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Public XY – (Andro)Jeunesse – AndroJeunoPratique 2 – Résumé – Contact







































































[ HARDIMENT CRÉDITER, « RÉ/ENCHANTER » ]
VOTRE (ANDRO)JEUNESSE
Il s’agit, d’appeler, de nos vœux, une néogénération, de France, aussi « ardente », que celle, du monde. De provoquer, une progression française, en votre acceptation jeunologique. Nouer, un lien didactique, des plus pacifiés, entre vous, jeune et, vos enseignants. Pour un junior fort épanoui.







































































« Quel regard, portez-vous, sur la jeunesse, d’aujourd’hui » ? À cela, l’ancien leader étudiant, de Mai-68, D. Cohn-Bendit, répond, près, d’un demi-siècle, après.
« Je déteste, être le grand-père, qui donne, des leçons, aux jeunes. Je trouve cela, désagréable. D’autant, qu’il est beaucoup plus, difficile, d’être jeune, aujourd’hui. Dans mon temps, on était péremptoire et, on pouvait dire, n’importe quoi, on avait le droit, d’être « dingue ». Aujourd’hui, c’est plus difficile. Je n’ai pas, un regard négatif, sur les jeunes. Ils essayent, il y en a, qui sont admirables. Il faut arrêter, d’être dur, envers, la jeunesse ».
(Interview, de D. Cohn-Bendit, homme politique, par C. Joly, dans le quotidien, d’information, Metronews, France, 18 décembre 2013)234.
Ces propos, d’une figure historique, de la cohorte, baby boomer, des Trente Glorieuses, (Occident, 1945-1975), sont, des plus parlants. De fait, Dany le Rouge nous dit, qu’il nous faut, cesser, d’être moralisateur, avec, les juniors, sous prétexte, qu’ils sont jeunes. Il reconnaît, qu’un certain « âge d’or », de la jeunesse, est passé, que celle-ci, « galère » plus, aujourd’hui, que jadis. Qu’il y a, un demi-siècle, les temps étaient, plus cléments, légers, riants, pour la jeune génération. En dépit, de ses protestations, d’alors. D. Cohn-Bendit, quittant, la vie politique et, publique, observe, avec bienveillance, la néogénération, de ce début, de siècle. Il nous dit, que l’on peut croire, en elle.
Qu’elle est, « de bonne volonté », fait, ce qu’elle peut, dans l’adversité. Que certains jeunes, sont même, remarquables. Que notre société demeure, trop réticente, rétive ou, hostile, même, face, à sa propre descendance. Alors, même, qu’elle a été, désirée, choyée, aimée, comme, jamais, en l’Histoire, des hommes. Tel est, le « testament politique », d’un ex-jeune, figure, du passé, à ceux, d’aujourd’hui. Une illustration, à ceci, fort significative, nous est rapportée, par un garçon, de vingt-et-un ans. En voiture, il est indûment, gêné, par un autre automobiliste, d’âge mûr. Il le lui fait, poliment, observer. Au lieu, de « faire amende honorable », le « géronte » vocifère, éructe, déblatère, n’admettant pas, ses torts, envers, un jeune ! Sans commentaire !







































































– Pour Votre (Andro)Néogénération de France –
Aussi Vive, que Celle du Monde
Comme, A. Peyrefitte, l’a bien montré, notre société française souffre, d’être verticale, rigide, sans rigueur. (Homme politique, écrivain français, 1925-1999, Le Mal français, essai sociopolitique, France, 1976, 1996, 2006)235. Quand, d’autres, sont horizontales, souples, organisées. Nous privilégions, la défiance, la polémique, le repli, sur soi. Au lieu, de la confiance, du consensus, de la libre participation, qui ont cours, ailleurs, à vos dépens, junior. Portons, votre jeunesse, vers votre « meilleur », plutôt, que vous considérer, comme, sujet « périssable » et, jamais, richesse incomparable. Une étude, de 2008, puis, de 2011, démontrent, que les jeunes, nord-américains, nord-européens, croient plus, en leur avenir personnel et, surtout, collectif.







































































Sont plus confiants, sereins, « sûrs, d’eux », que les juniors français. (Fondation, pour l’Innovation politique, Les jeunesses face à leur avenir / La jeunesse du monde, enquêtes sociologiques internationales, France, 2008 et 2011)236. Ces derniers, sont parmi, les plus négatifs, craintifs et, pessimistes ! La France, les Français, n’aiment pas, leur jeunesse, ne croient pas, en elle, la maltraitent, en conséquence. Ils lui font « payer », ce qu’elle est, représente. Taux, d’accidents, de la route, suicides, échecs scolaires, chômage, mal-être, délinquance, problèmes, de santé, addictions, désocialisation…, parmi, les pires, d’Occident.
Aux États-Unis, notamment, les cabinets, de teen life coaching : coaching de vie, pour juniors, sont « monnaie courante ». Ils sont le reflet, d’une société, d’ « avant-garde », qui croit fort, en l’avenir. Contrairement, à la vieille Europe, la France « frileuse », repliée, sur les « oripeaux », d’un passé révolu, les méchants préjugés, d’un autre âge. En matière jeunologique, comme, en tant, d’autres, le « Nouveau Monde », porte bien son nom.
Les jeunes, des « grands pays » émergents, comme, la Chine, l’Inde, le Brésil, sont les plus optimistes, quant à eux-mêmes, leur avenir personnel. Même, concernant, l’avenir, de leur pays, contrairement, aux jeunes, d’autres nations, comme, en France, en Europe. La majorité, des juniors, s’inquiètent, pour leur pays, mais, apprécient, leur époque, de vie. Les jeunes semblent, même, penser, que le temps historique, en lequel, s’inscrit, leur existence, est favorable, à la nouvelle génération. Que le réel moderne, de leur siècle, le temps, plus, que l’espace, est de nature, à leur « offrir, le Graal ».
Or, que leur pays respectif les freine, par ses trop lourds blocages et, limites ou, pesanteurs socioéconomiques, culturels, organisationnels, mentaux. Mondialisation, surtout, globalisation internationale, planétaire, paraissent plus porteuses et, vecteurs, d’avancées, pour les jeunes, que leur seule, aire nationale propre. Par définition, restreinte. 91 pour cent, des juniors chinois, considèrent, la globalisation mondiale, comme, une « occasion ». 52 pour cent, seulement, des jeunes français. Lesquels, sont donc, les juniors interrogés, les plus rétifs, à la globalisation. Sauf, les jeunes turcs, marocains et, grecs, qui y sont favorables, à 49 pour cent.
Les chiffres sont, de 87 pour cent, pour les juniors indiens. 81 pour cent, pour les jeunes, du Brésil. 76 pour cent, quant aux juniors suédois. 71 pour cent, des jeunes américains. 71 pour cent, des juniors, de Russie. 69 pour cent, des jeunes, en Espagne. 66 pour cent, des juniors allemands. 65 pour cent, des jeunes britanniques. La moyenne européenne, est de 65 pour cent, d’adhésion juvénile, à la globalisation. La mondialisation est l’internationalisation, des États, entreprises, organisations collectives. De façon, institutionnelle, systémique et, « officielle ».
De la production, circulation, des biens et, des personnes. Elle existe, depuis plus, d’un siècle, déjà, dès, la fin, du dix-neuvième siècle. La globalisation, qui caractérise, le monde actuel, est due, à l’essor, des télécommunications, notamment, informatiques, depuis, la fin, du vingtième siècle. Outre, l’intégration, des organismes, propre, à la mondialisation, la globalisation ajoute, celle, des personnes. Surtout, de leur propre « conscience » individuelle. Cela, concerne, tout particulièrement, les jeunes, notamment, par le biais privilégié, pour et, par eux, des technologies de l’information, la communication, Tic.
Internet 2.0, partage interactif, réactif et, dynamique, des contenus, échanges, en continu et, temps réel, réseaux sociaux, forums. Chats, de discussions, en direct ou, supports mobiles tactiles… La jeunesse, du monde, cultive, une conscience planétaire humaine, bien éloignée, des anciennes consciences, de classe et, nationales. En cosmopolitisme, humaniste et universaliste. La nouvelle génération actuelle, est la toute première, à être pleinement, « globale et globalisée », dès, sa naissance. Les juniors européens, comparativement, à leurs aînés, voyagent, bien plus, à l’étranger, que jadis237.
Désirent plus vivre, hors, de leur pays, maîtrisent, plus et mieux, l’anglais. Seuls, un quart, des jeunes français, sont satisfaits, de la situation générale, de leur pays, la France. Un tiers, des juniors allemands. 61 pour cent, des jeunes chinois. 17 pour cent, des juniors français, pensent l’avenir, de leur pays, prometteur. 25 pour cent, des jeunes allemands. 49 pour cent, moins, de la moitié, des juniors français, se disent assurés, d’avoir, un bon travail, en l’avenir. Contre, 65 pour cent, des jeunes européens, 70 pour cent, des juniors, du monde, 71 pour cent, des jeunes allemands !
Seul, un junior, de France, sur deux, soit, 53 pour cent, croit, son avenir personnel prometteur, contre, 61 pour cent, de la jeunesse européenne. Les trois quarts, des jeunes français, pensent, que l’avenir, de leur pays, n’est pas prometteur. Quand, 83 pour cent, des juniors indiens, 82 pour cent, des jeunes chinois, « croient, en l’avenir », de leur pays respectif. La jeunesse, de France, est l’une, des plus défaitistes, du monde ! Il ne peut en être, autrement, quand, la France et, sa société entière, sont si hostiles, au monde étranger et, à la globalisation planétaire. Qui sont, pourtant, la « seule voie, de salut », en un univers ouvert !
À l’heure où, l’Hexagone se replie, si frileusement, sur son seul, pré carré national, au lieu, de s’ouvrir, sur l’univers. À l’image, du petit village gaulois, d’Astérix et Obélix, assiégé, par Rome, toujours, sur la méfiante défensive. Même si, 83 pour cent, des jeunes français, sont contents, de leur vie. 53 pour cent, des juniors français, estiment, leur avenir personnel, prometteur. 73 pour cent, des jeunes chinois. 75 pour cent, des juniors suédois. 79 pour cent, des jeunes canadiens. 87 pour cent, des juniors brésiliens. 90 pour cent, des jeunes indiens. L’avenir, de leur pays, est jugé prometteur, par 83 pour cent, des juniors indiens.
72 pour cent, des jeunes brésiliens. 81 pour cent, des juniors américains, pensent, que leur avenir, est prometteur ! 74 pour cent, des jeunes britanniques. 56 pour cent, des juniors allemands. 43 pour cent, des jeunes japonais. 72 pour cent, des juniors brésiliens, pensent, que l’avenir, de leur pays, est prometteur. 65 pour cent, des jeunes canadiens. 63 pour cent, des juniors suédois. 59 pour cent, des jeunes russes. 43 pour cent, des juniors sud-africains. 37 pour cent, des jeunes américains. 34 pour cent, des juniors britanniques. 20 pour cent, des jeunes espagnols238.
17 pour cent, des juniors grecs. Les jeunes, des grands pays émergents, de ceux, à la pointe, des nouvelles technologies, sont les plus optimistes. Suivis, par les pays scandinaves, anglo-saxons. Concernant, l’avenir personnel, celui, de son pays ou, l’espoir, d’un bon emploi futur, les plus positifs, pour les trois items, sont les juniors, des grands pays émergents. Comme, la Chine, l’Inde, le Brésil, la Russie. Également, ceux, de pays, très favorisés : Canada, Australie, Scandinavie. Les jeunes, qui croient, en leur avenir personnel, en un bon métier futur, mais, pas, en l’avenir, de leur pays, sont les juniors, des États-Unis.
Du Mexique, de l’Afrique, du Sud, de l’Union Européenne, hors, Scandinavie, Grèce. Les jeunes japonais, grecs, ne croient, ni en leur avenir personnel, ni en celui, de leur pays, ni en un bon emploi futur. La confiance, en son avenir personnel, professionnel, est toujours, plus forte, que celle, en celui, de son pays, pour les juniors, de toutes nations. Sauf, pour les jeunes chinois. La jeunesse japonaise, est la plus pessimiste, puisqu’elle est la seule, à n’être « satisfaite, de rien », même, de son époque, qu’elle rejette, à 61 pour cent. Alors, que 59 pour cent, de la jeunesse mondiale, l’apprécie.
En compensation, à ce pessimisme intérieur, les jeunes japonais adhèrent, à la globalisation planétaire, aux trois quarts. Contre, 65 pour cent, seulement, des juniors européens. Les jeunes nippons attendent donc, leur salut, de l’extérieur. Ainsi, que des néotechnologies et, de l’Internet. Leur passe temps favori est Internet, à 93 pour cent. La famille est plébiscitée, par la jeunesse mondiale. 98 pour cent, des jeunes indiens, estiment important, d’accorder, du temps, à sa famille, taux maximal enregistré. 79 pour cent, des juniors japonais, taux minimal.
95 pour cent, des jeunes indiens, accordent, de l’importance, à leur famille, ce, en l’élaboration, de leur identité personnelle. 73 pour cent, des juniors japonais. 90 pour cent, des jeunes indiens, sont « satisfaits », de leur famille. 87 pour cent, des juniors américains. 85 pour cent, des jeunes européens. 69 pour cent, des juniors japonais. La famille est le fondement, de la société, pour 94 pour cent, des jeunes chinois239. 70 pour cent, des juniors français. 65 pour cent, des jeunes suédois. 47 pour cent, des juniors français ou, russes, veulent fonder, un foyer. 60 pour cent, des jeunes russes, ambitionnent, d’avoir, des enfants. 58 pour cent, des jeunes français.
52 pour cent, des juniors allemands. 49 pour cent, des jeunes britanniques. 33 pour cent, des juniors chinois. 24 pour cent, des jeunes indiens. Le premier projet, d’avenir, des juniors, du monde, est l’acquisition, d’un logement. À 68 pour cent, des jeunes français, qui arrivent, en tête. 63 pour cent, des juniors chinois. 96 pour cent, des jeunes chinois, estiment important, de donner, du temps, aux amis. 91 pour cent, des juniors russes. 81 pour cent, des jeunes japonais. Les juniors sont moins satisfaits, de leurs amis, que de leur famille. Donner, du temps, aux amis, est peu jugé, comme, un critère, de vie satisfaisante.
Seuls, 29 pour cent, des jeunes australiens, 26 pour cent, des juniors britanniques, 8 pour cent, des jeunes russes, 6 pour cent, des juniors japonais, le pensent. À l’inverse, de l’amour, qui définit, selon, les jeunes, du monde, une vie satisfaisante. 55 pour cent, des juniors britanniques, le pensent. 46 pour cent, des jeunes américains. 35 pour cent, des juniors français. 11 pour cent, des jeunes russes. 83 pour cent, des juniors, du monde, pensent, que la formation, est une dimension importante, de leur identité. 86 pour cent, veulent, un enseignement universitaire, totalement, gratuit, pour tous.
Pour les quinze ans, à venir, le premier objectif, des jeunes, du monde, est d’acquérir, leur logement. Le deuxième, est de gagner, beaucoup d’argent. Le troisième, est d’avoir, des enfants. Le quatrième, est d’obtenir, un diplôme universitaire. Les juniors, des pays émergents, sont les plus nombreux, à plébisciter, les études, notamment, supérieures. Également, la gratuité universelle, de leurs formations universitaires. L’éducation, la recherche, sont aussi, les deux domaines professionnels, qui attirent, le plus, les jeunes, du monde, comme, métiers futurs. Ce qui concerne, un cinquième, des juniors interrogés.
45 pour cent, des jeunes européens, voient, dans le chômage, l’une, des plus importantes menaces, contre, la société. Plus, que le terrorisme ou, le changement, du climat. Ils craignent, le chômage, plus encore, que leurs aînés adultes. Seuls, la moitié, des juniors, du monde, sont contents, de leur travail. 64 pour cent, en Inde. 61 pour cent, en France. 58 pour cent, en Afrique, du Sud. 45 pour cent, en Chine. 30 pour cent, au Japon. 70 pour cent, des jeunes, du monde, se disent, assurés, d’avoir, un bon emploi, à l’avenir. Ce qui augure, d’une confiance, en soi, et, en son avenir personnel, toute juvénile240.
Sauf, les juniors japonais, à 32 pour cent, les jeunes, des pays favorisés, hors, d’Europe, sont quasi, aussi optimistes, que leurs pairs, des grands pays émergents. Les juniors européens, sont bien moins confiants. Seuls, 49 pour cent, des jeunes français, pensent, avoir, un « travail satisfaisant », plus tard. Pour les juniors, du globe, un bon emploi est, avant tout, bien payé. Seuls, les jeunes chinois, japonais, scandinaves, ne placent pas, le vecteur financier, en tête. 71 pour cent, des juniors russes, placent, l’argent, en tête, pour l’intérêt, d’un travail. Une bonne ambiance, est le deuxième critère, d’un emploi valable, pour les jeunes.
Les juniors français, le pensent, à 55 pour cent. Les jeunes européens, à 51 pour cent. L’intérêt, du métier, arrive, en troisième place, avec des différences, selon, les pays. Les juniors français, à 57 pour cent, donnent, de l’importance, à l’intérêt, de l’activité exercée, mais, le salaire, reste en tête, à 62 pour cent. Quand, les jeunes scandinaves veulent, d’abord, un travail intéressant. L’intérêt, du travail, est très peu prisé, par les juniors indiens, chinois, brésiliens. Comme, critère, de vie satisfaisante, l’intérêt, de l’activité d’emploi, est secondaire. L’essentiel, se trouve donc, ailleurs.
La santé, la famille, comme, l’amour, viennent, en tête. Or, la passion, du travail, est, souvent, considérée, aussi importante, que l’argent ou, de donner, du temps, aux amis. Les études, la profession, constituent bien plus, l’identité, pour les jeunes, que la religion, la nationalité, l’appartenance ethnique. 83 pour cent, des juniors, du monde, pensent, que la formation, est un vecteur important, de leur identité. 97 pour cent, en Inde. 90 pour cent, au Brésil. 89 pour cent, en Chine. La profession est un élément « important », de l’identité, à 93 pour cent, en Inde. 81 pour cent, au brésil. 78 pour cent, en Chine. 70 pour cent, en Europe.
66 pour cent, aux États-Unis. 48 pour cent, au Japon. Un travail utile, à la société, importe plus, que le prestige, les congés. Pour 49 pour cent, des jeunes mexicains. 33 pour cent, des juniors brésiliens. 29 pour cent, des jeunes chinois ou, des juniors américains. 23 pour cent, des jeunes européens. Les juniors accordent peu, d’importance, au prestige, de l’emploi. 20 pour cent, pour les jeunes indiens. 17 pour cent, pour les juniors brésiliens241. 4 pour cent, pour les jeunes français. Les responsabilités, dans l’emploi, ont une forte importance, pour 18 pour cent, des juniors indiens.
Les occasions, de carrière, sont importantes, pour 44 pour cent, des jeunes indiens. 40 pour cent, des juniors russes. 35 pour cent, des jeunes britanniques. 22 pour cent, des juniors français. 10 pour cent, des jeunes japonais. La célébrité n’intéresse, que 6 pour cent, de la jeunesse mondiale. Dans l’emploi, le secteur agricole n’intéresse, que 6 pour cent, des juniors, du monde. La construction, 8 pour cent. L’industrie, comme, l’artisanat, 9 pour cent, chacun. Le commerce, 10 pour cent. Or, plus, de 70 pour cent, des jeunes, veulent opter, pour les services. Avec l’éducation, à 22 pour cent. La recherche, à 20 pour cent.
Puis, la banque, la finance, à 19 pour cent. 38 pour cent, des juniors européens, n’ont pas, de religion, d’adhésion. 46 pour cent, professent, la foi chrétienne. Seuls, 28 pour cent, des jeunes français, adhèrent, au christianisme, soit, guère plus, du quart. La moitié, des juniors français, sont sans religion. La majorité, des jeunes, de France, n’ont aucune, croyance spirituelle. 43 pour cent, des juniors espagnols, sont chrétiens. Contre, 60 pour cent, des jeunes italiens242. 70 pour cent, des juniors polonais. 76 pour cent, des jeunes roumains. 86 pour cent, des juniors turcs, sont musulmans.
80 pour cent, des jeunes français, sont, peu ou, pas, intéressés, à donner du temps, pour la religion. Or, les juniors sont disposés, à le faire, à 90 pour cent, au Maroc. 72 pour cent, en Afrique, du Sud. 68 pour cent, en Inde. 58 pour cent, au Brésil. 50 pour cent, aux États-Unis. 24 pour cent, en Europe. 22 pour cent, en Chine. 13 pour cent, en Russie. Dans tous les pays, les jeunes attachent, grande importance, à l’aspect religieux, de leur identité. Or, un cinquième, seulement, de juniors français. Plus, qu’au temps, à consacrer, au religieux. « Le rattachement l’emporte, sur l’engagement ».
7 pour cent, des jeunes européens, considèrent, la foi religieuse, comme, « valeur prioritaire, à transmettre », à leurs enfants. 4 pour cent, des juniors français. 21 pour cent, des jeunes américains, brésiliens. 29 pour cent, des juniors turcs. 36 pour cent, des jeunes sud-africains. 56 pour cent, des juniors marocains. 31 pour cent, des jeunes français ou, allemands, les moins nombreux, souhaiteraient, que l’on donne, plus, de place, aux valeurs spirituelles, dans la société. 44 pour cent, des juniors européens. 56 pour cent, des jeunes américains. 71 pour cent, des juniors brésiliens. 75 pour cent, des jeunes indiens.
80 pour cent, des juniors sud-africains. 88 pour cent, des jeunes russes. 89 pour cent, des juniors chinois. 77 pour cent, des jeunes européens, considèrent, la famille, comme, fondement, de la société. 87 pour cent, des juniors brésiliens. 94 pour cent, des jeunes chinois. 10 pour cent, des jeunes français, rejettent, toute sexualité, hors mariage. 20 pour cent, des juniors européens. 40 pour cent, des jeunes américains. 60 pour cent, des juniors sud-africains. 85 pour cent, des jeunes marocains. 87 pour cent, des juniors français, 85 pour cent, des jeunes britanniques ou, allemands, tolèrent, les autres orientations sexuelles, que la leur.
40 pour cent, des juniors marocains. 30 pour cent, des jeunes chinois. 94 pour cent, des juniors américains ou, français, appellent, de leurs vœux, l’égalité pleine, entre les sexes. 91 pour cent, des jeunes allemands ou, britanniques243. La moitié, des juniors marocains, rejettent, ce critère, de bonne société. 30 pour cent, des jeunes japonais. 26 pour cent, des juniors européens, pensent, que le bonheur, serait supérieur, sans technologies, de pointe. 51 pour cent, des jeunes indiens. 88 pour cent, des juniors, du monde, se disent, des plus intéressés, par les voyages.
87 pour cent, par la musique. 83 pour cent, par l’Internet. 76 pour cent, par le cinéma ou, le théâtre. 73 pour cent, par la lecture. 71 pour cent, par le sport. 69 pour cent, par la télévision. 61 pour cent, par les musées. 59 pour cent, par les jeux vidéo. 83 pour cent, des jeunes français, aiment, le cinéma. 81 pour cent, des juniors américains. 83 pour cent, des jeunes, du monde, aiment, à être beaux. 49 pour cent, aiment, à suivre, la mode. 62 pour cent, des juniors, du monde, aiment, le numérique. 37 pour cent, utilisent les réseaux, dits, sociaux. 21 pour cent, chattent. 38 pour cent, utilisent, l’Internet mobile.
52 pour cent, des jeunes européens, veulent, une répartition équitable, des richesses. 47 pour cent, prisent, la performance individuelle. 67 pour cent, des juniors français, veulent, répartir, les biens. 34 pour cent, des jeunes américains. Prime, la performance personnelle, pour 83 pour cent, des juniors russes. 65 pour cent, des jeunes américains. 50 pour cent, des juniors allemands. Les jeunes anglo-saxons prisent, une société, avec le moins, d’impôts, possible, plutôt, qu’avec, une bonne protection sociale. 72 pour cent, des juniors américains, veulent, moins d’impôts. Au pays, du laisser faire, laisser passer.
62 pour cent, des jeunes canadiens. 52 pour cent, des juniors australiens. 86 pour cent, des jeunes chinois, veulent, plus, de protection sociale. 82 pour cent, des juniors russes. 71 pour cent, des jeunes suédois. Bénéficier, d’allocations, de chômage, rejeter, un emploi, étranger, à ses qualifications, n’est pas, un droit, pour 63 pour cent, des juniors britanniques. 52 pour cent, des jeunes australiens. 49 pour cent, des juniors américains. Or, il s’agit, d’un droit, pour 63 pour cent, des jeunes français. 70 pour cent, des juniors suédois. 85 pour cent, des jeunes européens, disent, que l’enseignement supérieur gratuit, est un droit.
71 pour cent, des juniors américains. 85 pour cent, des jeunes européens, jugent, que les soins gratuits, sont un droit, en l’absence, de revenus. 64 pour cent, des juniors américains. 64 pour cent, des jeunes indiens, sont fiers, des riches, de leur pays. 57 pour cent, des juniors chinois. 16 pour cent, des jeunes français. 41 pour cent, des juniors indiens, associent, argent et, vie satisfaisante. 64 pour cent, des jeunes chinois, ont pour objectif, de gagner, beaucoup, d’argent, dans les quinze prochaines années. En prospérité nationale. 54 pour cent, des juniors australiens, canadiens, allemands.
53 pour cent, des jeunes américains. 48 pour cent, des jeunes français, veulent gagner, beaucoup, d’argent. 47 pour cent, des juniors européens. 50 pour cent, des jeunes japonais, 47 pour cent, des juniors américains, ne veulent pas payer, pour les retraites, des anciens. 44 pour cent, des jeunes canadiens. Contre, 39 pour cent, des jeunes français ou, des juniors européens. En revanche, 83 pour cent, des jeunes indiens, 77 pour cent, des juniors chinois, 73 pour cent, des jeunes russes, 56 pour cent, des juniors allemands, acceptent, de payer, les retraites, des aînés. 52 pour cent, des jeunes européens.
71 pour cent, des juniors chinois ou, indiens, ont confiance, en leur gouvernement. 51 pour cent, des jeunes suédois. 36 pour cent, des juniors canadiens. 30 pour cent, des jeunes américains ou, allemands. 17 pour cent, des juniors français. 68 pour cent, des jeunes chinois, font confiance, à leur parlement. 50 pour cent, des juniors suédois. 36 pour cent, des jeunes australiens. 24 pour cent, des jeunes canadiens ou, américains. 17 pour cent, des juniors français. Qui ne croient, à leurs institutions, qu’à, un tiers. Symbole même, de la crise politique et, de régime, grandissante, de leur pays244.
La jeunesse mondiale actuelle, contrairement, à celle, des décennies 1960, 1970, aspire, à la sécurité, la loi, l’ordre, plutôt, qu’à la liberté personnelle. Sauf, trois jeunesses, qui préfèrent, la liberté. En tête, les jeunes français, qui plébiscitent, la liberté, à 55 pour cent. Puis, viennent, les juniors japonais, à 54 pour cent. Puis, les jeunes grecs, à 53 pour cent. Il s’agit, des trois jeunesses, issues, de sociétés occidentales ou, occidentalisées, de type, fort « autoritaire ». En lesquelles, les juniors éprouvent, plus, qu’ailleurs, en Occident, le besoin, de plus, de souplesse.
De se libérer, de contraintes rigides, appréhendées, comme, bien plus lourdes, étouffantes, qu’ailleurs. Plus globalement, jeunes français, japonais, grecs, figurent, parmi, les juniors, d’Occident et, du monde, interrogés, les plus pessimistes, insatisfaits, méfiants, en malaise. À l’inverse, 77 pour cent, des jeunes chinois, 68 pour cent, des juniors russes, 66 pour cent, des jeunes britanniques, 64 pour cent, des juniors australiens, aspirent, à la loi et, l’ordre. Les jeunes, du monde, ont la certitude, de pouvoir, décider, eux-mêmes, de leur vie, à 79 pour cent. En tête, les juniors indiens, le pensent, à 90 pour cent. Les jeunes russes, à 89 pour cent.
Les juniors japonais, le pensent, à seulement, 46 pour cent. Les jeunes, de la planète, pensent, nécessaire, de transmettre, aux enfants, le sens, de l’indépendance. Notamment, les juniors chinois, à 58 pour cent. Les jeunes français sont, parmi, les rares, à penser, l’inverse. 36 pour cent, d’entre eux, veulent, inculquer, le sens, de l’obéissance, 12 pour cent, seulement, la vertu, d’indépendance. Ce qui démontre, de nouveau, que la jeunesse, de France, souffre beaucoup, de l’autoritarisme, de sa société nationale. Notamment, à l’égard, des juniors. Or, qu’elle a et, parfaitement, intégré, assimilé, les canons, de son éducation-conditionnement, à la soumission.
Les ayant, tant subis, elle les reproduira, pour sa descendance et, ainsi, de suite, indéfiniment. Raison, pour laquelle, la société française, évolue moins, que d’autres, demeure, l’une, des plus rétives et, restrictives. En matière, de poids, d’influence, permis, à sa descendance juvénile. Tel est, le résultat, d’une société, qui se défie fort, de sa jeunesse, ne lui prête, nullement, crédit. Contrairement, à d’autres, en Occident. La jeunesse mondiale se dit prête, à la révolte, pour combattre, l’injustice. Un jeune, sur deux, pense, qu’il est acceptable, de désobéir, à la loi245.
Ce, pour vaincre, les injustices sociétales. 71 pour cent, des juniors indiens. 57 pour cent, des jeunes français. 54 pour cent, des juniors brésiliens. 47 pour cent, des jeunes européens, chinois. 42 pour cent, des juniors américains. 35 pour cent, des jeunes japonais. Concernant, le patriotisme, 59 pour cent, des juniors européens ou, français, refusent, de mourir, pour défendre, leur pays. 80 pour cent, de jeunes japonais. 75 pour cent, de juniors espagnols. 65 pour cent, de jeunes allemands. 58 pour cent, de juniors russes. 56 pour cent, de jeunes britanniques.
Or, 76 pour cent, des juniors indiens, sont prêts, à mourir, pour leur patrie. 71 pour cent, de jeunes chinois. 55 pour cent, des jeunes grecs. 47 pour cent, des juniors américains. Un tiers, des jeunes français, acceptent, leur mort, pour leur pays. Un tiers, des juniors, du monde, interrogés, pensent, que la société, est intolérante, avec des gens, comme, eux. 53 pour cent, des jeunes turcs. 48 pour cent, des juniors japonais. 29 pour cent, des jeunes européens. 25 pour cent, des juniors chinois. 18 pour cent, des jeunes russes.
70 pour cent, des juniors, du monde, estiment, que les gens, de leur pays, ont la possibilité, de choisir, leur vie, comme, ils l’entendent. 87 pour cent, des jeunes canadiens, australiens. 86 pour cent, des juniors américains. 82 pour cent, des jeunes indiens. 64 pour cent, des juniors français. 50 pour cent, des jeunes turcs. 44 pour cent, des juniors grecs. Les jeunes européens sont moins, toniques et, optimistes, que les juniors anglo-saxons, émergents. 79 pour cent, des jeunes, du monde, pensent, qu’ils peuvent, personnellement, souverainement, décider, de leur propre vie. 90 pour cent, des juniors indiens. 89 pour cent, des jeunes russes.
87 pour cent, des juniors canadiens. 86 pour cent, des jeunes australiens. 70 pour cent, des juniors espagnols, 67 pour cent, des jeunes grecs. Plutôt, que la tradition, la stabilité, 61 pour cent, des juniors turcs, aspirent, au changement social. 59 pour cent, des jeunes grecs. 44 pour cent, des juniors japonais. 41 pour cent, des jeunes américains. Quant à, l’intégration nationale, 89 pour cent, des juniors indiens, disent, se sentir, appartenir, à leur société. 80 pour cent, des jeunes brésiliens. 79 pour cent, des juniors chinois. Ensuite, 65 pour cent, des jeunes espagnols246. 60 pour cent, des juniors italiens. Seulement, 56 pour cent, des jeunes français.
Les juniors croient, au changement sociétal, possible. 80 pour cent, des jeunes, du monde, pensent, que les gens, peuvent changer, la société, par leurs choix, actions. 91 pour cent, des juniors sud-africains. 84 pour cent, des jeunes australiens. 81 pour cent, des juniors grecs ou, canadiens. 72 pour cent, des jeunes français. Puis, 70 pour cent, des jeunes japonais. Le militantisme politique intéresse, 47 pour cent, des juniors israéliens. 42 pour cent, des jeunes marocains. 37 pour cent, des juniors indiens. 33 pour cent, des jeunes chinois. 26 pour cent, des juniors brésiliens. 23 pour cent, des jeunes suédois. 21 pour cent, des juniors américains.
15 pour cent, des jeunes canadiens. 12 pour cent, de nos jeunes français. L’engagement associatif attire plus, les juniors. 60 pour cent, des jeunes indiens. 46 pour cent, des juniors français. 45 pour cent, des jeunes brésiliens. 38 pour cent, des juniors chinois. 36 pour cent, des jeunes allemands. 35 pour cent, des jeunesses européennes. 34 pour cent, des juniors américains. 19 pour cent, des jeunes russes. 12 pour cent, des juniors japonais. Moins, d’un jeune français, sur deux, est satisfait, de l’époque, à laquelle, il vit. Ce qui obère, son équilibre !
Or, trois quarts, des juniors canadiens247, australiens, sud-africains, polonais, finlandais ou, suédois. Moins, d’un jeune français, sur deux, est satisfait, de sa propre situation économique, personnelle. De tous les juniors, interrogés, les jeunes français, sont les plus nombreux, à souhaiter, une « répartition équitable, des richesses », à 67 pour cent. Les moins nombreux, de tous, à priser, la performance individuelle, à 33 pour cent. Ce qui est parfait et, à saluer, d’un point de vue moral. Or, désastreux, en matière, de dynamisme, de progrès, de changement, d’un pays, d’une société et, d’une jeunesse.
Même, les juniors russes, qui sortent, pourtant, de décennies, de communisme, sont les plus nombreux, à plébisciter, la performance individuelle. À 83 pour cent. Sans doute, en raison, de l’échec, si profond, de ce dernier. Ils sont, les moins nombreux, de tous les jeunes, du monde, interrogés, à souhaiter, la répartition, des richesses, à 17 pour cent. Cela, en dit, hélas, bien long, sur l’état, de grande « sclérose », du système socioéconomique et, culturel, de la société française. Lequel, a fini, par « corrompre », l’esprit même, de ses infortunés juniors, pourtant, l’avenir, l’unique futur, l’espérance, de leur pays !
Ce qui ne laissera pas, d’inquiéter, pour ce dernier. Parmi, les vingt-cinq jeunesses nationales, enquêtées, seuls, les jeunes français, de façon révélatrice, ont une opinion, aussi décalée et, si extrême, sur le sujet. Préférant, « l’assistanat collectif, à la libre entreprise, individuelle », seul gage, pourtant, de prospérité, réussite, d’épanouissement. Cette passionnante, enquête internationale, distingue, trois types, de jeunesse. « Forte, moyenne faible ». Elle démontre, d’abord, le dynamisme, l’optimisme, la confiance, des jeunesses, des grands pays, émergents. Afrique, du Sud, Brésil, Chine, Inde, Mexique, Russie…
Ensuite, une vision juvénile, restant, à dominante positive, tonique, dans le monde anglo-américain, scandinave, germanique, est-européen. États-Unis, Canada, Australie, Finlande, Suède, Allemagne, Royaume-Uni, Estonie, Hongrie, Pologne et, Roumanie. Également, Israël. Puis, des juniors désabusés, inquiets et, qui doutent. Ceux, du Japon, de l’Europe méridionale : Grèce, Italie, Espagne, France. Aussi, jeunes turcs, marocains. De fait, la jeunesse, de France, est à l’image, de son pays : en pleine tourmente, crise et, désarroi. Un État, qui n’est pas ou, plus assez, à la « hauteur », de ce qu’il devrait être, au regard, de son Histoire passée, pourtant, si illustre ! (Reynié, 2011)248.







































































Le 20 juin 1913, le journal français, Le Figaro, relate, la visite, à Paris, de quarante-sept scouts, de San Francisco. Ces jeunes américains, de onze à vingt ans, donnent leur avis, sur leur séjour. Les plus jeunes, notent, l’ordre, le confort, la propreté, la courtoisie, le nombre, d’autos, les arbres, l’uniformité, des immeubles. La richesse, du Louvre, les trois coups, au théâtre, les pantalons rouges, des soldats ou, les cafés, en terrasse, la montée, à la tour Eiffel. L’animation, sur la Seine, le tramway, le théâtre, sans orchestre, les baguettes, de pain. Les marchandes, de rues, les vêtements, la barbe, des hommes. Les scouts, plus âgés, s’étonnent, en outre, de la maîtrise, de l’anglais, l’allemand, par les scouts français. Ils ont admiré le Louvre, l’obélisque de la Concorde, le tombeau de Napoléon.
Apprécié, la politesse, la serviabilité, des juniors, de France, le bon accueil, la gastronomie, la gaieté. Ils ont été surpris, de la consommation, de vin… Aujourd’hui, comme, hier et, demain, la jeunesse, du monde, est unie, par des traits communs néogénérationnels, de similitude, d’âge. Elle diffère, par des spécificités nationales, socioculturelles et, économiques, de mentalités, civilisation. Tels sont, les enseignements, de ce reportage, à la veille, de la fin, d’une ère, du début, d’un conflit mondial (1914-1918). D’une « uniformisation », de l’univers. (É. Berr, journaliste français, 1855-1923, Impressions californiennes, article sociologique, quotidien, d’information, Le Figaro, France, 1913)249. Un temps, somme toute, plus « civilisé », que le nôtre, avant, le tragique siècle, d’après.







































































– Provoquer, un Sursaut Français –
En Votre Acceptation (Andro)Jeunologique
La « problématique », de votre jeunesse, de France, n’est pas, fondamentalement, psychique, sociale, sociologique, économique. Elle est, avant tout, grandement, morale, sociétale, comme, culturelle. Votre nouvelle génération, des années 2020, souffre, de l’absence, d’une dimension, ontologique et axiologique, en votre vie. Faute, d’équanimité et d’ataraxie, transmises, par vos aînés adultes. En état subséquent, de « déshérence et, de déréliction », affectives et spirituelles, aggravées. Ce qui vous prive, jeune, d’espérance et, d’accomplissement, de vous.







































































Pour la première fois, en notre Histoire humaine, peut-être, la génération, des adultes, n’est plus, en mesure, d’inculquer l’exemple. Le verbe, le message, de passage intergénérationnel. À la classe d’âge suivante. Quant à la dimension culturelle, évoquée, plus haut, l’on peut dire, que la société occidentale, en son ensemble, française, en particulier, n’est plus, en état, d’épanouir, sa jeunesse. La société française se bat plus, sans et, contre, sa descendance, qu’elle ne se mobilise, avec et, en sa faveur. Le rapprochement, de certaines valeurs, plus permissives, entre aînés adultes et, cadets jeunes, n’y change rien. Avant, 68, jeunes et, adultes se démarquaient, en s’opposant.
Depuis, trente ans, un apparent consensus transgénérationnel, une crise, de civilisation, sans fin, sans fond, privent, la jeunesse, de toute existence. La « vident, de toute substance ». « Asséchée, de l’intérieur, surtout, de l’extérieur », la néogénération s’étiole, « s’éteint, à petit feu ». Le problème, de la jeunesse, de France, est d’être… française ! En un pays, une société, si hostiles et fermés, cultivant, sa « jeunophobie », à longueur, de temps et, d’espace. Ce que, fort justement, G. Tirot, qualifie, de « France anti-jeune » ! (G. Tirot, essayiste français, France anti-jeune – Comment la société française exploite sa jeunesse, essai sociologique, France, 2008).
En ces conditions, la néogénération est niée, en ses réalités, spécificités, volontés. Ne jamais, la « reconnaître », empêche, de lui accorder, tout particularisme. De même que, certains peuples, se voient, encore, en notre siècle, refuser, toute indépendance et, toute autonomie ou, toute reconnaissance. Demeurant, sous le joug, illégitime et, si abusif, voire, criminel, d’États et, de peuples, « nantis oppresseurs ». Brimant, sans vergogne, de faibles nations, à leur merci250.
Ainsi, les adultes « abusent, de leur adultisme, pour dominer, les jeunes » ! Comme, l’a toujours, si bien dit, avant nous, depuis, des décennies, notre expert français contemporain, de la jeunesse, le sociologue, M. Fize. (M. Fize, Le Deuxième homme – Réflexions sur la jeunesse et, l’inégalité des rapports, entre générations, France, 2002)251. Cela est, tout particulièrement, vrai, d’un pays, la France, qui demeure, encore et, avant tout, adultocentrique. Vertical, rigide, autoritaire, oligarchique, ploutocratique, patriarcal, matriarcal, élitiste et, malthusien… Dès, sa naissance, le junior est « matraqué », de toutes parts, par ses parents, sa famille, l’école, le monde, du travail et, la société…
La permissivité, le laxisme, la démagogie, le libertarisme, l’hédonisme, le matérialisme, consumérisme, qui prévalent, depuis, cinq décennies, ne modifient, en rien, la réalité. Tout ceci, n’implique, nulle, tolérance réelle, à l’égard, de la jeunesse française. Autant, rejetée, marginalisée, maltraitée, aujourd’hui, qu’il y a, cinquante ou, cent ans. Certes, de façon, plus douce, souriante, mais, pour autant, plus hypocrite, manipulatrice, insidieuse, donc, toxique et, si dommageable. En ces conditions, nulle, véritable jeunologie, prise en compte et, en charge réelle, des juniors, n’est possible et, n’existe ! À titre collectif, avec des politiques, un ministère plein, des Jeunes et, des Droits de la Jeunesse.
Individuel, avec, de meilleures réalités, de vie. Nier, la jeunesse, son particularisme et, ses besoins, attentes, permet, de « s’en défaire », de ne rien faire ou, presque ! Aujourd’hui, les discriminations, inégalités, entre, les générations, sont plus fortes encore, qu’au sein même, de celles-ci. À l’avenir, les retraités seront plus nombreux, que les juniors ! Au milieu, de ce siècle, un tiers, des Français, aura l’âge, de la retraite ! Proportionnellement, les jeunes seront, encore moins, nombreux, que maintenant. Les vieux, dominants, « écraseront », en force, les jeunes, dominés.
Les idéaux, avantages, des « Anciens », l’emporteront donc, largement, sur ceux, des « Modernes ». Le statu quo, l’immobilisme, le conservatisme, ne pourront, alors, que prévaloir, sur le changement, les avancées, la réforme. La jeunesse sera amenée, à payer et, « se sacrifier », pour les âgés. Bien plus, que ces derniers, n’ont eu, en leur propre jeunesse, à le faire, pour leurs aînés, de l’époque. Une future « guerre, des générations », pourrait donc, à l’avenir, se substituer, à l’ex-« lutte, des classes ». Le tout, aux adultes, notamment, mûrs, rien, aux jeunes ou, presque, serait un désastre, pour ce pays, tous ses habitants, sans exception.
Sauf, sursaut drastique et, bien peu probable, en la si sinistre, conjoncture actuelle. La crise socioéconomique a « bon dos ». Quand, c’est, avant tout, « la scélérate incurie, la crapuleuse impéritie, l’obscène malfaisance, l’ordurière désinvolture, si négligente », des aînés, au pouvoir, qui saccagent, monde et peuples. L’actuelle jeunesse, anémiée, subit, les inconséquences, de la jeunesse, prospère, d’hier. La néogénération, si pléthorique, du « Baby Boom », née, entre 1940 et, 1960, constitue, la génération « Papy Krach ». Pour partie, à la retraite, actuellement ou, aux sommets, des pouvoirs.
Qui a « profité et, profite, de tout », au maximum, laissant, le minimum, de possibilités et, d’avantages, à ceux, nés, après 1990. Notamment, les jeunes, des années 2020. L’écart, de prospérité, entre les juniors, de moins, de trente ans et, les adultes, de plus, de cinquante, ne cesse, de se creuser. Une « prime-bonus, à l’ancienneté », un fort « malus-sanction, à la jeunesse ». Mobilité, évolution sociales, sont mortes. Le taux, de chômage, des jeunes actifs, de moins, de vingt-cinq ans, est de 4 pour cent, en 1968, 19 pour cent, en 2019. Il a été multiplié, par cinq, en un demi-siècle ! Mirifique « exploit national » !
La néogénération, d’aujourd’hui, n’aura jamais, à sa maturité, les avantages, dont jouissent, les adultes, mûrs et âgés, actuellement. Lesquels, en leur propre jeunesse, ont bénéficié, de bien plus, de « privilèges », que la nouvelle génération, de notre temps. La prospérité, des anciens, repose, en partie, à notre époque, sur la pénurie, des jeunes. Les juniors sont privés, d’emploi et, d’emploi stable, intéressant, bien rémunéré, correspondant, à leur vrai niveau, de formation, compétence. Non pas, seulement, du fait, du marasme économique, mais, aussi, car, l’emploi, des seniors, est « surprotégé », comparativement, à celui, des jeunes.
Derniers recrutés, premiers licenciés. La précarité juvénile s’inscrit, entre salariat, des aînés, et, éjection, des plus pauvres. D’où, l’indifférence, à son égard. La nouvelle génération, actuelle, est plus et, mieux formée, diplômée et, apte, que ses aînés. Elle est, moins bien lotie, paradoxe, aussi imbécile, que néfaste, pour la société, tout entière. Le pays investit beaucoup, dans l’éducation, de sa jeunesse. Or, en pure perte, puisque, ses compétences, ne sont pas employées ou, si mal et, si peu. La plupart, des diplômes « ordinaires », ne servent plus, en France, à « parvenir »252.
Or, tout juste, à éviter, le chômage. En outre, pas, pour tous les diplômés. Le jeune n’est pas un « incapable », mais, la mentalité, le système sociétal français, le sont, à son encontre. Qui élèvent, d’exorbitantes exigences, si grotesques, pour conserver, aux plus âgés, toutes leurs prébendes. Maintenir, la jeunesse, en survie, « hors, du royaume électif, réservé, des aînés ». En une conception ultrarigide, de pénuries, fermeture, limitations, d’étroitesse d’esprit. Quand, d’autres pays, occidentaux septentrionaux, ont une pratique, des jeunes, bien plus souple, généreuse, ouverte, large, évoluée.
Les départs, en retraite, des Baby-Boomers, les besoins, de l’économie, seront encore, à l’avenir, inférieurs, à l’afflux, des jeunes diplômés, cherchant, un premier emploi. Avec, à la clé, au moins, cent mille jeunes, « de trop », chaque année, qui resteront alors, un certain temps, des chômeurs. Outre, le marasme économique, les charges, salariales et sociales, qui pèsent, sur l’entreprise, pour chaque jeune, employé, sont abyssales, en France. Les employeurs ont donc, tout intérêt, à recruter, maintenir, en l’emploi, le moins, de juniors, possible. Délétère perversité, du vieux système socioéconomique, fiscal, français.
Dans le secteur public, comme, privé, l’objectif premier, est de remplacer, le moins possible, les travailleurs âgés, cessant, leur activité. Ainsi, la plupart, des départs, en retraite, ne permettent, en rien, le recrutement, des jeunes. La croissance économique française, demeurant, « quasi nulle », l’embauche, de juniors, ne sera pas prioritaire, de sitôt ! Outre, que le vieillissement, de la population, nuit, à la croissance, prospérité socioéconomiques, d’une nation. Le dynamisme collectif, comme, lors, des Trente Glorieuses, (Occident, 1945-1975), requiert, plus, de jeunesse, non, de la sénescence.
Chômage, dépression, décroissance, ont donc, encore, de beaux jours, devant eux. Aux dépens, des jeunes, bien plus, que des adultes mûrs. Le taux, de chômage, des juniors actifs français, est plus, du double, de celui, de leurs compatriotes adultes. Or, aussi, le double, triple ou, quadruple, de celui, des jeunes, d’autres pays occidentaux ! En dépit, d’une nouvelle réglementation, les services publics, les entreprises, continuent, plus, que jamais, à exploiter, la jeunesse. En stages « bidon-corvées », inintéressants et, non ou, sous-payés, qui servent, bien plus, les adultes, en place, que les juniors, eux-mêmes. Pur prétexte, pseudo éducatif, d’exploitation253.
Les adultes savent, que les jeunes, ont besoin vital, de stages, pour leur CV, leur intégration professionnelle. Alors, ils en usent, abusent. L’excès, de stages, empêche aussi, de créer, des emplois, notamment, pour les juniors et, en supprime, un bon nombre. Ce qui entretient, le fort chômage, qui sévit, en France, bien plus, que dans la plupart, des pays, d’Occident. En bref, le stagiaire, n’a que des devoirs, quasi, aucuns droits, si ce n’est, de « se faire exploiter ». Dans nombre, de grands pays, comme, aux États-Unis, les juniors, en stages, sont bien considérés. Occupés et, rémunérés, au même titre, qu’un collaborateur habituel, de plein exercice !
Les mêmes abus, concernent, les jeunes travailleurs intérimaires. L’épineuse question, de l’emploi et, du chômage, des jeunes, est traitée, d’un point de vue social, non, économique, depuis, des décennies. D’où, l’échec patent, de ces politiques, comme, la mise à l’écart juvénile, qui perdure, d’autant. Il y a, aussi, le fort délicat problème, des retraites, non résolu, à ce jour. Nos juniors actifs, d’aujourd’hui, contribuent, de plus en plus, aux retraites, des aînés. Alors, qu’ils n’auront jamais, la pareille, à la mesure même, de leurs pleins et, réels efforts contributifs. En spoliation.
Qu’ils devront, se débrouiller, eux-mêmes, pour leur propre retraite. Ainsi, les jeunes actifs payent deux fois : une fois, pour les « vieux », une fois, pour eux-mêmes. Alors, que dans le même temps, les « vieux » bénéficient, de généreuses retraites, pendant, deux décennies, en moyenne. Bien plus, élevées, que les cotisations, qu’ils auront payées, tout au long, de leur activité professionnelle. « Tout, pour les vieux, rien, pour les jeunes » ! Tel est, l’inique système, si obsolète, déshonnête, à la française ! Quand, nombre, d’adultes, cyniques, dévoyés, osent, encore, parler, d’ « acquis sociaux ».
En réalité, véritable, honteux « contrat, de dupes, léonin », anti-jeunes et, pro-adultes / anciens. En France, les seniors partent, bien trop tôt, en retraite, comparativement, à la moyenne occidentale. Ce qui creuse, encore bien plus, les déficits, au détriment, des jeunes. D’autant plus, que cela, ne favorise, en rien, l’embauche, de ces juniors. Les nouveaux retraités étant, de moins en moins, remplacés, à leur poste, laissé vacant. Il s’agit, aussi, d’avoir, plus, d’actifs, moins, d’inactifs, pour avoir, plus, de cotisations sociales / retraite, de cotisants, moins, de bénéficiaires. Noble ambition, vouée, à l’échec, en la conjoncture254.
Au-delà, la dette sociale, du pays, est gigantesque, tous les comptes sociaux, sont déficitaires, dépassant, allègrement, la centaine, de milliards, d’euros. Quant à, la dette publique globale, du pays, de 2360 milliards, d’euros, au début 2019, son montant abyssal, se passe, de tout commentaire. Démentielle et, coupable gabegie, des aînés, si profitable, à eux seuls, mais, à payer, par les seuls, jeunes actuels, comme, futurs. La France, d’aujourd’hui, rappelle, celle, de la fin, de l’Ancien Régime (France, 1589-1789). Blocages, féodalismes, conservatismes, comme, culte, de l’ancienneté, plus, que du seul, mérite.
Corporatismes, clientélismes, corruptions, gérontocraties, blocages, de toutes sortes. Une hiérarchie, en faveur, de l’âge, au détriment, de la jeunesse. En une telle conception, seuls, les plus, de trente ans, commencent, à être « pris, en compte ». Même, les plus, de quarante, pour les vraies responsabilités. Les plus, de cinquante, soixante, pour les fonctions dirigeantes. Quels, que soient, les qualifications et, mérites, les plus jeunes, doivent « attendre, leur tour, l’âge minimal officieux, requis ». Le travail stable confère, statut, sécurité, protection, aux aînés installés, non, aux juniors. Exclus et, ne servant, que de faire-valoir255. En un contexte français, à dette publique, atteignant, la quasi-totalité, du Pib !
Le « statut », de plus en plus, exigé, en France, pour exister, travailler, pénalise fort, en tout premier lieu et, par excellence, les jeunes. Les droits sont égaux, mais, non, les chances. La réussite dépend moins, du mérite propre, que des héritages financiers, matériels et, familiaux. Acquis, patrimoines et, naissance, dominent, le seul mérite, par « privilège dynastique ». Pas, de réussite sociale, d’avancement juvéniles, sans, transmissions héréditaires et, héritées. Ni, relations, réseaux. Reproduction sociale et, société figée, telles sont, les caractéristiques, de la France, de l’an 2019, comme, de celle, de 1789.
Pourquoi, ce qui n’était plus, à juste titre, toléré, sous la monarchie capétienne, du roi, Louis XVI, (Souverain régnant, France, 1774-1792), le serait-il, en la Cinquième République, (Régime politique, France, 1958-), du président, E. Macron, (Homme d’État, France, 2017-2027) ? La question reste posée et, sans réponse, pour les juniors ! Corps, statuts, privilèges, d’avant 1789 ou, 1870, sont recrudescents, en force ! Chacun, possède ou, veut acquérir, sa charge, prébende, dignité, à l’image, même, de la patrimonialité des Offices, d’Ancien Régime : vénalité et, hérédité. Les corporatismes l’emportent, sur l’intérêt général. Une société, très pervertie, où, tous les moyens, sont bons, pour parvenir, à tout prix.
Conserver, tous ses avantages, acquis, petits, moyens et, grands. À l’image, des Épices ou, Pots de vin, de l’Ancien Régime, (France, 1589-1789), « redevance », des plaideurs, aux juges, pour les rétribuer. Voire, les amener, à l’occasion, à se prononcer, non, toujours, en vertu, de l’équité, mais, possiblement, selon, les intérêts, parfois, illégitimes, dévoyés, même, des payeurs. De même, que le prévaricateur, trahit, les devoirs, les plus sacrés, de sa charge. Le privilégié, d’aujourd’hui, est à l’abri, de tout, tous, menacé, par rien ni, personne. En monde, plus insécure, incertain, pour le jeune.
Ainsi, la soi-disant République, s’est vidée, de toute substance. Elle n’est plus digne, alors, de se qualifier, de Res Publica, la Chose publique, celle de tous, du peuple. Persister, à évoquer, le « Pacte républicain, le principe républicain », devient, « indécent et barbare ». Quand, le type monarchique, d’avant 1789, est quasi revenu, dans les faits. L’âge moyen, des dirigeants, en tous domaines, demeure élevé et, le renouvellement, des cadres, se fait, à l’inverse, toujours, moindre. Le cumul récurrent, des mandats électifs, aggrave, cela. En « gérontocratie », de fait. Aux dépens, là encore, de la jeunesse. Qui, pour survivre, choisit, de plus en plus, l’exil étranger, en contrées, plus prometteuses, pour elle, que sa propre patrie.
Les juniors, en France, sont devenus, démographiquement, minoritaires. Le pays a perdu, deux millions, de jeunes, depuis, quarante ans. Jeunesse vilipendée, comme, problème, en soi, incompétente, dangereuse. Une génération, sans identité ni, unité, aux yeux, des adultes. Ni, légitimité ou, existence, positive, positivée. Pour le moment, encore, les juniors n’ont pas, de sentiment, de véritable « communauté néogénérationnelle ». Plutôt, de réelles différences, de classes socioéconomiques, culturelles. Or, la variable, d’âge, est devenue, en notre siècle, plus prégnante, que toute autre, quant aux jeunes.
La société adulte a, habilement, voulu, su, réussi, à diviser, la jeunesse, pour mieux, régner, contre elle. Car, son intérêt n’est pas, que les juniors s’unifient, se dressent, contre elle et, prennent le pouvoir, à ses dépens. Raison, pour laquelle, les questions, de jeunesse, ne sont pas regroupées, au sein, d’un seul ministère, des Jeunes et, des Droits, de la Jeunesse. Comme, pour tout « domaine ministériel ». Or, réparties, entre tous les autres ministères. Voilà, la vraie raison. Le nouveau délégué interministériel, à la Jeunesse, est bien censé, coordonner, l’action Jeunesse, de tous les ministères256.
Or, il ne peut « rien faire », car il relève, de l’autorité directe, de son ministre, de tutelle. Au sein, du ministère de l’Éducation, en charge, de la Jeunesse. D’autant, que ce délégué est, aussi et, avant tout, directeur de la Jeunesse, de l’Éducation populaire et de la Vie associative. Il est sans pouvoirs et sans moyens. Les autres ministères, très jaloux, de leurs prérogatives, « pré carré », refusent, de céder, en quoi, que ce soit, de leurs prébendes. Ils refusent, de collaborer, avec une autorité étrangère, à leur ministère. Elle-même, non souveraine, car inféodée, à un autre ministère et, ministre, que les leurs. Voilà, comment, les choses se passent – mal !
Il eût fallu, que ce délégué, ne dépende, directement, que du seul, Premier ministre. Or, mieux encore, soit, une autorité administrative, pleinement, indépendante, comme, le Défenseur des droits. La seule vraie réforme, de progrès, étant, l’instauration, d’un ministère, d’un ministre, autonomes, de plein exercice, des Jeunes / des Droits, de la Jeunesse. Redisons-le, encore. Les juniors n’ont pas, de leader unique, puissant, charismatique, tel, D. Cohn-Bendit, (Homme politique, Allemagne, France, 1945-)257, en mai-1968. Pas, d’organe représentatif, principal. Or, ils sont occupés, à assurer, leur « survie » individuelle, en un univers, si dur, hostile, pour la plupart. Privés, de toute influence et, pouvoir, par leur précarité. Ce qui ne les marginalise, que plus.
Mai-68 était possible, en ère, de prospérité, n’aurait pu avoir lieu, en 1938 ou, 1998. En outre, les jeunes n’ont pas, la latitude, de s’exprimer largement, dans les médias, d’y défendre, leurs intérêts, points de vue. Seuls, les adultes ont, ce si puissant moyen, de communication, de leurs opinions, à leur disposition. Or, de nos jours, seule, une présence médiatique, écrite et audiovisuelle, donne, tout son poids, à une cause. Les juniors disposent, certes, de l’Internet, mais, cela, n’est pas suffisant. L’aide, des familles, ne fait, que fort aggraver, les inégalités, la dépendance, des jeunes.
Elle les « empêche, de mourir, mais, les ligote, pieds et poings », tout autant. Elle les prive, de toute possibilité et, velléité, de révolte, d’opposition ou, de rébellion. Tant, il est, moralement, matériellement, impossible, de s’en prendre, à ceux, qui assurent, votre survie, même. Diaboliques, « piège et arme », des adultes, plus dirigés, contre, les juniors, que vrai bienfait, pour eux. Donner, du poisson, plutôt, qu’apprendre, aux jeunes, à pêcher, permet, de les maintenir, en tutelle, impuissance. En ces conditions, les pauvres libertés illusoires, dont bénéficient, les juniors, d’aujourd’hui, par rapport, à ceux, d’avant, 1968, sont dérisoires !
Le coup, le plus sinistre, sardonique, a consisté, à persuader, les jeunes, qu’ils ne valaient rien et, n’étaient rien. Ils s’en sont, eux-mêmes, convaincus. D’où, leur résignation, à leur triste sort, leur inertie, à se défendre, eux-mêmes et, leurs intérêts. Quand, le « bourreau » persuade, sa « victime », que son châtiment est, non seulement, fondé, mérité et, légitime, mais, en outre, bénéfique, pour elle. Laquelle, victime, « se dirige alors, d’elle-même, vers le lieu, du supplice, se laisse, sans coup férir, passer la corde, au cou ». Quand, elle ne s’en saisit pas, elle-même, le bourreau, n’en demandant pas, tant.
Alors, les juniors, ne s’apprécient pas, eux-mêmes, car, les adultes, ne les gratifient, ne les acceptent pas, en France. La jeunesse n’est pas solidaire, d’elle-même, car, empêchée, de s’unir, s’unifier. Toujours, fractionnée, isolée, chacun-e, en son coin, solitaire. D’autant plus, que la mentalité nationale, reste, encore, toujours, à l’individualisme ombrageux. Cette juvénilité n’est, qu’une « somme, d’embûches », non, de plénitude. En plus petits, dénominateurs communs, négatifs, répulsifs. Non, en plus grands, positifs et, attractifs. Il n’y a pas, unité juvénile transcendante, mais, marasme humain, d’une génération pénitente.
Chaque jeune, se croit, seul, au monde, indigne, déchu, ne s’unit donc, pas, à ses semblables. Ce qui cause, sa perte, individuelle, comme, celle, de la jeunesse, en son ensemble. Certaines minorités défavorisées, ont pris conscience, de leur identité, ont donc, pu, bien défendre, avec succès, leur cause. Ce n’est pas encore, le cas, de la juvénilité, ainsi, toujours, défaite, dominée et, si perdante. Elle ne vaincra, que quand, cette « conscience, de classe, néogénérationnelle », existera. Ainsi, le « malheur individuel juvénile », pourra-t-il, se muer, en vrai « bonheur, en commun ». La « jeunesse-ressource », remplacera, la « juvénilité-boulet ».
Cela, passera, aussi, par le combat politique et, un parti politique, de la Jeunesse, transcourants. Tout comme, les peuples colonisés, de l’Histoire, ont, jadis, eux-mêmes, « arraché, leur indépendance », à la force, du poignet. Tant, que les jeunes, au lieu, d’unir leurs forces, continuent, à s’opposer, se déchirer, « en rivaux, non, en frères », ils resteront « enchaînés », manipulés. Les adultes attisant, la concurrence, la « lutte, des places », entre juniors, par leur « malthusianisme, anti-jeune ». Notamment, en raréfiant, pleinement, l’emploi disponible, accessible, à la jeunesse258.
Qui est alors, toujours, en pires mal-être. Le problème, de la néogénération, de France, est, bel et bien, n’en déplaise, à certains, avant tout, franco-français, donc, culturel. Avant tout, un système, de civilisation, national, « féodal », une structuration mentale adulte, rigide, verticale et, autoritaire, font le « malheur, de la jeunesse française » ! Les jeunes, de « 68 », retraités, d’aujourd’hui, ne sont pas coupables, des crises socioéconomiques, bancaires, financières, de 1973, 1979, 1987, 1993, 2008 et, au-delà. Ils sont fort coupables, d’avoir, plutôt, « laissé faire », plus, qu’agi et, plus songé, à « sauver, leur propre peau, préserver, consolider, leurs acquis ».
Qu’à bien préparer, la « sauvegarde », des générations futures. Comme, le désastre écologique, environnemental, naturel, climatique, de la planète, le démontre, fort bien, aussi. Une gestion, à court terme, du présent, pour eux, d’abord, non, à moyen et, long termes, pour la descendance et, l’avenir. Redisons, encore, avec force, que les médias et, de tous types, confondus, participent, allègrement, à la marginalisation, la stigmatisation, ridiculisation, de la juvénilité. En ne l’acceptant, sur leurs ondes, colonnes, que sous, leur plus « mauvais jour ».
Sordides téléréalités, jeux débiles, extrêmes cas répulsifs, déviants, drames juvéniles… Ce qui perd, la France, sa société, est de privilégier, la pleine maturité, l’acquis, l’installé, même, sclérosés. Quand, les plus grands pays, occidentaux septentrionaux, favorisent, bien plus, la jeunesse. L’innovation, la hardiesse et, les potentiels prometteurs, inédits, des débutants. Ce qui fait, toute la différence décisive. Raison, pour laquelle, nulle, Silicon Valley, n’a jamais, été, ne sera jamais, possible, en France ! Car, ce pays, n’admet pas, la performance, d’entrepreneurs, de vingt ans.
Le « Very High Tech », de pointe, made in France, à l’américaine, la japonaise, l’allemande, n’est donc, pas, « pour demain ». Il en va, hélas, de même, en matière, de pensée intellectuelle, morale, savante. La France a disparu, des « radars mondiaux », en la matière, depuis, au moins, trente ans. Faute, de renouvellement, de l’esprit. Là, encore, les bien « vieux caciques et, mandarins », bloquant, l’expression, de leurs cadets ! Contraints, à l’exil étranger, pour émerger. Ce qui fait que, dans la plupart, des domaines, ce sont, toujours, les mêmes, « têtes d’affiche, inamovibles », qui pérorent, sans fin, à tort et, à travers, dans les médias259.
Monopolisent, antennes, colonnes, verbe, depuis, des « lustres ». Avec, la même « pensée unique et, anti-jeune », depuis, trois décennies. Toujours, les mêmes intervenants, les mêmes discours, sans cesse, rabâchés, remâchés. Un peu, comme, le vieil enseignant, délivrera, les mêmes cours, depuis, des années. Jamais ou, presque, de nouveaux penseurs et, nouvelles pensées. Toujours, la France, d’Avant, jamais, celle, d’Après. D’où, « dégringolades », sans fin, en tous domaines ou, presque, du pays, dans les classements internationaux.
En tout et, pour tout, le pays privilégie, « statu quo, maintien, bien plus, que renouvellement et, innovation ». Toujours, les mêmes décideurs, depuis, des décennies, en l’économie, la politique, les médias, la culture, l’administration, le monde intellectuel… Toujours, les mêmes conceptions, éculées, si obsolètes, des plus immuables. « Nihil novi, sub sole / Rien, de nouveau, sous le soleil », nous dit, l’Ecclésiaste. (Livre de la Bible hébraïque, I-9, Moyen-Orient, v. IIIe s. av. J.-C.). Rien, en réalité, ne change, vraiment ni, n’est nouveau. Or, il suffirait, que les hommes, le veuillent, en décident, ainsi.
Par la foi, en tous les possibles, ledit homme, « soulève, les montagnes ». (Nouveau Testament, Évangiles de Marc et, de Matthieu, Moyen-Orient, Ier s., La Bible)260. Il parvient même, à se transporter, jusqu’à l’astre lunaire ! De progressistes durs, en leur jeunesse, les adultes mûrs, d’aujourd’hui, se sont bien prestement, mués, en conservateurs mous. Évolution, des plus classiques, conventionnelles. Notre époque n’est donc, plus, aux progrès ni, même, désormais, au maintien, des garanties, déjà, acquises, mais, aux régressions, de toutes sortes. En tous domaines !
Particulièrement, pour les jeunes. Car la règle, tacite et implicite, qui prévaut, veut, que les aînés, ont le « droit naturel », de conserver, ce qui est déjà, crédité. Or, que nos juniors, nouveaux venus, ne sauraient, y prétendre, faute, d’avoir, déjà, « obtenu », auparavant. Nous l’avons dit, bonus, aux « Anciens », malus, aux « Modernes ». Une sorte, d’abominable, « délit-déni, de juvénilité ». En dépit des élections de 2017 et, 2022, « d’aigrefins aînés, continuent, à allègrement, duper, spolier, trahir, tout une néogénération, mortifiée » ! Oui, Nihil novi, sub sole, en doulce France ! (Tirot, 2008)261.







































































En 1966, les juniors sont proclamés, « hommes de l’année », par le magazine, d’information, américain, Time. Deux ans, avant, Mai-68 ! Symbole, dès, cette époque, de l’importance, accordée, par la société nord-américaine, à sa jeunesse. Pour, ce qu’elle représente, en dynamisme, avenir, pour l’ensemble, du nouveau monde. Impensable, en « frileuse France, anti-jeune », même, un demi-siècle, après ! En 2019, c’est la jeune, G. Thunberg, seize ans, leader écologiste suédoise, des jeunes, défenseurs du climat et, de la planète, qui est distinguée. Comme, personnalité de l’année.







































































– Nouer un « Lien Didactique Pacifié » –
Vous, (Andro)Jeune / Enseignants
La plupart, d’entre-vous, junior occidental, d’aujourd’hui, êtes en études et, formation. Cela, signifie, que la majeure partie, de votre temps, celui, qui est ouvrable, sera consacré, à celui, de l’école, secondaire ou, supérieure. L’essentiel, de vos efforts, ambitions, objectifs, de vie, aussi. Tant, l’on sait, le caractère capital, de vos « apprentissages », pour devenir adulte, réussir, dans votre vie, vous accomplir. Être jeune, consiste d’abord, à apprendre, connaître, savoir, comprendre, découvrir, expérimenter… Missions premières, de l’école, de vos études, junior enseigné.







































































D’où, l’importance primordiale, des enseignants, de l’enseignement, de la façon, de transmettre. De la relation, pédagogique et humaine, qui lie, les professeurs et, leurs élèves, notamment, dans le secondaire. De ce rapport didactique dépend, en grande partie, la totale réussite, comme, l’épanouissement, des jeunes scolarisés. Or, l’école, l’éducation scolaire, sont, par définition, strictes, contraignantes, verticales. Quand, la société et, la jeunesse, notamment, plastiques, libertaires, horizontales, sont aux antipodes. D’où, des difficultés relationnelles, fort accrues, entre enseignés et, enseignants. Lesquels, ne se comprennent plus.
D’où, corrélativement, l’urgence impérieuse, de former, les pédagogues, aux arcanes, de la communication éducative idoine, entre sachants et, apprenants. Ainsi, qu’à la bonne gestion, maîtrise, des situations, de crise. Ce qui, globalement, permet, de mieux enseigner. D’assurer, une bien meilleure harmonie, d’échanges réciproques interactifs, entre, maîtres et, élèves ou, étudiants. De façon, structurelle, comme, conjoncturelle, bilatérale, comme, multilatérale.
Face, aux dérapages, de certains élèves, les enseignants peuvent être, tout naturellement, tentés, par se laisser submerger, d’émotions négatives. Donc, de réagir, tout aussi négativement, ce qui ne fait, qu’envenimer, la situation, le conflit, déjà, fort aigus, entre, le professeur et, le ou, les jeunes, concernés. L’objectif adapté, le plus urgent, est donc, de maîtriser, les émotions induites, de ralentir, le rythme cardiaque, trop élevé. L’hypoventilation respiratoire le permet. Il s’agit, de vider, calmement, ses poumons, à fond, d’inspirer, peu, d’air, conservé, peu, de temps262.
Pour expirer, ensuite, comme, un ballon, se dégonflant. Cela, permet, de s’apaiser, de calmer son pouls. Pour relativiser, la situation, mieux, s’en distancier, l’enseignant peut l’observer et, l’analyser, froidement, objectivement. Il s’agit, de prendre en compte, tous les paramètres, de ce qui se passe, de ce qui a trait, au jeune, à son attitude et, ce qui la sous-tend. Pour mieux comprendre et, agir. Ne pas réagir, viscéralement, mais, réfléchir, demeurer impavide, avant, de proagir, avec pertinence, autorité naturelle, assurance respectueuse.
En s’adaptant aussi, calmement et fermement, à l’état, du junior. Les émotions néfastes, sont issues, des pensées automatiques négatives, qui perturbent, la saine réflexion, le plein réalisme pragmatique. Ces cognitions nocives sont donc, à juguler. Il s’agit, alors, de les surveiller, les traquer, pour mieux, les annihiler. La plupart, sont en nombre, fort limité, toujours, récurrentes, identiques, fidèles répliques, des anxiétés, doutes et, tracas. La pensée négative, gâte les émotions, fabrique, stress et, nervosité néfastes. Ce qui altère, fausse, l’appréhension, des réalités, des choses et, des jeunes. La pensée négative suscite, une interprétation, tout autant, négative, toxique.
Aussi sûrement, que la pensée positive, crée, une vision positive. Positiver, relativiser et, se distancier, rester, mentalement, solide, en froide objectivité. Telle est, la loi, de la paix intérieure, pour bien enseigner, bien gérer, sa pratique pédagogique et, ses élèves. Le calme protège, la saine aptitude, lucide et pragmatique, à cogiter, évaluer, justement, pour l’attitude, la plus adaptée, aux situations. La maîtrise, des pensées, émotions, comportements, permet, de se ménager, d’être proactif, non, réactif. De dominer, activement, les événements, au lieu, de les subir, passivement.
En assurance, sans stress, mais, en estime, confiance, bonne affirmation, de soi. Respect, de soi, en tant, qu’enseignant, respect, de tous ses élèves, adolescents, du secondaire ou, juniors, du supérieur. Alors, la force, mentale et physique, ne s’effondre plus, en stress délétère, mais, se renforce, en sérénité, rayonnement, intérieurs et, extériorisés. Cela, rejaillit, favorablement, sur les jeunes, en confiance, sécurité, apaisement, travail optimisé. Est plus efficace, pour la discipline, l’ordre, en stricte rigueur, quand, les élèves « dérapent ». En fermeté et, souplesse, souplesse et, fermeté. Seule, voie éducative idoine, avec les juniors263.
Plutôt, que les régulières, « explosions professorales », qui ne font plus effet, au jeune, si elles constituent, la norme habituelle, excessive, abusive. Tel, un médicament, une drogue, ne font plus effet, à force, d’être surconsommés. De même que, pour capter l’attention, d’un auditoire inattentif, il est plus efficace, de baisser, d’un ton, le niveau sonore vocal, de l’orateur, que de le hausser. Émotions, pensées automatiques jugulées, sont source, d’une force, d’entraînement, qui optimise, les cours, entraîne, les élèves, leur bénéficie, des plus optimalement.
L’analyse fonctionnelle regroupe, toutes les données, d’une difficulté, les ordonne, pour bien comprendre, ce qui se passe. En cernant, le problème, ses tenants et, aboutissants, les objectifs idoines, les outils, de solutions. Cinq stades, s’imposent, à cet effet. Comprendre, l’essence intrinsèque, de la difficulté, pour l’enseignant. S’assurer, que le blocage, relève, de la fonction enseignante, d’un point de vue, légal et éthique. Préciser, les acteurs, intervenants, liés, à la problématique juvénile et, les interactions, entre eux, pour une meilleure résolution, d’équipe. Définir, les comportements, actions, à entreprendre, vite et bien, en ne retenant, que les plus adéquates.
Disséquer, chaque attitude, à adopter, intervention, à mener, puis, opter, pour les meilleures. En l’intérêt, prioritaire et majeur, de l’élève, choisir, décider et, agir, en retenant, la conduite, ayant, le plus, d’avantages, de sûreté. Le moins, d’inconvénients et, de risques, pour le jeune et, en sa faveur. Pour optimiser, au mieux, ses intérêts, son avenir. Le délicat équilibre, est à tenir, entre la coercition administrative, la sanction, du junior, lui-même et, la valorisation, de ce jeune. Chaque situation juvénile sera, au préalable, éclaircie, pour bien comprendre, mieux décider.
La mission enseignante officielle, du secondaire, est d’instruire, d’éduquer, d’orienter. Les principaux acteurs éducatifs, dont, la collaboration interactive, est indispensable, sont fort nombreux, comme, complémentaires. Enseignants, élèves, chefs d’établissement et, adjoints, conseillers principaux et, assistants d’éducation. Infirmiers, médecins, psychologues scolaires, assistants sociaux, conseillers, d’orientation, psychologues et, parents. Tous ces intervenants, séparément, comme, ensemble, contribuent, à la réussite, des jeunes, ainsi, qu’à leur total et, entier épanouissement. Ils ne sont pas, « de trop », tant, la tâche est immense, ardue264.
Pour la bonne marche, des études, établissements, d’enseignement. Avant, de décider, du « sort », d’un élève, de la conduite, à tenir, à son égard, il convient, préalablement, d’envisager, toutes les options, possibles. Sans exclusive ni, parti pris ou, préjugé. Le comportement, le plus favorable, aux intérêts majeurs, du jeune, mais, aussi, de l’enseignant, sera donc, retenu. En l’objectif, la préoccupation, permanents, de ne causer, aucun préjudice, au junior, de ne pas accentuer, la difficulté. Tout en veillant toujours, très soigneusement, à prendre en compte, la personnalité et, le milieu familial, des jeunes.
Pour leur faire correspondre, la meilleure solution afférente, adaptée. Tout junior a besoin, pour devenir adulte accompli, de limites, de cadres et, règles. À respecter strictement et, avec l’aide, des adultes. À l’école, le règlement intérieur, d’établissement, doit être respecté, par tout collégien, lycéen. Dans le supérieur, il en va, de même, pour ce qui est, des « lois internes », de la communauté universitaire étudiante. Des diverses écoles, d’enseignement postsecondaire. Sans compter, les limitations propres, exigées, par chaque enseignant. S’imposent, rigueur, discipline, respect265.
L’idéal étant, que les règles, ainsi fixées, imparties, ne soient ni, trop contraignantes, rigides ou, abusives ni, trop souples, laxistes ou, insuffisantes. En terme, d’exigence légitime, fondée, bénéfique. D’où, l’intérêt fondamental, d’un minimum, de concertation, comme, d’accord, dans l’équipe pédagogique. Pour harmoniser, les règles communes, de façon, pertinente, crédible, signifiante. Pour que tous les élèves, puissent alors, s’y retrouver, s’y référer, plus aisément, systématiquement, volontiers. Il appartient donc, à chaque enseignant, de définir, ses propres seuils, limites, infranchissables.
En matière, de tolérance, comme, de rejet, dans sa pratique pédagogique. Les limites seront légitimes et, très bien « équilibrées » : ni trop élevées ni, trop relâchées. Car sinon, elles sont abusives et, toxiques. Si la règle est juste, équitable, comme, convaincante, en légitimité, elle sera comprise, comme, telle, par les juniors. Au travers, de ses bénéfices et, intérêts, bien compris, par eux. Elle sera, d’autant mieux, acceptée, respectée, par les jeunes, sans – trop – de mauvaise volonté et, contrecœur. Pour cela, les limites seront claires, compréhensibles, sans ambiguïté, précisément, expliquées et exprimées, aux élèves.
Les règles seront, strictement, systématiquement, imposées, au junior, dès, le début, d’année scolaire. En automatismes et, réflexes acquis. Très régulièrement, rappelées, autant et, aussi souvent, que nécessaire, en cours, d’année. Chaque fois, qu’il sera contrevenu, à la loi scolaire commune, la réaction sera immédiate, ferme. Par application, des dispositions et, sanctions, déjà, préalablement, définies, avant, irruption, des incidents. Bien connues, maîtrisées, mises en œuvre, par chaque enseignant. Les sanctions seront toujours, immédiates et impératives.
Car, les simples menaces et, admonestations virtuelles, non appliquées, sous forme punitive, concrète, contraignante, sont toujours, inopérantes. Elles « sapent », totalement, l’autorité, la crédibilité et, la légitimité enseignantes. Les règles, sanctions, limitations, ne seront jamais, l’objet, de remise en question ni, de la part, des jeunes élèves ni, de celle, de l’enseignant. Ce dernier n’aura, jamais, à justifier, de ses décisions, pour couper court, à toute velléité juvénile, d’inutiles contestations. Les juniors respectent, généralement, d’autant, leur professeur, son cours, que le maître, les respecte, pleinement. Avec, force fermeté, sympathie, bienveillance.
À l’égard, de chaque jeune, qui doit se sentir, personnellement, considéré, accepté, reconnu, de façon, inconditionnelle. Ce qui le motivera, à bien exercer, son métier, d’élève. Une classe n’est pas, un bloc monolithe, mais, un ensemble, de juniors, tous différents, à individualiser, comme, tels. Tout élève scolarisé, sera encouragé, par des félicitations positives, méritées, en cas, de bon travail et, bon résultat réussi. Sinon, par la critique négative, mais, constructive, productive. Il s’agit, de faire comprendre, au jeune, qu’un mauvais résultat, est fort temporaire, limité, à un travail donné, dans le temps, amendable.
Ne reflète ni, sa personne même et, sa valeur humaine ni, l’ensemble, de ses capacités, ses compétences scolaires. Outre, la note décevante, les appréciations professorales sauront relativiser, mettre en perspective, pousser, à aller, de l’avant, par le travail, le progrès. L’insuccès ne sera présenté, que telle, une étape provisoire, qui ne peut, que s’améliorer, ultérieurement, en effort, ténacité, pensée positive. L’on ne se contentera pas, de relever, les insuffisances, l’on soulignera, les réussites, efforts, progressions juvéniles, pour encourager, congratuler. Les avancées importent, bien plus266 !
Tout jeune, tout travail, résultat, du junior, seront valorisés. Afin, de saluer, ce qui est bon, encourager, à améliorer, ce qui est moyen, motiver, à rectifier, ce qui est mauvais. En un mot, savoir discerner, « même, quand, cela, ne va pas, ce qui va, malgré tout, par surcroît ». Même, ce qui est positif, de façon marginale ! L’élève est, avant tout, un jeune. Il ne se résume pas, à ses seuls, résultats scolaires, mais, est à prendre, globalement, en compte. Au travers, de toutes, ses qualités humaines, ontologiques et, ontogéniques. Pour être en mesure, de bien travailler, s’épanouir, tout junior, a besoin, de pouvoir, entretenir, de bons liens, avec autrui : pairs et, adultes.
Il sera donc, veillé, à ce que chacun, soit bien intégré, bien équilibré, avec, par, ses camarades, enseignants, sa classe, son établissement. Cela, prendra, la forme pratique, d’un questionnaire, écrit et anonyme, au cours, du premier trimestre. Les résultats seront, ensuite, communiqués, à la classe, commentés, par les jeunes. Il en sera tiré, tous les enseignements, pour améliorer, ce qui peut et, doit l’être. En cas, de blocages récurrents, endémiques, comme, perturbateurs. Sans oublier, pour autant, de saluer, les progrès, efforts, de chaque élève.
Toutes les difficultés, seront débattues, entre élèves, adultes responsables, de l’établissement scolaire, enseignants et, autres. Parfois, avec des intervenants neutres, extérieurs, en tant, que médiateurs. En vue, d’un règlement pacificateur, amiable, entre, toutes les parties prenantes. Toutes les informations utiles, seront recueillies, par le questionnaire anonyme. Les résultats seront analysés et, discutés, par tous les protagonistes. Tous les juniors, seront incités, à s’exprimer, à tour de rôle et, très équitablement. Toutes les solutions utiles adéquates, seront évoquées, les meilleures, retenues, puis, appliquées. Tout l’accord, de règlement, de la crise, sera finalisé, par écrit. Cette procédure régulatrice sensibilise, les jeunes, à leurs attitudes et, actes.
À leurs excès, abus et, au besoin, impératif, de paix scolaire, pour étudier, réussir et, s’épanouir, dans les meilleures conditions possibles. Le processus aide, aussi, les enseignants, à prendre, en considération, les justes observations, récriminations, des élèves. Pour améliorer, de la façon, la plus optimale, leur pratique pédagogique, de communication relationnelle, avec les juniors. Il est indispensable, de tenir, le plus grand compte, des intéressés, eux-mêmes267 ! Quoi, qu’il en soit, les enseignants, les acteurs scolaires ont, toujours, intérêt, à travailler, en concertation, interactions, permanentes. Entre collègues et, pairs, comme, au sein, d’équipes pédagogiques. Pour coordonner, leur action, en l’intérêt même, des jeunes et, pour parfaire, leur pratique éducative. Tout ce qui sert, les scolarisés, est capital. (Allamand, Chosalland, 2005)268.







































































Joe, un garçon adolescent, quitte, la maison familiale, pour passer l’été, dans les bois, avec deux amis. Ils y bâtissent, un logement rustique, pour s’y installer, pendant, les vacances. En un premier temps, tout se passe, de façon idyllique, en liberté, loin, des adultes, en pleine nature et, bonne intelligence. Puis, une camarade est introduite, dans le groupe, ce qui sème, zizanie, rivalité et, discorde. L’harmonie initiale fera, alors, place, à la violence, la brouille, la fin, du rêve commun, d’accomplissement, de soi. Ainsi, se déroule, l’intrigue, du film, The Kings of Summer, Les Rois de l’été.
Cette œuvre, de fiction, de cinéma, est très intéressante, juste, car, elle rend bien compte, de la psychologie, des aspirations juvéniles. Rappelons, que nombre, de violences scolaires ont, pour origine, le fait, que l’école, n’ « appréhende », que des élèves. Oubliant, qu’ils sont et, avant tout, des jeunes et, éludant, alors, les réalités, besoins, attentes juniors. Le film illustre bien, l’illusion forte, de la quête, de l’ « état, de nature », notamment, rousseauiste, du retour, à la « vie primitive », des temps archaïques. Avec, le mythe ancestral, du « bon sauvage ».
Auxquels, les jeunes hommes, peuvent être sensibles. Qu’ils avaient tenté, en escapades rurales ou, exotiques, dans la « mouvance, de 1968 ». Il y a, aussi, la très forte quête juvénile, de liberté, d’autonomie et, d’indépendance, d’être entre soi, entre jeunes, fort loin, de la tutelle adulte. Raison, pour laquelle, les vacances estivales, sont si prisées, par les juniors. Comme, symbole, de libération, des contraintes et, des sujétions habituelles, imposées, par les aînés. Ce film révèle aussi, la figure mythique, légendaire, de la « femme fatale, tentatrice, corruptrice ». Qui attise, la convoitise, des hommes, les détourne, de l’essentiel, les dresse, en rivalité, dissension. Il s’agit, surtout, d’une ode, à l’amitié, si chère, aux jeunes, entre pairs, de même âge et, sexe, en harmonie et, réalisation, de soi.
(The Kings of Summer, comédie dramatique, de cinéma, du réalisateur américain contemporain, J. Vogt-Roberts, États-Unis, 2013)269.
Le fabricant, de crayons, dit, au crayon : « Tu dois savoir, cinq choses, avant, d’être introduit, dans le monde. Souviens-t’en, toujours, tu seras, le meilleur crayon, possible.







































































1- Tu pourras faire, de grandes choses, te laissant guider, par la main.
2- De temps, à autre, tu subiras, un dur aiguisage, impératif, pour devenir, un meilleur crayon.
3- Tu sauras, corriger, tes erreurs.
4- Ta part principale sera, en ton intérieur.
5- Tu devras persister, à écrire, laisser, une trace significative, même si, cela, est difficile ».







































































[ LA TRIPLE CONTRIBUTION INTELLO-DISCIPLINAIRE ]
DE VOTRE ANDROJEUNOCONSULTING
Votre AndroJeunologie® est une guidance, psychosociologique juvénile masculine, qui opère, une « recomposition », fort bénéfique. Elle est, aussi, une science, de l’éducation, dispensant, les incisifs apprentissages, nécessaires, pour votre jeunesse mâle. Elle se veut, une anthropophilosophie morale, du junior, un culturalisme. Prenant en compte, votre sphère culturelle, nationale, de jeune autochtone, concerné, comme, celle, d’autres juniors allogènes. En esprit comparatiste, d’enrichissement, d’ouverture, sur l’extérieur. Le « multilatéralisme » androJeunologique est gage même, pour vous, de son efficacité270.







































































Souvent, le jeune s’interroge, souffre, quant à son passé, d’enfant. Il prend alors, conscience, que sa vie actuelle juvénile et, future, d’adulte, ne le gratifiera, peut-être, voire, probablement pas, autant, qu’il ne l’avait cru, rêvé. D’où, sa douloureuse déception. Le jeunesse est, alors, le désillusionnement, de l’enfance, tout comme, celui, de la maturité, à venir. Or, merveille, de la pleine « plasticité » psychique, néogénérationnelle, la juvénilité est, également, tout autant, l’une, des plus formidables espérances, de l’existence humaine ! Bien plus, que l’enfance et, l’adultisme ou, la vieillesse. Pourtant, les juniors, des années 2020, baignent, en permanence, en un « sordide univers ambiant ». De laideur, violence, médiocrité, bêtise, perversion et, malsanité, pouvoir, force, d’artifice, de superficialité et, de bassesse.
Tout, ce qui est noble, élevé, spirituel, tout, ce qui extirpe, le jeune, au-dessus, au-delà, de lui-même, lui est inconnu, rendu inaccessible. Par la coupable incurie, le défaut, d’exigence morale, de la société, dite, adulte. D’où, le malaise collectif croissant, plus encore, qu’individuel, de la jeunesse, comme, groupe d’âge, d’identité générationnelle. Confronté, au vide moral et, ontologique. Marginalisé, exclu, rejeté. Obligé, à se replier, sur son seul, pré carré néogénérationnel. Il aimerait, faire « plus, mieux », en est largement, empêché, par le système sociétal adulte, français. Même, entre juniors, il y a, certes, solidarités, plénitude, mais, aussi, beaucoup, de duretés. Car, en plein marasme juvénile, agressivité, rivalités, envies, jalousies, sont légion. Il n’y a pas, de félicité, possible, quand, l’on partage, avant tout, lourds mal-être, négatifs, bien plus, encore, que grands bonheurs, positifs.
Que le junior retienne les cinq lois citées, pour être meilleur.







































































1- Vous pourrez faire, de grandes choses, guidé, par votre conscience.
2- Les épreuves, de votre vie, vous renforceront, grandiront.
3- Vous saurez, vous corriger, dépasser, amender.
4- Vos cœur, for interne, primeront.
5- Vous laisserez, ainsi, votre marque unique !
Tout jeune est tel, le crayon, de l’allégorie. Mû, par un dessein spécial, fait, pour l’exception, l’excellence. À lui, d’accomplir, son destin, pour réaliser, sa mission terrestre, guidé, par sa raison morale supérieure !







































































– Vos Psychosociologie AndroJuvénile –
« Recomposition » Bénéfique
Votre AndroJeunoConseil® est un processus, de déconditionnement, du négatif, de recomposition, du positif, si bénéfique, pour vous, garçon junior. Cela, signifie, qu’il s’agit, de bien vous aider, à abandonner, progressivement, vos habitudes néfastes. Puis, à les remplacer, peu à peu, par vos réflexes, de pensées, d’émotions et, de comportements, plus adéquats et, positifs.







































































K. Noland, peintre et, sculpteur américain (1924-2010), produit sa toile, Provence, en 1960271. L’œuvre se présente, comme, un labyrinthe circulaire, de couleurs éclatantes : rouge, bleu, jaune, de nouveau, bleu, du centre, vers la périphérie. Chaque teinte étant séparée, de la suivante, par un étroit cerclage, de blanc. Cela, ressemble fort, aussi, à une cible, pour arbalète ou, à une simple succession, de cercles concentriques272. De même, la jeunesse est une période cruciale, de l’existence humaine, fragile, incertaine et, malaisée. En laquelle, il est très facile, si courant, de se perdre, en les méandres, chausse-trappes, faux pas, de l’inexpérience. Ainsi, que des pires conceptions, illusoires, erronées et, délétères. En son « labyrinthe, le jeune doit être guidé, vers l’issue ».
Les juniors développent une maturité, en construction, un idéalisme, une vulnérabilité, des failles. Voire, une candeur, une témérité, des débordements, présomptions, prises de risques. Ils peuvent aussi, ainsi, constituer, la proie, toute privilégiée, victime et crédule, plus ou, moins, consentante, de toutes sortes, de « prédateurs ». Plus ou, moins, bien intentionnés, adultes ou, congénères. Ils peuvent, également, être les « boucs émissaires », les laissés pour compte, défavorisés, d’une société faite, avant tout, avec, par, pour, les adultes.
Surtout, en période, de crise, socioéconomique, morale, en laquelle, leurs aînés, sont prioritaires, aux dépens, des cadets. La nouvelle génération progresse, également, vers l’adultisme, par vagues, paliers et, étapes successifs, du cœur, vers les extrémités. Comme, un poids, jeté, à l’eau, suscitera, des mouvements, d’ondes aquatiques circulaires, d’importance, encore et toujours, croissante. Tous les cercles concentriques, de la peinture, de Noland, sont tranchés, continus, lisses et, nets. Seul, le dernier, le plus large, extérieur, les autres, étant intérieurs, est fort irrégulier, comme, accidenté, friable, poreux, troué.
Avec, des excroissances anarchiques, périphériques. Comme, pour symboliser, qu’une vie n’est jamais, complète et pleine, achevée et définitive, aussi belle, riche, réussie, soit-elle. Même, après, le trépas, toute existence humaine conserve, en mystère, sa part d’ombre, comme, de lumière. De même, l’AndroJeunologie® procède, par mouvements, touches, très progressifs. Chaque avancée acquise prépare, rend possible, comme, effective, la suivante. Ainsi de suite, jusqu’au développement terminal, satisfaisant et, de façon, quasi exponentielle.
Il appartient, ensuite, à tout jeune concerné, de poursuivre son cheminement, vers la sagesse, par lui-même et, du mieux, qu’il le peut. L’AndroJeunoConseil® est une complète, psychosociologie juvénile, des garçons, de quinze – vingt-quatre ans. Les néojeunes collégiens, de douze -quinze ans, constituent, l’ère, du dépassement. Les jeunes lycéens, de seize – dix-huit ans, celle, des décisions. Ils sont mineurs, dépendants. Leurs aînés, majeurs, plus autonomes.
Les surjeunes étudiants, de dix-neuf – vingt-et-un ans, sont, le temps, de l’autonomie. Les adujeunes actifs, de vingt-deux – vingt-quatre ans, celui, de la stabilisation. L’ensemble, de nos douze – vingt-quatre ans, constituant, la jeunesse. La première tâche, de la juvénilité, est de re/définir, son identité. Physique, psychique, morale, affective, sociale, sexuelle, nationale, familiale, relationnelle, économique et, historique. Philosophique, spirituelle, sociétale, scolaire, professionnelle, récréative, culturelle, idéologique et, juridique…
Le néojeune, de douze à quinze ans, se détache, de sa famille, s’ouvre, à la sexualité, aux relations, avec ses pairs. Tous les acquis antérieurs, sont rejetés. Le jeune homme se cherche et, bâtit, une nouvelle identité. Il tente, tant bien que mal, d’assembler et d’accorder, les éléments épars, de sa personnalité, encore, si incertaine. À consolider, sa perception, de lui-même, auprès, d’autrui, notamment, congénères. Ce qui conduira, à la vie affective, sociale, puis, professionnelle. Le néojeune passe, de l’emprise familiale, parentale, à celle, de ses semblables juniors. Il est déchiré, entre son besoin, de protection, sécurité, guidance et, celui, de liberté, souveraineté, d’autonomie273.
D’affirmation, de sa personne. Infantilismes, velléités, de sécession, cohabitent donc, encore, en ces pleins débuts, de jeunesse. Le jeune masculin affermit, son identité, en se frottant, à ses pairs monogénérationnels. Les nouveaux codes, rigides et incontournables, du groupe, permettent, de remplacer, l’identité enfantine antérieure, par une nouvelle identité de junior. Individuelle et, surtout, collective. Par la socialisation, la sociabilité, communautaires juvéniles. Le groupe est monosexué, constitué, de jeunes, de même sexe, au début, de la jeunesse.
Puis, devient hétérosexué, au milieu, de la juvénilité, avec des juniors, des deux sexes. Puis, éclaté, à la fin, de la jeunesse, avec, de plus en plus, la primauté, donnée, aux seuls, couples affectifs exclusifs, hétérosexuels. Un langage particulier sera inventé, pour singulariser, encore plus, ce groupe d’âge. De même, que des codes vestimentaires, très spécifiques. L’amitié prend une importance cruciale, à cette époque. Elle repose, sur des activités et, des comportements, en commun, en débuts, de jeunesse. Puis, sur des partages cognitifs, émotionnels, affectifs et, d’attitudes, comme, d’action, en fin, de période. Pour grandir, encore.
L’adaptation, aux cursus secondaires, est, souvent, très délicate, tant, aux débuts, des études collégiales, qu’à ceux, du lycée. L’aide, des parents, comme, des enseignants, est cruciale, à cet égard. Fierté, peurs, des jeunes collégiens, de sixième, puis, lycéens, de seconde, coexistent. Pour, généralement, laisser place, à de l’assurance, de l’aisance, en quatrième et, première. Le groupe, d’amis, est alors, toujours, d’un réconfort, fort précieux. Le lien, aux enseignants, est capital, les parents sont, définitivement, supplantés, par le groupe, des pairs. Le jeune, de seize à dix-huit ans, s’affirme, alors, de plus en plus.
La difficulté est la contradiction, entre sa volonté, de rompre, totalement, avec toute tutelle et, les possibilités limitées, de réelles liberté, indépendance. Avec, toutes les exigences, que cela, implique fort, mais, que le jeune n’est pas encore, en mesure, d’assumer. Qu’il ne veut, sûrement pas, par surcroît ! Un hiatus, entre désir, de souveraineté et, de ses commodités, mais, nette incapacité et / ou, refus, d’en endosser, les servitudes. Le junior veut être autonome, rejette, les adultes, leur primauté, mais, sait, qu’il a encore, besoin, de ses aînés, pour grandir et, y parvenir. Il veut s’émanciper, mais, y peine274.
D’où, ses états d’âme, souvent, chagrins, son agressivité, farouche et ombrageuse, face, à toute contrainte, autorité adultes. La subjectivité l’emporte encore, beaucoup, sur l’objectivité, l’émotion irrationnelle, sur la raison, la réflexion. L’originalité, pour se distinguer, est de mise. Le jeune cherche donc, à affirmer, sa personnalité, son identité propre, à tout prix. Les crises, conflits, oppositions, sont fréquents. Il est, tout à la fois, des plus conformistes, avec les pairs, contestataires, avec les adultes. Or, dans l’ensemble, les juniors, de l’âge, du lycée, suivent, sans trop rechigner, les conseils, orientations adultes, leur paraissant, légitimes et bénéfiques, pour eux.
Surtout, si cela, correspond, à leurs inclinations personnelles. Le modèle adulte et, sociétal est plutôt, rejeté, par les jeunes, qui le jugent, non, sans raison, répulsif, injuste, nocif et, en faillite. Ils souhaitent, tout à la fois, s’y intégrer, pour réussir, tout en espérant, tout autre chose, un « autre monde ». D’où, l’inconfort, de cette génération, qui sait, devoir, en passer, par les exigences draconiennes, des normes adultes, en vigueur. Tout en rêvant, encore et toujours, à des « lendemains, qui chantent, autrement : plus et mieux, où l’on rasera, peut-être, gratis » !
En notre siècle, les adultes ostracisent, rejettent, la jeunesse, bien plus, que les juniors, excommunient, leur société, comme, leurs aînés. La nouvelle génération, ne peut plus espérer, comme, il y a, encore, un demi-siècle, « le meilleur », mais, craindre, « le pire ». Tant, elle ne se voit, réserver, qu’une part, toujours, plus congrue. En dépit, des sacrifices, de plus en plus, lourds, et, de plus en plus, exigés, pour son insertion adulte. Les jeunes bénéficient de permissivité, mais, non, de vraie tolérance, leurs libertés sont, bien plus, illusoires, qu’effectives.
La pensée juvénile devient, de plus en plus, conceptuelle, le raisonnement, de plus en plus, logique et, abstrait. La volonté, d’intellectualisation, d’affirmation, d’idées, est grande, mais, cela, reste encore, fort, à nuancer, affiner. Élargir, relativiser, structurer mentalement, s’imposent et, font encore, défaut. Rigidités et, dogmatismes, absolutismes et, égocentrismes, perdurent, encore. L’adultisation, de la pensée jeune, exige encore, l’ordonnancement, la tempérance, du raisonnement. Cela, sera rendu, mieux possible, en appréhendant, l’ensemble, des tenants et aboutissants, ainsi, que des opinions, d’autrui. De façon, concomitante et, pleine et entière275.
Alors, le jeune saisira, pleinement, son holisme intellectuel, mental. Il sera ainsi, mieux, plus, en mesure, d’affûter, ses argumentaires, d’idées. Pour bien apprendre, le junior sera capable, d’intégrer, adéquatement, les bonnes informations, les meilleurs apprentissages. Il saura, les traiter, de façon idoine. Puis, il pourra, les utiliser, diffuser, sur le mode approprié. Le devoir, des adultes, est d’aider, tout jeune, à bien maîtriser, ces trois processus intellectuels, successifs, d’apprentissages. Bien apprendre, à apprendre, mieux, prendre conscience, des cheminements mentaux, intellectuels, pour le meilleur usage, des cognitions, métacognitions.
Non, les savoirs bruts, seuls, mais, surtout, la bonne exploitation, des données savantes, comme, des processus cérébraux, qui y mènent. L’apprentissage authentique est celui, qui fait intégrer, par le junior, les connexions logiques synaptiques. Entre les avancées, des élucubrations intellectuelles et, les performances liées, réalisées, par l’élève. Ce dernier, se devra, de comprendre, que son niveau scolaire, est très directement lié, à ses pensées, émotions, attitudes, actes, moyens, mis en branle, pour réussir. D’où, l’intérêt, d’œuvrer, positivement, sans relâche, pour « s’en sortir ».
L’adulte permettra, au jeune homme, de développer, une pensée critique originale, personnelle. La réflexion prendra ainsi, le pas, sur la simple mémorisation. Le surjeune, de dix-neuf à vingt-et-un-ans, s’investit, de plus en plus, dans la quête, de l’altérité et, en l’enracinement, affectif et amoureux. Le groupe, des amis, de même sexe et, des deux genres, le cède, désormais, en importance, au couple sentimental, avec un partenaire affectif, de sexe opposé. Homosexuel, pour une infime minorité, de jeunes. La pérennité, des liens, ainsi, noués, est supérieure, à celle, des amours, des âges antérieurs, du temps, des études secondaires.
Nonobstant, le groupe, d’amis, continue, à avoir beaucoup, de prix, aux yeux, du junior. Cela, lui permet, d’être soutenu, d’entretenir, des liens propices, également, à l’autonomie, la motivation, comme, la collaboration interactive. La relation, aux adultes, relève souvent, du devoir, de l’obligation. Alors, qu’entre jeunes, il s’agit, de choix et, plaisirs, librement, partagés, entre pairs néogénérationnels, égaux et complémentaires, qui se comprennent. En communion, de valeurs similaires, propres. Les plus grands, « dénominateurs » positifs, communs, plutôt, que les plus petits, très négatifs276.
Mises en commun, d’aptitudes, de buts, projets, responsabilités, rôles, très spécifiques. En socialisation juvénile, des plus enrichissantes. Nombre, d’étudiants, éprouvent, des difficultés, à bien, se motiver, au cours, de leurs études supérieures. Soit, qu’ils aient choisi, leurs études, par défaut, non, adhésion. Soit, qu’il s’agisse, d’études vocationnelles, mais, pour autant, arides, du fait, de la somme, de travail, qu’elles impliquent. À l’égard, desquelles, le jeune a du mal, à faire face. Ce qui le décourage. Peut le conduire, à l’abandon, pur et simple, de son cursus.
Soit, encore, que le junior, aime ses études, y travaille, durement, mais, avec un rendement décevant. Faute, de réelles aptitudes, méthode et, d’organisation adéquate, des tâches. La « motivation, des études », notamment, supérieures, repose beaucoup, sur l’appréhension, la compréhension, de la valeur ou, des finalités, de l’intérêt, des formations et, travaux induits. Faute, de sens, le jeune décroche. Il y a, donc, devoir pédagogique, explicatif, d’orientation, de soutien, d’encouragement, de la part, des adultes, enseignants et, autres, qui fait encore, trop souvent, défaut. Trop, de juniors, sont encore, « livrés, à eux-mêmes ».
La motivation juvénile vient, de la bonne appréhension, des implications, exigences, des acquisitions. Il s’agit, de fait, ni de sous estimer, de façon, trop optimiste ni, de surestimer, sur le mode défaitiste, le degré, de difficulté, des formations. Dans le premier cas, il y a, risque, de démobilisation, manque, d’effort et, d’échec. Dans le second, tendance, au découragement, donc, également, toutes chances, d’échouer. Le niveau, d’effort, requis, d’un cursus, sera, alors, évalué, avec réalisme, si le but impliqué, est bien perçu. De même, que les comportements, jalons, pratiques, moyens afférents, ce, dans le respect, des limites, de temps, imparties.
Cela implique, une méthode, de travail, optimale. L’adujeune, de vingt-deux – vingt-quatre ans, entre en phase, d’engagements, pleins et entiers, de nature adulte. Tout d’abord, à l’égard, de lui-même. Cela, consiste, à éprouver, sa valeur, par la conscience, la maîtrise, de soi, pragmatique et, plus distanciée. Par l’apprentissage, de la relativité. Le jeune connaît, fort bien, désormais, tous ses aptitudes, limites, acquis, mérites, le plein sens, donné, à sa vie. Cela passe, par les expérimentations diverses. L’identité est, de mieux en mieux, pleinement, définie, assumée277.
La réalisation, de soi, peut s’accomplir, harmonieusement, est en cours évolutif, satisfaisant. Choix, décisions ou, actions sont fondés, car les pensées, émotions et, comportements sont dominés, équilibrés. Les liens familiaux sont distanciés, mais, apaisés. La maturité affective et, sexuelle est accrue. Estime, confiance, affirmation, de soi, insertion sociale, collaboration et, intimité, sont renforcées. Le junior assume, tous ses choix moraux, personnels. Blocages, révoltes, mésententes sont révolus. L’engagement, envers autrui, s’accroît, par aptitudes, à mieux communiquer, échanger.
Lesquelles, tiennent, autant compte, des réalités, besoins, attentes, des autres, que de soi-même. Les vieux groupes juvéniles, fusionnels, sont désormais, caducs. Chaque jeune s’appréhende, comme, étant unique, spécifique et, ressent, ses pairs, comme, distincts, différents, de lui. Dans le respect, mutuel et réciproque, interactif et interpersonnel. Le junior devient capable, de s’exprimer, en toute liberté, authenticité, sans craindre, le jugement, le rejet, de ses semblables. En acceptation inconditionnelle, bilatérale, multipolaire, de type, pleinement, adulte. En distanciation, d’avec, son image, l’opinion, d’autrui.
Conscience morale, capacité, d’introspection, sont bien plus abouties. Les liens, à autrui, se fluidifient, car se connaissant mieux, lui-même, le jeune perçoit mieux, ses congénères juvéniles, mais, aussi, les adultes aînés. Il ne subit plus, sa destinée, mais, il la conduit, en libres choix, souverains et réfléchis. En conscience, libre-arbitre, ce qui ne peut être, le propre, de juniors, encore, observateurs. Le jeune adulte devient, totalement, acteur, partie prenante, de son devenir existentiel. Il se prend, en charge, ne laisse plus, ce soin, à d’autres, parents, compris.
L’accomplissement, de soi, juvénile passe, alors, par un vrai projet existentiel et, des entreprises, actives et dynamiques, pour bien, y parvenir. En effort, ténacité, motivation, buts, certitudes, confiance, volonté, action, résultats positifs. Le junior va, ainsi, se lancer, corps et âme, dans un parcours et, une visée concrets. En aptitudes et, « vertus », allant, croissantes. Le jeune est conforté, par la maîtrise, de l’ensemble, de son existence, ce qui le rassure, sur lui-même et, ses capacités. L’encourage, de plus en plus, de mieux en mieux, à persévérer et, progresser, en perfectionnements accrus. Par re/touches successives, vers la maturité278.
Il se sent, de plus en plus, capable, du meilleur, satisfait, de lui-même. L’idée, de dépassement, de soi, s’annonce, déjà. L’optimisme est de mise, avec la foi, en soi, ses capacités, autrui, la vie, son destin. Assurance, résolution, se consolident. Le junior, devenu adulte, est celui ou, celle, qui est, désormais, pleinement, « comptable, de son destin humain », pour la vie entière. L’adujeunesse est le plein temps, de l’affirmation, de soi, et, de ses préférences, des choix et, décisions, de l’autonomie, l’identité, fixée et assumée.
Ce, en tout domaine, totale capacité. La responsabilité et, les ouvertures, intellectuelles et morales, grandissent. Les capacités, de raisonnement, d’abstraction et, de réflexion synthétique globale, se consolident et, s’affinent. Créativité, inventivité, sont à leur « zénith ». Les projections, d’avenir, et, la culture, de valeurs propres et, librement choisies, se précisent. Le jeune en est, aussi, de plus en plus, capable.
Nonobstant, même diplômés, les juniors savent, que l’emploi, leur est, très largement, barré et, réservé, aux aînés adultes. L’âge, de début, de la pleine stabilité socioprofessionnelle, ne se situe, de nos jours, même plus, à vingt-cinq ans, mais, à trente ! Ce qui correspond, aussi, à l’âge moyen, de la mise en couple « durable » et, de la naissance, du tout premier enfant. Les adujeunes savent donc, qu’à tous points de vue, le monde, ne les attend, nullement, et, les « rejette ».
Qu’ils devront « attendre », de plus en plus, longtemps, travailler, de plus en plus, durement, pour obtenir, de moins en moins, de gratifications. D’où, la morosité, le marasme, qui caractérisent tant, une néogénération française, dont, personne, ne veut. Qui perçoit, qu’elle est, d’abord, un fardeau encombrant, dont, l’on s’ingéniera, à « se débarrasser », au mieux et, au plus vite. « Cachez donc, ces jeunes, que je ne saurais voir » ! (Duclos, Laporte, Ross, 1995)279.







































































Par un contexte, de société, civilisation, fort défavorable, la jeunesse se vit, de plus en plus, comme, le « nostalgique âge d’or, d’un paradis perdu ou, même, jamais, atteint ». En une propension humaine, sans cesse, croissante, à avilir, bien plus, qu’à ennoblir. Le temps est loin où, un François-Joseph Ier, de Habsbourg-Lorraine (1830-1916), pouvait, sans nul, coup férir, régner, comme, Empereur d’Autriche. Dès, ses dix-huit ans, en 1848.
Alors, que cette juvénilité, n’oublie pas, que sa réussite dépend, de son talent optimisé, son travail acharné, son avance maintenue ! En priorité, par excellence, en toute occurrence. Notre nouvelle génération est tels, ces enfants médiévaux, de conte légendaire. Voués, au pire, à cause, de la coupable incurie, impéritie, forfaiture, de leurs indignes aînés adultes. Ce qui les mènera, à leur tragique perte. (Der Rattenfänger von Hameln, L’Attrapeur de rats de Hamelin ou, Le Joueur de flûte de Hamelin, légende allemande, Saint-Empire, XIIIe s.).







































































– Sciences de l’Éducation d’AndroJunior –
Vos « Incisifs » Apprentissages
Vous, jeune d’aujourd’hui, attendez, des adultes, notamment, vos parents, enseignants, une présence, une autorité, assumées. De la fermeté, sans failles et, de la rigueur, affirmée. De la sécurité, continue, de la stabilité, assurée. Un encadrement, exigeant et, une guidance, sûre. Vous avez besoins, de libertés, d’autonomie, de latitude, d’initiative. De confiance, en vous-même, en vos aptitudes et, compétences, valeurs et, spécificités néogénérationnelles. Les « bons adultes » sont ceux, qui sont réalistes, lucides, pragmatiques et, sûrs, d’eux.







































































Les pères sont, pour les juniors, symboles, de la loi, de l’ordre, du pouvoir, des limites et, des obligations, de réussite, notamment, des études. Les mères représentent, la chaleur, du foyer, les « choses domestiques », la sphère affective. Le plein réconfort, le soutien, l’encouragement, l’intime, la tolérance, l’écoute et, la compréhension. Les jeunes souhaitent, que « chacun, reste, à sa juste place ». Les juniors, en tant, que tels, les adultes, comme, figures matures, accomplies. Selon, l’étymologie latine, l’adolescent, adolescens, n’est-il pas, celui ou, celle, qui est, en train, de grandir ? L’adulte, adultus, celui, qui, logiquement, a déjà, fini, de croître280 ?
Les jeunes demandent, à être aidés, guidés, poussés, motivés, par les adultes. Or, non, à ce que, l’on fasse, à leur place, pour eux. Ce qui les empêche fort, de bien, mûrir, d’apprendre, de connaître, comprendre, savoir et, savoir être et, faire. Mentorat, n’est jamais, « mise, sous cloche ». Les juniors veulent être associés, à la fixation, des règles, principes, qui régissent, leur vie, pour mieux, les appliquer, être responsabilisés. Ils réclament, patience, attention et, dialogue, liberté, de pensée, balises, pour ce faire.
Exigence, principes limpides, cohérents, considération, ordre, loyauté sincère, liberté, d’expérience, pour enseignements instructifs. Les juniors aspirent, à traiter, eux-mêmes, les choses matérielles, en exemplarité, des adultes. À savoir résister, aux pièges, du « consumérisme excessif », refuser, se prémunir, contre les dangers, abus, du monde exogène. L’autorité adulte, du passé, est bien morte. En décennie 2020, les adultes, parents, surtout, veulent éviter, tout conflit, toute opposition, avec, leurs jeunes.
Pour sauvegarder, le lien affectif. L’essentiel, devient les « bons temps », partagés. Non plus, l’inculcation, de règles, de vie, de valeurs ou, d’idéaux. Le danger, est qu’un « trop plein », de gratifications, automatiques, systématiques, si facilement, obtenues, empêche, les juniors, de s’affirmer, grandir, en s’opposant. Puisqu’il n’y a plus, d’oppositions. Il leur est juste, opposé, le vide, l’absence, le manque, de l’essentiel, consistant. Ce qui est terrifiant, non structurant, non maturatif. Les jeunes sont, les premiers perdants, de ce « contrat, de dupes », leur faisant croire, qu’ils n’ont toujours, que de seuls, droits et, jamais, des devoirs.
Il y a encore, quelques décennies, les juniors avaient hâte, de devenir adultes, autonomes, prendre, leur indépendance. Vivre, entre eux, loin, des adultes, de leur famille. Aujourd’hui, ils rechignent et, répugnent, à cela, car ils rejettent, les impératifs, efforts et, adulent, confort et, facilités. Envies, plaisirs et, désirs, s’émoussent, face, à la pléthore matérielle, en dépit, de la crise économique. Ne reste alors, plus, en rictus, hautement blasé, que la dédaigneuse moue, du caprice infantile. De qui, est bien trop, matériellement, gavé, pour apprécier, quoi, que ce soit, même, en mieux ou, plus.
En une dramatique vacuité, morale et ontologique ! Désastreux état, voulu, installé, par les adultes, eux-mêmes, trop gâtés et, issus, de la mouvance Soixante-huit ! Les jeunes hommes veulent profiter, de tout, mais, à la condition expresse, de n’offrir, aucune contrepartie, en échange. Or, la vie, ne fonctionne jamais, ainsi, ne peut, le faire. D’où, les très lourdes désillusions, de cette néogénération, quand, il lui faut bien, quitter, le foyer parental, entrer, dans la vie active. Elle ne s’y adapte pas, cela, lui occasionne, de fort dommageables déboires.
Face, au monde, du travail, à la loi, aux contraintes économiques, de la vie, de couple et, plus tard, de la parentalité. La jeunesse, des années 2020, souffre, d’un triple syndrome, d’excès : matériel, pédagogique et, affectif. Trop, de biens, de confort. Pas assez, de règles, comme, de discipline. Bien trop, de gratifications sentimentales, émotionnelles, d’attachement. Matérialismes, consumérismes, hédonismes forcenés, gangrènent, l’infortunée néogénération, de notre siècle, comme, jamais, auparavant. Même, dans les milieux, les moins favorisés. Car telle, est donc, la « scélérate loi suprême », médiatisée, à outrance. Si l’on veut exister, à ses propres yeux et, ceux, d’autrui281.
Sans effort ni, mérite particulier ou, en récompense, mais, de façon, inconditionnelle, même, non désirée ou, sollicitée. Par harcèlement, aussi. Les adultes cèdent alors, trop souvent et, facilement, par lassitude et, pour acheter, à bon compte, la « paix familiale » et, relationnelle domestique. Par bonne ou, mauvaise conscience et, par peurs, de perdre l’affection, de leurs jeunes ou, de s’attirer, de leur part, des rétorsions. Nous sommes passés, d’un excès éducatif, du refus, à un excès pédagogique, de l’acceptation. D’un abus, de non et, manque, de oui, à trop, de oui, pas assez, de non !
Cette véritable marée, de l’avoir, limite, considérablement, la créativité, de la jeunesse, son inventivité, son ingéniosité. Contrairement, à ce que l’on pourrait croire. De fait, recevoir, si facilement, tout, tout de suite, sans effort ni, même, véritable envie, ne fait, qu’ « endormir », l’intelligence, l’imaginaire. Bien plus, que cela, ne les stimule. Ainsi, le son, l’image, multimédia, les écrans, de toutes sortes, n’éveillent pas, autant, la profondeur, l’agilité, de l’esprit juvénile, que les sources intellectuelles écrites. Ils sont même, plutôt, des plus abrutissants, car causes, de surexcitations multisensorielles, souvent, par trop, excessives.
Ils participent, bien plus, en cela, télévision, Internet, compris, à la « crétinisation », formatée et forcenée, des masses, qu’à l’élévation morale. Celle, des individus, comme, des peuples, des nations. En délétère conditionnement, plus, qu’en libertés, libérations, des consciences. La « machine, à pléthore, décérébration » a, tout bonnement et, simplement, tué, tout rêve et, tout accomplissement, de soi, du junior ! Jadis, le jeune croulait, littéralement, sous l’excès, de règles, lois et, principes impératifs. Désormais, c’est l’inverse, il défaille, par total manque et, absence, ultranocifs, de structurations, normes, d’interdits, de limites.
Au lieu, de baliser, la jeunesse, d’en être, pleins guides, éveilleurs, exemples, modèles, les adultes suivistes, se contentent, d’observer. D’opiner, de « laisser faire, laisser passer », pour reprendre, le vieux principe, du libre-échange, économique et commercial. Ils sont spectateurs éducatifs, au lieu, d’être acteurs didactiques. Autorité, responsabilité, adultes, se muent ainsi, en « évanescence, évaporation », anti-jeunes. Il y a, défaut, de limites inculquées, du possible ou, non, du légitime ou, pas, de l’autorisé ou, non, du souhaitable ou, pas, du bien, du mal. En désastre éducatif282.
Le junior lacunaire est, alors, inconscient, de la règle normative. La personnalité juvénile est très incomplète, car la frustration, le manque, l’attente, l’effort, le report, le désappointement, l’insatisfaction, ne sont plus tolérés. Le contentement, en tout, doit être immédiat et, total. À défaut, il y a, effondrement ou, rage infantile, du caprice inassouvi. La responsabilité incombe, toujours, à autrui, jamais, à soi, par lâche, injuste, défaussement. En victimisation, passivité et, subissement, tout autant, erronés, factices ou, illusoires, que toxiques et, dangereux.
Il y a, replis, sur soi, égoïsme, égocentrisme, égotisme, quand, faute, de nettes et, strictes limites, le jeune se sent, non comblé. Anxieux, stressé, sous le primat, de ses noires émotions. Il exige, tempête, tonitrue, en rage et, rejet, d’autrui, narcissique, vaniteuse, manichéenne, obsession, de ses seuls, intérêts. Aux dépens, de tout, ce qui n’est pas, « soi ». La loi, ses limites, doivent être, fermement, posées, de façon, idoine, juste, cohérente, pertinente, appropriée. Respectées, par les adultes, eux-mêmes, en exemplarité, modèles, vrais référents, aînés. Puis, de façon, précise, claire, nette, sans ambiguïtés possibles, pour en fixer, sens et signification, au junior.
Démissions, abstentions, négligences, comme, interventions, contre-productives, des adultes, à l’égard, des jeunes, ne sont, qu’autant, d’attentats. Aux dépens, de nos cadets. Tout cela, conduit, la jeunesse, à la privation, de son autonomie, sa responsabilisation, ses capacités, à penser, adéquatement, par elle-même. Croyant, bien faire, voulant, trop bien, agir, les adultes, les parents, notamment, font mal. En vertu, de l’adage, selon, lequel : « Le mieux, est l’ennemi, du bien ». Ils pensent, éprouvent, font, à la place, du junior. Ce qui, ne lui rend pas, service, mais, l’enferre, en l’immaturité et, la dépendance, à vie.
Adultes, parents, ne peuvent pas être, les éternels et complets, « deus ex machina », des jeunes. À eux, de construire, leur vie, avec, certes, l’assistance adulte, mais, de surcroît, à leurs propres efforts, non, en suppléance totale ! « C’est, en forgeant, que l’on devient forgeron » ! (Adage, France, fin XVe s.). Empêcher ou, encore, ne pas – assez – favoriser, les fort indispensables, impératifs, apprentissages existentiels, de la jeunesse, par elle-même, la tue ! Car cela, revient, à la priver, d’adultisme accompli, parfois, même, à vie. Car ainsi, les juniors n’apprennent rien et, en perdent même, le goût, la force, la capacité et, l’envie283.
Ils s’étiolent, en une fort perverse et, malsaine immaturité, déresponsabilisée, incapacitante. L’abus, l’excès affectifs, sont les plus destructeurs, car ils nuisent, drastiquement, à l’équilibre sentimental, émotionnel et, des liens, du jeune. « Qui trop embrasse, mal étreint » ! (Adage, France, XIVe s.). De fait, une affectivité parentale débordante, à l’égard, du junior, étouffe, littéralement, ce dernier, avec un pernicieux effet, fort égal, au manque. Si le défaut affectif fragilise, l’excès écrase. Il est même, des parents, qui ne supportent pas, que le jeune soit, en rien, frustré.
Alors, ils devancent, ses moindres désirs, réels ou, supposés, le couvrent, de sollicitudes affectives, au grand dam, du junior. Qui n’en demande, pas tant, souffre alors, bien plus, de ce trop plein, qu’il ne s’en sent, positivement, gratifié. L’adulte peut aussi, ainsi, vouloir, au travers, de son enfant, combler, ses propres déficits affectifs, passés, de jeunesse. En tragique, vaine, illusion. Au détriment, de sa descendance. Également, pour « compenser, pallier », une mésentente conjugale, ce qui est, tout autant, nocif, pour le jeune, sans issue, pour les parents. Les pires dysfonctionnements conjugaux, ne sauraient nuire, aux pleines responsabilités parentales, aux désastreux dépens, des juniors.
L’école, aussi, n’est pas exempte, de dévoiements éducatifs, à l’encontre, des jeunes. Le goût, des études, y est, dans le secondaire, comme, dans le supérieur, de plus en plus, supplanté, par les sociabilités interjuvéniles. L’obsession, du paraître, physique, vestimentaire. Du faire, récréatif, consumériste, matérialiste, hédoniste, addictif, entre juniors. De l’avoir, ostentatoire, de « confort », des possessions, les plus prisées. Aux dépens, de l’être, personnel, humain, éducatif. Le pur, utilitarisme fonctionnel et, de l’emploi, des formations, diplômes, participe, de ce délitement éducatif scolaire.
Comme, nous l’avons déjà, vu, en matière, éducative familiale, sociétale, adulte, globalement. Comme, la famille et, la société, l’école se doit donc, d’édicter, des règles impératives, claires et fermes, de discipline, de tous. Qui s’appliquent, à tous, sont suivies, par tous : adultes et, jeunes. De même, que des valeurs morales, pédagogiques, non moins, incontournables, en l’intérêt, même, de tous, les acteurs éducatifs. La jeunesse se veut, se croit, fort « libre », mais, ne l’est, en réalité, nullement ! De fait, elle est constamment, soumise, aux influences et, pressions, de la société, qui impose, des critères, d’intégration284.
Des congénères juvéniles, qui fixent, les attitudes acceptées, acceptables, par le groupe, de pairs. Des parents, qui surveillent, le bon suivi, comme, la réussite, des études et, activités périscolaires, culturelles, sportives, l’obtention, des diplômes. Nous l’avons dit et, redit : notre époque sacralise, l’avoir, le faire, le paraître et, rejette, l’être, « parent pauvre », de ce siècle. D’où, la tyrannie, des marques, de la mode, des apparences, des canons, du look, à laquelle, les jeunes se sentent tenus, de souscrire. Sous la pression générale.
Les juniors veulent être, indépendants et adultes, pensent l’être, mais, ne maîtrisent encore, en rien, les conditions, de leur autonomie, matérielle et psychique. L’adultisme accompli, leur échappe encore, par défaut, d’apprentissages, d’expérience, idoines suffisants. Seul, le temps, y pourvoira. Il s’agit, d’être capable, de raisonner et, d’agir, de façon, souveraine et, progressivement. Cela, passe, par la maturité cognitive, émotionnelle et, comportementale et, par la distanciation-désidéalisation, à l’égard, des parents, des adultes. Peu à peu, le jeune comprend, que ses aînés, ne peuvent tout, pour lui. Il apprend, à ne compter, surtout, que sur, par, lui-même, ses capacités et, qualités propres.
Pour bien, mieux, faire face, aux « aléas, de la vie ». Alors, il commence, de plus en plus, lui-même, à dépasser, difficultés et obstacles, de façon, plus personnelle, libre, souveraine. Les juniors finissent donc, par assumer, leurs propres responsabilités individuelles. Ils savent, désormais, qu’ils sont comptables, d’eux-mêmes, de leur destinée spécifique et, non, autrui. Que tout, ici bas, se mérite, s’obtient, par l’effort, la ténacité et, l’abnégation. Non, par privilège, de qui, s’est contenté, de naître. Éduquer, n’est pas offrir, mais, éclairer, donner, les outils, aptes, à se battre, pour frayer, soi-même, son propre chemin.
Si l’exigence adulte est trop faible, le jeune végète et, se démobilise. Si elle est trop forte, il se décourage et, s’effondre ! Or, notre société, de performance, compétence, d’excellence maximales, à tout prix, parents, compris, exclut, de plus en plus, de jeunes. En détruit, un nombre croissant. Ces juniors développent, alors, un syndrome acquis, d’impuissance, d’indignité, de déchéance injuste, qui les enferme, dans le désespoir. Seuls, comptent, les résultats, non, les progrès et, efforts, ce qui fait, que les juniors, en viennent, à fort douter, d’eux-mêmes, comme, de leurs aptitudes propres285.
Ils deviennent négatifs, pessimistes, défaitistes, amers, ne tentent plus rien. En un délétère, cercle vicieux, puisque, leur échec induit, ne fait, que les conforter, en leur extrême marasme, négativisme, défavorables et, contre-productifs. La cohérence, la pertinence éducatives, sont capitales. Ni terrorisme ni, laxisme, mais, fermeté, juste et souple, de façon, continue, sans relâche. De l’enfance, à la jeunesse. Avec « permissions », interdits, limites. Sanctions et, récompenses, encouragements et, freins. En tous les cas, ce n’est jamais, la personne même, du jeune, qui sera punie ou, gratifiée.
Or, toujours, ses attitudes, comportements, actions ou, résultats. Trop, de règles ou, pas assez, nuisent. Un juste milieu, s’impose. La complaisance est gage, de malheur, frustration. Seule, la fermeté, garantit, aux jeunes, d’être heureux, comblés, matures, autonomes. Tout jeune, requiert, des adultes, parents, enseignants ou, autres, qui savent, où, ils vont, s’affirment, affichent, une pensée appropriée. Même, en opposition, aux tendances juvéniles. Cela, permet, aux juniors, d’avoir, la meilleure confiance, en eux-mêmes.
Faute, d’un monde extérieur, plus accueillant, nourricier, nombre, de jeunes, se replient, sur leur univers interne, virtuel, du son, de l’image, numériques. De façon, artificielle, superficielle. En isolement, exacerbations, des stress, mais, non, en sérénité ni, en réelle détente. Car les écrans vidéo, écouteurs audio, ne font, qu’exciter, survolter, sensoriellement. Ils n’apportent ni, paix ni, apaisement, du corps, du cœur, de l’âme, de l’esprit. L’adulte, quel, qu’il soit, n’est pas, le pair, alter ego, du junior, mais, son aîné, positionné, en un autre plan. La différenciation intergénérationnelle est capitale, pour aider, le jeune, à grandir.
Ce qui n’empêche pas, partages réciproques complémentaires et, compréhension mutuelle. Or, chacun, à sa juste place. Les jeunes respectent, d’autant plus, règles, contrats, qu’ils ont, eux-mêmes, participé, ès qualité, à leur élaboration. En une société, qui encourage, l’immaturité, l’irresponsabilité, la médiocrité et, la bêtise, notamment, de la jeunesse. En particulier, à des fins, purement, mercantiles, consuméristes, matérialistes et, financières ou, hédonistes. Aux adultes, à faire respecter, les engagements cocontractés. Ils doivent, d’abord, donner, eux-mêmes, l’exemple, du respect, de la parole donnée. Puis, veiller, à ce que leurs enfants, souscrivent, de même, à leur devoir286.
À sanctionner, fermement, mais, justement, en cas, de manquement. Le dernier mot revenant, toujours, aux aînés, « gardiens et garants, de l’ordre préétabli », en accord, de tous, juniors et, seniors. Ainsi, les jeunes apprennent, le plein respect, de la parole donnée, donc, engagée. Certaines choses, peuvent être négociables, à l’avance, mais, en les limites, du légitime, du raisonnable, de l’acceptable. En concessions et, confiance réciproques. La bonne école est juste, exigeante et, rigoureuse. Elle motive, pousse, les jeunes, à se dépasser, pour réussir et, s’épanouir. Elle fait sens, en guidance, apprentissages.
Elle encourage, à se sublimer, en émulation, effort, ténacité, ordre, méthode, autodiscipline. Les juniors, eux-mêmes, attendent, limites, interdits, règles. Respect mutuel, entre tous et, sécurité. En un contexte scolaire, où, violences, harcèlements, de toutes sortes, de plus en plus, graves, se multiplient. Du collège, aux débuts, des études supérieures. Il est capital, que les parents respectent, eux-mêmes, les autorités scolaires, les enseignants, de la façon, la plus scrupuleuse. Ainsi, que les légitimes sanctions, prises, contre leur progéniture. Sinon, le jeune aura l’impunité, de la complaisance, la plus abusive.
À défaut, comme, c’est, de plus en plus, souvent, le cas, l’ensemble, du système, en pâtit. Surtout, en réelle antipédagogie, le junior, justement sanctionné, par l’école, mais, abusivement, défendu, par ses parents, en tire, un fort désastreux sentiment, d’impunité. De toute puissance infantile et, de mauvais aloi. Il continuera, alors, ses provocations et, mauvaises conduites. Il restera confiné, en son immaturité, sa déviance, son échec.
La juste sanction scolaire se doit, donc, d’être toujours, acceptée et, par le jeune fautif et, par ses parents. En conscience, que tout écart, mérite châtiment et, pénitence et, que chacun est, moralement et légalement, tenu, d’accomplir, ses devoirs. Ni plus ni, moins, sous peine, de le « cher payer ». Qu’il ne sert, à rien, d’ergoter, de contester, se défausser, de façon illusoire, déloyale, mensongère, lâche, sans assumer, ses actes et, responsabilités. Nous avons, une jeunesse « déboussolée », faute, de transmissions adultes adéquates, « éclairantes » et, fermes.
Qui s’illusionne, totalement, fort convaincue, que l’existence est une grande fête, une gratification, un cont