> Confiance En Vous


 

 


 

           


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VOS PROGRAMME & SUIVI

DE VOTRE CONFIANCE EN VOUS


 

 


Cognitifs, Émotionnels, Comportementaux


 

 

Nous vous présentons, ci-dessous, le programme complet, de votre suivi androJeunologique, de la confiance en soi. Expertise, toute particulière, de l’AndroJeunoConseil®.

 

Puis, nous reproduisons, l’exacte retranscription, d’une AndroJeunologie®, intégrale, écrite. De l’estime, la confiance, l’affirmation de soi androJuvéniles. En ses éléments anonymes essentiels, d’un garçon lycéen, de seize, ans. Son prénom a été modifié et, les détails, trop personnels et, caractéristiques, ont été omis.


 

 


[ Votre Programme dAndroJeunologie® ]

De la Confiance en Vous Repose sur Vos :


 

 


> Exemples de réalités

Par vos cas-types vécus


 

 


> Analyses des situations

Par vos explications factuelles


 

 


> Solutions amélioratives

Par vos issues favorables


 

 


[ Il Comporte Pour Vous : ]


 

 


> Les fondamentaux

De la défiance et, confiance en vous


 

& Les syndromes et, remèdes

Pour vous, jeune homme


 

 


> Votre problème, garçon junior :

Les jugements erronés sur vous et

La défiance de vous-même


 

& Votre solution de jeune masculin :

Votre lucidité favorable sur vous et

La foi en vous-même


 

 


> Votre aboutissement fructueux

AndroJuvénile :


 

& Des outils décisifs et, efficaces

Pour avoir confiance en vous


 

 


I


 

 

– LES FONDAMENTAUX –

DE LA DÉFIANCE & CONFIANCE EN VOUS


 


– VOS SYNDROMES & REMÈDES –

DE JEUNE HOMME


 

 


A- Les Implications Dommageables

De Votre Défaut de Foi en Vous


 


& Les Bienfaits

De Votre Bonne Confiance en Vous


 

 


1- Vos paralysies, évitements, insuccès


 


& Comment, être en mesure

D’affronter votre vie


 

> En vous confrontant et, relevant, tous ses défis


 

 


2- Vos ressentis néfastes


 


& Comment, rééquilibrer paisiblement

Vos émotions


 

> En vous concentrant, sur vos sentiments productifs


 

 


3- Votre fausse conception, de vous-même


 


& Comment, vous valoriser

À vos propres yeux


 

> En vous pénétrant, de votre dignité éminente propre


 

 


4- Votre déficit d’affirmation de vous


 


& Comment, vous imposer au monde


 

> En démontrant et, mettant en œuvre votre excellence


 

 


5- Les méfaits généralisés

De votre déficit d’assurance


 


& Comment, régénérer

Toute votre existence


 

> Par votre rayonnement individuel spécifique


 

 


B- Vos Réalités Néfastes

Du Doute de Vous-Même


 


& Les Attraits de Vos Convictions Constructives

Quant à Votre Personne AndroJuvénile


 

 


1- Les ratés, de vos estime, confiance

affirmation de vous défaillantes


 


& Comment croire en votre valeur, vos mérites

Votre apport aux autres


 

> En entretenant, votre monde intérieur, des plus riches


 

 


2- Vous différencier, jeune, vous-même

De vos actions et résultats


 


& Comment, apprécier, votre être positif

Quels que soient vos avoir, faire, paraître, même négatifs


 

> En équilibrant, les choses de votre Esprit et, matérielles


 

 


Votre Évaluation Chiffrée

Par Vous-Même, Jeune Suivi


 

De votre niveau réel, de confiance en vous

Selon, vos divers éléments d’appréciation

Quantifiés, par vous-même


 

 


C- Les Ravages Psychosomatiques

De Votre Inadéquate Confiance en Vous


 


& Les Chances Complémentaires

De Votre Humilité et, de Votre Assurance

En Toute Simplicité et, Solidité Intérieure


 

 


1- Les inconvénients

De ne pas assez croire en vous


 


& Comment, avoir les avantages

De la bonne foi en vous


 

> En restant stoïque, confiant et, positif

Face à vos difficultés, épreuves, incertitudes


 

 


2- Les mécomptes

De la surestimation de vous-même


 


& Comment, vous équilibrer, épanouir

Sans auto abaissements ni arrogance


 

> En juste évaluation, de vous-même


 

 


II


 

 

– VOTRE PROBLÈME DE GARÇON JUNIOR – :


 


– VOS JUGEMENTS ERRONÉS –

SUR VOUS & LA DÉFIANCE DE VOUS-MÊME


 

 


– VOTRE SOLUTION –

DE JEUNE MASCULIN :


 

 


– VOTRE LUCIDITÉ FAVORABLE –

SUR VOUS & LA FOI EN VOUS-MÊME


 

 


A- La Conviction de Votre Inaptitude


 


& Vous Forger un Mental Assuré Renforcé


 

 


1- Vous croire incapable et impuissant


 

 


2- Comment, prendre conscience

De vos capacités


 

> En les suscitant, entretenant, faisant valoir, en conviction


 

 


B- Votre Dépendance

Aux Assentiments d’Autrui


 


& Votre Pleine Indépendance d’Esprit

De Jeune Homme


 

 


1- Vous penser obligé, d’être bien vu


 

 


2- Comment, vous suffire positivement

À vous-même


 

> En étant assuré, de vos qualités intrinsèques

Sans préoccupation & besoin, d’aval extérieur


 

 


C- Votre Sentiment d’Indignité


 


& Votre Capacité de Contentement de Vous


 

 


1- Être persuadé, de votre déchéance


 

 


2- Comment, vous convaincre

De votre légitimité


 


& Faire valoir vos atouts


 

> En vous recentrant, sur vos seuls objectifs

Et, votre construction existentiels propres


 

 


D- Votre Obsession Perfectionniste

De Jeune Masculin


 


& Votre Acceptation

De Vos Justes Limites


 

 


1- Toujours, être trop maximaliste

Par peur d’être insuffisant


 

 


2- Comment, vous satisfaire

De vous / vos résultats


 

> Sans en faire trop ou, trop peu

Sans excès, de modestie, ni de prétention


 

 


E- Votre Difficulté à Agir


 


& Votre Possibilité de Vous Projeter

Et Réaliser Vers l’Avant


 

 


1- La crainte de vous impliquer

& Sortir, de votre zone de confort


 

 


2- Comment, oser et

Risquer d’entreprendre


 

> En audace calculée et, détermination réaliste


 

 


F- Votre Inquiétude Diffuse


 


& Votre Aptitude à la Sérénité

De Jeune Garçon


 

 


1- Votre anxiété

Comme une seconde nature


 

 


2- Comment, acquérir

Votre solide tranquillité intérieure


 

> En paix & égalité d’âme, sans peur ni reproche


 

 


G- Votre Méfiance Généralisée


 


& Pouvoir Être à l’Aise

Et en Confiance, en Société


 

 


1- Vous surprotéger

Par exagération des dangers


 

 


2- Comment, vous sentir

En sécurité & confiance


 

> Par votre persuasion du meilleur, jamais, du pire


 

 


III


 

 

– VOTRE ABOUTISSEMENT FRUCTUEUX –

ANDROJUVÉNILE :


 


– DES OUTILS DÉCISIFS & EFFICACES –

POUR AVOIR CONFIANCE EN VOUS


 

 


A- Votre Réconciliation, Avec Vous


 


& Acceptation de Vous-Même


 

 


1- Une plus juste appréciation de vous


 


& Comment, vous positionner

Plus bénéfiquement


 

> En changeant, positivement, votre propre regard sur vous

Donc, celui des autres, à votre égard personnel


 

 


2- Pacifier, votre image de vous-même


 


& Comment, renforcer

Votre amour propre


 

> En vous acceptant, vous-même

De façon inconditionnelle et, indéfectible


 

 


3- Être impartial, avec vous


 


& Comment éviter les a priori, sur vous-même

Sans sous-estimation ni, surestimation de vous


 

> En étant à l’aise, avec vous-même, lucide, équilibré

Conscient, de vos failles et, avantages avérés


 

 


4- Remplacer vos fausses idées

Par plus de réalisme


 


& Comment, être objectif et, impartial

Quant à vous, autrui, aux choses, événements


 

> En relativisant l’essentiel, en positif, neutre, ou négatif


 

 


5- Oser, sans vous mettre sous pression


 


& Comment avoir le bon niveau d’exigences

Être en mesure, de bien bâtir votre vie


 

> En avançant, sans rien attendre de l’existence

Or, en ayant et réalisant, vos projets majeurs


 

 


B- Votre Action Active Tous Azimuts

De Jeune Homme


 

 


1- Croire en vous


 


& Comment, être convaincu de ce que vous êtes et, valez

Par votre forte culture, de vos idéaux personnels


 

> En les magnifiant et, faisant rayonner, au maximum


 

 


2- Choisir et vous lancer


 


& Comment opter et déterminer, ce que vous voulez

Par force de caractère et, résolution


 

> En vous y tenant et, parvenant, jusqu’au bout


 

 


3- Parier, sur votre succès


 


& Comment, dépasser vos insuccès

En privilégiant et, boostant vos points forts


 

> Oubliant, vos aléas, en la seule atteinte de vos buts

Réalisés, coûte que coûte


 

 


4- Comment, oser, en toute sérénité


 


& Comment, parvenir à vos fins


 

> En suscitant, vos climat et, conditions propices


 

 


5- Réussir, par votre satisfaction

Et, fierté de vous


 


& Comment, avoir une vie

Réussie et, heureuse


 

> En mettant, toutes les chances, de votre côté


 

 


C- Assumer ce que Vous Êtes


 

 


1- Dire, ce qui vous est nécessaire


 


& Comment, vous garantir

De ce qui vous est capital


 

> En vous battant, avec assurance, pour les obtenir


 

 


2- Signifier, ce qui vous importune


 


& Comment, aplanir vos difficultés


 

> En luttant, contre toute adversité


 

 


3- Refuser et, argumenter


 


& Comment, défendre

Vos droits et, intérêts


 

> En vous protégeant, de tout ce qui y contrevient


 

 


4- Faire face, à vos oppositions


 


& Comment, bien vous défendre des attaques


 

> Par votre argumentation solide et, en étant inébranlable


 

 


5- Vivre votre spécificité, en liberté


 


& Comment vous imposer, ès qualité, en société


 

> Par le témoignage vivant, de votre unicité.


 

 


[ Votre Protocole dAndroJeunoConseil® ]

De la Confiance en Vous Institue, Pour Vous :


 

 


> Votre complète « remise à plat »

AndroJuvénile existentielle


 

En estime de vous

Votre conditionnement initial


 

 


> Votre décisif remaniement

« Re/fondateur, de vous »

Pour vous, junior masculin


 

En confiance en vous

Vos schémas toxiques


 

 


> Un dénouement, des plus féconds

Pour vous, jeune garçon


 

En affirmation de vous

Vos outils amélioratifs


 

 

Les conseils et, solutions personnels, donnés au jeune suivi, comme les buts et, résultats possibles, suggérés par lui, ne figurent pas, dans les deux premières parties, du travail reproduit plus bas. Pour des raisons, de simplification et, de confidentialité.


 

 


[ VOTRE COMPLÈTE « REMISE À PLAT » ]

ANDROJEUNOLOGIQUE


 

 


Cognitive Émotionnelle, Comportementale

De l’Estime de Vous-Même, de Jeune Masculin


 

 


I


 

 

– Votre Conditionnement Initial –


 

 

Il s’agit, de s’éloigner, au maximum, des schémas existentiels médiocres, toxiques, délétères. Qui sont, de façon, si dommageable, bien légère, habituellement, proposés, de nos jours, en Occident, par des adultes, si irresponsables, à vous, jeune.

 

Votre AndroJeunoConseil® promeut, cet idéal, d’exemplarité, constructive et enrichissante, pour que vous, junior, soyez, aussi, une « belle et noble âme ». Au-delà, des autres aspects et, contingences, plus prosaïques, de votre personne et, vie. Nous reproduisons, ici, l’essentiel, d’un suivi androJeunologique, de renforcement écrit, cognitif, émotionnel et, comportemental. D’estime, de confiance et, d’affirmation, de soi. Eudes, seize ans, lycéen, travaille, sur son assurance défaillante.


 

 


> Il livrera, à ce sujet, sa propre vision, des choses, à partir, de son vécu personnel, fort concret. À toute occurrence, évoquée, les pensées, émotions, comportements, effets liés, leur causalité, sont précisés, analysés, par lui-même. Puis, des mises, en situation, tangibles, sont élaborées, pour s’entraîner, progresser. À partir, des exemples, événements, qu’il donne.

 

Des pistes, d’avancées, et, des solutions, de terrain, sont, ensuite, proposées, envisagées. Le tout, étant validé, par le jeune. Nous restituons, les propos oraux et, écrits, d’Eudes, re/mis, en forme scripturale, tels, que tenus, par lui-même, en entretiens, de suivi. Sous couvert, d’anonymat, de suppression, des données, trop personnelles, caractéristiques, du junior, cité, de prénom, d’emprunt. Règle, de toute présentation, de cas réel, en nos propos.


 

 


« En vacances, quand, il s’agit, de choisir, une activité, j’hésite tant, qu’il est, finalement, trop tard, pour l’entreprendre, faute, de temps, disponible, restant. J’en éprouve, alors, de très cuisants remords et, regrets.

 

> J’ai peur, de faire, un mauvais choix, de me tromper, ensuite, de regretter, car je doute, de mes compétences. Je crains, de ne pas être, à la hauteur. Je ne suis pas sûr, de moi. Je me tourmente fort, en me demandant, toujours, si c’est, « le bon choix » ou, pas.

 

o Me fier à ma conscience, mes certitudes, mes souhaits les plus profonds, me garantit mon intime conviction. C’est-à-dire, toujours prendre les bonnes décisions, faire les bons choix, opter pour le meilleur pour moi. Sans grands risques de me tromper !


 

 

Souvent, notamment, en dehors, du champ scolaire, j’ai tendance, à me « laisser faire », à ne rien dire, si je suis désavantagé ou, maltraité, à tort.

 

> Je développe, un excès, de gentillesse, de bons sentiments, plutôt, que de purs rapports de force, par besoin, d’être reconnu. J’ai des doutes, sur mes capacités, d’être intégré, accepté, non rejeté. Également, par mes difficultés, à être à l’aise.

 

o L’objectif n’est pas d’être bon et de complaire, à tout prix, mais d’être sincère et authentique. Je cesse de m’obséder de mon image auprès des autres et de l’opinion, réelle ou supposée, qu’ils peuvent avoir de moi. Je m’affirme, en assurance, tel que je suis, sans chercher à plaire ni à convaincre, en restant moi-même. Tel est l’essentiel !


 

 

Parfois, notamment, à une invitation, d’un après-midi, entre amis, je suis très inquiet. Ne connaissant pas, tout le monde, il m’est arrivé, d’avoir eu peur, de m’ennuyer, de ne pas être, à mon avantage. Alors, j’ai refusé, l’invitation. Ultérieurement, j’ai appris, que la réunion festive et, amicale, avait été, une réussite. Alors, j’ai donc, fort regretté, mon refus, basé, sur des préjugés négatifs, craintes non fondées et, doutes paralysants.

 

> Mon comportement n’a été dicté, que par mes doutes, sur mes « capacités sociales », à bien, m’exprimer, en compagnie, non familière.

 

o Ma priorité n’est pas de briller ni, de craindre le pire pour moi, en société. Or, de profiter, au mieux, de toutes les occasions de rencontres sociales. Comme des enrichissements mutuels qu’elles permettent. Au lieu de craindre autrui, de le fuir, je vais vers lui, sans peur et en confiance, car j’ai tout à y gagner, bien plus qu’à y perdre !


 

 


Un jour, je devais téléphoner, à quelqu’un, que je n’apprécie pas, pour lui demander, quelque chose, dont, j’avais besoin. Pendant, des jours, j’ai repoussé, l’échéance et, évité, de le faire.

 

> J’ai du mal, à me forcer, à faire, ce qui m’est désagréable, des difficultés, à me faire, une raison. Je n’arrive pas, à me convaincre, de ne pas tergiverser, « finasser », qu’il faut, y aller. Je ne peux, me résoudre, à me contraindre, à accomplir, ce qui me déplaît, à me faire violence. Je ne sais pas affronter, ce qui m’est, rébarbatif ou, pénible. Je ne parviens pas à vaincre mes réticences.

 

o Ce qui est fait n’est plus à faire. Se débarrasser, de suite, des corvées, est bien plus facile, que de les traîner sans fin, comme un boulet. Convaincu de cela et, pressé d’en finir, au plus vite, me donne le courage d’agir vite et bien, quoi qu’il m’en coûte. Plutôt que de procrastiner, sans cesse, ce qui ne résout rien et, ne fait qu’aggraver mes problèmes, sans jamais les régler, en rien.


 

 

Quand, je dois refuser, quelque chose, à quelqu’un, j’ai tendance, à ne pas, lui donner, la vraie raison, mais, une fausse excuse. Je n’ose pas, lui dire, la vérité, je m’égare, alors, totalement, en mes faux-semblants.

 

> Par peur, de le froisser, que cela, se retourne, contre moi, en rétorsion, je n’ose pas, être franc. Je préfère, ménager, l’autre, en me montrant, conciliant, « diplomate ».

 

o Je suis assertif : je défends toujours mes droits et intérêts, tout en respectant ceux des autres. Mon objectif n’est pas de leur plaire et complaire, à tout prix, pas plus que de contrarier autrui, par principe. Or, de décider, au mieux, pour moi et ce qui me concerne. Sans me préoccuper de l’effet produit sur les autres, même si cela les indispose, leur déplaît, va à leur encontre. Sans leur nuire pour autant.


 

 

Le début, de la classe, de troisième, aura été, pour moi, un gros changement, par rapport, à la quatrième. Avec, plus, de pression, de travail, la persistance, depuis, l’année précédente, d’un problème, avec un copain. Du fait, d’une histoire amoureuse, vécue, avec une fille.

 

> J’ai des accès, de mauvaise humeur, de stress, d’abattement, d’ennui. À la maison, c’est l’arrivée, d’une petite sœur, il y a plus, de tensions, en famille, j’ai peur, que l’on s’occupe, beaucoup moins, de moi.

 

o Les difficultés font autant partie, de toute vie, que les gratifications, j’en prends conscience et je l’accepte. Je ne cède pas aux pressions, tensions et, à l’adversité. Je vaincs mes problèmes, sans me laisser dominer par eux. Les affrontant, résolument, les uns après les autres, car seule compte la victoire. Jamais, les obstacles, efforts, sacrifices et, avanies, pour y parvenir. Seul importe le résultat triomphal final !


 

 


Je « cale » souvent, dans les contrôles, par grand manque, d’assurance, concernant, mes compétences et, capacités personnelles.

 

> La peur me paralyse, alors, je « perds, tous mes moyens », je ne trouve plus, les réponses, je suis moins performant, que si j’étais, plus zen.

 

o Je ne me laisse pas impressionner, par le fait d’être soumis à obligation de moyens, performances, résultats et, réussite, en mes études. Je me recentre et focalise, uniquement, sur mes capacités, savoirs, connaissances, aptitudes, acquis et, travail déjà accompli. Je sais que j’ai bien révisé et, que je suis au point. Cela suffit pour ma réussite, en assurance, sang-froid, sérénité et, confiance. Croire au succès, aide à le garantir.


 

 

Il arrive, que mes parents, me demandent, un service et, que je ne le rende pas, malgré, mon acceptation. Alors, je m’en veux, beaucoup.

 

> Je me sens, fort coupable, d’avoir trahi, ma parole donnée, la confiance, qui m’a été faite. Je souffre, de ne pas avoir été, « à la hauteur ». J’ai honte, je suis triste, tourmenté, d’avoir, à mes yeux, « démérité ».

 

o Certes, il vaut mieux tenir parole et, se conformer à mes engagements. Pour autant, me torturer, en sentiment de honte et culpabilité, ne résout rien, ne fait que me détruire. Il convient donc, d’exprimer mes regrets, à ceux que j’ai offensés. De me rattraper, en agissant selon ma promesse initiale, même avec retard. Promettant, de ne pas récidiver et, faisant toujours en sorte, d’honorer ma parole donnée. Sauf cas de force majeure invincible, indépendant de ma volonté.


 

 

Souvent, je crains, plus que tout, de décevoir mes parents, quand, j’ai de mauvaises notes et, appréciations scolaires.

 

> J’ai peur, je m’attends, à ce qu’ils soient mécontents, de moi, qu’ils m’en veuillent, que cela, nuise, à notre bonne entente familiale. Par ma faute.

 

o Il peut arriver que je ne satisfasse pas autrui, par ma faute ou, pour raison indépendante de ma volonté. Cela peut être regrettable. Or, l’essentiel n’est pas l’effet produit sur les autres, mais ma conscience personnelle et, ma bonne volonté. Si j’ai mal fait, je ferai mieux ultérieurement, car nul n’est parfait ni, tenu à l’impossible. Si j’ai agi pour le mieux, selon mes moyens, quel que soit le résultat, tel est l’essentiel, l’avis des autres est secondaire. Mon opinion sur moi-même et, sur ce qui me concerne personnellement, compte avant la leur, à mon égard.


 

 


Quand, je déçois, les attentes, de mes parents, à mon égard, ils me le font comprendre. Ainsi, que leur réprobation, alors, j’éprouve, du dégoût, de moi-même.

 

> Je me reproche, de ne pas avoir pu, su, voulu, mieux faire, car, mon image, de moi-même et, celle, que je donne, ne me plaisent pas, du tout. Ne me semblent pas dignes, correspondre, à ce que je voudrais être.

 

o J’apprends à ne pas dépendre du jugement d’autrui, à mon égard, et de me conformer, surtout, au mien propre. Je dois être souverain et autonome. Les souhaits des autres, vis-à-vis de moi, importent moins que mes propres appréciations, concernant ma personne. Même s’il s’agit de proches que j’aime, auxquels je tiens et, d’adultes ayant autorité sur moi. En respect, toujours, des convenances et, de mes devoirs.


 

 

Il y a eu, des disputes, concernant, l’heure, à laquelle, les occupants, de notre chambre, d’internat, doivent, faire silence, pour dormir. J’ai dû, me mettre, en colère, alors, ils ont fini, par se résoudre, à se taire.

 

> J’ai estimé, que c’était, le seul choix, qui me restait, pour être respecté, n’ayant pas été, en mesure, de me faire, entendre, par d’autres moyens.

 

o Il vaut mieux prévenir que guérir. Pour éviter toute extrémité violente, afin de garantir mes droits et justes intérêts, je fais toujours preuve d’autorité et de fermeté naturelles, au préalable. Cela dissuade autrui d’abuser de moi, en impose de façon juste et équitable et, tient compte des attentes de tous.


 

 

En début, de collège, je m’habillais, de façon, fort classique, élégante, alors, que tous mes condisciples, étaient en tenues sport, décontractées. J’ai donc, été mis, par eux, au ban, de la classe. Ce qui m’a conduit, à m’adapter, en changeant, de tenues. Je me suis, alors, « fondu, dans la masse ». Pour être, comme, eux, plus cool.

 

> Quand, l’on est différent, l’on est rejeté, incompris. Il y a, nécessité, de « rester, soi-même », tout en se rapprochant, des autres et, du modèle dominant. Je n’ai pas pu, imposer, mon style personnel, étant, le seul, à être, « autrement », n’ayant pu ni, su, m’affirmer, ainsi. Alors, j’ai dû, me plier, à la « loi, de la majorité ».

 

o La jeunesse est partagée entre la nécessité de s’affirmer, en originalité et spécificité propres. Comme, tout autant, le besoin de se conformer aux canons admis, par le groupe dominant. Sans me marginaliser, en refusant toute influence extérieure majeure, je me réfère, d’abord et surtout, à mes critères et préférences propres. Pour m’affirmer fermement, tout en intégrant, pour moi-même, ce qui me paraît bénéfique, pour moi, en provenance d’autrui.


 

 


Le fait, de ne m’être, jamais, affirmé, de ne m’être, jamais, senti, reconnu, par autrui, m’a donné, une image, très faible, fort mauvaise, de moi-même. Ainsi, qu’aux yeux, des autres.

 

> Comme, je n’ai pas confiance, en moi, j’ai peur, de me manifester ou, de le faire mal, que cela, soit donc, fort mal, reçu et, non, naturel, spontané.

 

o Je suis à l’aise avec moi-même et autrui, quoi qu’il en soit et advienne, en ayant toujours à l’esprit ma légitimité propre. Au même titre que tout humain. Conscient de mes forces et faiblesses, comme tous. Tirant profit et fierté de mes atouts. Corrigeant, sans cesse, mes travers pour, constamment, devenir une meilleure personne.


 

 

Souvent, l’on me demande, mon avis, pour le programme, des vacances familiales. Je ne sais, que répondre, faute, d’envies particulières, surtout, d’oser, les affirmer.

 

> J’ai peur, de dire, mes préférences, car, je crains, que cela, n’aille, à l’encontre, de celles, des autres. Que cela, nuise, à notre relation, donc, m’éloigne, d’eux. J’ai tendance, à extrapoler, en préjugés négatifs, ce qui me mène, à la passivité, l’inaction, le silence ou, l’échec. Je ne crois pas, assez, en moi, en la légitimité, de mes justes préférences, que je n’assume, donc, pas.

 

o J’ose être moi-même et ce que je suis, en m’affirmant. J’ai le droit d’avoir mes préférences, choix et, décisions, pour agir à ma guise, en conscience. Je me conforme toujours à ce que je veux faire, être, paraître, avoir, en forgeant ma vie comme je l’entends. Non, en fonction des volontés d’autrui, mais, selon les miennes propres. Mon for interne l’emporte, toujours, sur les ingérences extérieures.


 

 

Quand le professeur, de mathématiques, écrit, au tableau et, que je ne comprends pas, je n’ose pas, lever la main, demander, un éclaircissement. Je préfère, rester, dans l’ignorance, plutôt, que de « me mouiller » et, comprendre, pourvu, que je ne prenne pas, de « risque ».

 

> Je suis très timide, introverti, je préfère, « laisser faire », les choses, j’ai peur, d’être ridicule, en me dévoilant et, en m’exprimant. Car, je suis trop incertain ou, dans le doute, permanent, de moi-même et, alors, fort inhibé.

 

o J’apprends à être sûr de moi, confiant et serein, car rien ne justifie un état de honte ni de culpabilité. L’essentiel n’est pas une inhibition, de crainte stérile et néfaste. Or, la nécessité de m’exprimer, pour obtenir ce dont j’ai besoin, pour garantir mes droits et intérêts. L’effet produit sur autrui n’importe pas, mais seulement mon droit à demander de justes obtentions. En respect des autres et, de leur propre sauvegarde.


 

 


Avec les adultes, représentant, pour moi, l’autorité, notamment, professeurs, parents, il m’est fort difficile, de m’opposer, à eux. Leur refuser, quelque chose, leur déplaire, les indisposer, contre moi. Bien plus, qu’avec mes amis.

 

> J’ai peur, d’être mal considéré, je pense, que j’aurais, du mal, à justifier, mon désaccord. Je doute fort, de la pertinence, de mes arguments. Je suis convaincu que, même si, je crois, à la justesse et, légitimité, de mon refus, celui-ci, n’est pas fondé. Je doute trop, de moi.

 

o J’ai le droit de m’opposer aux autres et, d’être en désaccord avec eux. De même qu’ils bénéficient de la même faculté, à mon égard. Je me donne le droit d’exister, en n’acceptant pas systématiquement la prééminence d’autrui sur moi, par principe. Seule ma volonté compte et jamais celle des autres, quand ma personne seule est concernée. Le but n’est pas de complaire à autrui, à tout prix, mais, à moi-même, d’abord !


 

 

J’arrive, à peu près, à me défendre, ainsi, que mes droits, intérêts, or, quand, l’on se moque, de moi, je « laisse faire ». Par peur, que cela, ne dure, plus longtemps, encore, ne s’aggrave, si je réagis, négativement.

 

> Je pense, que je ne suis pas capable, d’arrêter, par moi-même, les attaques. Autrement, que par mon « inhibition », c’est-à-dire, avec fermeté, détermination, par manque, d’assurance.

 

o Ce sont les abus à mon encontre, qui sont dommageables pour moi, non, ma juste défense, en riposte légitime et proportionnée. Je me fais respecter, par ma fermeté la plus implacable, jamais, par ma faiblesse, toujours coupable. Contrairement à ce que je crois, ce n’est jamais ma force, qui me fait être encore plus maltraité, mais, au contraire, ma passivité docile. Car, qui ne dit mot consent. Je me comporte donc, toujours, en gagneur qui s’impose et non, en victime qui subit.


 

 

Généralement, je passe inaperçu, je n’aime pas, me faire remarquer, être en avant, je suis, plutôt, effacé. Je ne suis pas spontané. Si, malgré tout, je tente, de le faire, je ne suis pas naturel. Cela, se voit, est perçu, par les autres, alors, je suis mal à l’aise.

 

> Par doute, de moi-même, j’ai peur, si je me fais valoir, d’être trop, le « point de mire » et, de ne pas « assurer ». De perdre, alors, la face, devant tous. La discrétion me protège et, m’évite, donc, de prendre, des risques, car j’ai peur, de l’échec, du rejet, des sarcasmes.

 

o Ce n’est pas par la fuite, l’évitement, la renonciation, que je vais éviter les ennuis. Or, au contraire, en affrontant résolument les autres et, mes difficultés. Me cacher, comme un malfaiteur, me nuit. M’affirmer au grand jour me sauve de l’échec et, me permet de parvenir à mes fins : le succès, la plénitude, l’estime de moi-même et, d’autrui.


 

 


Dans mes études, je ne suis, jamais, certain, de réussir, alors, je doute, de moi, de mes capacités, ce qui me conduit, à des échecs évitables. À avoir, donc, encore moins, de confiance, en moi.

 

> Je « joue, contre, mon propre camp », moi-même, mes intérêts. Je ne crois pas, assez, en moi, je suis défaitiste, négatif, pessimiste. Je pense, que cela, ne sert, à rien, de faire, des efforts, changer, d’oser, car je suis convaincu, que c’est, au-dessus, de mes forces, qualités, aptitudes.

 

o Croire à ma défaite me fait échouer. Être convaincu de ma victoire est gage de mon succès. Outre mon travail, mon état d’esprit est la clé de ma prospérité, si je positive. Comme de ma ruine, si je négative. Je crois donc en moi, mes capacités et, chances de réussite. Je m’en donne les moyens, les mets en œuvre et, alors, je l’emporte, en optimisme et détermination !


 

 

Je ne suis pas sûr, de moi, cela, se voit. Alors, cela, inquiète beaucoup, mes parents, les agace, même. Cela, affecte, le climat familial.

 

> Mes parents sont obligés, de me « bousculer », un peu, me pousser, car je suis, trop passif, pas assez réactif, actif, proactif. Même, pour les choses importantes, essentielles, pour moi.

 

o Je n’attends pas d’être houspillé, par les autres, pour agir, mais je prends toujours les devants, pour bouger, de et par moi-même. En plein esprit d’initiative et non, d’attentisme. Si je laisse faire autrui, pour moi, cela sera aux conditions des autres et, donc, souvent, à mon détriment. Si je suis autonome, en tout et pour tout, cela se fait à ma façon et, en ma faveur. Être dynamique et non amorphe, me permet d’être bien servi, car par moi-même et, moi seul !


 

 

Du fait, de mon manque, de confiance, en moi, je n’ai pas autant, de vrais amis proches, que je le voudrais. Parfois, de ce fait, je ne suis pas assez, entreprenant, avec eux, je ne prends pas assez, d’initiatives, ne propose pas, grand-chose, comme, activités. Je suis attentiste. Alors, je rate bêtement, des occasions, qui pourraient, m’apporter beaucoup et, m’être positives et, profitables.

 

> Je suis trop compliqué, je me pose trop, de questions, je doute bien trop, du fait, que les choses, vont bien, se passer. Je crains, toujours, le pire, au lieu, d’espérer et, d’être certain, du meilleur. Alors, tout cela, me bloque, me décourage, au lieu, de me motiver, positivement.

 

o Je me torture inutilement, par désamour de moi-même, désespérance et, alarmisme. Je remplace donc la peur, par la confiance. Puisque je veux le meilleur pour moi, j’y crois, je me bats, en l’objectif de vaincre, non, de perdre. En ténacité rayonnante, de foi et d’espérance, j’abats mes difficultés, au lieu de me laisser abattre par elles.


 

 


Je ne fais pas, en ma vie, tout, ce dont, j’aurais envie. Je m’interdis, beaucoup trop, de choses, pourtant, bonnes, justes, pour moi. Je n’agis pas, je reste isolé. Je me sens, trop fragile, pour « affronter », les autres, en être accepté, alors, je m’autocensure, de façon stricte.

 

> J’ai peur, de ne pas faire, assez bien, d’être mal vu, exclu. Je ne suis, jamais, content, de moi. J’ai du mal, à être, moi-même, alors, je n’ose pas, toujours, m’exprimer, me manifester, surtout, quand, je ne connais pas, mes interlocuteurs. J’ai peur, d’être ridicule, que l’on se moque, de moi, que l’on me tourne, en dérision.

 

o Me mettre dans la peau du « vilain petit canard » ne fait que m’enfoncer, encore plus, dans mon marasme. Me concevoir comme un gagnant, par principe, destin, mérite légitimes, me rendra heureux, accompli, en réussite. J’arrête d’être obsédé par mon image, ma réputation, l’aval des autres. J’y suis indifférent et, je me bats pour avancer au mieux, à ma guise et, selon mes seuls intérêts. Ceux des autres passent après les miens, pas avant. Je cesse d’être trop bon, de vouloir plaire et satisfaire autrui, à tout prix. Il vaut mieux déplaire, que me nuire à moi-même, par excès de complaisance aux autres et, abus de dureté, à mon propre encontre.


 

 

Il m’arrive, d’être, avec des gens, que je connais, pourtant, bien, d’être, malgré tout, mal à l’aise et, très déstabilisé, faute, de confiance, en moi. Les autres le sentent, alors, ils font des plaisanteries, fort désobligeantes, sur moi.

 

> Je ne suis pas sûr, de mes réactions, alors, je suis maladroit, emprunté, « à côté, de la plaque ». Je me sens, donc, ridicule, honteux et, j’en souffre.

 

o Je ne parviendrai à rien, tant que je serai effacé, incertain et, infériorisé. Je dois donc, en imposer aux autres, par mon assurance, mon charisme et, ma force de conviction et persuasion. Je serai bien perçu par les autres, quand je me considérerai bien, moi-même. J’arrête de jouer les misérables, faire pitié et, je retrouve toute ma fierté, toute ma superbe naturelles et légitimes, en « redressant la tête. Au lieu de, toujours, courber l’échine » !


 

 

Ma confiance, en moi, n’est pas très bonne, car, je ne suis pas certain, d’avoir, de bons résultats, globalement, dans la vie. D’être, suffisamment, performant, digne, de confiance, d’estime ».

 

> « Je n’ose pas, agir, par excès, de doutes, peur, de me tromper. J’ai toujours, l’impression, de ne pas avoir, d’aptitudes particulières. Généralement, je me trouve « moyen », en tout, alors, je préfère, me limiter, car, j’ai des doutes, sur moi-même ».

 

o Je cesse tout fatalisme, misérabilisme, défaitisme. Je ne m’apitoie pas sur moi-même. Je suis fier de mes acquis, mes atouts, talents, mérites. Je les mets en œuvre et les fais valoir, résolument ! Ma personne, ce qu’elle implique et réalise est, en tant que telle, une bénédiction pour moi et autrui, non, une malédiction. Je m’en persuade d’urgence et, me comporte comme tel. Fier comme Artaban et, non honteux, comme le Petit Chose.


 

– Rappelons, que la confiance, en soi, revêt, une quadruple dimension. Générale basique, fondamentale. En sa personne. Relationnelle. En ses compétences -.

 

– Eudes a un caractère émotif, non actif, secondaire, Enas. Il est sensible, en retrait, du monde, introverti, timide. Il ressent, fortement, les choses, il n’est ni, volontaire ni, volontariste, mais, est plutôt, réfléchi, prudent, hésitant, comme, irrésolu. Le contraire, d’un impulsif, instinctif, pulsionnel. Il est plus « contemplatif », qu’initiateur et, acteur dynamiques -.


 

 


« Mon estime, de moi, est fort irrégulière. Quand, tout va bien, je crois plus, en moi et, j’en suis ravi. Tout est positif, à mes yeux, je me trouve, très valable. Quand, j’échoue ou, suis contrarié, je doute, de moi, de mes aptitudes, je me sens abattu. J’ai, alors, l’impression, que tout va, au plus mal, que je suis nul, archinul.

 

> L’échec sape, ma confiance, en moi. Je doute, tellement, qu’un succès ou, une satisfaction, même, minimes, me renforcent. Qu’un échec, une déception ou, une frustration, même limités, me perturbent. J’ai toujours, besoin, d’être rassuré, conforté, par des signes, de réussite, de reconnaissance et, d’approbation. Sinon, je suis rongé, par le doute, la culpabilité, la peur ou, le regret, les plus ravageurs ».

 

o Je n’ai pas besoin de l’approbation d’autrui, ni de marques de succès, pour me sentir fort, assuré et, serein. Je me suffis à moi-même, ès qualité. La vraie confiance en soi ne dépend pas des réussites et, se vérifie, même lors des pires adversités. Je n’ai pas confiance en moi, juste car tout va bien pour moi-même, mais, par principe. Car je crois en moi, même quand tout va mal pour ma personne. Je ne suis pas heureux, car j’ai tout ce que je veux, comme je le souhaite. Or, car j’ai décidé de l’être, par un acte de volonté.


 

– Effet cyclothymique, de type « bipolaire », avec oscillations régulières, entre « l’euphorie et, la déprime », selon, la seule situation, concernée. La confiance, en soi, est insuffisante, des plus fragiles, car, conditionnelle, conjoncturelle, subjective, par sa dépendance, à des facteurs externes. Qui ne relèvent pas, du junior, en coaching de vie, de sa propre volonté. Non, solide, par sa nature invariable, structurelle, objective. Car ne relevant, que de la pensée interne raisonnée, positive, optimiste et, favorable, du jeune, lui-même. Sur laquelle, il a un pouvoir, décisif, d’impulsion et, d’orientation -.


 

 

« J’ai beaucoup, de mal, à me dire, en confiance, que j’ai l’essentiel, en moi et, pour moi, pour, pleinement, « réussir, en tout et, pour tout ».

 

> Ainsi, quand, je suis soumis, à une obligation, de performance, compétence, réussite, par moyens et, résultats. Quand, je suis évalué, jaugé, jugé. Je me demande, si je vais, y arriver, en être capable, parvenir, au succès. J’ai peur, de rater, mon coup, cela, me perturbe. Or, j’ai de meilleures relations, avec les autres, depuis, que je suis entré, au lycée, en seconde.

 

o Mes capacités sont réelles, par mon travail et mes talents. C’est tout ce qui compte. Les mises à l’épreuve, les pressions extérieures, l’impératif de réussite, ne doivent pas primer. Je me recentre et concentre donc, sur mes aptitudes, bien garanties, en amont, par ma bonne préparation mentale et académique. Je sais que cela assure ma réussite. Je ne me laisse donc pas parasiter, par les doutes et craintes, pour ne pas nuire à mon succès. Je l’appuie, au contraire, par ma certitude sereine de l’emporter.


 

 

J’ai de la difficulté, à m’affirmer, en parlant, librement, spontanément, avec aisance et, assurance, aux autres.

 

> Du fait, que je ne m’aime pas, ne m’accepte pas, encore assez et, que l’image personnelle, que je donne, me paraît mauvaise, je ne suis, jamais, assuré. De ma légitimité, de moi-même, d’être assez bien, ressenti et, reçu, en allant, vers autrui. Je suis trop passif, silencieux, alors, j’aimerais être, un peu plus, audacieux, mieux reconnu, par mes camarades. Bien plus, que je ne le suis, actuellement, par excès, d’effacement, de discrétion.

 

o Croire en moi, en confiance, implique de bonnes capacités relationnelles, de communication, d’information. Je suis le seul et, meilleur ou pire agent, en image, publicité, marketing, de moi-même. J’assure donc, ma propre promotion, au mieux, auprès des autres. De façon hardie, mais, sans forfanterie. Si j’en fais trop ou, pas assez, je suis mal perçu et rejeté. Ni effacé ni, importun, je suis bien avec moi-même et, avec les autres. M’affirmant avec brio, sans pour autant m’imposer, avec inconvenance.


 

 


Je suis un garçon compréhensif, pas moqueur, sensible, respectueux, des autres, attentif et, à l’écoute, d’autrui.

 

> Or, je ne suis pas encore, assez volontaire, décidé et, conquérant, car, trop passif, suiviste et, attentiste, par crainte, manque, d’audace.

 

o Ma gentillesse, ma bonté, mon altruisme, pour les autres, sont de grands atouts humains et humanistes. Or, ils ne peuvent être pleinement bénéfiques, pour autrui, comme pour moi-même, que s’ils sont transcendés. Ce, par une bonne estime de moi-même. De fait, je ne peux gratifier, aimer, servir autrui, que si je le fais d’abord, aussi et tout autant, pour mon prochain. Mon amour propre est la garantie de mon amour, pour autrui. En m’acceptant, pleinement, comme je suis, en exigence et tolérance, je fais alors, de même, pour tous. Telle est la condition, de l’harmonie relationnelle universelle.


 

 

Quand, j’agis, mes actes sont timides. Je n’agis pas, pleinement, hardiment, sans doutes ni, états d’âme. Par exemple, en cas, d’achat désiré, je ne me décide pas, sur-le-champ, je suis obligé, de revenir choisir, plus tard. Après, avoir longuement, réfléchi, mûri, la décision, soigneusement, pesé, le pour et, le contre.

 

> Je suis hésitant, par doute, peur, de me tromper, de façon irréversible. Je suis très distrait, pas assez, attentif, j’oublie beaucoup, de choses.

 

o Je ne crois pas assez en moi et mes capacités, cela me rend hésitant, maladroit, inefficace. J’oublie mes doutes et mes atermoiements et, je me concentre sur l’essentiel. Ma bonne volonté, de faire au mieux, les meilleurs choix pour moi. Je sais ce que je veux et, je le veux vite et bien, en esprit qualitatif optimum. Il me suffit alors, d’oser choisir, décider et, agir, au mieux de mes intérêts, goûts et, aspirations.


 

 

J’ai de bonnes relations, avec mes copains, car j’apprécie, ceux, qui partagent, ma chambre, à l’internat. J’ai un très bon contact, avec mes camarades, de classe, qui viennent, spontanément, à moi. Car, ils apprécient, ma gentillesse, ma disponibilité, aux autres, mon écoute.

 

> Toutefois, j’ai encore, de grands progrès relationnels, à faire, car, je ne suis pas, assez, communicatif, reste trop mutique. J’ai déjà, commencé, à bien évoluer, favorablement et, positivement et, je continuerai, à le faire.

 

o Pour être bien et à l’aise avec les autres, il suffit de se décentrer de soi, pour se recentrer sur autrui. Ne plus penser à soi, mais aux autres, permet d’oublier ses complexes auto-dévalorisants. De profiter pleinement des qualités des autres, tout en les faisant bénéficier des siennes propres. D’être à leur écoute et apprécié d’eux, en étant tourné vers eux et, non, vers soi-même. En véritable richesse mutuelle inter relationnelle. De fait, commencer par gratifier autrui, en pleine ouverture humaine, permet d’être honoré, de même et tout autant. En retour et réciprocité. En liens gagnant-gagnant.


 

 


J’ai de la peine, à m’apprécier, du fait, de mon éducation parentale stricte, du type, de lien psychoaffectif rigide, qui nous unit. Non, par manque, d’amour, mais, du fait, de l’excès familial, d’exigence, de pressions. Car, aussi, je ne suis pas, toujours, « en conformité », avec les attentes, réelles ou, supposées, de mes parents.

 

> En leur propre jeunesse, mes ascendants, aimaient bien, organiser, toutes sortes, d’activités et, de manifestations. Ils en exigent autant, de moi. Or, je suis bien « différent », d’eux et, cela, ne correspond pas, à mes envies, goûts ni, à ma personnalité. Ils m’en font, tout le temps, reproche. Alors, je me dévalorise et, doute, encore plus, de moi et, de mes qualités ».

 

o Je dois me conformer à moi-même, ma personnalité, mes goûts, souhaits et, volontés. Non, aux autres ni, à leurs désirs pour moi, fussent-ils mes parents. Eux, sont eux, aujourd’hui comme hier, moi, c’est moi ! Je ne tiens donc, jamais d’office, compte, des desiderata d’autrui, à mon égard, mais, des seuls miens, en premier. J’existe pour et par moi-même, d’abord. Les autres ne viennent qu’en second. Je ne peux être heureux et me réaliser, que si je suis en plein accord avec mes priorités, pour moi. Si cela n’est pas le cas, si je ne fais qu’obéir aux oukases extérieurs, à mon égard, donc, à mon encontre, je raterai ma vie. Car je serai alors, en conflit intérieur, insoluble et ravageur, avec moi-même, gage de mon malheur.


 

– Gare, aux projections parentales, sur l’adolescent, en mentorat et, à leur désir, de conformation, du junior, à leur image, à eux. Ce qui peut occasionner, bien, des ravages, chez le jeune fragile, incertain, de lui-même. Ce dernier doit, toujours, se voir encouragé, à développer, ses propres schémas mentaux, émotionnels et, comportementaux -.


 

 

« Je me trouve, plutôt, sympathique, pondéré, « bon camarade », loyal, ouvert, aux autres et, généreux car, de nature altruiste.

 

> Cependant, je manque, d’initiative, je suis entêté, plaintif, m’apitoie, sur moi et, me décourage, trop vite et, facilement. Car je m’autodévalorise, constamment.

 

o Jouer aux éternelles victimes me dessert et, ne sert qu’à détourner les autres de moi, m’en faire maltraiter et, déprécier. Il convient de retrouver ma pleine fierté, sans arrogance pour autant, pour être respecté, recherché, aimé. Me montrant assuré, maître de moi-même, serein, en véritable « force tranquille ». Non, en geignard faisant pitié et, cherchant la commisération, mais, en leader rayonnant, qui surclasse tout et tous. Avec aisance et humilité, tout à la fois.


 

 

En début, de seconde, j’ai dû, m’adapter, par rapport, au collège, j’ai eu, de mauvaises notes. Je me suis, alors, autodéprécié.

 

> Par manque, de confiance, n’étant pas certain, de « corriger, le tir », doutant, de mes facultés, à le faire, je me suis convaincu, que c’était « fichu ». Que je n’y arriverais jamais.

 

o Le pire n’est jamais certain ni acquis ! Être en difficulté n’implique ni, un déshonneur de démérite ni, une fin désastreuse inéluctable. Un redressement, spectaculaire et durable, est toujours possible. C’est là-dessus qu’il faut toujours escompter. Pour cela, il convient, non de m’accabler, de façon passive, fataliste, défaitiste. Or, de faire face, d’agir, de me battre, sans relâche, jusqu’à la victoire finale, quoi qu’il en coûte. Car, ce qui ne m’anéantit pas, me sauve, en me rendant plus résilient.


 

 


Comme, je n’ai nulle confiance, en moi, je ne suis pas assuré, de pouvoir réussir. Comme, les autres, me semblent, y parvenir, en être capables et, pas moi, je me sens, moins fort, qu’eux, j’ai l’impression, qu’ils sont plus aptes, que moi.

 

> Je crois, donc, que je ne peux pas, les égaler ou, dépasser. Je me condamne, moi-même, car, je ne crois pas, assez, en mes capacités, qualités ou, compétences, du fait, de mon manque, de confiance, en moi.

 

o Je cesse d’avoir, toujours, le préjugé négatif, à mon égard, me faisant croire, à tort, à mon indignité permanente supposée. Comme si elle était réelle et, non fausse, de fait. Pour cela, j’arrête de penser les autres, toujours « mieux que moi » et, moi, toujours « moins bien qu’eux ». Ils peuvent, tour à tour, être « bons » ou « mauvais », comme « neutres », selon les occurrences et critères, objectifs et subjectifs. Tout comme moi-même, à égalité. Nul n’est toujours, en tout et pour tout, « maudit » ni, « béni des dieux ». La plupart des humains sont, en réalité, ni « inférieurs » ni, « supérieurs », mais, « moyens », donc, « égaux » ! Comme tous, j’ai des atouts à faire valoir et, des défauts à corriger. Alors, à moi de me positionner, au mieux, pour réussir et m’épanouir, sans m’accabler, sans cesse. Ni me surestimer, pour autant.


 

 

J’ai de grands accès, fort pénibles, d’abattement, de tristesse, d’inertie, de lenteurs, de troubles, du sommeil, de façon cyclothymique.

 

> Je me rabaisse, me dévalorise, ne m’aime pas, ne m’accepte pas, tel, que je suis. Je suis en guerre, contre moi-même, me rejette. Par manque, de foi, en ma valeur, ma personne, mes capacités, par difficulté, à tenir toute ma place, parmi, les autres.

 

o Je suis mon pire ennemi, au lieu d’être mon meilleur ami ! Je n’ai ni estime ni, confiance ni, affirmation de moi-même. Cela perturbe mes pensées, émotions et, comportements. Alors, je ne crois pas en moi, ne m’aime pas, me rejette. Tout comme ma vie, l’existence et, autrui. Je suis bloqué, en tout et pour tout. Pour conjurer cette véritable malédiction auto-imposée, je dois donc me réconcilier, avec moi-même. Pour cela, je décide enfin, de m’accepter, tel que je suis, non, tel que j’aurais aimé être. En humilité et fierté, tout à la fois. Je fais le deuil, en renoncement, de ce que je ne pourrai jamais être, paraître, faire ni, avoir. J’apprécie pleinement mes acquis actuels. Je m’en contente, tout en me battant, pour en obtenir plus et mieux encore. En ambition passionnée, mâtinée de réalisme raisonnable.


 

 

Depuis, toujours, mes parents sont très et, trop exigeants, à mon égard. Ils mettent trop l’accent, la pression, sur mon devoir, de performance, résultats et, de compétences.

 

> Cela, me culpabilise, car je pense, que mon père et, ma mère ont, en partie, raison. Cela, aboutit, à me décrédibiliser, moi-même, me déconsidérer, démobiliser. Beaucoup, souffrir, très inutilement. Manquer, encore plus, d’assurance.

 

o L’essentiel, pour moi, est d’être exigeant, à mon propre égard, non, que les autres le soient, pour moi. Seule vaut l’exigence, que je m’impartis, à moi-même. C’est à moi seul, qui connais le mieux ma personne, mes capacités, objectifs, de me prononcer, à ce sujet. Selon mes propres critères et, degrés de performance, voulus par moi. Il m’appartient d’atteindre mes propres limites d’incompétence. De façon réaliste et ambitieuse, accessible et maximale. Je réalise, au mieux, ma vie, pour moi-même, non, pour les autres. Je poursuis donc, mes propres objectifs, pour et par moi-même, à ma guise, ma façon. Non, ceux d’autrui, voulus par eux, pour moi. Seulement compte ce que je veux, pour ma personne ! Les autres ne décident que pour eux-mêmes, pas pour autrui ni, pour moi-même.


 

 


J’hésite, toujours, à inviter, mes copains, chez moi, car j’ai peur, qu’ils s’ennuient et, soient mécontents, de leur séjour et, de moi.

 

> Je suis, trop peu sûr, de moi, de mes aptitudes, à satisfaire, les autres, leur plaire. Je suis, toujours, persuadé, de ne pas être, avoir, faire, paraître, ce qu’il faut et, ce que je devrais.

 

o J’attends trop du jugement des autres, sur moi-même et mes « œuvres ». Je veux trop leur complaire, à tout prix. Me sentant toujours indigne de tout, aux yeux de tous, je me crois éternel « obligé transi ». J’arrête d’être perfectionniste, de trop exiger de moi et, pas assez des autres. L’essentiel n’est pas, comment ils perçoivent et jugent, ce qui vient de moi et aussi, ma propre personne. Or, ma façon à moi, de m’évaluer moi-même et, ce que je fais ou non, dis ou non. En conscience et souveraineté. Seuls comptent ma bonne volonté, mes efforts, pour être et faire, au mieux, ce que je peux. Le reste n’est que « l’écume des jours ».


 

 

Parfois, quand, j’ai de mauvaises notes, je me sens incapable, de « remonter la pente » et, je me décourage, me sens fort abattu.

 

> Par rejet et, « désamour », de moi-même, je ne me sens pas capable ni, même, digne, de réussir. J’entretiens trop, de doutes, d’incertitudes, à mon sujet, ce qui me fragilise.

 

o Je dois, quoi qu’il arrive, même en les pires difficultés, me penser comme voué au meilleur, non au pire. À la réussite, non à l’échec. Au bonheur, non au malheur. Avant que d’être réalité tangible et pour cela, la plénitude est état d’esprit. Compte, d’abord, non l’effectivité de mes résultats, même les pires, mais ma volonté et ma certitude de vaincre, réussir. Je crois donc en ma victoire, m’en fixe les objectifs, m’en donne les moyens, les mets en œuvre, sans relâche, jusqu’à mon succès final, acquis et incontestable.


 

 

Dans mon intérêt, j’étais convaincu, pour combler, mes lacunes, de devoir, me faire aider, par un tutorat scolaire, au lycée. Mes parents ont dû, m’y pousser, fortement, car je n’arrivais pas, à oser, en parler, à mon professeur, de mathématiques. Ayant, forte crainte, de ne savoir, quoi, lui dire ni, comment, lui exprimer, ma requête.

 

> J’avais peur, de ne pas savoir, comment formuler, ma demande, par excès, de timidité sociale et, défaut complet, d’assurance.

 

o Pour trouver, je dois chercher. Pour obtenir, il me revient de demander. Pour être agréé, il me faut solliciter. Ma requête étant fondée, légitime, raisonnable, je peux prétendre la formuler et, à son acceptation. Le refus est toujours possible mais, jamais assuré, probable. Je ne dois donc pas le craindre ni, même y penser. Je ne me focalise que sur mon souhait juste, d’un accord concernant ma juste demande et, sur ma chance maximale d’un agrément. Ma foi à ce sujet et, ma force de conviction ont, alors, toutes latitudes de l’emporter, au profit de ce que je souhaite obtenir. En « prophétie autoréalisatrice » positive, de croyance optimale optimiste.


 

 


Mes camarades, ont, toujours, eu tendance, à « se payer, ma tête », à ne pas, assez, me prendre, au sérieux, en compte, considération. Me traitant, comme, « vile quantité, négligeable ». Me laissant, de côté, d’autant, que je restais, passif, solitaire, en mon coin, m’excluant, aussi, ainsi, totalement, moi-même.

 

> Alors, de ce fait, je ne me suis, jamais, senti important, crédible, valable, intéressant, notamment, à l’égard, de mes semblables jeunes. J’en ai souffert, cela, me perturbe, m’empêche, de m’affirmer, comme, j’aimerais, pouvoir, le faire !

 

o Lors de la jeunesse, les semblables pairs générationnels sont capitaux. L’on s’évalue constamment à leur aune. Être adoubé, agréé par eux est salvateur, être jugé non conforme et rejeté est ravageur. Mes congénères jeunes me maltraitent, car ils perçoivent bien, que je ne m’apprécie pas moi-même. Leur regard sur moi ne pourra changer, que si je modifie, moi-même, ma propre vision de ma personne. Je décide donc, de me considérer comme valeureux, de façon constante, quoi qu’il advienne. Alors, ils en auront conscience, auront de la considération pour moi et, me respecteront. Si je crois en moi, ils feront de même. Je serai traité, comme je me traite moi-même. En bien, comme en mal.


 

 

J’ai quelques amis, mais, je reste discret, en ma classe. Je ne fréquente, que mes copains proches et, familiers, car je les connais bien et, cela, me rassure et, me protège. Or, j’évite, toujours, d’aller, vers d’autres jeunes inconnus, symboles, d’incertitude, de peur ou, de crainte, de rejet ou, de risques, pour moi. L’on ne me remarque ni, ne m’entend.

 

> J’ai du mal, à m’ouvrir, sur autrui, me dévoiler, sortir, de moi-même. Car, par fort mauvaise image, de moi, je suis très hésitant, pas assez, réactif ou, actif. Alors, même si, d’aventure, je parviens, à vaincre, mes résistances intérieures, à me manifester, il est, généralement, trop tard. Je m’en veux, regrette. Ce qui ne fait, qu’aggraver, mon malaise, en cercle vicieux, qui s’autoreproduit, à l’infini.

 

o Plus je crains autrui, plus je me replie sur moi-même, plus je souffre de solitude, moins mes liens aux autres sont harmonieux. Il me faut donc aller vers eux. Pour cela, je cesse de m’obséder de mes défauts et, inaptitudes personnels et relationnels, réels ou supposés. Je me recentre sur les qualités d’autrui, sur mon intérêt donc, pour mes semblables et, sur l’avantage pour moi, à aller vers eux. Pour un maximum d’échanges, de rencontres riches et fructueux, pour tous. Mon « envie des autres » doit l’emporter, sur mes craintes et réticences. Cela est possible, quand l’autre est envisagé comme chance et bénéfice, non, comme risque et désagréments !


 

 

Avant, de faire, une démarche, en direction, de jeunes, dont, je ne suis pas proche, de me dire, me révéler, auprès, d’eux, je me demande, toujours, ce que je vais bien, pouvoir dire. Me sentant, emprunté, gauche, mal à l’aise et, « de trop ». Si je vais être, accepté, bien accueilli, compris, apprécié, approuvé.

 

> Je ne connais pas, les élèves externes, de ma classe, aussi bien, que mes condisciples internes, alors, je suis intimidé et, impressionné. Je ne suis confiant, à l’aise, que si je connais bien, ceux, que je suis amené, à rencontrer. Par préjugé défavorable, sur moi-même, inquiétude, face, à ce que je ne connais ni, ne maîtrise.

 

o L’inconnu fait peur, quand il est appréhendé comme menace, danger, risque. Il attire, quand il est considéré, comme source d’enrichissement mutuel positif. Au lieu de me laisser guider, par l’irrationnel craintif, je me fie plutôt, à mes envies les plus raisonnées et profondes. Cela me permet d’oser agir, sans le frein le plus rédhibitoire, de mes pensées les plus inhibitrices. Notamment, pour me garantir une vie sociale et relationnelle, satisfaisante et épanouissante, choisie. Plutôt, qu’une solitude mutilante subie. Fréquenter mes semblables devient, alors, une joie naturelle et non plus, une gêne anxieuse, de tous les instants.


 

 


Si une personne, que j’apprécie, je connais, parle, avec quelqu’un d’autre, j’ai du mal, à me joindre, à la conversation. Alors même, que j’en ai fort envie.

 

> J’ai très peur, de m’immiscer, dans un échange, déjà, entamé, sans moi, alors, d’être mal reçu, perçu. Je table toujours, sur le « pire », ce qui me tétanise, au lieu, de me convaincre fort, du « meilleur », ce qui m’encouragerait plus, à oser, aller, de l’avant. Par pessimisme, manque, de foi, défaitisme accentués ».

 

o Mon image désastreuse, de moi-même et des autres, m’empêche de participer à toute vie sociale, avec mes pairs. Par pessimisme généralisé défiant, de principe. En optant pour un optimisme confiant convaincu, je m’apaise et, positive ma vision de moi-même, d’autrui, de mon lien mutuel aux autres. Cela me permet de les rejoindre, de participer harmonieusement, à toute interaction avec eux. De les apprécier et d’en être estimé, de même. Pour le plus grand profit de tous.


 

 

Eudes fait un test, en mentorat, pour évaluer, son niveau, de confiance, en lui. Cela, concerne quelques champs principaux, caractéristiques, de la foi, positive ou, négative, en soi. Sur sa personne, sa valeur, ses capacités, son assertivité.

 

Cela regroupe les aptitudes. Les choix. L’inhibition. La performance. Le doute. L’introversion. Le risque. Le pessimisme. L’apitoiement, sur soi, l’autodévalorisation. Le perfectionnisme. L’incapacité, à s’opposer, à défendre, ses intérêts, s’affirmer. La répugnance, à accepter, les gratifications. La difficulté, d’émettre, des préférences, dire, ses positions, priorités.

 

La fragilité, l’incertitude, face, aux remises, en cause, de soi, par, autrui. L’effacement. Le sentiment, d’indignité et, de déchéance. L’autodénigrement, le rejet, de soi-même. La sous-estimation, de soi, comme, la surestimation, d’autrui. L’autoagression, le désamour, la déconsidération, de sa propre personne. La déstabilisation, de soi, par suspicion permanente, sur soi.

 

> Eudes obtient, alors, aux items, un score total, inférieur, à la moyenne, de cinq points. Le test sera refait, en fin, de coaching-mentoring, pour bien mesurer, tous progrès, accomplis.


 

 

« Souvent, quand, j’échoue, je remets, en cause, ma valeur personnelle globale, non, seulement, celle, de mes actes.

 

> Je confonds, les deux, par préjugé défavorable, contre, moi-même. Alors, quand, je rate, une chose, je suis convaincu, que je suis condamné, à le faire et, reproduire, à jamais, définitivement. En sorte, de mauvaise fatalité, qui s’acharne, sur moi ! Je suis très pessimiste et, défaitiste. Cela, m’attriste, me décourage fort, alors, je renonce, j’abandonne. Sans être capable, d’imaginer, qu’un blocage est provisoire, réversible et, que c’est, à ma portée.

 

o Ma valeur personnelle d’humain n’est pas liée, à mes comportements ni, à mes résultats et performances. Elle ne relève que de moi-même, en tant que personne unique, qui se suffit à elle-même. De bonne volonté, faisant et étant de son mieux. Me convaincre de cette réalité d’évidence, me permet d’être indulgent et bienveillant, avec moi-même. Plutôt que de m’agonir sans cesse, des pires reproches et, des pires « tares » supposées. Je me considère alors, comme digne, méritant le meilleur et non indigne, voué au pire. Cela me fait surmonter mes échecs et épreuves, les transformer et transcender, en succès et félicités. Il n’y a ni malédiction ni fatalité mauvaises, mais, toujours, espérance et possibilité du bien, du mieux, du meilleur, pour moi et autrui.


 

 


En classe de quatrième, mes copains se moquaient, de moi, du fait, que j’étais, avec une fille, qui était, ma petite copine. Je me suis, alors, défendu, bien trop mollement, maladroitement et, j’ai laissé, les autres, « me juger », impunément.

 

> Je n’avais pas, assez, de charisme ni, d’ascendant, sur mes camarades, pour pouvoir, m’affirmer, comme, il l’aurait fallu, à leur égard. Leur faire cesser, leur harcèlement indu. N’ayant pas, assez, de respect, pour moi-même, je n’avais pas, la possibilité, de susciter, d’exiger et, d’obtenir, la considération, des autres, à mon égard.

 

o Je laisse, toujours, par principe, prééminence et préséance aux autres, sur moi-même. À leur seul profit et à mes dépens. Ce qui leur permet les pires abus sur moi. J’apprends alors à me préserver, en étant désormais, totalement hermétique et indifférent, aux opinions et réactions d’autrui, à mon égard. Cela me permet d’être libre et souverain, en toute sérénité, pour tout ce qui me concerne et, a trait à ma personne. Sans être parasité, par tout ce qui est hostile et externe à moi. Ainsi, seuls m’importent mes choix propres de vie. Sans me préoccuper des vaines et stériles agitations extérieures. Car « si les chiens aboient, la caravane passe quand même » !


 

 

Or, depuis, j’ai appris, à mieux, défendre, mes droits. J’ai su imposer, à tous mes camarades, de chambrée, de me laisser « dormir, en paix », à l’internat.

 

> Commençant, à acquérir, plus, de confiance, en moi, également, de force mentale, je sais être, plus crédible et, convaincant, pour me faire entendre.

 

o J’ai compris que, pour être respecté et préservé, ici-bas, par les autres, les seuls bons sentiments sont inopérants. Je ne peux faire confiance par principe ni, tabler sur la droiture d’autrui, à mon égard, d’office. Je dois donc, instaurer un minimum de « rapports de force », de limites, préservations, règles et, principes. Concernant mes justes droits et intérêts légitimes. Tout en respectant ceux des autres. Cela me permet de ne pas être lésé, sans pour autant abuser, moi-même, d’eux et même, d’être apprécié par eux. Car seuls ceux qui se battent, affrontent autrui sans peur, font valoir leur intégrité et souveraineté, sont estimés et considérés. L’on peut regretter cet aspect « peu civilisé et primaire » de l’humain, mais telle est, hélas, sa profonde nature archaïque, depuis toujours.


 

 

J’essaye, de ne plus, me croire, obligé, de toujours, devoir, me justifier et, prouver, « tout et, son contraire », aux autres et, à moi-même, aussi.

 

> Ma valeur et, légitimité propres, ne dépendent, exclusivement, que de ma seule personne, non, de mes actes et, résultats.

 

o Comme humain, à part entière, libre et souverain, je me suffis à moi-même. Dans le respect plein et entier d’autrui. Je n’ai donc ni garanties, ni explications, ni comptes à rendre, à quiconque, concernant ma personne et ma vie propre. En leurs choix et décisions. De même que je n’en exige pas des autres. Seule prévaut ma conscience interne et non, ce que l’univers pense et attend de moi.


 

 


Je pense, que le temps passe, trop vite, cela, me stresse. Je suis, toujours, anxieux, des échéances, à venir, j’aimerais, avoir, plus, de temps, disponible, pour faire, plus, de choses. J’ai très peur, de manquer, de temps, j’ai l’impression, qu’il me mène, bien plus, que je ne le maîtrise, moi-même, véritablement.

 

> Mon anxiété excessive m’inquiète, inutilement, me démotive, démobilise et, paralyse, parfois, plus, que de raison.

 

o L’inquiétude généralisée systématique de tout et, de son contraire, ne mène qu’au chaos. Cela provient, de ma crainte de ne pouvoir agir sur ma vie et, la dominer. Or, de ma certitude de mon impuissance et, d’être mené par les événements, les autres, l’existence. Je dispose, pourtant, toujours, comme tous, de mon libre-arbitre, de toute latitude pour conduire ma vie, comme je l’entends. Sans me laisser dominer que par moi-même. Y compris, en maîtrisant pleinement mon emploi du temps, sans crainte d’en manquer. Ces peurs sont irrationnelles, non fondées, la plupart du temps. Pour être serein, me libérer de mes entraves d’angoisse, je relativise, raisonne, positive. Au lieu de craindre le pire, par sentiment de faiblesse et d’incapacité, je crois au meilleur. Par certitude de ma solidité mentale et, de mes aptitudes les plus sûres.


 

 

Je me suis senti « perdu » et, désorganisé, en début, de seconde, du fait, de mauvaises notes. Souvent, dans les épisodes, les plus difficiles, pour moi, au lieu, de proagir, énergiquement, « j’hiberne ». Faute, de vouloir, voir, la « solution », d’y croire, de… l’appliquer !

 

> Je ne m’obsède, que du « problème », par pessimisme, manque de foi, en moi, mes aptitudes. Ce qui ne fait, que me bloquer, encore plus, faute, de mouvement, optimiste positif, de ma part.

 

o Je suis plus fort que je ne le crois et, plus que mes difficultés. Je refuse de me laisser abattre par elles, mais je décide, au contraire, que c’est bien moi qui en viendrai à bout. Je ne m’en laisse pas impressionner et, je les combats vaillamment. Je les attaque donc résolument, les unes après les autres, jusqu’à les annihiler, totalement et définitivement. Ainsi, je me prouve à moi-même, que j’avais surestimé mes problèmes et, sous-estimé ma personne et, mes capacités à les vaincre. Je crois en moi, pas à l’adversité !


 

 

J’ai du mal, à agir, m’endormir, être serein, j’ai, souvent, des insomnies et, des crises, fort éprouvantes, d’anxiété.

 

> Je suis trop inquiet, par nature, notamment, en matière scolaire. Quand, il y a obligation, de performance, compétence, résultats, j’ai peur, de ne pas, y arriver. Par fort doute, sur moi-même, mes aptitudes, mon efficacité, mes qualités ».

 

o Je me laisse gouverner par mes peurs injustifiées, irraisonnées et, irrationnelles. Plutôt que par ma conviction fondée, logique, avérée, de ma paix intérieure. Mes craintes me font échouer. Ma sérénité m’assure épanouissement, succès et, prospérité. Plutôt qu’à mes phobies déraisonnables, de dangers imaginaires, je fais appel à ma « sagesse » paisible, apaisée et, apaisante. Par nature, je suis voué au meilleur, pas au pire. Il me suffit donc, de me contenter d’être et de faire, au mieux, pour me garantir de l’essentiel. La satisfaction joyeuse du devoir accompli et bien accompli. En confiance, conscience et, bonne volonté.


 

 


Eudes, seize ans


 

 


Suivi androJeunologique

Cognitif, émotionnel, comportemental

De l’estime, la confiance, l’affirmation, de soi


 

Paris, 2004


 

 


UN ANDROJEUNOCONSEIL®

« RE/FONDATEUR DE VOUS »


 

 


Cognitif, Émotionnel, Comportemental

De la Confiance en Vous, de Junior XY


 

 


II


 

 

– Vos Schémas Toxiques –


 

 

« Dès, le début, de ma classe, de seconde, je me suis convaincu, mordicus, que je n’étais pas capable, d’être admis, en première S, selon, mon désir. Suite, à un premier mois, de scolarité, difficile. Par rapport, au collège, la chute, des notes, a été très spectaculaire, il a fallu, aussi, m’adapter, au milieu hostile, de l’internat. J’étais fort « dégoûté », d’autant que, généralement, je n’aime pas l’école, l’effort, travailler. Alors, si, en plus, les notes dégringolent, je suis, totalement, démotivé, découragé, abattu.

 

> L’obligation, de réussite, les pressions, tensions, les impératifs, me paralysent, par manque, de confiance. Au lieu, de me galvaniser, en émulation, comme, c’est le cas, de mes camarades, qui croient, de façon inconditionnelle, en eux.

 

o Je suis déstabilisé, face à toute adversité, difficulté, exigence, nécessité d’adaptation. Pour ne plus me laisser impressionner ni, intimider, face à cela, j’arrête de me sentir démuni, impuissant, faible, incapable. Je me considère, désormais, comme apte à surmonter tout obstacle, quel qu’il soit, même semblant infranchissable. Ce n’est pas la réalité difficile, elle-même, qui m’affecte, mais la façon alarmiste, catastrophiste, dont je la perçois. Ce n’est pas car il y a difficulté, que je m’effondre, mais car je suis craintif, que je suis impuissant à m’en sortir. Alors, je cesse de me sous-estimer, d’avoir peur, d’être passif. Je me revalorise, je suis confiant et, je me bats, par l’action résolue réussie !


 

 


Il m’arrive, d’organiser, une activité, que la plupart, des copains, acceptent. Sauf, un seul, qui refusera, alors, d’y participer, car il ne trouve pas, ma proposition, assez intéressante. Bien, qu’il soit donc, le seul, à être sceptique, critique, contrairement, à tous, les autres, cela, suffit, à me décourager. Je ne vois, que celui, qui s’oppose, à moi, non, tous, les autres, qui pourtant, m’approuvent. Cela, me perturbe, me gâche, ce qui, sinon, serait cool.

 

> Je doute et, suis trop, négativement, influencé, par mon contradicteur, très minoritaire, non, positivement, par mes partisans, si majoritaires. Je suis trop incertain, de mes choix, décisions, trop peu sûr, de moi-même.

 

o Mon manque de confiance me rend pessimiste. Je ne vois donc, que le verre à moitié vide, plutôt que plein et, ce qui ne va pas, non, ce qui va bien. De façon réelle ou supposée, objective ou subjective. En parti pris arbitraire dépréciateur, systématique démoralisant. Je dois me recentrer sur l’essentiel majoritaire, positif optimiste, plutôt que sur le secondaire minoritaire, négatif défaitiste. J’apprécie ce que j’ai de bénéfique, plutôt que de déplorer ce que je n’ai pas d’attractif ou, ce que j’ai de moins estimable et estimé, à mes yeux. Ainsi, je serai plus satisfait, contenté, apaisé, donc épanoui. Plutôt que me tourmenter inutilement, en outre, pour des réalités mineures, voire imaginaires.


 

 

Quand, quelqu’un, ne m’aime pas, me le fait bien sentir, je me sens, souvent, blessé. Je me dis, que je ne suis pas capable, de plaire, que je suis donc, trop inintéressant, « mauvais », pas assez « bon » ou, méritant.

 

> Mon estime, de moi, déjà, très basse, s’effondre alors, je doute fort, de mes atouts et, potentiels, je perds, encore plus, confiance, m’affirme, encore moins, mal ou, pas. Puis, je perds, tous mes moyens, renonce, à me battre, j’échoue.

 

o J’ai une image de moi-même des plus déplorables. Alors, la moindre marque d’autrui défavorable, à mon encontre, ne fait que la confirmer et la renforcer. Ce qui me détruit encore plus. Les autres ne peuvent me blesser, que si je me blesse d’abord moi-même et, suis déjà atteint, donc, vulnérable et atteignable. En ayant une bonne estime de moi-même, les signes extérieurs contraires ne pourront plus me nuire. Croyant en moi et ma valeur, de façon inconditionnelle, quoi qu’il arrive, je suis indifférent aux attaques d’autrui et, m’en moque éperdument. Je les neutralise ainsi, devenant protégé et inaltérable, donc serein et heureux. Je ne laisse plus aux autres le pouvoir de me nuire, en aval, puisque leur hostilité est brisée net, en amont. Constatant leur impuissance à m’atteindre, ils finissent par cesser toute tentative offensive, car ils savent que cela est vain.


 

 

En classe, de troisième, je voulais, organiser, une activité, entre amis. Pour être sûr, que cela, soit accepté, j’ai pris, grand soin, de tous, les interroger, sur l’adhésion ou, pas, à mon projet. Je voulais, à tout prix, me garantir, de l’assentiment, de tous, car, n’étant pas assuré, moi-même, de l’intérêt, de ma propre idée.

 

> J’avais peur, de la réaction négative, de mes copains, à mon égard, si jamais, ils avaient été déçus, par, ce que je leur offrais. Par autopréjugé, très négatif. Manquant, de force mentale, j’ai trop besoin, de l’accord, des autres, pour exister, m’imposer. Mon image, l’opinion, d’autrui, sur moi, m’importent, alors, bien trop.

 

o Je doute tellement de moi, que j’ai toujours besoin de signes de soutien, de compréhension, d’encouragement, d’approbation d’autrui, à mon égard. Cela me rend dépendant des autres, donc vulnérable, faible, indécis, dominé. Je retrouve ma liberté, mon indépendance d’action et, de jugement, en m’affranchissant de tout assentiment, avis extérieur. Je me suffis à moi-même, mon libre-arbitre. Ne me fiant qu’à ma seule conscience, interprétation, évaluation des circonstances, personnes, réalités.


 

 


Quand, un ami et, moi-même, voulons, deux choses, opposées et, différentes, j’ai tendance, à m’incliner, opter, pour la préférence, de l’autre, non, la mienne ! Même si, cela, ne me convient pas ! Alors, je suis perdant, je subis, regrette, en silence. Je fais, par principe, toujours, passer, mes intérêts, après, ceux, des autres et, les leurs, avant, les miens.

 

> J’ai peur, de déplaire, de ne plus être, apprécié, d’être rejeté, abandonné, si je m’impose. Ce qui impliquerait, pour moi, qui ne m’aime déjà, pas beaucoup, une perte, d’amour, d’amitié, une estime, de moi-même, encore, bien plus, amoindrie. Cette peur, si panique, d’être délaissé, résulte, d’un fort sentiment, de fragilité, de faiblesse, de vulnérabilité, d’infériorité.

 

o Par principe de conviction d’infériorité, je m’efface toujours, au profit d’autrui et, à mes dépens. Je dois donc réévaluer, à la hausse, le sentiment de ma propre valeur. Je retrouve ainsi, ma liberté de jugement et d’appréciation. J’ose m’opposer fermement aux autres, en cas de désaccord et, affirmer posément ma propre opinion. En argumentant et convaincant, de façon pertinente et acceptable, je peux même faire prévaloir mon point de vue, mes préférences. Au détriment de ceux d’autrui. Non, par la force, mais, par leur supériorité démontrée et, en l’intérêt manifeste de tous !


 

 

Si un bon copain, me parle, d’un film de cinéma, « en bien », alors, que je lui ai, au préalable, dit, que je ne l’ai pas aimé, je m’empresse, donc, de tempérer, mon opinion, bien plus positivement.

 

> Par peur, de mécontenter, autrui, d’être rejeté, manque, de confiance, en la sûreté, de mes jugements, je préfère, ne pas être franc et, plutôt, dire, « comme, les autres ». Ce qui m’assure, de leur « bénédiction », à mes yeux, même, au prix, de renoncer, à ce que je pense, vraiment. Plutôt, qu’être, moi-même, quitte, à être « dissonant », mais, alors, au fort risque, selon, moi, d’en payer, le mauvais prix, à mes dépens. Par mécontentement, d’autrui, à mon encontre.

 

o Je cesse d’être, systématiquement, complaisant et trop bon, en devenant enfin vrai, sincère et, authentique, à mes yeux, comme à ceux d’autrui. J’ose m’affirmer, en vérité et non, faux semblant. Sans me préoccuper des réactions d’autrui. La vérité, en m’opposant et déplaisant, vaut toujours mieux, que la dissimulation et le mensonge. Dans l’agrément et la conciliation, de pure apparence. En outre, complaire toujours, par la tromperie, est vain. Les « bénis oui-oui » et, les « neutres transparents » indisposent toujours. Vouloir toujours plaire à tout le monde, aboutit à se faire détester par tous ! Seules les personnalités les plus tranchantes et affirmées sont appréciées et respectées !


 

 

Souvent, pour « m’attirer, toutes les bonnes grâces », de mes amis, en être « bien vu », j’essaie, de leur rendre service, de les satisfaire, au mieux.

 

> Je n’ai pas confiance, en mes capacités, à être accepté, des autres. Alors, je pallie, ce manque, en « faisant plaisir », pour être assuré, d’être apprécié, non, rejeté.

 

o Il est grand temps, de me préoccuper de moi-même, mes intérêts, souhaits, préférences, donc, de mon épanouissement. Non, d’autrui et de ceux des autres. Mon premier devoir est de me gratifier moi-même et, non autrui, qui doit passer après moi, non, avant. C’est en étant bien servi, par moi-même d’abord, que je pourrai alors, bien honorer les autres. Charité bien ordonnée, commence toujours par soi-même !


 

 


J’ai, surtout, pleine confiance, en mes seuls amis fidèles, sûrs et, connus, par moi, de longue date, en complicité et, affinités réciproques.

 

> Je sais, qu’ils me connaissent bien, aussi, qu’ils m’apprécient, de façon inconditionnelle et, acquise. En cas, de difficulté, ils seront, donc, plutôt, « indulgents », me conserveront, leur amitié. Ce qui me garantit, un sentiment, de sécurité et, de bien-être.

 

o Cela est une sécurité illusoire, fragile, incertaine, qui ne me garantit rien sur la durée. Elle ne fait que me limiter et m’enfermer, par faiblesse craintive. Elle ne conduit qu’à renforcer mon marasme et, ma vulnérabilité réelle. Je quitte donc, ma vaine zone de confort, facile et factice, en m’exposant à ce qui me fait peur : les autres inconnus, le risque, le grand large. Fuir, en évitement systématique, ce que je crains, ne fait que renforcer mon inquiétude. Me confronter à ce qui me terrifie, me permet de conjurer ma peur, en l’apprivoisant. Je me rassure, en constatant que je l’ai dominée, surmontée, vaincue, en osant la nouveauté et, en la vivant très bien. Bien plus et mieux, que ce que je craignais, en aisance naturelle. Le vaste monde est plus intéressant et bénéfique, pour moi, que mon seul petit « pré carré » habituel, familier, rassurant, mais appauvrissant.


 

 

En début, de seconde, du fait, de mes mauvaises notes, en mathématiques, je me suis dit, que j’étais nul et, que je ne m’en sortirais pas, ne serais pas accepté, en première S. Que je serais, alors, obligé, de redoubler, ma seconde.

 

> Incertain, de moi-même, de mes capacités, j’imagine, toujours, le pire. Mes mauvais résultats, me convainquent, encore plus, de fort douter, de mes aptitudes, que j’estime, encore plus, basses, qu’auparavant. Ce qui me rend, encore plus, amer, négatif, sur moi-même.

 

o J’arrête de me faire inutilement peur et, de façon contre-productive, comme les enfants. Le grand méchant loup caché sous mon lit, prêt à me dévorer, n’existe pas. Je cesse tout catastrophisme, alarmisme, pessimisme. Je ne pense plus à des sujets de crainte, réels ou supposés, mais, à des stratégies adéquates d’action, pour garantir le meilleur pour moi. Cela me permet de rester serein, même en difficulté, d’agir pour réussir et, de gagner. Ainsi, je n’ai pas peur du pire, cela m’en protège, m’assure le meilleur. J’exorcise mes craintes, elles ne se produisent plus, ni ce qui en était l’objet.


 

 

Quand, j’organise, des réunions, avec mes copains, généralement, tout, se passe bien. Pourtant, même, en ce cas, j’ai malgré tout, l’impression, que certaines choses, ne vont pas, à tort ou, à raison. Je ne vois plus, que cela, oubliant, alors, que l’essentiel, est des plus positifs, pour moi.

 

> Je ne crois pas, être capable, d’organiser, quelque chose, de valable, pour les autres. Je me persuade, alors, qu’il y a, forcément, des aspects, de mon dispositif, qui défaillent, ne conviennent pas. J’ai donc, peur, de la réprobation générale, des autres, contre moi.

 

o Je cesse de me focaliser sur les autres, leurs avis, états d’âme. Je me recentre sur l’essentiel : moi-même, ce que je fais au mieux, ma bonne conscience. J’arrête d’être en introspection anxieuse permanente et, en contrition honteuse culpabilisante, de chaque instant. Pour cela, je me concentre, avant tout, sur ce que je fais, en bonne volonté, assurance, certitude de faire ce que je veux, peux et, dois. Ce que je suis, j’ai, je parais, passe après. Être dans l’action d’avancées et de progrès, me préserve des tourments mentaux et, doutes existentiels inutiles et nocifs. Ainsi, je ne réagis plus, en fonction des autres. J’agis et je pro-agis, selon moi-même. Je ne suis plus paralysé par le doute, mais acteur assuré.


 

 


Quand, l’on me demande, quelque chose, j’ai automatiquement, le réflexe et, la réaction, de penser, que je n’y « arriverai pas ». Je me décourage et, démoralise, alors, à l’avance, de façon, fort défaitiste et, refuse, ma coopération. Je généralise, dans ma tête, ce qui me semble être, ma naturelle « propension », systématique, à échouer, encore et toujours.

 

> Je manque, une fois, de plus, de confiance, en mes savoir-faire. Je refuse, d’agir, par peur, de l’échec. Si je tente, de « me battre », je suis convaincu, de rater. Si je m’abstiens, je n’obtiens, certes, rien, mais, du moins, cela, n’est pas, pour moi, un échec, mais, ma volonté, de ne rien, entreprendre. Ce qui est plus rassurant, gratifiant, confortable. Je pense, que l’échec, n’en est plus un, car, au lieu, d’être subi, par action contrainte, c’est moi, qui le provoque, sciemment, par abstention. Cela, me semble, encore, préférable, car le vrai échec, me confirmerait, alors, encore plus, mes « insuffisances » ou, plutôt, ce que je crois, être, telles ».

 

o Je dois lutter contre mon syndrome d’impuissance, d’incapacité, d’insuffisance. Je remplace donc, mon image de perdant misérabiliste, par celle de gagnant triomphant. Je cesse le pari de l’échec assuré et, le remplace par celui du succès certain. Je change mes pensées et, émotions délétères négatives, pour celles constructives favorables. Cela me permet d’adopter des comportements d’action efficaces, productifs, fructueux et, non plus vains, stériles, ratés. Ma certitude de réussir et, mon action adéquate résolue garantissent mon succès !


 

– Le problème est que l’évitement ne fait qu’aggraver les peurs, blocages, échecs. Seule, la confrontation, en mentoring, par exposition, habituation, acceptation, de ce qui inquiète, permet de vaincre inertie, fuite, crainte -.


 

 

« Si je dois parler, à quelqu’un, qui m’intimide, m’impressionne, j’ai tendance, à bafouiller. Alors, j’ai honte, de moi, car, je me dis, que je n’ai, une fois, de plus, pas été, très brillant.

 

> Cela, me confirme, que je ne suis pas, selon moi, valable et, légitime, cela, m’est donc, fort pénible, douloureux, même.

 

o À force de m’effacer, je suis devenu transparent, invisible, non signifiant, je n’existe plus. Alors, par comparaison, n’importe qui d’autre que moi ou presque, surtout s’il est important pour moi, me tétanise littéralement. Je dois me convaincre que par essence, comme tout humain, je compte, suis unique et capital. Ainsi, cela me permet de gagner en assurance, de m’affirmer et, m’imposer face à quiconque. Je ne suis plus impressionné, mais à l’aise. Mon interlocuteur passe après moi-même et, ma force de conviction, mon sentiment d’être valeureux. Cela change tout !


 

 

Je doute de moi, quand je vais voir quelqu’un, que je ne connais pas, car, je ne sais pas, s’il va m’accepter, je crains, plutôt, que non.

 

> Je redoute, le rejet, des autres, car, cela, sape, encore, un peu plus, ma confiance, en moi, déjà, si limitée, défaillante. Alors, qu’être « adoubé », ne peut, que renforcer, mon assurance, ma foi, en moi, mon acceptation, de moi-même.

 

o Je ne peux faire dépendre ma légitimité, ma valeur, ma sérénité intérieure, des autres. Comme de leur acceptation, assentiment, opinion de moi-même. Je me suffis à moi-même et, autrui n’a aucune place, aucun rôle, en l’espèce. Pour cela, je me convaincs et pénètre, de mes mérites et qualités, non, de mes travers, réels ou supposés. Assez d’états d’âme stériles et toxiques. Je n’ai pas besoin des autres ni, de leur agrément de moi-même, pour exister et, être en bonne intelligence avec moi. Il me suffit, pour de bons liens avec tous, comme avec ma personne, d’être serein, assuré de mon bon droit et, de mes qualités.


 

 


Quand, je pense, à la prochaine reprise, des cours, au travail, à fournir, pour la rentrée, cela, me déprime, déstabilise fort. De fait, toutes les situations, en lesquelles, je suis astreint, de façon optimale, à « obligation, de performances, compétences, moyens et, résultats ».

 

> Je n’ai pas confiance, en moi, ce qui fait, que je ne suis, jamais, convaincu, à l’avance, de réussir. J’ai peur, de l’échec, alors, je me sens inquiet, de façon, chronique, excessive. Ce sentiment, d’insécurité permanente, m’angoisse, me perturbe. Je suis, alors, encore moins, sûr, de moi, j’ai, encore moins, foi, en ma personne. Je suis, encore moins, performant, en terrible, « cercle vicieux ».

 

o Toute difficulté, réelle ou supposée, m’inquiète, car je l’exagère et ne vois qu’elle. J’oublie et je minore mes atouts, qualités, aptitudes et, capacités à vaincre tout aléa. Je ne dois donc pas raisonner problème, mais solution. M’obséder de l’adversité me paralyse et, me rend incapable de la surmonter. N’envisager que la solution me permet d’y croire, de la mettre en œuvre et, de réaliser mon but, en réussissant. L’obstacle obstruant la voie n’importe plus, puisque l’on ne se concentre que sur le moyen de contournement, pour passer outre !


 

 

Mes très mauvais résultats, en mathématiques, en début, de seconde, m’ont convaincu, du redoublement. J’ai été bouleversé, j’ai perdu, toute confiance, en moi-même et, en l’avenir.

 

> J’ai trop douté, de toutes mes possibilités, d’inverser, positivement, la tendance négative, ce qui m’a figé de peur, décontenancé, face aux obstacles, difficultés.

 

Je me crois toujours voué à la fatalité, la malédiction, les coups mortels du sort. J’accepte le pire, jugé inéluctable, ce qui me dispense d’agir et, me donne l’excuse absolutoire de la passivité, l’inaction. En fausse bonne conscience. Mon bonheur ne dépend pas d’un supposé destin mauvais, tout tracé, s’imposant à moi. Or, de ma bonne action, la plus et mieux déterminée, résolue, ardente. Celle-ci se suffit à elle-même et, suffit à assurer ma félicité et ma réussite. Je cesse donc, les élucubrations négatives d’échec néfastes et, je les bannis à vie. Action, toujours, fausses déductions, jamais !


 

 

Je me démotive, souvent, face, à l’un, de mes mauvais résultat. Je suis déçu, par moi-même, je m’en veux, me condamne. Cela, me démobilise, décourage, me désole totalement, à la longue. M’enlève, toute envie, de me battre, pour « redresser, la barre ». Au lieu, de me « donner, un réel, coup de fouet ».

 

> Cela, me désarme, encore, un peu plus, tant, la situation, va, dans le sens, de ce que je pense, être. Un perdant impuissant, non, un triomphant battant, gagneur !

 

o Mon manque de confiance en moi génère mon perfectionnisme toxique. Je veux trop bien faire, par manque de foi en moi. Alors, la moindre imperfection, le moindre insuccès, me désespèrent et terrifient. Je dois accepter ma faillibilité humaine, non, pour m’anéantir, mais, pour persévérer dans l’effort, car je suis aussi perfectible. Tel est l’essentiel : je suis imparfait, mais je peux toujours m’améliorer, pour devenir, non pas impeccable, mais meilleur. Cela suffit à mon bonheur et ma réussite. Je cesse de trembler et, m’accabler inutilement, face à tout aléa, pour faire face, me battre, rétablir ma situation et, vaincre. Je m’imprègne de la conviction du meilleur, toujours possible, non du pire, jamais assuré.


 

 


J’ai peur, de l’école, des profs, du travail, des contrôles, des réactions, de mes camarades, à mon égard. J’éprouve, du malaise, du dégoût, à l’égard, de la rigidité et, de la dureté, du système scolaire français. Je refuse, alors, de me plier, aux règles, aux injonctions, qui me paraissent, illégitimes, non-fondées.

 

> Au début, du collège, j’ai été, fort traumatisé, par les railleries, très cruelles, de certains camarades, contre moi. Ce qui a, encore plus, altéré, mon estime limitée, de moi-même. J’en ai gardé, un rejet, un écœurement, de la chose scolaire.

 

o Je me laisse impressionner, par ce qui représente pour moi l’autorité, le contrôle, la performance, le rapport à mes semblables jeunes. Soit, le milieu des études, par définition. Cela provient moins, du système éducatif extérieur lui-même, que de mes doutes et failles intérieurs. Pour être fort et vaincre, il me faut me distancier du monde externe, m’en rendre insensible, me renforcer mentalement. Pour privilégier, surtout, mon intériorité morale, la plus assurée et sereine. Je dois être conscient de mes atouts, aptitudes et, qualités propres et, les faire valoir, sans peur ni reproche. Ne jamais me laisser intimider, par rien ni personne. Relativiser, positiver, dédramatiser. Considérer l’école pour ce qu’elle est : un simple et inoffensif moyen d’enseignement et non, un « Grand Inquisiteur ». Mes condisciples, quant à eux, ne sont que de simples « quidams étrangers », non des proches intimesd, rien de plus. Concernant les pires, il me suffit de les tenir en respect, par mon indifférence la plus glaciale, s’ils sont inconvenants. Ils en seront désarmés et, leurs sarcasmes vains.


 

 

En première moitié, de ma scolarité, au collège, mes condisciples m’ont catalogué, comme, étant, « bizarre, différent, à part ». Du fait, notamment, de nettes dissemblances, de style, d’opinion, d’attitudes. J’étais, alors, marginalisé, rejeté, solitaire, minoritaire et, traité, comme tel, en « paria ostracisé, indigne et, déchu ».

 

> Je n’étais ni, reconnu ni, accepté ou, apprécié, pour moi-même, tant, je m’autodévalorisais ! Ne suscitant, nulle adhésion, chez mes semblables. Cela, n’a pu, que renforcer, mon préjugé, d’autodépréciation. Me confirmant, à tort, que je n’étais pas, quelqu’un, de valable, d’estimable, puisque j’étais rejeté.

 

o Je ne peux être estimé des autres, tant que je me déprécie moi-même et, n’ai aucune considération, pour ma propre personne. Le jugement d’autrui sur moi n’importe pas. Seule compte la vision que j’ai de moi-même. Je restaure donc, à mes yeux, mon image personnelle, en la positivant. Cela changera favorablement, l’idée que les autres se font de moi, car elle dépend plus de moi-même, que d’autrui. Ayant de la valeur, selon moi-même, et le pensant, les autres le ressentiront ainsi et, me feront alors crédit, à leur tour. Le débit venant plus de moi que d’eux !


 

 

Mes parents me reprochent, de ne pas, assez, agir, d’être trop passif, inhibé, absent, de ne pas prendre, d’initiatives.

 

> Il y a, chez moi, de la paresse, la peur, de mal faire et, de me tromper. Que cela, se retourne, contre moi. Je n’éprouve pas, non plus, le besoin, de faire, des choses, en permanence. Le doute, n’encourage pas, l’action, mais, plutôt, l’inertie.

 

o Je me motive à agir, en pensant à mon souhait de faire et, à ce que cela peut m’apporter de positif, pour moi. Non, en me laissant paralyser, par l’idée que mon action pourrait impliquer échec et désagréments. Seule l’action bénéfique et favorable importe, non mes états d’âme bloquants, à ce sujet. En outre, l’essentiel n’est pas toujours d’agir, mais aussi, de me ressourcer moralement, par l’être. Réfléchir, méditer, rêver… L’activisme matériel forcené n’est pas un idéal en soi, pas plus que l’inaction amorphe permanente, la plus stérile. Un bon équilibre entre faire et être, avoir et paraître, s’impose.


 

 


Je suis très inquiet, du temps, déjà, écoulé, comme, de celui, qui reste, disponible. Surtout, pendant, les vacances. J’anticipe, donc, à l’avance, la rentrée scolaire, avec l’angoisse, qu’il me reste, trop peu, de temps libre, pour moi et, un ressourcement suffisant, avant, la reprise, des cours.

 

> Je vis, alors, dans la nostalgie ou, le regret, du passé, la projection inquiète, dans l’avenir, des études. Je ne profite pas, toujours, pas assez ou, mal, du temps présent, des vacances. J’ai une phobie scolaire, qui me handicape, me stresse, me gâche, le futur, m’empêche, de pleinement, savourer, ma vie, d’avant, les cours.

 

o Je manque de confiance en moi, ma vie, autrui. Mon passé me rassure, car il est caduc, donc inoffensif. Mon avenir m’angoisse, car je le ressens comme porteur de menaces, d’incertitudes, de mal, pour moi. J’élude mon présent et, je ne le vis pas pleinement, car il est immédiat, me paralyse, ne sachant comment l’appréhender, par peur et doute. Pour bien vivre, je dois le faire au présent, lui seul me permettant d’agir adéquatement, pour bien faire et, bien exister. Ce que ne permet ni, le passé déjà achevé ni, le futur encore inexistant. Mon espace-temps est donc, « ici et maintenant », pas « ailleurs, avant ou, plus tard » ! Cela est excuse d’inaction. Seule l’actualité me permet de vivre et, au mieux.


 

 

Quand, mes parents, me demandent, un service quelconque, je repousse souvent, à plus tard, le plus loin, possible. Je suis, alors, obligé, de le faire, précipitamment.

 

> Je reporte, la « corvée », pour ne pas, y être astreint, de suite. J’ai l’impression, que cela, me coûte plus, de me contraindre, sur-le-champ, que plus tard ».

 

o « Ce qui est fait n’est plus à faire ». Je me débarrasse donc des corvées, tout de suite, au lieu de les traîner, comme un boulet sans fin. Je ne dois pas avoir peur de l’action mais, de l’inaction. Je me motive à faire, en ne pensant pas au désagrément de la tâche à accomplir. Or, à la satisfaction obtenue, une fois faite, car il vaut mieux qu’elle soit caduque, que restant à venir. « Je ne remets jamais au lendemain, ce que je peux faire tout de suite » !


 

– Alors, c’est cela même. La souffrance, d’avoir, la corvée, encore, à accomplir, devant soi, est pire, que celle, de devoir, s’en débarrasser, dès, maintenant. De l’avoir, derrière soi, car, déjà, accomplie, non, restant, à être exécutée. Ce report est, la procrastination -.         


                                     

 

« J’ai tendance, à faire passer, ce qui me plait, avant, le reste, car, ce qui constitue des obligations, des contraintes, me rebute.

 

> Je travaille, déjà, beaucoup, au lycée, alors, en dehors, des cours, je n’ai plus l’envie, la force, de le faire, de nouveau. Plutôt, de me récompenser, de mes efforts, en me faisant plaisir.

 

o Il est plus productif, facile, gratifiant, d’avoir le réconfort après l’effort et, non, avant. Même si j’ai déjà travaillé à l’école, je dois d’abord achever ma tâche scolaire, à la maison. Ensuite seulement, j’aurai tout loisir de me détendre et reposer, l’ensemble du labeur du jour étant totalement achevé. Je me motive, en me disant que si je fais vite et bien ma tâche immédiatement, je serai ensuite tranquille. Pour pleinement savourer, avec du temps restant suffisant, mes loisirs.


 

 


Je suis un garçon patient et, je sais attendre, tranquillement, concernant, les autres, les sentiments, que j’éprouve.

 

> Ma personnalité, par tempérament et, caractère, est posée, pondérée, calme et, respectueuse, de tous, en toutes circonstances.

 

o Les jeunes n’ayant pas confiance en eux sont souvent appréciés, pour leurs grandes qualités humaines. Ils savent être à l’écoute des autres et, leur donner beaucoup. N’ayant pas assez foi en eux, ils idéalisent autrui, lui donnent préséance et, s’effacent devant lui. Leur altruisme généreux et humaniste est à saluer. Ils doivent toutefois prendre garde, à se protéger des abus possibles des autres, en étant bons mais, point trop. Ils resteront bienveillants, tout en sachant mettre des limites, aux éventuels débordements des autres.


 

 

En dehors, du champ, lié, aux inquiétudes scolaires, je vis, plutôt, au présent, au jour, le jour. Je n’ai pas, de projets ou, d’attentes particulières, par rapport, au futur.

 

> Je n’ai pas, d’envies spécifiques, car, mon avenir, n’est pas encore, déterminé ni, précisé, à mon âge d’incertitudes.

 

o Je dois effectivement me préoccuper, d’abord, de mon quotidien le plus immédiat. Pour autant, j’évite les improvisations de dernier moment. Il me faut anticiper, prévoir, organiser, suffisamment à l’avance, l’essentiel de mon existence. Pour éviter de me laisser surprendre au dépourvu. Il vaut mieux « être fourmi que cigale ». Cela me garde des cuisants déboires, d’une insouciance inconséquente. Tout en restant toujours confiant et serein.


 

 

J’aime bien, « contrôler, les choses », je n’accepte, de laisser faire, les autres, que pour, ce qui me paraît, ne pas trop, me concerner, directement. Je préfère, maîtriser, moi-même, l’essentiel, de ce qui fait, ma vie.

 

> Quand, j’agis, moi-même, du moins, suis-je assuré, que cela, sera fait, à ma façon, comme, j’estime, que cela, doit être. Manquant, de confiance, en moi, je n’ai pas plus, confiance, en autrui. J’ai peur, que ma confiance, ne soit fort trahie, par les autres, si je les laisse trop, intervenir, dans mes affaires propres ».

 

o Il ne faut certes pas me laisser envahir, déborder, dominer, manipuler, par autrui. Pour autant, tout en restant prudent, libre et, souverain, car autonome en ma vie, je dois savoir faire confiance et déléguer. Je ne peux tout faire moi-même. L’apport des autres est enrichissant et complémentaire. J’apprends aussi beaucoup d’eux et, de leurs contribution et talent. J’agis donc, au maximum, moi-même, tout en sachant toujours solliciter ou, accepter l’aide, la collaboration, la coopération précieuses, utiles et, nécessaires d’autrui.


 

– « L’on n’est jamais, mieux servi, que par, soi-même », comme, le dit, si bien, en bon sens, l’adage populaire. Certes, or, avec mesure et modération, donc -.


 

 


« J’aimerais, pouvoir, dormir, un peu plus, chaque jour, car, la réalité, actuelle, de mon sommeil, mon repos, ne me satisfait pas.

 

> Le temps disponible, est insuffisant, pour bien, récupérer, être en forme : sept heures et, demie, par nuit. Du fait, du travail chargé, des activités, à accomplir. Il me faudrait, au moins, une heure, de plus. En fin, de semaines, je ne peux, « me rattraper », car, je veux profiter, du temps libre et, parce que, j’ai des activités, à faire, le matin ».

 

o Mon sommeil, comme mon alimentation et, mon activité physique, est capital, pour ma santé physique et psychique. Surtout, à un âge de forte évolution et sollicitation, du corps et de l’esprit. Mon cerveau n’étant pas encore à pleine maturité, avant mes vingt-cinq ans. Je ne peux donc sacrifier mon sommeil, à mes études et mes loisirs. Trop dormir est aussi néfaste. Je veille donc à m’organiser suffisamment, pour pouvoir dormir assez. Pour rester en bonne santé physique et psychique et, pleine capacité intellectuelle, pour mes études. Pour bien les réussir, en demeurant en pleine forme.


 

– Les adolescents ont besoin, en moyenne, de neuf, à dix heures, de sommeil, par nuit. Or, la plupart, des jeunes, dorment, tout comme, les adultes, de sept, à huit heures nocturnes. Soit, un déficit minimal, moyen, d’une, à deux heures, par nuit, qui se cumule. Ce qui ne se rattrape pas ou, insuffisamment, est néfaste, pour la santé, à un âge, de grands développements. Tant, pour le cœur, que pour le cerveau et, les aptitudes mentales -.


 

 

« Je sais, toujours, apprécier, à leur juste valeur, mes succès et, progrès, notamment, mes bonnes notes scolaires.

 

> Cela, me rassure et, m’encourage, sur moi-même, mes capacités personnelles, alors, je ne boude pas, mon plaisir.

 

o Il est important, de fait, de bien savoir profiter de mes acquis réussis et bénéfiques, pour rester motivé à poursuivre mes efforts. Je veille aussi, à ne pas m’en contenter et, ne faire que « me reposer sur mes lauriers ». Je ne me contente pas de mes succès acquis passés, au risque de les perdre, ainsi que leurs bénéfices. Une fois atteint un objectif, j’en poursuis d’autres,  jusqu’à une nouvelle victoire et, ainsi de suite. Je n’oublie jamais, que la réussite d’une vie, repose sur le fait qu’elle est un éternel recommencement. Qu’il convient de, toujours et sans cesse, « remettre sur le métier son ouvrage », tant que l’on est vivant.


 

 

J’accorde beaucoup d’attention et, d’importance, à mes sentiments, mes interprétations, des choses, ce que je vis. Cela, de façon, intense, bien plus, que pour les effets, de mes actes, des circonstances et, des événements.

 

> Réussir, gagner, vaincre, ne me suffit pas. Il faut, à mes yeux, que cela, soit réalisé, de façon, qualitative, satisfaisante et, non seulement, quantitative et, médiocre.

 

o J’ai raison de penser, que « la fin ne justifie pas les moyens ». Il n’y a pas que les résultats qui comptent, mais aussi, l’art et la manière d’y parvenir, comment, pourquoi… Pour autant, je ne dois pas me tourmenter sur la forme mais, me préoccuper surtout du fond. Bien faire et bien obtenir suffit, vouloir trop bien faire, aboutit souvent à mal faire. La perfection n’est pas de ce monde et, le perfectionnisme est plus souvent contre-productif, que bénéfique et qualitatif.


 

 


Même, dans le succès, j’ai tendance, à être, souvent, frustré. Car, même, si le résultat, de mes efforts, est bon, selon moi, j’aimerais faire, obtenir, encore plus. Je m’en contente, donc, mais, je suis, toujours, déçu.

 

> Je suis tourmenté, car je me compare trop, aux autres. Alors, je les envie, parce que, je pense, qu’ils sont et, font, plus et, mieux, que moi et, moi, moins et, moins bien, qu’eux. Cela, me fait mal, car, je me persuade, encore, un peu plus, que je ne vaux rien. Pour rééquilibrer, compenser, ce que je pense être, mon infériorité, mon retard, déficit, je me crois obligé, d’ « en faire, toujours plus ». Du fait, de ma fort mauvaise image, de moi, de mon manque, d’affermissement moral et psychologique, intérieur.

 

o « Comparaison n’est pas raison ». Chacun est différent, unique, incomparable. Je cesse donc, de « regarder l’assiette du voisin et, croire que l’herbe est toujours plus verte ailleurs ». L’important n’est pas qu’il y ait toujours mieux que soi, car il y a toujours aussi moins bien. L’essentiel n’est pas ce qu’ont les autres, du pire au meilleur, mais, ce que j’obtiens moi, tant que cela est satisfaisant et honorable. Tant que j’ai donné le meilleur de moi-même et, atteint mes limites maximales. Si tel n’est pas le cas, il me suffit alors, de faire mieux la prochaine fois. Seuls comptent mon avancée régulière, mes efforts, progrès constants et, mes résultats acceptables. Le reste n’est que tourment inutile. Ma valeur ne repose pas sur mes résultats, mais sur ma seule personne. Je n’ai donc pas à « agir, de façon parfaite, pour être au mieux possible ».


 

 

Mes parents me reprochent, souvent, de ne pas aimer, me battre et, de fuir, la « lutte, pour vivre, m’épanouir, réussir ».

 

> Cela, implique, une obligation, de performance. Comme, je n’ai pas confiance, en moi, la compétition m’effraie, car, je doute, de mes capacités.

 

o L’être humain ne se juge pas à l’aune de ses résultats, mais de lui-même. Il est toujours plus grand que ses acquis, comme de ses fautes. Je suis d’abord un jeune, pas un compétiteur. Pour autant, je ne dois pas avoir peur de me mesurer à la vie, aux autres, aux obstacles, objectifs, sélections, épreuves… Cela fait aussi partie de l’existence et, je ne peux m’y dérober. Je crois en moi, en mes chances, alors je participe hardiment, à « la lutte pour la vie, ma vie » !


 

 

Je préfère, les temps, de solitude, de réflexion, silence, secret et, d’inaction. Je suis un « contemplatif, retiré, en moi-même ».

 

> Cela, me permet, de souffler, me ressourcer, lire, au calme, me détendre. Ce qui limite, mon stress, manque, de confiance, me rassure fort.

 

o Un certain retrait du monde permet une contemplation, une introspection, une méditation utiles de régénération morale. Pour faire le point, savoir qui l’on est, d’où l’on vient, où l’on va, en sa destinée terrestre. Pour mieux repartir ensuite. Or, je suis aussi un acteur de ma vie, pour être utile à moi-même et aux autres. Donner un sens à mon existence, laisser une trace signifiante, lors de mon passage terrestre… Pour cela, je ne peux me contenter d’être un observateur, mais je dois aussi être un bâtisseur actif et constructif, par l’action !


 

 


Je ne suis pas obsédé, par la performance, au contraire, je me trouve, parfois, trop inerte, passif, attentiste et, craintif.

 

> J’ai encore, trop peur, des enjeux, qui m’intimident, pour « foncer ». Or, j’espère, bien mieux, dominer, ma vie, à l’avenir, au lieu, d’être « écrasé », par elle. En étant, plus sûr, de moi, de ma légitimité et, de mes valeurs et, idéaux.

 

o Je ne peux me contenter d’être « suiviste », attentiste, dépendant des autres, des circonstances… Je dois dépendre de moi, non de facteurs externes. Sinon, si je ne décide pas moi-même, je serai mené là où je ne veux être, si je laisse les autres et les choses en disposer, à ma place. Je domine ma vie, je ne me laisse pas dominer par la vie. Pour cela, je ne me laisse pas impressionner par les enjeux, quels qu’ils soient. Je me recentre et concentre, sur ce que je fais et veux faire de ma vie. Alors, j’agis adéquatement, au mieux, en confiance. Cela suffit et me suffit, en paix, conscience et, sérénité.


 

 

Je me préoccupe fort, de façon, trop souvent, excessive et, obsessionnelle, de mon image et, de l’opinion, des autres, sur moi.

 

> Cela, me rassure, sur moi-même et, me ré/conforte, en cas, d’appréciation positive, d’autrui, à mon égard. Tant, je doute, de moi. Pour autant, je ne tiens pas, à faire, à tout prix, « bonne impression ». Il est important, de plaire, mais, pas, au point, de subir, la volonté, d’autrui, la tyrannie, de la popularité, coûte, que coûte ».

 

o Mon bonheur ne peut dépendre de l’approbation d’autrui et, mon malheur de sa réprobation. Je suis seul juge, en conscience, de l’évaluation, positive, neutre ou négative, de moi-même. Laquelle ne peut venir que… de moi ! Une bonne estime, confiance, affirmation de moi-même, me permettent d’être indépendant du jugement d’autrui sur moi. Cela garantit ma liberté, ma sérénité, ma force mentale et, mes capacités d’action aboutie et réussie.


 

– La popularité à tout prix est trop importante, pour nombre de jeunes. Avec la fascination, pour la célébrité médiatisée, de certains, notamment, parmi leurs pairs -.


 

 

« Quand, je suis, avec mes amis, il m’arrive, de chercher, à me conformer, à l’avis dominant, alors, même, que je ne le partage pas, forcément.

 

> Pour éviter, de m’opposer, d’être, en désaccord, avec ceux, que je connais et, que j’apprécie bien, pour prévenir, les disputes. S’il y a, discorde, cela, implique, pour moi, une distanciation, un éloignement, d’avec, mes amis. Le risque, pour ma personne, d’être exclu, marginalisé. Cela, me confirmerait fort, mon incapacité, à susciter, l’adhésion, des autres et, ne pourrait, alors, qu’aggraver, mon manque, de confiance, en moi. Ce dont, je ne veux, absolument, à aucun prix, tant, l’abandon, par autrui, me donnerait, un sentiment, de rejet, insupportable. Du fait, de mon désamour, de moi-même, déjà, si douloureux !

 

o L’essentiel n’est pas d’être complaisant, à tout prix, mais d’être vrai, sincère, authentique. Il vaut mieux déplaire dans la vérité, que plaire dans le mensonge. Être honnête en m’opposant, que malhonnête en complaisant. Je dois être moi-même, quitte à en payer le prix, en courage, plutôt que de rechercher le confort facile, en lâcheté. Mes vrais amis me resteront toujours acquis, quelles que soient mes opinions justes, légitimes, défendables. Seuls les autres pourront m’en tenir rigueur et grief. Alors, je peux être hardi et vrai, je ne risque rien. Avoir confiance, être confiant me permet, en outre, de m’affranchir, une fois pour toutes, de l’aval des autres. Alors, je ne dépends plus de l’opinion d’autrui, mais seules comptent mes appréciations propres. Seuls importent ma liberté et, mon droit à les exprimer, sans fard ni dissimulation. Comme pour les autres !


 

 


J’ai toujours, grand mal, à choisir, décider et, m’engager. Ainsi, pendant, les vacances, j’ai envie, de pratiquer, certaines activités, de loisirs, mais, j’hésite beaucoup, malgré tout, avant, de « me lancer ». Je doute, je m’interroge, trop.

 

> J’ai peur, en cas, de mauvaise option, de m’ennuyer, si, en réalité, la pratique retenue, ne me convient pas. Ce qui me priverait, du plaisir, escompté. Par anxiété, je ne suis pas, assez, déterminé, résolu.

 

o Mon manque de confiance implique, immanquablement, pour moi, irrésolution, doute, incertitude, peur. Au lieu de me laisser envahir et paralyser, par mes états d’âme négatifs, je me concentre sur mon désir d’agir, de parvenir, d’obtenir. Sur ce qui me motive, m’intéresse, me fait envie. Cela me permet de passer outre mes blocages, résistances, atermoiements. Plutôt que m’obséder de craintes négatives d’inconvénients, d’échec, je me convaincs des avantages, agréments pour moi d’oser agir. Seule façon d’obtenir positivement en ma vie. Je m’assure que je ne crains rien, car je peux toujours renoncer ensuite, si ce que j’ai voulu ne me convient pas. Il n’y a donc rien de définitif ni, d’irréversible ou, de dommageable, en cas de déconvenue. Je peux alors, toujours, oser me lancer hardiment, sans risque. D’autant que le plus probable, pour moi, est tout bénéfice et non préjudiciable.


 

 

Quand, je dois organiser, quelque chose, pour les copains, je m’alarme, à l’avance, de façon, excessive, de savoir, si cela, va leur convenir ou, non.

 

> Je n’ai pas assez, foi, en mes aptitudes, à bien faire, contenter, autrui. Alors, je cherche, à tout prix, à trop bien, agir et, m’assurer, de l’adhésion, de tous. Sinon, je me sens, encore, bien plus, incapable et, m’apprécie, encore moins.

 

o La réaction d’autrui à ce que j’entreprends, même si cela le concerne, n’est pas primordiale ni l’essentiel. Compte, avant tout, ce que je fais, car je le fais bien et, en conscience. Il y a toujours des mécontents, mais aussi, tout autant, des satisfaits. Ce sont ces derniers qui importent le plus. Si je me laisse impressionner, influencer et, m’en laisse conter, par les autres, je ne ferai jamais rien dans ma vie. Je resterai paralysé par les avis et prétentions, de Pierre-tte, Paul-ine, Jacques-line. Je n’écoute pas les mouches du coche, j’agis, je réalise mes objectifs, réussis ma vie, comme je l’entends, au mieux.


 

 

Généralement, si je dois choisir, une activité, je m’imagine, de suite, qu’elle va être, bien, au-dessus, de mes forces, capacités. Je m’exagère, les obstacles, pour y parvenir, au lieu, de voir, les avantages, de l’objectif atteint. Je décide, avec retards, doutes, crainte.

 

> Je ne crois pas, en mes capacités, d’adaptation, alors, je préfère, les choses simples, qui me paraissent plus, à ma portée. Je ne me sens pas, assez, de taille, à lutter, vaincre. La difficulté m’intimide beaucoup, quand, ce qui me semble, abordable, me rassure, fort.

 

o Douter de mes aptitudes, pour « un oui ou un non », me mène à rater tout ce que je fais et, le plus souvent, à ne rien faire. Par peur de mon insuffisance, de mon échec. Tout cela est irrationnel et supposé, non réel ni même, le plus probable. Je me persuade du contraire : capacité personnelle, foi en moi, en mon succès. Je me bats alors résolument, sans états d’âme négatifs, je parviens sans encombre à mes fins. Je réussis et suis heureux et comblé, de surcroit.


 

 


En fins de semaine, je ne suis pas, toujours, au courant, du programme, d’activités, prévu, en famille. Car, je vis, habituellement, en internat. Cela, me gêne beaucoup, car, je n’aime pas, l’inconnu, la nouveauté.

 

> J’aime bien, savoir, bien, à l’avance, mon emploi, du temps. Cela, me rassure, car, sachant, ce qui va, se passer, je peux, bien, m’y préparer, mentalement, psychiquement, matériellement, au mieux. Cela, me permet, d’être, plus serein, à l’aise. Je peux mieux, faire face, m’organiser, être prêt. Je me sens, alors, plus sûr, de moi, que si je suis pris, au dépourvu, ce qui accentuerait, mes doutes habituels.

 

o Certes, il est toujours plus facile, confortable, agréable, pratique, de connaître tout à l’avance, pour prévoir, savoir, gérer, au mieux. Or, cela n’est pas toujours possible, ni même souhaitable. En confiance et sérénité, je dois toujours pouvoir faire face à l’imprévu, l’inconnu, l’incertain, au risque. Cela fait autant partie de ma vie, que ce qui est connu, assuré, garanti, balisé. Il me revient alors, d’accepter cela. Je m’adapte, fais face, sais improviser, suivre le mouvement. Tout en étant rigoureux, méthodique, organisé, efficace. Tout autant dans l’imprévu inopiné, que dans ce qui est programmé à l’avance. Je peux toujours aussi bien faire « au pied levé », que dans la routine familière la plus encadrée et, c’est l’essentiel !


 

 

Quand, je m’exprime, en public, je suis très tendu, les profs me rassurent et, me demandent, alors, de me détendre.

 

> Je surestime, les risques, de ma prestation, par doutes, sur mes aptitudes. Alors, je me protège, en m’imaginant, le pire, pensant, ainsi, mieux, y faire face. Alors, qu’en réalité, cela, ne fait, qu’empirer, mon malaise.

 

o Pour être à l’aise et réussir une intervention, devant autrui, je ne pense pas à la forme, mais au fond. Je ne me préoccupe pas des réactions du public ni, du fait que je doive lui parler, seul devant tous. Je me concentre sur le seul message de communication, que je dois délivrer. Comme il est de qualité, que je l’ai bien rédigé et préparé, cela suffit à l’excellence et, à la réussite de mon discours. En capacité, passion, enthousiasme, force de conviction. Je fais donc avec brio, ce que j’ai à faire, car j’y suis apte et compétent. Ma mission est alors accomplie et, parfaitement gagnée !


 

 

Avant, mon année, de troisième, au collège, mes parents me laissaient, peu, d’autonomie. Ce qui était, pour moi, source, de stress, d’anxiété, supplémentaire. Un jour, étant, chez un ami, je n’avais pas précisé, à ma famille, d’heure, de retour. J’ai téléphoné, pour dire, que je rentrais seul, mais, mes parents ont voulu, malgré tout, à tout prix, venir, eux-mêmes, me chercher et, l’ont, finalement, fait.

 

> C’était gênant, par rapport, aux amis, car, j’avais l’impression, d’être moins libre, qu’eux, d’être traité, en « bébé », ce qui est fort humiliant. Cela, a altéré, encore plus, mon manque total, d’estime, de moi-même.

 

o Pour éviter de me sentir maltraité par autrui, même en public et, même de façon avérée, j’y demeure indifférent. Sûr de mon bon droit et, de ma force morale. Je ne laisse personne, quelle qu’elle soit, m’atteindre par ses abus, quels qu’ils soient, à mon égard. Importe, non le comportement d’autrui, vis-à-vis de moi et, à mon encontre, mais ma solidité mentale de personnalité inaltérable. En outre, j’apprends à prévenir les débordements et déviances des autres, avant leur survenue éventuelle. Comme à les neutraliser, s’ils se produisent, sans avoir pu être évités. En instaurant et leur imposant, toujours, des limites de sauvegarde, pour les dissuader de me nuire. Je ne fais pas confiance d’office à la droiture supposée, mais jamais garantie, d’autrui. Je préviens et j’annihile ses turpitudes, toujours possibles et dommageables, pour moi.


 

 


Quand, l’on me propose, de faire, une activité, j’hésite, généralement, car, j’ai très peur, que cela, ne me convienne pas.

 

> Je suis fort anxieux, concernant, ce qui m’est suggéré. Je crains, de m’ennuyer, de ne pas, m’adapter ni, de réussir, à prendre plaisir, à ce que je fais, de me tromper, d’envies, comme, de désirs, à mes dépens.

 

o Je ne suis pas un passif faible, qui subit et, est soumis, mais, un actif fort, qui agit et domine. Il s’agit de moi et de personne d’autre, de ma vie et, non de celle d’autrui. Moi seul décide donc, pour ce qui concerne ma personne et, mes activités, mon existence. Je choisis alors, moi-même, en souveraineté et libre-arbitre, ce que je veux, pour moi-même, en conscience. Cela ne peut et ne doit donc provenir, que de moi-même et, non d’autrui. Chacun décide pour soi, non, pour autrui. Même jeune, même en famille. Ainsi, je suis assuré, puisque cela provient de moi seul, que tout ce que je fais me convient et, est bénéfique pour moi, a priori. Si tel n’est pas le cas, je n’aurai alors, qu’à m’en prendre à moi-même. Je pourrai aussi, toujours, amender, rectifier, améliorer mon choix, pour qu’il soit enfin, pleinement conforme, à mes souhaits, appétences et, intérêts. En outre, je peux toujours refuser les propositions extérieures, si je ne les agrée pas, comme les accepter, si je les approuve pleinement.


 

 

J’éprouve trop, de désintérêt, pour les choses, j’abandonne, très vite, je renonce, je me décourage, ne tente pas, assez.

 

> Je suis défaitiste, par négativité et, pessimisme. Je n’ai pas l’envie, la force, de me battre, pour surmonter, les difficultés. Je suis trop incertain, de moi-même, des autres, de la vie, de mon devenir personnel.

 

o Tout ce qui est extérieur, à moi-même, est parasité par… moi-même ! Je n’arrive pas à m’impliquer, m’investir, participer, à quoi que ce soit, par doute sur moi-même. Ce qui me fait douter de tout, par manque de confiance, peur, certitude du pire. Je préfère alors me protéger, en me réfugiant dans l’abstention, la solitude, l’inactivité. Pour sortir de ce marasme, je sors de moi-même, de mes états d’âme négatifs. J’ose assouvir et assumer mes envies. Mes désirs d’activités bonnes pour moi l’emportent alors, sur mes peurs de m’y engager. Seul importe le fait d’obtenir ce qui m’attire et non, mes craintes de ce que cela implique négativement, à mes yeux. De façon non justifiée, le plus souvent. Je ne dois donc pas me priver, de choses bénéfiques pour moi, sous prétexte de phobies non fondées.


 

 

J’imagine, souvent, le pire, par anticipation, projection, alarmisme, pour ne pas être pris, au dépourvu et, en esprit, d’inquiétude.

 

> Pour éviter, d’être déçu, dans mes attentes, ce que je crains, le plus. Je manque, de foi, par démobilisation, peur, négativisme et, démoralisation.

 

o Imaginer le pire ne protège en rien contre l’échec, le favorise et, empêche le meilleur. Ce dernier ne peut advenir que si j’y crois. Qu’importe ce que je ressentirai, selon les résultats de ce qui a du prix, à mes yeux. L’essentiel est d’agir, en fonction de ce que je veux, pour l’obtenir et, d’y parvenir. Si j’en suis satisfait, c’est gagné. Si tel n’est pas le cas, cela n’est pas dramatique. Je peux tout de même m’en contenter, en faisant la part des choses. Sinon, je peux toujours tenter d’améliorer, de rectifier, ce qui est. Si cela n’est pas possible, rien ne m’empêche de recommencer tout le processus, pour tenter d’obtenir plus et mieux, cette fois-ci. Quoi qu’il en soit, l’action résolue et confiante est toujours plus bénéfique, que la passivité et les tourments mentaux, inutiles et stériles.


 

 


Concernant, les résultats scolaires, les mauvaises notes me stressent, de façon excessive et, douloureuse, pour moi.

 

> J’ai honte et, je culpabilise, car, cela, dégrade, encore plus, ma mauvaise image, de moi-même. Or, je peux, avoir, de meilleures évaluations, en travaillant, plus et, mieux, pour atteindre, un meilleur niveau, réussir, par mes efforts, propres. Ce qui limitera, mon anxiété chronique, me rendra, plus serein.

 

o Ma valeur dépend de moi-même, non, de mes résultats et performances. Si j’échoue, je ne suis pas mauvais pour autant. Cela est provisoire, améliorable, non définitif. Aucun jugement de valeur ne peut se justifier contre moi, pour autant. Seuls mon travail et ses effets peuvent être évalués. Cela dédramatise et relativise la situation. Il me suffit de travailler plus et mieux, autrement, cela améliorera mes prestations et mes notes. Ainsi, tout rentrera dans l’ordre. Une fois de plus, mes ressentis comptent peu. Seuls les faits et leurs effets importent et, je peux toujours les bonifier, à ma guise, par mon action. Alors, tout va bien, « dans le meilleur des mondes possibles » !


 

 

Le devoir, de performance, et, de réussite, de moyens et, de résultat, à l’école, est incontournable, stressant, très déstabilisant, pour moi.

 

> Puisque, je dois faire, avec, et, n’ai pas, le choix, le mieux, est de m’en accommoder, d’agir, au maximum, de mes capacités. Pour en tirer, le meilleur parti possible, avec succès.

 

o Ma situation est normale, habituelle, banale, donc rassurante. Comme tout jeune de mon âge, je suis tenu de me former en mes études, en mon intérêt, pour avoir un bon emploi et, une bonne vie, plus tard. Cela justifie quelques efforts et contraintes surmontables, maintenant, pour être tranquille à vie, ultérieurement. Tout le monde y passe. « Sacrifice et gain, la vie est une lutte, l’on n’a rien sans rien » ! Cela vaut donc le coup pour moi. Je m’apaise, j’arrête de m’obséder des notes et résultats. Je me concentre sur mon travail efficace et constant, mes efforts, ma persévérance, mes progrès. Cela ne peut que finir par payer, porter ses fruits, me faire réussir. L’essentiel est d’apprendre, de savoir, connaître, découvrir, s’instruire, s’enrichir, par le travail. Le reste est acquis, par surcroît !


 

 

Dans mes relations amicales, le regard, de mes copains, sur moi, est positif, satisfaisant et, gratifiant, pour moi.

 

> Or, j’imagine, pourtant et, toujours, le pire : des difficultés relationnelles imaginaires, hypothétiques, improbables, par manque, de confiance, en moi.

 

o Seuls les faits bénéfiques objectivement avérés importent. Pourtant, même quand ils sont réels, pleinement favorables, positifs, satisfaisants, pour moi, je doute et me convaincs du contraire et du pire. De façon subjective, fausse. Je ne crois pas en moi, par préjugé de défiance hostile, à mon égard, pour tout ce qui me concerne. Alors, je noircis tout ce qui à trait à moi-même. J’arrête mes états d’âme, interprétations, élucubrations fantaisistes non fondés. Je ne me fie qu’aux réalités vraies observées. La plupart sont positives pour moi. J’apprécie alors cela et, je m’en tiens là, cela suffit et suffit à mon bonheur. Quant au réel négatif, il est minoritaire et donc, peu important. Cela me touche alors peu. Je cesse de me créer de faux problèmes imaginaires, en pur « masochisme ». Je sais reconnaître et savourer, pleinement, toutes les bonnes choses – et elles sont majoritaires – de ma vie !


 

 


Il s’agit, de me distancier, décentrer, par rapport, à ce qui peut, me stresser. Notamment, les obligations scolaires, qui m’inquiètent trop, à tort.

 

> De fait, j’ai des capacités réelles, pour les études, que je sous-estime, exagérément. J’ai toujours, réussi, jusqu’à présent. En continuant, à bien, travailler, comme, je le fais, il n’y a, aucune raison, pour que cela change.

 

o Je prends du champ, de la hauteur, de la relativisation. Je ne fais pas d’études pour elles-mêmes. Or, pour me dépasser et, consacrer ma vie entière à une vocation, une destinée, un accomplissement de moi. De la façon la plus enrichissante. Non seulement, pour moi-même, mais, tout autant, pour les autres, dont j’en ferai bénéficier. Cela est une chance, un privilège enviables, ne peut que me motiver et, m’inciter à aller de l’avant, en effort constant. Je cesse donc, de me plaindre et, d’avoir peur. Puisque je suis chanceux, je ne peux que me louer, féliciter, réjouir, de cette gratification. En rendre grâce, en allégresse fondée, de chaque instant !


 

 

Je sais, déjà, bien, me détendre, me relaxer, m’évader, autant, que nécessaire, que de besoin, ayant, un imaginaire, un monde intérieur, fort développés.

 

> En m’allongeant, sur mon lit, méditant et, lisant, mes ouvrages favoris, je me calme, m’apaise, cela, est, grandement, efficace.

 

o Il s’agit de me décentrer de moi-même, mes états d’âme, mes difficultés, réelles ou supposées. En m’élevant au-dessus de moi-même, j’élève mon niveau de conscience, pour me recentrer sur l’essentiel. Ma raison d’être la plus fondamentale, en ce bas monde. Non seulement pour moi, mais, tout autant, pour mes semblables humains. En réalisation de moi-même la plus complète, plus morale que matérielle. Que veux-je faire de ma vie ? À moi de le déterminer, car moi seul détiens ma destinée entre mes mains. Alors, à moi d’agir au mieux, pour faire de mon existence un… « chef-d’œuvre » !


 

 

Je vais lutter, contre, le fait, de toujours, imaginer, le pire, pour me prémunir, contre, la déception, l’échec, ce qui me nuit fort.

 

> En étant, plutôt, dans l’espoir, assuré, du meilleur, en positivant, ma vision, de moi-même, des autres et, de ma vie ».

 

o Ma vie est un choix. Me complaire dans mon malheur supposé, plus que réel. Ou me transcender en mon bonheur authentique, plus qu’imaginaire. Le plus souvent, je suis heureux ou, malheureux, car j’en ai décidé ainsi. Il s’agit, avant tout, d’un état d’esprit, bien plus que d’une réalité avérée. Alors, à moi de me persuader du meilleur, j’en bénéficierai. Cela m’évitera de connaître le pire, si j’en viens à m’en convaincre. Il est donc très rassurant, positif et, encourageant, de savoir que tout ne dépend que de moi. Que je suis le seul à détenir la clé de mon destin, en mes mains !


 

– « Le verre est, généralement, à moitié plein, non, à moitié vide ou, vide. Il est, même, plus souvent, qu’on ne le croit, plutôt plein ». Ce qui encourage plus, dans la vie, à l’optimisme, la positivité, l’espérance, qu’au pessimisme, à la négativité, qu’au défaitisme -.


 

 


« Quand, je travaille, j’ai du mal, à me concentrer, sur certaines tâches, par désintérêt, quand, elles sont, à mes yeux, rébarbatives.

 

> Je peux, faire des efforts, de concentration. Non, par passion, plaisir, mais, sens, du devoir, conviction, que c’est, mon intérêt, de me donner, du mal, pour réussir.

 

o Il n’y a pas de petites ou, grandes tâches ! Toutes comptent et sont importantes, pour moi, car toutes concourent à mon accomplissement humain. Il faut aussi de petites choses, pour en obtenir de grandes, comme « les petits ruisseaux font les grandes rivières » ! Je ne néglige donc rien, car tout est signifiant et significatif, pour me grandir et me faire progresser. Je me donne alors à fond, pour tout ce qui fait mon succès, du plus anodin, au plus remarquable. Je ne me laisse rebuter ni, impressionner par rien, mais je persévère toujours, sans me décourager. Jusqu’au succès final !


 

 

Quand, je dois faire, un travail scolaire, de groupe et, que je n’ai pas donné, selon moi, mon maximum, je me sens gêné, par rapport, aux copains.

 

> Je sens, que je suis, moins bon, qu’eux et, eux, bien meilleurs, que moi. Cela, renforce, mon sentiment, d’incompétence générale, en vertu, duquel, je ne suis, jamais, valable et, les autres, toujours, plus, que moi.

 

o Je cesse de me laisser distraire, perturber, paralyser, par des facteurs extérieurs mineurs. Je ne prête attention, importance, considération, qu’à mon intériorité majeure. Je cesse d’accorder crédit aux réactions des autres, à mon for externe. Je ne me réfère qu’à ma seule conscience ou, for interne. Si je l’interroge, en introspection objective fondée, non, en contrition subjective supposée, je me rassure. Je constate, de fait, le plus souvent, que je me suis bien comporté et, bien mieux que je ne le pensais, a priori. Je médite l’adage suivant : « Quand je me regarde, je m’inquiète ; quand je me compare, je me rassure » ! Cqfd…


 

 

Souvent, s’il y a, une partie, de sports collectifs, j’hésite, à me joindre, aux autres, alors, que j’en ai, si envie. Par doute, sur mes capacités, me jugeant, moins apte, que les autres, à y exceller.

 

> J’ai peur, d’être déconsidéré, aux yeux, d’autrui, ne croyant pas, assez, en moi, cela, me paralyse fort. Pourtant, je préfère, encore, mes amis, à la solitude ».

 

o Vivre, c’est paraître ; me cacher, est dépérir ! Je ne peux, sans cesse, me dérober, par peur des autres et, de moi-même, pour me protéger de tout et tous. J’arrête « d’avoir peur… d’avoir peur ». J’ai autant besoin des autres, qu’eux de moi. J’ai tout autant, à leur apporter, que réciproquement. Le monde requiert mon apport, ma contribution à sa bonne marche, comme il m’est indispensable. J’arrête donc, de tergiverser et, je participe allégrement, à la vie de ma communauté humaine. Mon intervention est tantôt positive, neutre ou, négative. Qu’importe, l’essentiel est de me manifester sans retenue. Car les autres font de même et, sont tout comme moi : ni meilleurs ni pires, mais égaux, le plus souvent !


 

 


Eudes, seize ans


 

 


Suivi androJeunologique

Cognitif, émotionnel, comportemental

De l’estime, la confiance, l’affirmation, de soi


 

Paris, 2004


 

 


VOTRE DÉNOUEMENT DES PLUS FÉCONDS

D’ANDROJEUNOLOGIE®


 

 


Cognitive, Émotionnelle, Comportementale

De l’Affirmation de Vous-Même, de Garçon Jeune


 

 


III


 

 

– Vos Outils Amélioratifs –


 

 

« En début, d’année, de seconde, j’ai eu, des difficultés, à m’adapter, mes notes ont décru, je n’ai pas compris, ce qui m’arrivait. Alors, je me suis fort découragé et, j’ai baissé les bras. J’ai donc, éprouvé, un net sentiment, d’abattement niveau émotionnel, 7 sur 10 , de dépit 7 sur 10 , de démobilisation / désinvestissement 6 sur 10 . Je me suis dit : Je n’y arriverai pas, j’en ai assez, de mes obligations, de lycéen. Je suis moins bon, que les autres condisciples, ils sont meilleurs, que moi. Je suis très en colère, contre, le système scolaire français, bien trop, lié, à la seule performance académique.

 

> En cas, de coup dur, de situation difficile, je dois, non pas, remettre, en cause, ma personne et, ma valeur propre, individuelle. Or, mes pensées raisonnées négatives, mes émotions perturbatrices et, mes comportements inappropriés. Alors, seulement, il me sera possible, profitable, de « rectifier, le tir », de m’en sortir, en obtenant, subséquemment, de bien meilleurs résultats scolaires.

 

o Aussi difficile que soit ma situation, elle comporte, le plus souvent, plus de possibilités de solutions positives, que d’échec irrémédiable. Je raisonne donc calmement, en confiance, de façon favorable. J’ordonne mes émotions, sur le mode serein, apaisé, combatif. Je parviens alors, à des comportements adéquats, de qualité, résolus. Cela me permet de réussir, m’épanouir, dans la persévérance.


 

 


En tout début, de seconde, face, à mes difficultés scolaires, j’ai pensé, que j’étais nul, que je ne m’en sortirais pas et, que les autres, me surclassaient, de mille coudées. Mon autocritique impitoyable était très disproportionnée, excessive, non réaliste, ni justifiée. Car injuste, pour moi-même !

 

> Maintenant, j’ai compris que, même, en « péril », je peux, me convaincre, que je vais surmonter, les obstacles, en travaillant, plus et, mieux ! Que mes capacités et, limites, sont bien plus prometteuses, que je ne le pense et, autant, que celles, de mes pairs. J’ai autant, de chances, de mérites, le droit, de réussir, qu’eux. Il me suffit, d’y croire, de le vouloir, de me battre, sans états d’âme et, vaillamment, jusqu’à, la victoire finale. Il me suffit, d’exploiter, mes potentialités, de façon optimale. Personne, n’est jamais, le meilleur ou, le moins bon, en tout et, tout le temps. Par moments, comme, en certains domaines, je « me défends », très bien.

 

o Je ne peux tout miser sur des facteurs extérieurs. Ni, seulement, sur des réalités purement factuelles, matérielles, quantifiables. Je dois savoir puiser, avant tout, en mes ressources morales internes. Ma réussite, notamment scolaire, ne repose pas uniquement, sur mon travail intellectuel ni, sur des notes chiffrées évaluatives. Comptent fort aussi, tout autant, ma force mentale. Ma volonté et certitude de réussir. Mon désir, mon intérêt et, mon plaisir à m’enrichir, par mes savoirs, connaissances, apprentissages. Ainsi, je suis motivé, apte, heureux de travailler, avec succès et ténacité, sans me lasser, décourager, renoncer.


 

 

Je ne suis pas, assez, détendu, à l’aise, avec mes amis. Je ne prends pas, assez, d’initiatives. J’ai beaucoup, de mal, à me mettre, au travail.

 

> Je dois donc, être, à la fois, plus indulgent et, plus ferme, avec moi-même. Je vaux bien plus, que je ne le crois, il me faut, « me secouer », moi-même, pour plus, me « motiver ». Au lieu, de tant, m’accabler, par rejet, désamour, de moi. Me laisser aller, à l’autocomplaisance, à la dévalorisation « misérabilistes ». En apitoiement, sur moi, « masochiste », très néfaste.

 

o Je pars d’un principe fondamental salvateur : je suis beaucoup plus à envier, qu’à plaindre. Je cesse donc, de me complaire sur le mode « geignard » et, j’opte pour un état d’esprit combatif. Je ne peux agir et m’en sortir, si je me crois privé de toute ressource. Cela me démoralise, décourage, paralyse et, m’empêche de réussir et d’être heureux. Si je suis convaincu, que j’ai des atouts à faire valoir, je suis motivé, encouragé, serein, actif et, cela garantit mon succès et ma félicité. Avec le bon état d’esprit, la bonne mentalité et non, les mauvais, je suis armé pour le meilleur, non le pire. En étant positif, confiant, en paix.


 

 

Quand, je suis, avec des inconnus, le début, de notre rencontre, m’est difficile, car je suis, mal à l’aise. J’ai peur, de mon image, du regard, de l’opinion ou, du jugement, des autres, sur moi intensité émotionnelle, de 6 sur 10 . J’ai des doutes, sur mes capacités relationnelles et, à me comporter, de façon adéquate 7 sur 10 .

 

Je m’en veux, d’être, à mes yeux, maladroit, ridicule, silencieux ou, même, proférant, des « bêtises », embarrassé, indécis et, paralysé 7 sur 10. Je me dis, que les autres, ont de la chance, de réussir, à être à l’aise, quand, j’ai, moi, tant, de mal, à y parvenir. Que je suis, moins intéressant, qu’eux, qu’ils sont, plus confiants, que moi. Que je vais, donc, moins bien, profiter, de la soirée, que les autres et, que j’ai, alors, un pénible sentiment, de regret et, de mal-être.

 

> Pourtant, à la réflexion, il n’y a, aucune raison, objective et réelle, pour que je sois, moins détaché, que mes amis. Je peux très bien, être détendu, moi aussi. Je suis, autant, « valable », qu’autrui et, apte, à avoir foi, en moi, que n’importe, quel, autre jeune, de mon âge. Je vais, donc, m’amuser, autant, que tous les fêtards, réunis, car, exactement, comme eux, je ne suis là, que, pour cela. Faire, de « bonnes rencontres ». Alors, en raisonnant, bien plus, positivement, de façon, plus sereine, réaliste, pragmatique, mon niveau émotionnel négatif, diminue.

 

Ma peur, du jugement, d’autrui, passe, à 2 sur 10. Mon doute, sur mes aptitudes, de communication, descend, à 3 sur 10. Mon ressentiment, contre, moi-même, n’est plus, que, de 4 sur 10. Puis, ma confiance, en moi, se renforçant encore, bien plus, mes sentiments cultivés, deviennent, carrément, positifs. J’ai la joie, de voir, que les autres, m’apprécient, à ma juste, bonne valeur intensité émotionnelle, de 7 sur 10 . La satisfaction, d’être, « à la hauteur », détendu, sûr, de moi 8 sur 10 . La plaisante surprise, de constater, que je peux, autant, « briller et, me faire valoir », que les autres, en société 8 sur 10 .

 

o Je suis mon propre et pire ennemi, en me parant des pires travers, tares, défauts, le plus souvent imaginaires. Cela est la cause première de tous mes malheurs, inactions et, échecs. Me considérant comme « abominable », je ne peux que « me faire horreur », à moi-même. Mon sentiment d’indignité me dissuade, de toute action positive, tout épanouissement et, tout succès. Car je ne crois qu’à ma « déchéance », non, à ma « rédemption ». J’inverse alors désormais, mon point de vue. Je me perçois, sans arrogance, comme valable et valeureux, pour l’essentiel. Je me plais comme je suis, me considère digne du meilleur, en juste mérite. Je crois en mon « salut », non, en ma « chute ». Cela me permet enfin d’agir, de réussir et, d’être heureux, tout en m’améliorant, sans cesse. En combat sans relâche, pour devenir, toujours plus, une « meilleure personne » !


 

 


En sport, de groupe, avec mes copains, quand, je commets, une faute, je me la reproche, alors, très durement. Même si, l’erreur, est le résultat, du jeu collectif, non, la seule, mienne.

 

> Je ne me crois pas, assez, capable, sûr, de moi, du fait, d’un excès, systématique, d’exigence, de sévérité rigide, de mes parents, à mon égard.

 

o J’exige trop de moi-même, en auto sévérité excessive, manque d’assurance et, de foi en moi. Ainsi, je ne suis jamais satisfait de moi-même et, je demeure en mal-être permanent : auto dénigrement, honte, culpabilité. Je dois retrouver ma fierté de moi-même, ma sérénité, mon autosatisfaction, sans prétention pour autant. En me concentrant, d’abord et surtout, sur mes qualités, les renforçant encore plus. Prenant en compte mes défauts et insuffisances, en second seulement. Non, pour m’en accabler, mais, en simple constat lucide et détaché, pour rectifier ce qui doit l’être, pour m’améliorer et progresser. Je remplace mes états d’âme négatifs par l’action dynamique, positive, productive. Alors, je suis plus efficace, meilleur, plus heureux, pour moi et autrui.


 

 

Généralement, quand, je participe, à un sport collectif, j’ai tendance, à ressentir, un sentiment, de culpabilité, intense. Du fait, d’une négativité intérieure, bien trop, excessive. Qui consiste, à me sentir, responsable, du pire et, non, dispensateur, du meilleur. J’éprouve, alors, la peur, de mal faire niveau émotionnel, de 7 sur 10 . La honte, de ne pas réussir, à être, à la hauteur 6 sur 10. La culpabilité, de décevoir, par indignité personnelle 5 sur 10 . Je me dis, donc, que je suis, moins performant, que les autres gardiens, de buts. Que tout le monde, va se moquer, de moi. Que je ne suis pas, à la hauteur, des attentes, de mon équipe, que je ne mérite, donc, pas, d’en faire partie.

 

> Il est plus réaliste, positif, pour moi, de penser que, si, l’on m’a confié, la responsabilité, de goal, c’est, que l’on m’a estimé, bon, pour le poste. Je vaux donc, bien, les autres titulaires, gardiens, de buts. J’arrive, à arrêter, plus, de ballons, que je n’en laisse, passer, ce qui mérite, pleins respect, indulgence. Jusqu’à présent, ma mission m’a été maintenue, non, interrompue. Signe, de la confiance et, de la satisfaction générales, de mon niveau, de jeu, même, s’il n’est pas, parfait. Ayant fait, de nets progrès, de « foi, en moi », mes émotions négatives, sont moins fortes.

 

Ma peur, de mal faire, baisse, donc, à 5 sur 10. Ma honte, de ne pas réussir, à 3 sur 10. Ma culpabilité, de décevoir, à 3 sur 10. Ce qui est très satisfaisant et, encourageant. Avançant, encore plus, dans mon « travail, sur moi-même », mes émotions deviendront, alors, totalement, différentes. Cette fois, de nature, pleinement, positive. Sérénité, d’agir, au mieux, de mes efforts, capacité intensité émotionnelle, de 8 sur 10 . Fierté, d’avoir, déjà, atteint, un stade optimal, de compétence 6 sur 10 . Contentement, de satisfaire, pleinement, mon équipe 6 sur 10 .

 

o Je suis passé maître en l’art de m’auto dénigrer, pour mes fautes et manquements, réels ou supposés. Au lieu de me féliciter de mes mérites et acquis réussis. En préjugés et parti pris systématiques de moi-même, à mon propre encontre. Tout en magnifiant, glorifiant toujours les autres, parés de toutes les vertus à mes yeux, comparativement à moi, en mon esprit. Il me faut alors, changer ma conception de ma propre image et, de celle d’autrui. Je cesse de surestimer les autres et, de me sous-évaluer. Je me recentre sur moi, plutôt que sur autrui. Non, pour m’agonir de reproches et m’auto anéantir, mais pour être en bonne intelligence, avec moi-même. Reconnaitre et admettre mes mérites, talents, succès, les savourer, m’en satisfaire, les faire valoir. Être apaisé et réconcilié avec moi-même, pour m’affirmer avec force.


 

 

Lorsque j’organise, une fête, pour mes copains, j’ai, toujours, peur, que cela, se passe mal, qu’ils s’ennuient ou, soient mécontents, m’en fassent, reproche. Ma logistique festive est mauvaise et, sera jugée ridicule. Je ne suis pas capable, de concevoir, une soirée réussie. Je suis certain, que mes amis, seront fort déçus et, critiques.

 

Je pense, alors, que je suis, bien moins, brillant, que mes pairs, que leurs réceptions, à eux, sont meilleures, que les miennes. J’ai l’angoisse, de « déchoir », c’est-à-dire, d’être perçu, comme, ayant, moins bien, fait, que les autres. J’ai peur, d’être déconsidéré, de « perdre la face », que l’on ne veuille plus, venir, à mes soirées prochaines, que l’on ne m’invite, même plus.

 

> Or, si je nuance, ma pensée, de façon, plus pragmatique, sereine et, positive, je peux, plutôt, raisonner, autrement, plus posément. Me dire, qu’en étant convaincu, de mes talents, à faire plaisir, aux amis, mes fêtes ne peuvent, alors, qu’être, au moins, aussi agréables, que les leurs. S’ils continuent, comme c’est, toujours, le cas, à accepter, mes invitations, à s’y rendre, c’est, que ces dernières sont, plutôt, attractives et, populaires. Constatant, que mes amis, me conservent, leur estime, reconnaissance, cela, signifie, qu’ils ont conscience, que j’ai donné, le meilleur, de moi-même. Cela, me permet, donc, de le croire, moi aussi, ce qui me rend serein.

 

o « Je joue à me faire peur », par catastrophisme, alarmisme, manque de confiance en moi, autrui, la vie. Je dois m’abstraire de mes états d’âme inquiets, pour ne me fixer que sur l’essentiel. La conscience du devoir accompli et, du bon ouvrage réalisé. Je me persuade, car c’est généralement la réalité, qu’ayant bien fait, je ne peux qu’en récolter de bons résultats. J’ai donc toute raison, d’être heureux et satisfait, de mon travail, de ses effets et, de moi-même. Je me rends compte que mes doutes et craintes, à cet égard, étaient vains et injustifiés.


 

 


À mes yeux, il me faut, toujours, faire mieux, que mes copains, quand, j’organise, des activités communes. Je me stresse, donc, moi-même, inutilement. Car, en me fixant, ce but, trop perfectionniste, d’excellence, cela, m’assure, selon, moi, d’atteindre, au moins, le niveau qualitatif, de mes amis et, relations.

 

> Je n’ai pas, en pareil cas, à en faire trop, pour me rassurer, sur mes performances, car, je fais attention, à faire confiance, à ces dernières.

 

o Je suis tellement persuadé de mes insuffisances, réelles ou supposées, que je me crois toujours obligé « d’en faire trop ». Pour être certain de bien faire et, d’être approuvé par autrui. L’objectif n’est pas d’être parfait, ce qui est impossible, ni de satisfaire tout le monde, tout le temps, à tout propos. Or, de faire au mieux, sans me préoccuper des réactions d’autrui, à ce sujet. Le « bien » suffit, « le mieux et le meilleur » sont généralement superflus. L’approbation de tous est rare et, non indispensable. Indifférent au perfectionnisme nocif et, à la popularité inutile, je suis alors serein, détaché, autonome. Tout en étant exigeant, productif, entreprenant.


 

 

Il m’arrive, de prévoir, d’inviter, un ou, des amis, chez moi. Or, je ne le fais pas, car, j’y renonce, de moi-même, pourtant, j’en ai fort envie. J’en éprouve, de la peur intensité émotionnelle, de 8 sur 10 . De la frustration 5 sur 10 . De la déception, également 6 sur 10 . Je regrette, de ne pas avoir invité, mes amis, car je pense, que je me suis privé, à tort, de bons moments, avec eux. Nous pourrions, nous ennuyer, chez moi, j’ai peur, d’être, bien trop peu, intéressant et, bien moins, que les autres ! Je ne peux et, ne veux, prendre le risque, qu’il me soit reproché, d’avoir personnellement « failli ».

 

> Il vaudrait mieux, que je pense, que je suis content, d’avoir osé, convier, mes copains. Car, nous allons, certainement, passer, de bons moments, ensemble. Je vais prévoir, des choses agréables, ce qui satisfera, mes invités, me démontrera, mes qualités, d’hôte et, d’organisateur. Il n’y a, donc, aucun risque, à « me lancer », bien, au contraire ! Car je connais, la convivialité, que je sais, instaurer, en pareil cas. En cette nouvelle configuration, fort positive, ma peur tombe, à une intensité émotionnelle, de 4 sur 10.

 

Ma frustration, à 2 sur 10. Ma déception, à 3 sur 10. Ensuite, je serai même, capable, de passer, à la confiance intensité émotionnelle, de 7 sur 10 . Au contentement 8 sur 10 . À la plénitude 7 sur 10 . Je pourrai, alors, agir, avec bien plus, de détermination. J’inviterai, tous mes amis. Ma soirée sera, des plus réussies, car, j’y mettrai, le meilleur, de moi-même, sans nuls, états d’âme, parasites négatifs. Tout le monde, sera ravi, moi, le premier, ce qui donnera lieu, à d’autres réunions festives, tout autant, formidables, à plus d’amitié, de convivialité, encore.

 

o Il est dommageable pour moi de renoncer au meilleur, sous prétexte non fondé que tenter pour obtenir serait pire. Par peur et manque d’assurance. Je ne peux préjuger de rien, tant que je n’ai pas essayé. L’essentiel est d’agir, non de s’abstenir. L’échec n’est pas d’agir et, de mal faire ou, de bien faire, pour échouer ensuite. Or, de s’abstenir. Certes, alors, je ne fais ni mal ni bien, mais je rate encore plus, car je suis assuré ainsi, de ne rien gagner. En agissant, je me donne au moins une chance de l’emporter. Si j’ai bien agis, mes gains positifs ont tout loisir de m’échoir. Si j’ai mal fait, je rate, mais j’aurais du moins tenté au mieux et, c’est l’essentiel que de participer. En outre, je peux toujours « mieux faire » ultérieurement et, « me rattraper » ainsi. Moralité : l’action est généralement plus bénéfique, que la passivité. En résolution et confiance.


 

 

Souvent, je me plains, d’avoir, trop, de travail scolaire, à faire. Je me sens, alors, débordé et, crains fort, de ne pouvoir, faire face, à mes obligations, d’études.

 

> Il vaudrait mieux, que je m’attelle, à la tâche, le plus vite, possible, plutôt, que de me lamenter, de façon stérile. Ainsi, je serai débarrassé, de la corvée, sans plus avoir, à m’en tourmenter, car, « ce qui est fait, n’est, alors, plus à faire » !

 

o Ce qui importe, n’est pas la tâche à abattre, aussi lourde soit-elle, mais, mon état d’esprit, à ce sujet. En étant combatif, face à un dur labeur, j’en viens à bout. Bien plus qu’en étant défaitiste, devant un travail facile et limité. Si je pense difficulté, tourment, échec, cela me décourage et, dissuade de travailler ou, me fait mal œuvrer. Si je me persuade qu’il me suffit d’entreprendre, au mieux, pour vaincre, même le labeur le plus ardu, je suis sauvé. Je me mets en train, fais au mieux et, réussis. Je ne me laisse pas impressionner par le défi. Je le relève, l’affronte et, le réalise victorieusement. Je ne crains pas l’obstacle, par manque de confiance en moi et, mes capacités. Je me convaincs de mon aptitude à gagner, en assurance et sérénité et, je me donne ainsi, toute chance d’y parvenir.


 

 


Je manque d’initiative, de confiance, en moi, de ténacité, détermination, je me décourage vite et, je suis, parfois, un peu « paresseux ».

 

> Or, je suis, par ailleurs, intuitif, fort imaginatif, créatif, loyal, bon camarade et, plutôt, doué, en sports et, activités physiques.

 

Je ne crains pas d’affronter la vie et, le vaste monde. Plutôt que de me replier sur moi-même frileusement, par manque d’affirmation de moi, j’ose sortir de moi-même, aller à la rencontre d’autrui. Pour cela, je cesse d’écouter mes pensées et, émotions paralysantes. Cela me permet d’oser me manifester, m’exprimer, agir. Pour mon plus grand profit et, celui des autres.


 

 

J’ai, parfois, raté, certaines amitiés, par manque, d’assurance, d’esprit d’entreprise et, trop, de repli, sur moi-même.

 

> Or, dans le même temps, j’accomplis, une très bonne scolarité, avec constance, régularité, sens, de l’effort et, beaucoup d’ambition.

 

o Je ne dois pas avoir peur de moi-même, pas plus que des autres. Or, au contraire, il convient pour moi de rechercher et, provoquer mon contact avec eux, en esprit d’ouverture et, non de fermeture. En confiance, audace, initiative. Alors, mon souhait et ma provocation d’interactions sociales et, de liens relationnels l’emportent, sur mes craintes paralysantes. Ces dernières sont annihilées et, ne peuvent plus me dissuader et me priver d’amitiés, de rencontres, relations, avec mes semblables.


 

 

J’aurais bien aimé, pratiquer, un instrument, de musique, donner, le meilleur, de moi-même, en la matière et, jouer, de belles œuvres.

 

> Or, je suis, en d’autres domaines, fort performant, en sports, je sais beaucoup, de choses, en sciences et, je suis très doué, pour la peinture.

 

o Je ne peux tout avoir, connaître, savoir, pratiquer, je n’ai qu’une vie ! L’essentiel est de faire les meilleurs choix, renoncer au secondaire, retenir le principal. Ce qui compte n’est pas ce qui m’échappe, mais ce qui me revient. Ce que je fais me plait, me convient, je le fais bien et, cela suffit à mon bonheur. Apprécier ce dont je dispose me comble et, me rend heureux. Regretter ce qui ne m’est pas dévolu ne ferait qu’entretenir, en vain, mes frustrations, remords et, faux sentiments de manques. Alors, inutile de me créer de mauvaises et illusoires raisons, de me rendre malheureux pour rien. Me satisfaire de mes passions en cours, est largement gage pour moi, de vrai contentement profond et durable.


 

 


J’apprécie, la curiosité, l’ouverture d’esprit. Le don, de soi, désintéressé, aux autres. J’aime et, je cultive, la paix, comme, l’amour, la vérité et, la justice.

 

> Je réprouve fort, la méchanceté, volontaire, comme, gratuite. L’arrogance. L’égoïsme et, l’égocentrisme excessifs.

 

o Je ne me laisse jamais impressionner, intimider, influencer, contaminer, démoraliser par les laideurs, déviances, amoralités d’autrui. Je les préviens et les bloque tout net. Je me réfère plutôt, aux vertus des autres et, aux beautés du monde. Je demeure, moi-même, toujours bon, droit, juste, loyal, quoi qu’il advienne. Ainsi, tout en me gardant du pire, je m’assure du meilleur, le cultive et l’entretiens. Pour mon plus grand bénéfice et, celui des autres.


 

 

Souvent, quand, je suis, en compagnie, de jeunes, de mon âge, que je connais peu ou, pas du tout, je suis tendu, nerveux, anxieux. Mal à l’aise, maladroit, sur mes gardes. Je ressens, la peur, du regard, des autres, sur moi intensité émotionnelle, de 8 sur 10 . Le regret, de ne pas être, moi-même et, détendu, avec des inconnus 8 sur 10 . La honte, de ne pas être brillant 6 sur 10 . Je me dis, que j’aimerais, être, aussi à l’aise, que nombre, de mes camarades, en société, avec, des non-familiers. Je ne parviens pas, à être spontané. Je suis encore, beaucoup trop, « stressé », voire angoissé.

 

> Je décide, donc, de relativiser, positiver, en croyances, moins limitatives, plus capacitantes. Je me dis, alors, plutôt, qu’il n’y a pas, de raison, que je sois, moins détendu, que les autres, avec des inconnus : s’ils y arrivent, pourquoi, pas moi ? Si je me raisonne, fais des efforts, je pourrai être, aussi spontané, naturel, intéressant, que les autres. Rencontrer, des jeunes, de mon âge, que je ne connais pas, encore, n’est pas un drame, en soi. Or, au contraire, une occasion, très positive, de me faire, de nouvelles relations enrichissantes et, prendre du bon temps » !

 

– « Plus, l’on est, de fous, plus, l’on rit », en vertu, de l’excellent adage populaire. –

 

« En cette meilleure configuration, le niveau émotionnel négatif, de ma peur, baisse, alors, très nettement, à 4 sur 10. Mon regret, à 5 sur 10. Ma honte, à 3 sur 10. Ensuite, je serai, encore plus, capable, de positiver, en émotions favorables. En plaisir niveau émotionnel, de 9 sur 10 . Plénitude 8 sur 10 . Fierté 6 sur 10 .

 

o Je dois apprendre à me réconcilier, d’abord, avec moi-même, pour pouvoir apprivoiser les autres. Être à l’aise avec eux, comme avec moi-même. Si je m’aime, je serai apprécié d’autrui. Je ne crains plus les jugements extérieurs. Je ne pense qu’à mes qualités, je les fais valoir et estimer. Je sais séduire, convaincre, attirer, par mon charisme, ma force mentale, mes certitudes solidement ancrées. Assuré de mes atouts, je ne crains plus rien ni, personne. Je suis en mesure de dominer toute situation, de réussir et, d’être épanoui, en tout et pour tout, en toute circonstance et, avec quiconque. Quoi qu’il en soit.


 

 

Comme, je progresse, fais des efforts, pour voir, le bon côté, de ma vie, je suis plus serein, joyeux. J’apprécie mieux, ma personne, les autres, les événements, circonstances, les choses, mon existence même, tout entière.

 

> Ainsi, ces derniers temps, j’ai pris, bien mieux, conscience, savouré, certains moments, auxquels, je ne prêtais guère, attention, auparavant. Car, éludant, le positif et, majorant, le négatif. En tout début, de semaine, j’ai été content, de reprendre, l’internat, j’ai passé, une bonne journée. Puis, j’ai fait, une agréable sortie, avec ma classe, ce qui nous a permis, de nous retrouver, plaisamment, entre condisciples. Un autre jour, je me suis bien détendu, au volley. Ensuite, jour férié, j’ai partagé, de bons moments, en famille. Plus tard, j’ai été très heureux, de revoir, des copains, du collège, en convivialité, rappel, de bons souvenirs, passés. Puis, j’ai gardé, mes jeunes frères, j’étais content, de bien, m’occuper d’eux. Ensuite, j’ai bien joué, au tennis, avec mon père, ce fut très plaisant.

 

o Ce n’est jamais la réalité des choses, qui affecte l’être humain, mais l’interprétation qu’il en fait. La façon dont il la ressent et perçoit. En modifiant positivement ma vision des gens, choses, circonstances, je relativise tous et tout. Tout en étant réaliste et pragmatique, sans être négatif pour autant. Je prends de la hauteur, de la distance, fais la part des choses. Ainsi, au lieu de m’assommer du pire, je m’emplis du meilleur. Je peux avancer plus vite, plus haut, plus fort, Citius, Altius, Fortius, selon la devise Olympique. Alors, je suis plus épanoui, apaisé, serein, avec moi, comme avec mes semblables.


 

 


Mes prochains objectifs, les plus prioritaires et, décisifs, sont d’être, plus concentré, sur la durée. Motivé, persévérant, de faire, plus et mieux, d’efforts.

 

> Je ferai, un bon stage, de prérentrée, au lycée, en fin, de seconde, pour bien réussir, ma première S. Ensuite, je veux m’astreindre, à des étapes appropriées, de travail efficace, croire, en mes capacités, pour cela, m’en donner, les moyens et, aller, jusqu’au bout. Je travaillerai bien, ce, dès, les débuts, de ma première et, régulièrement, au fur et à mesure, et, sans « procrastiner » ni, me décourager. Puis, je souhaite accroître, toutes mes capacités relationnelles, être plus patient, imaginatif. Je prendrai plus, d’initiatives, pour améliorer, mes relations, en famille, comme, avec mes amis. Par exemple, en organisant, plus, de sorties, avec les copains. Je ferai aussi, plus, d’efforts, pour être, encore plus, paisible, ouvert, souriant, aux autres.

 

o Ténacité, résolution, détermination, doivent être mes maîtres-mots. Je ne me décourage pas, ne renonce à rien, garde toujours en tête mes objectifs, avec effort, courage, force mentale. La difficulté ne compte pas, mais ma rage de vaincre seule importe. Je ne cède rien, tant que je n’ai pas atteint mes buts ultimes. Je les fixe, m’en donne les moyens, les mets en œuvre, les réalise, les maintiens actifs, tant que nécessaire, souhaité et, souhaitable.


 

 

Le plus accessible et, facile, pour moi, est d’être, plus, communicatif, dynamique, entreprenant. En étant toujours, plus sûr, de moi, optimiste, positif, constructif.

 

> Ce qui me permettra, de mieux, m’entendre, encore, avec mes proches, copains, famille. Donc, d’être, bien plus, épanoui, alors, de mieux travailler.

 

o Le temps des états d’âme négatifs, en passivité, craintes, tergiversations, doutes, est révolu. Je suis désormais combatif, actif, positif, serein, motivé, assuré. Je vais de l’avant, certain de réussir, sans trembler. L’essentiel est d’agir, d’obtenir, de vaincre, gagner, selon ma volonté et mon souhait, en plein succès. En réaction, action, proaction !


 

 

Le stage, de prérentrée, me garantira, de bien retravailler, tous mes fondamentaux, pour faire, une bonne première. Cela, se fera, au prix, d’une semaine, de grandes vacances, d’été, en moins. Bien travailler, régulièrement, dès, le début, de l’année, de première, sera gage, d’année réussie, de passage, en terminale S, sans trop, de problème.

 

> Cela, m’obligera, donc, en contrepartie, à accepter, de dépenser, beaucoup, de temps, d’énergie, à des tâches, souvent, peu faciles, gratifiantes et, intéressantes.

 

o Je dois prévoir, anticiper, organiser, me projeter, aller de l’avant, prévenir. Je fais effort et me donne du mal maintenant, pour me garantir le meilleur plus tard. En « sacrifice et gain, car la vie est une lutte ». Ma rigueur est mon assurance-vie la meilleure. Mon dur labeur actuel me permet des temps futurs meilleurs, des fruits prometteurs. Plus d’atouts et de capacités d’excellence, pour réussir. En somme, « reculer pour mieux sauter, semer mieux, pour récolter plus ». Car « l’on n’a rien sans rien » !


 

 


Améliorer, ma sociabilité, me vaudra, plus, d’harmonie, familiale et amicale, donc, d’être, bien mieux, apprécié, des autres, de les estimer. En leur juste valeur.

 

> Pour autant, il ne me sera pas, alors, toujours, aisé, de me « surveiller, moi-même », en permanence, pour, toujours, « faire, bon visage ». Rester, avenant, avec tous et, moi-même. Même, quand, cela, bloque, que je n’en ai pas, l’envie ou, la force.

 

o L’homme est, avant tout, un être social, sociable, socialisé. Il ne peut exister seul, par et pour lui-même, mais au travers de ses semblables humains. Il a besoin d’eux et, ils ont besoin de lui, en coopérations, interdépendances et, interactions permanentes. En l’intérêt et au bénéfice de tous et de chacun. J’apprends donc à me décentrer de moi-même, pour me recentrer sur autrui. Aller à sa rencontre, son contact, son écoute, son service, en bonne intelligence, générosité, ouverture, tolérance, altruisme. Je suis bon, bienveillant, compréhensif. Tout ce que je fais de bien et de bon aux autres me revient, le plus souvent, positivement, « au centuple ». Quoi qu’il en soit, je donne à autrui, non en esprit de retour intéressé ». Or, sans rien attendre en échange, de façon totalement désintéressée. Le bien n’est pas affaire d’intérêt, mais de principe. Ma joie, ma raison de vivre, sont mon don gratuit oblatif aux autres, non, de leur prendre, de façon captative. Les gratifier, me gratifie moi-même !


 

 

Mon premier objectif, est de passer, en première S. C’est une étape essentielle, pour mon orientation optimale future, d’études.

 

> Cela, est acquis et, accepté, j’ai travaillé « dur », pour y parvenir, sans, me décourager, sur la durée et, j’y ai cru, de toute mon énergie.

 

o J’ai voulu me dépasser moi-même, en abnégation et renoncement, sans renonciation pour autant. J’ai été récompensé de mes efforts inlassables, sacrifiant mon présent, pour gagner mon avenir. En « transcendance et rédemption » existentielles humanistes. De fait, en préparant mon avenir, pour moi-même, je sers l’humanité tout entière. Cela me permet, plus tard, d’apporter ma contribution utile aux autres, à ma société, mon peuple, mon pays, au monde entier. Ce que je fais pour moi, je l’accomplis pour autrui. Ce qu’entreprennent les autres pour eux-mêmes, ils le réalisent aussi pour moi et pour tous. Comme il est dit qu’ « un battement d’aile d’oiseau ou, de papillon a un retentissement planétaire » !


 

 

Mon deuxième but, est d’être, bien plus, actif et, disponible, à l’aise et, sociable, avec tous mes amis, sans exception.

 

> Je manque, encore trop, d’ouverture, sur les autres, le monde extérieur. Cet idéal reste, donc, encore, à réaliser. En détermination ! Avec plus, de confiance, en moi et, autrui, j’y parviendrai mieux, en pleine sérénité.

 

o Les autres m’apportent beaucoup, je peux donc, en faire tout autant pour eux. Toute vie, toute relation, impliquent une réciprocité, non une unilatéralité à sens unique. Autarcie, enfermements sur moi-même, solitude absolue me nuisent, bien plus, qu’ils ne me servent. Mon existence ne peut donc qu’être bilatérale et, plurilatérale, multipolaire, interactive. Je sors de moi-même, mon intériorité, égo, mes replis. Je n’ai pas tant besoin de refuge intérieur défensif, que de contacts extérieurs tous azimuts. Tout en protégeant mon intégrité physique et morale, naturellement. J’ai tout à gagner de ma vie relationnelle à autrui, bien plus qu’à y perdre. En humilité et fierté, je reste moi-même, avec, par, pour mes semblables. Je me mets en chemin et pars à la rencontre d’autrui, en confiance et mains tendues, bras ouverts. Je refuse la tentation illusoire et vaine des poings levés.


 

 


Mon troisième dessein, est d’être plus serein, détendu et, mentalement, plus fort, en moi-même, comme, avec autrui. Je suis, trop souvent, de mauvaise humeur, du fait, de mes crispations, ce qui nuit, à l’ambiance, familiale, amicale, sociale, de ma vie.

 

> Cette avancée, reste, à se concrétiser, en faisant, des efforts, pour être, plus souriant et, avenant, quitte, à « prendre, sur moi » et, à me faire, parfois, violence.

 

o Je suis trop souvent tourmenté, en mal-être, révolte. Cela provient de mon mécontentement de moi-même, d’autrui, de ma vie. Je ne suis pas à l’aise car je ne m’aime pas, me perçois comme faible, impuissant, dominé. Ne sachant comment faire pour m’en sortir. Il me faut cesser de me mettre dans la peau de quelqu’un d’indigne. Pour me persuader de ma valeur et, de ma capacité, au même titre que les autres. Je renonce à mes ruminations, ressassements moroses. Je cultive ataraxie et équanimité : paix et égalité d’âme. Je ne me laisse plus atteindre par les aléas extérieurs. Je n’accorde importance, foi et, crédit, qu’à ma force mentale, psychique, morale intérieure. Je fais appel à mes ressources spirituelles, pour dépasser mes épreuves, je ne me laisse plus abattre et intoxiquer par elles. Ainsi, quoi qu’il arrive, je demeure toujours d’humeur égale et sereine, ce qui m’assure succès et épanouissement.


 

 

À plus court terme, je dois garder, une bonne attitude et, un bon rythme, de travail, au lycée, jusqu’à, la fin, des cours. Je dois préparer, le séjour, de classe, à la montagne. Il me faut penser, à rendre, mes fournitures scolaires et, en bon état.

 

> Pour cela, je reste, concentré, vigilant, déterminé. Mobilisant, sans relâche, le meilleur, de moi, pour atteindre, au mieux, tous mes buts prioritaires.

 

o Aucune tâche, aussi difficile soit-elle, ne saurait me faire peur, me paralyser, décourager, faire renoncer. Pour cela, je m’arme de courage. Sachant que prévaut ma volonté d’obtenir les avantages, procurés par mon action, menant à faire ce que j’ai à faire. Non, le travail à accomplir, en lui-même, aussi ardu et rébarbatif soit-il. Envisageant le seul effet bénéfique du labeur et, non ce dernier, lui-même, j’ai alors la force nécessaire, pour en venir victorieusement à bout. Ainsi, plus aucune corvée ne m’intimidera plus, car c’est moi qui les materai. Je ne renoncerai plus ni, ne repousserai plus à plus tard la moindre obligation, même la plus austère ! Car tel est mon intérêt le plus profond.


 

 

Quand, je suis, en difficulté, je pense, négativement, que je suis, moins valable, que les autres et, qu’ils sont, plus capables, bien meilleurs, que moi. Que je ne réussirai, jamais, que c’est « fichu ». Que cela, ne sert, à rien, du tout, de s’accrocher, que c’est, complètement et définitivement,  perdu d’avance.

 

> L’objectif, est de raisonner, plus positivement. Je suis, aussi capable, que mes copains, je dois et, peux faire, aussi bien, voire, mieux, qu’eux, encore. À la condition, pour moi, de tirer, tous les enseignements utiles, de mes échecs passés ! De vite, me mettre, au travail, du mieux possible. Si je m’en donne, parfaitement, les moyens, ma réussite est, certainement, au bout, de mes efforts, en juste, bonne récompense. Loin, de m’abattre, tous mes échecs, doivent, m’encourager, à redoubler, d’effort, à les dépasser. En travaillant dur, pour les transformer, en succès, réussite.

 

o Ma difficulté rédhibitoire vient du fait que, pour moi, le moindre aléa est définitif, absolu, insurmontable, sans appel, irréversible. Or, c’est exactement l’inverse. Je dois comprendre que tout sur terre, sauf la mort, notamment les épreuves, même les pires, est vincible. Mes problèmes sont donc toujours provisoires, relatifs, surmontables, réversibles, résolubles. Conscient de cela, cela me permet de me concentrer sur la solution, non, le blocage. Je peux alors agir, me battre, mettre en œuvre toutes ressources nécessaires, pour dénouer toute situation complexe. Cela change tout et je peux, ainsi, réussir l’essentiel de mes enjeux existentiels.


 

 


Le premier échec possible, pour moi, était le redoublement, de ma seconde, pour cause, de non-admission, en première S, mon choix exclusif, d’orientation.

 

> Cet échec potentiel, possible, aura été empêché, grâce, à mon travail scolaire accentué, à un entraînement intensif, dans les matières défaillantes. L’aide, de mes proches, ma remotivation et, mon suivi de mentoring.

 

o J’ai réussi à atteindre mon objectif, le plus fondamental, car j’y ai cru, ai su mettre en œuvre ce qu’il fallait pour cela. Faire effort et, être tenace et résolu, jusqu’à la victoire finale. Acceptant aussi toute aide bienvenue et adéquate. Je n’ai jamais renoncé, quoi qu’il m’en coûte, ni jamais perdu de vue mon but ultime. En volonté, motivation, intransigeance inébranlables et sans relâche. Cela m’a permis d’être résilient et de vaincre !


 

 

En tout début, de seconde, je me suis battu, pour « tenir », surmonter, les difficultés, d’adaptation et, parvenir, à répondre, aux impératifs, exigés, de tout bon lycéen.

 

> C’est, cela, qui m’a motivé, fait supporter, les sacrifices impliqués. Cela, m’a permis, de ne me concentrer, que sur ma volonté, d’être performant, mon devoir, de franchir, les étapes, en jeu et, fait, pleinement, réussir.

 

o J’ai su m’adapter aux dures conditions qui m’étaient imposées, en tenant bon, résistant aux pressions, sanctions, exigences. J’ai su dépasser les avanies, déconvenues, injustices, dans les pires tempêtes et bourrasques. Le bon roseau est souple et solide. Il peut ployer, mais il ne casse pas. Me pliant aux règles conditionnant ma réussite, j’ai donc réussi à… réussir ! Par le travail acharné le plus constant, régulier, méthodique, que mes résultats soient bons ou plus mitigés. J’ai toujours su conserver le cap nécessaire, jusqu’à parvenir à bon port.


 

 

J’ai tendance, à reporter, au lendemain, les travaux scolaires. Cela, me permet, de faire, à la place, des choses, plus plaisantes, pour moi, je ne me donne pas assez de mal.

 

> Or, le travail, de dernière minute, se fait mal, dans le stress, la précipitation, voire, pas du tout, faute, de temps, restant, disponible. Cela, nuit, à mes études. Je me dis, que je n’ai pas du tout, l’envie, de m’y mettre. C’est trop dur… Je suis, alors, victime, de mon défaitisme, laisser-aller.

 

o Je ne dois pas m’obséder du travail rébarbatif, lui-même, mais des bons résultats, profits, réussites, auxquels il mène pour moi. Si j’accomplis ma tâche et mon labeur au mieux, pour connaître le succès et, non l’échec. J’agis donc rapidement, au fur et à mesure, avec régularité et efficacité. Je laisse de côté mes états d’âme négatifs, défaitistes, pessimistes. Je ne me concentre que sur ce que je dois faire, pour accomplir mon devoir de travailleur scolaire, qui se doit de réussir. Je n’ai donc plus d’excuses, pour ne rien faire et procrastiner. Mon destin et mon succès sont entre mes mains et, ne dépendent que de moi. Alors, à moi de jouer, en avant !


 

 


Le bénéfice, à reporter, à plus tard, le labeur, les corvées, en procrastination, est de faire, tout de suite, ce qui nous plaît. Nous fait plaisir, envie, ce que nous désirons, le plus.

 

> L’avantage, à agir, sans attendre, au fur et, à mesure, que les tâches arrivent, est de se débarrasser, des corvées, au mieux et, au plus vite. Pour être tranquille, au plus tôt et, en esprit libre et, paisible.

 

o Inutile de me voiler la face, faire la politique de l’autruche, la tête enfouie dans le sable. Un travail à faire ne disparaîtra pas tout seul, si je ne le fais pas. Ce qui est fait n’est plus à faire. La règle d’or est donc d’agir, dès que la tâche m’est notifiée et, de l’achever dans les temps impartis. Je ne remets jamais à plus tard, ce que je peux et dois faire tout de suite ! Suivre cet excellent et salvateur principe, toute ma vie, me garantit ouvrage bien mené et réussite. En discipline, méthode, efficacité.


 

 

Je commence, par le travail scolaire, le plus difficile, pour moi, en étude surveillée, au lycée, pour finir, par le plus facile, ensuite.

 

> Seul, sans surveillance, sans subir, la tentation, de me laisser, distraire, j’aurai plus, courage, à travailler, le plus simple, que le plus rébarbatif.

 

o En réalité, importe surtout le fait de travailler sérieusement, efficacement, de façon autonome et motivée. Sans besoin de surveillance, que l’on m’y oblige, sans béquilles psychologiques. Je sais que je dois accomplir ma tâche quelle qu’elle soit, quelle que soit la façon dont je m’y prends. Que j’en aie envie ou pas. L’essentiel est donc de m’y atteler dare-dare, sans barguigner, au mieux et, au plus vite. Ainsi, j’ai la conscience tranquille et, le sentiment plaisant du devoir accompli !


 

 

Cette année, j’aurai, des Tpe, travaux personnels encadrés, à présenter, oralement, devant, toute la classe, en petit groupe. La difficulté, sera, de trouver, un sujet intéressant. L’effort sera long : un trimestre. Il faudra, un travail, de grande qualité, car, à défendre, publiquement.

 

> La motivation, est que cela, sera, un enrichissement personnel, avec la satisfaction, du travail bien fait. La fierté, d’intéresser, toute une classe, le contentement, du devoir accompli, d’avoir satisfait, l’enseignant, les camarades. Ainsi, qu’une bonne note et, une bonne appréciation.

 

o L’essentiel n’est pas la forme, mais le fond. Je ne crains pas d’affronter mon public, ni ses réactions, car mon travail et ma préparation, en amont, sont parfaits. Ce qui assure mon succès de présentation, en aval. Je serai d’autant plus à l’aise et percutant, performant, en mon exposé oral, que mon travail antérieur aura été de qualité. Il a été rigoureux, intéressant, intelligent, à l’écrit. Cela me permet, à l’oral, d’être convaincant, dominant mon sujet, clair, intelligible et, même captivant. Mission pleinement accomplie donc, avec tous les honneurs, de surcroît !


 

 


Il arrive, régulièrement, que je doive tondre, moi-même, toutes les pelouses, de la propriété familiale. Car, mes parents « comptent », sur moi, pour le faire. Ce sera long, à finir difficulté, de 80 sur 100 . Très monotone 50 sur 100 . Peu gratifiant 70 sur 100 .

 

> Or, cela, peut « faire plaisir », à mes parents, qui me le demandent gratification, de 80 sur 100 . Cela, leur rend service, leur donne, plus, de temps, pour des occupations, bien plus importantes 70 sur 100 . La satisfaction, d’avoir, un beau jardin, bien entretenu, de me rendre utile, pour une chose, bénéficiant, à toute la famille 50 sur 100.

 

o Il n’y a pas de tâches petites ou grandes, nobles ou indignes, passionnantes ou ennuyeuses. Toutes ont le mérite d’avoir leur utilité, raison d’être, bénéfice. Je ne me focalise donc pas sur leur caractère ingrat, rebutant, fastidieux, à mes yeux, de façon supposée, plus que réelle. Je ne prends en compte que la nécessité de les accomplir, le bénéfice qui en découle pour moi-même, autrui, le bien commun. Pénétré de cet état d’esprit positif, encourageant, motivant, j’agis bien et vite, fier de moi et du travail accompli. Le labeur est plus agréable pour moi, car je ne le considère plus tel un pensum, une corvée assommante, mais comme une activité gratifiante. Cela change tout !


 

 

Le travail a été fatigant difficulté, de 40 sur 100 . J’ai été exposé, aux intempéries 50 sur 100 . La tâche m’a empêché, de faire, tout, ce que j’avais prévu et, envie, de faire. Cela, a fort bousculé, mes projets initiaux, déjà, bien fixés et, mon emploi du temps. Ceux, de m’adonner, à des occupations, plus plaisantes et satisfaisantes, pour moi 90 sur 100 .

 

> Or, en réalité, après coup, j’ai eu la joie, du travail bien fait gratification, de 70 sur cent . Mes parents ont été heureux, du résultat 80 sur 100 . Grâce, à mon travail, toute la famille, va pouvoir, profiter, d’un fort beau jardin, dès, qu’il fera beau 70 sur 100 .

 

o Les adultes aînés n’ont pas le monopole exclusif de la construction du monde. L’apport de leur contribution à l’intérêt général. Du bien prodigué à autrui. Les jeunes cadets y ont leur pleine part, tout autant. Ils doivent donc être pleinement associés, à la bonne marche de l’univers, à part entière et activement. Ainsi, je ne suis pas rebuté par ce que je dois faire. Je suis, au contraire, fier de participer au service de tous et d’offrir, par mon travail d’excellence, des gratifications bénéficiant à toute la communauté. Faisant ainsi honneur à moi-même, aux autres et, au genre humain tout entier !

 

En vacances, j’ai fait un stage, de voile, par grand vent. J’ai été capable, de très bien barrer et, j’ai, donc, été, à juste titre, bien fier, de moi.

 

> Ayant, alors, plus confiance, en moi, et, mes compétences, je suis moins perfectionniste. J’apprécie, donc, mes progrès, aussi imparfaits, relatifs, puissent-ils être.

 

o J’apprends à ne plus voir, en moi, que des défauts, insuffisances, travers. Des raisons de mécontentement, frustrations, colères, mal-être, contre moi-même, autrui, la vie, les choses, circonstances. Or, surtout, à savoir reconnaître et apprécier, faire valoir, ce que j’ai de meilleur en moi et, mes actions, résultats, mérites. Cela bonifie, magnifie, ma vision de l’existence, de tout et tous, moi-même y compris, contribue à mon bonheur, mon succès. Je suis meilleur que je ne le pense et, bien plus grand, en tant que personne unique, que mes fautes et manquements réels.


 

 


Les mathématiques sont importantes, pour mes études, mais, je ne les prise guère. Pourtant, je dois, m’entraîner, à y être, plus à l’aise, meilleur.

 

> Par raison, non, passion, j’ai fait, le choix raisonnable, pour mon avenir et, meilleur intérêt, de préférer, l’effort, à la facilité, pour réussir.

 

o Ce qui importe, n’est pas la difficulté de l’obstacle à franchir, les efforts et sacrifices à consentir afférents, ni mon inappétence liée. Or, le fait, pour moi, de ne pas craindre ni fuir les écueils, de les affronter, de façon tenace, résolue, pour les vaincre. Non pour être vaincu par eux. Puisque tel est mon intérêt supérieur, je ne rechigne pas, je fais méthodiquement ce que je dois faire, je réussis alors, pour mon plus grand profit.


 

 

Globalement, je suis satisfait, de mon physique, mon corps, ma taille, mon poids, mon anatomie, de façon générale.

 

> Je souhaite, toutefois, améliorer, mon apparence d’ensemble, mes postures, expressions non verbales, mes capacités attractives.

 

o De fait, si je constate en moi une insuffisance réelle, à mes yeux, je ne m’en accable pas, ne m’en désespère pas passivement. Je me bats activement, tout au contraire, pour la corriger, au mieux et au plus vite. Ainsi, au lieu de rester paralysé, figé, par et en mon problème, je le résous, par la meilleure solution. Alors, « tout est bien qui se termine bien, dans le meilleur des mondes possibles » !


 

 

J’apprécie ma voix, que je trouve, plutôt, mélodieuse, bien posée, en sonorité, intonations, comme clarté, pour moi-même et, autrui.

 

> Or, je bafouille, un peu, par émotivité, quand, je ne suis pas à l’aise, en public ou, avec des inconnus, qui m’intimident.

 

o La réaction, l’appréciation des autres, à mon égard, importent peu. Ne comptent surtout que ma personne, sa légitimité, ses qualités. J’apprends donc à ne plus exagérer mes travers, réels ou supposés, à mes yeux. Or, à prendre surtout conscience de mes atouts, mérites, talents, vertus. Cela me permet de me suffire à moi-même, sans dépendre du jugement d’autrui ni, le craindre. D’avoir une bonne opinion et image de moi-même, car justifiée, fondée, avérée, de facto. Cela me permet alors, d’être toujours confiant et, en pleine maîtrise de moi, en toute circonstance, avec moi-même, tous et, tout.


 

 


J’évite, tout autant, le laisser-aller vestimentaire, que l’excès, de coquetterie, par respect, de moi-même, des autres. En toute simplicité, sans abus, d’artifice, d’arrogance ni, de négligence.

 

> Je m’habille, comme, je le sens, pour être, à l’aise, avec moi-même et, autrui, en tout temps, toutes circonstances.

 

o L’essentiel n’est pas de me conformer, à des critères et effets de mode ou, aux attentes, réelles ou supposées, d’autrui, à mon égard. Or, de simplement suivre mes propres souhaits, goûts, préférences, concernant mon apparence extérieure. Cela me permet d’être moi-même, à l’aise, naturel, en plein accord avec l’image de moi, que je souhaite avoir. Seule compte mon opinion sur moi-même, jamais celle d’autrui sur moi. Ainsi, je ne suis pas esclave de la tyrannie des stéréotypes en vigueur, que veut imposer la majorité bien pensante. Mes propres principes, pour moi-même, ne doivent provenir que de moi, non d’autrui.


 

 

Je ne dors pas assez, par manque de temps disponible, du fait de mes études, fort exigeantes. Ce qui me fatigue, nuit à ma santé et, à ma qualité de travail.

 

> Je dois, donc, améliorer, augmenter, mon temps et, ma qualité, de sommeil, en m’organisant mieux, à cet effet. Pour être, plus en forme, mieux réussir.

 

o Il est inutile et contre-productif, sous prétexte de manque de temps, de m’occasionner, alors, plus d’inconvénients que d’avantages. Je dors moins, pour travailler plus, or cela perturbe ma santé et, la qualité de mon travail. Cette dernière compte plus que sa quantité. Alors, il convient pour moi de dormir plus et, de travailler moins et mieux. Ainsi, je serai plus en forme et opérationnel et, j’aurai une qualité et efficacité de travail meilleures. Plus dormir, moins et mieux travailler est plus productif, que moins dormir et travailler plus et mal. Je gagne en temps de sommeil, perds en temps de travail, mais je perds de la fatigue et, gagne en performance de travail. Je suis donc, en définitive, gagnant sur toute la ligne !


 

 

Je m’accepte, physiquement, même si, je ne suis pas, toujours, pleinement, satisfait, de l’image, que je pense, donner, de moi.

 

> C’est une nécessité, nul humain, n’a le choix. J’essaie, donc, de me décentrer, de moi-même, pour être plus serein, en société.

 

o Certes, surtout jeune, l’apparence extérieure physique, esthétique, n’est pas anodine. Or, je me raisonne pour évaluer le plus justement, ma vraie et bonne échelle de valeurs. Je ne suis pas responsable de mon corps, même « améliorable », mais de ma personnalité. Compte la tête que je fais, non celle que j’ai. Je peux et dois surtout influer sur la première, bien plus que sur la seconde. L’essentiel est d’être moralement aimable, pour être aimé, non d’être plastiquement attirant, pour plaire matériellement. L’être compte plus que l’avoir, le paraître, le faire. Il s’agit d’être spirituellement séduisant, non physiquement séducteur. L’esprit est toujours supérieur à la matière, à moi de m’en convaincre et, de convaincre autrui. Telle est la clé du bonheur. Matérialisme, hédonisme, consumérisme, étant celle du malheur.


 

 


Je manque, de confiance, en moi, suis, trop passif, face, à la vie. J’ai tendance, à subir, me laisser, porter, plutôt, qu’à agir. J’ai peur, que mon avenir, ne soit pas, assez, motivant, passionnant, satisfaisant, pour moi. Que, faute, d’autres possibilités et, options, je sois, donc, condamné, à subir, plutôt, que d’être, pleinement, acteur, de mon destin.

 

> Pour autant, j’ai des qualités certaines, solides, d’ouverture, d’empathie, de compréhension, des autres et, d’humanisme.

 

o Pourquoi craindre toujours le pire, alors que j’ai le meilleur en moi ? Me croire « vilain petit canard », alors que je suis en réalité un « beau cygne » ? Par préjugé contre moi-même, par détestation, rejet de moi, au lieu d’avoir de l’amour de moi-même. J’ai peur de moi, des autres, de ma vie, mon avenir, par excès de méfiance et défiance généralisées. J’acquiers cette confiance défaillante, en décidant enfin de faire la paix avec moi-même, autrui, l’univers. En croyant en moi. En cessant de cultiver un doute absolu permanent, paralysant et, destructeur. Alors et seulement alors, je serai en mesure d’agir, au lieu de subir, d’être heureux, en réussite de vie, serein.


 

 

Je ne provoque ni, ne fuis, les contacts, avec autrui, je « laisse faire, les choses », au gré, des circonstances, avec pragmatisme.

 

> Mon manque, de confiance, me paralyse moins, quand, j’ai envie, d’aller, vers les autres ! Je suis plus capable, de relativisation et, distanciation, ce qui me rend plus affirmé, guilleret.

 

o Je ne peux me contenter d’attendre la survenue des événements, passivement. Je dois les favoriser, les organiser, conduire, de façon active et dynamique, à mon avantage. Sinon, ce n’est pas moi qui déciderai, par et pour moi-même. L’on décidera pour moi, à mes dépens, en faveur exclusive des meneurs. Je dois être décideur gagnant, non dominé perdant. Je ne laisse jamais faire, je fais. Je suis de l’étoffe des leaders affirmés, pas de celle des craintifs falots.


 

 

J’hésite, à inviter, mes pairs, au salon, de l’automobile, alors, que c’est, parfaitement, possible. J’ai quatre meilleurs amis, mais, seulement, deux entrées, pour eux. En ne lançant, que deux invitations, je crains, de froisser fort, les deux « éliminés ». J’ai alors, pensé, à tort, que les deux « exclus », m’en voudraient, me jugeraient, très mauvais camarade, que cela, nuirait, de façon dommageable, voire irrémédiable, à notre amitié.

 

> Je dois, avoir, plus foi, en mon jugement propre, ce qui me donnera, assurance, résolution et, force mentale, sans peur, des autres ». Comme, de leurs réactions, à mon égard.

 

o Je cesse d’avoir peur des autres et, de leur réaction, jugement, à mon égard. D’autant, quand il s’agit de proches. L’essentiel est ma conscience et, mon comportement juste et équitable, à l’égard d’autrui. Je suis doué d’intelligence, de raison, d’esprit d’à-propos, à mon égard et celui des autres. Je fais au mieux, en conscience. Mes semblables ne peuvent donc, que m’approuver, m’apprécier, qu’être satisfaits, par mon attitude à leur propos. Si tel n’est pas le cas, c’est leur affaire, pas la mienne, car j’ai ma conscience pour moi, en for interne, « sans peur ni reproche ». Comme tous, je ne suis pas parfait, mais homme de bonne volonté. Cela suffit à mon honneur, comme à bien honorer autrui.

 

– Eudes n’a pas pensé, à la bonne solution, équitable et, satisfaisante, pour tous, d’un tirage, au sort, par les quatre jeunes -.


 

 


« Concernant, le choix, de ma chambre, d’internat, j’aurais fort pu, en obtenir, une individuelle, pour moi seul, l’an prochain, en première. Or, j’ai fait, ma demande, bien trop tard, je continuerai, donc, encore, à « subir », un colocataire, qui m’empêche, de dormir. Doutant trop, de moi, je manque, d’assurance et, d’audace.

 

> Or, « nécessité, fait loi » ! Même si, cela, me coûte, je dois, me contraindre, à me battre, croire, en moi et, en la légitimité, de mes droits et, intérêts. Pour bien, me défendre, dans la vie. Sinon, les autres « passeront, toujours, avant moi », je serai, un éternel perdant. Ce qui est très injuste, néfaste et, dangereux.

 

o Tant que je fais passer les autres, leur intérêt, avant moi-même et mes droits, je suis perdant. Si je ne me bats pas, pour les avantages auxquels j’ai droit et, peux prétendre, je n’obtiens rien. Je dois donc agir le plus activement, prendre des initiatives, pour obtenir gain de cause et, parvenir à mes fins. Ce, dans les temps et, en étant suffisamment réactif et ponctuel. J’ose être audacieux, demander, déranger, car il en va de mon salut, mon bonheur, ma réussite. J’accélère, je fonce, au lieu de me freiner et réfréner, tout le temps ! Pour mon plus grand avantage !


 

 

Je me dis, que même si, je demande, une chose, à quelqu’un, je suis persuadé, que je n’obtiendrai pas, ce que je souhaite. Il m’arrive, encore, de penser, que je n’ai pas raison ni, le droit, de demander et, que c’est illégitime ou, abusif, de ma part, que je ne le mérite pas. Je crois, que si, je sollicite, une personne, je vais, la déranger, la mécontenter ou, qu’elle va, m’en vouloir. Que cela, va, « se retourner, contre moi », qu’il vaut, donc, bien mieux, pour moi, renoncer, à ma demande. À la satisfaction, de mes réels besoins, intérêts.

 

> Si je raisonne, plus positivement, je comprends, que si je ne bouge pas, je suis assuré, de ne, jamais, rien, obtenir, de n’avoir, aucune chance, d’y parvenir. « Qui, ne tente, rien, n’a jamais, rien » ! J’ai, donc, tout, à gagner, à me manifester, tout, à perdre, à renoncer. Du fait, que ma demande, correspond, à mes vrais besoins, naturels et fondés, je n’ai aucunes raisons, de douter, de la légitimité, de ma requête.

 

L’autre, reste libre, de refuser ou, d’accepter. Je ne peux, anticiper, sa décision, qui lui appartient, que je ne peux, donc, deviner, à l’avance. Si ma sollicitation, est juste, acceptable, il est, de mon droit et, devoir, de la présenter. Ensuite, il appartient, à mon interlocuteur ou, interlocutrice, de décider, souverainement, en conscience, s’il ou, si elle, peut et, veut, m’aider ou, pas. En acceptant ou, refusant.

 

o Je dois me donner le droit d’exister, croire en ma légitimité, mon bon droit et, mes intérêts fondés et justes. Il me faut m’affirmer, sans abuser pour autant des autres. Sinon, je resterai éternellement à quai, immobilisé, au lieu d’embarquer. En conscience, je sais parfaitement ce à quoi je peux prétendre ou pas. Si ma requête n’est pas acceptable, je m’abstiens. Si elle est recevable, cas le plus fréquent, je fais taire mes doutes et peurs et, je la fais connaître à qui de droit. Ainsi, je suis toujours assuré de ne pas être abusif et, d’obtenir ce que je suis en droit de demander et de recevoir. Sans états d’âme ni tergiversations, mais, en confiance et assurance.


 

 

En début, de classe, de seconde, j’avais, d’importantes lacunes, en mathématiques. Pourtant, je ne demandais, d’aide, à personne, alors, que j’en avais, le plus grand et, urgent besoin. Étant donné, l’importance, de cette matière, pour mon passage, en première scientifique.

 

> Je ne dois pas, avoir peur, de déranger, en voulant, me faire assister ni, de révéler, ainsi, mes faiblesses, par une mauvaise image, de moi-même.

 

o L’essentiel n’est pas ma façon de parvenir, mais de garantir et servir mes intérêts. Pour cela, je n’accorde crédit et importance qu’à la meilleure et plus sûre façon de réussir. Les moyens étant bien déterminés, je les mets en œuvre. Ce qui me permet de résoudre tous mes problèmes et difficultés, sans coup férir. C’est aussi simple et efficace que cela ! Je n’écoute pas mes peurs et doutes, quant à ma réussite, mais uniquement ma volonté de m’en sortir. Les voies pour y parvenir, que j’applique d’urgence, car la fin justifie les moyens, en toute légitimité, bien sûr.


 

 


Concernant, mon orientation future, d’études, de profession, de choix, de vie, je n’ose pas, assez, m’informer. Par inhibition, crainte, de me manifester, demander.

 

> Puisque, je sais, que j’en ai besoin, que c’est mon intérêt, je fais taire, ma peur et, j’agis ! Il vaut mieux faire, des démarches bénéfiques, sortant, de ma « zone, de confort », plutôt, que d’y rester, mais, à mes dépens.

 

o Je dois savoir ce que je veux, d’autant que je sais bien ce que je vaux et, que je le vaux bien ! Sachant parfaitement ce que je veux, je fais alors l’impossible pour l’obtenir. Si je sais ce que je veux, mais fais tout pour ne pas l’avoir, en ne tentant jamais rien, cela est absurde. Je ne suis qu’un velléitaire, doublé d’un pleutre. Or, puisque je suis hardi, audacieux, déterminé, je n’ai de cesse de faire l’impossible, pour réaliser mes ambitions les plus fondées. Assez de pusillanimité, mais plutôt « de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace » ! Vouloir, c’est pouvoir et, avoir, Cqfd !


 

 

Généralement, dans ma vie, j’ai du mal, à m’exprimer, à me dire, à être spontané. Avec ceux, que je ne connais pas, mal ou, peu, je suis moins, à l’aise, qu’avec, des familiers. Ne les connaissant pas, j’ai peur, de leur réaction, à mon égard. Je ne sais pas, quoi dire. L’inconnu, l’imprévu, ce que je ne maîtrise pas, me bloquent, par défaut, d’assurance et, de sérénité.

 

> Alors, je dois agir, plus, mieux, plus vite, de façon appropriée, dans le temps et, l’espace, si je veux, parvenir, à mes fins !

 

o La vie ne peut toujours, loin s’en faut, être affaire de certitudes, de choses connues, balisées, rassurantes, prévues, garanties. Le plus souvent, c’est l’inverse. L’existence est incertaine, aléatoire, parfois même menaçante, inquiétante. Je dois l’accepter et faire avec, ne pas en tirer prétexte, pour rester caché, passif, replié sur moi-même, pour me préserver à tout prix. Je ne peux me protéger de la vie, ma vie, moi-même et, autrui. Vivre n’est pas une maladie, une malédiction, mais une chance, qui requiert et mérite d’être pleinement tentée et pratiquée. J’oublie mes craintes et, je vis ma vie, tout simplement. Je sors de moi-même, sans me préoccuper de moi, mais des autres. Je ne me demande pas, ce qu’ils peuvent m’apporter, mais ce que je peux, moi, leur accorder de mieux. Voilà le secret d’une vie heureuse sans peur : me donner à autrui, le gratifier, en m’oubliant. Tant l’essentiel est le bien que j’aurai accompli, en la vie de mes semblables humains !


 

 

Je sais, quels sont, mes principaux désirs, à assouvir. Je veux, avoir, plus, d’amis, « en allant plus, vers autrui », avec assurance, charisme et, rayonnement.

 

> En ouverture maximale, sur les autres, oubliant, ma propre personne, pour me focaliser, sur mes semblables humains, en confiance, fierté et, humilité.

 

o Je comprends que ma vie n’a d’intérêt et d’importance, que par rapport aux autres, non, à moi-même. Seul, je ne peux rien ou presque. Mon existence est perdue, ratée, malheureuse, sans et contre autrui. Elle n’est gagnée, réussie, heureuse, qu’avec et pour les autres. Sachant et voulant cela, je n’ai de cesse, ma vie durant, d’aller vers mon prochain, pour « communier à la vie », ensemble. Les plus grandes choses du passage terrestre sont ce lien, cette rencontre avec mes congénères. Je cultive donc cette richesse humaine, sans retenue, en altruisme, générosité, confiance, aisance, ouverture. Mes qualités propres y pourvoiront, rejoignant celles des autres, en transcendance mutuelle !


 

 


J’ambitionne, d’accomplir, une très bonne première S, pour être, à bon niveau, en terminale, y passer, facilement, bien réussir, au bac.

 

> Par l’effort, sans relâche, le travail acharné, la ténacité, sans faille, sans, jamais, me décourager, douter ni, renoncer. Jusqu’au but final, atteint et, réussi, de façon déterminée.

 

o L’ambition est capitale, pour savoir ce que je veux faire de ma vie et, faire de mon existence le plus et le meilleur possibles. Je n’ai donc pas peur de me donner du mal maintenant, pour parvenir plus tard et, atteindre mes objectifs. Je ne me laisse distraire ni, arrêter par rien d’autre, au cours du chemin. Je n’arrêterai que quand je serai parvenu à destination finale, pas avant. Quoi qu’il m’en coûte, quelles que soient les difficultés et, les embûches rencontrées, au fur et à mesure de mes avancées. Il pourra y avoir de petits reculs, je ne me laisserai pas décourager pour autant. Ce sera autant d’occasions de repartir et, de m’acharner de plus belle, en l’effort. Ainsi, ma réussite, récompense de mon dur labeur, sera obtenue, à terme !


 

 

Je prévois, de faire, un grand voyage, avec mes amis, entre jeunes, en adultes, sans, les parents, en liberté et, autonomie.

 

> Avec maturité, organisation, rigueur, responsabilité. Cela, me permettra, de m’affirmer et, de réaliser, mes propres désirs et, rêves.

 

o Le grand dessein de la jeunesse est de s’affranchir de ses aînés, ascendants, pour être autonome, voler de ses propres ailes. Devenir pleinement adulte, pour réaliser ses propres rêves, sa propre destinée. Non pas ceux des adultes accomplis ni, ceux qu’ils envisagent, ambitionnent, pour leurs cadets, leur descendance ou, prétendent lui imposer. Je dois donc m’affirmer, en affirmant, choisissant mon destin à moi. Cela passe par une multitude de choix, des plus petits aux plus grands. Cela ne dépend que de moi, ma volonté, mon action. Alors, je ne m’en prive pas et je bataille fermement, pour vivre ma vie, à ma guise !


 

 

J’ai, aussi, conscience, de mes besoins prioritaires, à satisfaire. Une meilleure entente familiale, à tous points, de vue, notamment.

 

> Avec, plus, de détente, d’efforts, de concessions mutuels, de bonne volonté partagée, pour que tous, soient, très « contents », en harmonie commune.

 

o C’est à moi, de fait, de me fixer mes propres priorités, les plus importantes et urgentes, à mes yeux. Je vis chez mes parents, en famille, avec ma fratrie. Il est donc important, pour moi comme pour eux, de veiller à une bonne entente réciproque. En l’intérêt de tous. J’y fais attention, d’autant que je suis l’aîné, cela me donne des droits et des devoirs, en responsabilité. Je donne le bon exemple aux plus jeunes et, je participe à un climat familial apaisé et chaleureux. Tel est mon apport positif, bénéfique et fructueux, pour toute ma communauté.


 

 


Je souhaite fort, un climat général, de travail scolaire, plus serein et, porteur, efficace et, fructueux, pour moi.

 

> En effort, confiance, en mes capacités, persévérance et, détermination. Cela, me rendra, plus épanoui et, productif, en mes études.

 

o Je considère trop les études, les miennes en particulier, comme une épreuve redoutable, quasi insurmontable. Faite d’obstacles, tous plus terribles les uns que les autres. Ce n’est pas mon travail qui est terrifiant, en lui même, pas plus que ses conditions d’exercice. Or, mon appréhension, ma vision, mon ressenti, de ce qu’ils sont pour moi. Je me détache donc, des aspects annexes secondaires subjectifs. J’influe, de façon bénéfique consciemment, sur mon subconscient, en étant positif. Cela me permet de penser, ressentir, d’agir, en sérénité. Je me recentre sur le fond principal objectif : mon travail lui-même. Sans me laisser impressionner par lui ni, influencer, parasiter, par son environnement. Je me concentre sur ma tâche et, je l’accomplis méthodiquement. Point pas point, sans relâche, jusqu’à « en venir à bout », en un état d’esprit paisible, apaisé.


 

 

Me faire plus, apprécier, de mes pairs, pour l’essentiel, faire mieux valoir, mes qualités, me paraît important, pour bien, me réaliser.

 

> Par l’ouverture d’esprit, l’acceptation, l’affirmation, de moi-même. J’ai compris, que seul, l’amour, de soi, assure, l’amour, des autres, l’estime mutuelle. Que l’on ne peut, jamais, prétendre, bien vivre, avec autrui, que si l’on vit, au préalable, « bien, avec soi-même ».

 

o Je ne peux être en guerre contre moi-même et autrui, le monde entier, en permanence. Cela est pour moi vain, épuisant, contre-productif. Je fais donc la paix générale, universelle, avec tous et pour tout. La main tendue est plus prometteuse, prolifique, que le poing levé. Je n’attends pas, pour cela, la gratification des autres. La seule façon de l’obtenir est de leur offrir, d’abord, la mienne. Honorant autrui, je serai, en retour, honoré par lui, en réciprocité bien comprise. Appréciant, reconnaissant les vertus de me semblables, ils feront de même, quant aux miennes. Il me revient de commencer, en donnant « le bon exemple », car pour obtenir, il faut d’abord donner !


 

 

En fin, de ma seconde, je souhaitais, arrêter, le grec ancien, pourtant, je n’ai pas osé, exprimer, mon souhait. J’ai eu peur, de déranger et, décevoir, d’être mal considéré, par mes parents, enseignants. J’ai, donc, beaucoup manqué, d’assurance, d’affirmation, de mes propres préférences, choix, de ma volonté et, de ma personne souveraine.

 

> Il s’agit, pour moi, de plus, m’imposer, privilégiant, mes légitimes choix, droits et, intérêts. Plutôt, que ceux, des autres et, ma peur, de me manifester, ainsi, que mes besoins et, ce qui me gêne, terriblement.

 

o Pour éviter un petit inconvénient : oser m’affirmer et déplaire, je m’en suis imposé un grand : subir ce dont je ne voulais pas. J’accorde plus d’importance à ma peur des autres, de leur réaction, qu’à ma volonté et mes intérêts propres. En estime et confiance en moi, j’inverse radicalement ce toxique état d’esprit. Je suis indifférent au positionnement d’autrui, qui et quel qu’il soit. Je n’accorde importance qu’à ce que je veux, moi et, ce qui me convient, m’intéresse, me bénéficie. Sans pour autant nuire, léser, offenser personne. Ainsi, je « ne me laisse pas avoir, ne m’en laisse pas conter » et, j’obtiens tout ce que je veux de légitime. Étant volontaire, résolu, persévérant, sûr de moi, je suis même capable de convaincre les plus dubitatifs et, de plaire aux plus rétifs !


 

 


Je n’ai pas, toujours, su, assez, prendre, en considération, les attentes, désirs et, besoins, de mes parents, par négligence, paresse.

 

> Je dois, aussi, apprendre, à composer, avec les autres, les prendre, en compte, souscrire, à mes devoirs, à leur égard. Sans, pour autant, jamais, oublier, mes propres intérêts et, droits, comme mes liberté, intimité et, dignité.

 

o Me conformer aux attentes des autres est bien, à condition que cela soit fondé et, corresponde à de réels devoirs. Pour éviter tout abus d’autrui à mon égard, comme les miens propres, j’interroge ma conscience, pour préserver mes droits. Cela est encore mieux. Je ne me contente pas de céder à toute demande d’autrui, juste pour lui complaire, je réfléchis d’abord. Même si je suis mineur et, qu’il s’agit de mes parents. Je ne suis plus un enfant. Si j’estime, en mon for interne, que ce qui est exigé de moi est recevable, je me fais un plaisir d’y répondre favorablement. Si tel n’est pas le cas, je refuse, en argumentant solidement. Quitte à proposer, qu’une nouvelle requête plus acceptable soit reformulée, pour que je sois alors, en mesure de l’agréer. Je souscris toujours à mes devoirs, mais seulement, s’ils sont réels et justifiés.


 

 

En tout début, d’études, de lycée, j’avais tendance, à me plaindre, de tout, me considérant, comme, une victime passive, impuissante. Cela, a fort irrité, incommodé, mon entourage. J’étais trop, centré, sur moi.

 

> Alors, j’ai fait effort, pour changer, j’ai pris, en compte, la réaction, des autres, la gêne, que mon attitude, leur occasionnait.

 

o Tout est affaire, moins de réalité, que d’interprétation. Mes conditions d’études sont moins difficiles, en elles-mêmes, à mes yeux, objectivement, qu’elles ne le sont subjectivement, pour moi, selon mon esprit. Je raisonne alors, plus froidement, pour relativiser, dépassionner, être plus détaché. Au lieu de me sentir dominé, faible, subissant mon sort imposé, je décide et, fais en sorte d’être dominant, fort, conduisant mon destin, moi-même. Cela change tout positivement, en changeant de paradigme ! Je prends les choses en main, me mets au travail de façon acharnée et, je réussis. Ainsi, ma vie s’améliore fort, je suis satisfait, me sens bien mieux et, n’ai plus de raison factuelle de maugréer ! Corriger favorablement mes pensées, a positivé mes émotions, donc, bonifié mes comportements. À mon plus grand profit !


 

 

De même, en mon travail, j’accorde, bien trop, d’importance, à mes émotions et, états d’âme. Cela, me bloque et, m’empêche, d’agir, en mon intérêt.

 

> Il s’agit, donc, de me « décentrer, de moi-même », pour bien, me concentrer, entièrement, sur l’essentiel : ma tâche scolaire.

 

o Je délaisse mes pensées et, émotions parasites paralysantes, contre-productives. Je me réserve pour l’action. En mes études, l’essentiel n’est pas de cogiter ni, d’éprouver, mais, de travailler, sans élucubrations ni, états d’âme. Je me mets de bon cœur à l’ouvrage et, j’abats ma tâche quotidienne, sans rechigner, médire ni, récriminer. L’essentiel pour moi est de réussir, par mon travail. Le reste n’est que billevesées !


 

 


En fin, de classe, de seconde, je souhaitais fort, de meilleures conditions, de vie, à l’internat. J’y avais, plein droit, passant, en première, mais, je n’ai pas su, le demander, explicitement. J’ai laissé faire, les choses, par peur, de me manifester. De certaines conséquences, supposées, à tort, négatives, pour moi : refus, rétorsions, déconsidération, stigmatisation, rejet.

 

> Il me faut, désormais, toujours, oser, défendre, mes droits, intérêts, ma personne. Je vais, donc, de ce pas, hardiment et résolument, faire valoir, mes revendications. Tout en comprenant, exprimant, le fait, que ma demande, n’est pas, forcément, aisée, à être contentée, sur-le-champ. Or, que ma requête, est très légitime, pour pouvoir, mieux travailler, me ressourcer.

 

o Les choses ne sont pas faites pour être subies, mais provoquées. Je ne suis pas un contemplatif de l’existence des autres, mais un acteur de ma propre vie. J’influe sur l’existant, je ne laisse rien ni personne m’influencer, surtout en mal. J’exige donc ce qui m’est dû, puisque j’y ai plein droit. Je ne m’en sortirai pas, tant que « je raserai les murs et, que j’aurai peur de mon ombre », en pure pusillanimité. Je décide donc, de m’affronter moi-même, ainsi que les autres et, les réalités de ma vie, aussi durs et impressionnants soient-ils. Ce qui me fait peur est souvent imaginaire ou, négligeable et, non rédhibitoire. Ces pseudo-monstres qui m’effraient et, me figent ne sont, en réalité, que des « tigres de papier ». Définitivement débarrassé de ces freins, qui n’ont nulle raison d’être, je me libère enfin. Je me bats pour imposer et arracher, ce qui me revient de droit, ni plus ni moins, sans nulle hésitation !


 

 

Mon colocataire de chambre d’internat me gênait, de plus en plus, étant désinvolte, irrespectueux, avec moi. En ne respectant pas, assez, mon sommeil, ma tranquillité, mon travail. J’ai été trop indulgent, avec lui, alors, il a fort abusé, de mon excès, de gentillesse, complaisance, à son égard. Je n’avais pas, assez, pris conscience, que mon laxisme, se retournerait, contre moi. Que je me « faisais avoir ». Je n’ai pas, assez, pris à cœur, mes intérêts. J’ai eu peur, d’une réaction hostile, si je manifestais, ma réprobation.

 

> Je dois, donc, plus oser, m’affirmer et, me faire respecter, en étant, plus ferme, exigeant, « intraitable », quand, les autres, se permettent, de me nuire. Je respecte autrui, la réciprocité est, donc, impérative, jamais, « négociable ».

 

o Comme en droit civil, je m’impose, à moi-même, sans nulle obligation ni justification, des clauses léonines. Ce qui est interdit juridiquement et, doit donc tout autant l’être moralement. Ces clauses prévoient tous les avantages pour les uns, que des inconvénients pour les autres. J’accepte que les autres aient tout, favorablement, et que moi je n’aie rien, de façon dommageable pour moi. En véritables auto sabordage et auto sabotage. J’arrête de jouer sans cesse, contre mon propre camp. Je ne suis pas sur Terre pour assurer les intérêts des autres, mais les miens d’abord. Une fois seulement, que ces derniers sont assurés, je peux alors jouer les altruistes, les bons samaritains, les généreux désintéressés. Les humains ne comprennent que les rapports de force, non les bons sentiments. Je ne peux me faire respecter, ainsi que mes droits et intérêts, que si je fais de la prévention. En tenant autrui en respect en « montrant les dents ». Ainsi, plus personne n’osera me nuire et, je sauvegarderai toujours ma personne et, mes légitimes bénéfices !


 

 

J’ai trop peur, de « déranger », les autres. Je crains, qu’ils ne réagissent, alors, très mal, à mes dépens. Malgré, ma nette conscience, d’être, dans mon bon droit, je ne me sens pas, pour autant, la légitimité, à revendiquer, la défense, de mes intérêts.

 

> Je dois, me percevoir, comme, assez solide, pour cela. Même si, je ne suis pas certain, d’avoir raison, je dois faire valoir mes droits.

 

o Mon avantage, ma légitimité, ne sont pas d’avoir foi, confiance, en autrui, mais en moi-même. Quand il ne s’agit que de moi, ma vie, mes affaires, droits et, intérêts, j’ai toujours préséance, je choisis et, décide seul. Personne d’autre, jamais. Moi seul ai voix au chapitre. Alors, tout est simple, limpide, évident. La règle absolue et systématique est que je me bats d’abord pour moi, en exigeant toujours mon dû avéré. Si l’autre refuse à tort, je l’oblige à obtempérer, fermement, mais pacifiquement et, en respect d’autrui. Si cela ne suffit pas, j’en réfère à l’autorité supérieure adéquate, qui elle saura me faire rendre justice. Une seule chose compte : si j’ai droit, je demande et, j’obtiens, tôt ou tard, directement ou indirectement, à la première tentative ou la suivante. Si je n’ai pas le droit, je m’abstiens. Ainsi, mes droits et intérêts, les plus justes, sont toujours défendus et honorés. Moi seul peux et dois le faire, toujours, sans nulle exception ni renonciation.


 

 


Je crains, pense, que mon argumentation, ne suffira pas, à convaincre. Je me censure, suis défaitiste, à tort, car, je ne crois pas, assez, en moi-même, ma valeur ni, en mes capacités personnelles.

 

> Je dois prendre, pleine confiance, en moi-même, autrui, ma vie, l’existence, pour mieux, m’accomplir et, réaliser, ma mission terrestre !

 

o L’essentiel n’est pas de convaincre, à tout prix, mais d’être soi-même. Il vaut mieux être authentique sans l’emporter, que de triompher par le mensonge. Je peux toujours tout faire pour obtenir l’adhésion, en foi en moi, cela est toujours possible, jamais assuré pour autant. Or, l’essentiel n’est pas là, mais de se présenter à autrui, tel que l’on est, en exprimant ce que l’on a à dire. Qu’importent les réactions des autres et, leur assentiment ou non. Compte surtout, le fait de manifester ce qu’il me paraît important de communiquer. Le reste ne m’importe pas ni, ne me concerne. Ce n’est que l’affaire d’autrui, de cautionner ou non, mes propos, non la mienne. Je crois en moi et mon opinion et, cela me suffit, les avis extérieurs m’indiffèrent, car je me suffis à moi-même. Je ne fais pas dépendre mon estime de moi, d’autrui, mais, de moi-même, exclusivement. Je n’ai donc pas besoin d’être approuvé ni, désapprouvé, par les autres, pour exister, ni pour avoir foi en moi et mes idées !


 

 

Mon raisonnement, de capitulation, défaite, peut devenir, celui, de la lutte, pour moi, ma victoire. Systématiquement, chaque fois, que mon « combat », est légitime et, sans nuire, pour autant, à quiconque. Du fait, même, que je suis assuré, d’être, parfaitement, dans mon bon droit, je ne saurais, déranger, l’autre ni, lui nuire. En défendant, mes intérêts, tous, rien, de moins, ni, de plus.

 

> Cet autre, ne peut, donc, que bien réagir, qu’il réponde, favorablement ou, non. Quand bien même, « prendrait-il, la mouche », cela, est son problème, non, le mien !

 

o La vie, ma vie, n’est pas que combat, oppositions, antagonismes, raison ou tort, intérêts et droit, victoire ou défaite. Elle est surtout accomplissement de soi, par une certaine ascèse morale, un dépassement de soi, une élévation spirituelle. Les autres y ont leur place et rôle, mais ma transcendance métaphysique passe d’abord, par moi-même. Je ne peux toujours me défausser sur autrui, en attendre tout, en dépendre outrageusement. Ma réalisation existentielle personnelle est d’abord intérieure et, propre à mon être seul. Mes ressources suréminentes sont donc, à puiser en moi-même, ma conscience, mon for interne. Je ne peux m’inscrire dans la seule matérialité, avec, pour ou, contre autrui, mais, d’abord, avec, en, par et, pour moi-même.


 

 

Quoi, qu’il en soit, je suis fort assuré, ayant, ma bonne foi, mon bon droit, pour moi, de bien, les faire admettre et, triompher. Je suis, donc, « moralement, inexpugnable », puisque, je me conforme, à « la loi, au droit », de mes justes intérêts, parfaitement, fondés, sentis.

 

> Je n’ai, alors, aucun état d’âme, à avoir, ne me réfère, par conséquent, qu’à ma conscience, qui est tranquille, car droite. Non, aux desiderata, de « Pierre, Paul ou, Jacques ». Je ne les laisse pas, instiller, le poison délétère, du doute, pervers et illégitime, en mon esprit. Armé, de ma seule raison, solide, je fais, admettre et, reconnaître, ma pleine souveraineté, surtout, si elle est, iniquement, salement, bafouée.

 

Ainsi, je décuple, mes chances, de la faire respecter, par autrui, avec aplomb, confiance. S’il persiste, à « empiéter, fort indûment, sur mon territoire », il se met, donc, délibérément, en faute caractérisée, à mon égard. Je serai, alors, en droit intégral, de mettre en œuvre, toutes mesures protectrices, préventives ou, réparatrices, légales, proportionnées. Lesquelles, s’imposeraient, pour l’obliger, à « m’en rendre raison ».

 

o Je commence à savoir me battre et, faire valoir mes droits et intérêts légitimes, auprès des autres, c’est fort heureux. Je sais œuvrer pour moi. Pour autant, je sais aussi, non pas lutter contre autrui, pour moi, mais tout autant, le défendre, lui apporter, sans me nuire à moi-même. Surtout, j’ai compris que mon salut, ma joie, ma gratification suprêmes sont immatériels, bien plus que matériels. Proviennent surtout de moi-même, mon intériorité morale. Sachant où se trouve ma raison de vivre, je suis plus heureux et serein, confiant et rayonnant. Je ne me contente plus de réussir en ma vie, je me meus pour réussir surtout ma vie et, cela change tout, admirablement !


 

 


Parfois, l’on « use et, abuse », de ma gentillesse, en me demandant, quelque chose, qui paraît, anodin. J’accepte, par faiblesse, alors, que j’ai envie, de refuser. Je me rends compte, après coup, que je me fais, en réalité, « salement, avoir ». Car, cela, m’entraîne, à bien plus, que je ne veux ni, ne peux donner et, que ce qui me semblait, en réalité, initialement, demandé.

 

> Je dois, donc, être, bien plus, vigilant, strict, quand, l’on me sollicite. Pour me faire respecter et, prévenir, les abus, à mes dépens et, au seul profit, d’autrui.

 

o Les demandes d’autrui, à mon égard, n’ont aucune importance. Seuls comptent mon souhait, ma volonté, mon intérêt. Ce que je me demande à moi-même. Si j’accepte une requête, c’est car je le veux bien, qu’elle me convient pleinement et, est recevable, non, car elle est formulée. Ni pour complaire à autrui. Je ne me conforme donc, qu’à moi-même, jamais, à quiconque d’autre. Je ne suis pas au service des autres, mais au mien seul, d’abord. Je ne suis perméable qu’à mon intériorité et, toujours imperméable à toute extériorité. Moi seul décide de ce que je veux ou pas, j’accepte ou non, de ce qui me convient ou pas. Ainsi, je m’assure toujours de ne pas me laisser aller où je ne veux pas. En complets maîtrise et contrôle de moi-même, ma liberté, souveraineté, volonté.


 

 

Parfois, face, aux copains, notamment, les jeunes, que je connais peu, je ne m’exprime pas, assez, je suis trop, effacé, absent. J’ai peur, de l’inconnu, de ne pas être, à mon avantage, d’être, injustement, mal jugé.

 

> Un effort, pour « être, moi-même » et, « sortir, de ma coquille », s’impose, donc. Ce qui, me permettra, bien plus, d’aisance sociale et, d’enrichissements humains.

 

o Ce que sont les autres, à mes yeux et, à mon égard, n’a nulle importance. Seuls importent mon rapport à moi-même, la façon dont je me considère et, me ressens, perçois. En étant intérieurement sûr de moi, mentalement fort, assuré de ma valeur, ma légitimité, ma stature personnelle, je m’affirme extérieurement. Je ne me laisse impressionner, intimider, influencer, par rien ni personne. Je n’accorde crédit qu’à ce qui provient de moi-même. Ce qui vient des autres ne concerne qu’eux et, non moi. Je suis indifférent au regard et, à l’opinion d’autrui sur moi, ainsi qu’à mon image auprès des autres. Je ne pense que du bien de moi-même et, je reste totalement détaché, distancié, de ma propre appréciation de moi-même. En fierté sans arrogance, humilité sans auto dévaluation. Bien armé mentalement, je peux donc, impérialement, affronter le monde. Cultivant la philosophie zen, consistant à être imperméable à toute peur irrationnelle, comme à tout désir excessif. Seul gage de béatitude !


 

 

Je ne veux pas, déplaire, me fâcher, avec ceux, qui me demandent, une chose. Je me crois, obligé, de les satisfaire. Alors même, que je souhaiterais, si fort, refuser. J’ai des doutes, quant à ma pleine, légitimité, souveraineté et, liberté, de dire, non. Parfois, même, si je voudrais, décliner, j’accepte, malgré tout, par simple confort et, facilité personnels. Pour ne pas avoir, à m’expliquer, me justifier, m’affirmer.

 

> Il est grand temps, de changer, de registre, pour être sincère, authentique, plus sûr, de moi, honnête. Considérant, l’idée, que j’ai, toujours, parfaitement, le droit, de refuser, en conscience, ce qui, ne me convient pas, autrui, n’a jamais, à se formaliser. Car, cela, est mon libre-arbitre, choix. Même, si j’ai un doute, sur la légitimité, de mon refus, si celui-ci, s’impose, à mon esprit, je n’ai pas, à hésiter, à « dire, non ». Car, je ne fais, ainsi, que me « conformer », à ma conscience. Si ma raison, mes fort justes intérêts, me dictent, de ne pas, donner suite, à une demande, je me dois, d’avoir, tout le courage, la force, d’imposer, ma décision. Pour être, en accord, avec moi-même, vrai, avec autrui. Sinon, je triche, dupe, étant, dans le mensonge, à l’égard, de tous.

 

o Il est grand temps de vivre par moi-même, pour moi-même. Non, au travers des autres et pour eux. Je ne peux exister sans ni contre autrui. Pour autant, je vis ma vie et non celle des autres. J’entretiens mes propres richesses personnelles. Je cultive mes propres passions. Je poursuis mes propres ambitions, objectifs, destinée. Loin des états d’âme, prétentions, desiderata des bonnes âmes, des bien-pensants, des donneurs de leçons et, autres « casse-pieds ». Ainsi, je n’obtempère plus à rien et, réfute toute velléité extérieure, à mon égard. Sauf si tel est mon bon vouloir, naturellement. Quand il ne s’agit que de moi, ma vie, mes intérêts, ma volonté l’emporte toujours, celle d’autrui jamais. Car, alors, je suis seul juge, souverain et, maître. Alors, « à bon entendeur salut » !


 

 


Je refuse, désormais, d’être déconsidéré, humilié, abaissé, par mon entourage, le jouet, des autres, de façon désobligeante.

 

> Je me fais, respecter, en mes droits, intérêts, ma dignité, les plus légitimes, en étant ferme, sûr, de moi et, décidé.

 

o Les autres n’ont de pouvoir sur moi, que si je l’accepte et laisse faire. Si je refuse et empêche toute ingérence extérieure, autrui ne peut plus rien contre moi. Je fais de la prévention dissuasive, en faisant comprendre à tous, qu’il est inutile d’essayer de me nuire. Car toute tentative d’attaque sera systématiquement déjouée, « étouffée dans l’œuf », stoppée net, vouée à l’échec. Ainsi, les nuisibles, mal-intentionnés, abuseurs de toutes sortes sauront, à l’avance, l’inutilité et l’impuissance de leur forfait. Ils n’essaieront même pas, de faire la moindre tentative hostile dommageable. Pour avoir la paix (armée), il faut savoir (se) préparer (à) la guerre. Ce n’est « qu’armé jusqu’aux dents », que je peux me faire respecter, ainsi que mes intérêts. Pas en étant un « naïf et angélique agneau, parmi les loups ». Tout en demeurant toujours pacifique, respectueux des autres et, de leurs droits et intérêts. Défendant fermement les miens et ma personne. Je sais distinguer « les bons des méchants », les bien disposés et intentionnés des malveillants.


 

 

Je n’accepte plus, de devoir, faire, le travail scolaire, d’un autre, à sa place, de façon abusive, complaisante et, non fondée.

 

> Chacun, doit être jugé, selon, ses propres mérites. Je fais l’effort, de réaliser, toute ma tâche, chacun, a à faire, de même, pour la sienne, honnêtement.

 

o Je dois exclure d’office et par avance, tout profiteur, abuseur, escroc, de ma vie. Je repère et j’écarte durement tout malfaiteur, avant même qu’il ne puisse tenter quoi que ce soit, contre moi. Le désarmant et, le mettant ainsi, définitivement, hors d’état de nuire. Je n’abuse jamais de personne, j’interdis donc à quiconque de me nuire, en aucune façon. Chacun est responsable de soi et, de ses droits et devoirs moraux, non des autres et, de ceux d’autrui. Je suis chargé de mes intérêts, non de ceux des autres. J’ai déjà assez à faire, avec mes propres occupations et tâches, pour ne pas avoir à endosser, en outre, celles d’autrui. Que chacun assume ses responsabilités et, « le troupeau sera ainsi bien gardé » !


 

 

Je ne veux plus, être défavorisé, sans fondement valable ni, être accusé, à tort. Servir, de « paillasson ou, de bouche-trou, de faire-valoir », subir, les iniques moqueries, des autres.

 

> Je défends, mes droits, ma dignité, mon honneur légitimes, résolument. C’est, une question, de principe, absolu et, intangible.

 

o Par droit et devoir, je dois me débarrasser et, libérer ma vie des importuns, inconvenants et, autres trublions toxiques. J’ai plein droit à ma souveraineté, mon intégrité, ma sauvegarde, en liberté, dignité, intimité. Qui y contrevient doit être sanctionné, banni, exclu, à vie. Je n’accepte en mon entourage que des personnes de confiance, droites, loyales, respectueuses, bienfaisantes et bienveillantes. Comme je veille toujours à l’être, auprès d’autrui. J’exige donc, la réciprocité parfaite. Je ne nuis jamais aux autres et, je les oblige alors, à faire de même, à mon égard. Ma vie est assez difficile comme cela. J’élimine donc, tout ce qui la dégrade encore plus. Je suscite et favorise tout ce qui la bonifie. Gens, choses, circonstances…


 

 


Je limiterai, les excès, d’interventionnisme, de mes parents, en ma vie, quand, ils outrepassent, leurs prérogatives, à mon égard.

 

> En m’affirmant plus et, tolérant, ce qui peut l’être, en conscience, rejetant, ce qui est inacceptable, avec fermeté et doigté.

 

o Ma personne n’est gouvernée que par moi-même. Ma vie n’est régie que par moi. Tout ce qui me concerne n’est ordonné que par mon être. Exclusivement. Par personne d’autre, quel qu’il ou, qu’elle soit. Cela est impératif pour tous, même parents, que je sois mineur ou majeur, au-delà de quinze ans. Je n’abuse pas de mes ascendants, il leur est tout autant interdit de faire de même, à mon encontre et à mes dépens. J’élude donc, tout abus de pouvoir de leur part et, je ne leur laisse pas le choix. Je n’existe pas par eux et pour eux, mais par et pour moi, uniquement, même si je leur dois beaucoup. Je souscris à mes devoirs légitimes et, eux respectent mes droits fondés. Cela garantit l’harmonie de nos relations familiales, qui n’est qu’à ce prix.


 

 

Quand, je décide, d’un choix, qui déplaît, aux copains, parfois, je me sens, obligé, de me justifier. J’ai peur, qu’un refus, sans explications, soit, mal reçu, que j’en subisse, les pleins effets, dommageables, pour moi.

 

> Maintenant, la seule chose, qui compte, est de refuser, en conscience, si je le veux. Sans justification. La façon, dont cela, est perçu, ne me concerne pas, doit, m’être indifférent. Cela, regarde, les autres. Libre, à eux, de réagir, comme, bon, leur semble, c’est, leur problème, à eux.

 

o Mes choix, décisions, préférences, ne relèvent que de moi-même, ma volonté, mon libre-arbitre, mes intérêts, en conscience. Cela ne concerne ni, ne regarde personne d’autre. L’opinion des autres, à ce propos, est hors-sujet et, je m’en soucie « comme d’une guigne ». Ils font de même, eux, pour eux-mêmes ! Je suis alors, à jamais, débarrassé des « mouches du coche » et, de tout parasitage extérieur. Je peux donc, me consacrer à l’essentiel : mon destin personnel et, naturellement, je le conduis seul, à ma seule guise, comme je l’entends. Le reste n’existe pas, ne compte pas, est insignifiant et, sans nul intérêt, pour moi !


 

 

Ludivine était amoureuse, de moi, mais, pas moi. J’ai donc, préparé, un petit scénario, pour le lui dire, ne pas répondre, aux espérances, de la jeune fille, à mon égard. Sans, pour autant, être brutal ni, la blesser.

 

> « Je t’apprécie beaucoup, Ludivine, mais, moi, je ne suis pas amoureux, de toi, je ne partage pas, tes sentiments. C’est vrai, que tu as beaucoup, de qualités, qui me touchent, cela, nourrit, mon amitié réelle, pour toi, mais, rien, d’autre. Je comprends, que mon refus, te soit, très pénible ! Or, je me dois, d’être sincère, avec toi. Je ne peux, faire semblant, d’éprouver, ce qui, n’existe pas. Je ne peux, donc, m’en tenir, qu’à notre seule amitié. Je comprends, ton insistance, or, vraiment, je le répète, je ne peux, y répondre, cela, ne serait pas honnête, de ma part et, ne nous mènerait, nulle part.

 

Je suis fort désolé, pour toi, mais, il n’est pas question, de tricher ! Restons, bons amis, si tu veux, bien ! Comprends bien, que c’est, tout aussi, difficile, pour moi, que ce n’est pas, « de gaieté, de cœur », que je dis non. Or, je n’ai pas, le choix. Tu es sincère, mais, c’est inutile, de tenter, de me faire, fléchir, car, tu as bien compris, que je ne peux pas accepter, que c’est vain, impossible. Je sais, que tu m’aimes, beaucoup, mais, de mon côté, la situation, est si différente, que je ne peux, définitivement, pas, te suivre » !

 

o Nul, quel qu’il ou qu’elle soit, ne saurait s’imposer à moi, sous aucun prétexte. Je fréquente qui bon me semble, avec l’assentiment de la personne concernée. Sinon, je m’abstiens. Je ne force personne. Personne ne m’oblige à rien. Quelqu’un ne fait partie de ma vie qu’avec mon aval exprès. Je refuse toujours, formellement, de supporter qui que ce soit, contre mon gré. Toute relation n’est acceptable, que librement et réciproquement consentie, condition impérative de son harmonie et, sa légitimité. Je tolère ou, rejette donc, d’un commun accord, qui je veux, en mon intérêt et celui d’autrui.


 

 


En fin, de collège, mes copains, se sont beaucoup, moqués, de moi, de façon détestable, cela, m’a fort blessé.

 

> N’ayant pas assez, confiance, en moi, j’en ai été, déstabilisé, mon assurance, déjà, faible, s’en est trouvé, ébranlée.

 

o À moi de savoir ce que j’accepte d’autrui et, ce que je ne tolère pas. Il me revient d’imposer, par avance, des limites aux autres, que je ne laisserai jamais outrepasser. Cela m’évite de supporter tout abus, toute inconvenance, avanie. Mes semblables sont prévenus, au préalable, de ce qu’ils ont le droit d’être et de faire, à mon égard, et de ce qui leur est interdit. Ils savent que s’ils ne respectent pas mes critères, ils seront sanctionnés. Alors, pour éviter toute rétorsion, s’ils tiennent à moi, ils s’abstiendront très soigneusement de tout débordement, manquement. En réciprocité et égalité parfaites, car je les traite toujours impeccablement, pour ma part. Je ne tolère en ma vie, que des gens fréquentables et corrects, qui ennoblissent mon existence et ma personne. Les « malotrus » et autres indélicats en sont exclus et, impitoyablement éliminés. Il n’est pas question de supporter l’insupportable !


 

 

Au football, face, aux critiques, excessives et non fondées, de mon jeu, je me laisse, pourtant, trop faire, j’acquiesce, à tort, par faiblesse.

 

> Convaincu, que les attaques, sont iniques et, abusives, je contre-attaque, en démontrant, tous mes talents, les plus indiscutables.

 

o Je n’agis pas, en ma vie, pour plaire ou déplaire, mais parce que cela me convient, est juste et fondé, est ma volonté. En toute conscience et bonne volonté, je fais pour le mieux, en mon intérêt et, celui d’autrui. Je ne nuis à personne, respecte tous. En ces conditions équitables et légitimes, je suis donc fondé à me comporter comme bon me semble. La façon dont les autres le reçoivent, en un sens ou un autre, en bien ou en mal, n’entre pas en jeu, car elle n’a pas lieu d’être. Cela est de nulle importance. Je fais donc, ce que je veux de moi-même, mon existence, ce qui me concerne seul, mes intérêts. Que les autres se mêlent d’eux-mêmes, de leurs seules affaires. Je ne prétends pas, moi, interférer en rien, en leurs « prébendes », prérogatives, passions propres. Alors, qu’ils fassent de même et, ne « piétinent pas mes platebandes ».


 

 

Quand, mes parents, sont trop durs, critiques, à mon égard, j’ai tendance, à tout rejeter, en bloc. Pour me protéger, contre, une trop grande, remise en cause, de ma personne, car je suis et, me sens, très vulnérable !

 

> L’équilibre n’est pas, « le tout ou, le rien », mais, la constructive clairvoyance, pour bien distinguer, les abus, des avis justes.

 

o Je cesse de toujours ne me positionner, que par rapport aux autres. Cela me fragilise, m’épuise, me détruit à petit feu. Je ne dois d’abord exister, que par rapport à moi-même, en conscience et libre-arbitre. Je suis un être pensant et capable autonome, non pas inféodé à autrui. Ni clone ni créature des autres, je ne suis mû que par moi-même. Je ne me laisse pas phagocyter par toute influence extérieure. Je privilégie les miennes intérieures propres. J’opère une sélection stricte, parmi celles provenant d’autrui. Je n’accepte et ne conserve que celles qui me sont bénéfiques et, je rejette les autres. Je suis ainsi assuré de ne me nourrir que d’un environnement sain et favorable, pour moi, gage de mon bonheur et ma réussite. Ce qui est toxique et néfaste pour moi, étant annihilé, avant même que de m’atteindre.


 

 


Face à des attaques, injustes et abusives, de mes condisciples, je me suis senti, impuissant, paralysé, humilié, persécuté, de façon, indue. Sans pouvoir ni, savoir, riposter, de façon adéquate et juste, pour moi-même.

 

> D’où, l’importance, de savoir, faire, calmement et fermement, face, aux attaques, de façon adéquate, efficace, proportionnée, à l’agression.

 

o Ma faiblesse même a induit chez les autres, leur comportement agressif et dommageable, à mon encontre. Ils ne m’ont pas respecté, car je ne me suis pas respecté moi-même. Ils m’ont traité comme je me suis traité moi-même : mal. Nous induisons chez autrui la façon dont il se comporte avec nous. Je deviens donc intraitable, concernant ma souveraineté et, le respect, les bons procédés, qui me sont dus. Je ne laisse rien passer, je bloque net tout dérapage, toute dérive, toute inconvenance, à mon encontre. Je tance tout déviant abusif. Ainsi, je me fais toujours respecter et, bien considérer et traiter. Sachant que je relève, rejette et, sanctionne tout manquement, les autres font attention à moi, pour éviter toute rétorsion. Ils savent et comprennent qu’ils ont tout à gagner à me ménager, tout à perdre à me maltraiter. Seule la puissance prévient les débordements, jamais les bons sentiments ni la faiblesse. Je me préserve donc, par la prévention, la fermeté les plus drastiques et vigilantes.


 

 

Un jour, en fin, de seconde, mes parents, m’ayant reproché, de ne rien faire, alors, que j’étais, en grandes vacances estivales, cela, m’a fort exaspéré. J’ai, donc, vexé et mécontent, déserté, la maison familiale, tout, l’après-midi.

 

> Il convient, de rester, maître, de soi même, si l’on se sent, maltraité, de faire face, de façon, ferme, mais, calme, sans fuir.

 

o Pour autant, si je suis injustement traité et maltraité, même par mes parents, j’ai le droit de manifester mon juste mécontentement. J’ai le droit et le devoir de me protéger des abus, en me mettant hors d’atteinte des agresseurs. Les neutralisant, pour les mettre ainsi hors d’état de me nuire. Cela permet de retrouver ma sérénité et ma paix, de donner une bonne et saine leçon à mes tourmenteurs. De les faire réfléchir et, prendre conscience de leur déviance. D’éviter qu’ils ne récidivent. Qu’ils se comportent mieux à mon égard, à l’avenir. Hélas, généralement, l’être humain ne se comporte pas bien par principe et devoir, mais car l’on l’y oblige, par sanctions et rétorsions. En l’espèce, les soi-disant adultes sont souvent pires que les jeunes, contrairement aux préjugés habituels à ce sujet !


 

 

Si l’on me dit, que je suis trop replié, sur moi-même, pas assez, ouvert, aux autres, cela, vise, à me corriger, m’aider, à m’améliorer. Cela, est donc, en mon plein intérêt, alors, des plus positifs, pour moi. C’est, favorablement, destiné, à me porter, toujours plus et mieux, vers l’avant.

 

> En revanche, si un camarade, me rabaisse, méchamment, gratuitement, il y a-là, une nette intention maligne, malveillante, malintentionnée. Qui ne se justifie pas, est donc, illégitime, « nulle et non avenue », à rejeter.

 

o Je sais faire la différence, entre les remarques proférées pour mon bien, de façon bienveillante et, celles qui sont désobligeantes, pour me nuire. C’est une question de clairvoyance. Dans le premier cas, j’accepte le propos émis et, j’en tire profit. Dans la seconde configuration, je rejette la réflexion proférée et, n’en tiens pas compte. Ainsi, je sais distinguer entre ce qui est en ma faveur, donc acceptable et, ce qui est à mes dépens, donc irrecevable. Je fais le tri entre « le bien et le mal » et, je réagis en conséquence, selon mon meilleur intérêt.


 

 


Face aux attaques, j’ai du mal, à me défendre. Je me dis, que l’agresseur, a peut-être, raison. Que répondre, est inutile, même, si j’ai raison. Car, je suis, alors, certain, que je n’arriverai pas, à convaincre, de ma pleine légitimité, mon bon droit. J’ai, donc, peur, que si, je contrarie, mon contradicteur, cela, « se retournera fort, contre moi », à mes pires dépens !

 

> Or, si je fais appel, à mes ressources mentales intérieures, je raisonne, tout autrement. Il se peut, fort bien, que j’aie raison. Même si, ce n’est pas, le cas, j’ai le droit, le devoir, de me défendre et, d’exposer, mes raisons. Ainsi, que mes arguments. S’il s’avère, que j’ai raison, me défendre, s’impose, encore plus. Car, sûr, de moi, de mon bon droit, avec des arguments solides, j’ai toutes chances, de convaincre, de ma légitimité et, de l’emporter, en réalité. Défendre, mes droits, mes intérêts ou, ma « vérité », n’implique pas, ipso facto, de contrarier, autrui. Quand, bien même, cela, importe peu, puisque, l’essentiel, est de démontrer, ma bonne foi, ma combativité, pour me faire, plus, respecter.

 

o Je suis si peu assuré de moi-même, que je préfère toujours, par principe, donner raison à autrui, plutôt qu’à moi. Tort à moi-même, plutôt qu’aux autres. Même si je sais et suis convaincu que j’ai raison et, autrui tort. Je pare toujours les autres de vertu et, moi d’opprobre. J’apprends à m’aimer, m’estimer, m’évaluer à ma juste valeur. Je cesse de surestimer autrui et, je le réévalue à son juste prix, à la baisse. En rééquilibrage sain, réaliste, pragmatique. Ainsi, de façon objective et vraie, je me donne raison quand tel est le cas et, tort si cela est réel. Raison ou, tort aux autres, selon la réalité avérée. Cela me permet d’être apprécié à ma juste valeur et, non, déprécié de façon imméritée. De même, à l’égard des autres. Je ne me surestime pas pour autant, ni ne déprécie autrui. Cela est affaire de justice, de vérité et, d’équité. D’harmonie sociale et relationnelle, aussi. Chacun étant à sa juste place, qualité, évaluation. En l’intérêt bien senti et, partagé de tous et de chacun, ni plus ni moins.


 

 

Je demande, à la personne, qui m’attaque, me critique, quels sont, précisément, ses griefs. Pourquoi, elle les exprime. Je lui demande, ce qui motive, ses accusations, contre moi. Si j’en suis, réellement, la cause, l’objet. Si les faits sont, vraiment, dommageables, perturbateurs, pour l’accusateur, pourquoi et, en quoi.

 

> Généralement, en cas, de reproches fondés, je suis conciliant, car, le plus souvent, mes torts, ne sont ni, absolus ni, inexistants. Je reconnais, donc, les faits et, ma responsabilité, tout en faisant valoir, des « circonstances atténuantes ».

 

o L’essentiel n’est pas de me donner tort ou raison, mais d’admettre les faits, tous les faits, rien que les faits, quels qu’ils soient. Si j’ai tort, je l’admets, présente mes regrets, promets de ne pas récidiver, répare mes méfaits, dans la mesure du possible. Ayant fait amende honorable, je suis absous et, je peux avoir de nouveau la tête haute et, la conscience tranquille.


 

 

Si la mise en cause est abusive, j’ai appris, à mieux, la « réduire, à néant », par une riposte idoine, graduée et, proportionnelle, à l’attaque.

 

> Ainsi, je n’accepte plus, à raison, que l’on s’en prenne, indûment, à ma personne ou, mes actes, que l’on me tourne, en dérision. Sous prétextes, futiles et farfelus, ne reposant, sur rien, de tangible, valable. Je me défends, alors, posément, fermement.

 

o En cas de reproche injustifié, je conteste ma faute, ne donne pas quitus à l’accusation. Je remets les accusateurs abusifs à leur juste place. Je leur reproche de manquer à leur devoir de probité, de vérité et, de justice, les renvoyant à leur indignité diffamatoire. Je rétablis les faits en leur justesse, mon honneur et, ma dignité, car je suis innocent de tout reproche, tout méfait. Ayant levé tout opprobre, je retrouve ma sérénité et, passe à autre chose.


 

 


Auparavant, concernant, mes qualités et, compétences, j’étais trop « modeste », les minorant et, majorant, mes faiblesses, réelles ou, supposées.

 

> Désormais, sans être excessif, je reconnais et, fais valoir, tous mes atouts et, potentiels, sans timidité ni, arrogance.

 

o J’ai le droit et le devoir, de prétendre à la reconnaissance de mes réels mérites. De la même façon que je reconnais mes manques. Je ne majore ni ne minore, ni les uns ni les autres. Je les évalue à leur juste degré. Je fais de même, concernant autrui. Je ne surévalue ni moi-même, ni les autres, ni ne sous-évalue ni ma personne ni autrui. En équité et probité, tous sommes donc, tels que nous sommes, véritablement, estimés à l’aune de notre vraie valeur, ni plus ni moins.


 

 

Quant à mes défauts, failles, j’avais, donc, tendance, à bien trop, les exagérer et, m’en accabler, de façon déprimante et, dommageable, pour moi.

 

> Maintenant, je les considère, de façon, pragmatique et, réaliste, tels, qu’ils sont. Sans, les majorer ni, les nier. Bien décidé, à m’amender, pour les réduire, sans suffisance ni, états d’âme.

 

o En réalité, l’essentiel est de m’accepter, m’aimer, m’apprécier, tel que je suis et, non tel que j’aurais aimé être. En fierté et humilité. Avec mes qualités et me défauts, justement admis et évalués. Je me bats pour renforcer mes atouts et, corriger mes travers. Je suis plus grand que mes fautes et, plus éminent encore que mes vertus. Je chemine au mieux en ma vie, pour toujours devenir « une meilleure personne » et, c’est tout ce qui compte !


 

 

J’ai fait, pour mes amis, une soirée, jugée ratée, qu’ils n’ont pas aimée. Ils me l’ont fait, sans ménagement, savoir.

 

> J’ai répondu, positivement, ainsi : « Je regrette, que cela, ne vous ait pas convenu. Je ferai mieux, la prochaine fois ! J’aurais aimé, que ma réception, se passe, plus agréablement, comme, c’était, pourtant, mon but initial. Pour être assuré, que ma prochaine fête, soit meilleure, je vous demanderai, vos suggestions, votre aide ».

 

o Mon entourage peut apprécier ou déprécier, tout ce qui émane de moi. Les deux configurations sont bénéfiques pour moi. Si j’ai convaincu et séduit, tous sont satisfaits. Même en ce cas, j’en profite, non pour « me reposer sur mes lauriers », mais pour continuer à mieux faire encore, à l’avenir. Si j’ai déplu et déçu, personne n’est comblé. Cela arrive à tous, même aux meilleurs ! En outre, ce n’est pas irrémédiable, mais c’est rectifiable, provisoire et, non définitif. J’en tire toutes leçons utiles et, je fais bien mieux, la prochaine fois. Bien mieux encore, que quand j’ai contenté autrui, car je me ferai plus encore un devoir d’excellence, que jamais. Grâce aux critiques fondées. Ce qui me permet de progresser, de plus en plus et, de mieux en mieux. Tout est donc grâce, car quoi qu’il en soit, que je plaise ou non, je me bonifie, en toutes situations et, cela est des plus gratifiants !


 

 


J’ai, aussi, organisé, pour mes amis, une soirée réussie, qu’ils ont fort appréciée. Ils me l’ont fait, comprendre, en m’en faisant compliments.

 

> J’ai réagi, positivement, en leur disant : « Merci, je suis très touché, par vos congratulations ! J’ai vu, que vous vous êtes, bien amusés, cela, m’a fait, grand plaisir, je recommencerai, bien volontiers » ! Dans les deux cas, de figure, précédents, négatif, comme, positif, j’ai su, de façon, très appropriée et, sereine, sans abattement ni, euphorie, faire face. Mon estime, de moi, ma confiance, en moi, mon affirmation, de moi-même, étant meilleures !

 

o Être approuvé, remercié, loué, gratifié, apprécié, par autrui, réjouit le cœur et l’esprit. En satisfaction, fierté, joie, sans orgueil pour autant. Cela me permet de progresser, reconnu par autrui et moi-même. Pour autant, je ne dois pas être dépendant des marques de soutien, par autrui. Car si elles venaient à faire défaut, je pourrais alors douter de moi et mes aptitudes et, m’effondrer. Je dois apprendre à me suffire à moi-même et, ne pas compter ni dépendre de l’approbation d’autrui. Croire en ma valeur me suffit et, elle se suffit à elle-même. La vraie confiance en soi ne dépend que de soi-même, jamais, de l’extérieur. Elle existe, d’abord et surtout, quand tout va mal, pas seulement quand tout va bien. Je crois toujours en moi, quoi qu’il arrive, approuvé par tous, comme seul au monde et, abandonné d’autrui.


 

 

Actuellement, mes parents reconnaissent, que je suis bien plus, communicatif, plus actif, dans mes prises, d’initiatives. Que je suis, plus entreprenant.

 

> Plus confiant, épanoui, en mes études, mes relations, comme, ma vie, tout entière, je mène, mon existence, avec plus, de brio et, de bonheur, que jamais !…

 

o J’ai appris à m’accepter, m’aimer, être satisfait de moi, par principe, dans les bons comme les mauvais jours. Sans raison particulière. Sans dépendre des autres, des choses, des circonstances, de mes succès, comme de mes échecs, de mes joies ou, mes peines. Je suis heureux, quoi qu’il en soit, car j’ai décidé de l’être. Avec et comme les autres, ni plus ni moins. J’ai compris que la vie, ma vie, n’était jamais ni aussi « formidable » que je l’espérais, ni aussi « affreuse » que je le craignais. Or, tout simplement, bien et bonne, comme je le pense désormais, avec « ses hauts et ses bas ».

 

Je ne suis plus ni désespéré ni euphorique, mais serein, confiant, joyeux. Je ne suis « ni maudit ni, béni des dieux », mais en paix, avec moi-même et autrui, en authentique eudémonisme. Je comprends, maintenant, ce qu’estime, ce que confiance, ce qu’affirmation de soi signifient et impliquent. Je les pratique, au quotidien, pour mon plus grand bien ! Je sais, désormais, que le reste me sera offert de surcroît, par l’existence, tout simplement ! Nanti de l’essentiel et du meilleur, je rends grâce et ne saurais donc, rien demander de plus ni de mieux »…


 

 


Eudes, seize ans


 

 


Suivi androJeunologique

Cognitif, émotionnel, comportemental

De l’estime, la confiance, l’affirmation, de soi


 

Paris, 2004


 

 


Sur ces paroles, fort encourageantes, se clôt, l‘accompagnement androJeunologique, cognitif, émotionnel, comportemental, d’Eudes. Sa « foi, en lui, » était défaillante. Elle est, désormais, suffisamment, solide, pour lui permettre, d’affronter, dans les meilleures conditions, les réalités, de la longue et, belle vie, qui l’attendent, maintenant. Le test effectué, au tout début, de son androJeunologie®, donnait, un résultat, inférieur, de cinq points, à la moyenne. Il indique, à son achèvement, un score, bien supérieur, de quatorze points, au-dessus. Soit, un gain, de dix-neuf points, ce qui est très satisfaisant !


 

 


> Un jeune adolescent, est arrivé, très incertain, de lui-même. Une année environ, plus tard, un jeune homme, fort affermi, résolu, serein, est reparti, vers un destin, qui semblait, fort prometteur. Comme, son évolution, ultérieure, l’aura tant, confirmé ! Eudes était, donc, accepté, en seconde, en l’un, des meilleurs lycées parisiens, privés. Il était, très bon élève, au collège. Or, avant, de s’adapter, aux exigences, très dures, de sa sélective classe de seconde, ses notes avaient fort baissé. Il s’est, alors, persuadé, qu’il ne passerait pas, en première générale scientifique, son choix exclusif, d’orientation d’études.

 

Qu’il serait, donc, contraint, de redoubler, sa seconde, pour y parvenir, plus tard. Eudes a repris confiance, s’est organisé, n’a pas redoublé, est passé, sans problème, en première S. Il a, brillamment, obtenu, son bac scientifique. À été admis, en classe préparatoire. Il a intégré, l’une, des plus prestigieuses, Grandes écoles, de France. Il en est sorti, diplômé, avec maestria. Il a été accepté, à l’un, des meilleurs cursus, d’une très grande université, des États-Unis. Il en a décroché, le diplôme, avec, « tous les honneurs ». À vingt-six ans, il a accédé, à un poste, de responsabilité, au sein, de l’une, des plus importantes, multinationales, du pays. À l’une, de ses directions internationales.

 

Il était, donc, intéressant, de reproduire, la réflexion, de ce garçon, au cours, de son suivi, du début, à la fin. Il s’agit, de son raisonnement verbal, de fond, tel que, fort fidèlement, retranscrit, d’après, son dossier écrit, par lui-même et, son conseil. Sous une forme synthétique, plus littéraire, adaptée, pour la publication. Nonobstant, la pensée, d’Eudes, orale, comme, écrite, a été exprimée, par lui-même, en entretiens, avec l’aide, l’éclairage correctifs, de son conseiller. Elle a, ici, été, intégralement, respectée, « à la lettre, comme, en l’esprit ». Elle est fort significative, en regard, des grands doutes initiaux, puis, du parcours, des plus  exceptionnels, du jeune concerné.

 

En matière, de « renforcement personnel », l’on voit, à quel point, l’approche androJeunologique, cognitive, émotionnelle, comportementale, porte, tous ses meilleurs fruits. Lesquels, influent, si positivement, du début, à la fin, du suivi, puis, dans les années, qui suivent. D’autant, que le jeune a, autant, que de besoin, tout loisir, pour continuer, à travailler, ses notes écrites, refaire, exercices, entraînements.

 

Le tout, continuant, pour lui, ainsi, alors, à « incuber, infuser », favorablement. Eudes doutait, de lui, des autres, de la vie, de son existence, des choses, des gens et, de tout. Dans le temps et, l’espace. En perpétuel tourment. Ayant appris, à se « ressourcer », de l’intérieur, il s’est appuyé, sur tous ses atouts, dont, il prenait, peu à peu, une conscience positive nouvelle.

 

Au lieu, de s’accabler, de ses travers, failles, réels ou, supposés, il s’est « révélé, à lui-même », s’est dépassé. Son rayonnement l’a, alors, autorisé, à délaisser, ses états d’âme, pour se consacrer, au meilleur, de lui-même. Ce qui lui a permis, de progresser, tant et, si bien, jusqu’à, aujourd’hui, plus d’une décennie et demie, après, la fin, de son suivi d’AndroJeunologie®. Acquis, des plus solides, durables, donc, puisque, Eudes est, aujourd’hui, en plein épanouissement professionnel, personnel et, psychologique. Nous en gardons, encore, le bon souvenir, d’un jeune, très attachant, touchant, d’exceptionnelles, qualités humaines et, de cœur. « Bravo, Eudes et, bon vent, pour toute la vie » !


 

   


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