AndroJeunoCoaching / AdoJeunoPratique 8


 

 


  

 

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Public XY  AdoJeunesse  AdoJeunoPratique 8  Résumé  Contact


 

 

En France, la plupart, des ouvrages, traitant, de votre adoJeunesse, de vos questions adojuvéniles, adojeunologiques, sont des monographies. Il importait, ici, d’opter, pour une vision transversale, pluridisciplinaire, holistique. Seul, moyen, de bien, appréhender, l’ensemble, de vos caractéristiques, d’adolescent et, de jeune, de treize – vingt-quatre ans. Principalement, en notre pays, la France, mais, aussi, plus globalement, en notre culturelle aire, de civilisation, européenne et, occidentale. Les jeunesses, de pays, en développement et, émergents, étant, quelque peu, de nature différente, malgré, des points communs. Méritant, une spécifique étude, à part entière.

 

– Coaching Jeune XY – Paris 16 –


 

 

Notre propos était, la nouvelle génération contemporaine, mais, avec quelques « aperçus », du passé historique. Pour bien, saisir, les successives évolutions, mieux, comprendre, encore, les juniors, d’aujourd’hui. La majorité, des écrits, évoquant, l’adojuvénilité, analysent, ce qu’est, cette dernière. Ou, décrivent, la façon, de lui venir, en aide, les concrètes solutions, à ses difficultés, attentes, réalités, besoins, spécifiques. Très rares, sont les manuels, abordant, de concert, ces deux aspects : du plus théorique et, abstrait, au plus pratique et, concret. « In vitro et, in vivo » !

 

Tel est, le parti pris, qui a été observé, ici. Raison, pour laquelle, nous avons établi, deux tomes doubles, d’un seul corpus. Le premier, approfondit, ce qu’est, l’(andro)adoJeunesse, l’essentiel, de ce qui la concerne. Adolescents, de treize, à dix-huit ans, jeunes, de dix-neuf, à vingt-quatre. Il convenait, aussi, d’étudier, les deux tranches, d’âge, non, l’une ou, l’autre, seulement, comme, il est, souvent, fait. De fait, la néogénération rassemble, ces deux groupes chronologiques, plus homogènes, que dissemblables.

 

Le second opus se consacre, quant à lui, à la meilleure façon, de « s’occuper », des juniors masculins, d’intervenir, auprès, de ceux, qui le requièrent. Pour résoudre, les androJuvéniles problématiques particulières, propres, à cet âge. L’on ne peut, de fait, être un « bon andro-adoJeunologue® », que si l’on maîtrise, d’une part, « la chose jeune ». De l’autre, les pleins arcanes, du développement personnel, de la réalisation, de soi, andro-adoJuvéniles, comme, aussi, andro-adoJeunologiques. Concernant, plus spécifiquement, les jeunes hommes.

 

La thèse, de ce double livre, introduction, à la réflexion de vie d’(Andro)AdoJeunoScience® et, à la relation d’aide, du coaching de vie d’Andro-AdoJeunoConseil®, est « claire et, nette ». Le grand malaise, de notre nouvelle génération française, n’est pas seulement, juvénile, mais, aussi, national ! Avant, d’être social, économique ou, psychique, il est culturel, éducatif, moral. Rares, sont ceux, qui l’admettent ! Naturellement, comme, partout, en Europe, en Occident, les jeunes, de France, connaissent, de durs aléas personnels et, d’insertion, socioéconomiques.

 

Comparativement, les adojuniors hexagonaux sont souvent, plutôt, moins bien, « placés », que mieux ou, pareillement. La France considérant plutôt, moins bien, sa jeunesse, que d’autres nations homologues, l’on peut dire, que le tourment, du junior hexagonal, est culturel. Il est aussi, éducatif, du fait, de transmissions inexistantes, insuffisantes ou, inadéquates. Il est surtout, moral, en un monde « désemparé, sans âme », particulièrement, toxique, pour des jeunes, surtout, en quête, de réalisation, de soi. Qui sont discriminés, par rapport, aux adultes, comme, aux autres juniors, en grandes disparités.

 

Nous avons donc, créé, en 2003, l’Andro-AdoJeunologie®, dans le droit-fil, de travaux, de recherche, sur les « thématiques adoJuvéniles et, androJuvéniles ». Postérieurs, au grade, de Docteur des Universités. En Sciences humaines et sociales. (Anthropologie, du développement psychosociologique adoJuvénile). En contexte professionnel, de préalables observations, « de terrain ». Avec le constat, selon lequel, les psychothérapies et, la sphère, de l’aide scolaire, ne répondent pas toujours, aux nécessités, vécus, aspirations, du jeune homme.

 

Appelant, un autre type, d’accompagnement. Qui n’est, ni soins ni, tutorat scolaire / de l’emploi. Or, « coaching / conseil de vie, en réalisation, de soi, et, développement personnel, andro-adoJeunologiques ». Pour les seuls, quinze – vingt-quatre ans masculins. Cette néogénération mâle exige, de fait, une spécifique approche. Eu égard, à sa nature, très particulière. La démarche pratiquée est cognitive, émotionnelle et, comportementale.

 

– Coaching Jeune XY – Paris 16 –


 

 

De fait, l’essentiel, de la personnalité, comme, du parcours humains, s’accomplissent, via, les cognitions, affects, attitudes, actes. Qui, apprend, à diriger, adéquatement, sa pensée, influe, positivement, sur ses sentiments, corrige, bénéfiquement, ses agissements. Ni sylphes ni, sylphides éthérés, les juniors sont, de pragmatiques êtres, concrets. Âge, par excellence, du lien, de l’échange, de la communication, tous azimuts. Il s’agit, donc, de bien, communiquer, avec eux, pour saisir, la problématique, en cause.

 

Proposer, les meilleures solutions, d’avancées. Aider, tout jeune homme, à les appliquer, de façon, idéale, pour progresser. Le coaching de vie d’Andro-AdoJeunoConseil® permet, de dépasser, des blocages, d’optimiser, ses potentiels, de mieux vivre. Il s’agit, d’une mission, d’accompagnement global, pour garçons  juniors. Laquelle, répond, à des impératifs, habituellement, peu ou, pas, satisfaits, en France. De la façon, concernant, les aspects, qui ont été exposés, au long, de cette étude.


 

 

REMERCIEMENTS


 

 

Nous tenons, avant, de prendre congé, de vous, lecteur, à exprimer, notre profonde gratitude. Aux nombreux et, excellents auteurs, qui ont enrichi, notre réflexion, pour la rédaction, de ce double ouvrage. Nous y avons exposé, notre pensée propre, objective, comme, subjective, en matière, d’éducation et, de jeunesse. Qui n’engage, naturellement, que nous-même. Le sujet abordé est immense, transversal, pluridisciplinaire, holiste, non, monographique. Première tentative, en France, d’unifier, de résumer, ce que nous appelons, réflexion de vie d’(Andro)AdoJeunoScience® et, coaching de vie d’Andro-AdoJeunoConseil®. Par un seul et, unique auteur, en un seul manuel, théoricien et, praticien.


 

 

Loin, de posséder, la « vaste omniscience », prêtée, à un Pic de La Mirandole, (Philosophe et, théologien humaniste, États italiens, 1463-1494), la rigueur intellectuelle exigeait, le meilleur, des connaissances actuelles. De prendre, pour cela, appui, sur les précieux apports et, éclairages, des meilleurs spécialistes. Ceux, des sujets et, matières, des sciences humaines et, du jeune. Ils auront été, en France et, à l’étranger, les pionniers, en leur spécifique domaine. Ce qui nous aura permis, de dépasser, disciplines, sujets, pour établir, une vaste « synthèse (andro)adoJeunologique, globale ». Grâce, soit rendue, à ces « grands experts », sans lesquels, notre personnelle vision originale, n’aurait pu, acquérir, pleins holisme, densité, profondeur ! Ils auront ouvert, la voie, à poursuivre, hardiment.

 

Nous voulons, tout autant, dire, notre incommensurable reconnaissance, à tous les adoJeunes, rencontrés, suivis, écoutés, entendus, depuis, vingt-cinq ans ! Ce sont eux, qui nous auront, tant appris. Sans eux, ce livre n’aurait vu, le jour. Ils en sont, la raison, d’être ! Leurs richesses psychosociologiques, qualités humaines, sont « saisissantes ». Cette génération, des treize – vingt-quatre ans, tant, méconnue, si injustement, traitée, sans cesse, nous confond, par son humanité.

 

Attachante, touchante, passionnante, magnifique, elle n’apparaît, que sous l’angle, le plus répulsif ! C’est, cette iniquité, d’image, qu’il convenait, de réparer. Notre « idée », de cette jeunesse, repose, sur sa directe observation, ses expressions, propos, conceptions. Ceux, sur leur classe d’âge, existence personnelle, collective, la société, le monde, la vie. Ce livre est, avant tout, nourri, de ces êtres, d’esprit, de chair et, sang, de notre travail, auprès, d’eux. Qu’ils en soient, remerciés, avec toute la chaleur, qui convient, pour leur si beau, témoignage, de vie !


 

 

POSTFACE


 

 

Aux jeunes, ne traçons pas un seul chemin

Ouvrons-leur toutes les routes


 

 

L. Lagrange

Homme politique, France, 1900-1940


 

 

En 2016, l’opposition frontale, massive, farouche, d’une large part, de votre jeunesse, de France, au projet, de réforme, du Code du Travail, est symptomatique. Tout comme celle, en 2018, des étudiants, à la réforme universitaire, en cours. Une fois, de plus, vos colères juvéniles illustrent, le profond désarroi, malaise, de votre génération, en déroute, abandonnée. Avec, en illustration, cinq cents morts, par an, par suicide, avant, vingt-cinq ans. Un tiers, des jeunes, se disant, souvent, stressés, au quotidien.

 

Plus, de la moitié, la majorité donc, des quinze – vingt-cinq ans, affirmant, avoir déjà, connu, des troubles psychiques anxieux, phobiques, dépressifs… La crainte première, de votre jeunesse, est, désormais, la précarité. Quand, l’incertitude, de simple subsistance élémentaire, est telle, vos idéaux, idéalisme, ascèse axiologique, paraissent, des plus introuvables, hors, d’atteinte, irréels. Moins, de deux jeunes français, sur dix, font donc, confiance, aux institutions politiques nationales. Ce qui est, des plus alarmants et, significatifs.

 

– Coaching Jeune XY – Paris 16 –


 

 

Le taux, de chômage, des quinze – vingt-quatre ans, est de 4 pour cent, en 1968, le quintuple, 19 pour cent, en 2019. Les jeunes, « ne veulent pas plus, que les autres, mais, pas moins, non plus. Juste, une place, à part entière, dans la société » ! (M. Fize, sociologue français, de la jeunesse, auteur de : Jeunesses à l’abandon, ouvrage sociologique, France, 2016). Ils sont, la classe d’âge, dont, le pouvoir d’achat, entre 1978 et, 2010, a le moins augmenté. (The Guardian, étude économique, du quotidien, d’information, britannique, Royaume-Uni, 2016). Cette jeunesse clame donc : « Nous valons mieux, que cela » ! Sept jeunes, sur dix, ont des difficultés, à se loger, en France. Un tiers, d’entre eux, demeurent, alors, chez leurs parents. La moitié, des étudiants, se soignent seuls, faute, d’argent.

(Quotidien national français, d’information, Direct Matin, 18 mars 2016, France, article sociologique, de presse écrite).

 

67 pour cent, des jeunes français, sont convaincus, de ne connaître, leur vie durant, que la crise. (Enquête sociologique, Génération quoi, France Télévisions, février 2015). Or, acceptés, respectés, les juniors progressent, évoluent. Croire, en leur capacité, d’action, de régénération, est gage, d’avenir. Il convient donc, de leur inculquer, la compréhension, du monde, la meilleure façon, de dominer, les aléas existentiels, un sens, de vie. Leur permettre, de réaliser, leurs aspirations personnelles, mieux vivre, avec soi, autrui. En mutation, de soi-même, pleine transcendance. Encourageons, la créativité, l’initiative, l’inventivité adojuvéniles, seconde nature, des jeunes. En forte espérance, non, « du meilleur, des mondes, mais, d’un monde meilleur ».

(E. Morin, sociologue, anthropologue, philosophe français, article sociophilosophique, France, publication Sens & Finances, avril 2015).

 

De fait, la créativité, de la jeunesse, est sans bornes. Ainsi, trois jeunes, de treize, quatorze ans, élèves, de la Isaac Newton Academy, à Essex, Royaume-Uni, ont-ils inventé, un préservatif remarquable. Il repère, certaines infections, sexuellement transmissibles, alerte, en changeant, de couleur. Par des molécules, intégrées, au latex, les bactéries infectieuses, sont détectées et, identifiées. Chaque maladie, est « reconnue », par une couleur spécifique. Ainsi, vert, pour la chlamydia, jaune, pour l’herpès, violet, pour le papillomavirus et, bleu, pour la syphilis. En optique, de prévention et, soins, rapides et pratiques. Les juniors ont remporté, le premier prix santé, des TeenTech Awards, concours, de promotion scientifique, auprès, des jeunes. Avec, la probabilité, à venir, d’un brevet et, d’une commercialisation !

(Article sociologique, du quotidien français, d’information, Direct Matin, du 25 juin 2015).

 

Pour autant, nombre, de juniors, sont souvent, confrontés, à de néfastes schémas, logiques, d’inadaptation, d’échec. Il s’agit, de modes habituels, cognitifs, émotionnels, comportementaux, négatifs, défaitistes, pessimistes inappropriés. À croyances, délétères erronées ou, exagérées, préjugés, généralement, non fondés. Ce sont, les syndromes, d’abandon, de méfiance, comme, d’abus, de carence affective, d’exclusion et, de dépendance. De vulnérabilité, d’imperfection, d’échec, d’assujettissement, d’exigences, trop élevées, de « toute puissance ». En ce cas, le jeune souffre, d’un sentiment, de délaissement, d’oubli, de solitude. Il se défie, de tous et, tout, en suspicion, doute, vigilance, il se sent, fort trahi, maltraité et, dupé.

 

Il pense être, mal aimé, incompris et, déprécié. Il se croit, rejeté, ostracisé, discriminé. Il se pense, sous influence, non, libre, contraint. Il se voit, fragile, précaire, menacé. Le junior se considère, déficient, lacunaire, médiocre. À ses yeux, il n’est, que défaite, revers et, déboire. Il est, dans le rôle, du perpétuel subordonné, conditionné, opprimé, car, toujours, dominé, soumis. Il est perfectionniste, trop idéaliste, pointilleux, car, trop revendicatif et, tyrannique. Il est convaincu, d’être invulnérable, omnipotent, prééminent, par complexe magique, de supériorité, d’infériorité, d’excès, de grands doutes ou, de certitudes. En état, perception, de stress, d’anxiété, émotivité, insécurité, de honte, culpabilité, d’indignité, de déchéance, tristesse, déprime…

(J. S. Klosko, J. E. Young, psychologue et, psychiatre américains, Je réinvente ma vie, livre, de développement personnel, États-Unis, Canada, 2003).

 

Dans le Livre de l’Exode, (Ancien Testament biblique, Moyen-Orient, VIIIe-IIIe s. av. J.-C.), les dix plaies d’Égypte, sont évoquées, comme, autant, de châtiments. Ces peines divines ont, pour objectif, de mener, le souverain Pharaon, à rendre, sa liberté, au peuple d’Israël. De même, dix fléaux, malédictions, calamités personnels, pèsent, sur la majeure partie, de l’adolescence et, la jeunesse, de notre siècle actuel.

 

1- Votre manque et, votre insuffisance d’éducation, de formation, de culture.

2- Vos lacunes affectives, de plénitude sentimentale, d’amour.

3- Votre vacuité, en matière spirituelle, d’élévation morale, éthique.

4- Votre défaut, d’idéal personnel, de code, hiérarchie, priorités, de valeurs et, d’enrichissement axiologique.

5- Votre absence, de sens, d’orientation fondamentale, donnés, à votre existence terrestre.

 

6- Votre inexistence, de repères, de règles de conduite, référents solides, de guidance ontologiques.

7- Votre incapacité, à définir, votre dessein cohérent, pertinent, significatif, de destinée ontogénique humaine, de vie.

8- Votre incomplétude, d’épanouissement, de réalisation de vous, de total développement individuel, en ataraxie, équanimité.

9- Votre difficulté, à établir, votre schéma relationnel, de bonne attitude, à tenir, à l’égard d’autrui, comme, de votre personne propre.

10- Votre inaptitude, au vrai « dépassement de vous », pour vous inscrire, en une dimension supérieure, de transcendance, « rédemption », d’ascèse, au-delà, de votre seule et, pure matérialité.

 

Un jeune, bien éduqué, formé, cultivé, s’insère mieux, en société, va, au-delà, de sa condition originelle, acquiert, meilleure densité humaine. Qui aime, est aimé, est affectivement, nourri, gratifié, en juste équilibre, est en mesure, de donner, se donner, en félicité. Le ressourcement, la foi, en adhésions, aux « choses, de l’esprit », sont toujours, d’un réconfort moral, indéniable. Entretenir, la flamme, d’universaux, de convictions intangibles, autorise, à penser, que le vécu, d’ici-bas, n’aura pas été vain. Impartir, une direction solide, sûre, à son parcours, de vie, permet, de s’accomplir, faire, œuvre utile, laisser, une trace probante, de son passage terrestre.

 

Se fixer, de vertueux principes conducteurs, au quotidien, permet, de ne pas faillir, de bien, accomplir, sa mission, d’homme droit, debout, en marche. Savoir, « où, l’on va », conduit, à « parvenir, à bonne destination », par d’adéquats objectifs, fixés, par soi-même, strictement, tenus. La joie, de vivre, en sérénité, limitation, des désirs et, craintes, égalité, d’âme, bonifie, l’être humain, « profitant » ainsi, aussi, à autrui. Être, en mesure, d’entretenir, des liens satisfaisants, avec les autres et, soi-même, savoir, comment, se comporter, en société, est vecteur, d’harmonie sociale. Développer, une intériorité mentale positive, de complet rayonnement, tant, endogène, qu’exogène. Cela, prémunit, contre, la désespérance et, ennoblit l’être, tout entier.

 

« Humilié, moqué, depuis, l’enfance, j’ai toujours, été, perdant. Lorsque, l’on m’abaisse, m’écrase, j’en souffre, or, je me sens, en paix, comme si, cela, devait être, ainsi. J’ai réalisé, qu’être vaincu, n’est pas chose, contre laquelle, je puisse, lutter. J’ai beau, essayer, de m’en défaire, tout, me ramène, à l’échec, la domination. Je crois, qu’il s’agit, de mon destin. J’ai deux facettes, de personnalité. La première, fort désireuse, de mener, une vie normale, en succès et, bonheur. La seconde, mon véritable moi, qui ne désire, que capituler, pour la débâcle ».

 

Cette terrible « confession », d’un garçon, de vingt-deux ans, que nous avons « aidé », à cheminer, plus paisiblement, est des plus instructives. Raison, pour laquelle, nous avons tenu, à la reproduire et, l’interpréter, ici. Ces propos sont dramatiquement, révélateurs, du désarroi axiologique, du grand tourment moral et, de la perdition psychique, de nombre, de nos jeunes. Beaucoup, sont « tiraillés », entre deux tendances, opposées, ce qui aboutit, à leur paralysie. D’une part, leur naturel allant adojuvénile, les mène, à l’espérance, au combat et, au désir, de plénitude. En positivité, optimisme, rage, de vaincre.

 

De l’autre, l’environnement, le contexte, de vie, actuels, hostiles, leurs failles intérieures, les incitent, à l’abattement, la renonciation, la certitude, du pire. En négativité, pessimisme, défaitisme. Cette contradiction, si insoluble, les mine, aboutit, au désastre, de bien, des vies entières, pendant et, après, le temps, de jeunesse. Le propre, de cette dernière, est la foi intangible, en l’avenir. Les aléas existentiels sont, quant à eux, généralement, moins prometteurs. Il s’agit donc, de concilier, ces deux réalités, souvent, antinomiques. En aidant, les jeunes, à cultiver, un pragmatisme, tout à la fois, réaliste et, idéaliste. En raison passionnée et, passion raisonnée. Telle est, la seule et, meilleure voie, de salut, en application, des principes ontologiques, énoncés, ci-dessous.

 

« […]. Là, où, il y a, de la haine, que je mette, l’amour. Là, où, il y a, l’offense, que je mette, le pardon. Là, où, il y a, la discorde, que je mette, l’union. Là, où, il y a, l’erreur, que je mette, la vérité. Là, où, il y a, le doute, que je mette, la foi. Là, où, il y a, le désespoir, que je mette, l’espérance. Là, où, il y a, les ténèbres, que je mette, la lumière. Là, où, il y a, la tristesse, que je mette, la joie. […]. Que je ne cherche, pas tant, à être consolé, qu’à consoler, à être compris, qu’à comprendre, à être aimé, qu’à aimer. Car, c’est, en donnant, que l’on reçoit, c’est, en s’oubliant, que l’on trouve, c’est, en pardonnant, que l’on est pardonné. […] ».

(Texte spirituel anonyme, publication, La Clochette, n° 12, France, décembre 1912, p. 285).

 

L’adojeunesse quitte, définitivement, son enfance et, œuvre, à entrer, en son adultisme. Ce qui ne peut, advenir, sans, certains « déchirements ». De façon, métaphorique, symbolique, le texte, ci-après, célèbre, succès musical planétaire, illustre, fort bien, le grand départ. Celui, d’une génération nouvelle, appelée, à « prendre, son envol », par, elle-même. Comme, le démontre, la praxéologie adojuvénile et, adojeunologique, de toujours, jusqu’à, la consomption, des siècles.

 

« […]. Où, es-tu, Mamy ? Je suis partie, un soir, d’été, Sans, dire, un mot, sans, t’embrasser, Sans, un regard, sur le passé, Le passé. Dès, que j’ai franchi, la frontière, Le vent soufflait, plus fort, qu’hier, Quand, j’étais, près, de toi, ma mère, Oh, ma mère. Et, aujourd’hui, je te reviens, Oui, j’ai refait, tout le chemin, Qui m’avait entraînée, si loin, Aussi loin. Tu n’es plus là, pour me sourire, Me réchauffer, me recueillir, Et, je n’ai plus, qu’à repartir, Repartir. La maison, a fermé ses yeux, Le chat et, les chiens sont très vieux, Et, ils viennent, me dire, adieu, Adieu. Je ne reviendrai, plus jamais, Dans ce village, que j’aimais, Où, tu reposes, à tout jamais, Désormais. […] ».

(Mamy Blue, texte musical, 1970, paroles et, musique, du parolier et, compositeur français, H. Giraud, 1920-2016, France, 1971).

 

Nous voudrions, évoquer, ici, trois jeunes figures emblématiques, « boucs émissaires et / ou, victimes », bien, malgré elles, des soubresauts, de notre Histoire. V. Noir, (France, 1848-1870), G. Princip, (Bosnie, 1894-1918), M. van der Lubbe, (Pays-Bas, 1909-1934). V. Noir est un journaliste politique, d’opposition, au Second Empire. (France, 1852-1870). En 1870, âgé, de vingt-et-un ans, il est abattu, par un membre, de la famille impériale, pour une querelle, de nature idéologique. Figure symbolique républicaine, de l’époque, sa mort est annonciatrice, de la fin, du régime, cette même année.

 

G. Princip, étudiant serbe, de Bosnie, assassine, à l’été 1914, l’archiduc d’Autriche, François-Ferdinand (1863-1914), héritier, du trône, de l’Empire austro-hongrois (1867-1918). Meurtre, prélude, à la Première Guerre mondiale (1914-1918). À l’époque, de l’attentat, le jeune nationaliste yougoslave, a dix-neuf ans. Il meurt, de tuberculose, ce, à vingt-trois ans, emprisonné, du fait, de ses déplorables conditions, de détention. Son objectif était, la libération, des Slaves, du Sud, de la tutelle austro-hongroise. M. van der Lubbe, idéaliste libertaire, âgé, de vingt-quatre ans, est l’incendiaire présumé, en 1933, du Reichstag, de Berlin. Il est exécuté, en 1934, au même âge, pour haute trahison. Cet incendie volontaire, sera, le point de départ, de l’instauration, pleine et entière, du totalitarisme nazi. (Allemagne, 1933-1945).

 

Ces trois jeunes, d’importance historique variable, ont, pour point commun, outre, leur idéal militant, d’avoir, plus ou, moins, été « manipulés ». Par leurs aînés, leur idéologie, seuls, vrais meneurs, quand, le jeune n’est, le plus souvent, que simple exécutant, « téléguidé ». Ainsi, Noir, est-il impliqué, bien, malgré lui, dans des affaires, de presse, qui le dépassent. Princip, est sous l’influence, des sociétés secrètes, Jeune Bosnie, (Bosnie-Herzégovine, 1911-1914) et, la Main Noire, (Serbie, 1911-1917).

 

Van der Lubbe est le membre, d’un groupuscule extrémiste néerlandais, LAO, Opposition ouvrière de gauche. (Pays-Bas, 1932-1934). Ces garçons ne sont, pas tant, morts, pour leur idéal, que, parce qu’ils se sont retrouvés, prisonniers, d’enjeux historiques, qui leur échappaient, très largement. Les adultes savent donc, fort bien, « utiliser », leurs cadets, à leurs propres fins, en leurs seuls, intérêts, non, ceux, de la jeunesse, elle-même. Laquelle, en fait donc, elle seule, le plus souvent, les frais, les plus dommageables.

 

W. Bagehot (1826-1877), est un journaliste politiste et, économiste britannique. En 1867, il publie, un livre, titré : The English Constitution, étude, de la Constitution britannique. Il y analyse, les pouvoirs, du souverain : « le droit, d’être informé, le droit, d’encourager, le droit, de mettre, en garde ». Cela, est parfaitement, transposable, du domaine, de la science politique, à celui, des sciences, de l’adojeunesse. De fait, tout jeune, a le droit, d’être informé, les adultes ayant, le devoir, de parfaitement, l’informer. Il a le droit, d’être encouragé, les aînés, ont le devoir, de l’encourager. Le junior a le droit, d’être mis, en garde, les adultes ayant, le devoir, de le mettre, en garde. Cela, signifie, que les adojeunes doivent, être éclairés, éduqués, conseillés, par les parents, enseignants, adultes responsables. Également, motivés, soutenus, incités, à aller, de l’avant. Prévenus, aussi, des aléas existentiels, avisés, des risques, protégés, d’eux-mêmes.

 

Notre jeunesse nationale, est française, européenne, occidentale. Elle est héritière, tributaire, du passé historique, de son pays, son continent, sa sphère culturelle. Concernant, la mère-patrie, l’Histoire de France, récente, « débute », avec la Gaule, du chef de guerre, Vercingétorix (80-46 av. J.-C.). L’influence romaine, celle, du christianisme, les conquêtes dites barbares. Ensuite, viennent, la monarchie mérovingienne, (Francie, Ve-VIIIe s.), du roi Clovis, (Francie, 466-511), celle, carolingienne, (Francie, VIIIe-Xe s.), de l’empereur Charlemagne, (Francie, 742-814). Le système féodal et, seigneurial (Xe-XIIIe s.). Le pouvoir, de la papauté, les croisades, (Europe, Moyen-Orient, 1095-1291), la foi médiévale, des cathédrales.

 

La lutte, entre Capétiens et, Plantagenêt, (1159-1259), les rois, saint Louis, (France, 1214-1270) et, Philippe le Bel, (France, 1268-1314) et, les Templiers. (France, 1129-1312). La guerre de Cent Ans (1337-1453). Ensuite, les Réformes, protestante et, catholique, (Europe, XVIe s.), les guerres civiles religieuses (XVIe s.), la Ligue (XVIe s.). Les cardinaux, chefs de gouvernement, Richelieu, (France, 1585-1642), Mazarin, (États italiens, France, 1602-1661), la Fronde, (France, 1648-1653) et, la monarchie absolue, (France, 1661-1715), du roi Louis XIV, (France, 1638-1715). Le Grand Siècle (XVIIe s.), les Lumières (XVIIIe s.), la fin, de l’Ancien Régime, royal et, chrétien, (France, 1589-1789).

 

Arrivent, la Révolution française, de 1789-1799, la Déclaration, des Droits de l’Homme et, du Citoyen, (France, 1789), la Ière République, (France, 1792-1804). La Terreur, (France, 1792-1794) et, Thermidor, (France, 1794). Le Directoire, (France, 1795-1799), le Consulat, (France, 1799-1804), le principat, (Premier Empire, France, 1804-1814/1815), de l’empereur, Napoléon Ier, (France, 1769-1821). Se succèdent, la monarchie parlementaire, (France, 1815-1830 / 1830-1848), la Révolution, de 1848, la Deuxième République, (France, 1848-1852), le Second Empire, (France, 1852-1870). La Troisième République, (France, 1870-1940), la colonisation (XIXe-XXe s.). La Grande Guerre (1914-1918) et, le Second Conflit mondial (1939-1945). La Quatrième République, (France, 1946-1958), les Trente Glorieuses, (Occident, 1945-1975) et, la décolonisation (1945-1962).

 

La Cinquième République, (France, dep., 1958), « Mai 1968 » et, la construction européenne (dep., 1945)… (M. Ferro, Histoire de France, essai historique, France, 2001). Depuis, deux millénaires, la jeunesse gauloise, franque, française, subit, accompagne, participe, aux tumultueux soubresauts, de son histoire. Elle « a fait, l’Histoire, même si, elle ne savait pas, l’Histoire, qu’elle faisait », pour paraphraser, le philosophe français, R. Aron (1905-1983). Surtout, comme, toutes les générations nouvelles, du monde, elle a « suivi ou, boudé, le mouvement », initié, par ses aînés. Plus, qu’elle ne l’a, anticipé, voulu, commandé, déclenché. « Mai 1968 » étant, l’exception, la plus éclatante, des « printemps adojuvéniles ».

 

En 1818, C. D. Friedrich, (Artiste peintre romantique, allemand, 1774-1840), produit, sa célèbre toile, Le Voyageur contemplant une mer de nuages. (Der Wanderer über dem Nebelmeer, Kunsthalle, de Hambourg). L’œuvre représente, un homme, vu, de dos, au sommet, d’un rocher, observant, un paysage, de brume, montagneux. Dans le brouillard, terre, ciel, horizon, sont mêlés. Il s’agit, d’une représentation picturale romantique, par excellence. Le personnage, fort possiblement, juvénile, figuré, peut être, le symbole introspectif, de la méditation kantienne, sur soi. Face, à un avenir, incertain, indéterminé. Tout particulièrement, pour la jeunesse.

 

Le garçon surplombe, le panorama, le vide, tout comme, les éléments tourmentés, le dominent, en sa vulnérabilité. Le tableau est une pleine métaphore, de la juvénilité, de son cheminement existentiel, précaire, aléatoire, chaotique. Comme, suspendu, dans le vide. Or, tout autant, enraciné, en l’absolu, tel, en les nuées, des cimes, entre l’espace et, l’univers, les réalités, d’ici-bas. En une sublimation, propre, à l’ambivalente néogénération, toujours, très partagée, entre attirance et, répulsion. Lui rappelant, sans cesse, la fulgurance, la vacuité, de son jeune âge, de la vie. Ainsi, est le junior, face, à sa personne, son existence, comme, « saisi, devant, une écrasante nature, grandiose ».

 

La jeunesse romantique européenne, du premier, dix-neuvième siècle, se désespère. En deuil, des gloires passées, de ses aînés. Confrontée, à un morne présent. Craignant, un avenir, sans issue. Elle adhère, aux passions, au sentiment, rejette, la raison. Elle cultive, la sensibilité, la mélancolie, l’esthétique, les valeurs morales. Elle se voue, à l’introspection, aux états d’âme. Elle aspire, au mystère et, au fantastique, au rêve et, à l’évasion, au morbide et, au macabre, à l’absolu, à l’exotisme. Comme, au passé, au romanesque et, au merveilleux, à l’imaginaire et, aux fantasmagories, aux utopies et, aux chimères ou, au poétique.

 

La nouvelle génération occidentale, des débuts, de notre siècle, se trouve, en une noire configuration, similaire. Figée, entre la flamboyance, de sa devancière, des Trente Glorieuses, (Occident, 1945-1975) et, un futur, inscrit, nulle part, introuvable. Elle se voit, comme, suspendue, en l’abîme, d’une « actualité inodore, incolore et, sans saveur ». En la position, du Narcisse, de la mythologie grecque antique. Qui tombe amoureux, de lui-même. Se désole, dépérit, puis, expire, de ne pouvoir et, pour cause, accéder, à lui-même. Ainsi, notre jeunesse se meurt, de ne pouvoir, se réaliser, en elle-même.

 

Les figures adojuvéniles peuvent, également, se révéler, héroïques. Ainsi, le jeune Antinoüs, (Bithynie, v. 110-130), favori, de l’empereur romain, Hadrien (76-138). Il meurt, noyé, à vingt ans. Il est alors, divinisé. Il est, l’une, des plus célèbres, figurations artistiques antiques. Antinoüs aurait fait, le sacrifice volontaire, de sa propre vie, en un objectif rituel. Déifié, son culte est le dernier, d’importance, à être institué, en l’Empire de Rome, avant, celui, du christianisme. Son nom est donné, à une constellation, qui deviendra, celle, de l’Aigle. Évoquons, aussi, Sébastien, saint martyr romain, du troisième siècle. Ardent chrétien, défenseur, de la foi, il soutient, activement, ses semblables, par le fait, de son état militaire. Il est exécuté, pour cette raison. Il est réputé, à l’origine, de guérisons miraculeuses, de son vivant, même. Il convertit, de nombreux païens. Depuis, le quinzième siècle, Sébastien est représenté, tel, un tout jeune homme, martyrisé.

 

La figure littéraire, du jeune et, de la jeunesse, est traditionnellement, tourmentée. Illustrant, ainsi, la séculaire prévention, frappant, fort iniquement, d’indignité, la juvénilité, tout entière. La condamnant, sans appel, par avance, principe. Quitte, à l’ « idéaliser », aussi, sur le mode, le plus paradoxal. Ainsi, l’Histoire de Gil Blas de Santillane. (Œuvre littéraire picaresque, d’A.-R. Lesage, romancier, auteur dramatique français, 1668-1747, France, 1715-1735). Gil Blas, adolescent espagnol, de dix-sept ans, part faire, ses études, à l’université de Salamanque. Or, à peine, en route, il est détourné, du droit chemin, par de vils bandits, de sac et, de corde. D’étudiant, il devient alors, voleur, domestique, se mêlant, aux pires, fripouilles, bas-fonds, de la société, de son temps.

 

Il se laisse, influencer, pour, le pire, sans, le meilleur. Voici, donc, un jeune homme, qui n’est pas mauvais, en soi, mais, qui, par faiblesse, indolence, facilité et, manque, de caractère, se laisse mener, par autrui, les circonstances, le hasard, en avilissement. Au lieu, de conduire, sa propre vie, par lui-même, selon, sa propre conscience, en s’élevant, par l’accomplissement, de soi, ennoblissant. Ainsi, nous est dépeinte, une juvénilité, de nature, prompte, à s’abîmer, dans le vice, plus, qu’à se réaliser, par l’ascèse. Gil Blas avait, la possibilité, de se former, par l’étude et, l’enrichissement intellectuel. Il préférera, les seules, gratifications matérielles, par la rapine et, l’extorsion. Avec, d’autant plus, d’allant, que le forfait, sera, plus grand et, fructueux. Entraîné, bien, malgré lui, au mal, il finit, par choisir, d’être malfaiteur, de gré et, par choix !

 

Don Juan, est une célèbre, épopée littéraire. (Royaume-Uni, 1819-1824). Son auteur est, Lord G. G. Byron. (Poète britannique, 1788-1824). Il y narre, par le menu, les pérégrinations, tribulations, d’un jeune espagnol, à la fin, du dix-huitième siècle. De l’Espagne, à l’Angleterre, via, la Grèce et, la Russie. Loin, d’être, un impénitent séducteur, le garçon est un naïf, victime, des femmes et, des circonstances. À seize ans, Don Juan se rend coupable, d’adultère et, doit partir, en Italie. Seul, survivant, du naufrage, de son navire, il échoue, en Grèce. Il vit, une histoire, d’amour, avec la jeune fille, qui l’a recueilli. Opposé, à cette relation, le père, de l’amoureuse, chef, de pirates, expédie, Juan, à Constantinople. Il y est, esclave, de l’épouse, du Sultan.

 

Il s’échappe, se fait soldat, se bat vaillamment, lors, d’un siège, de l’armée russe, à ses côtés. Il est chargé, d’annoncer, la victoire, à Catherine II. (Impératrice, de Russie, 1729-1796). Il en devient, le favori. Il tombe malade. Pour sa santé, la souveraine lui confie, une mission secrète, en Angleterre. Il y fréquente, la meilleure société, connaît, une bonne fortune amoureuse, avec une duchesse. Don Juan est donc, l’archétype, du bel Apollon, objet, des faveurs, de toutes les femmes. Il ne séduit pas, il succombe. Il est plus, le jouet, d’autrui, des aléas, qu’ordonnateur, de son propre destin. L’adojeunesse est temps, d’apprentissage et, de renforcement, de construction et, de mûrissement. L’on y est, plus mené, que l’on ne conduit. Le plein devenir adulte, est à ce prix ! Ce qui ne doit, jamais, dispenser, de choix, de décision, d’action, déterminés et persévérants, ce que ne fait pas, assez, Juan.

 

René, est une œuvre littéraire romantique, (France, 1802), de F.-R. de Chateaubriand. (Écrivain, homme politique français, 1768-1848). En la première moitié, du dix-neuvième siècle, après, la fin, de l’épopée napoléonienne, (France, 1804-1815), la jeunesse souffre, de ce qui sera, qualifié, de « mal du siècle ». Les idéaux, de grandeur, évanouis, sous la Restauration, (France, 1815-1830) et, la Monarchie de Juillet, (France, 1830-1848), les jeunes « tombent, en langueur ». Ils s’ennuient, s’étiolent, dépriment, en une sorte, de « spleen baudelairien », avant, l’heure. Le jeune René souffre, de la distance abyssale, qui sépare, les ardentes aspirations, folles passions, de son âme juvénile, d’une part. Des pauvres, dérisoires, contingentes potentialités, que lui permet, le monde réel, de l’autre. Telle, une mèche humide, refusant, de s’allumer. Malheureux, René est en quête, de lui-même, en vain. Torturé, sans répit, il songe, à mourir.

 

Très proche, de sa sœur, il a la douleur, de la voir trépasser. Il part, en Amérique. Le jeune homme sera tué, sans avoir, trouvé la paix. René illustre fort, le mal-être, des juniors, de son temps, comme, du nôtre. Solitaire, un lourd sentiment, de vacuité, de manque, lui pèse, sans, qu’il n’en trouve, la source ni, la nature. Il croit, que le voyage, l’aidera, or, en vain. De façon, illusoire, il ne fait, ainsi, que se fuir, lui-même, ainsi, que l’objet, de ses tourments. Même, le seul être, aimé, sa sœur, lui est ravie, par la mort. La vie lui pèse, en véritable, « nausée sartrienne ». En la très « morne, grisaille morale », d’une quête, d’absolu, sans répit, contrariée, par les limites, du genre humain. René se lamente, ainsi :

 

« Il me manquait quelque chose, pour remplir l’abîme de mon existence ».

 

Ainsi, va, l’adojeunesse, si frustrée, d’hier, d’aujourd’hui et, de demain, en ses rêves, toujours, plus, hors, de portée et, continûment, déçus. Moins, d’idéaux, cela, rend-il, plus heureux ? Telle est, toute la question !

 

Novembre, est une nouvelle littéraire, œuvre, de jeunesse, (France, 1842, publication, 1910), de G. Flaubert. (Écrivain français, 1821-1880). Laquelle, débute, ainsi :

 

« J’aime l’automne, cette saison triste, va bien, aux souvenirs. Quand, les arbres, n’ont plus, de feuilles, quand, le ciel, conserve, encore, au crépuscule, la teinte rousse, qui dore, l’herbe fanée. Il est doux, de regarder, tout, ce qui, naguère, encore, brûlait, en vous ».

 

Le jeune auteur, de vingt ans, fait, d’abord, évoquer, au narrateur, ses années adolescentes, de collège. Il rencontre, une fille, de petite vertu, pour laquelle, il éprouve, des sentiments. Relation « impossible » et, vouée, par essence, à l’échec. Ce récit dépeint, toute la juvénile mélancolie, véritable, « bonheur, d’être triste », selon, une formulation hugolienne. Syndrome assommant, toute une génération romantique, comme, le démontre, à merveille, la narration.

 

« Le cœur, de l’homme, n’est-il pas, une énorme solitude, où, nul, ne pénètre ? Les passions, qui y viennent, sont, comme, les voyageurs, dans le désert, du Sahara, elles y meurent, étouffées, leurs cris, ne sont point, entendus, au-delà ».

 

« Quelquefois, n’en pouvant plus, dévoré, de passions, sans bornes, plein, de la lave ardente, qui coulait, de mon âme, aimant, d’un amour furieux, des choses, sans nom, regrettant, des rêves magnifiques, […], je tombais, anéanti, dans un abîme, de douleurs ».

 

Cette fiction autobiographique, du marasme, des vertes années, se clôt, tragiquement, entérinant, alors, tout son échec.

 

« Enfin, au mois, de décembre dernier, il mourut, mais, lentement, petit à petit, par la seule, force, de la pensée, sans, qu’aucun organe, fût malade, comme, on meurt, de tristesse ».

 

Les Cahiers d’André Walter, est une œuvre littéraire, (France, 1891), d’A. Gide, (Écrivain français, 1869-1951). Il s’agit, du journal imaginaire, d’un jeune homme, l’auteur étant, lui-même, en la juvénilité. Le jeune André aime, sa cousine, laquelle, l’ignore, superbement, en épouse, un autre. Avant, de mourir, la mère, du garçon, l’incite, à la résignation. La jeune fille, secrètement, adulée, est ravie, à ce monde, à son tour. Ce qui ne fait, qu’aviver, encore, plus, la folle passion, de son cousin, de façon, ravageuse. En véritable, « névrose obsessionnelle ». Ce qui finit, par le tuer.

 

Ainsi, la mort, sera au bout, du chemin, des principaux protagonistes, du récit. André sublime, son impossible amour, par l’ascétisme, le plus extrême. Que retenir, de cet écrit, de jeunesse ? Que, pour s’accomplir, la juvénilité a besoin, de cultiver, ses passions. Que, pour grandir, vers la pleine maturité, nécessaire, elle requiert, tout autant, de pratiquer, la vertu, de renoncement. Qui, seule, permet, l’élévation, de soi. Cela, consiste, en un abandon, volontaire et, volontariste, pour un idéal, estimé, plus élevé. L’on choisit, décide, agit, volontairement, en une optique, de ne plus vouloir, une réalité, ne plus rien, tenter, pour y parvenir, en détachement.

 

Seule voie de sagesse, réalisme. Car, l’homme, ne peut, tout, avoir, tout, faire, tout, paraître et, même, tout, être. Sa nature, est la limite et, la finitude. Quiconque, en prend conscience, le comprend et, l’accepte, est plus heureux. Le vrai bonheur, n’est pas, dans le contentement, mais, dans le lâcher-prise ! Plaisirs, désirs et, envies, ne sauraient, qu’être limités, en l’intérêt, même, des humains. Ainsi, la pensée épicurienne :

 

« Celui, qui ne sait pas, se contenter, de peu, ne sera jamais, content, de rien ».

 

Le principe épictétien, du stoïcisme :

 

« Il n’y a, qu’une route, vers, le bonheur, c’est, de renoncer, aux choses, qui ne dépendent pas, de notre volonté ».

 

Pour autant, le renoncement, va de pair, avec l’engagement. Ainsi, tout jeune, aura, une existence apaisée, équilibrée, réussie.

 

« Quiconque, veut venir, après moi, qu’il renonce, à soi-même et, qu’il charge, sa croix et, me suive. Car, quiconque, voudra, sauver, son âme, la perdra ; mais, quiconque, perdra, son âme, pour l’amour, de moi, et, de l’Évangile, celui-là, la sauvera ».

(Marc, évangéliste, Évangile, Nouveau Testament, VIII, 34-35, La Bible, Moyen-Orient, Ier s.).

 

Que chaque junior, sache, accéder, à « l’éveil, de sa conscience supérieure ». Afin, qu’il se recentre, sur l’essentiel, délaissant, à jamais, tout, le reste. Qu’il détermine, ses principes, de vie, majeurs. Ceux, qui le guideront, sa vie, durant.

 

« Si, tu peux, voir, détruit, l’ouvrage, de ta vie, Et, sans, dire, un seul mot, te mettre, à rebâtir, Ou, perdre, en un seul coup, le gain, de cent parties, Sans, un geste et, sans, un soupir ; […], Si, tu peux, être fort, sans, cesser, d’être tendre, Et, te sentant, haï, sans, haïr, à ton tour, Pourtant, lutter, te défendre ; Si, tu peux, supporter, d’entendre, tes paroles, Travesties, par des gueux, pour exciter, des sots, Et, d’entendre, mentir, sur toi, leurs bouches folles, Sans, mentir, toi-même, d’un mot ; Si, tu peux, rester digne, en étant, populaire, […],

 

Et, si, tu peux, aimer, tous tes amis, en frère, Sans, qu’aucun, d’eux, soit tout, pour toi ; Si, tu sais, méditer, observer et, connaître, Sans, jamais, devenir, sceptique ou, destructeur, Rêver, mais, sans, laisser, ton rêve, être, ton maître, Penser, sans, n’être, qu’un penseur ; Si, tu peux, être dur, sans, jamais, être, en rage, Si, tu peux, être brave et, jamais, imprudent, Si, tu sais, être bon, si, tu sais, être sage, Sans, être, moral ni, pédant ; Si, tu peux, rencontrer, Triomphe, après, Défaite, Et, recevoir, ces deux menteurs, d’un même front, Si, tu peux, conserver, ton courage et, ta tête, Quand, tous les autres, les perdront, Alors, […], Tu seras, un homme, mon fils ».

(Si, poème, de R. Kipling, écrivain britannique, 1865-1936, Royaume-Uni, 1895, publication, 1910).

 

Ce célèbre texte demeure, plus, que jamais, aujourd’hui, encore, un enseignement, une leçon, de vie, indépassables, pour notre jeunesse contemporaine. Le paradigme fondamental, en est, la maîtrise, de soi, à l’image, des philosophies morales, stoïcienne, épicurienne. L’objectif, en est, la quête, du bonheur, par l’ataraxie, la paix, de l’âme, et, l’équanimité, l’égalité, d’âme. Le jeune a, particulièrement, besoin, de solides principes, intangibles, car, universels, intemporels. En un monde, de plus en plus, difficile, incertain et, perturbé, notamment, pour lui. D’autant plus, qu’en tant, que cadet, subordonné, il est fort délaissé, défavorisé et, soumis, par ses aînés, dominants.

 

« Selon, que vous serez, puissant ou, misérable, Les jugements, de cour, vous rendront, blanc ou, noir ».

(Les Animaux malades de la peste, fable, de J. de La Fontaine, poète français, 1621-1695, Fables, deuxième recueil, première fable, du livre VII, France, 1678).

 

« La raison, du plus fort, est toujours, la meilleure ».

(Le Loup et l’Agneau, fable, de J. de La Fontaine, Fables, premier recueil, dixième fable, du livre I, France, 1668).

 

Marginalisée et, inféodée, la nouvelle génération souffre, aussi, de devoir, vivre, en univers, société, de plus en plus, pervers, malsains, sordides, immoraux, amoraux. Au sein, desquels, tout humanisme, toute droiture ou, exemplarité, semblent, caducs. Avec, des adultes toxiques, au lieu, d’être modèles. Raison, pour laquelle, la règle axiologique, s’impose, tant !

 

Au même titre, que l’Histoire, la plus grande, littérature universelle, de tous, les temps, révèle, l’importance, l’apport, la spécificité, des plus jeunes. Avec, de juvéniles personnages, certes, fictifs, mais, non, dénués, pour autant, du plein panache, de la jeunesse. Ainsi, L’Iliade, (Épopée, de la Grèce antique, IXe-VIIIe s. av. J.-C.), du poète grec, Homère (IXe-VIIIe s. av. J.-C.). Avec, pour jeune héros, le chef de guerre, Achille. La guerre de Troie, si légendaire conflit, mythologique, de l’Antiquité grecque, y est relatée. Les Achéens grecs l’emportent, sur les Troyens, grâce, à une victoire, d’Achille, tuant, le chef troyen, Hector, en combat singulier, pour venger Patrocle.

 

Dès, l’adolescence, Achille se destine, à une brève existence, ardente, plutôt, qu’interminable et, terne. Il mourra, donc, jeune. Il est déifié, par ses compatriotes. Beau, brave, fier et, droit, il personnifie, les valeurs supérieures, les plus nobles. L’Odyssée (VIIIe s. av. J.-C.), est également, un récit épique fort, de l’Antiquité grecque, attribué, à Homère. Y est narré, le retour, du mythique roi, Ulysse, après, la Guerre de Troie. Son jeune fils, Télémaque, part, à sa recherche, puis, l’aidera, à vaincre, ses ennemis. Télémaque est l’archétype même, du jeune héros loyal, tout empli, de filiale piété, familiale. Qui contribue, à farouchement, défendre, l’honneur paternel, la sûreté, de sa famille.

 

Le Songe d’une nuit d’été, est une comédie théâtrale, (Angleterre, 1595/1600), du dramaturge anglais, W. Shakespeare (1564-1616). L’histoire est celle, de deux jeunes couples. L’action se situe, en un univers fantasmagorique, mythologique, magique. En contexte estival nocturne, d’amours déçues, contrariées, de fête, de mystère onirique, d’ivresse collective. Toutes, les folies, les quêtes éperdues, les aspirations, désirs, envies et, plaisirs, propres, au temps, de jeunesse, s’y donnent, libre cours. Tout cela, rappelle, qu’il ne saurait, nullement, être reproché, aux cadets, leur « naturelle propension », hédoniste, amoureuse.

 

Car, cela, participe, de leur saine construction. Or, cela, introduit, également, le fait, qu’en contrepartie, à la maturité, le temps, des frivolités, est et, doit, être, définitivement, clos. Sous peine, de lourdes déchéances. Une juvénilité austère, peut être profitable. En revanche, un adultisme « dissipé » est, toujours, puni, du salaire, de la ruine morale. Même, à l’ère, de jeunesse, il s’agit, d’enseigner, aux juniors, que le « stoïcisme » constitue, une meilleure discipline, de vie, que l’ « épicurisme », aujourd’hui, autant, qu’hier et, comme, demain. Car, telle est, l’intangible loi, de l’accomplissement humain.

 

Les Frères Karamazov, est un roman littéraire, (Russie, 1879-1880), de l’écrivain russe, F. Dostoïevski (1821-1881). Les trois jeunes héros, de l’œuvre, Dimitri, Ivan, Alexeï, sont membres, d’une fratrie. Chacun, symbolise, un « modèle axiologique », donné. Le premier, est un garçon emporté, débauché, prodigue, sans cesse, tiraillé, entre, vertu et, vice. Le deuxième, est un hédoniste intellectuel, sans limites, libertaire, athée, solitaire et, tourmenté. Le dernier, cultive, des valeurs spirituelles, a été novice, en un monastère, au sein, d’un ordre religieux régulier. Ces jeunes, dans la vingtaine, incarnent, tous les questionnements métaphysiques, humains.

 

L’idéal, du Bien, tout comme, la tentation, du Mal. Le scepticisme, le matérialisme, l’athéisme. Le meurtre symbolique, du père. La foi, l’expiation, la transcendance, la rédemption, la force morale, les valeurs, la responsabilité, la liberté, en conscience, la morale… Tous certitudes, doutes, interrogations, préoccupations, d’une jeunesse, éprise, de réalisation, de soi, quelle, qu’en soit, la voie. Ainsi, l’aîné, des jeunes, choisit-il, le matérialisme athée, le plus prosaïque. Le puîné, est un idéaliste idéologue, indifférentiste religieux. Le cadet, est un croyant résolu, pour qui, l’axiologie spirituelle, constitue, le dépassement suprême, l’ultime ascèse.

 

Les Fleurs du mal, sont un grand recueil de poèmes, (France, 1857), du poète français, C. Baudelaire (1821-1867). Spleen et Idéal, y rassemble, des textes, liés, à la souffrance, du genre humain. Le dégoût, l’ennui, la tristesse et, le mal existentiel, constituent, la morne mélancolie, d’un désespoir, qualifié, de spleen. Avec la nostalgie, l’angoisse, du temps, qui passe, la mort inéluctable, qui s’ensuit. Transcendance, rédemption ou, ataraxie, semblent toujours, plus, un idéal, inaccessible. Par cette notion, de spleen, en son œuvre correspondante, l’auteur dépeint, les doutes, troubles, tourments, de la jeunesse, de son temps.

 

Ce qui caractérise, tout autant, ceux, des jeunes, d’aujourd’hui, un siècle et demi, plus tard. Cette asthénie morale, se nourrit, de solitude, d’ennui, de culpabilité, d’impuissance. Accablement, vacuité, esprit mortifère, en constituent, le funeste, funèbre cortège. Au milieu, du dix-neuvième siècle, comme, au début, du vingt-et-unième, sous le Second Empire, (France, 1852-1870), comme, la Cinquième République, (France, dep., 1958). À toute époque, juvénilité, n’implique pas, en soi, bonheur, sans faille, or, trop souvent, troubles, de l’âme, du fait, des maints obstacles, incertitudes, fragilités, inhérents, à la jeunesse.

 

Une saison en enfer, est un beau recueil, de poèmes, (Belgique, France, 1873), du poète français, A. Rimbaud (1854-1891). Il s’agit, d’un long, intense cri, de colère, de révolte, de rejet, des choses admises. En une conception existentielle, libertaire, protestataire, réfractaire. Le jeune auteur a alors, dix-neuf ans. La jeunesse, partout, depuis, toujours, « par nature », se situe, en une logique cognitive, émotionnelle, comportementale, de contestation. Tout comme, le jeune poète. Bien plus, que d’acceptation, pure et simple, de l’ordre établi, adulte. Tel, l’enfant, de trois ans, le jeune a besoin, de « s’opposer, pour se poser ».

 

Ainsi, il ne grandit pas, en se contentant, d’hériter, de ses aînés, mais, en « imprimant, sa propre marque ». De gré ou, de force. L’on ne devient pas, adulte, en « reproduisant », or, en innovant. Non, en « quémandant », mais, en s’imposant. Ce qui explique, les innombrables jacqueries, séditions, émeutes juvéniles, dans l’Histoire et, de par, le monde. Illustrant, le fait, que les adultes, au pouvoir, parvenus-détenteurs, n’associent jamais, les jeunes, prétendants-demandeurs, à leurs prébendes. Ni volontiers, ni volontairement, ni par, eux-mêmes. Comme, la fort pitoyable, situation, des juniors actuels, tout particulièrement, français, le démontre, de façon, si arbitraire, inique et, désastreuse.

 

L’Éducation sentimentale – Histoire d’un jeune homme, (France, 1869), est un roman littéraire, de l’écrivain français, G. Flaubert (1821-1880). Le jeune Frédéric Moreau, en est, le héros. Il s’agit, d’un provincial, de dix-huit ans, venu, étudier, à Paris. Il vit, sous la Monarchie de Juillet, (France, 1830-1848), la Deuxième République, (France, 1848-1852), puis, le Second Empire, (France, 1852-1870). En pleine époque romantique et, cet état d’esprit, le jeune homme « rêve, sa vie, bien plus, qu’il ne vit, ses rêves ». Entre ennui, déboires amoureux, amitiés trahies et, études, sans nul relief, luttes étudiantes, révolution de 1848, métiers quelconques.

 

L’histoire est représentative, de celle, de la majorité, des jeunes, du passé, comme, du présent. D’immenses espérances, à l’orée, de la jeunesse, au sortir, des études secondaires. Lors, des études supérieures et, débuts, de la vie professionnelle. Puis, à la mesure, de l’écoulement, du temps, les désillusions croissantes, des temps adultes. Le Frédéric, de Flaubert, a dix-huit ans, au début, du roman, quarante-cinq, à la fin. Seule, la jeunesse, même, assombrie, est temps, d’espoirs. La maturité, plus prosaïque, ne peut donc, être, pour beaucoup, que l’amer cimetière, des élans brisés, pour… toujours !

 

Les Grandes Espérances, (Royaume-Uni, 1860-1861), est un roman d’apprentissage, de l’écrivain britannique, C. Dickens (1812-1870). Il relate, le parcours, d’un jeune orphelin, jusqu’à, l’âge adulte, Philip Pirrip, dit, Pip, en la première moitié, du dix-neuvième siècle. En contexte initial, de marasme social, dans la province anglaise. Nanti, d’un héritage inespéré, il gagne alors, la capitale, Londres. Il y mène, une nouvelle vie, privilégiée. Philip est en butte, aux mensonges, trahisons, superficialités, artifices. Submergé, de dettes, il revient, à sa condition et, modestie, d’origine. Illusionné, par les fausses promesses, de son récent statut social, favorisé, déjà, révolu, il découvre, les bienfaits supérieurs, des vraies valeurs morales.

 

Il retourne alors, à sa province natale, aux authentiques vertus, loin, des mirages, de la réussite sociale urbaine. L’exclusion, l’espoir, les qualités, de cœur, la duperie, des futilités sociales, matérielles, l’impossibilité, du bonheur, qui en découle. Telles sont, les principales thématiques, révélées, par la vie, du jeune Pip. Lequel, comprend, enfin, que sa conscience morale, est son plus sûr, viatique existentiel. En véritable, rédemption axiologique. Avec l’amour. Ce roman est grande leçon, de vie, pour la jeunesse. Comme, en l’Angleterre victorienne, la néogénération actuelle, doit se garder, des fallacieux pièges, de l’avoir, du paraître, du faire. Seul, l’être, permettant, l’atteinte, de la félicité, véritable, en plénitude, la plus achevée. À défaut, seuls, prévalent, frustrations, marasmes et, tourments !

 

« […]. De nos jours, le recul, de la foi, la libération, de la femme et, le progrès scientifique, réunis, conduisent, à une liberté, des mœurs. À une négation, des valeurs morales, traditionnelles, qui font, disparaître, toute entrave, sans rien, mettre, à la place. […]. Il est clair que, pour ceux, qui se donnent, la peine, de penser, aussi, pour une grande partie, de la jeunesse, le matérialisme, de la société, d’abondance, ne satisfait pas, les aspirations, de l’homme. Ne donne pas, un sens, suffisant, à la vie ».

(G. Pompidou, homme d’État, France, 1911-1974, Lettres, notes et, portraits / 1928-1974, écrits politiques, France, 2012).

 

« Mai-68 » aura été, en l’Histoire, française et, mondiale, le seul et, unique exemple, de cette ampleur, de révolte, d’importance, d’une seule, classe d’âge. De la seule, jeunesse, des moins, de trente et, surtout, vingt-cinq ans. Lycéens, étudiants, jeunes actifs. Pour la première fois, la nouvelle génération, se constitue, en cohorte spécifique, à identité collective, particulière. Elle fait, de façon, inédite, prévaloir, sa pleine originalité, personnelle et, commune. Cognitive, émotionnelle et, comportementale. Sociale, économique, culturelle, idéologique, intellectuelle, morale…

 

Or, il lui reste et, lui appartient, encore, de « conquérir », l’essentiel : son élévation, affranchissement, accomplissement axiologiques, spirituels, comme, ontologiques. Il s’agit, de l’acmé, la plus exigeante et, difficile, mais, la plus transcendante. Le restant, même, toujours, nécessaire, important, n’est, que « secondaire » ! Se préoccupant fort, à juste titre, de leurs moyens, de subsistance vitale, que les jeunes, n’oublient pas, de se réaliser, en authentique humanisme, désintéressé. Car, c’est, en cela, que l’Homme marque, sa destinée, ontogénique unique, incomparable, supérieure. Au sein, du vivant et, de la création, en son ensemble.

 

Redisons-le, au sein, de la juvénilité, les filles ont, certes, leurs difficultés, de santé physique, psychique, propres. Toutefois, l’instabilité, la vulnérabilité, les négligences, des garçons, les fragilisent, encore plus, face, à une responsabilité féminine, supérieure. Les jeunes mâles, de moindre maturité, que l’autre sexe, sont d’autant plus, menacés, en difficulté, qu’ils sont, de plus en plus, privés, de « référents » solides. De structuration, d’exemplarité, d’identification, masculines adultes, notamment, paternelles.

 

Divorcés ou, non, hommes et, pères ont disparu, déserté, leur mission, auprès, de leurs fils, pour la plupart. De plus en plus, les jeunes hommes ne sont confrontés, qu’à des femmes adultes, les divers milieux, interlocuteurs, intervenants, qu’ils fréquentent, s’étant féminisés. Cela, ne les aide guère, à bien grandir, à tous points, de vue. Raison, pour laquelle, le coaching de vie d’Andro-AdoJeunologie® répond, tout particulièrement, aux réalités, besoins et, attentes, de guidance, des jeunes hommes. De la façon, la plus précise, claire et, complète.

 

Quand, l’on traite, des questions, d’adojeunesse, l’on ne peut, se contenter, de n’évoquer, que les juniors, eux-mêmes et, leurs problèmes spécifiques. Cela, est inopérant, car, ils n’existent pas, seuls, par, pour, eux-mêmes. Pour bien, comprendre, le « phénomène jeune », il s’agit, de prendre en compte, la société, tout entière, en son ensemble, en laquelle, vivent, les juniors. D’autant plus, que le monde est, d’abord, « fait » avec, par et, pour, les seuls, adultes.

 

Telle est, la démarche andro-adoJeunologique, « sciences et, coaching / conseil de vie, de l’andro-adoJeunesse ». S’agissant, de passer, de l’infernal triptyque : peurs, paralysie, plainte, à la bénéfique trilogie : paix, progrès, plénitude. De surcroît, un « signe », très significatif et, symptomatique, ne trompe pas. Bien souvent, en fin, de suivi, d’Andro-AdoJeunoConseil®, le junior, plus serein, donc, plus rayonnant, rencontre un-e partenaire affectif-ve. Ayant, dépassé, ses problèmes, il est plus, en phase, avec lui-même, donc, avec autrui.

 

Réconcilié, avec lui-même, s’aimant mieux, en meilleure réussite, de vie, il s’entend mieux, avec les autres, en est plus apprécié, devient, plus attractif. En équilibre, entre matérialité et, spiritualité. Corporalité : fait, d’être, de ce monde, physiquement et, corporéité : fait, de l’être, en esprit. Un jeune, de dix-sept ans, se plaint, que ses amis ou, soi-disant, tels, refusent, de faire, des sorties, avec lui, sous prétexte, que sa vêture, leur déplaisent. L’on voit, alors, quelles sont, les fausses valeurs, inculquées, par la société adulte, à la juvénilité, qui la dupent, l’intoxiquent, tant ! L’adojeunesse est, assurément, touchante, attachante, authentique, car, « naturelle, de simplicité ». Ainsi, ce junior, affirmant, garder, un excellent souvenir, de ses années lycée. Notamment, de temps libre, entre les cours, lui permettant, de « combler », ses appétits adolescents, par de menus grignotages. Toute gratification compte, à l’adolescence !

 

La vie, du jeune, est toute « ambivalente », à l’image, de sa personnalité, en construction. Commediante, tragediante, tragi-comique, tour à tour, comédie et, tragédie, comédie tragique, tragédie comique. Le junior « rit, d’un rien, pleure, d’une peccadille », tout ou, rien prend, à ses yeux, une importance démesurée ou, aucune. Tant, l’incertitude, de l’âge, n’est, qu’apories. En une société adulte, bien plus, dépressive, qu’euphorique, qui insuffle donc, à la jeunesse, plus, d’abattement, que d’allégresse. Ainsi, quand, un aîné, accorde intérêt, respect, considération sincères, à un ou, des jeunes, ces derniers en sont, comme, saisis.

 

Tant, les juniors, de France, ont la triste habitude, que les adultes, les ignorent, les méprisent, les rejettent, voire, haïssent. Y compris, sinistre invraisemblance, ceux-là même, dont, la mission, est de les servir ! Alors, que l’harmonie sociale, implique, l’alliance intergénérationnelle, en bonne intelligence. Ainsi, de même, le Panthéon, de Paris, est-il fort représentatif, de la symbiose, entre le temporel et, le spirituel. Ex-église Sainte-Geneviève, le monument est devenu, lieu d’inhumation, des grands personnages, de l’Histoire, de France. Pour autant, depuis, un siècle et demi, son dôme demeure, surmonté, du symbole, très hautement et, éminemment spirituel, qu’est, la croix, du Christ.

 

Trop souvent, encore, en notre pays, l’adolescent est qualifié, d’enfant, non, seulement, en langage juridique, au sens, de mineur. Or, enfant, vient, du latin, infans, « celui ou, celle, qui ne parle pas ». Ce qui, symboliquement, est très révélateur, de la place, des plus réduites, des adolescents, en la société française. Puisque, leur parole, est réputée, impossible, elle leur est refusée, elle est éludée, niée, dépréciée. Participant, en cela, du grand ostracisme, de l’éviction, la discrimination, de l’adojeunesse, du champ social national. Or, cette néogénération, désire, prendre, sa pleine part, à la « marche, de sa nation », elle souhaite, être fière, de son pays.

 

Elle répugne, à voir qualifier, ses compatriotes, de « maudits français », au Canada francophone ! Elle a fort, « soif et faim », de nourritures morales, spirituelles, tout autant, qu’alimentaires et, matérielles. Même si, elle est – aussi – économiquement et, socialement, à la peine. Ainsi, en France, les jeunes, constituent-ils, 22 pour cent, de la population active, mais, 40 pour cent, des chômeurs, en 2017 ! (Étude Insee, France, 2017). Parmi, les juniors, titulaires, d’un doctorat, il y a, six enfants, de cadres, pour un seul, enfant, d’ouvriers. Chez les jeunes, non diplômés, il y a, cinq enfants, d’ouvriers, pour un seul, enfant, de cadres.

(Étude, Éducation Nationale, France, 2017).

 

La jeunesse, de France, ne cesse, depuis, des siècles, d’avoir, motifs, à fâcheries. Ainsi, en 2018, dernier avatar, en date, la lutte, des étudiants, contre, la réforme universitaire. En 2016, le mouvement, dit, Nuit Debout. Déjà, leurs lointains, prédécesseurs médiévaux, parisiens, sont constamment, en grève, du treizième, au quinzième siècle. Notamment, en 1453, la Sorbonne est en cessation, des cours, suite, à la mort, d’un étudiant, tué, par les sergents, du Châtelet, R. de Mauregard. Cela, continue, au cours, des siècles ultérieurs, notamment, aux dix-neuvième et, vingtième !

 

La force, de la juvénilité, est son anticonformisme et, son rejet, des codes, en vigueur. Ainsi, lors, de la bataille, dite, d’Hernani, (France, 1830), la nouvelle génération, de l’époque, défend-t-elle, la pièce de théâtre, de son auteur, V. Hugo. (France, 1802-1885). En faveur, du romantisme, à l’encontre, des « canons », du classicisme théâtral. Défendus, par ses aînés, caciques, tenants, des vieilles conventions, passées. La jeunesse est, également, pleine, d’audace, de panache. À l’image, de ce garçon, de quinze ans, E.-V. Ogier. Qui n’a pas hésité à, fort crânement, présenter, sa candidature, à l’Académie française, en 2016 !

 

La juvénilité est aussi, temps, de souffrance, même, en ses rangs, les plus favorisés. Même, à l’école Polytechnique, en chaque promotion, il y a, au moins, un suicide, d’élève. Il y a, un réel malaise, chez les jeunes, de ce pays, en tous milieux sociaux. Il est vrai, que :

 

« L’homme, est un apprenti, la douleur, est son maître, Et, nul, ne se connaît, tant, qu’il n’a pas, souffert ».

(A. de Musset, poète et, dramaturge français, 1810-1857, La Nuit d’octobre, poème, France, 1837).

 

Or, à l’encontre, de toute conception existentielle doloriste, il est hautement, anormal, que tant, de juniors, peinent, autant, prématurément ! La jeunesse est, aussi, vectrice, de grande créativité. En 2016, un adolescent canadien, de quinze ans, W. Gadoury, affirme avoir, peut-être, découvert, par l’observation stellaire, une hypothétique, cité maya. Celle-ci, serait inconnue, située, dans la péninsule, du Yucatan, au Mexique. D’où, l’intérêt, de bien, former, les juniors. Car : « Éduquer, n’est pas, emplir, des vases, mais, allumer, des feux », selon, une célèbre citation, attribuée, à plusieurs auteurs. Or, comme, sous, l’Ancien Régime, (France, 1589-1789), à tous points, de vue, nos adojeunes pâtissent, d’un système, de « droit d’aînesse ». Plus, que jamais, d’actualité, favorisant fort, les adultes, aux pires dépens, de leurs cadets, désespérément, marris, mais, toujours, des plus impuissants.

 

Le marasme, le tourment, l’effroi adojuvéniles, d’aujourd’hui, pourraient être, visuellement, fort symbolisés, par une œuvre picturale. Celle, du peintre expressionniste norvégien, E. Munch (1863-1944), Le Cri. (Version picturale expressionniste, Norvège, 1893). Cette toile représente, l’humain contemporain, submergé, par la « terreur existentielle ». Tel, le personnage terrifié, du tableau, nos jeunes, doivent, faire face, à des aléas, de vie, de plus en plus, difficiles, en tous aspects. Ce qui contribue, à leur perturbation, cognitive, émotionnelle, comportementale, en tous les domaines, de leur vie.

 

En une privation, de l’essentiel. Manque, de transmissions adéquates, absence, de « savoir-vivre », défaut, de principes, de vie, les plus élémentaires… Ce qui est, des plus désastreux et, perd, cette malheureuse génération, en totale déréliction, déshérence morale. Les adultes ou, soi-disant tels, en sont, les premiers, seuls, responsables, tous, autant, qu’ils sont. En leurs coupables, incurie, impéritie, inertie, éducatives. Une jeunesse dépourvue, de tout ferment, d’élévation morale, spirituelle, des valeurs, en conscience, ne peut, s’accomplir, en plénitude. Elle est « tristement, condamnée, à errer, telle, une âme, en peine ».

 

Une société décadente, n’a aucun, projet pertinent, à proposer, à sa descendance. Il ne reste plus, alors, à cette dernière, que les pires, vacuités, les plus délétères, purement, hédonistes, matérialistes, consuméristes. Ayant déjà, eux-mêmes, été « victimes », de ce fort détestable syndrome, d’abandonnisme moral, les ascendants le « reproduisent », à leur tour, auprès, de leurs enfants. Lesquels, en feront, de même, avec leur progéniture, ultérieure. En infernale et, désespérante, « duplication » mortifère et, sans fin ! Ce qui aboutit, à une génération déchue, perdue, avilie et, « gavée », du superflu, mais, iniquement, privée, de l’essentiel, à l’affectivité délabrée.

 

Même, entre jeunes, prévalent, rivalités, jalousies, envies, déloyautés, bien plus, que solidarités, coopérations et, gentillesses. Alors, les frustrations l’emportent. Au mieux, il y a, contentement, satiété, emplissage, mais, certes, pas, réalisation, de soi, félicité, force mentale. Il ne reste plus, alors, qu’à espérer, qu’une cohorte juvénile sinistrée, comme, jamais, en notre histoire, pourra se relever, de ses cendres et, renaître. Plus belle, plus forte, plus grande. De la même façon, que l’écrivain français, É. Zola (1840-1902), appelle, très puissamment, de ses vœux, le redressement, de sa nation-phœnix. Après, son tragique effondrement, de 1870.

 

« […]. C’était, bien, pourtant, la fin, de tout, un acharnement, du destin, un amas, de désastres, tels, que jamais, nation, n’en avait subi, d’aussi grands. Les continuelles défaites, les provinces perdues et, les milliards, à payer, la plus effroyable, des guerres civiles, noyée, sous le sang. Des décombres, des morts, à pleins quartiers, plus d’argent, plus d’honneur, tout un monde, à reconstruire ! […].

 

Pourtant, par delà, la fournaise, hurlante encore, la vivace espérance renaissait, au fond, du grand ciel calme, d’une limpidité souveraine. C’était, le rajeunissement certain, de l’éternelle nature, de l’éternelle humanité, le renouveau promis, à qui, espère et, travaille. L’arbre, qui jette, une nouvelle tige puissante, quand, on en a coupé, la branche pourrie, dont, la sève, empoisonnée, jaunissait, les feuilles. […] ».

(É. Zola, écrivain français, 1840-1902, La Débâcle, roman littéraire et, historique, France, 1892).

 

Une nouvelle génération, transcendée, en une communauté nationale, régénérée. Laquelle, ne se contente plus, d’une pauvre croissance économique, de 0,4 pour cent. Quand, sa voisine britannique, atteint, les 3 pour cent, soit, plus, de six fois, plus ! (France, Royaume-Uni, 2014). Ce qui permettrait, bien plus, de prospérité, pour tous, jeunesse, comprise.

 

Le Pensionnat de Chavagnes, est une émission, de téléréalité, française, diffusée, en 2004, sur M6. Vingt-quatre adolescents, de treize, à seize ans, sont enfermés, en un internat, très strict. En les mêmes dures conditions, que leurs devanciers, des années 1950. Pour obtenir, le certificat d’études primaires, de leurs ancêtres. Avec, d’authentiques enseignants. Ils devront subir, la très rude discipline, le travail et, la rigueur, l’obéissance, les corvées et, punitions. En réalité, quatorze élèves, sur vingt-quatre, obtiendront, le précieux parchemin, soit, la majorité. Cette expérience télévisuelle, est intéressante, instructive. Elle démontre, les facultés, d’adaptation, d’émulation, de dépassement, de soi, de nombre, de jeunes.

 

La plupart, ayant été, fort aptes, à observer, la « devise », du pensionnat : « Discipline stricte, travail acharné, triomphent, de toutes, les difficultés ». Le « cas », du jeune, Romain, quinze ans, est particulièrement, révélateur. Il sera recalé, mais, il s’avérera, que ce collégien, en lourd échec, l’était surtout, par manque, d’aide adéquate, d’encouragement et, de foi, des adultes, en lui. Repéré, accompagné, épaulé, par son enseignante, de français, il saura, donner, le meilleur, de lui-même, progresser. Comme, c’est toujours, le cas, quand, un adolescent, de bonne volonté, est guidé, comme, il se doit. Cette véritable, « leçon, de vie », sera résumée, par le surveillant général, du pensionnat, l’excellent, B. Navaron. À l’occasion, d’une sortie récréative et, pédagogique nocturne, des élèves.

 

« […]. Regarder, le ciel, regarder, les étoiles, c’est, réfléchir, au temps, qui passe, c’est, donc, prendre, conscience, que la vie, est courte. […]. Lorsque, vous serez proche, de la vieillesse, voire, de la mort, vous direz : hier, j’avais, quinze ans, vingt ans, j’en ai, soixante-dix, aujourd’hui, et, je n’ai rien vu ! […]. C’est, en de tels, moments, que l’on peut réfléchir, à sa vie, à ce que l’on a, envie, de faire, plus tard. […]. Que l’on peut prendre, une décision, définitive et décisive, dans le cours, de son existence. Chacun, voit, son étoile, où, il le désire… […]. Cela, sera, pour vous, l’occasion, d’une sorte, de recueillement, de prise, de conscience, de soi ! […] ».

 

Extraordinaire métaphysique, pour une jeunesse-météore, si éphémère ! Ainsi, va, la jeunesse, tout à la fois, une, en sa néogénérationnelle spécificité, et, multiple, en ses diverses composantes et, particularismes, si différents. Du jeune héros, emblématique, au junior criminel, repoussoir. Du jeune anonyme, ordinaire, au junior célèbre, médiatisé. Du jeune « harceleur », au junior victime… Ainsi, E. Dantès, jeune marin, de dix-neuf ans, est-il, le jouet, d’une machination, par pure jalousie.

 

Alors, qu’il est promis, au plus bel avenir, il sera emprisonné, à tort, sous la Restauration, (France, 1815-1830), ce, quatorze longues années, durant. Il fera preuve, de grand courage et, de tenace résolution, pour s’en sortir. (A. Dumas, écrivain français, 1802-1870, Le Comte de Monte-Cristo, roman littéraire, France, 1844-1846). D’Artagnan est un jeune mousquetaire, de dix-huit ans, au service, du roi, de France (1610-1643), Louis XIII (1601-1643). Il fait montre, sans relâche ni, défaillance, des plus grandes bravoure, vaillance et, loyauté, envers, son souverain.

 

N’hésitant pas, à affronter, avec tous, ses compagnons d’armes, le terrible, Premier ministre, du royaume (1624-1642), Richelieu, (France, 1585-1642) et, ses agents. (A. Dumas, Les Trois Mousquetaires, roman historique, France, 1844). Mordaunt est le jeune fils, de Milady de Winter, jeune criminel meurtrier, à l’image, de sa très indigne mère. Souhaitant, venger, celle-ci, il commettra, les pires forfaits. Ayant, croisé, le fer, il périra, par l’épée. À l’époque, de la Fronde, en France (1648-1653) et, de la fin, du règne (1625-1649), du roi, Charles Ier (1600-1649), en Angleterre. (A. Dumas, Vingt ans après, roman historique, France, 1845).

 

Trois jeunes personnages, de fiction littéraire, que tout, oppose, mais, qui représentent, des profils adojuvéniles, caractéristiques, marqués. En vérité, au même titre, que, chez leurs aînés. Dantès est un jeune, victime, de la vindicte, d’autrui. D’Artagnan est un jeune héros romantique, avant l’heure. Quant à, Mordaunt, il s’agit, d’un jeune scélérat, de la pire espèce. Tous trois, auront, le destin, qu’ils méritent et, auront, contribué, à réaliser !


 

 

Youthonomics, est un cercle, de réflexion, français, de défense, des intérêts, de la jeunesse. Il établit, en 2015, le classement, des pays, où, il « fait, bon vivre, pour les jeunes ». La France est cinquante-deuxième, sur soixante-quatre pays, dont, vingt-sept, en Europe, en matière, de croissance. Concernant, les nations, pro-jeunes, la Norvège est première, la Suisse, deuxième, le Danemark, troisième, la Suède, quatrième. Les Pays-Bas sont cinquièmes, l’Australie est sixième, l’Allemagne, septième, les États-Unis sont treizièmes, le Royaume-Uni est seizième. La France est dix-neuvième. En matière, de « bien-être », des jeunes, la Norvège est première, le Luxembourg, deuxième, l’Allemagne, troisième. La Suisse est quatrième et, la Finlande, cinquième. Quant à l’emploi, des jeunes, la Suisse est première, l’Allemagne, deuxième, la Norvège, troisième, la France est quarante-deuxième !

(etudiant.lefigaro.fr, France, 14 octobre 2015).


 

À l’échelle mondiale, les jeunes deviennent, plus pauvres et, les retraités, bien plus riches. Les inégalités générationnelles, sont croissantes. Les critères, du classement, sont l’emploi, l’éducation, la santé et, le niveau de vie, l’épanouissement et, les perspectives, d’avenir. Les jeunes français y sont, des plus perdants ! Notamment, concernant, les retraites, les juniors paient plus, pour les seniors, que l’inverse. Les cadets ne sont aidés, par leurs aînés, que dans le seul, contexte familial, ce qui creuse, encore plus, les inégalités sociales, d’origine. Les jeunes sont, les « nouveaux pauvres », en l’absence, d’aides publiques, véritables et, efficaces. Les « pays, d’avenir », sont ceux, qui privilégient, leur jeunesse, quand, les autres, se mettent, en péril. Conclusion : la jeunesse, de France, fort désavantagée, chez elle, a tout intérêt personnel, à « découvrir, du pays » !

(F. Lauzier, journaliste française, Top 20, des pays, où, il fait, bon vivre, pour les jeunes : la France, avant-dernière. Article sociologique, de presse, publication Internet, etudiant.lefigaro.fr, France, 14 octobre 2015).

 

Au-delà, de la masse, des jeunes « ordinaires », certains, d’entre eux, présentent, des vertus propres. Ils font, alors, figures, d’exemplarité, pour les autres juniors. Ainsi, L. de Gonzague (1568-1591), est un citoyen, de la République de Venise. Étudiant jésuite, il meurt, se dévouant, au service, des pestiférés, de Rome, contaminé, à son tour, âgé, de vingt-trois ans. Canonisé, par le Saint-Siège, il est le saint patron, de la jeunesse. D. Savio (1842-1857) est issu, du Royaume de Sardaigne. Il fonde, un groupe, de jeunes, à dessein, d’édification, de sanctification, de ses membres.

 

Il lui est prêté, des « visions prophétiques ». Il meurt, de tuberculose, à l’âge, de quatorze ans. Canonisé, par le Saint-Siège, il est, tout comme, L. de Gonzague, le saint patron, des jeunes. J. Fesch, (France, 1930-1957), est un jeune, ayant commis, un meurtre, en 1954, à l’âge, de vingt-trois ans. Il descend, de l’oncle maternel, de l’empereur des Français, Napoléon Ier, (France, 1769-1821), le cardinal Fesch (France, 1763-1839). Emprisonné, il se repent, re/découvre, la spiritualité chrétienne, se convertit et, devient mystique. Condamné, à mort, il est exécuté, à l’âge, de vingt-sept ans.

 

Considéré, par l’Église, de Rome, tel, un modèle, de rédemption, par la foi, il est déclaré, « Serviteur de Dieu ». Il est, en cours, de béatification. Modèles, d’identification, pour certains, les jeunes payent, aussi, un lourd tribut, aux réalités, les plus dramatiques, de l’existence humaine. Ainsi, les tragiques attentats, du 13 novembre 2015, à Paris et, du 14 juillet 2016, à Nice, touchent-ils, particulièrement, la jeunesse. Nombre, de blessés et, de morts, figurent, hélas, parmi, les adolescents et, les jeunes adultes ! Or, le nombre élevé, de victimes adojuvéniles, n’a que trop peu, été évoqué, publiquement.

 

Ce qui est révélateur, d’une certaine minoration, de l’importance, la place, de la nouvelle génération, en France ! Pourtant, nous l’avons relevé, suite, à ces si innommables, crimes terroristes, de masse, contre l’humanité, la réaction, des jeunes, du pays, a été, des plus patriotiques ! Les demandes, d’engagement juvénile, dans les forces, de sécurité, l’armée et, la police, se sont multipliées. Pour la défense nationale, le service, de la collectivité. Ce qui démontre, une fois, de plus, le fort désir, de mobilisation, de la jeunesse, en faveur, de causes ou, valeurs justes.

 

Le Sanglot de l’homme blanc, est un essai sociophilosophique, (France, 1983), d’un auteur français contemporain, P. Bruckner. Il y affirme, que la civilisation occidentale, peut et, doit, en légitimité, assumer, affirmer, ses valeurs, les meilleures. Sans, pour autant, minorer, les autres cultures ni, renier, déprécier ou, regretter, ce qu’elle est, en ses fondamentaux. Le Sanglot de l’homme noir, est un essai sociophilosophique, (France, 2012), de l’écrivain et, enseignant contemporain, congolais et, français, A. Mabanckou. Il y défend, l’idée, selon, laquelle, nul, ne doit, avoir honte, de son identité, quelle, qu’elle soit, notamment, ethnique ou, géographique.

 

Ni réduire, sa personnalité, à cette seule, réalité ni, l’affirmer, à l’inverse, de façon, exclusive, excessive. Le principe, de ces deux ouvrages, est donc, qu’il s’agit, de vivre, au mieux, ce qui fait, l’essence même, de l’être intrinsèque, de chaque humain. Sans, « reniement honteux ni, forfanterie obsessionnelle ». De même, alors, nul, adojunior, ne saurait ni, s’autodéprécier ni, s’autoglorifier, du seul fait, de son jeune âge. Il se doit, de le faire valoir, pleinement, ni plus ni, moins, en ses spécifiques qualités, personnelles et, néogénérationnelles, marquées. Aussi, s’agit-il, d’affirmer, aux jeunes, avec force :

 

« Ne vous découragez pas ; c’est souvent, la dernière clef, du trousseau, qui ouvre la porte » !

(P. Coelho, écrivain brésilien actuel, Le Manuscrit retrouvé, œuvre littéraire philosophique, Brésil, France, 2013).

 

Malgré tout, les juniors, de France, vivent, en pays prospère, comparativement, à d’autres. Leur nation est encore, d’importance, avec, notamment, potentiellement, le premier, territoire maritime international. Également, donc, la première zone, d’intérêt économique, exclusive, mondiale. Pour autant, l’Hexagone actuel, « se meurt », d’un étatisme néfaste, d’une gestion calamiteuse et, d’une inertie désastreuse. Avec, le triple handicap, de charges inappropriées, contre-productives, « hors de proportion », de dépenses et, déficits publics abyssaux, d’un chômage, de masse, ravageur !

 

À l’image même, d’un Ancien Régime, finissant, (France, 1589-1789), balayé, par ces mêmes maux, déjà, plus, de deux siècles, auparavant ! En ces conditions défavorables, notamment, pour la jeunesse, nous l’avons évoqué, de plus en plus, de jeunes cerveaux français, choisissent, le chemin, de l’exil. Ce qui ne fait, à peine, que commencer, ne pourra, que s’amplifier, à l’avenir, le pays, ne cessant, de « régresser ». Ce qui, au-delà, d’un certain seuil, non, encore, atteint, ne pourra, que nuire, à la nation, tout entière. Par pertes, trop excessives, de ses juvéniles forces vives, les plus dynamiques et, les mieux formées.


 

 

Une étude démontre que, les jeunes français, sont parmi, les moins heureux et, l’école, de leur pays, parmi, les plus inégalitaires, d’Occident. Au sein, des pays, très favorisés, de l’Union Européenne, de l’Ocde, l’Organisation, de Coopération et, de Développement Économique. La France est, seulement, trente-cinquième, sur trente-sept, en matière, d’ « égalité », pour les enfants et, adolescents, dans le domaine éducatif. Concernant, la satisfaction, des jeunes, dans la vie, la France est vingt-huitième, sur trente-cinq pays. Vingt-troisième, sur trente-cinq pays, quant à la santé. Treizième, sur quarante-et-un pays, concernant, les revenus. Soit, en tout, quant à, ces quatre champs globaux, une place française, de vingt-huitième, sur les trente-cinq pays, les plus avancés, de la planète.

(Rapport 2016, de l’Unicef, le Fonds des Nations Unies, pour l’Enfance, sur les droits de l’enfant et, l’adolescent, en pays favorisés, Ue et, Ocde, monde, Centre de recherche Innocenti).


 

Face, à de tels, retards, « contre-performances » nationaux, il convient donc, de bien mieux, servir, la jeunesse, de France ! De fait, une juvénilité, mieux formée, épanouie et, bien traitée, est alors, en mesure, de « donner, le meilleur, d’elle-même ». En optimisation, de ses potentiels, émulation, dépassement, de soi. De même, qu’une néogénération délaissée, en marasme et, perdue, est dévoyée et, produit alors, « le pire ». Ainsi, les meurtriers, du prêtre assassiné, de sang froid, de la façon, la plus ignominieuse, en plein office, avaient-ils, dix-neuf ans, étaient, en « effroyable errance ». (Attentat criminel, de l’église, de Saint-Étienne-du-Rouvray, contre, le père, J. Hamel, ecclésiastique catholique français, 1930-2016, France, 26 juillet 2016).

 

Il s’agit, d’associer, le mieux, le plus, possible, notre jeunesse, à la vie, de sa nation. Ainsi, le 10 novembre 1920, le corps, du soldat inconnu, est-il, choisi, par un jeune militaire, A. Thin. Parmi, huit cercueils, de jeunes combattants, de la Première Guerre mondiale (1914-1918), non identifiés. Le 28 janvier 1921, le soldat anonyme est inhumé, sous la voûte, de l’Arc de Triomphe, de Paris. Le jeune Auguste, (France, 1899-1982), vingt-et-un ans, est un simple soldat, de deuxième classe, du 132e régiment d’infanterie. Engagé volontaire, de la classe 1919, il est pupille, de la Nation, fils, d’un combattant disparu, pendant, la Grande Guerre (1914-1918).

 

« Il y a, dans, ce qui commence, une source, une race, qui ne revient pas. Un départ, une enfance, que l’on ne retrouve, qui ne se retrouve, jamais, plus. Or, la petite espérance, est celle, qui, toujours, recommence ».

(C. Péguy, 1873-1914, écrivain, poète français, Le Porche du Mystère de la deuxième vertu, œuvre poétique, France, 1912).

 

Voilà, pourquoi, l’adojeunesse, est si grande, belle et, forte promesse, espérance et, allégresse ! Plus intense, vibrant, éphémère, temps, de la vie humaine, elle s’écoule, le plus rapidement, dure, le moins longtemps, ne revient, jamais, plus ! Voilà, pourquoi, aussi, il convient tant, d’en faire, un « sanctuaire accompli », afin, de ne pas, l’abîmer, en lourds, amers et, vains regrets. Quand, vient, l’heure, de la maturité, de la sénescence, du trépas et, qu’il n’est, déjà, plus temps, alors.

 

« […]. La crise, que traverse, actuellement, notre société, nous confronte, fort inexorablement, à une évaluation renouvelée, de ce que nous considérons, comme, les biens, les plus précieux, pour nous. […]. Pour une bonne part, la défiance, à l’égard, de notre société – et, sa dégradation, en haine et, violence – s’alimente, d’un soupçon. Selon, lequel, les valeurs, dont, nous nous réclamons, sont très discutables et, peuvent être discutées. […].

 

Quand, une société, est démunie, d’un projet collectif, à la fois, digne, de mobiliser, les énergies communes, capable, de motiver, des renoncements particuliers, pour servir, une cause, arracher, chacun, à ses intérêts propres, elle se réduit, à un consortium, d’intérêts. […]. Jamais, sans doute, au cours, de l’histoire, de l’humanité, nous n’avons connu, globalement, plus, de prospérité, plus, de commodités, de vie, plus, de sécurité, qu’aujourd’hui, en France. […]. Tant, de biens, produits, partagés, même si, le partage, n’est pas équitable, tant, de facilités, à vivre, ne nous empêchent pas, d’être rongés, par l’angoisse. Est-ce car, nous avons, beaucoup, à perdre, que nous avons, tant, de peurs ? […] ».

(Homélie, du cardinal, A. Vingt-Trois, archevêque métropolitain, de Paris, 2005-2017, hommage national, aux victimes, de Saint-Étienne-du-Rouvray, France, 27 juillet 2016, cathédrale Notre-Dame de Paris).

 

Tout ceci, à l’intention notable, de notre jeunesse, se résume, en un seul, éternel, universel, intemporel, questionnement : « Quo vadis » ? « Où, vas-tu » ? Telle est, la seule, interrogation, existentielle, axiologique, métaphysique, ontologique, qui vaille, ici-bas. Tout, particulièrement, à l’orée, de la vie humaine terrestre. Que faire, par chaque jeune, de son existence, même ? Le restant, n’est que morales vacuités, de vaines impasses, purement, prosaïques.

 

Pour un « dasein », une incarnation, un cheminement adojuvéniles, non comminatoires, mais, apaisés. N’avons-nous, rien, de plus, de bien, de mieux, de meilleur, à proposer, à nos juniors, pour leur accomplissement, que l’univers, Pokémon Go ? Pour notre jeunesse française, tant maltraitée, assez, de belles, vaines et, stériles paroles ! Assez, d’inutiles « comités Gustave, Théodule ou, Hippolyte » ! (C. de Gaulle, homme d’État, France, 1890-1970, Orange, 1963). Bien plus d’actes et, les bons, pour le bien, le mieux et, le meilleur !

 

Alors, que, plus, que jamais, la figure infâme, des forbans, de sac et, de corde, sans conscience ni, scrupules, prévaut. Quand, elle n’est pas, donnée, en exemple, aux plus jeunes ! Quand, l’évolution biologique naturelle, des espèces, est, elle-même, fort « dérangée », par les méfaits, de l’homme ! Ainsi, du fait, de perturbateurs endocriniens, notamment, alimentaires, la mue vocale, des jeunes garçons, s’est accélérée. Elle débute, désormais, quatre ou, cinq ans, en moyenne, plus tôt, qu’il y a, deux siècles. Vers, douze ou, treize ans, au lieu, de dix-sept, depuis, la deuxième moitié, du dix-huitième siècle.

 

Face, à ces mutations, heureuses ou, dommageables, des sociétés humaines et, jeunesses, du monde, le coaching de vie d’Andro-AdoJeunoConseil® prend, toute sa part. Comme approche inédite, à titre exclusif, de guidance / conseil holistiques existentiels, pour les seuls, quinze – vingt-quatre ans masculins, en cabinet privé. Ne se contentant pas, seulement, d’aider, le garçon junior, à « aller et, faire, mieux », mais, plus, encore et, surtout, à « devenir, meilleur ». Transcender, son andro-adoJuvénile condition, tant, d’un point de vue, andro-adoJeunologique sociologique, psychologique, que moral. Ainsi, les sciences et, le coaching de vie, de l’(andro)adoJeunesse et, andro-adoJeunologiques, présentent-ils, une triple composante.

 

1- Une expertise, d’intervention de coaching de vie, auprès, de vous, junior mâle.

2- Une évaluation et, pleine compréhension, de votre androJuvénilité, en vos réalités, besoins et, attentes.

3- Des outils, éléments, d’avancées, décisifs, pour vous, jeune homme coaché.

 

– Coaching Jeune XY – Paris 16 –


 

Transversale, pluridisciplinaire, holiste, l’Andro-AdoJeunologie® use, de maints domaines, du savoir. Elle concerne, toutes les problématiques et, thématiques adoJuvéniles masculines. Elle se réfère, surtout, au junior, lui-même, en sa pleine singularité, spécificité et, unicité. Ainsi, elle n’est pas, psychopratique, mais, coaching de vie / mentorat, d’andro-adologie/jeunologie. Excluant, enfants et, adultes et, ne traitant pas, de l’adoJuvénilité féminine, ès qualité. Menant, in fine, chaque jeune homme suivi, « à bon port » !

 

 

Quod Erat Demonstrandum


 

 

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