudes. Il entreprendra, de se renforcer, mentalement et, moralement, de l’intérieur, car, l’essentiel, ne vient jamais, de l’extérieur, or, que de soi-même.
Afin, d’être guide, modèle exemplaire, d’émulation, à l’égard, des autres, notamment, pairs, plutôt, que « suiviste ». L’hypersensibilité androJuvénile excessive, se combat aussi, notamment, par un bon sommeil, de l’activité physique et, sportive. La relaxation, l’affermissement psychique interne. Déprime, morosité, découragement, se brisent, sous l’effet, de l’action, d’une positivité, de la pensée, des émotions, comportements. Les états bipolaires, perpétuelles oscillations, entre phases euphoriques et, déprimées, sont, des plus nocifs, épuisent, inutilement. Par les successions récurrentes, de ressentis opposés, extrêmes.
Ainsi, que de phases volontaristes, d’activisme forcené, comme, exalté, du junior, en coaching de vie. En alternances, avec des épisodes, d’abattements apathiques, amorphes, d’inaction, d’incapacité paralysantes. Il s’agit, de déconditionner, en soi, ce qui est excessif, en cognitions et, affects, attitudes et, actes. D’un point de vue, tant excité, qu’inerte. Puis, de se re/programmer, mentalement et physiquement, pour rebondir, retrouver, sa paix intérieure, être en mesure, d’agir, de façon, appropriée, bénéfique. Que chaque jeune, s’interroge, en conscience, questionne, son intériorité, y trouve, sa vérité, sa nature622.
En faisant mieux, la différence, entre la réalité générale, extérieure, objective, plus favorable, prometteuse, dans les faits réels, que l’adojunior masculin, en coaching de vie, ne la conçoit. Et, son interprétation intérieure personnelle, subjective et négative, pessimiste et défaitiste. Pour se « rendre compte », que le « ressenti » conjoncturel hostile, des choses, des gens, des événements, en le temps et, en l’espace, ne correspond, en rien, à la réalité structurelle, bien plus rassurante. Redisons, que pour cultiver, force mentale, comme, maîtrise, de soi, il convient, de susciter, d’entretenir, de renforcer, sans cesse, certains éléments capitaux.
La croyance, la foi juvéniles positives, la confiance, la volonté, la motivation, l’action et, de façon, subséquente, des résultats, favorables et bénéfiques. En réussite, bonheur, prospérité. Il s’agit, aussi, de bien faire jouer, l’ensemble, de ses cinq sens, pour bien, tout percevoir, restituer, en tirer profit. Ce, à tous points de vue. L’objectif, est de stimuler, de façon, bénéfique, son « corps, son esprit, son âme, son cœur ». Pour se renforcer, s’épanouir, être bien plus productif et, en progrès. L’assurance, l’estime, la confiance, l’affirmation, de soi, de ses capacités, permettent, au jeune, d’être mentalement, fort.
De mieux contrôler, sa personne, ses actes andro-adoJuvéniles. Par la réflexion, de ressourcement, idoine, l’action constructive, appropriée. Parallèlement, l’autosurveillance exigeante, comme, continue, préserve, de tout désordre, laisser-aller. Elle garde, du pire et, assure, le meilleur, par la rectitude élevée, du corps et, de l’esprit. En hautes ambitions et, dépassements, de soi, réguliers. Il s’agit, aussi, pour le jeune, en coaching de vie, de conserver, tout son calme et, sa maîtrise, de soi, quoi, qu’il arrive. Même, face, aux pires épreuves, conflits, crises, attaques ou, avanies. Par la force mentale intérieure, qui se suffit, à elle-même, s’autorenforce, est capable, ès qualité, de toujours, faire face, « au pire, comme, au meilleur ».
Alors, le garçon junior, en coaching de vie, est fort apte, à demeurer, imperturbable, stoïque, indémontable, sous la plus « rude mitraille ». Ainsi, le 18 juin 1815, à la bataille de Waterloo, (Belgique), les grenadiers impériaux français, sont-ils, en perdition. Sommés, par le général ennemi anglais, C. Colville (1770-1843), de se rendre. Le général, P. Cambronne, (France, 1770-1842), aurait, alors, répliqué : « La Garde meurt, mais, ne se rend pas » ! Même, assurément, apocryphe, la formule est, des plus significatives, comme, riche, d’enseignements, pour les jeunes623. Si le renoncement moral, élève, la renonciation défaitiste, avilit. Force mentale, maîtrise, de soi, permettent, d’agir, en dopant, les atouts, potentiels, possédés, réalisant, les projets, prévus. Atteignant, les objectifs, impartis. En effort, persévérance, ténacité, constance. (Jagot, 1934)624.
Le 3 nivôse, an IX, 24 décembre 1800, en la nuit même, de Noël, à vingt heures, a lieu, ce qui restera, en l’Histoire, comme, l’Attentat, de la rue Saint-Nicaise, à Paris. Il s’agit, d’un complot royaliste, visant, à assassiner, par des explosifs, le Premier Consul, N. Bonaparte. (Homme d’État, France, 1769-1821). Ce dernier se rend, au Théâtre des Arts, l’Opéra, de l’époque, rue de Richelieu. Pour assister, à la toute première, représentation parisienne, de l’oratorio, du compositeur autrichien, J. Haydn (1732-1809), La Création. (Saint-Empire, 1798). Napoléon est indemne, mais, il y aura, vingt-deux morts, une centaine, de blessés, des dizaines, de maisons, détruites ou, endommagées.
Nous évoquons, ici, cet événement historique, car, la première victime, en a été, une adolescente, de quatorze ans, M. Peusol. (France, 1786-1800). Sciemment, vouée, au trépas, par les conjurés. Il s’agissait, d’une modeste, pauvre vendeuse, de petits pains, chargée, pour douze sous, par eux, de tenir, la jument, de la carriole, qui allait exploser. Elle meurt, sur le coup, déchiquetée. La peau, du visage, arrachée, le crâne, ouvert, les deux bras, sectionnés et, projetés, au loin. Sa maman, veuve, se manifestera alors, pour signaler, la disparition, de sa fille.
Cet odieux crime, suscitera l’indignation, la compassion générales. L’un, des conspirateurs, échappera, à l’arrestation. L’historien français, G. Lenotre (1855-1935), l’évoque, en sa biographie, de Napoléon Ier. (France, 1932).
« Limoëlan, [Chef chouan, France, 1768-1826], ne fut jamais, pris. Passé, clandestinement, en Amérique, écrasé, par les remords, il entra, dans les ordres, devint, sous un nom, d’emprunt, l’aumônier, d’une congrégation religieuse. Il vécut là, dans les pratiques, de la plus austère, piété, jusqu’en 1826, ne reparut jamais, en France. Quand, revenait, la nuit, de Noël, il la passait, tout entière, prosterné, devant l’autel. Les fidèles admiraient, la dévotion, de ce saint prêtre, dont la vie, à coup sûr, avait été, exemplaire. Lui, le front, sur les dalles, revivait, les minutes tragiques, de la nuit, du 3 nivôse. Implorant, sans nul doute, le pardon, de l’innocente enfant, qu’il avait prise, par la main, pour la conduire, à la mort »625.
Ainsi, des adolescents, côtoient-ils, la grande Histoire, en tragiques victimes, bien trop oubliées !
Votre volonté juvénile, de changement, votre évolution ou, mutation exigent, au préalable, de débuter, par le « commencement ». Prédéterminer, votre conception, des choses, vos objectifs, vos valeurs, votre parcours, vos moyens afférents, comme, les effets subséquents, escomptés, vous permet, d’être bien préparé. Pour relever, les défis, de votre existence. Il s’agit, d’un « pari » fort, sur votre avenir, avec mises immédiates, pour fructifications ultérieures, à brèves, moyennes, comme, plus lointaines échéances. Votre changement, de junior, en coaching de vie, est des plus positifs, bénéfiques, impératifs et, inéluctables.
Il requiert, des efforts, de l’investissement, de l’implication personnels, de la ténacité et, de la détermination. De l’organisation, de la rigueur, de la persévérance strictes. En tenant compte, de ses réalités physiques, psychiques, cognitives, émotionnelles et, intellectuelles, affectives, morales, sociales, comportementales. Les avantages, du changement, l’emportent et, le plus souvent, sur les inconvénients, éventuels. Pour tout jeune homme, choisir, les bonnes valeurs, qui lui serviront, de guides référents et, de « moteur » sûr, toute sa vie, est capital.
Il s’y tiendra, y conformera, ses pensées, affects, actes, attitudes. Amour, vérité, justice et, droiture, courage, empathie, force morale, générosité, altruisme, humilité, cœur, paix… Dans la vie, l’acquiescement et, l’acceptation, valent mieux, que le refus, le rejet. Les juniors, en coaching de vie, sont constamment, bombardés, par les adultes, de non, bien plus rarement, de oui. Or, seul, le oui, vaut accueil inconditionnel et, compréhension bienveillants, du jeune. Quand, le non, implique, défiance, incrédulité hostiles, à son encontre. Le oui, épanouit, fait grandir, le non, malmène et, étiole, les adojeunes.
Lesquels, ne sont, ainsi, ni insérés ni, reconnus, en leur société, par celle-ci. Cela, n’incite guère, le junior, au changement, or, au frileux repli, autoprotecteur, sur les seuls, acquis, passés. Alors, qu’il s’agit, d’accueillir, les mutations, seuls, gages, de réussite et, plénitude, de vie. La positivité, l’optimisme androJuvéniles, appellent, la vie, comme, la négativité, le pessimisme, s’y opposent, rapprochent, de la mort. Non, est très limitatif, quand, oui, est un formidable catalyseur, d’énergie, d’ouverture, de liberté. Accepter, est plus fort, que refuser626.
Sans fins ni, bornes. Alors, oui, au changement salvateur, du jeune masculin, en coaching de vie, non, à l’immobilisme, si dommageable. Pour évoluer, rien, ne vaut, le fait, de s’adosser, à des repères et, fondamentaux, inexpugnables. Pour un « corps, un esprit, un cœur et, une âme », en bonne santé optimale. Avec rigueur, exigence. Privilégiant, l’essentiel, si porteur, sur le vain, tellement, superflu. Cela, débute, par une irréprochable hygiène, autodiscipline, de vie : sommeil, alimentation, activité physique, relaxation et, respiration abdominale. Un état d’esprit positif, optimiste, d’ouverture illimitée, favorable, constructif et, productif.
Le tout, au présent, non, au passé ou, au futur. Le passé juvénile, périmé, est un regret, par nostalgie ou, insatisfaction. L’avenir, inexistant, est une crainte ou, un vague espoir. Seul, le présent, bien réel, compte, est valide, exploitable, immédiatement, disponible, vecteur, du meilleur. Passé défunt, futur virtuel, ne sont, le plus souvent, que fléaux, malédictions, qui encombrent, inutilement, ligotent, négativement. Sauf, pour en tirer, les enseignements, positifs, instructifs, significatifs, pour mieux penser, ressentir, faire, au présent ! La vie, du junior, se passe toujours, aujourd’hui même, jamais, hier ni, demain.
Il s’agit donc, de repartir, sur de nouvelles, saines bases, en « oubliant », définitivement, son passé, comme, s’il n’avait, jamais, existé. Comme si, le jeune, en coaching de vie, renaissait, chaque jour, semaine, mois, année, décennie, de sa vie, comme, tout neuf. En outre, l’organisme physiologique se renouvelle, en moyenne, tous les sept ans et, quasi intégralement, tous les quinze. Le Moi, d’aujourd’hui, n’est donc, plus, celui, d’hier, pas encore, celui, de demain. Seul, notre présent permet, d’agir, d’avancer, de réussir, de changer et, d’être heureux. Le passé n’est, que pires entraves et, l’avenir, potentialité inconnue.
Que le garçon junior, aime son actualité, œuvre, au présent ! Fasse, ses définitifs adieux, aux « vieilles lunes », obsolètes, dépassées, qui l’étouffent. Comme, aux illusoires utopies, projetées, qui ne se réaliseront, jamais, car, il n’y croit pas, vraiment, ne fait rien, aujourd’hui, pour les réaliser, ultérieurement ! Les jeunes, comme, les adultes, sont assaillis, de difficultés, d’épreuves, de déconvenues ou, revers, de toutes sortes. Or, ils ont, tous, en eux-mêmes, la vigueur et, les capacités adéquates, pour vaincre, tous les obstacles, aléas, de leur vie. Rappelons, à ce sujet, que les difficultés sont faites, pour être vaincues627 !
Ils peuvent, se doivent donc, parfaitement, de, pleinement, livrer, le meilleur, d’eux-mêmes, pour se dépasser, réaliser, leur destin adojuvénile. La volonté, de transcender, sa vie, vaut, la plus grande espérance. Tout blocage cède alors, face, à la résolution, de changer, aux mutations entreprises. Cela, passera, non, par la perfection, « qui n’est jamais, de ce monde », or, par l’excellence. L’excellence est une haute exigence, de soi, d’abord, aussi, d’autrui, des choses, des événements, circonstances et, réalités. Cela, en tout et, pour tout. En volonté, courage, détermination, effort, ténacité, droiture, amour, humilité, en ascèse qualitative, patience, sans relâche.
Jusqu’à atteinte, des objectifs terminaux, du junior, en coaching de vie, sans jamais, faiblir ni, renoncer. Le changement ne sera plus, rejeté, mais, recherché, intégré, au quotidien, « au fond, de soi ». Quelle est, la « mission, à accomplir », à cet effet ? S’inscrire, dans le réel, du présent, savoir, en quoi, comment, il s’agit, d’agir, de le faire, adéquatement, se donnant, sans compter, de façon, optimale. Le jeune homme ne se contentera pas, d’atteindre, ses objectifs. Il continuera, à se battre, après, cela, pour pérenniser, ses acquis et, les accroître, encore, bien plus. Au maximum.
Des plus insignifiantes, aux plus éminentes, tâches andro-adoJuvéniles, toutes, seront conduites, avec une acuité extrême, seule, apte, à la prospérité, félicité terrestres. Progresser, se dépasser, « aller, plus loin », faire, mieux, que la fois antérieure et, moins bien, que la suivante, ainsi, de suite, toute sa vie, durant. Seuls, la mort, la maladie, le handicap, graves et, amoindrissants, le très grand âge, justifient, la renonciation, totale ou, partielle. Alors, la fin, de ce processus, d’excellence existentielle. De façon, toute relative, car, tant, qu’il y a, souffle, de vie, il y a, espoir, d’avancées, pour tout adojeune, en coaching de vie.
Même, après, le trépas, le croyant, qui adhère, à l’Au-Delà, est convaincu, de poursuivre, encore, sa quête terrestre, d’excellence, post-mortem, en autre dimension. L’excellence garantira, équilibre et abondance, contrôle, de soi, force intérieure. En ouverture, acceptation, des changements. Même, en contrées, parmi, les plus favorisées, libres et démocratiques, la plupart, des adojuniors, ont peur, de se révéler, s’autocensurent. Mentent, cachent, travestissent, se taisent, par peur, des réactions, supposées, hostiles, des autres. Convaincus, du « pire » ou, étant, dans le doute, ils préféreront, « raser les murs »628.
Avec, la certitude juvénile masculine, rassurante, de la sécurité, toute relative, ainsi, si mal acquise, plutôt, que de s’affirmer. Avec, tous les aléas, fort réels ou, supposés, que cela, pourrait, impliquer. Ce travers universel, de la « dissimulation », est enseigné, depuis, toujours, partout, dès, le plus jeune âge. Tous, s’y tiennent, toute leur vie, alors, que rien ni, personne, ne les y oblige, sauf, eux-mêmes. Nul, n’est soi-même, mais, joue, un rôle factice convenu, censé, être convenable, en société, jugé, tel, par cette dernière. Particulièrement, les juniors, en coaching de vie, par souci, d’être intégrés, peur, d’être rejetés. Ce qui est compréhensible, à un âge, de doute, d’instabilité, de fragilité, d’envie, d’être plus, comme, les autres, que différent.
Le syndrome, du « vilain petit canard », a encore, frappé. (H. C. Andersen, conteur, poète danois, 1805-1875, Le Vilain Petit Canard, conte, pour enfants, Danemark, 1842)629. Objectif, des plus urgents, cesser, cette si hypocrite, fallacieuse, comédie, des faux-semblants, pour être vrai et, oser, enfin, la sincérité, du réel. Plutôt, que le pathétique travestissement, masquant, des inventions, de toutes pièces. Le but, de l’existence, n’est pas, la dissimulation, mais, le don, de soi. L’ouverture, la sérénité, la confiance, sont supérieures, à la fermeture, la peur, la défiance. La jeunesse, en coaching de vie, est faite, pour rayonner, non, pour s’éteindre !
Pour préserver, ses pensées, émotions, paroles, comportements, actes et, même, omissions ou, abstentions, le jeune, en coaching de vie, fuit, reste, paralysé ou, attaque. Ce système est salutaire, en cas, de menace ou, danger réels. Or, délétère, si nul, péril, ne s’annonce. En ce cas, le mieux, est de paisiblement, « revendiquer », ses cognitions, affects, propos, attitudes, actions, passivités. Sans, pour autant, systématiquement, chercher, à avoir raison, le dessus, sur autrui. Même, si cette dernière configuration, réputée, « supérieure », est toujours, socialement, si valorisée.
Alors, que le seul fait, d’avoir tort, d’être vaincu, est, non moins, socialement, rejeté, comme, étant perçu, « inférieur ». Le garçon junior se défendra, donc, contre autrui, pour bien, le dominer et, l’emporter. Or, ainsi, il ne fera, que se desservir, au profit, des autres, en les renforçant, par ses attaques « personnelles ». À force, de craindre, des dangers supposés, de vouloir, s’en prémunir, ils finissent, tôt ou, tard, par advenir. Le jeune peut changer cela, inverser, la donne. En abandonnant, d’inutiles et, coûteux mécanismes, d’autoprotection, de défense, rejet, refus, contre, une personne, réalité, occurrence. Un junior confiant, ne craint rien, n’a jamais rien, à craindre.
L’objectif juvénile ne sera plus, de se prémunir, mais, d’être ouvert, confiant, compréhensif et, acceptant. Sans chercher, à « avoir raison » ou, l’emporter. Le prétendu danger menaçant, se mue, alors, en une occasion positive, enrichissante, bénéfique. En plénitude, au présent. La peur, la défiance, la défensive, le sentiment permanent, d’insécurité, mènent, à la fermeture, au mal-être, à l’immobilisme, la négativité, au retrait et, à l’échec. Ceux, qui sont confiants et, ouverts, tolérants, positifs, détachés, des revers existentiels, sont bien plus heureux, gratifiés, par la vie.
Il est nécessaire, possible, à l’adojunior, en coaching de vie, de s’ouvrir, en confiance et, sérénité, pour « être mieux », avec soi, autrui. L’on est traité, à la mesure, des signaux, positifs ou, négatifs, que l’on adressera, consciemment ou, non, aux autres. Qu’ils reçoivent, comme, tels, sur le même mode. De façon, verbale, non verbale, psychique, physique, ou, non. L’existence est l’exacte « duplication », des pensées, croyances, émotions, paroles, actes, comportements, omissions, abstentions, du jeune homme. Qui est, lui-même, comptable, de ce qui lui arrive ou, pas, de positif ou, de neutre, comme, de négatif. Il suscite, par, ce qu’il est, ses « réalités, de vie ».
La responsabilité, lui en incombe, à lui-même, junior, en coaching de vie, en interne, de façon, endogène. Non, aux autres ou, aux circonstances et, événements extérieurs, sur le mode exogène. S’il est, en mode négatif, le retour réactif, d’autrui et, des occurrences sera, tout autant, négatif. Il pourra, changer cela, en devenant, positif. Alors, le monde extérieur, le sera, aussi, à la mesure, à son encontre. Il ne s’agit plus, de théoriser, protéger, défendre, ses cognitions, sentiments, actes, attitudes. Or, de les assumer, affirmer, vivre, pleinement, en liberté, paix, confiance, comme, enthousiasme !
Les désirs, du jeune, sont la source, d’un puissant moteur, de vie, d’aspirations. Il s’agit de, sans cesse, « se questionner », sur ce qu’il souhaite, authentiquement, au plus profond, de lui. La réponse viendra, naturellement, de soi, tant, elle s’impose, d’évidence, car, si ancrée, en la réalité andro-adoJuvénile, la plus constante. Il convient, de fixer, définir, ses volontés prioritaires, légitimes, bénéfiques, domaine, par domaine. Afin, ensuite, de les visualiser, d’y croire, de les réaliser, peu à peu, intégralement, une, par une. Il s’agit, d’identifier, ses envies. De les détailler, le plus précisément, possible. Par type, degré, d’importance décroissante630.
Pour chaque quête, seront précisés, les avantages escomptés, en la réalisant, avec le meilleur moyen, d’y parvenir. Nombre, d’adojeunes masculins, en coaching de vie, vivent, très en deçà, de leurs capacités réelles, en passivité, laisser-aller, inertie et, attentisme. Ne cherchant jamais, à évoluer, se dépasser ni, améliorer, leurs aptitudes et, qualités, réduire, leurs travers. Ils se contentent, alors, de réagir, mollement, au lieu, d’agir, de proagir, de façon, résolue, dynamique, volontaire. Ils regrettent, se plaignent fort, critiquent, « tout et, son contraire, à l’emporte-pièce ».
Or, sans jamais, rien entreprendre, pour adoucir, un sort juvénile, qui leur convient, si peu, selon, leurs doléances. Ils se croient, victimes, alors, qu’ils sont ou, peuvent, prétendre, être privilégiés. Faibles, alors, qu’ils sont ou, peuvent, être forts. Mauvais ou, inférieurs, alors, qu’ils ont vocation, à l’excellence, à dominer, leur destin. Ils se contentent, de « rêver, leur vie », quand, ils pourraient, se devraient, de « vivre, leurs rêves » ! Il leur suffirait, pourtant, de changer, bouger, muter, croire, en eux, autrui, la vie, leur destinée. Il s’agit, pour les juniors, de créer, d’inventer, innover, de se libérer, distancier, de faits négatifs, nocifs ou, sans importance. L’insignifiance ne vaut, qu’indifférence, pleine et entière.
Pour se consacrer, à l’essentiel : les combats adojuvéniles, d’une vie, qui, eux seuls, méritent, d’être livrés, gagnés. Car, ils sont, les plus fondamentaux, à portée, de victoire, par optimisme, confiance, volonté, motivation, action. Ce qui donne, résultats positifs, succès, aussi, sûrement, que la Terre, est sphérique. Pensées, émotions, comportements sereins, donnent, des actions et, résultats favorables. Si les premiers, sont perturbés, les seconds, seront contre-productifs. Seules, comptent, les réalités positives présentes, objectives, avérées, distanciées.
Non, les états d’âme négatifs, du garçon junior, en coaching de vie, liés, au passé, à l’avenir, subjectifs, supposés et, passionnés. Les faits bruts, neutres, dominent, les enjeux, à effets, d’inquiétude. Le pragmatisme détaché, est plus propice, à la plénitude, que le tourment, d’intérêt excessif. En acceptation, confiance. L’action importe bien plus, que ses effets, bons ou, mauvais. Les mots, que l’on formule, à soi-même, en monologue intérieur ou, ceux, exprimés, à autrui, en dialogue, sont capitaux. Plus, que de simples sons, ils sont vecteurs, de sens, d’idées ou, d’appréciations. S’ils sont positifs, ils portent, le jeune, très favorablement, ainsi, que les autres, également631.
S’ils sont négatifs, ils peuvent alors, horriblement, détruire, l’adojunior, en coaching de vie. Qu’il surveille donc, son langage, à usage, tant, interne, qu’externe, car il peut, autant, « sauver, que tuer », selon, ce qu’il exprime. Quoi, qu’il arrive, qu’il use, de formulations harmonieuses, pour être « dopé », vers le haut, en pensées, paroles, émotions, abstentions, actes. Non, de sentences désastreuses, qui ne peuvent, qu’anéantir, psychisme, attitudes, vers le bas. Le changement positif commence, par la cognition positive. L’inertie négative débute, par une mentalisation négative.
Le cerveau enregistre, dans l’esprit, reproduit, en la réalité, ce que le jeune homme, lui fournit, comme, données cognitives, émotionnelles et, intellectuelles. Il ne peut, « faire du bon, avec, du mauvais, ni, du mauvais, avec, du bon ». À lui, de lui livrer, de saines idées, convictions, espoirs, d’avancées bénéfiques, pour qu’il l’aide, à obtenir, des évolutions favorables illimitées, en sa vie. Non, de perverses, qui le feraient tomber, en la réalité, des méandres empoisonnés, des doutes, peurs, défaitismes, inerties et, pessimismes juvéniles restrictifs. Oser, aller, de l’avant, est plus sain !
Il s’agit, de « déprogrammer », les données nocives, du cerveau, du junior, en coaching de vie, du fait, de leur fort pessimisme, immobilisme. Pour « reprogrammer », des informations bénéfiques, car optimistes et, de changement favorable. De même, des représentations visualisées heureuses, rendent heureux et, donnent, des résultats heureux, en sa vie. L’enthousiasme permanent, quoi, qu’il arrive, est une gymnastique mentale, de salut, impérative. Pour qui, veut parvenir, à changer, en bien, aller, mieux, devenir, meilleur ! Il s’agit, de passer, de la rétention, de la contrainte, la sujétion, la contention, psychiques, physiques ou, comportementales négatives, à la libération androJuvénile totale.
Celle, de l’expression authentique, profonde, positive, de soi-même. Pour enfin, décoller, vers le meilleur, au lieu, de rester captif, enchaîné, en les bas-fonds, de sa paralysie apeurée. La plénitude ne passe, que par l’approfondissement, l’enracinement, le sens et, les valeurs durables. Non, la superficialité, l’artifice, la fugacité, sans trace. Au présent, pleinement, vécu, en enrichissements et, non, en la nostalgie vaine ou, la projection excessive. Le passé est un présent, dépassé, l’avenir, un présent, non encore, passé. Que l’adojeune soit, toujours, présent, au présent, le plus actuel, celui, qui n’est pas, déjà, dépassé. Ni encore, à passer632 !
Seul, le présent, du junior masculin, en coaching de vie, permet, d’agir, de « bien vivre » ! En concentration, du moment, en cours, sérénité, souplesse, vision globale, holistique, des choses. Prenant, de la hauteur, de la distance, avec, une respiration profonde, ample, en détente. Pour, bien mieux, embrasser, l’ensemble, du panorama, de son existence. En autodiscipline, ténacité, effort, acceptation, de l’essentiel, des changements, nouveautés, des risques calculés, face, à l’imprévu inconnu. L’acceptation, de ce qui est, or, non, le refus, le rejet, par la volonté que, toujours, tout et, tous, soient, comme, l’on aimerait, préférerait, qu’ils soient.
La vie, le monde, autrui, ne sont pas faits, pour être, à l’image, du jeune, sa volonté, ses préférences, mais, pour être, ce qu’ils sont, en essence intrinsèque. Ni plus ni, moins. Ce n’est pas, à l’univers, de s’adapter, au jeune, mais, à ce dernier, de se conformer, en intelligence, adaptation, souplesse, au monde. Pour le plus grand bien, de tous ! Il importe, d’avoir, une « solide base, de vie ». Celle-ci repose, notamment, sur de bonnes études, réussies, un bon métier, épanouissant, une haute sécurité matérielle, financière, à vie. Sans compter, la part morale, élevée, de réalisation juvénile, de soi.
Pour bien penser, percevoir, agir, communiquer, il s’agit, pour le garçon junior, en coaching de vie, d’éviter, de généraliser, d’omettre et, de « distordre ». Confondre, le particulier et, le général. En attribuant, à tort et, par pure facilité ou, simplification excessive, des caractéristiques et, jugements, du particulier, au général. Cela, est néfaste, car, erroné, abusif. L’omission escamote, des réalités importantes. Ce qui fausse, le jugement, la compréhension, la vérité, induit, fallacieusement et, de façon, fautive, en erreur. Volontairement, consciemment ou, non. De façon, abusive, dommageable.
La distorsion, du jeune, est un grossissement exagéré, visant, à maîtriser, manipuler, dominer, tout et, autrui. En accentuant ou, minimisant, des données, réalités cruciales, en présentation subjective insidieuse. Toutes ces mauvaises stratégies, sont à proscrire, car elles ne reflètent pas, la vérité avérée, mais, le pur mensonge. Sa fausse vérité, mais, non, la vérité objective, de tous. Ceci, n’est, qu’abus, manipulation, aux dépens, de soi-même, d’autrui. Puisque, tricher, avec les autres, revient, à se mentir, à soi. L’objectif juvénile, est d’être précis, factuel, de dire, tout ce qui est essentiel, présenter, les choses, objectivement, en une optique constructive633.
Cela, permet, positivement, au junior, en coaching de vie, d’évoluer, de faire bouger, les choses, d’enrichir, la vie, au lieu, de rester figé et, se complaire, en l’insignifiance. Il convient, donc, de présenter, toutes choses et, soi-même, tels, que la réalité, les font, jamais, en factices, faux-semblants. Cela, libère, en authenticité, au lieu, d’enfermer, en mensonge. La vérité, en congruence, mène, au changement, quand, le travestissement inauthentique, conduit, aux blocages, de toutes sortes. Le langage, les pensées, émotions, actes, comportements, se doivent donc, toujours, d’être, au plus précis, complets et, vrais !
L’éducation, les apprentissages, les enseignements, sont nécessaires, bénéfiques, pour socialiser, tout jeune. Lui permettre, de grandir et, de s’insérer, au mieux, en sa société. Or, à la condition de, toujours, évoluer, s’adapter, en exigence, aux réalités et, impératifs mouvants, des circonstances, du junior, qui devient adulte. Si ce dernier, reste figé, en ses principes éducatifs rigides, périmés, non évolutifs, alors, cette gouvernance, didactique et, mentale, deviendra vaine, toxique. Au lieu, d’aider, le jeune homme, son nocif « lexique éducatif », le desservira, car, il lui enseignera, le pire résigné, au lieu, du meilleur, de l’espoir.
Faute, d’adaptation androJuvénile, pragmatique, successive, au fur et, à mesure, de son adultisation. Il est vital, d’évoluer, sans cesse, ce, par lâcher-prise. Ce qui ne signifie pas, laisser-aller ou, démission, mais, détachement et, renonciation, aux règles périmées, inadaptées, mauvaises. Tout en conservant et, créant, celles, qui bénéficient, sont valides, idoines. L’on passe, ainsi, d’une vie restreinte, pauvre, à une existence illimitée et, riche. Par le changement, la liberté, les largesses existentielles. Sortant, des routines, osant, innovant, en iconoclastes audaces, mais, fondées, légitimes, bénéfiques, positives.
Oser, s’affirmer, tel, que l’on est, en étant soi, telle est, la grande, principale loi, de la vie, de l’adojunior, en coaching de vie ! Tout en avançant, sans cesse, pour s’améliorer, à tous points de vue, aller mieux, devenir meilleur. En pleine satisfaction, de ses meilleurs, chers désirs, souhaits, envies. Ne privilégiant pas, les artifices, de forme, extérieurs, mais, l’essentiel, de fond, intérieur. L’être, avant, l’avoir, le faire, paraître. En plénitude cognitive, émotionnelle, intellectuelle, physique, affective, morale, comportementale. Les règles sûres, permettent, au jeune, de se structurer, policer, le plus solidement, possible, en sa société634.
Or, si le junior masculin, en coaching de vie, les adopte, de façon, trop rigide, automatique, bornée, sa vie devient alors, conventionnelle, terme et, ennuyeuse. Ce qui conduit, à ne pas exister, par soi-même, mais, au travers, de systèmes extérieurs, préétablis, qui s’imposent, à lui, par force, inertie. Plus, qu’il ne les a réellement, choisis, en pleine adhésion. Il s’agit, donc, de se libérer, du superflu néfaste, pour ne conserver, que l’essentiel bénéfique. Quittant, les routines imposées, sclérosantes, pour les changements et, innovations choisies, épanouissantes, car, libératrices. Changeant, pour soi, avant, que de conserver, figer, pour autrui.
Préférant, ses adhésions personnelles juvéniles, aux conventions extérieures. Adoptant, les valeurs ajoutées, sortant, des sentiers battus, en spontanéité et, naturel. Fuyant, ce qui est si convenu, attendu. Que chaque jeune, conserve sa fraîcheur, sa vie, durant, au lieu, de s’étioler, dès, ses vingt-cinq ou, trente ans, à peine ! Sache, toujours, percevoir, écouter, appliquer, sa « voix intérieure ». Qui, intuitivement, viscéralement, de façon, sûre, lui dit, sans doute possible, ce qu’il a, à être et, faire et, l’aide, ainsi, à trouver, sa vraie voie. Un junior, en cheminement, avance, mieux, que s’il est, pleinement, embourbé.
De façon, résolue, avec détermination juvénile. Ce qui permet, de changer, en spontanéité. Discrétion, confidentialité, retenue, en tout et, pour tout, toujours, sont de mise. Inutile, de se répandre, en médisances, calomnies, ragots. Réservant, ses forces, son temps, à des visées, plus utiles, dignes, plutôt, qu’à des attaques, qui ne sont, qu’autant, de poisons mortels. Tant, pour ceux, qui les fomentent, que pour ceux, qui en sont, les cibles. Que l’adojeune, en coaching de vie, soit positif, bienveillant, indulgent, à l’égard, de lui-même, comme, d’autrui, car, il est, comme, tous, faillible.
S’il ne parvient pas ou, ne peut pas, exprimer, « du bien », alors, qu’il soit neutre ou, demeure silencieux, mutique. Qu’il évite, au maximum, de dire, « du mal ». Tant, à son encontre, qu’à celui, d’autrui. Si le bien, laisse des traces, le mal, aussi ! Au-delà, que le garçon junior sache, préserver, les secrets, être discret, avare, de paroles inutiles. N’exprime, que l’essentiel. « La parole, du junior, est d’argent, le silence, est d’or » ! Les grandes choses, ne se construisent toujours, que dans la solitude, le silence et, le secret. Jamais, en vastes foules, vacarmes assourdissants, bavardages inconséquents. C’est, en quiétude, que la voix, de la sagesse, se fait entendre635.
Raison, pour laquelle, l’élévation monastique régulière, tend, à cette mystique loi, immémoriale. Que cela, concerne, des sujets, à son propre propos ou, celui, d’autrui. Que le jeune homme, en coaching de vie, oublie, ses attentes, « plaies, de l’humanité », qui ne peuvent, que créer, les pires frustrations, déceptions, malaises et, échecs. Les remplace, par des objectifs, bien définis, de changement. Ce qui est positif et, dynamique, comme, actif, quand, les attentes ne sont, par essence, que négatives, débilitantes, passives. Se battre, pour évoluer, porte, ses fruits féconds.
Attendre, d’être, gratifié, ne donne, nul, résultat tangible, bénéfique, au junior, si ce n’est, le néant, le plus désespérant. Attendre, consiste, à se projeter, bien trop, excessivement, sur le futur, aux dépens, du présent. Or, seul, le présent, permet, d’agir, d’obtenir, en y demeurant, fermement, ancré, sans refuge illusoire, en son passé ou, avenir. Attendre, fébrilement, est stérile. Changer, de façon, détachée, permet, de se fixer, des objectifs, précis, adéquats et, d’y croire. De s’en donner, les moyens, d’agir, de s’y tenir, jusqu’au résultat final. Tout en continuant, à se battre, ultérieurement. Pour consolider, de façon, optimale, ses acquis juvéniles, ne pas les perdre, en réaliser, d’autres.
En croyance optimiste, foi, en soi, volonté, motivation, action, résultats positifs tangibles. En jeune acteur agissant, non, spectateur passif, de sa propre existence. Sans attentes, craintes, désirs excessifs, définition, de l’ataraxie ou, sagesse supérieure. Or, acceptation, des réalités, en pragmatisme. « Témoin, témoignage », de l’essentiel, pour s’élever, se dépasser. Rendant « grâce », pour tout, ce que le junior, en coaching de vie, est et, a, positivement ou, négativement. Se considérant, comme, privilégié, mais, jamais, en victime, comme, fort, non, jeune faible, gagnant, gagneur et, non, perdant, pleutre.
Découvrant et, tirant, toutes leçons utiles, de l’existence, du monde, d’autrui. Prenant, de la distance, hauteur, sachant, ce qu’il convient, de maintenir, ce qui doit, changer. Visualisant, avant, action, ce qu’il va changer, les aspirations, qu’il va satisfaire. De façon, réaliste, en triple dimension, comme, en un film, de cinéma panoramique, en couleurs, mouvement, sur grand écran, visuel, sonore, tactile, olfactif et, gustatif. Puis, répétant, de la façon, la plus affirmative, positive, forte, convaincue, ce qu’est, son objectif, de changements andro-adoJuvéniles bénéfiques. Avec, toute la volonté, la foi, la certitude, convaincues et, fécondes possibles636.
Pour assimilation parfaite, exécution concrète et, réalisation effective. De façon, dynamique, diligente et, efficace. En proaction et, inventivité, du junior masculin, en coaching de vie. Vivant, en imagination, les choses, exactement, comme si, elles arrivaient, véritablement, en son existence, bien réelle. Alors, fiction et, réalité se fondent, l’être ne fait plus, aucune différence, entre les deux. Le cerveau intègre, cette vision, à laquelle, l’adojeune croit, la prend, en compte, le dirige, en conséquence. Pour qu’il puisse, bien réaliser, obtenir, ce qu’il souhaite, par la visualisation. Que le jeune, casse, les routines et, agisse autrement et, de façon, inusitée, jusqu’alors. Silence, solitude, secret, patience, calme, permettent, de se forger, une vie sereine, pleine, lumineuse.
En méditation, introspection, approfondissement moral. Respiration et, relaxation multisensorielle détendue. Impliquant, tout « le corps, l’esprit, le cœur et, l’âme ». En vide spirituel total, avec soi-même. Fuyant, les inquiétudes et, excès, de pesanteurs, d’importances, de sérieux. En allègements ! La vie est plus comédie, que drame. Que le garçon junior, en coaching de vie, ait, une vision neuve, apaisée. Renouvelle, de fond en comble, sa conception, de lui-même, des choses, des autres et, du monde, de sa personne, sa vie. Pour cela, qu’il assainisse et, efface, le moins bon et, utile, de l’existant, ne conserve, que le meilleur, l’indispensable. Bâtisse, à neuf, change, pour rebondir, plus haut, fort, plus loin, beau et, meilleur ! Car, comme, l’a exprimé, un vieux précepte chinois, repris, par de célèbres personnages : « Là, où, il y a, une volonté, il y a, un chemin » ! (Cappannelli, 2004)637.
Le vingt-et-unième siècle est celui, de la médiatisation, de l’adojeunesse. Mise en scène, des juniors, par les médias, comme, sur utilisation, des médias, par les jeunes. Ils délaissent, la presse, mais, pas, les magazines. La télévision s’efface, au profit, d’autres médias. L’emportent, Internet, les jeux vidéo, la radio, le téléphone mobile. Les médias font partie, de la culture juvénile. Ce qui permet, de s’exprimer, sur soi ou, d’écouter, autrui. D’écarter, les adultes, notamment, parents, au profit, des pairs. Il s’avère, capital, d’éduquer, l’adojeunesse, à l’information, la consommation, au civisme médiatique. En particulier, concernant, les rencontres électroniques, du Web, les violences, la pornographie, les dépendances, aux jeux, les harcèlements et, les vils chantages. En vigilance !
(C. Pinet-Fernandes, sociologue française, Les ados et les médias, étude sociologique, France, 2008).
Le verbe est le reflet, de la pensée, la source, de tous enseignement, doctrine, réflexion, dessein, vision, des humains. Or, il ne saurait, se suffire, à lui-même. Il n’acquiert, tout son poids, toute sa sagesse, sa force, que dans la mesure, où, il est fondement, matière, à réalisations, actions ou, œuvres tangibles.
L’esprit juvénile trouve, sa légitimité, en l’entreprise et, tout « accomplissement terrestre », est issu, d’une conception mentale, au préalable. Raison, pour laquelle, le coaching de vie d’Andro-AdoJeunologie® est, avant tout, une transmission théorique, pratique, visant, l’action efficace, concrète. Le jeune homme, particulièrement, a du mal, à agir, passer, de la mentalisation cognitive, émotionnelle, à l’action comportementale. Car, il se persuade, à tort, que la souffrance, du faire, est supérieure, à celle, de ne pas faire. Alors, il se dispense fort, d’agir, remet, au lendemain, ce qui peut être accompli, sur-le-champ. Le junior ne fait donc, pas ou, trop tardivement, mal et, en les affres, du plus grand tourment.
Ce qui se nomme, procrastination. Alors, ledit jeune, en coaching de vie, reste passif, inerte, amorphe, inactif. Il subit, en restant, apathique sujet, spectateur mineur, de sa propre vie. Au lieu, d’en être, acteur dynamique majeur. À ses pires dépens. Son existence est débilitante, au lieu, d’être tonifiante. Or, la meilleure façon, de se motiver, de se donner, le courage, d’agir, est de se convaincre, car, telle, est la réalité, d’une chose. Que la douleur, les inconvénients, de l’inaction, sont bien supérieurs, à ceux, du mouvement. Que les joies, les avantages, bénéfices, de l’action, sont incomparablement, plus élevés.
Sans verser, dans l’activisme ni, le volontarisme, du junior, les plus forcenés, agir, à bon escient, rend heureux, libre, prospère. Quand, s’abstenir, est gage, de mal-être, servitude, d’indigence. Rappelons, la loi, de l’action : se fixer, des objectifs, précis et idoines. Y croire. S’en donner, tous les moyens. Agir. S’y tenir, durablement, jusqu’à pleine réalisation et, au-delà, pour pérenniser, les pleins acquis, ainsi, obtenus, en atteindre, d’autres. Cultiver, une pensée andro-adoJuvénile optimiste, avoir confiance, de la volonté, de la motivation.
Puis, être, ainsi, en mesure, d’agir, d’obtenir, des résultats favorables. Tel est, l’ordre logique, des choses. En effort, courage, abnégation, persévérance, ténacité, du jeune masculin, en coaching de vie. Optimisation, de tous, ses potentiels, souvent, plus importants, que l’on veut bien, le croire, que l’on n’ose, l’espérer. L’inertie, la plus fréquente, est le recul, devant l’obstacle. En fuite éperdue, devant les difficultés, contraintes, risques, inconforts, ingratitudes, servitudes, de l’existence. Abstention, d’actions, par incapacités, à se mouvoir ou, au contraire, à s’arrêter.
Alors, qu’il serait, en son intérêt, dans les deux cas, de faire, un choix, prendre, une décision, l’appliquer, concrètement, en l’exécutant. L’inertie juvénile est le refus, la résistance, à modifier, une situation. L’inaction courante, problématique, est, bel et bien, l’incapacité, à se mettre, en mouvement. L’inhibition peut être conjoncturelle, ponctuelle, en fonction, des circonstances ou, actions, à entreprendre. Il peut y avoir, de simples carences, d’initiatives. Difficultés, à agir, pour soi, or, non, en faveur, d’autrui. La passivité peut être, de type, créatif. Cela, ne concerne pas tant, le manque, d’activité, du junior, que la difficulté, à émettre, des idées, imaginer, des projets tangibles.
L’inertie hédoniste, est celle, qui veut goûter, aux commodités, avantages, de l’existence, tout en en fuyant, tout inconvénient et, tout désagrément ou, effort. Le jeune, en coaching de vie, « ne fait pas, ce qu’il dit, ne dit pas, ce qu’il fait ». L’aboulie plaintive, consiste, à ne jamais, appliquer, ses excellents principes. L’on en fait alors, porter, toute la responsabilité, sur autrui ou, des facteurs externes. En éternelle victime, si injustement, incomprise, entravée, par l’incurie supposée et, réputée générale. L’on n’agit pas, par perfectionnisme et, pour ne pas risquer, de mal faire.
L’apathie dépressive, voit, toute activité, comme, insurmontable, angoissante ou, menaçante, de façon, pathologique, structurelle, chronique. Le garçon junior passif a peur, de l’échec, du risque, de ne pas parvenir, à atteindre, ses objectifs. Alors, il ne s’en fixe guère ou, ne tente pas, de les réaliser. Il a une bonne image, de lui-même, mais, n’est pas toujours, pour autant, en confiance. Pour ne pas être confronté, aux limites, avérées, comme, supposées, de son incompétence, le jeune amorphe se propose et, accepte, d’agir. Or, il y renonce, quand, il s’agit, de passer, à l’acte, concrétiser, comme, un cheval, refusant, au tout dernier moment, de « sauter, l’obstacle »639.
L’amorphe lie, à tort, réussite et, bonne image, de soi, échec et, mauvaise estime, de soi. Agir, équivaut, à risquer, d’échouer. S’abstenir, assure, de ne pas rater, puisque, l’on n’a pas concouru. Même, si cela, est au prix, de s’obliger, ainsi, assurément, à ne pas réussir ! En une sorte, de neutralité, faussement, rassurante : ni échec ni, succès. L’essentiel, aux yeux, du jeune homme, en coaching de vie, n’étant pas, de réussir ou, gagner, mais, de ne pas rater ni, perdre. En agissant, la bonne fortune, n’est jamais, garantie, d’avance, alors, qu’en s’abstenant, l’on est censé, être assuré, d’échapper, aux mauvais coups, du sort.
Même si, l’on est, alors, tout autant, garanti, de ne pas obtenir, le meilleur. Or, le junior amorphe, n’en a cure, l’essentiel, n’étant pas, pour lui, de réussir, gagner, mais, de ne pas échouer ou, perdre. Il se rassurera, en se disant que, faute, de résultats, n’ayant pas réussi ou, été bon, il n’a, certes, pas perdu ni, échoué ou, été mauvais. Puisqu’il n’a pas tenté, les épreuves. S’étant mis, hors course, hors jeu. Par ses propres décision et, volonté. Alors, qu’un échec s’impose, à soi, par incapacité réelle ou, imaginée. L’adolescent atone, ne supporte pas, les mutations, appréhendées, comme, des menaces, dangers, sanctions. Dont, il s’agit, d’autant plus, urgemment, de se prémunir, que le jeune, est assuré, de ne pas, s’y faire.
Le junior, en coaching de vie, a du mal, à s’adapter, aux évolutions, imprévus. L’anxiété, ne lui est pas étrangère. Il préfère, « laisser venir », passivement, plutôt, que de se donner, la peine, de prendre l’initiative, d’aller, de lui-même, chercher, les choses. À ses dépens, ignorant, la grande loi, de l’existence, qui veuille, que, tout ou, presque, ne s’obtienne, toujours, que par le mouvement, l’effort, une dynamique, de déclenchement. Il y a, velléité, d’obtenir, mais, aussi, net refus, d’entreprendre, ce qu’il faut, pour cela, d’où, blocages durables, infranchissables.
L’indolent androJuvénile est passif, en temps, espace, face, à lui-même, autrui, aux événements, circonstances, de la vie. Il fuit, le passage, à l’acte, au présent, se réfugie, fort commodément, dans le passé, magnifié ou, l’avenir, paré, d’espérances. L’action évitée, est le fait, du présent, alors, que le passé, l’avenir, étant, par essence, inaccessibles, par péremption ou, non-échéance, rassurent. Car, ils sont, le temps, du souvenir, de la prospective, refuges favoris, du jeune inerte, non, de l’action, tant, repoussée. Les préparatifs, les plus dynamiques, pour agir, seront alors, prolongés, à l’infini640.
Or, l’action, elle-même, qui en est, pourtant, l’aboutissement naturel, indispensable, ne viendra, jamais. Cette façon, de « faire, sans faire, tout en faisant » semblant, étant, de fait, des plus démobilisatrices. Faute, de motivation, d’autoencouragement. Le junior masculin léthargique, en coaching de vie, se rassure, en multipliant, tous les outils, nécessaires, à l’action, qui se suffisent, alors, à eux-mêmes. Ils en viennent, à jouer, le rôle, de pseudo-substituts, à l’action. Face, à autrui, l’inhibé aura, aussi, tendance, à être, dans l’expectative, la solitude juvéniles, plus ou, moins, choisies et, subies.
Il attend, que les autres, viennent, à lui, or, ne prend pas, l’initiative, d’aller, vers eux. De même, face, aux circonstances et, réalités, de la vie, il ne provoque rien, mais, laisse venir et, attend, de voir. Un peu, comme, une coquille, de noix, se laisse, ballotter, au gré, des flots, des vents. Volonté, désirs, actes, sont en déphasages, constants, ce qui bloque, toute latitude, de résultats, donc, de satisfaction, du jeune passif. Faute, de gratifications existentielles, qui, seules, peuvent combler, les humains. Il y a, alors, frustration, impuissance, dépit, regrets, de souhaiter, sans cesse, sans jamais, avoir, faute, de faire. En terrible hiatus, entre les aptitudes et, les résultats.
Donc, mésestime, de soi, même, quand, l’idée, de soi-même, est, demeure, élevée. Avec, très lourd sentiment, d’échec et, d’incomplétude, de ne jamais, concrétiser, ses idéaux. Il y a, souffrance et, pérennité, de l’inertie, du néant pesant, pénible, de résultats et, d’évolutions. Le blocage est endogène et, non, exogène. Le garçon junior inactif, en coaching de vie, est inerte, passif, de son fait, non, de celui, de facteurs, qui lui sont étrangers. Tout d’abord, une stricte hygiène, discipline, de vie, quotidienne, sont les premiers vecteurs, anti-inertie, proaction. Motivation et, objectifs, seront, les « maîtres mots ».
L’idéal, est de se coucher et, de se lever, tôt, ce qui est, plus tonique, en phase, avec le rythme naturel, des cycles solaires et, humains. Ainsi, que d’avoir, un sommeil réparateur, de qualité, comme, de quantité, durée, idoines : ni trop ni, trop peu. L’homme est, génétiquement, programmé, pour vivre, travailler, le jour, dormir, la nuit ! Avis, aux adojeunes, qui aiment, être noctambules, « piquent, du nez », la journée. Le dynamisme anti-apathie est, aussi, favorisé par une alimentation saine, équilibrée, adaptée, à chacun, selon, ses besoins, caractéristiques, activités, âge. La psychologie adojuvénile dépend, aussi, des nutriments641.
Les jeunes hommes, en coaching de vie, ont, tout particulièrement, besoin, d’une alimentation complète, riche. Sans excès. Vitamines, minéraux ou, acides gras essentiels, permettent, tout particulièrement, de favoriser, la tonicité, d’activité. Notamment, vitamine C, magnésium, fer, calcium, vitamines B et D. Les neuromédiateurs, dopamine, noradrénaline, sérotonine, jouent, un rôle essentiel et, bénéfique, pour le dynamisme, de l’activité adojuvénile. En cas, de déficit, ils peuvent favoriser, l’inertie. D’où, l’importance, alors, de bien compenser, ce manque, par des apports nutritionnels, spécifiques, de supplémentation compensatoire.
Sous strict, contrôle médical. Les acides gras essentiels, ne sont pas, à négliger, pour l’optimisation, du système nerveux. Les Oméga 3 et, 6, combattent, l’inertie, favorisent, l’action. L’activité physique, comme, sportive, régulière, qui fait plaisir, est aussi, un excellent outil, dynamisant, euphorisant. Elle dissuade, de – se – traîner et, incite, à – se – bouger. Tonification, revitalisation, suppression, des toxines, consolidation, des muscles, assouplissement, des articulations. Renforcements cardiovasculaires, stimulation mentale, dynamisation générale. Une « mollesse », du junior, peut être combattue.
Telles en sont, les vertus précieuses, pour la santé psychosomatique, du jeune, en coaching de vie, comme, l’anti-passivité proactive. Il s’agit, de « bouger », physiquement, chaque jour, de faire, en sus, des activités sportives, chaque semaine. Sans compter, les vacances sportives, en toutes saisons, à la mer, à la montagne ou, la campagne. L’essentiel, n’est pas tant, d’agir, que d’agir, de soi-même, de l’intérieur, de sa propre initiative, sans impératifs, venant, de tiers ou, de l’extérieur. Pour cela, il s’agit, de bien organiser, gérer, mieux structurer, son temps, de façon, rigoureuse. En s’impartissant, des obligations androJuvéniles horaires, très strictes.
Avec, dates butoirs, délais, maximaux, limités. À respecter, à tout prix, coûte, que coûte et, sinon, à rattraper, en cas, de manquement accidentel. Voire, à anticiper, autant, que possible, comme, défis, dépassements, de soi. De façon, pérenne et, entretenue, avec exigence, sur la longue durée. Lutter, contre la paralysie, consiste, à influer, fort positivement, sur les facteurs externes, de son existence, la suscitant, l’entretenant. Également, à agir, bénéfiquement, sur ses vecteurs personnels internes. Notamment, ses mouvements corporels, toute sa dynamique psychique, propre, de junior642.
Par la volonté et, la motivation positives, en confiance, action et, résultats bénéfiques. Sans nuls, besoins, d’inopérantes objurgations ni, de vaines suppliques, exhortations. L’action, du jeune masculin, en coaching de vie, exige, une « force de frappe » dynamique. La force interne est physique, mentale. Elle est, tout entière, tendue, vers un seul, même, objectif : son projet, à mettre, en œuvre. De façon, efficace, adéquate. L’action requiert aussi, souplesse, adaptabilité, aux occurrences, quelles, qu’elles soient. Pour faire face, au changement, à l’imprévu, aux difficultés, déceptions. Être imperméable, aux influences externes : gens, choses, événements.
Compétent, performant, réaliste, pragmatique, confiant, inébranlable. L’action juvénile, a impératif besoin, d’impulsion, tonique et décisive. Élément déclencheur, si indispensable, qui seul, permet, d’être en mesure, d’agir. Au-delà, rien, d’humain, n’est possible, sans énergie pétillante, dynamique, minimale. Être en mesure, d’ « être en forme », d’agir, en demeurant, en pleine vitalité. Une puissance, de feu, nourrie, inépuisable, quoi, qu’il arrive, en force, sur la durée. L’apathie, du junior, empêche et, dissuade, d’agir, car, elle est, tout le contraire, de la tonicité mentale, d’affects, d’action643.
Alors, même, que l’intention, de le faire, était, bien réelle ! Le danger, de l’abstention, est de se cantonner, à la velléité. Non, de passer, du stade, de l’idée, l’intention, la volonté, à celui, de la concrétisation, par l’action. Le jeune amorphe, en coaching de vie, est, bel et bien, velléitaire. Prendre conscience, de ses capacités inédites, permet, de vouloir, les mettre, en application, passant, de l’aboulie, à l’acte. Le choix, la décision et, les actions, sont, désormais, possibles, car ils se suffisent, à eux-mêmes, sans s’obséder, de leurs effets potentiels. Ce qui paralysait, les conduites, mais, ne les handicape donc, plus.
Par distanciation, relativisation, sérénité. Les aléas, vicissitudes, sont mieux compris, admis. L’action juvénile s’en trouve, comme, allégée. L’anxiété antérieure, des conséquences, de l’acte, est remplacée, par l’excitation, l’espoir, la satisfaction, positifs, de bouger, d’obtenir, des résultats. La confiance, en soi, met, au second plan, la notion, d’échec ou, de réussite, puisque, l’essentiel, n’est pas, l’aboutissement, mais, l’action. Cela, donne, tout son sens : direction, signification, à ce qui est, entrepris. Le garçon junior amorphe, a du mal, à agir, car, il ne croit pas assez, en lui, ses capacités, donc, ses chances, d’aboutir, de réussir, s’il agit.
Il préfère alors, s’abstenir, en défaitisme, « aquoibonisme ». Faute, de confiance optimiste, sous le primat, du doute, si pessimiste, l’action juvénile, se tarit. Par la confiance, elle émerge ! L’action suscite, renforce, également, la confiance. Par son effet dynamisant, encourageant, motivant, les bénéfiques obtentions, qui en résultent. Agir, en une finalité particulière, inquiète, l’inhibé, par l’obligation induite, de moyens et, résultats. Par peur, d’un aboutissement, en deçà, de l’espoir, si décevant, car insuffisant. Agir, par pure volonté, de le faire, rassure, permet, d’y parvenir, délivré, de l’angoisse, de l’effet, des retombées, de son action.
Le junior serein, en coaching de vie, agit plus, que l’angoissé. Si le but, de faire, n’est plus, un résultat donné, mais, l’enrichissement, d’agir, de progresser, en et, par, l’action, l’apathique, se rassure. S’enhardit, reprend, espoir, ose, enfin, se lancer. Il sait, de fait, désormais, que, quel, que soit, le résultat, obtenu, il importe peu, puisqu’il n’y a plus, d’enjeu. Il n’y a plus, ni réussite, ni échec, ni gain, ni perte, mais, quoi, qu’il fasse, quelle, que soit, l’issue, il est, toujours, gagnant. Car, il a construit, s’est dépassé, en entreprenant. Le jeune homme s’est donc, alors, « re/façonné », lui-même et, par son entreprise.
En accomplissant, une œuvre, un geste, créatifs, inventifs originaux, uniques, propres, à soi- même. Même si, l’attente androJuvénile, escomptée, ne se vérifie pas, l’essentiel, étant, ailleurs. L’on n’agit plus, pour obtenir, mais, pour apprendre, fort progresser, grandir, ce qui aboutit, à une « révolution, de perspective ». La peur, de l’enjeu, perturbe, rend inerte, quand, la joie, de bâtir, donne, des ailes. Fixer, un cap, un objectif, une signification, s’imposent toujours, mais, sans l’écrasement, de la préoccupation excessive, de ce qui sera, au bout. Ce qui libère, l’adojunior amorphe, en coaching de vie, le fait agir, le transforme, en dynamique acteur.
L’accomplissement, d’actes, devient, alors, réalisation, de sa personne et, réciproquement. L’essentiel, est de créer, d’inventer ou, d’innover, par soi et, pour soi-même, de l’intérieur, de façon, stable et, cohérente. En accord, avec sa conscience, personne. Non, de répondre, à des critères prédéterminés, imposés, de l’extérieur. Par des normes conventionnelles et, fluctuantes, selon, le temps et, l’espace, les personnes ou, circonstances. Tout en demeurant, au contact, avec le réel et, le présent, pour avancer, jusqu’à, complet achèvement, de la tâche. En pleins courage, ténacité, effort, patience, du jeune644.
Sans renonciation ni, abandon, en cours, de processus. En motivation, enthousiasme, car, en l’espèce, la destination, compte, bien moins, que le chemin, lui-même, qui y conduit. L’action, du junior masculin, en coaching de vie, dépasse, domine, le but, non, l’inverse. Vaincre, l’inertie, passe, par la motivation, à agir, de façon, créative, bien plus, encore, que par la motivation, à obtenir, un résultat donné. Cela, sera, d’autant plus, possible, que l’on se focalisera, sur les solutions, issues, possibilités et, occasions.
Non, sur les problèmes et, blocages, les difficultés et, revers. Alors, l’inventivité adojuvénile l’emportera, sur les aléas, le structurel, sur le conjoncturel, le fond, sur la forme. L’essentiel, sur le reste ! L’impossible devient alors, comme, par enchantement, possible. La vie est pleins mouvement, changement, évolution, action, entreprise, créatifs. En démarrages et, continuations. Laissons, à la seule, mort, son œuvre léthargique, de finitude, d’achèvement, de péremption, fatalité, d’immobilité, éternels, ici-bas. Alors, roulez, jeunesse ! (Hillion, 2006)645.
La néogénération 2.0, de nos débuts, de siècle, est « tout numérique ». Cyborg-jeunes, « fractures numériques », entre adojuniors et, aînés, prévalent. En culture « software, de troisième type », des Tic, technologies, de l’info-com. Prévaut, l’interactivité, des contacts, audio-vidéo, cybernétiques, les plus instantanés, du son, de l’image, de type, Skype. Les contacts express, Sms, Mms, s’emballent. Google, est le moteur, de recherche, Internet, « à tout faire », avec, aussi, Wikipédia. Les téléchargements numériques sauvages, de musiques, films, jeux, explosent, tout comme, le streaming. La dépendance, aux jeux, aux écrans, s’installe. Blogs et, réseaux sociaux, font florès. Le jeune bâtit alors, son univers fantasmatique imaginaire, en numérique rêve psychédélique, éveillé.
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