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Jeune XY(Andro)JeunesseAndroJeunoPratiqueRésuméContact


 

 


Yves REMY

Dr / PhD


 

AndroJeunologue®

Docteur des Universités


 

 


(ANDRO)JEUNOLOGIE®


 

Relever Votre Défi Jeune !


 

 


Ce livre est une introduction, inédite et novatrice, aux sciences

Et, au conseil personnel, de votre (andro)Jeunesse

Et, androJeunologiques.

 

En une large vision optimale : globale, transversale et, pluridisciplinaire.


 

 

L’ouvrage présente, l’essentiel, des particularités, de votre (andro)Juvénilité.

Les outils, de pointe, d’appréhension et, de mentorat, pour vous, jeune homme.

 

L’(Andro)Jeunologie®, étude et, assistance maximale, pour vous, 15-24 ans.

Spécialement, garçon. Balisage, tutorat, conseil

En réalisation de vous, pour vous mener, junior XY, à mieux vous diriger.


 

 

Ce traité analyse, votre néogénération, en ce qu’elle est. Il décrit, les meilleurs

Et, plus appropriés procédés, pour vous soutenir, les issues, à vos aléas

Attentes, réalités, besoins spécifiques.

 

En théorie abstraite réflexive : (Andro)JeunoScience®

Et, pratique concrète, de terrain : AndroJeunoConseil®.


 

 


Protocoles in vitro et, in vivo, d’avant-garde.

Plus particulièrement, concernant, votre jeunesse masculine.

 

En deux tomes doubles

Soit, quatre volumes d’AndroJeunologie®.


 

 


Tome I


 

 

Réflexion

D'(Andro)JeunoScience®


 

 

Données anthropologiques, d’ensemble, de recherche

Sur votre génération préadulte. Vous, jeune de 13-24 ans.


 

 


Tome II


 

 

Mentoring

D’AndroJeunoConseil®


 

 

Moyens, d’accomplissement de vous androJuvénile.

Vos compréhension et, conseil particuliers

De junior masculin.


 

 


Tome I / Volume I-1


 

 

[ Votre « Essence » Individuelle de Jeune ]


 

Santé, psychisme, affectivité, sociabilité, ethno-économie.


 

 


Tome I / Volume I-2


 

 

[ Votre « Insertion » Sociale de Jeunesse ]


 

États philo-historiques, formation / emploi, récréativité, valeurs, droit-s.


 

 


Tome II / Volume II-1


 

 

[ Vos « Solutions » AndroJeunologiques ]


 

Fondements, apport, réponse, nature, leviers, d’intervention.


 

 


Tome II / Volume II-2


 

 

[ « Effets » de Votre AndroJeunoConseil® ]


 

Performance, adaptation, résultats, principes, plénitude d’action.


 

 


Yves REMY, Dr est consultant

Pour vos questions d’Éducation et de Jeunesse.

 

Conseil, en matière de développement individuel

Pour vous, garçon de 15-24 ans. Expert, en AndroJeunologie® :

Vos problématiques et, thématiques juvéniles masculines.


 

 

Docteur des Universités, en Sciences humaines et sociales.

(PsychoSociologie adoJuvénile), Paris. Certifié Acec / Mentoring personnel.

(Jeunesse). Paris. Conseil androJeunologue®.

 

Concepteur et, théoricien-praticien, de l’AndroJeunologie®

Investigations et, relation d’aide holistiques, vous concernant, junior mâle.


 

 

Approche cognitive, émotionnelle, comportementale, de vos vécus, difficultés

Sui generis, de garçon jeune. Notamment, de votre confiance en vous.

 

Vos socialisation, gestion du stress, motivation, affirmation de vous

Optimisation, de potentiels androJuvéniles…


 

 


Yves REMY, Dr a créé, à Paris, le premier et, unique cabinet privé, ad hoc

Spécialisé, en France. De conseil androJeunologique

 

Personnel et intégral, de vous seul, 15-24 ans masculin, à titre exclusif.

Comme de consulting Éducation-Jeunesse.


 

 


Yves REMY

Dr / PhD


 

AndroJeunologue®

Docteur des Universités


 

 


(ANDRO)JEUNOLOGIE®


 

Relever Votre Défi Jeune !


 

 


Tome II


 

 

JEUNOLOGIE D’ « OPTIMISATION

DE VOTRE POTENTIEL » DE JUNIOR MÂLE


 

 


Mentoring

D’AndroJeunoConseil®


 

 


Volume II-1


 

 

L’Alternative AndroJeunologique

Face à Vos « Enjeux » de Jeune Homme


 

 


Yves REMY, Dr / PhD  © 2019 

Protection copyright SGDLDépôt légal BNF


 

 


SOMMAIRE


 

 


(ANDRO)JEUNOLOGIE®


 

Relever Votre Défi Jeune !


 

 


Tome II


 

 

JEUNOLOGIE D’ « OPTIMISATION

DE VOTRE POTENTIEL » DE JUNIOR MÂLE


 

 


Mentoring

D’AndroJeunoConseil®


 

 


SOMMAIRE

Tome II – V. 1


 

 


PRÉAMBULE


 

 


Volume II-1


 

 

L’Alternative AndroJeunologique

Face à Vos « Enjeux » de Jeune Homme


 

 


1


 

 

VOS « BASES »


 

 

[ Public, Nature, Impact Supportif ]

De Votre AndroJeunoConseil®


 

 

Une résolutive relation d’aide, pour vous seul, jeune masculin

Votre « stratégie androJeunologique » – Spécificité, méthode, effet

Un volontariste résultat intégratif, holistique, pour votre androJeunesse


 

 


2


 

 

VOTRE « AVANCÉE »


 

 

[ Apports de Votre Médiation ]

AndroJeunologique


 

 

L’idoine « percée » déterminante, de votre jeunologie andro

Hardiment, créditer, « ré/enchanter », votre (andro)Jeunesse

La triple contribution intello-disciplinaire, de votre androJeunoConsulting


 

 


3


 

 

VOTRE « RÉPONSE »


 

 

[ Appréhender Vos Réalités, Besoins, Attentes ]

Andro-Néogénérationnels


 

 

Prendre, en considération, l’unicité, de votre jeunesse mâle

L’AndroJeunoConseil® – Ranimer votre énergie, doper vos aptitudes, vous apaiser

Réaliser, « à tout prix », votre dessein adulte


 

 


4


 

 

VOS « CATALYSEURS »


 

 

[ Votre Mutatif Conseil ]

Psychoéducatif de Jeune Homme


 

 

Votre accompagnement androJeunologique, en développement personnel

Vos préceptorat de vie / réalisation de soi, de l’AndroJeunoConseil®

Votre androJeunologique « guidance directionnelle », éducation-jeunesse


 

 


5


 

 

VOS OUTILS POUR « MIEUX VIVRE »


 

 

[ Vos Appui, Balisage, Entraînement ]

AndroJeunologiques


 

 

Vous conseiller, garçon junior, à « assumer » vos écueils, issues, applications

Votre nouvelle génération masculine, appelée, à « s’autocontrôler »

L’androJuvénologie – « Agir, à bon escient, faire votre possible », progresser


 

 


Notes

 

Lexique

 

Table des matières


 

 


PRÉAMBULE


 

 


En Occident, la jeunesse est désemparée

L’une des raisons de son trouble, est que l’on n’exige plus assez d’elle

La jeunesse, avec raison, exige que l’on exige !


 

 


J. Guitton

Philosophe, écrivain, France, 1901-1999


 


Ce que je crois

Essai de philosophie, morale et spirituelle

France, 1971


 

 

En 1550 et, 1551, se déroule, au collège San Gregorio, de Valladolid, en Espagne, un débat capital. Ce qui reste, en l’Histoire, comme, la célèbre Controverse de Valladolid. Elle oppose, notamment, le dominicain, B. de Las Casas, (Espagne, 1474-1566)1, et, le théologien, J. Ginès de Sepúlveda, (Espagne, 1490-1573)2. Avec, un aréopage, d’experts, ce, à l’instigation, de l’Empereur des Romains, C. Quint. (Espagne, 1500-1558)3. Sur la légitimité, de la colonisation espagnole, des Amériques (XVIe-XVIIIe s.).

 

Comme, sur celle, des civilisations précolombiennes, (Amériques, av. 1492), quant au « destin », des Indiens du Nouveau Monde. La casuistique porte alors, sur l’évangélisation, l’esclavage, les sacrifices humains, commis, par les indigènes, le sort, à leur réserver. Las Casas est adepte, du philosophe et, théologien dominicain, T. d’Aquin. (États italiens, 1225-1274). Il les considère, en humains libres, à part entière et, égaux, en dignité, à respecter. Sepúlveda, émule, du philosophe grec, Aristote (384-322 av. J.-C.), les juge, en esclaves inférieurs, à réduire, de force. La thèse, en faveur des Amérindiens, prédomine4.


 

 


Quatre siècles et demi, après, de la même façon, « obscurantiste », notre société française s’interroge, encore et toujours. Sur la nature, les attributs, la place, des jeunes, de la jeunesse, en son propre sein. Ce temps, de vie, n’est-il, qu’une transition, un passage, une parenthèse fugaces et, un simple moratoire, préparatoires, à l’adultisme ? Ne vaut-il, que par la maturité future, à laquelle, il mène ? Est-il, plutôt, une phase humaine, comme, toute autre, ayant, pleine valeur, en elle-même, par et, pour, elle-même ? La jeunesse porte-t-elle, ses propres ferments axiologiques ou, doit-elle attendre, la maturité ? Se voit-elle octroyer, son destin, par héritage consenti ou, l’arrache-t-elle, à la force, du poignet ?

 

Le jeune est-il voué, à l’inexistence et, à la domination ? A-t-il plutôt, vocation, à être, ce qu’il est, faire admettre, sa qualité propre, sa pleine souveraineté, pour que s’accomplisse, sa destinée originale ? Cette éternelle disputatio, des plus caduques, perdure encore, pourtant, en notre vingt-et-unième siècle ! Or, le sort même, des nouvelles générations, se noue, bel et bien, au temps présent. Non, en un hypothétique, « diable Vauvert », des plus lointains, comme, inaccessibles. En réalisation, de soi, sans cesse, repoussée, aux « calendes grecques », des non possumus, les plus absolus, catégoriques et, définitifs. Aux pires dépens, de la juvénilité, elle-même, comme, de sa société, tout entière !

 

« Le traitement, que nous réservons, aux jeunes, est un vrai symbole, des dysfonctionnements, de la société française. Le fait, que nous commettions, la pire, des injustices, à leur égard, est au cœur, de la crise, du lien social, en France. Cette jeunesse a le sentiment, de ne pas avoir, d’avenir, de ne pas être, partie prenante, de la République. Elle s’enferme, en une sorte, d’autisme, qui n’est, que le symétrique, de notre autisme, à son égard ».

(M. Camdessus, économiste français, dans : Si vous étiez, au pouvoir, que feriez-vous ? Rapport, d’analyse sociopolitique, France, 2006)5.

 

« Les adultes demandent, aux jeunes, de leur renvoyer, d’eux-mêmes, une image, qui les satisfasse. Ils sont prêts, à mettre, de très grands moyens, en œuvre, pour aider, à résoudre, leurs difficultés, à condition, qu’on ne touche, à rien, de fondamental ».

(J. Sur, écrivain, formateur français, Qu’avons-nous fait, de leur jeunesse ? – Et, qu’en font-ils ? Analyse sociologique et, anthropologique, France, 1986)6.

 

« Au Canada, l’on ne peut, qu’être frappé, par le climat général, de confiance, qui existe, dans la population. D’un côté, la société fait tout, pour aider, les jeunes, à réaliser, leurs projets et, de l’autre, les jeunes ressentent, une sorte, de sérénité, qui s’est érodée, chez nous ».

(A. Juppé, homme d’État français contemporain, propos, du 23 mai 2006)7.

 

Tel est, le sinistre tableau, d’une jeunesse française, réprouvée8 ! M. Verner, étudiant, de vingt-deux ans, en 2011, est président, de l’Association des Jeunes de France, Ajf. Représentant, des juniors, il aura été, le plus jeune candidat, non officiel, aux élections présidentielles françaises, de 2012. Depuis, celles, de 1848. Il devra renoncer, à concourir, faute, de parrainages politiques suffisants, d’élus. Ce qui est, très révélateur, du « crédit, quasi nul », dont jouit, la jeunesse, du pays. Alors que, sur dix postulants aînés autorisés, tous, sont, au minimum, quadragénaires. Or, la moitié, n’avaient ni, réelle légitimité ni, vraies qualités, « de fond », pour, « valablement, postuler, auprès, des Français ».

 

En réaction, à la Terreur révolutionnaire, (France, 1792-1794), les jeunes gens, sous le Directoire, (France, 1795-1799, Première République, 1792-1804), se livrent, à tous les plaisirs, excès vestimentaires. Muscadins, Incroyables et, Merveilleuses, rivalisent d’imagination, en un code langagier, comportemental, spécifique. Notre jeunesse actuelle, fait de même, pour oublier, toute la morosité ambiante, toute sa misère ! Redisons, une fois, de plus, qu’ « à société adulte, faillie, nouvelle génération, en faillite ». Que le degré, d’avancée, d’une civilisation, se mesure, encore et toujours, avant tout, au sort, qu’elle réserve, à sa descendance. Les jeunes ne sont pas, les « enfants terribles », de nos sociétés. Ils en sont, tout au contraire, les plus sûrs ferments, de la plus authentique, des régénérescences !

 

Le débat, sur la vision, quant aux juniors, n’est pas prêt, d’être tranché. Dès lors que, parmi même, nos spécialistes « adologues », « jeunologues », s’opposent, encore, « thuriféraires » et, « contempteurs » acharnés. Au titre, des premiers, citons, ceux qui, à juste titre, s’indignent, que le monde adulte, puisse « piller », sans états d’âme ni, remords, notre planète nourricière. Aux dépens, tant, des jeunes actuels, que de toutes néogénérations futures. Que l’ « archipel juvénile », ne cesse, d’être marginalisé, ignoré, maltraité, appauvri.

 

Quant aux seconds, évoquons, ces acides propos, bien péremptoires et, si impudents, jadis, assénés, en privé, à l’auteur ! Par l’un, de nos supposés, plus anciens, plus éminents spécialistes, de l’adolescence : « Les jeunes peuvent attendre » ! Également, ce « cri du cœur », d’une présumée, praticienne chevronnée, pourtant, psy : « Les adolescents, j’ai horreur, de cela » ! Encore, un bien pathétique commentaire, tenu, à nous-même, d’un conseiller Jeunesse, de l’un, des premiers personnages, de l’État.

 

« La situation, des jeunes, en France, est satisfaisante. Il n’y a nul, besoin, d’infléchir, en quoi, que ce soit, la politique nationale, de la Jeunesse. Ni, de créer, un ministère, qui lui soit spécifique ». Sic !

 

Ces pauvres réparties, prêteraient, à rire, si elles n’étaient, si irresponsables, scandaleuses, méprisantes, pour les juniors. Eu égard, notamment, aux difficultés présentes, de ces derniers. Elles se passent donc, de commentaires, par charité, pour leurs « géniaux inventeurs ». C’est, le plus grand dessein, pour les nations, que d’accompagner, leurs jeunesses, vers le meilleur accomplissement, de leur destinée humaine. La plus belle « invention », de l’homme, la plus importante richesse, des peuples, la grandeur, l’avenir, l’espérance, des pays, continents, du monde, résident, en nos descendants. Ce sont eux, et, eux seuls, qui transcendent, nos vies, d’adultes las, « rachètent », nos pires fautes.

 

Nous contraignent, à un perpétuel dépassement, de nous-mêmes. Avant, que de nous surpasser, à jamais. Puis, d’être, à leur tour, surclassés, par leurs propres enfants, jusqu’à l’issue, des temps. Ainsi, va la marche naturelle, du progrès, des siècles. Nos jeunes sont certes, a priori, mieux choyés et, éduqués. Ils ont plus, d’argent, de confort, de meilleurs soins, santé, des libertés accrues…, que par le passé. Or, tous ces « ternes progrès, si illusoires », ne leur servent, les servent, en rien ou, peu, s’en faut. Puisque l’on est passé, de l’ère, de « tous les possibles », à celle, des « verrouillages, quasi absolus ».

 

Les juniors contemporains sont en position, d’être dénués, de tout moyen, de paiement, en un commerce, regorgeant, de marchandises. Ou, fort pécunieux, dans une boutique vide. Se dire, qu’ils pourraient être démunis, en un magasin, en totale rupture, de stocks, n’est, que vaine, absurde, « consolation rhétorique ». Notre époque, prétendument, moderne, progressiste, a cru, que la fragile enfance, jusqu’à l’âge, des douze ans, requérait, tous les soins, attentions et, sollicitudes. Or, que l’adolescence, la jeunesse « aguerries », des treize – vingt-quatre ans, pouvaient « se passer, de ses services ».

 

La plupart, des juniors, sont bien incapables, de se gouverner, seuls, par eux-mêmes. Ils ont tous, encore, le plus grand besoin, de l’exemplarité, la structuration, des adultes. Dans le respect, de leurs spécificités, libertés. Cette fatale erreur, « coûte, très cher », à notre « vieille société moloch », d’Occident, ainsi, qu’à ses jeunes. Lesquels, en sont, les premières victimes, expiatoires, toutes désignées. Tout se passe, comme si, le monde mûr, avait fort besoin, de la « dévoration », de ses propres enfants. Pour mieux, se régénérer, s’autoentretenir, perdurer, à l’identique, sauvegarder, ses privilèges. Paradoxe, bien détonnant, qui tend, à l’exclusivisme, l’imperium adultes, aux dépens, si ravageurs, des cadets.

 

Nos juniors dépérissent, d’abandonnismes affectifs et, de délaissements moraux. Du fait, de leurs aînés, la « tartufferie hostile », de ces derniers. Ceux-ci croient, les aimer, alors, qu’ils ne font, aux travers, de leurs descendants, que « se gratifier », eux-mêmes et, eux seuls. L’être humain a « appris », tant bien, que mal, à « gérer », l’enfance. Il lui reste donc, à faire, de même, vaille que vaille, pour l’adolescence et, la jeunesse : la juvénilité des treize – vingt-quatre ans. Le vingtième siècle aura été, le siècle, de la « découverte ou, redécouverte », de l’enfant.

 

Le vingt-et-unième, devrait être celui, de la jeunesse ! Ainsi, l’amère duplicité éducative, des adultes, serait, à jamais, effacée, par l’avènement, d’une direction, des consciences. Propre, à élever, les âmes juvéniles, au lieu, de tant, les abaisser. Plus, que jamais, l’émergence, d’une « taxinomie, de l’essence et, du bonheur juvéniles », doit être appelée, de nos vœux. Les adultes ont, vis-à-vis, des jeunes, incomparablement, plus, de responsabilités et, de devoirs, que ces derniers, n’en ont, à l’encontre, de leurs aînés. L’exemple vient toujours, « d’en haut ».

 

Comme, le dit, si pertinemment, l’aphorisme maoïste chinois : « Le poisson pourrit toujours, par la tête » ! Le culte éperdu, de l’apparente jeunesse, tant, cultivé, par notre société, n’est qu’un leurre. Il masque, l’extraordinaire carence, évanescence éducatives, d’épanouissement. Qui frappent, avec tant, d’arrogance indue, autant, de nos jeunes. Ce « détraquement fatal », cette désastreuse dégénérescence, extravagante, cet « aquaplanage sociétal », assombrissent, tout le passé, le présent, l’avenir, des juniors9. Notre jeunesse souffre, de la tristesse, du monde, qui l’entoure. Cette désespérance ambiante, fait, qu’elle ne croit plus, en elle-même et, autrui ni, la vie.

 

Elle ressemble, au héros, du roman, de l’écrivain français, É. Zola (1840-1902), Les Trois villes, P. Froment, ayant perdu, sa foi sacerdotale. (Œuvre littéraire, France, trois tomes, Lourdes, 1894, Rome, 1896, Paris, 1898). Il va alors, de désabusement, en déception, d’incrédulité, en dépit, de doute, en révolte10. Les adolescents, comme, les jeunes, ont besoin, de stabilité, sécurité, certitudes et, régularité. En un monde, une société, des plus irrationnels, de plus en plus, instables, erratiques, dangereux, inquiétants, notamment, pour les juniors. Ce qui contribue, à accroître, leur insidieux mal-être.

 

La « grande misère morale », des jeunes contemporains, exaspérés, est de ne pouvoir, se projeter, vers leur propre avenir. Bien malgré eux, faute, de perspectives ouvertes. Du fait, des embarras, du temps, des monopoles « adultocentriques », jaloux, envieux, rivaux, ombrageux, du type « oligarchique ». D’où, une certaine mélancolie, une atonie adolescentes, juvéniles, teintées, d’anxiétés. Parfois, même, à l’insu, des intéressés ou, aussi, déniées, par eux. Autrefois, réussir jeune, était envisageable et, la norme, en tout domaine. Aujourd’hui, cela semble, bien utopique, voire, complètement, farfelu. Sauf, en certaines limites, notamment, sportive, artistique.

 

L’académicien français, J.-F. Deniau (1928-2007), le démontre, avec brio, décrivant, de « hauts faits d’armes » adojuvéniles. (La Gloire à 20 ans, essai historique, France, 2003)11. Alexandre. (Souverain régnant, Macédoine, 356-323 av. J.-C.). Cléopâtre. (Souveraine régnante, Égypte, 69-30 av. J.-C.). Aliénor d’Aquitaine. (Souveraine régnante, France, 1122-1204). Jeanne d’Arc. (Chef de guerre, sainte, France, 1412-1431). Michel-Ange. (Artiste, États italiens, 1475-1564).

 

La Fayette. (Militaire, homme politique, France, États-Unis, 1757-1834). Napoléon Ier. (Souverain régnant, France, 1769-1821). C. Chaplin. (Acteur, Royaume-Uni, 1889-1977). M. Dietrich. (Actrice, chanteuse, Allemagne, États-Unis, 1901-1992). J. Owens. (Athlète, États-Unis, 1913-1980). J. Dean. (Acteur, États-Unis, 1931-1955). De jeunes résistants. (France, 1940-1944). Les Beatles. (Groupe musical, Royaume-Uni, 1960-1970)… (Voir tome I-2, chap. 6).

 

Depuis, la mythologie, de la plus haute Antiquité, à nos jours, l’on pourrait multiplier, les faits. Ils démontrent, à l’envi, que « la valeur, d’homme, n’attend jamais, le nombre, des années » ! Leçons antérieures, de jeunesses flamboyantes, du passé, pour futur improbable, introuvable, de leurs pâles héritiers, si marris, d’aujourd’hui ! Les premières, étaient en mesure, d’être en phase, avec leur temps. Les seconds, transis, en sont dissuadés, à leur corps défendant. Cela, est d’autant plus, paradoxal, que notre époque, ouverte, « postmoderne », permet, en théorie, des audaces, autrement, « extraordinaires », encore, qu’auparavant.

 

Or, la pratique réelle est, hélas, incommensurablement, tout autre, pour nos jeunes. Il est hautement, improbable, que notre « système français », en l’état actuel, des choses, soit capable, de « produire », ce que d’autres, réussissent, à réaliser, si bien, de par, le monde. Tant, il se refuse, catégoriquement, à promouvoir, ses propres jeunesses. De façon, « mutante », en l’histoire, des hommes, il y a, les juniors, de la dernière génération, du vingtième siècle, nés, entre 1975 et, 2000. Ceux, de la première, du vingt-et-unième, entre 2001 et, 2026. De même, l’actuelle, nouvelle génération, des zéro – vingt-quatre ans, venue, au monde, entre 1996 et, 2020. Tous, auront un « destin », radicalement, différent, de celui, de leurs ancêtres, pourtant, proches. Voire, en totale opposition.

 

Ils seront obligés, d’inventer, de « réécrire, leur avenir-palimpseste ». Au lieu, de se contenter, de « recopier », le passé, de leurs ascendants. Les jeunes sont, ainsi, passés, d’un système « identificatoire », à une configuration « expérimentale »12. Les vertiges, de la page vierge et, le culte absolu, des performances, l’abolition, des tabous, interdits, les angoissent. Détruisent alors, chez eux, toute velléité, de rébellion, d’insoumission. Ainsi, les libertés accrues, dont les jeunes, semblent bénéficier, sont factices, illusoires. Nul, besoin, de barreau, verrou, contention, quand, une simple, « camisole de force mentale », suffit.

 

La pugnacité, le dynamisme naturels, des juniors, sont dénaturés, par l’excès, d’incertitudes paralysantes, de fausses possibilités apparentes. Alors, que ceux, de leurs prédécesseurs, l’étaient, à moindre degré, par abus, de contraintes prescrites, à suivre, de normes rigides préétablies, à observer. Notre jeunesse n’a pas démérité. Elle est simplement, devenue, persona non grata. Interdite, de séjour, bannie, chassée, de sa propre demeure et, société. Assignée, en inhospitalières contrées désolées. Ainsi, la moyenne, d’âge, des parlementaires français, est-elle, assez élevée, en 2019.

 

Elle se situe, à cinquante-cinq ans, pour les deux assemblées. Pour devenir, pleinement, adultes, les jeunes doivent « attendre », de plus en plus, pour « obtenir », de moins en moins. En un interminable et, insupportable moratoire, sans cesse, allongé. Les carrières sont plus lentes, à démarrer, progresser. Les émoluments, de départ, sont plus bas, fluctuants, moins rapides, à augmenter. Les écarts, de revenus, entre générations, entre juniors, eux-mêmes, s’accroissent, bien plus, que par le passé. Au détriment, des cadets, globalement, comme, de pans entiers, de jeunesse.

 

Quoi, qu’en disent, certains, les retards, ratés, d’amorçage, se compensent peu, pas ou, mal, bien trop, tardivement, laborieusement, en notre pays. Les ratages initiaux sont sanctionnés, au centuple, peu, pardonnés, jamais, oubliés ! Contrairement, à d’autres, notre société rejette, les possibilités, de « rattrapage », « seconde chance », ultérieures. En « doulce France », la « chance » est unique, immédiate ou, n’est pas ! Ces jeunes voient, des portes, rester, désespérément et irrémédiablement, closes, en notre société. Or, comme, par magie, grandes ouvertes, ailleurs. Ils peuvent, en témoigner ! Ainsi, Londres attire fort, nos juniors.

 

Le diplôme, acquis, à vingt ou, vingt-cinq ans, conditionne, en priorité, la vie entière. Outre, l’origine socioéconomique, culturelle et, les aptitudes relationnelles, du milieu. Il figure même, sur les faire-part, de décès. Le ridicule tue13 ! Notre société occidentale, tout particulièrement, française, a peur, de sa propre jeunesse. La considère, comme, une menace, la traite, comme, telle. Tente, de s’en prémunir, l’éloigner et, la neutraliser, tel, un vil envahisseur, extérieur, une maladie honteuse, répugnante. Un exemple symptomatique, de cet anti-jeunisme primaire, le Mosquito, moustique.

 

Dispositif sonore, à ultrasons, commercialisé, en France, sous le nom, de Beethoven, musicien mort, sourd, comme, l’on sait. (Saint-Empire, Confédération germanique, 1770-1827). Utilisé, par des collectivités ou, propriétaires privés, pour obliger, les jeunes, jugés, indésirables, à déguerpir, illico presto. Seuls, ces juniors, peuvent percevoir, les sons, ainsi, émis. Intolérables, à leurs oreilles, du fait, des sifflements suraigus, diffusés. Ceux-ci, ont une très puissante intensité, de soixante-quinze, à quatre-vingt-quinze décibels. Avec, une fréquence élevée, de dix-sept mille, à dix-huit mille hertz !

 

Le vieillissement, de l’audition, des adultes, implique, une moindre perception, des aigus. Une audition, n’allant jamais, au-delà, de dix mille hertz, environ. Les jeunes, de moins, de vingt-cinq ans, perçoivent, quant à eux, une forte intensité sonore, de dix-sept, à vingt-cinq mille hertz. Le dispositif choisi, pour ces raisons, peut être néfaste, pour la santé auditive, après, quatre-vingts décibels. Or, il peut aller, bien au-delà. Morale, de cette pitoyable histoire : les jeunes sont, de façon, sidérante, assimilés, à de nuisibles prédateurs, d’indésirables insectes. À éradiquer, à tout prix. Le pathétique amalgame est fait, entre junior et, délinquant gêneur, menace, pour le petit confort, des adultes ou, prétendus tels.

 

Bien incapables, en leur incurie, forte médiocrité éducatives, d’instaurer, de vrais dialogues, avec leur propre descendance. Celle-ci représente, pourtant, l’avenir prometteur, alors, qu’eux, illustrent, surtout, un passé révolu, souvent, « stérile et, non concluant » ! Ces soi-disant adultes, sont bien incapables, d’intelligemment, « gérer », la jeunesse, autrement, que par la seule, force coercitive. Ils aiment, à mettre, en exergue, chez le junior, son manque, d’alacrité, supposé, à tort, pour nombre, de choses, de la vie. Estimées prioritaires, contrairement, à la néogénération. Ou, lui font grief, de ses typiques engouements.

 

Nous oublions, ainsi, qu’être jeune, n’est pas simple, implacable, configuration, d’algorithmes mathématiques. Que, ce que, l’écrivain, B. Vian, (France, 1920-1959), appelait, « l’écume des jours », peut prendre, pleine importance, à son âge. (L’Écume des jours, œuvre littéraire, France, 1947). Alors, que cela, nous apparaît, si « futile ». Lui être indifférent, quand, nous y voyons, matière, à préoccupation14. En l’éducation, de nos juniors, notre société latine promeut, une approche « collectiviste », de respect, d’inféodation, au groupe, de normativité sociale.

 

Quand, le monde anglo-américain, nordique, germanique, « personnaliste » tend, avant tout, au libre-arbitre, à l’indépendance, des sujets, leur épanouissement. La « détraction » qui, constamment, vise, nos cadets juvéniles, ès qualité, appelle, tout aussi vigoureusement, une véritable « apologétique », de la jeunesse. Pour « rétablir, une vérité », sa vérité15. Accorder, aux jeunes, toute l’importance, qu’ils méritent, en et, par, eux-mêmes, est avoir confiance, foi, espoir, en l’avenir, la destinée humaine. Notre société écarte, sa jeunesse, car, elle désespère, de son devenir collectif !

 

Alors, une « société, de vie », se transforme, en « communauté, de mort ». C’est ainsi, que disparaissent, les civilisations, tel, l’empire, de la Rome antique, L’Imperium romanum (27 av. J.-C.-476). Les indigènes, d’Amérique du Nord, auront, abusivement, été parqués, en « réserves » indignes. De même, notre jeunesse est, arbitrairement, de façon, totalement, discrétionnaire, cantonnée, en son ghetto néogénérationnel. Pour le « microcosme », des juniors, comparé, au « macrocosme », des adultes, notre République (1870-) est moins républicaine.

 

La démocratie, moins démocratique. La liberté, moins libre. L’égalité, bien moins égale. La fraternité, moins fraternelle. Les droits de l’Homme, moins effectifs. Les juniors sont, de fait, individuellement et, collectivement, fort discriminés, mis, en grand péril. « Vers l’Orient compliqué, j’allais, avec des idées simples ». (C. de Gaulle, homme d’État français, 1890-1970, Mémoires de Guerre, L’Appel, 1940-1942, France, 1954)16. De même, en notre façon, de « penser, la jeunesse complexe », sans, pour autant, être simplistes, réducteurs, sachons, aller, à l’essentiel. Sans toxiques détours, des plus dommageables et, inutiles.

 

Pour mieux, en saisir, toutes les subtilités, l’aider, à bien grandir. Remplaçons, l’imposture, de l’impéritie éducative, d’une jeunesse naufragée, sous l’avalanche, des ratiocinations, de ses aînés, par l’alliance, des valeurs intergénérationnelles. Il est malaisé, d’être jeune, car l’on n’est plus « petit », sans encore, être « grand ». En délicat, « entre-deux », si inconfortable. Le junior navigue, oscille, constamment, entre insouciance et, responsabilité. Il a encore, besoin, d’être désinvolte, de s’amuser, alors, qu’il lui faut déjà, être « sérieux », préparer, son avenir. Il est jeune, tel, un enfant. Or, il lui faut, tout comme, un adulte, se préoccuper, de « travailler », à son devenir professionnel, d’organiser, sa vie affective, sociale.

 

Cette constante ambivalence, de la jeunesse, est difficile. Car, elle est l’enfance, précipitée, à toute vitesse et, toute volée, sans préavis, en l’adultisme forcé. La « réaction chimique » est explosive et, détonante ! Les tiraillements, de toutes parts, se font pressants. Car le jeune ne veut plus, être « petit » ni, considéré, comme, tel. Il rejette rageusement, les inconvénients tutélaires, de ce statut inférieur, dépassé. Il n’en accepte volontiers, avec enthousiasme, empressement, que les avantages, de l’irresponsabilité. Il veut être « grand », avec les attributs positifs corrélés : libertés, droits, plaisirs. Or, sans les exigeantes contreparties, des très lourdes contraintes, de la maturité.

 

En outre, le junior a un problème relationnel, majeur, avec les adultes : parents, enseignants, autres aînés. Il a du mal, à grandir, ses devanciers, parfois, aussi ! Ces derniers ne savent pas, quelle attitude équilibrée, observer, à l’égard, des jeunes. Ils sont généralement, dans l’excès éducatif, comportemental : soit, trop durs, soit, bien trop souvent, trop complaisants. L’adulte ne sait pas être, tout à la fois, juste et ferme, en son préceptorat. Il est parfois, « écrasant », comme, en des temps, bien révolus, le plus souvent, trop « complaisant ». Le « trop-plein » éducatif, d’antan, est remplacé, par la « vacuité », d’aujourd’hui.

 

Gratifié, de la même façon, qu’il fasse bien ou, mal, l’adolescent n’est nullement, incité, à l’effort et, au vrai dépassement, de lui-même. Puisque, son entourage adulte est asservi, à tous ses moindres caprices. Tout en lui refusant, l’essentiel éducatif, de la responsabilisation. Ainsi, jadis, les fils étaient-ils, en mal, de mûrir, par leur écrasement, sous la férule paternelle, omniprésente. Aujourd’hui, ils ont surtout, tout autant, la difficulté, à devenir adultes, par la cruelle absence remarquée, du même père, son insignifiance. Aussi, à l’inverse, par sa sollicitude excessive, maladroite et, nocive, car, inadaptée !

 

Certains parents, par pur narcissisme infantile, d’ascendance, ont tendance, à agonir, leurs enfants, de reproches. D’autres, infiniment, plus nombreux, pour mêmes raisons insanes, en « couvrent » systématiquement, les travers, les plus inacceptables. Toutes ces contradictions, paradoxes, si insolubles, insupportables, font, de la jeunesse, un « ectoplasmique fantôme ». Errant, sans fin, en quête, d’elle-même, d’une impossible quiétude. De même, qu’un « esprit » supposé, « hanterait », un lieu, selon, les canons, du paranormal. Ne trouvant, nul repos éternel, tant, que « réparation », ne lui serait pas faite.

 

Après, une injustice majeure, commise, de son vivant, ce, à son égard. La subéducation se doit alors, de devenir métapédagogie. Pour mieux « sauver », notre jeunesse, de sa déchéance. Sinon, elle continuera, à « dépérir, à petit feu » ! Si c’est cela, que nous voulons, alors, il s’agit, de le dire, haut et fort, l’assumer. Plutôt, que de détruire, en catimini, tout en prétendant, urbi et orbi, construire. Il n’y a plus, de jeunesse, car il n’y a plus, d’adultisme. Gabegie et, laisser-aller, partout, toujours, ordre et, rigueur, nulle part, jamais ! Notre pays en offre, une triste et, sempiternelle illustration, depuis, trop, de lustres17.

 

La jeunesse est livrée, à elle-même, sans nul gouvernail. Elle se perd, dans les immensités glacées, de l’abandonnisme, sans fin. Des sourds anathèmes, lapidaires, pires imprécations, d’excommunication, qui lui sont opposés. Elle souffre fort, d’être confrontée, à une société, de normativité et, « nivellement, par le bas ». « Formatée », de façon tyrannique, médiocre18. En laquelle, la détestable fausse vertu, d’obéissance, l’emporte, sur l’authentique quête, de liberté, d’indépendance, d’originalité et, d’affirmation, de soi. Le délétère « culte, si totalitaire, du tous pareils », asservit, avilit, les esprits.

 

Ainsi, la naturelle vitalité, d’expression propre, de chaque jeune, est-elle « assassinée, en l’œuf ». Par le morbide, macabre et, répulsif syndrome, de la « pensée unique nationale ». L’inertie, la plus extrême, stérile, érigée, en système. Le jeune français est l’un, des plus « conformistes », d’Occident. Cela, est à mettre, en parallèle, avec un propos affligeant, tenu, à l’auteur, par un éminent élu, du peuple. « L’on ne peut agir, en tel ou, tel sens, parce que cela, n’a encore, jamais, été tenté ». L’on comprend alors, mieux, pourquoi et, comment, notre pays éprouve, tant, de difficultés, à se réformer, progresser et, prospérer19 !

 

« Pourtant, ce sont les aspirations illimitées, de la jeunesse, qui expriment, la vérité profonde, de l’être humain ».

(A. Desjardins, essayiste français, 1925-2011, Les Chemins de la sagesse, ouvrage moral et, philosophique, France, 1968-1972 et, 2003)20.

 

Il s’agit, de voir si et, en quoi, les besoins humains, les plus fondamentaux, des jeunes, en matière, de sauvegarde, d’épanouissement, de motivation à vivre, sont ou, non, assouvis. Le psychologue américain, A. Maslow (1908-1970), les a classifiés, en cinq impératifs successifs, ordre progressif, d’urgence. Besoins physiologiques élémentaires, de survie. De sécurité, matériels. D’appartenance, d’amour. De reconnaissance, d’estime, des autres et, de soi-même. D’accomplissement, de réalisation personnels. (A. Maslow, A Theory of human motivation, Une théorie, de la motivation humaine, États-Unis, Psychological Review, Revue de Psychologie, 1943)21.

 

Le junior est maltraité et, enfermé, en une sorte, de fatal, « envoûtement machiavélique ». Soit, ignoré, avec mépris, « voué, aux gémonies », couvert, d’opprobre. Soit, plus encore, faussement, adulé, trop « gâté ». Avec, la plus écœurante, des complaisances. En cela, il n’y a plus, pour cette néogénération, de naturelle prééminence adulte, ferme, juste. Or, la pire « anti-éducation » destructrice, dommageable et, démobilisatrice. La jeunesse est constamment, leurrée, de façon, la plus mensongère, hypocrite. Notamment, quant aux études universitaires22. Notre société réussit, un mirifique exploit. Transformer, les juniors, en « triste cohorte livide », de pitoyables, « pierrots lunaires », blafards. Au lieu, d’unir, de relier, nous dressons, opposons, sans cesse, en droit-fil, d’une vieille, détestable, « tradition nationale »23.

 

Tels, en l’Histoire, de France, Armagnacs et, Bourguignons. (Factions dynastiques et, politiques, 1407-1435). Gallicans, contre Ultramontains. (Factions politiques et, religieuses, XVIe-XIXe s.). Girondins, Jacobins et, Montagnards. (Factions politiques et, parlementaires, 1792-1793). Légitimistes, contre Orléanistes. (Factions dynastiques et, politiques, XIXe s.)24. Bonapartistes, Royalistes et, Républicains. (Factions politiques et, institutionnelles, XIXe s.). Droite, contre gauche. (Tendances politiques et, idéologiques, 1789-). Également, sous d’autres cieux, Mirmillons et, Rétiaires. (Gladiateurs, Rome, Ier-IIIe s.). Gibelins, contre Guelfes. (Factions politiques et, militaires, États italiens, XIIe-XIIIe s.). Capulet et, Montaigu. (Factions familiales et, politiques, Rome / États italiens, Antiquité / Moyen Âge). Lancastre, contre York. (Factions dynastiques et, politiques, Angleterre, 1399-1485)…

 

Un corps social, des plus impitoyables, durs, profondément, médiocre, distendu, malheureux, « fabrique » une jeunesse, à son image. Laquelle, ne pourra, alors, que reproduire, les mêmes avatars abâtardis, avec sa propre descendance et, ainsi, de suite ! Cela, est très inquiétant, pour un avenir, si fort compromis, sauf, radical retournement, improbable. En l’état actuel, des tendances, qui se dessinent. L’ancienne éducation rigide, rendait la jeunesse, « coupable », de tout. L’actuelle, boiteuse, « responsable », de rien. L’on est passé, d’un extrême, à un autre. De même, qu’en 1917, en Russie, de l’absolutisme impérial, au totalitarisme soviétique, bien pis. Les jeunes sont pervertis. Non seulement, par total défaut, d’exemplarité morale adulte, vraie, exigeante, mais, pire encore, par de pseudo transmissions nocives, amorales.

 

Des modes, de vie, pensées, des plus malsains. L’on pourrait, presque dire, que le contemporain « ne veut rien ou, veut tout et, son contraire. N’aime rien ni, personne, est toujours, contre tout, jamais, pour quoi, que ce soit. Est méfiant, suspicieux, hostile, passif et, attentiste. Par purs réflexe, nature et, principe ». C’est, comme, cela, qu’il « attente », à sa propre jeunesse. La démoralisant, décourageant, sans cesse, excipant, encore et toujours, d’une prétendue nullité juvénile. Semblant, derechef, la morigéner : « Tu n’es pas bonne, à rien, tu es mauvaise, à tout » ! (M. Pagnol, écrivain français, 1895-1974, Topaze, œuvre théâtrale, France, 1928)25. Ce qui génère, la névralgie morale, généralisée, de toute une génération perdue, « désertée, déconsidérée, niée et, dévitalisée ».

 

Ni démiurges ni, canailles, les jeunes sont, initialement, littéralement, ce que les adultes, en font. Rien, d’autre, de plus ou, de moins. Ils n’en sont, que le négatif, presque parfait, avant, de tenter, de se façonner, ipso facto. Les supposés adultes agissent, quoi, qu’ils fassent, plutôt, « mal », en leurs éducatives entreprises. Comme, le père, de la psychanalyse, S. Freud, (Autriche, 1856-1939), l’aurait dit, à une mère. Qualifiant, l’acte, d’éduquer, au même titre, que ceux, de gouverner et, psychanalyser, de mission impossible. Les jeunes suivent, la même voie, vont conséquemment, tout aussi mal26.

 

Ils se perdent, en ce fatal, « cloaque pestilentiel », auquel, les condamnent, sans appel, leurs « si indignes et, indigestes » aînés. Ils s’égarent, dans les sables mouvants, d’un monde factice finissant. Nasse, d’un glauque univers, sans espoir ni, issue, qui ne les mène, nulle part. Leur société est celle, d’un dialogue, de sourds, une vaine logorrhée. En lesquels, nul, n’écoute, son prochain. Chacun, étant, farouchement centré, sur soi seul, à l’abri, d’écrans, des plus débilitants. Lesquels, ne sont, qu’autant, de dérisoires « cache-misère », de la diabolique enflure, d’ego, captifs et démesurés.

 

Sont préparées, en toute bonne conscience, de véritables bombes, à retardement. Fabriqués, de vrais « monstres répulsifs ». Tout cela, éclatera, un jour, à notre « face enfarinée ». Nous feindrons alors, ahuris benêts et, sombres gredins, de ne rien saisir, à tous ces « galimatias » abscons. Pourtant, prévisibles, si compréhensibles ! La « faillite », des jeunes, vient, de celle, des adultes. Avec, son sinistre cortège, grimaçant, de rendez-vous, sans cesse, manqués. Elle n’est pas psychique, mais, morale. Elle court, au gibet, des occasions perdues, des promesses non tenues, espérances, toujours, trahies.

 

Cynismes, peurs, épouvantes, se répandent, telles, fatales « métastases ». Empoisonnant, de leur morne effroi, notre corps social. Hypocrisies et lâchetés, faux-semblants et faux-fuyants, deviennent la règle27. Les juniors sont alors, traités, en inopportuns, importuns scélérats. Qu’il convient, de « consigner, à la niche ». Ils finissent, par se comporter, comme, tels. La non-éducation, qu’ils subissent, en fait, de « pauvres hères », inachevés, immatures et, irresponsables. Qui se complaisent, en l’avachissement malsain, le pervers laisser-aller et, l’hédonisme latent. Les plus répugnants, qu’il se puisse concevoir !

 

Sans, idéal, sens, de l’effort, persévérance, objectifs, de vie, ardents. Cette juvénilité est alors, déboussolée, déstructurée, décérébrée. Par la morale vacuité, de ses aînés. Elle ne peut, en l’état, espérer, de réelle vie épanouie, réussie et, aboutie. Elle est « empoisonnée », dès, son plus jeune âge. Par une médiocre, superficielle société, consumériste, prétentieuse, pressée. Laquelle, ne sait plus faire, aucune différence, entre l’essentiel et, le superflu, les valeurs et, la perdition, l’humain et, l’inhumain.

 

Une société, qui ne repose, que sur de purs, rapports de force. Pouvoirs, argent, plaisirs. Ce qui dessert, une jeunesse, dépourvue, de tout puissant attribut. Voilà, un demi-siècle, que cette « diabolique voie infernale », s’est emballée, exacerbée. N’est pas prête, en l’état actuel, de s’inverser, bien au contraire. Le « pire » peut, hélas, advenir ! La jeunesse est empêchée, de donner, un authentique sens, à son existence et, son immanence morale ineffable. Seul, gage, de bonheur. Nous sommes, bien loin, de la dignité, d’un président Pompidou, (Homme d’État français, 1911-1974), moribond, affirmant :

 

« Dans ma famille, l’on ne se couche, que pour mourir »28 !

 

Malheureux, mal, dans leur peau, incertains, d’eux-mêmes, des autres, de la vie, jeunes et, moins jeunes, s’opposent, à tout et, en tout. Ne sont d’accord, sur rien, s’épuisent, en vaines, laides polémiques, incessantes. Déconstruisent, stérilement, au lieu, de bâtir, utilement. Nul, consensus favorable, sur l’essentiel, n’existe. Contrairement, aux solides modèles, de cohésion positive, de pays homologues. Le seul, « moyen, d’exister », qui reste encore, à notre pays, est la « frondeuse fâcherie ». Tant, la « contention, des esprits », y prévaut. Les juniors se doivent, d’apprendre, de façon, heuristique, l’acharnement, en la volonté, de réussir et, s’accomplir.

 

À l’image, du célèbre égyptologue britannique, H. Carter (1874-1939). Manquant, son objectif principal, de longues, dures années, durant. Pour le réaliser, enfin. Atteignant, les rêves, de ses intuitions. À force, de courage, patiente ténacité. Un beau jour, de novembre 1922. Il découvre alors, dans la Vallée des Rois, à Louxor, une extraordinaire sépulture. Celle, intacte, inviolée, du pharaon adolescent, de la XVIIIe dynastie, Toutânkhamon. (Égypte, V. 1345-1327 av. J.-C.)29. Mort, à l’âge, de dix-huit ans, de façon, obscure, prématurée, au quatorzième siècle, avant, notre ère.

 

Toutes les études, d’opinion, auprès, des jeunes, les recherches scientifiques, démontrent, la même chose. Les juniors français, sont ceux qui, parmi, leurs pairs occidentaux, sont les plus conformistes, non autonomes, « désespérés ». Quant à l’avenir et, leur société, globalement. Leur personnel destin, quoi, qu’ils en disent. Ils sont parmi, les plus pessimistes, défaitistes, résignés30. Si fort convaincus, qu’ils n’ont nulle, maîtrise, de l’essentiel. Soixante pour cent, des jeunes danois, cinquante-quatre pour cent, des jeunes américains, trente-six pour cent, des jeunes allemands, croient, en un avenir positif. Or, seuls, à peine, vingt-cinq pour cent, des juniors français, sont en ce cas.

 

Seuls, vingt-deux pour cent, d’entre eux, estiment, détenir, la direction, de leur avenir. Contre, plus, de la moitié, aux États-Unis. Le malheur, de nos jeunes, réside, en leur dépendance, aux adultes : tardive, prolongée, insupportable. En une société française, trop contraignante, pour eux, une éducation inadaptée, qu’ils rejettent, massivement. Seuls, les juniors, de France, privilégient, l’obéissance servile. Au détriment, de l’indépendance, la liberté, d’ennoblissement. Comme, valeur, à transmettre, à leur future progéniture ! Triste, pathétique stigmate, de leur mutilante éducation, sectaire, coercitive société, d’un autre âge !

 

Cette dernière, notamment, par une école, en faillite, sclérosée, rigide et, autoritaire, apprend, aux adolescents français, à « courber l’échine, de façon aliénante ». Au lieu, de leur inculquer, les valeurs, d’audace, de libre initiative, souveraineté. Ce qui est le cas, en des contrées, plus « avancées et évoluées ». Les jeunes scandinaves, nord-américains, germaniques, croient, en eux, leur avenir, s’affirment, progressent. Quand, nos juniors latins s’étiolent, « tremblent, en leur société pétrifiée ». (A. Stellinger, direction, Les jeunesses face à leur avenir, une enquête internationale, Fondation pour l’Innovation politique, étude sociologique, France, 2008)31.

 

La société française, à force, de maltraiter, sa jeunesse, de façon, pitoyable, a réussi, un « magnifique tour de force ». L’exploit, d’anéantir, d’engloutir, son propre « à venir ». Ne nous étonnons pas, qu’en ces conditions, notre pays soit, en « lamentable état, des plus pitoyables ». Il paie très cher, l’ « assassinat », de sa propre descendance. Au prix, de l’infamie, l’indignité, comme, la déchéance, matérielles, psychiques et, morales profondes. Irrémédiables ? Hélas, peut-être, voire, sans nul doute ! Nos jeunes sont, des plus désabusés, car ils sont, les moins attendus, entendus, reconnus, gratifiés, de l’Occident. Aidons-les, à s’accomplir, croire, espérer, oser rêver et, réaliser, leurs idéaux !

 

« Tous les humains rêvent, mais, jamais, à l’identique. Ceux, qui songent, nuitamment, enserrés, en les pauvres limites, de leurs pensées, s’éveillent, le jour venu, fort convaincus, de l’illusion vaine. Les visionnaires diurnes s’avèrent, quant à eux, révolutionnaires. Par simple opportunité, qu’ils s’octroient, de faire vivre, leurs espérances, les yeux, grands ouverts. Les mettant, résolument, en œuvre » !

(T. E. Lawrence, officier britannique, écrivain, 1888-1935, Les Sept piliers de la sagesse, autobiographie, Royaume-Uni, 1926. En est issu, en 1962, le film britannique de cinéma, d’aventure historique, Lawrence d’Arabie, de D. Lean, Royaume-Uni, 1908-1991)32.

 

La France n’ « aime pas », sa jeunesse, les Français, pas davantage. Comme, si, les adultes, parvenus, en adultisme, s’empressaient, de « se venger ». Des pires avanies, déboires, subis, en leur propre jeunesse. Sur les juniors, d’aujourd’hui. Comme, un enfant maltraité, peut devenir, parent maltraitant. Lâche « soulagement », des plus scélérats, infâmes et, barbares !

 

Pourquoi, le jeune français, éprouve-t-il, en moyenne, plus, de difficultés, d’errances, que ses pairs occidentaux ? Parce que, son pays, est bien moins, « porteur », pour lui, que certaines nations, homologues. Peu à peu, la France, nouvel « empire immobile », s’enfonce, en la fort morne grisaille, des défuntes démocraties populaires, de l’Est européen. La Police politique, en moins, les libertés, publiques et privées, en plus. Quels en sont, les travers caractéristiques ? Une infime « nomenklatura », inamovible, issue, des mêmes élites sociales, restreintes. D’un même « moule » étriqué, d’études. Limité, à quelques hyper Grandes écoles, parisiennes. Cette « oligarchie » régente tout, en tous domaines clefs, stratégiques, du pays.

 

À tous postes, de commandements gratifiants, pouvoir décisionnaire déterminant. Malthusianismes, féodalités, népotisme, cooptations, prévalent. Ubuesques taxes, charges, impôts, règles, bureaucraties, trop ou, trop peu interventionnistes, stérilisent, une société ultraverticale et, non participative. Découragent, systématiquement, la libre entreprise, initiative. Une fonctionnarisation, poussée à l’absurde, des libertés amenuisées, une société rigide, normative et, conformiste, étouffent l’individu. De plus en plus, de richesse, est monopolisée, par, de moins en moins, de ploutocrates. Les moyens matériels se raréfient. L’irresponsable assistanat s’érige, en « principe national ». Pour sa jeunesse, que vaut, une société, incapable, de générer, les fruits même, de sa survie ?

 

Il y a, forte cherté, des produits, de grande consommation, du coût, de la vie. Baisse, du pouvoir d’achat, du niveau, de subsistance. Pour la majeure partie, de la population. Ce qui fait douter, de l’avenir. De plus en plus, de gens, sont alors, renfrognés, agressifs, mal, dans leur peau et, exaspérés. Le contrat social n’est plus respecté. Incivismes, incivilités, se répandent, comme, une nouvelle peste. Légitimes normes admises. L’individu autocentré, écrase l’altruisme, de la communauté, battu en brèche. Face, à un sentiment pénible, d’horizon bouché, la société, de défiance, génère, replis, fermetures et, crispations hostiles. Tant, la vie, semble bloquée, figée.

 

Progrès, avancements sociaux, reculent. Toute la vie sociale s’appauvrit. La communication devient mutismes. Les replis, sur soi, l’emportent. Cette société blessée ménage, de moins en moins, de possibilités, d’avenir. De progression, réalisation, de soi. Pour la plupart, des sujets. Elle est la cause première, du malheur juvénile contemporain. D’abord, français, également, occidental. Une société, très dépressive, « vitrifiée », exsangue, exténuée. À bout, de souffle, matériel, psychique, moral. Qui ne peut, épanouir, vivifier, sa jeunesse. La désespère, l’étrille et, la harasse. L’ « étranglant », chaque jour, un peu plus, en ses « rapaces serres acérées ».

 

Tel, l’assassin supplice, du lacet de soie chinois. De la goutte d’eau, qui finit, par entamer, la pierre, la plus dure. Agacer, les nerfs, les plus solides. Une vaniteuse mentalité contemporaine, passéiste, étroite. Une collectivité, qui exsude, son profond malaise. Le tout, interdit, au pays, une ardente jeunesse, rayonnante, accomplie33. La grandeur éducative est l’humilité. Non, la démagogue complaisance, mais, la pertinence humaniste. À l’image, du funéraire rite impérial, pluriséculaire, des Habsbourg, d’Autriche (1278-1918).

 

Marque, d’ultime pérégrination terrestre, de lien dynastique et, ecclésial. À la grille, de la crypte-nécropole des Capucins, à Vienne, un immuable dialogue, s’instaure. Entre, le « Grand-maître, de la Cour », au nom, du défunt et, le Père abbé, gardien, du sépulcre. Confrontée, à la « grandeur, de l’Esprit », la force temporelle s’efface alors, à jamais. Ainsi, pour le dernier souverain décédé, en 1916, en la dignité, de sa lourde charge.

 

– « Qui es-tu ? Qui demande, à entrer, ici » ? – « Je suis Sa Majesté, l’Empereur d’Autriche, Roi de Hongrie ». – « Je ne le connais pas. Qui, demande, à entrer, ici » ? – « Je suis l’empereur, François-Joseph, roi apostolique de Hongrie, roi de Bohème, roi de Jérusalem, grand prince de Transylvanie, grand-duc de Toscane, de Cracovie, duc de Lorraine et, de Salzbourg »… – « Je ne le connais pas. Qui, demande, à entrer, ici » ? – « Je suis François-Joseph, un pauvre pécheur, j’implore, la miséricorde, de Dieu ». – « Alors, tu peux entrer »34 !

(J.-P. Bled, François-Joseph, 1830-1916, essai historique, France, 1987).

 

En la terrestre histoire, des hommes, il a toujours, été, « de tradition établie », de la part, des anciennes générations, de vitupérer, à satiété, les plus jeunes, des vivants. D’estimer, que les antérieures, nouvelles descendances, étaient « meilleures », que les suivantes. D’envisager, le pire, de ce fait35. Ainsi, une poterie babylonienne, datée, d’il y a déjà, plus, de trois mille ans, stigmatise, la pourriture, la malfaisance, la paresse, de la jeunesse. Regrette, celle, du passé, doute, de ses capacités, à perpétuer, sa civilisation. Un prêtre égyptien, environ, deux mille ans, avant, notre ère, s’alarme, de l’état déliquescent, de sa société. Les juniors, génération, « tout feu, tout flamme », seraient incontrôlables, mettraient, en péril, l’existence même, du monde ! Le poète, Hésiode, (Grèce, VIIIe s. av. J.-C.), doute fort, de l’avenir, en cas, d’arrivée, aux affaires, de la jeunesse. Car, il la juge, intolérable, débridée, affreuse.

(Hésiode, Les Travaux et les Jours, poème, Grèce, fin VIIIe s. av. J.-C.)36.

 

Le philosophe, Socrate, (Grèce, 470-399 av. J.-C.), reproche, aux jeunes, de son temps, des goûts dispendieux. Un comportement indécent, fort mal élevé. Un manque, de révérence, pour l’autorité, les parents et, les anciens. D’être tyranniques, de se laisser aller, in fine, de ne pas être convenables37. Puis, l’épistolier romain, Pline le Jeune (61-114), se plaint, amèrement, de l’odieuse oisiveté, de ses jeunes contemporains. (Pline le Jeune, Lettres, Livres I à X, correspondance, Empire romain, 97-109)38. Pourtant, les Écritures insistent fort, à maintes reprises, sur l’importance, spirituelle et humaine, de la jeunesse.

 

« Vos anciens auront des songes, vos jeunes gens, des visions ».

(Prophète Joël, Ancien Testament III-1, La Bible, Moyen-Orient, VIIIe-IIe s. av. J.-C.)39.

 

Aujourd’hui, comme, hier et, demain, les juniors, en tant, que tels, ès qualité, sont considérés, comme, sulfureux et, subversifs, illégitimes et, incapables. Du simple fait, de leur insolente jeunesse, que les aînés, ont du mal, à tolérer, en elle-même40. Le malaise, le mal-être profonds, de cette société actuelle, en grande tourmente, se cachent, derrière, une suffisance, anti-prométhéenne. La plus détestable, qui puisse être. La jeunesse, de ce pays, est la première, à en « faire, les frais », les plus désastreux !

 

Elle se trouve, de fait, placée, en une position disjonctive, de totale exclusion. Non, conjonctive, d’acceptation, pleine et entière. Notre nation ne s’intéresse, prioritairement, à sa descendance, que sous l’angle « psychopathologique, sociopathologique ». N’envisage, les juniors, qu’en termes, de maladie, d’accident, de problèmes. Elle se déconsidère, donc, n’a aucun avenir, « sort », de l’Histoire. La plupart, des jeunes, n’ont, habituellement, nul besoin, de médecins, psys, juges.

 

Or, d’éducateurs vrais, adultes debout, loin, de toute jeunophobe félonie ! La meilleure approche axiomatique, de l’adolescence, n’est pas institutionnelle, mais, humaine. Cette jeunesse, de treize – vingt-quatre ans, constitue, une période cruciale, de l’existence. Car, l’essentiel, de ce qui fera, toute une vie, d’homme, s’y décide, prépare, dessine. La juvénilité est, résolument, par excellence, une promesse, annonciatrice, prédictive, de tout passage humain, ici-bas41. Comme, les trompettes de Jéricho, appelaient, la Terre promise ! Celles, de l’Apocalypse, la Parousie : retour, du Christ, en majesté, à la fin des temps, du Jugement dernier. Or, elle se convainc, en son infortune, que :

 

« Tout est chaos, à côté, tous mes idéaux, des mots, abîmés… Je cherche l’âme, qui pourra, m’aider. Je suis, d’une génération désenchantée, désenchantée ».

(M. Farmer, artiste française contemporaine, L’AutreDésenchantée -, œuvre musicale, France, 1991)42.

 

Notre propos se veut, triple analyse, sans fard ni, concessions. Tout à la fois, constat, des faits, les plus positifs, comme, les moins favorables. Critique, fort lucide, des blocages. Propositions, d’avancées. Notre analyse tente, d’éclairer, au mieux, au gré, de ses développements. Domaine, par domaine. De façon, transversale, pluridisciplinaire, comme, holistique. En toute franchise et, lucidité, sans faux-semblants. Loin, des lénifiants « sentiers convenus », si habituels. Elle dérangera, déplaira, fortement. En un pays, en lequel, il convient, de « crucifier, des boucs émissaires », tels, les jeunes. Désignés, par avance, à la pire vindicte publique. « Cloués, au pilori », de l’indignité nationale. Qui nie, systématiquement, leurs « pires misères ». Pour ne pas avoir, à y remédier.

 

Remettre, en cause, les responsabilités adultes. Ainsi, en l’Antiquité, (Europe, VIe s. av. J.-C-Ve s.), s’en prenait-on, aux messagers, des mauvaises nouvelles. Missi Dominici, (Europe, VIIIe-Xe s.), des funestes augures. Ce qui dispensait, fort opportunément, d’accepter, de voir, les tristes réalités, en face. Notre réflexion n’aura pas davantage, pour objectif, de porter démesurément, aux nues, ces juniors. Or, de les dépeindre, plus justement, en leur juvénile essence, « d’ombre et, de lumière ». Elle est à considérer, comme, un « hommage » mesuré, réaliste, rendu, à toute une « génération, magnifique ».

 

Pourtant, bafouée, humiliée, délaissée. Nous souhaitions, réparer une injustice et, « laver une faute ». Qui entachent, notre nation, d’amorale façon. « Offense », que nous souhaiterions, non, pas, vil et, indélébile opprobre, mais, réversible reniement. Cette contribution s’y emploie. Sans illusion, aucune, mais, avec foi, espérance, en l’avenir. En notre formidable, force vive néogénérationnelle. Notre objectif, est de mieux faire aimer, connaître, accueillir, nos jeunes. En leurs diversités, richesses, immenses aptitudes. Dire, leurs vrais difficultés, souffrances et, défauts. Également, leurs réels bonheurs, joies, réussites, qualités.

 

Pour vaincre, les hostiles préjugés négatifs, qui les frappent, au cœur ! Cessons, de croire ou, faire mine, qu’ils sont, notre croix, notre boulet, notre châtiment. Quand, ils sont, notre avenir, notre « rédemption », régénératrice sauvegarde ! Ne les chargeons pas, davantage, de porter, nos propres écrasants fardeaux, d’adultes, à notre place, d’aînés. Assumons, avec courage, nos devoirs, d’éducateurs, de guides. Aidons-les, tout en respectant, leurs légitimes libertés, particularismes ! Soyons présents, à leurs côtés, sans être envahissants. Discrets, sans, pour autant, être pusillanimement, démissionnaires !

 

Il est fort inquiétant, que le quart, des filles, le cinquième, des garçons, soient, des plus alarmés. Quand, ils songent, à leur avenir personnel. Les époques antérieures, respectaient plus, les jeunes. En leur opposant, des refus frontaux, voire, brutaux. Cela était, plus honnête, car les juniors savaient, à quoi, s’en tenir. Aujourd’hui, il leur est presque toujours, répondu, en apparence, des plus favorablement. Or, avec fort peu, d’exécution positive, consécutive ou, bien trop ! Sans cesse, les jeunes se voient confrontés, à eux-mêmes, leur société. En un incessant mouvement, pendulaire. Sempiternellement, les renvoyant, de la singularité, de leur être unique, à leur collective, « relativisation sociale ».

 

Processus, sans fin, toujours, recommencé, tel, Sisyphe, rivé, à son rocher43. Il est, un paradoxe monumental, en l’histoire, de chaque jeune. C’est la période, de la vie, où, l’on a, le plus, besoin, de latitude, pour « se retrouver », se ressourcer, grandir, se renforcer. C’est, dans le même temps, l’époque, où, il est exigé, le plus, de tout être humain. En matière, d’apprentissages, de formation, mise, à l’épreuve. Les juniors doivent, faire leurs preuves, en tout et, pour tout, en permanence, telles, véritables « ordalies probatoires ». De façon, de plus en plus, draconienne, décider, de choix, d’avenir, capitaux, pour eux, qui les engagent, à vie.

 

Alors, qu’ils sont encore, en pleine phase, de reconstruction, fragilité, doutes et, d’incertitudes. Cela, explique, leurs difficultés, à être, s’affirmer, tels, qu’ils sont, face, à leur société. En cela, réside, leur terrible dilemme juvénile. Donner, le maximum, d’eux-mêmes, tout en réparant, leurs propres failles, de l’intérieur. Décider, de l’essentiel, « de tout, tout de suite ». Alors, que ce sont, l’aléatoire, le révocable, l’indéterminé, qui gouvernent la jeunesse. Ce qui est attendu, d’elles, n’est jamais, adapté, toujours, excessif ou, insuffisant, à ses dépens.

 

Quoi, qu’il en soit, l’espérance, de vie, ne cesse, de s’allonger. Les modalités, de réussite, sont, de plus en plus, exigeantes et, sophistiquées. Alors, donc, la jeunesse n’a plus, « le vent, en poupe ». Voici, venu, le plein temps, de l’expérience, la maturité, l’ancienneté, du pouvoir, de l’argent. C’est-à-dire, celui, des « majors et, seniors ». Les juniors ont été « boutés, hors, de l’Histoire ». Voilà, pourquoi, notre nation, si vieillie, usée et, lasse, se prive, d’avenir. Au profit, d’autres civilisations jeunes, en plein développement. La période, de l’existence humaine, qui nous intéresse, est celle, des treize – vingt-quatre ans.

 

Elle appartient, à une ère, de vie, que l’on qualifie, de jeunesse. Laquelle, culmine, aux alentours, des vingt ans. L’adultisme peut être symbolisé, par l’âge, de quarante. La maturité est atteinte, autour, des soixante. La vieillesse, vers, les quatre-vingts printemps, sonnés. Schématiquement, la jeunesse est le temps, des apprentissages et, consumérismes, sociabilités et, plaisirs. Tout azimut. L’adultisme, celui, de l’ascension, l’obtention, des acquisitions, réussites capitales, de l’existence. En tout domaine44.

 

La maturité consiste, ensuite, à faire fructifier, ses acquis, les accepter, comme, tels. Avec, tous les renoncements et, renonciations ou, désillusionnements. Propres, aux aléas, de la vie, de cet âge. Au raccourcissement, dont, l’on prend conscience, du temps, qui reste, avant, la mort. Plus court, que celui, déjà, passé. La vieillesse accomplie est, normalement, une vraie sagesse, de fin, de vie. Qui tend, à cultiver, l’équanimité, d’une réelle, sérénité morale. L’ataraxie, de la pleine maîtrise, de soi. La paix intérieure, de la répudiation, des peurs, attentes, désirs, besoins, d’ici-bas45. La jeunesse est âge, d’hédonistes appétences. L’adultisme, celui, de luttes, de pouvoir. La maturité, temps, de capitalisations, réalisme. La vieillesse, celui, du retirement, de l’ascèse.

 

« Lorsque, les pères, s’habituent, à laisser faire, leurs enfants ; lorsque, les fils, ne tiennent plus compte, de leurs paroles ; lorsque, les maîtres, tremblent, devant, leurs élèves ou, préfèrent, les flatter ; lorsque, finalement, les jeunes, méprisent les lois, parce qu’ils ne reconnaissent plus, au-dessus, d’eux, l’autorité, de rien ni, de personne ; alors, c’est là, en toute beauté et, toute jeunesse, les débuts, de la tyrannie ».

 

Ainsi, s’exprime, le philosophe, Platon, (Grèce, 427-347 av. J.-C.), dans, La République. (Dialogue philosophique, Grèce, IVe siècle av. J.-C.)46. C’est dire, à quel point, « depuis, toujours », la vision, très pessimiste, injuste, hostile, sur les juniors, l’emporte, parmi, leurs aînés. Cela, motive plus, encore, à servir, cette génération, si attachante, touchante, à tant, d’égards ! La jeunesse moderne naît, il y a, un peu plus, d’un demi-siècle. Quand, la règle majoritaire, devient, les études prolongées et, le report, de l’entrée, dans la vie active. À partir, de la décennie 1960. Avec, en outre, des pratiques, de vie, culturelles, de plus en plus, différenciées, de celles, des adultes.

 

La nouvelle génération française, européenne, occidentale, est privée, d’histoire, de statut reconnu. Elle n’est créditée, d’aucune, qualité originale. Son image, de marque, est abîmée, dépréciée, répulsive. Elle peine, à grandir, trouver, sa juste place. Nos cadets ont une insertion sociale, très chaotique, car, leurs pôles traditionnels, d’intégration, sont « en déroute ». Leur famille privilégie, bien trop souvent, son rôle affectif, au détriment, de son devoir éducatif. Leurs études sont plus, vaines sélections, qu’authentique, formation humaine. Leur emploi, introuvable ou, dévalué, n’est plus, vrai rituel, passage initiatique, d’intégration. Leurs relations reposent, bien plus, sur la peur, de l’abandon, la trahison, le soupçon, que la confiance véritable. Leurs loisirs, engagements, les déçoivent, de plus en plus, amèrement.

 

Passifs, non attendus ni, entendus, délégitimés, ils sont empêchés, à devenir, d’authentiques adultes, autonomes, stables, accomplis. Ils sont, très longuement, condamnés, à l’immaturité funeste, paralysante. Pour leur plus grand malheur. Nos jeunes ont grand besoin, de se savoir, confortés, acceptés et, compris. D’être motivés, de se réaliser, ne plus subir. De plus en plus, de juniors français, manquent fort, d’estime, d’acceptation, de confiance, d’affirmation, d’eux-mêmes. Ils sont stressés, anxieux, pessimistes. Gèrent, très mal, leurs émotions, frustrations. Ils sont constamment, découragés, démobilisés. Faute, d’appétences, de réelles stimulations, balises, d’exemplarité, de leurs aînés. Le sens antidépresseur, de la ténacité, persévérance, l’effort, la rigueur, la patience et, du sacrifice, ne leur est guère, enseigné. En un contexte, fort réprobateur, de « génération vilipendée ».

 

« Voici, la France, aux yeux, de ses fils, tantôt, nation inépuisable, qui invente, l’avenir, du monde, tantôt, vieux pays fatigué, déchu, de sa grandeur, mécontent, de soi. Pourquoi, est-elle vouée, à la neurasthénie, si quelque rêve grandiose, ne l’élève, au-dessus, d’elle-même ? Voici, ces Français, qu’on dit – plus, que tous autres – ingouvernables ; qui détiennent, le record, des révoltes, des effondrements, de régime, des luttes civiles, des malheurs collectifs. Voici, les mêmes, passivement, soumis, à leur administration et, amoureux – toujours, déçus – de l’autorité ; rebelles, à leur État, en même temps, qu’inaptes, à vivre, sans, ce tuteur tracassier »48.

(A. Peyrefitte, homme politique, écrivain français, 1925-1999, Le Mal français, essai sociopolitique, France, 1976, 1996, 2006).

Ce juste résumé, de nos réalités nationales, s’applique, mot pour mot, à nos jeunes, face, à eux-mêmes et, confrontés, à leurs aînés adultes.

 

« Voici, la jeunesse, aux yeux, des juniors, tantôt, génération inépuisable, qui invente, l’avenir, du monde, tantôt, âge, déjà, fatigué, déchu, de sa grandeur, mécontent, de soi. Pourquoi, est-elle vouée, à la neurasthénie, si quelque rêve grandiose, ne l’élève, au-dessus, d’elle-même ? Voici, ces jeunes, qu’on dit – plus, que tous autres – ingouvernables ; qui détiennent, le record, des révoltes, des effondrements, de parcours, des luttes intestines, des malheurs collectifs. Voici, les mêmes, passivement, soumis, aux adultes et, amoureux – toujours, déçus – de l’autorité ; rebelles, à leurs aînés, en même temps, qu’inaptes, à vivre, sans, ce tuteur tracassier ».

Immense ambivalence, de l’incertaine juvénilité, si tiraillée, entre ses insolubles contradictions !

 

« Que nul, étant jeune, ne tarde, à philosopher ni, vieux, ne se lasse, de la philosophie. Car il n’est, pour personne, ni trop tôt ni, trop tard, pour assurer, la santé, de son âme. Celui, qui dit, que le temps, de philosopher, n’est pas encore, venu ou, qu’il est passé, est semblable, à celui, qui dit, que le moment, du bonheur, n’est pas encore, arrivé ou, qu’il n’est plus. De sorte, qu’ont, à philosopher, et le jeune et, le vieux. Celui-ci, pour que, vieillissant, il soit jeune, en bien, par la gratitude, de ce qui a été. Celui-là, pour que, jeune, il soit, en même temps, un ancien, par son absence, de crainte, de l’avenir ».

(Épicure, philosophe grec, 341-270 av. J.-C., Lettre à Ménécée, correspondance philosophique, Grèce, IIIe siècle av. J.-C.)49.

 

Que retenir, de ce magnifique précepte, des Anciens, plus actuel, que jamais ? Les jeunes ont le plus grand besoin et, vif désir, de grandeur et, de réflexion morales. Au présent ! Leur transcendance et, félicité, leur sont bien acquises, sans guère, plus attendre, l’adultisme. Pour peu, qu’ils le veuillent, y croient, y travaillent. Le jeune peut être « sage », par la confiance sereine, en son sort futur. Il a la maturité, la capacité ou, l’envie, d’une quête, une rédemption métaphysiques. Pour mieux vivre, être heureux, se dépasser. Donner, un sens entier, à son existence.

 

Cela, ne dépend, que de lui-même et, de son intériorité supérieure. Non, des aînés, circonstances externes, du mûrissement, à venir. Que chaque jeune, en sa plénitude, prenne conscience, qu’il détient, sa destinée, son espérance, son allégresse. Entre ses seules, propres mains. Qu’il médite, en son for interne, que sa juvénilité est « acmé, jamais, nadir » ! Au cours, de l’Histoire, les peuples, ayant négligé, leur descendance, ont été voués, au pire. Sachons, donc, écouter, ces terribles monitions, du passé, enseignant, que jeunesse, est gage, d’avenir !

 

En juin 2012, un collégien, de seize ans, en tue, un autre, de treize, dans leur établissement scolaire, de Rennes. Tristes violences, trop habituelles, entre juniors, pour un simple regard, mal interprété ! Les malheureux protagonistes, de ce tragique fait divers, sont donc, un jeune et, un adolescent. Or, l’un, de nos plus célèbres, éminents, journalistes radio, n’hésite pas, à qualifier – « sans rire » – le meurtrier, plus âgé, d’ « enfant » et, la victime, plus jeune, de « petit garçon » ! Les mots ont, tous et, toujours, un sens, une symbolique. Traiter, un jeune, d’enfant ou, de petit, révèle, tout le mépris, l’ignorance, l’indifférence, la bêtise, en laquelle, la jeunesse, de France, est tenue, par la France et, les Français. Ce pays, cette société, ne méritent pas, leur descendance.

 

Laquelle, commence, à les déserter, le fera, de plus en plus, à l’avenir. Le président de la République, E. Macron, (Homme d’État, France, 2017-2027), encore, candidat, s’adresse, à la jeunesse, de son pays. En une lettre-programme, spécifique. (Voir, tome I-2, de cet ouvrage). Il promet, à ses jeunes compatriotes, le meilleur, pour améliorer, leur sort. Or, sitôt, élu, il ne leur accorde, nul, ministère particulier, contrairement, à ce qui était, le cas, depuis, trois décennies. Le ministère de l’Éducation, étant celui, en pure théorie, des questions juvéniles. L’une, des premières « mesures, en faveur, des juniors », consiste, à diminuer, l’aide au logement, dont, ils sont, pourtant, les premiers bénéficiaires. Comme, les précédents, ce quinquennat ne sera pas, celui, de la néogénération. Une fois, de plus, le pays entier, en paiera, le mauvais prix !

 

Le jeune préhistorique, protohistorique, se bat, pour assurer, sa survie même. Contre, des intempéries climatiques, extrêmes et, une nature inhospitalière et, hostile, les bêtes fauves et, la pénurie, de subsistance. Le junior antique est considéré, comme, barbare, subversif, inculte, menace mortelle, pour sa société et, inapte, à la culture, la raison, la civilisation. Le junior médiéval, loin, de n’être, que preux chevalier, valeureux, au combat, est, avant tout, le gueux, en guenilles, vil bandit, hors-la-loi, de grands chemins.

 

Qui crie misère, mendie, son pain, toujours, à l’affût, des pires mauvais coups. Le junior moderne, de l’Ancien Régime, (France, 1589-1789), n’existe jamais, par et, pour lui-même. Il n’est, que le simple prolongement, de ses ascendants et, sa société. Il a, tout juste, le droit, de vivre, sous la férule, des aînés, mais, à la condition, de courber, bien bas, l’échine. Le jeune contemporain, des deux siècles écoulés, n’a plus rien, à prouver ni, conquérir.

 

Il n’est plus, qu’un pathétique marchand, d’illusions, aux semelles, de vent. Bonimenteur, de sa pauvre histoire, vide, de sens, de toute consistance. Il aura, avant tout, été, chair à canon, de toutes les plus abjectes et, si sanglantes guerres, des dix-neuvième et, vingtième siècles. Des batailles napoléoniennes, de masse, (Europe, 1803-1815), aux tueries, du Second Conflit mondial (1939-1945). Pourvoyeur, des pires camps de travail et, de concentration. Le jeune actuel, des débuts avancés, de ce siècle, a le fort triste privilège, de « fêter », le centenaire, de la fin des boucheries, de la Première Guerre mondiale (1914-1918). Inutile, « sacrifice expiatoire », de ses congénères, des batailles, de la Marne, Tannenberg, d’Ypres. (Europe, 1914)… En lequel, tant, de brèves vies, seront brisées. Hachées menues, par la mitraille, des bourbeuses tranchées, où, tant et tant, se perdront, alors, à tout jamais

 

Le jeune, d’aujourd’hui, est le parfait prototype, produit médiocres, de son temps, sa société, ses insignifiants aînés adultes. Tant et plus, de pusillanimités, versatilités, vacuités, lâchetés, veuleries, bassesses. Trahisons, reniements, paresses, laisser-aller, déloyautés, duperies et, mensonges. Si peu, de courage, constance, plénitude, d’abnégation, de force, de caractère. De réelle grandeur d’âme, fidélité, d’engagement, d’effort, de droiture, noblesse, dignité, vérité. Perversions, insanités, forfaitures, en sont, les attributs majeurs. Moralité, sûreté, honnêteté, les parents pauvres. Comble, de dérision, la jeunesse présente, comme, celle, du passé ou, de l’avenir, est toujours, accusée, en propre, de vices, travers, turpitudes. Ceux, de ses aînés et, inculqués, par ces derniers.

 

Les gens, de vingt ans, finissent, par être transparents, car ceux, de cinquante, sont falots, les octogénaires, si ternes ! Devant, les difficultés, de son royal époux, Louis XVI, (Souverain régnant, France, 1754-1793), la reine, Marie-Antoinette, (Souveraine régnante, Autriche, France, 1755-1793), avait fini, par le qualifier, avec commisération, de « pauvre homme ». Le non-adulte, de l’aube débilitante, du vingt-et-unième siècle, est le pauvre homme, de ses temps, monde. Il hérite, de plus, de tares avérées, qu’il ne bénéficie, de réelles transmissions ennoblissantes. Il ne sait, quasi-rien, ne connaît rien, ne comprend rien, de ce qui élève, l’aura, le cœur, l’esprit. Car, ses aînés sont « sourds, aveugles, muets, agueusiques, anosmiques, paralytiques », d’un point de vue moral et, éducatif, voire, affectif. Tragiques naufragés, de leurs « sinistres dégénérescences ».

 

Privé, de tout principe, éclairant, sa vie, le junior ne cesse, alors, de se perdre, corps et âme, en ses sombres conjectures. Inquiètes conjonctures existentielles, tourmentées ! Quand, ses devanciers adultes, ont déjà, sombré, sans lui laisser, ni adresse, ni testament, ni enseignement. La jeunesse africaine, américaine, asiatique, européenne, océanienne, vogue, dans la même galère. Frêle esquif, bien incertain, qui prend eau, de toutes parts, sur des flots déchaînés. Bien aborder, les questions, de jeunesse, d’éducation, consiste, alors, à se poser, au préalable, six questionnements fondateurs. Qui : les personnes, Quoi : les matières, Où : l’espace, Quand : le temps, Pour/Quoi : la raison, le sens, l’objet, Comment : les façons ? Salutaire introspection !

 

Il s’agit, tout d’abord, de circonscrire, définir, les populations juvéniles, que l’on souhaite étudier, analyser, comprendre. Nous avons donc, retenu, pour notre réflexion, la tranche d’âge, des treize – vingt-quatre ans. Ce sont, les adolescents mineurs, de treize – dix-huit ans et, les jeunes majeurs, de dix-neuf – vingt-quatre ans. Collégiens et, lycéens, d’une part, étudiants et, jeunes actifs, de l’autre. À des âges, qui commencent, à être, ceux, du raisonnement, intellectuel et moral, du type, dit, adulte. Ces jeunes ont, au sein, de leur société, pour caractéristique principale, d’être, parmi, les autres générations, celle, d’un moratoire. C’est-à-dire, un temps, de préparation, à la vie adulte, future. Également, le fait, d’être, pour cette raison, subordonnée, conditionnée, dépendante, des aînés adultes.

 

Car, la nécessité, d’apprentissage, l’inaptitude, à l’autonomie, l’indépendance, la pleine maturité, impliquent, aussi, en partie, cela. Il nous faut, ensuite, préciser, les matières, domaines, qui concernent, au premier chef, cette jeunesse. Par essence, la démarche scientifique retenue, ne peut être, que transversale, holistique et, pluridisciplinaire. Par définition, la jeunesse ne peut être, parfaitement, appréhendée, que par le biais, de toutes ses problématiques, réalités, caractéristiques, attentes, tous ses besoins.

 

De fait, les juniors présentent des « spécificités fort particulières », qui n’appartiennent, qu’à eux. Qui ne sont, en aucun cas, celles, des enfants, des adultes et, des seniors. En outre, seule, la visée globale, permet, de mieux comprendre, servir, aimer, cette génération, « à nulle autre, pareille ». Ce qui n’est, toujours pas, compris, en France, puisqu’il n’existe même plus, de ministère de la Jeunesse, en 2017-2018. Celui, de l’Éducation, en faisant office !

 

De même, seule, vaut, la « méthode », utilisant, toutes les disciplines, des sciences humaines, sociales, du droit, de l’économie, la santé ou, la philosophie… De fait, il est possible, de bien « rendre compte », de l’adolescence, des adolescents, de la jeunesse, des jeunes. Or, qu’au travers rigoureux, de toutes les disciplines, connaissances scientifiques. Venons-en, maintenant, à la localisation géographique, des juniors, en cause. Ceux-ci naissent, vivent, hélas, parfois, meurent, en une contrée terrestre définie. Cette jeunesse est, naturellement, intrinsèquement, mondiale. Nous l’évoquons, comme, telle et, de façon, générale, d’un point de vue géospatial. Également, de façon culturelle, continentale, régionale et, nationale. Nous nous concentrons, essentiellement, sur la jeunesse occidentale, européenne, française.

 

Laquelle, présente, une certaine homogénéité et, nette spécificité, par rapport, à toutes autres jeunesses, de l’univers. La notion chronologique, du temps historique concerné a, également, sa pleine importance. La jeunesse alors, étudiée est, surtout, celle, d’aujourd’hui. Nous n’oublions pas, pour autant, celle, des époques antérieures et, notamment, de l’histoire contemporaine, des deux derniers siècles écoulés. La néogénération historique comporte, linéarité, ruptures, similitudes, comme, dissemblances. Si l’histoire influe, sur les jeunes, la réciproque est aussi, avérée. Il est, en outre, important, pour bien cerner, cette jeunesse, ses réalités, de bien posséder, la signification, la motivation et, les fondements. Ceux, qui initient, meuvent, expliquent, décident, de ce qu’est, a, fait, paraît ou, pas, notre nouvelle génération.

 

En sciences humaines, comme, en tant d’autres disciplines, le hasard n’existe pas. Même s’il y a, toujours, une part, d’irrationalité, en toute chose, en ce bas monde, l’essentiel s’explique toujours. Par des faits, des démonstrations, des raisons et, moteurs, bien spécifiques. Tant, il est vrai, qu’encore et, toujours, aujourd’hui, comme, hier et, demain, c’est, bel et bien, l’intérêt, qui mène, gouverne, l’univers terrestre. Ses acteurs humains, jeunes et, moins jeunes. Alors, nous nous interrogeons, sur la façon, dont, les adolescents, les jeunes mâles, peuvent mieux vivre, leur existence. Cela, est tout l’enjeu, de l’éthologie humaine androJuvénile.

 

La bonne perception vraie, juste et, réaliste, de ce que sont, la mentalité, les mœurs, les comportements, de nos juniors. De fait, il existe, des traits humains, propres, à toutes les générations, de la naissance, à la mort. Or, l’adolescence et, la jeunesse, des adolescents et, des jeunes, comportent des spécificités, très originales, psychosociologiques et, autres. Lesquelles, les concernent, à titre exclusif. De façon, personnelle, individuelle, tout comme, collective, ainsi, que dans les temps historiques et, espaces géographiques. À l’aune, également, des choses, des événements, circonstances, actes50. Les façons, d’être, de penser, comme, d’agir, de nos cadets, ont donc, toujours, un sens et, une signification. Propres, à nous éclairer, sur cette population humaine, si unique.

 

Le « grand dessein », de chaque jeune, étant, de dominer, le Léviathan, des temps modernes, la renonciation, à être soi. En vertu, de l’excellent adage, du poète, Pindare, (Grèce, 518-438 av. J.-C.) :

 

« Genoio hoios, esti ! / Esto, quod es !

Deviens, ce que tu es »52 !

 

Ce qui n’est, rendu possible, qu’en suivant, un célèbre aphorisme, du philosophe, Socrate, (Grèce, 470-399 av. J.-C.), gravé, au fronton, du temple d’Apollon, à Delphes.

 

« Gnôthi, seauton ! / Nosce te, ipsum !

Connais-toi, toi-même »53 !

 

Il est même, ajouté : « Laisse, le monde, aux dieux ». Ce qui doit, mener l’homme, à l’humilité, car, celui-ci, n’est pas, de nature divine. Pour devenir, lui-même, « grandir », le junior, ni anachorète ni, troglodyte, doit savoir dépasser, l’hétéronomie adulte, imposée. Sans, pour autant, prétendre, à l’omnisciente omnipotence ! En très délicat et, fort savant équilibre, entre la transcendance supérieure externe et, l’immanence propre, s’autosuffisant. Pragmatisme, d’ouverture, loin, de tout illusoire solipsisme.

 

« La jeunesse ne laisse, un bon souvenir, qu’aux adultes, ayant mauvaise mémoire » !

(F. Truffaut, cinéaste français, 1932-1984)54.

 

Ce qui signifie, que la juvénilité est, avant tout, un dur apprentissage, non, toujours, gratifiant, qui peut laisser, de fort douloureuses traces.

 

« Nous autres, civilisations, nous savons, maintenant, que nous sommes mortelles ».

 

Ainsi, s’exprime, P. Valéry (1871-1945), aux lendemains, du pire carnage, de l’histoire, de l’humanité, d’alors, le Premier Conflit mondial (1914-1918). (P. Valéry, écrivain français, Variété, œuvre littéraire, France, 1924)55. Lequel, mènera, au sacrifice, de tant, de jeunes hommes, il y a, un siècle. Les deux premiers trépassés, à l’été 1914, étant, un jeune militaire français, de vingt-et-un ans et, son homologue allemand, de vingt-deux ! Tragique leçon, non retenue, vingt-cinq ans, plus tard ! Il s’agit donc, d’inculquer, à notre jeunesse, que rien, de terrestre, n’est acquis, à tout jamais, y compris, les fondements même, de l’humain. Que les combats, qui en assurent, la sauvegarde, sont, sans cesse, à mener et, renouveler. Quand, l’âge, de jeunesse, tend toujours, tant, à « brûler, ce qui a été adoré et, adorer, ce qui a été brûlé » !

 

« […]. Les jeunes, d’aujourd’hui, aiment le luxe. Ils sont mal élevés, méprisent l’autorité, n’ont aucun respect, pour leurs aînés, bavardent, au lieu, de travailler. Ils ne se lèvent plus, quand, un adulte pénètre, dans la pièce, où, ils se trouvent. Ils contredisent, leurs parents et, plastronnent, en société. Se hâtent, à table, d’engloutir, les desserts, croisent, les jambes et, tyrannisent, leurs maîtres »…

 

Ainsi, comme, déjà, évoqué, s’exprime, le philosophe, Socrate. (Grèce, 470-399 av. J.-C.). Lors, de son ultime discours, sur l’ « éducation, des jeunes », devant, le tribunal, qui allait, le juger, condamner (399 av. J.-C.). Cela, illustre, la formidable propension, des adultes, à « oublier », leur propre jeunesse, pour mieux stigmatiser, les travers, réels ou, supposés, de leur descendance. Oubliant, par-là même, que les juniors, en tant, que rejetons et, qu’éduqués, ne sont, que le pur produit, les parfaits reflets, de leurs aînés. À qui, il appartient donc, de ne plus avoir, à se plaindre, avec amertume, de leur piètre, résultat éducatif. « Faisant, en sorte », que leurs enfants, jeunes, soient, à la hauteur, de ce qu’ils en attendent. À savoir, une droiture, à toutes épreuves, par la fermeté, tempérée, par la souplesse, par la compréhension, renforcée, par l’exigence.

 

Ce n’est, qu’à ce prix, de l’ « excellence, éducative et affective, sans faille, comme, de tous les instants », que les anciens pourront, pleinement, être « satisfaits », des nouveaux arrivés, sur terre. À défaut, ils ne feront que, perpétuellement, se condamner, encore, toujours, eux-mêmes, à la critique. Au rejet systématique, stérile, de leur propre progéniture. Au grand dam et, détriment, des juniors. Voués, alors, aux pires déviances, souffrances, découragements, révoltes.

 

En un mot, aux plus viles déchéances. Les adultes ont les jeunes, qu’ils méritent. À indigne adultisme, toujours, défaillante jeunesse. De même, à noble aînesse, exemplaires successeurs. Cet immuable ordre naturel, est vérité première, jamais, l’improbable inverse ! 43 pour cent, des quinze – dix-huit ans français, souffrent, psychiquement ! (Unicef France, organisme international, des Nations Unies, de protection, de l’enfance, comme, de l’adolescence, France, 2014).

 

L’AndroJeunologie® est une réflexion d’AndroJeunoScience® théorique et, un mentorat d’AndroJeunoConseil® pratique. Nous avons créé, l’AndroJeunoGuidance, (France, 2003), consulting éducation-juniors, conseil global, de vie, des quinze – vingt-quatre ans masculins. Pour répondre, aux réalités, besoins et, attentes, de garçons, en mal, d’éclairages et, de balises. Les aider, à mieux progresser, sur la sage voie, de l’adultisme accompli. Nous sommes donc, en approche, de mentorat éducatif, des jeunes, de genre masculin. AndroJeunoConseil® développemental, des jeunes hommes. Cette mission, cognitive, émotionnelle, comportementale, consiste, à donner, du sens, des repères, de la mesure, de l’équilibre. À une jeunesse, qui en manque, si cruellement, de plus en plus. À l’image, de sa société, entière.

 

Il s’agit, d’une démarche globale, holistique. Avec, pour ambition, d’aborder, l’ensemble, des problématiques androJuvéniles. Sans, nulles, exceptions ni, exclusives. Familiales, éducatives, professionnelles, relationnelles, psychoaffectives, sociales, culturelles, morales, de valeurs, d’idéaux… Nous consacrons, tous nos travaux, de recherche, intellectuels, aux sciences, du développement juvénile. L’ensemble, de notre pratique, d’exercice professionnel, aux seuls juniors mâles et, à la réflexion d’AndroJeunoScience®. Nous avons conçu l’approche de consulting d’AndroJeunologie®, le métier, de conseil androJeunologue®, pour amener, les jeunes hommes, à bien mieux, identifier, leurs facteurs, de marasme, d’inertie. Repérer, les éléments, de résorption, de leurs problèmes, leurs possibilités, de surpassement. Résoudre, leurs difficultés, dépasser, leurs échecs, les plus rédhibitoires.

 

Optimiser, leurs potentiels. Parvenir, à bien mieux, se départir, d’eux-mêmes, surmonter, leurs déconvenues, vaincre. Atteindre, tous leurs objectifs, jugés, « essentiels ». L’accompagnement androJeunologique relève, les forts défis, qui se posent, à la jeunesse masculine, d’aujourd’hui. Les publics concernés, sont les garçons adolescents, de quinze – dix-neuf ans, les jeunes hommes, de vingt – vingt-quatre. La médiation androJeunologique, est très en retard, en France. L’on observe, un net vide, entre, le « tout psy », peu ou, pas, spécialisé, pour les quinze – vingt-quatre ans, d’une part.

 

Le soutien, l’orientation, le coaching scolaires, professionnels, de l’autre. Le concept existe, en Amérique du Nord / Australie. L’AndroJeunoConseil® tend, à répondre, aux vécus, nécessités, desseins androJuvéniles, bien spécifiques. Il aide, à lever, les blocages, accroître, la créativité et, s’épanouir, le junior, en difficulté. Outre, souhaitant, faire progresser, ses aptitudes, compétences, performances. Par l’autonomie, le volontarisme, d’action. La force, positivité, de pensée. Le contrôle, la maîtrise émotionnels. Les éléments, de cette « néopsychoéducation », des jeunes, sont triples.

 

L’accompagnement, en développement personnel androJuvénile. Le préceptorat de réalisation de soi androJuniors. La guidance, androÉducation – androJeunesse. Il s’agit, véritablement, d’une « médiation » privée, institutionnelle, intellectuelle, médiatique. L’AndroJeunologie® éclaire le garçon junior incertain, pour mieux vivre, par appui, balisages, entraînements. Il veut rendre, le jeune, capable, d’aller, au bout, de lui-même, de « se transfigurer ». Il s’agit, d’une nouvelle « école, théorique et pratique », de soutien spécialisé, dynamique. Écrit, directif, structuré, interactif. L’approche est cognitivo-émotivo-comportementale, humaniste, positive. Les entretiens se déroulent, très spécifiquement.

 

Ils envisagent, en tout premier lieu, l’hygiène, de vie. La gestion, de l’emploi, du temps. Une solide méthode, de travail. Une adéquate orientation : scolaires, universitaires et, professionnelles. Pour bien réussir, le junior masculin doit « s’adapter », par l’équilibre, l’assurance, la motivation et, l’autonomie. Ces éléments, s’ils défaillent, iront nuire, à la réussite académique. De même, des dysfonctionnements éducatifs causeront, fort souvent, des troubles, en terme, d’épanouissements, de confiance, en soi, et, mobilisations. Les bases du mentoring d’AndroJeunoConseil®, reposent, sur l’ « être ». Plus, que sur l’avoir, le paraître ou, même, le faire. Certains « pôles », sont indispensables, pour grandir, face, à soi, comme, autrui et, être pleinement, responsable.

 

L’AndroJeunologie® apporte, une réelle « transcendance », axée, sur de vraies valeurs, sûres et indépassables. Le cœur, de méthodologie androJeunologique, repose, sur la technique FAR. Ce qui signifie, loin et, beaucoup, en anglais. Le but est d’aider, le jeune homme, à réussir, s’épanouir, se dépasser. Plus, qu’aller bien et, mieux : devenir, meilleur ! Lui apprendre, à développer, une vraie, Force mentale positive. Pour pouvoir entamer, des Actions dynamiques, déterminantes. Afin, d’être en mesure, d’obtenir, de fructueux Résultats décisifs. L’AndroJeunoConseil® permet, de gérer, stress, anxiété, émotivité excessive. La problématique juvénile sociétale concerne, quant à elle, l’image, de marque. Le statut. L’ « appréhension morale », de la nouvelle génération. Convictions personnelles fortes, très large ouverture d’esprit, amendement éducatif profond !

 

Tels sont, les « outils fondamentaux, du suivi androJeunologique ». Faisons confiance, à notre jeunesse. Croyons, en elle ! Laissons-lui, le soin, de concevoir, d’imaginer, de rêver, créer, un « univers meilleur ». Puisque, les générations, d’avant, ne l’ont pas su ni, pu ou, voulu ! Cette génération montante est bien trop rongée, par de ravageurs amertumes, aigreurs et, désabusements47. La renonciation, à ses désirs, les plus « fous », comme, les plus raisonnables.

 

La jeunesse a désespérément, besoin, de « vertus héroïques, pour grandir » ! Il faut bien comprendre, que la nouvelle génération, n’est pas seulement, capitale, en soi, et, pour elle-même. Or, aussi, pour l’ensemble, de l’existence humaine. Il s’agit, des fondations, qui cimenteront, toutes les autres années. Solides, elles optimiseront, toute la vie. Fragiles, elles obéreront, l’avenir, du junior, à tout jamais. En outre, des adoJeunes, bien épanouis, contribuent, à « doper », toute la société !

 

Concernant l’approche, de « conseil global et, sciences androJeunologiques », il convient, d’en bien analyser, l’essentiel : destinataires, essence, objectifs. Le progrès constitué, face, aux retards français, en la matière. La réponse, aux « déficits, les plus cruciaux », des jeunes. Les éléments constitutifs, de cette « propédeutique ». Les outils correctifs, d’appui, d’entraînements, des juniors. La performance, d’approche, en terme, de réelle densification morale. L’adaptation, menant, à l’équilibre, l’assurance, la motivation, des adolescents. Les résultats obtenus, au travers, des anamnèses, études, de cas, de juniors masculins « androJeunoConseillés ». Les grandes valeurs, transmises, par l’AndroJeunologie®. La « plénitude intérieure » juvénile, atteinte. Notamment, par une meilleure maîtrise, des stress, anxiétés, émotivités, excessifs et, « handicapants »51.

 

Face, aux buts afférents, à la vie juvénile, l’AndroJeunoConseil® constitue, une conception, des plus originales, pertinentes, fécondes. Avec, un milieu particulier, une spécificité, de la relation d’aide, en jeu. De nouveaux cheminements, décisifs. Une juste appréhension, des situations, impératifs, souhaits, des garçons jeunes. En une pédagogie, de changement. Un soutien, balisage, une préparation, idoines. L’AndroJeunologie® permet, au junior, de « fructifier, ses talents ». En l’aidant, à « se bonifier ». Par l’équanimité, la confiance, la volonté. Ce qui permet, aux suivis androJeunologiques, menés adéquatement, à leur terme, de se révéler, concluants.

 

Alors, des fondamentaux existentiels, indispensables, sont inculqués, aux juniors masculins suivis. Ce qui permet, profondément, en aboutissement terminal, de « décupler », le meilleur, de leurs richesses, de juvénilité. Il n’est plus possible, en décennie 2020, de laisser, notre nouvelle génération, s’enliser, seule, en ses doutes et, blocages, les plus dommageables. Pas plus, que de « se contenter, du tout médical, tout psy ou, soutien scolaire », dont, nombre, de jeunes, ne relèvent pas. Que la société française, fasse donc, un effort, d’ « introspection collective », afin, de se demander, si le sort, qu’elle réserve, à sa descendance, est digne. Digne, de son degré, d’avancée, de civilisation ou, pas. Cette salutaire, prise de conscience, ne peut, que profiter, à la jeunesse hexagonale.

 

L’AndroJeunoConseil® consiste donc, à, préalablement, émettre, six interrogations capitales. Qui, quoi, où, quand, pour/quoi, comment ? Les juniors androJeunoConseillés sont tous, de sexe masculin. Ils relèvent, donc, d’une AndroJeunologie®. Réflexion d’AndroJeunoScience® théorique et, mentoring d’AndroJeunoConseil® pratique. Ils ont, entre quinze et, vingt-quatre ans. Âge officiel, stricto sensu, le plus souvent, retenu, pour la jeunesse, au sens étroit, du terme. Cela, englobe, les garçons adolescents, de quinze – dix-neuf ans, les jeunes hommes, de vingt – vingt-quatre. Lesquels, ont tous, sans exception, pour principal, « point commun », la préparation, à l’adultisme, plein et entier.

 

Qu’ils soient, en études secondaires ou, supérieures ou, déjà, actifs. Outre, le fait, d’être des juniors et, humains, à part entière et, vivant, un temps de vie, avec sa propre valeur, se suffisant, à lui-même. Ils sont conseillés, pour tous les domaines, de vie, les concernant, eux-mêmes et, leur néogénération. La famille, les études, l’emploi, le relationnel, les loisirs et, la culture, les valeurs et, idéaux. Aussi, la santé psychosomatique et, sociale, l’hygiène, de vie, la gestion, de l’emploi, du temps et, la méthode, de travail… Il s’agit, surtout, de garçons jeunes français, européens, occidentaux, urbains, périurbains parisiens, de la région, Île-de-France.

 

Ils sont tous reçus, à Paris, en cabinet de conseil privé, en moyenne, une fois, par semaine, à l’échelle, d’une année, d’études. Ils souhaitent, être accompagnés, car, ils ont besoin, d’une entremise, d’ « étayages, de tutorat ». Pour finaliser, tout leur savoir-faire humain et, résoudre, des blocages, mieux progresser, en leur vie. À l’égard, d’eux-mêmes et, d’autrui, des défis, en cause, également. Non pas, seulement, aller mieux et, prendre conscience de et, développer, leurs atouts, mais, surtout, devenir « meilleurs ». Ils bénéficient, alors, d’un travail structuré, écrit, directif, interactif, de renforcement mental intérieur. Lequel, les fait évoluer, en pensée, pour changer, mieux faire, en actes, comme, en comportements.

 

De façon, plus harmonieuse, efficace, bien mieux adaptée, à leurs désirs, existence, impératifs, objectifs, compétences et, performances. Ils prennent alors, conscience, en mentorat, qu’ils peuvent tous, « dépasser », leurs limites, difficultés, leur condition, d’assujettis juvéniles, « dominés », par les aînés adultes. Pour se réaliser, pleinement et librement, en tant, que jeunes forts, jouissant, totalement, de leur vie actuelle et, de leur temps, de jeunesse, au présent. Non seulement, au passé et, pour l’avenir. En une optique, de responsabilité, d’autonomie, d’effort, de persévérance et, de prospective.

 

L’objectif, le propos, de cet ouvrage, sont donc, doubles. Une introduction, aux sciences, de l’(andro)Jeunesse. Un consulting androJeunologique. Les réalités, de la jeunesse contemporaine, ont été décrites. (Tome I, Volumes I-1 et, I-2). Il s’agit, maintenant, d’analyser, les contours, d’une androJeunologie, d’optimisation, du potentiel junior, au masculin. (Tome II). Ce nouveau type, de relation d’aide ou, AndroJeunoConseil®, conçu, par l’auteur, est une réelle alternative, face, aux enjeux, du jeune homme.

 

Ses bases concernent, le public, la nature, l’impact supportif, afférents. Nous verrons, en quoi, les apports, de la médiation androJeunologique, constituent, une avancée. La réponse apportée consiste à, authentiquement, appréhender, les données, nécessités, désirs, néogénérationnels. Le mutatif conseil psychoéducatif, subséquent, des jeunes concernés, constitue, un fort puissant catalyseur. Renforcement, éclairage, apprentissage androJeunologiques sont, alors, de sûrs moyens, pour « mieux vivre ». (Tome II, Volume II-1).

 

L’AndroJeunologie® mène, le garçon junior, à « aller, au bout, de lui-même ». Le dépassement, de soi, juvénile, en est la symbolisation, de la performance et, l’innovation, d’approche. « S’adapter », pour réussir, permet, équilibre, aplomb, activation, d’importance. Le dénouement favorable, du suivi androJeunologique, s’illustre, en maints témoignages, cas concluants, dont certains, seront évoqués. Les fondamentaux acquis, en androJeunologie, sont des idéaux, de vie, précieux, durables, pour l’avenir. Une profonde ataraxie intérieure, s’ensuit, par « décuplement », des aptitudes propres, de l’androJeune. Pour conclure, nous proposons, trois cents mesures, d’avancées constructives, pour « oser, le pari Juniors » ! (Tome II, Volume II-2).

 

R. Amundsen (1872-1928), explorateur polaire norvégien, mène, la première expédition, ayant atteint, le pôle Sud antarctique. (14 décembre 1911). L’Andro-AdoJeunoConseil® professe, le principe, de vie, du célèbre marin :

 

« La victoire attend, celui, chez qui, tout, est en ordre » !

 

Il concerne, exclusivement, les garçons, singuliers et, trop négligés. De fait, ceux-ci sont, encore plus, en difficulté, que les filles et, requièrent, un suivi spécifique. Il s’agit, alors, d’AndroJeunologie®, discipline, intervention, traitant, des jeunes hommes. Se subdivisant, donc, en réflexion d’AndroJeunoScience®, étude théorique, des garçons et, mentoring d’AndroJeunoConseil®, suivi pratique, des seuls  jeunes, de genre masculin. Entre quinze et vingt-quatre ans.

 

« Multi sunt vocati, pauci vero electi :

Il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus ».

(Évangile néotestamentaire, de Matthieu, apôtre, XX, XXII, La Bible, Moyen-Orient, 1er s.).

Ainsi, la plupart, des jeunes, « rêvent-ils, leur vie, or, seule, une minorité, d’entre eux, vivra, ses rêves » ! L’AndroJeunoConseil® a, donc, pour mission première, d’aider, chaque junior suivi, à se réaliser, du mieux possible !


 

 


Je n’ai pas fini de me battre, avec ces questions, ne me lâchant pas

Ce sont toujours les mêmes : Que fais-je-là ? À quoi cela sert-il ?

Ma copine m’aime-t-elle ? Ces interrogations, c’est la guerre !


 

 


Quentin, dix-huit ans56


 

 


II-1


 

 

L’ALTERNATIVE ANDROJEUNOLOGIQUE

FACE À VOS « ENJEUX » DE JEUNE HOMME


 

 


La jeunesse tisse ses mythes généreusement


 

 


C. Jasmin

Écrivain, Canada, 1930-


 


Rimbaud, mon beau salaud

Récit autobiographique, de jeunesse

Canada, 1969


 

 


La jeunesse est le seul temps

Où l’on ait appris quelque chose


 

 


M. Proust

Écrivain, France, 1871-1922


 


À l’ombre des jeunes filles en fleurs

Œuvre littéraire, France, 1919


 

 

L’AndroJeunologie® s’adresse, exclusivement, à votre public juvénile masculin, également, à vos parents concernés. Il s’agit, d’une nouvelle approche, originale, spécialisée, dans la prise en charge, des questions, de votre androJeunesse. Cela constitue, une avancée majeure, en ce pays, très en retard, en la matière, qui néglige trop, votre tranche d’âge, afférente. L’AndroJeunoConseil® est une réponse, adéquate, à vos problématiques androJuvéniles. Puisqu’il « adhère » et, au plus près, aux réalités, besoins, attentes, les plus authentiques, prioritaires, légitimes, de votre néogénération délaissée.

 

Cela est l’œuvre, d’une véritable psychoéducation, inédite, pour vous, postenfant, préadulte. Ce qui fait, le plus défaut, à votre jeunesse, est privilégié : l’appui, la guidance, des entraînements. Vous est donc, insufflé, junior, tout, ce qui vous manque, le plus, en votre société française : Positivité, Assurance, Foi, en soi, autrui et, la vie : PAF ! Pour que votre existence, de jeune, malgré, les aléas, embûches, propres, à toute vie, se rapproche plus, d’un certain « Éden », relatif, que, d’un « Styx », absolu.

 

La devise, de votre suivi androJeunologique pourrait être, paraphrasant, le titre éponyme, d’un roman, pour la jeunesse, de la comtesse de Ségur : Après la pluie, le beau temps ! (S. Rostopchine, comtesse, de Ségur, écrivaine française, 1799-1874, Après la pluie le beau temps, roman pour enfants, France, 1871)57. De fait, hormis, la mort, même, aucune épreuve, aussi dure, soit-elle, n’est jamais, irrémédiable, définitive.

 

Tout est réversible ou, presque. Rédemption, résilience, sont toujours, possibles ! Surtout, chez vous, jeune, qui en êtes, parmi, les plus capables, le démontrez, avec force brio, courage, chaque jour ! Votre « jeunesse-chrysalide », qui, après, votre « enfance-œuf, puis, chenille », tout uniment, tend, de toutes ses forces et, richesses, vers, votre « adultisme-papillon / imago ». Ainsi, va, votre « lépidoptère génie juvénile », en complexe et, spectaculaire métamorphose, « holométabole ». L’AndroJeunologie® repose, sur de fort solides bases. Elle est une avancée, certaine. Une sûre réponse. Des catalyseurs, décisifs. Des outils, de mieux être.


 

 


1


 

 

VOS « BASES »


 

 

Public, Nature, Impact Supportif

De Votre AndroJeunoConseil®


 

 


Accepter un bon conseil

C’est accroître sa propre performance


 

 


J. W. von Goethe

Écrivain, Saint-Empire /

Confédération germanique, 1749-1832


 

 


L’idéalisme est une habitude

Qui se prend jeune ou jamais


 

 


H. Holden


 

 

Votre AndroJeunoConseil® constitue, une résolutive relation d’aide, pour vous seul, junior masculin. Il est une stratégie, à spécificités, méthodologie, comme, effets, particuliers. Il aboutit, à un volontariste résultat intégratif, holistique. Visant, à vous transmuer, d’incertain jeune homme, en adulte accompli, des plus assurés.


 

 


Les jeunes plébiscitent, le travail, la famille, les amis. Or, surtout, leur propre personne, leur bien-être, plénitude propres. Premier vecteur, à leurs yeux, de vraie réussite. Atteindre, ses désirs, plaisirs, comme, envies, prime, sur l’accomplissement social. (C. Attias-Donfut, sociologue française contemporaine). Réussite et, réalisation, de soi, sont l’acmé, de l’ambition juvénile, contemporaine. Via, malgré tout, le « bon diplôme et, le bon emploi », en vocation, équilibre, passion, par adhésion et, non, par défaut. Le bonheur, de la réussite, de sa vie, non, seulement, dans la vie.

 

L’argent n’est pas, une obsession juvénile, prioritaire, mais, les juniors savent, qu’il en faut et, de plus en plus, pour « bien vivre ». Un travail « intéressant et, bien payé » est donc, source importante, d’épanouissement, pour la jeunesse. Puis, les jeunes appellent, de leurs vœux, pour réussir leur vie, une famille, aimante et unie. Le sentiment amoureux, leur importe, aussi, beaucoup. Or, ils sont, à un âge où, cela, leur paraît, encore, relatif, incertain, exigeant. Alors, ils adulent, l’amitié, les amis, ceux, qu’ils nomment, « potes ».

 

Après, travail, famille, mais, avant, l’amour. Pour une vie, « réussie et heureuse », selon eux. L’amitié-fraternité passe donc, même, avant, le loisir58. Confusément, en abîme, de matérialité, si mutilant, le junior perçoit, que seul, l’humain, prévaut ! Il lui faut, également, apprendre, l’équilibre, entre « raison et, passion », pour grandir, en être sage. Ce qui est, des plus difficiles, à l’âge, de « toutes les folies ». Qu’il retienne, alors, cette leçon, de vie :

 

« Votre raison et, votre passion, sont le gouvernail et, les voiles, de votre âme, qui navigue, de port, en port. Si votre gouvernail ou, vos voiles, se brisent, vous ne pouvez, qu’être ballottés, aller, à la dérive ou, rester, ancrés, au milieu, de la mer. Car, la raison, régnant seule, est une force, qui brise, tout élan. La passion, livrée, à elle-même, est une flamme, qui se consume, jusqu’à, sa propre extinction ».

(G. K. Gibran, poète libanais, 1883-1931, Le Prophète, The Prophet, œuvre littéraire, poétique et, philosophique, États-Unis, 1923).

Même, s’il n’y a, nul empyrée juvénile, en ce bas monde, la jeunesse se doit, de demeurer stoïque. Entre, emportements et sagesse, sa pleine mission, de vie, est d’accomplir, ses destin, dessein, devoir.


 

 


Le sens de la vie

Est la plus pressante des questions


 

 


A. Camus

Écrivain, philosophe, France, 1913-1960


 

 


[ UNE RÉSOLUTIVE RELATION D’AIDE ]

POUR VOUS SEUL, JEUNE MASCULIN


 

 

Votre AndroJeunologie® se constitue, en « graduelle progression », pour vous, garçon junior, concerné. Elle vous assure, un autoconditionnement, une autosuggestion, porteurs. Elle vous fait bénéficier, des fruits séquentiels, d’un bon suivi tutoral, d’inflexion. Pour, résolument, « vous élever, au-dessus, de vous-même » et, vous dépasser.


 

 


Le cheminement androJeunologique concerne, les jeunes garçons, de quinze, à dix-neuf ans, les jeunes hommes, de vingt – vingt-quatre. Sa théorisation repose, sur un concept, se démarquant, d’autres approches. Au- delà, de ce qui unit, rapproche, les juniors, leurs problématiques, il s’agit, de tenir, le plus grand compte, des critères différentiels, qui les distinguent. Tant, au point de vue, psychosociologique, que concernant, l’état, la situation propre, la volonté, de changement, des jeunes, concernés.

 

Ainsi, la réussite, d’un suivi androJeunologique, dépend, de la réunion, de certains critères. La jeunesse n’est pas, un « monachisme régulier, cénobitique ou, érémitique », hors, du monde, des humains, des vicissitudes, comme, du temps et, séparé, d’eux. Or, elle s’inscrit, pleinement, « en son siècle », parmi, les hommes, surtout, ses « frères et, sœurs » semblables, pairs-congénères, néogénérationnels et, monogénérationnels. La « raison d’être », de tout jeune, est de « rêver, sa vie et, surtout, vivre, ses rêves ». Au présent, comme, à l’avenir !

 

Ainsi, en 1994, un enseignant canadien, B. Farrer, promet-il, à ses élèves, de leur communiquer, leur rédaction, vingt ans, plus tard, en 2014. En dix pages, chaque junior, de quinze ans, s’adresse, une lettre, entrevoyant, « sa vie idéale, d’avenir » et, d’adulte, de trente-cinq ans. Deux décennies, plus tard, l’enseignant retraité a conservé, les précieux documents. Il retrouve, ses élèves, notamment, par le moyen, des réseaux sociaux. Il tient donc, parole, recontacte alors, ses anciens potaches, devenus, « grands ». L’objectif, est de comparer, la vie adulte, de ces ex-jeunes canadiens et, la façon, dont ils l’imaginaient, à l’adolescence.

 

Pour certains, la « vision » exprimée, jadis, même, la plus improbable, s’est réalisée, point, par point ! Ainsi, un passionné, du groupe musical suédois, Abba, rêvait-il, de vivre, en Suède, d’y épouser, une autochtone. Mission accomplie, deux décennies, plus tard ! Ardente jeunesse, toujours, si prompte, à se réaliser ! (Des lettres d’élèves, venues, du passé, article sociologique, quotidien, d’information, Direct Matin, France, 9 avril 2014)59. Aux adultes, responsables, du sort, de la génération nouvelle, de faire en sorte que, pour cette dernière, « tout, soit bien, qui finisse bien ». Pour trop, de jeunes, de France, le destin demeure, encore, que « beaucoup, soit mauvais et, se termine mal » ! Inversons, la donne !


 

 


– Votre Graduelle Progression AndroJeunologique –

À Quinze – Vingt-Quatre Ans


 

 

Relation, est un vieux terme, de 1268, provenant, du « latin, relatio. Lien, rapport (XVIe), lien de dépendance ou, d’influence réciproque – entre des personnes – ». Aide, date, également, de 1268. L’ « action, d’intervenir, en faveur, d’une personne, en joignant, ses efforts, aux siens ».

(Dictionnaire, de la langue française, Robert, France, 2007)60.


 

 


La relation d’aide androJeunologique, est une intervention professionnelle, qui consiste, à permettre, au junior masculin, qui le souhaite, de « devenir meilleur ». Non pas, seulement, de « bien et, mieux vivre ». La tranche d’âge, fort exclusive, retenue, par l’AndroJeunoConseil®, est celle, des quinze – vingt-quatre ans. Génération, que les Nations Unies, l’Union Européenne, qualifient, officiellement, de jeunesse. L’on y distingue, les jeunes garçons, de quinze – dix-neuf ans, du second cycle, de l’enseignement secondaire ou, des débuts, des études supérieures. Il s’agit, à quinze ans, du commencement, de la jeunesse, des études, de lycée, du raisonnement, de type adulte. Suivent, les jeunes hommes, de vingt, à vingt-quatre ans, sortis, de l’adolescence, qui commencent, à entrer, en l’âge adulte. Ils poursuivent, pour la plupart, des études supérieures et / ou, intègrent, activement, le marché, de l’emploi.

 

Nous avons créé L’AndroJeunologie®, à Paris, en 2003, afin, de répondre, à des besoins, de ces jeunes masculins, qui ne trouvaient pas réponse. En mode existant, d’accompagnement professionnel, des personnes juvéniles, tout particulièrement. Que ce soit, la relation d’aide psychothérapeutique, le coaching, le soutien ou, l’orientation scolaires. Les thérapies « psy » ne concernent pas, ne s’adressent pas, à tous les jeunes, nécessitant, un suivi. Souvent, ces derniers n’en veulent pas ou, le mode curatif et, médicalisé n’est pas toujours, adapté, à leurs réalités, besoins, attentes.

 

Nombre, de juniors, viennent, en AndroJeunoConseil®, quand, la thérapie n’était pas adaptée, n’a pas convenu ou, fonctionné, de façon satisfaisante. Il convient, donc, de réserver, cette dernière, aux cas, qui en relèvent, directement. Notamment, pathologiques, de nettes perturbations, souffrances psychiques, psychiatriques et / ou, impliquant, médication. Il y a, aussi, le registre, de l’aide, l’orientation scolaires, universitaires, des métiers. Or, il est circonscrit, à la seule, sphère pédagogique, académique, de l’emploi. Non, la jeunesse globale.

 

Il y avait donc, place, nécessité, d’une nouvelle pratique, de prise en charge, des garçons juniors. Que nous avons nommée, AndroJeunoConseil®, puisqu’il s’adresse, exclusivement, aux jeunes garçons, de quinze – dix-neuf ans et, jeunes hommes, de vingt – vingt-quatre. En travail écrit, directif, interactif et, structuré. De façon méthodique et, systématique. Holistique, transversale et, pluridisciplinaire. Rares sont, en France, les praticiens, thérapeutes ou, coachs, les structures spécialistes, de la seule, tranche d’âge androJeunologique, formés, en l’espèce. Encore moins, pour le seul genre juvéno-masculin.

 

Pédopsychiatres et, pédopsychologues s’occupent d’enfants, d’adolescents mineurs, mais, non exclusivement, de grands jeunes, mineurs et majeurs. Tout ceci, n’est que le dommageable révélateur, d’un pays, d’une société, qui ignorent, délibérément, leur jeunesse. Qui ne l’aiment pas, la maltraitent, la méprisent et, la rejettent. Nos travaux, de recherches, antérieurs, avaient, déjà, jadis, permis, cette approche globale, de toutes les réalités et, problématiques juvéniles. L’AndroJeunologie® est une mission professionnelle, une approche conceptuelle, un champ indicatif, une méthode praticienne, un support humaniste. La mission de conseil d’androJeunologue®, regroupe donc, trois composantes majeures.

 

L’ « accompagnement, en développement personnel androJuvénile. Le préceptorat en réalisation de soi androjuniors. La guidance, andro-éducation / androJeunesse ». L’accompagnement a pour objectif, de présenter, au jeune masculin, les éclairages et, conseils, les plus « appropriés », pour progresser, au mieux, en sa vie. Il se verra faire, des propositions. Ce qui consiste, en avis, qui s’imposent. Par argumentations, démonstrations construites, débattues, de façon positive, neutre ou, négative, entre le junior et, son conseiller.

 

Il s’agit, de convaincre, le jeune, de l’inciter, à coopérer, en son intérêt. Avec tout loisir, de suivre, les recommandations données ou, non. Un processus, d’orientation, est enclenché. Cela, implique, une stratégie, alors, élaborée. Des choix, options présentés. Puis, une décision unique finale, est prise, par le junior. Alors, une application s’impose. Ce dernier veille donc, à réaliser, « sur le terrain », ce qui a été convenu, avec son accord, sur sa libre décision. Tous les amendements, inflexions correctifs éventuels, nécessaires, sont apportés, « en cours, de route ». Pour tenir compte, des réalités, difficultés, évolutions juvéniles, positives ou, non, rencontrées, à mesure, du déroulé, des « opérations »61.

 

Puis, les résultats sont observés, analysés, discutés, améliorés, consolidés, pérennisés. Tant, que possible, nécessaire. Tous les enseignements et, conclusions, en sont tirés, pour l’avenir. Tout ceci implique, de prendre en considération, les circonstances, les réalités, les pensées, émotions, comportements, du junior. Ainsi, que les conséquences liées. Le préceptorat de vie aide, le jeune, à prendre conscience, des atouts, qu’il recèle, en lui-même. Il est alors, fait appel, aux capacités, d’imagination, de créativité, d’inventivité, du junior.

 

À ses aptitudes, à progresser, innover, muter. À sa force mentale, sa foi, en lui-même, son rayonnement, intérieur et externe, propre. Il lui est démontré, tous moyens, à mettre en œuvre, pour développer, ses ressources endogènes et, même, en susciter, de nouvelles. Par la mobilisation, pleine et entière, de toutes ses forces et, ses capacités physiques, psychomentales, morales, individuelles. Il lui permet, ensuite, d’en user, au mieux, en tirer, le profit maximal, en lui apprenant, comment, les appliquer, en sa vie quotidienne juvénile. Veillant, à ce que ce soit, effectivement, bien réalisé.

 

Le jeune usera alors, de façon, optimale, du temps disponible et, de l’espace impartis. Des circonstances, réalités, événements, propres, à servir, au mieux, ses desseins. Il saura, aussi, avec clairvoyance, intelligence, doigté, faire opportunément, appel, aux choses et, aux gens, susceptibles, de lui prêter, leur meilleur concours. « À charge, de revanche, de réciprocité », ultérieures. Ce qui a, pour objectif, d’optimiser, les potentiels, aptitudes, compétences, savoirs, savoir-faire ou, faire savoir, que le junior possède. Ainsi, de spectateur, en retrait, ce dernier devient-il, « acteur majeur », de sa propre existence.

 

La guidance andro-éducation / androJeunesse, tend, à donner, au jeune, toutes les directives, nécessaires, pour « débrouiller, au mieux, ses affaires ». Notamment, d’études et / ou, professionnelles. Il s’agit, tout d’abord, de « mettre, sur la table, le problème, en cours, tout entier et, rien, que lui ». Puis, il convient et, avant tout, d’identifier, très exactement, précisément, optimalement, la difficulté. En toutes ses implications, tenants, aboutissants, origine, nature, conséquences. Le junior se doit, ensuite, d’accepter, de voir, la réalité, « en face » et, toute l’étendue, des choses, sans déni, minoration ni, dramatisation. La jeunesse est, de fait, avant tout, un devoir, de réalisme et, de pragmatisme, pour grandir62.

 

Pour pouvoir, être en mesure, d’adopter, une dynamique androJuvénile, de changement, d’action ! Puis, il faudra arrêter, une solution, idoine et acceptable. Pour cela, inventaire sera dressé. De ce qui est de l’ordre, du possible, du souhaitable et, de l’indispensable. Pour chaque type, de solution envisageable, les avantages et, inconvénients, difficultés et, facilités, satisfactions et, insatisfactions attendues, seront méticuleusement, passés en revue. En fonction, de la somme, comparative et pondérée, de ces paramètres, le meilleur choix, en rapport, qualité / coût, sera retenu. D’un commun accord, entre le jeune et, son conseiller.

 

Puis, une stratégie d’action, sera fixée. L’ensemble, de ses modalités et, implications / applications, sera abordé. Des tests et, essais effectués. L’ensemble sera validé. Le tout, sera exécuté rapidement, intégralement et, au mieux, par le junior, en la réalité, de sa vie. L’approche, du suivi androJeunologique, est cognitive, émotionnelle, comportementale et, d’acceptation & engagement. Le cognitivisme consiste, à aider le jeune, à modifier, bénéfiquement, ses modes habituels, inappropriés, de pensée. Comme aussi, émotionnellement, les processus afférents, pour ce qui est, des affects, sentiments.

 

En faisant, la différence, entre toute réalité et, son interprétation personnelle, de cette dernière. Parfois, trop optimiste, mais, généralement, excessivement, pessimiste. Il sera, alors, appris, au junior, à positiver. En sachant, voir les choses, de façon, plus optimiste. Plus constructive. Plus favorable. Il se verra aussi, enseigner, l’art, de l’objectivité, accrue. Cela passe, par la méthode, du réalisme. Du pragmatisme. De la rationalisation, des choses, de la vie. Il s’agira, aussi, de savoir relativiser. S’imposent, une saine distanciation juvénile, des personnes, des choses et, événements, des effets induits, des pensées, émotions et, comportements.

 

Un raisonnement plus serein, abouti et fondé, sans états d’âme. Une décentration, par le jeune, de lui-même, de tout, ce qui le concerne, lui tient, à cœur, sera, également, des plus salutaires. L’approche, du consulting androJeunologique, est aussi, comportementale. Le junior devient, progressivement, en mesure, de changer positivement, ses schémas cognitifs inadéquats, pour qu’ils deviennent productifs. Il peut alors, commencer, à « conformer », ses conduites et attitudes, bien plus favorablement, aussi. Il est capable, d’agir et, mieux. Son suivi le guide, à opérer, les meilleurs choix idoines63.

 

En fonction, des enjeux, défis, obligations, intérêts, occurrences, objectifs fixés. Puis, il est amené, à intervenir, lui-même, de façon appropriée. Ce qui aboutit, à des résultats efficaces, bénéfiques, à la mesure, des conduites, observées et menées. Les progrès, du jeune, passent aussi, par une meilleure maîtrise, de la parole. Avant, de parler, il convient, de fort bien réfléchir, pour ne pas avoir, ensuite, à regretter, de trop « imprudentes paroles », proférées, à la hâte, impulsivement. Lorsqu’il est déjà, trop tard. En vertu, de cet excellent adage, qui conseille, très judicieusement, de « tourner, sept fois, sa langue, en sa bouche, avant, de parler ».

 

Quand, le junior est certain, que ce qu’il a, à dire ou, à écrire, est bien fondé, approprié, alors, seulement, peut-il s’exprimer, « sans peur ni, reproche ». En verbalisation, style oral ou, écrit, de la meilleure facture possible. Pour s’assurer, des effets, les plus productifs, en fonction, des interlocuteurs, des situations et, des enjeux, en cause. Puis, il ne faut jamais, oublier, que les comportements impliquent, non seulement, des actes, mais, aussi, des abstentions. Au cas par cas, selon, ce qui convient, le mieux, le jeune optera, pour l’action délibérée ou, la volontaire « omission »64.

 

Tout bien pesé, quel, que soit, son choix, il en assumera, pleinement, la responsabilité, tous les effets, conséquences, induits. Qu’ils soient, pour lui, heureux, neutres ou, néfastes. Alors, le junior veillera, à en mesurer, les résultats, impacts, pour lui-même et, autrui. Afin, d’en tirer, tous les enseignements, conclusions, attitudes, qui conviendraient, le mieux, pour faire face, aux situations, afférentes et subséquentes. L’approche, du mentoring androJeunologique est, aussi, reliée, à la notion, d’acceptation et, d’engagement. Quand, le jeune, ne « supporte » pas, son sort, mais, qu’il lui est, encore plus, difficile, de lutter, contre, ses états d’âme, fort négatifs.

 

Parce qu’il n’y parvient pas et, s’y épuise, en vain. Il vaut mieux, pour lui, accepter, la réalité conjoncturelle, cognitive, émotionnelle, comportementale et, toutes conséquences structurelles, des choses. Il finira, par « s’en accommoder » et, ce sera, bien plus facile, confortable, pour lui. Il pourra, alors, se libérer l’esprit, donc, résolument, s’engager, autrement et, plus bénéfiquement, pour des choses, plus constructives, pour lui. Il en va, du psychisme, comme, du corps physique. Des souffrances, douleurs somatiques juvéniles, persistantes, résistantes, au traitement, sont mieux supportées.

 

Si le jeune les accepte, s’il refuse, de leur accorder, trop d’attention et, d’importance. S’il s’occupe, l’esprit et le corps, à des activités et, préoccupations, plus captivantes, gratifiantes, plaisantes. La douleur physique, fait bien moins, souffrir, quand, l’on n’y prête plus, attention, qu’autre chose, capte l’esprit. Il en va exactement, de même, pour tout marasme psychomoral. Tout d’abord, le junior est conduit, à mener, un très profond, « remaniement intérieur », de sa personnalité, cognitive, émotionnelle, comportementale. Cela débute, alors, par une prise de conscience, de lui-même, de ce qu’il vit.

 

La pleine compréhension, de ce que cela, implique, pour lui, à tous points de vue, positivement, de façon neutre et, négativement. Il s’agit donc, pour le jeune, de pleinement, intégrer, en son psychisme, la donne, telle, qu’elle est. Non, telle, qu’il voudrait, aimerait ou, préférerait, qu’elle soit. À partir, du moment, où, ces données, non souhaitées ni, appréciées, ne sont pas modifiables. Cela, conduit, à s’accepter, agréer, autrui, sa vie, l’existence, le monde, les réalités et, son état. Ce libre choix juvénile, d’acceptation, se fera, par défaut, faute, de mieux, d’autre meilleur choix, possible, en lucide relativisation.

 

En esprit, de compromis, pragmatique, réaliste. Il peut aussi, s’accomplir, par pure adhésion, du jeune. Pourvu, qu’il se convainque, lui-même, en sagesse, que faute, d’alternative, il vaut mieux, agir, plutôt, que subir. Susciter, accompagner, conduire, le mouvement, très activement, plutôt, que l’endurer, passivement. Alors, l’acceptation, de ce qui blesse, faute, de pouvoir, être annihilé, par le rejet, le sera, peu à peu, finalement, résorbé, par l’acquiescement. Il n’y aura pas, destruction volontariste, mais, métabolisation, assimilation, positives, par le psychisme. Ce qui en neutralisera, les effets nocifs.

 

Le junior sera donc, capable, de dépasser, ce qui le heurte, dominera, ses difficultés, par un véritable, « lâcher-prise », salvateur. Alors, le junior devient pleinement, disponible, pour s’engager, en d’autres voies, bien plus prometteuses, pour lui, que l’obsession, de ses préoccupations inquiètes. Libéré, d’elles, il peut mieux, se consacrer, à des centres d’intérêt, passionnants, enrichissants, vocationnels, pour lui. Cela, est rendu possible, par une réorientation, de ses schémas juvéniles, mentaux, émotionnels et, comportementaux. En se décentrant, de ses propres maux, pour se concentrer, sur des desseins constructifs65.

 

Alors, son accomplissement personnel, est rendu opérant, s’avère, fort fécond. En agissant, favorablement, sur ses cognitions, émotions, comportements et, acceptations / engagements, le jeune est plus serein, plus productif, libre. Le champ androJeunologique d’indications, le plus courant, a, notamment, trait, à l’épanouissement, à l’assurance et, la motivation juvéniles. Pour mieux, s’épanouir, le junior a besoin, d’apprendre, à dominer, son mauvais stress, excessif et perturbateur. Il lui sera appris, à faire face, aux tensions, pressions, à ne pas les accepter ni, subir, ce qui permettra, d’en limiter, tous les pouvoirs, effets, délétères.

 

Il saura alors, mieux développer, en lui, calme, paix, sérénité, intérieurs. Il sera conduit, à lutter, contre son anxiété naturelle et / ou, suscitée, par lui-même, ses pensées, ses émotions, attitudes, les autres, les événements, leurs conséquences. L’épanouissement juvénile passe, aussi, par la plénitude, de soi. Cela, implique, une véritable, égalité d’âme, c’est-à-dire, une humeur, régulée et détachée, indépendante, des aléas, de la vie. Qu’ils soient, négatifs, neutres ou, positifs. Cela, est difficile, notamment, à la jeunesse, mais, toujours, loisible, accessible, comme, des plus profitables.

 

Car, ce qui doit compter, ce ne sont pas, les faits, eux-mêmes, quels, qu’ils soient, mais, leur interprétation sereine, par le jeune. Un mental intérieur fort, l’emporte donc, sur les occurrences extérieures. Ensuite, la pleine maîtrise, de ses peurs, désirs, permet, d’assurer, une régulation psychique, endogène. Laquelle, sera alors, le seul, gage possible, de « félicité ». Par surcroît, de tranquillité d’esprit, limitation, des frustrations, déceptions, rancœurs, afférentes. La notion, de bonheur, est relative, variable, complexe. Cela, dépend, de chaque junior, de ses réalités, besoins, attentes et, conceptions, de la vie.

 

Or, la joie de vivre est, toujours, en soi-même. Le bonheur ne dépend pas, des réalités extérieures, mais, d’un état d’esprit interne. Est heureux, le junior, qui le veut, a farouchement, décidé, de l’être. Le bonheur est réalisable, même, sans espoir et, l’espérance, accessible, en dépit, d’absence, d’allégresse. Ce qui est encourageant, rassurant. L’épanouissement implique, également, l’idée, de progrès. La jeunesse accomplie, est une progression continue, vers l’amélioration, de soi, de ses qualités et, de sa vie. Il s’agit, d’ « aller mieux », ce qui signifie, être, généralement, moralement, plus enjoué, que morose66.

 

De « devenir meilleur », c’est-à-dire, d’avoir, une densité juvénile, éthique, plus importante, ce, au fur et, à mesure, de l’avancée, en sa vie67. Puis, d’obtenir, chaque jour, chaque semaine, chaque mois, chaque année, des résultats existentiels, plus probants, pour se dépasser, soi-même. Les seuls combats, qui vaillent, ne sont, que ceux, que le jeune livre, victorieusement, pour lui-même, également, autrui. Contre, ses travers, pour se bonifier. Or, jamais, contre, les autres. L’assurance concerne l’estime, la confiance, l’affirmation, de soi.

 

L’estime, de soi, est l’amour, de soi-même, le fait, de s’apprécier, comme, l’on est, pour, ce que l’on est, ni plus ni, moins. En humilité, sans arrogance ni, honte, de soi. Non, tel, que le junior, préférerait être, en regrets néfastes. L’estime, de soi, est, aussi, acceptation, de soi-même. Qui se rejette, ne se supporte pas ou, ne s’admet pas, est voué, au mal-être et, à une sorte, de « schizophrénie ». Comment, de fait, vivre, toute une vie, avec une personne, que l’on ne tolère pas : soi-même ? Cela, est invivable. L’estime, de soi, est le sens objectif, assumé, de sa propre valeur. Elle est le rapport entretenu, avec sa propre image. Selon, la représentation, que le jeune, se donne, de lui.

 

S’il se considère, comme, « valable », digne, de considération, d’adhésion, à sa personne, il pourra être heureux, bien vivre. À défaut, il ne pourra, s’épanouir. De même, que le junior ne peut aimer autrui, sans l’admirer, en être fier, l’on ne peut, s’aimer, si l’on a honte, de soi, une mauvaise image, de soi-même. La confiance, en soi, est une foi indéfectible, inconditionnelle, en sa personne, ses capacités, compétences. Elle est une espérance, un crédit, accord, pour soi, autrui, les choses importantes, qui caractérisent, l’existence juvénile. Elle est une adhésion sereine, à cette dernière.

 

Un attachement, paisible et inconditionnel, en son propre destin, sa propre vie. L’affirmation, de soi, du jeune, est le fait, de tenir son rang, sa place, toute sa place et, rien, que sa place, parmi, le concert, des hommes. Cela, implique, de défendre, faire valoir, d’imposer, ses droits, ses intérêts, légitimes. Sa personne, en toutes ses dimensions, faibles, moyennes ou, fortes et, tous ses actes. Ses valeurs, croyances, idéaux, préférences et, choix. L’assurance permet, d’exister, en tant, que soi, unique et, acceptable, en plein respect, de soi, des autres. Sans agressivité, manipulation, inhibition. En assertivité juvénile. Sans culpabilité.

 

La motivation est un moteur, d’action juvénile, très puissant et, nécessaire. Elle est rendue possible, par la croyance positive, la confiance, comme, la volonté. Elle permet, l’action et, les résultats, afférents et subséquents. Se motiver, commence, par la fixation, d’objectifs. Ceux-ci seront, appropriés et, déterminés, précis et, potentiellement, bénéfiques. Ils seront évaluables, mesurables et, sûrs. Ils seront fort délimités, dans le temps, avec la fixation, d’une échéance impérative, indépassable. La motivation, du jeune exige, qu’il ait foi, en la faisabilité, de l’objectif imparti et, en soi.

 

Il s’agit, donc, d’être convaincu, de la valeur, de l’intérêt, du but affiché. De croire, en ses capacités, à le réaliser. Qu’il s’en donne alors, tous les moyens, d’atteinte. Cela impose, ténacité et efforts, sans relâche, jusqu’à parvenir, au but, même, au-delà. Il s’agit, de se battre, jusqu’au bout, avec plein acharnement et, persévérance. Tenir bon et, fermement, jusqu’à la réussite effective. De poursuivre, la lutte, après lors, pour ne pas perdre, les fruits, du succès, par relâchement. Pour en obtenir, bien d’autres. La méthode, du suivi androJeunologique, est un « déconditionnement, du pire, pour la recomposition, du meilleur ». Une autonomisation, du junior.

 

Une libération. Le jeune est aidé, à se déconditionner, de son état, d’humain, en transition, pour aller, vers la pleine maturité, adulte. Physique. Émotionnelle. Intellectuelle. S’opère, aussi, un déconditionnement, des états d’âme, trop négatifs. De la peur, à la sérénité. Des regrets, à la satisfaction. Des doutes, aux certitudes. Aussi, un déconditionnement, des états, d’habitudes néfastes. De la procrastination, à la réactivité immédiate. Du laisser-aller, à la maîtrise, de soi. De la passivité, à la proactivité. Le junior est amené, à devenir, plus autonome, des adultes.

 

De façon, résidentielle, matérielle / financière. Psychique / affective. Académique / professionnelle. Plus autonome, des inculcations, qu’il a reçues. Par la maturité. La responsabilité. L’audace. Autonome, de tous ses pairs juvéniles. Cela, est rendu, fort possible, par l’anticonformisme. L’indépendance d’esprit. L’individualisme positif, d’affirmation, de soi. Le jeune est conduit, à se libérer. De son appartenance culturelle, sociétale, d’origine, par défaut et, imposée. Pour passer, de l’ « héritage-reproduction, d’office, au libre choix, à l’expérimentation-inventivité » personnelle, d’adhésion. Cela, implique, une réelle ouverture, sur autrui, « le vaste monde »68.

 

Une adaptation, au temps, à l’espace, aux autres, aux événements, aux choses. L’acceptation, du changement, sous toutes ses formes, partout, toujours, car la vie humaine est, avant tout, perpétuel mouvement. Le junior est, aussi, convié, à se libérer, de lui-même. D’un point de vue, comportemental, pour toujours, plus et, mieux agir. Moral, pour se transcender, dépasser, de l’intérieur. Factuel et, conséquentiel, pour mieux, tirer profit, des réalités vécues, comme, des occasions, à saisir. Mieux mesurer, les effets, de ses actes ou, ses abstentions, obtenir, des résultats, plus performants.

 

Puis, le jeune saura, se libérer, du système sociétal, préétabli, qu’il subit, à son corps défendant. Car, il est le fait, des adultes, non, de la jeunesse, qui ne l’a pas choisi ni, élaboré. Pour façonner, un « monde nouveau et, meilleur », le junior commencera, par contester, pacifiquement, ce qui est installé et, ne lui convient pas. Il fera, des propositions constructives, de progrès. Il contribuera, par son action bénéfique, résolue, à faire évoluer, ce qui concerne, sa vie quotidienne. Localement, puis, à l’échelle, de tout son pays, puis, de son continent, ensuite, de la planète, même. Les grandes choses, ont été petites, puis, moyennes !

 

De même, que « le simple battement, des ailes, d’un seul papillon, en un point, d’un continent, unique, aurait, aussi, potentiellement, des retentissements, en un autre. Voire, pour les quatre autres continents, réunis et, l’ensemble, de ce globe » ! Le support, du suivi androJeunologique, concerne, l’identité, la conscience et, les croyances / valeurs, du jeune. Il tend, à ce que chacun, soit en pleine mesure, de développer, les siennes propres, par conviction, libres choix, volontaristes. L’identité individuelle est la « relation, à soi-même ». Elle est physique. Psychique. Morale. L’identité sociale est le « lien, aux autres ».

 

Dans le contexte, de l’affectivité, familiale, amicale, amoureuse ou, sexuelle. Dans le travail, d’études et / ou, professionnel. Dans les loisirs ou, la culture et, la sociabilité générale. L’identité collective est tout sentiment, d’appartenance, à un groupe humain. Cela, concerne, la famille, du junior, verticale héritée, puis, aussi, horizontale, car, fondée, par lui-même. Les pairs juvéniles. La société nationale, au-delà, humaine. La conscience, du jeune, est la conscience, de soi. Cela, concerne, la mémoire, liée, aux souvenirs, stockés, par le cerveau, depuis, la conception69. Laquelle, ne cesse, de s’enrichir, la vie, durant.

 

Les sentiments éprouvés, pour soi-même ou, autrui et, par les autres, sur soi. Les opinions émises, par le junior, sur les autres, celles, de ces derniers, à son égard. La conscience, du monde, rassemble, l’attention, portée, à soi-même, autrui, l’univers et, celle, qui est accordée, au jeune. L’expérience, qu’accumule, ce jeune, celle, des autres, dont, il bénéficie, aussi. La pleine compréhension, de lui-même, des autres, de ce qui l’entoure, celle, qui est faite, par l’extérieur, à l’égard, de ce junior. La conscience morale regroupe, les normes inculquées ou, choisies, par le jeune. L’éthique, qui est la sienne.

 

Le jugement, qu’il porte, sur lui-même, sur l’extérieur : gens, choses, circonstances et, celui, que les autres, ont de lui. Qui forgent, aussi, sa personnalité, ses perceptions. Les croyances, valeurs juvéniles ont trait, à ses adhésions personnelles. Il s’agit, de tout ce qui fait, son bonheur. Ses réussites, progrès. Sa prospérité, matérielle et morale. Sont concernées aussi, ses valeurs. Elles sont morales, comme, éthiques. Idéologiques et, spirituelles. Le psychologue social israélien, S. Schwartz, a défini, une dizaine, de valeurs humaines, fondamentales et, universelles. Pratiquées, depuis, la naissance, de l’humanité ou, presque70.

 

Elles sont particulièrement, prisées, pratiquées, par la jeunesse. Famille, courage, amitié, stimulation, réussite, hédonisme, conformité, sécurité, autonomie et, universalisme. Puis, les croyances, valeurs, incluent, les idéaux. Pragmatisme / réalisme. Libertarisme / indépendance. Hédonisme / plaisirs. De façon, générale, le premier objectif, du consulting androJeunologique, est d’aider, tout junior, à devenir, adulte accompli. Cela, implique, l’apprentissage, sans relâche, de nouvelles compétences, nouveaux rôles. De la détermination, de la souplesse, l’acceptation sereine, de l’incertitude et, de l’insécurité. Des engagements et, projections, d’avenir.

 

Des obligations, des interdits, de nouvelles possibilités. Des liens altruistes, une sociabilité accrue. Des devoirs et, des droits. Des expérimentations et, réalisations inédites. Apprendre, à « décoder, les lois, de la vie ». Un nouveau rapport, comme, une nouvelle compréhension, de normes éthiques clés. Comme, le bien ou, le mal, le juste et, l’injuste, le bon ou, le mauvais… En AndroJeunologie®, le jeune apprend, le contrôle, de soi, de ses sentiments. La stabilisation et, la consolidation, de sa personnalité. L’autonomie, la liberté, par l’aptitude, à s’autogérer, au mieux et, au plus tôt.

 

La rigueur, par sa capacité, à affronter, l’existence. La responsabilité, par le fait, d’assumer, le devoir, la loyauté. Une organisation, une souplesse, qui permettent, de prévoir, de gérer, de différer. Une résistance juvénile face, aux embûches, de la vie. Un savoir-faire, par ouverture, tolérance et, lucidité. Un fort pragmatisme, par réalisme et, prospective. Des choix et, options, appropriés et pertinents, pour agir, résolument, par adhésion ou, renoncer, par calcul judicieux. La capacité, à fort bien différencier, ce qui est important, prioritaire ou, urgent.

 

En se fixant, des impératifs spatio-temporels, gradués et, progressifs, idoines, par ordre d’intérêt, décroissant. L’AndroJeunoConseil® promeut, des principes intangibles, vitaux, de réalisation, de soi, maximale, du junior. La totale passion, en ses actes, la conviction, de soi, la stratégie, d’action, les valeurs, d’adhésion, le dynamisme, de fond, les liens, à autrui, la communication interactive71. À partir, de quinze ans72, dans la décennie, qui suit, le jeune développe, peu à peu, le stade mental, d’intelligence, hypothético-déductif. Celui, de la pensée formelle. Tel, que spécifiquement, défini, par le psychologue suisse, J. Piaget (1896-1980).

 

Cette toute nouvelle génération, se caractérise, avant tout, par le fait, qu’elle est, encore, à titre principal, en apprentissage, scolaire, professionnel, de vie. Également, en pleine fin, de période préparatoire, « probatoire », par rapport, à ce qu’était, son enfance. Se distinguent, chez les juniors, les néoadolescents ou, « adonaissants »73, de douze, à quinze ans, collégiens. Les adolescents ou, « adojuniors », de seize – dix-huit, lycéens. Les adulescents ou, « jeunes », de dix-neuf – vingt-quatre ans, étudiants ou, débutant, dans la vie professionnelle, dite, « active ». L’AndroJeunologie® assimile, toute la psychologie clinique, cognitive, sociale, développementale, différentielle, des jeunes.

 

Leur sociologie propre. Entre treize et, vingt-quatre ans, il y a, « douze âges, de la vie », comme, autant, de mois, en l’année, entre janvier et, décembre. Également, quatre grandes saisons, successives, de temps. Boréales, pour la moitié terrestre, septentrionale, australes, pour la seconde partie, méridionale. Comme, A. Vivaldi, (Compositeur, États italiens, 1678-1741), l’a si magistralement, interprété, en sa célèbre œuvre musicale, éponyme. En quatre concertos, pour violon, un, par saison. De sorte que, chaque thème musical, évoque, illico, la saison, liée.

(Les Quatre Saisons, concertos, pour violon, Opus 8, 1-4, Pays-Bas, 1725).

 

Le printemps, l’été, l’automne, l’hiver. Ainsi, comme, dans notre nature terrestre, treize ans correspondraient, à janvier. Quatorze, à février. Quinze, à mars. Seize, à avril. Dix-sept, à mai. Dix-huit, à juin. Dix-neuf, à juillet. Vingt, à août. Vingt-et-un, à septembre. Vingt-deux, à octobre. Vingt-trois, à novembre. Vingt-quatre, à décembre. Treize, à quinze ans, seraient le printemps, de l’adolescence. Ensuite, seize, à dix-huit ans, l’été. Dix-neuf, à vingt-et-un ans, marqueraient l’automne, de la jeunesse. Puis, vingt-deux, à vingt-quatre ans, l’hiver74. Pour l’hémisphère terrestre Nord, le solstice d’été intervient, chaque année, fin juin, celui, d’hiver, fin décembre.

 

La position, du soleil, par rapport, à notre terre, est alors, à son extrême, septentrional, comme, aussi, méridional. L’équinoxe, de printemps, se situe, au Nord, fin mars, celui, d’automne, fin septembre. Le soleil est au zénith, sur l’équateur terrestre, Nord et Sud. Tout est inversé, pour l’hémisphère Sud, par rapport, à l’hémisphère Nord et, réciproquement. Il y a, correspondance, entre les mois opposés et, séparés, par six mois, comme, en la partie Nord, entre juin, en été et, décembre, en hiver. Mars, au printemps, septembre, à l’automne… De façon, fort naturelle.

 

De même, pour les âges, de la jeunesse. Ainsi, treize ans / janvier, auraient leur contrepoint opposé, avec dix-neuf / juillet. Quatorze ans / février, avec vingt / août. Quinze ans / mars, avec vingt-et-un / septembre. Seize ans / avril, avec vingt-deux / octobre. Dix-sept ans / mai, avec vingt-trois / novembre. Dix-huit ans / juin, avec vingt-quatre / décembre. De même, il y aurait, concordance, avec les « saisons d’âges », opposées. Ainsi, l’équinoxe, de printemps, des treize – quinze ans, avec celui, d’automne, des dix-neuf – vingt-et-un ans.

 

Le solstice d’été, des seize – dix-huit ans, avec celui, d’hiver, des vingt-deux – vingt-quatre ans. Les treize – vingt-quatre ans pourraient, également, se répartir, entre six groupes d’âges. Lesquels, pourraient correspondre, à nos six grandes périodes chronologiques, de l’évolution humaine. Ainsi, les treize-quatorze ans, seraient la Préhistoire, de notre jeunesse. Les quinze-seize ans, la Protohistoire. Les dix-sept – dix-huit ans, l’Antiquité. Les dix-neuf – vingt ans, le Moyen Âge. Les vingt-et-un – vingt-deux ans, l’Ère moderne. Les vingt-trois – vingt-quatre ans, notre actuelle Époque contemporaine.

 

La Préhistoire débute, cinq millions d’années, avant, notre ère, avec les premiers hominidés. Elle s’achève, trois mille cinq cents ans avant, avec l’invention, de l’écriture. La Protohistoire est, en Europe, l’époque, du Néolithique et, de l’Âge des métaux. L’Antiquité européenne débute, avec la civilisation minoenne, deux mille sept cents ans, avant, notre ère. Elle s’achève, à la fin, de l’empire romain d’Occident, en 476. Le Moyen Âge européen, féodal et chrétien, dure, du cinquième, au quinzième siècle. L’époque moderne débute, avec la Renaissance, au début, du seizième siècle, finit, avec la Première République française (1792-1804), l’Europe, du Congrès de Vienne, en 1815, voire, la fin, du Premier Conflit mondial (1914-1918).

 

L’ère contemporaine concerne, le dix-neuvième siècle, surtout, les vingtième et, vingt-et-unième. Cette typologie juvénile n’est, qu’images, métaphores, analogies, purement symboliques. Treize-quatorze ans est l’âge, de l’autonomie scolaire. Quinze-seize ans, celui, de l’amitié, des pairs, des loisirs. Dix-sept – dix-huit, celui, de la sexualité et, l’amour. Dix-neuf – vingt ans, celui, de la formation générale et, professionnelle. Vingt-et-un – vingt-deux ans, celui, de l’émancipation familiale et, de l’autonomie résidentielle. Vingt-trois – vingt-quatre ans, celui, de la vie active, des débuts, de la stabilisation affective75.

 

En 1947, paraît, l’ouvrage, Paris et le désert français, du géographe, J.-F. Gravier. (France, 1915-2005)76. Il y dénonce, la « macrocéphalie », de la capitale, en regard, de l’anémie provinciale. Par analogie, nous fustigeons, tout autant, La société adulte et, le désert juvénile français. Nous avons démontré, à quel point, en France, la nation délaisse, maltraite, méprise trop, la jeunesse, le jeune, livrés, réduits, à un désolant, « sort second ». En conséquence, en ce pays, la recherche, en sciences de la Jeunesse, est à inventer.

 

Les centres, d’études, spécialisés, les enseignements liés, les colloques, ouvrages, organes, professionnels, de la relation d’aide et, de santé, manquent. Les publications, politiques publiques spécifiques, sur, pour, les quinze – vingt-quatre ans, sont rares, limitées, quasi « indigentes ». Nous sommes en retard, malgré, certaines avancées, telles, les « maisons des Adolescents », mais, certaines zones en sont encore, dépourvues. Or, la cruelle position, des jeunes, de France, devient, plus qu’alarmante. Comme, le soulignait, déjà, il y a, plus de dix ans, le rapport 2007, de la défenseure des Enfants, Adolescents en souffrance77.

 

Cela, alerte, sur des décennies, de coupable négligence ! Depuis, les années 1970, F. Dolto, (Pédiatre, psychanalyste, France, 1908-1988)78 et, d’autres, les savoirs, appuis, actions sur, pour, l’enfance, les enfants, leur défense, ont progressé. De façon, phénoménale, ultrapositive. Il n’en a rien été ou, presque, pour les jeunes. Est-ce, du fait, depuis, 1968, de leur « agitation », des années 1970 et, manifestations oppositionnelles quadriennales, de masse, de 1986, à 2018 ? Car ils sont, une « menace potentielle séditieuse », pour la société, le pouvoir établi, ce qui n’est pas le cas, des enfants ?

 

Est-ce, car, le junior est tenu, pour « quantité négligeable », jugé, « non prioritaire, rentable », notamment, car non ou, peu électeur ? Nous pouvons, nous interroger. Il déplaît et, dérange fort ! Entre « sphère psy », coaching, orientation et, soutien scolaires ou, professionnels, il n’y a, « quasi-rien », en France, pour les quinze – vingt-quatre ans, notamment, masculins. Ceux, ne « relevant » ni, de l’une ni, des autres. Tous les jeunes, en « besoins supportifs », ne sont pas concernés, par le soin, la guérison thérapeutiques, de souffrances ou, de psychopathologies. Ni, par des écueils, liés, à leurs études ou, leur métier. L’AndroJeunoConseil® a été conçu, pour être beaucoup moins limitatif, bien plus « vaste ».

 

Accompagnement global, de vie, transversal, pluridisciplinaire, ultraspécialisé. Pour les seuls, quinze – vingt-quatre ans masculins. Les conduire, à l’adultisme, avec, tous les particularismes, registres, questionnements, en cause, telle est, l’entreprise, androJeunologique. Celle-ci accepte, assiste, le junior, de façon inconditionnelle, en son tout. Corps biophysique, esprit psycho-intellectuel, âme spirituelle / morale, cœur sociorelationnel. Le « centre, de cible », est donc, les jeunes garçons, de quinze – dix-neuf ans et, jeunes hommes, de vingt – vingt-quatre.

 

Au même titre, qu’un avocat, qui éclaire, défend, le conseil androJeunologique, est préceptorat holistique, existentiel. Vrai tutorat, « éclairage, en conscience », des préadultes. L’Occident septentrional, européen et américain, est en avance, en l’espèce. Le teen life coaching ou, conseil de vie, des ados, est une très heureuse création, nord-américaine. L’AndroJeunologie®, néoconsulting, de pointe, est aussi, « science de la jeunesse ». Étude, réflexion, propositions, progrès, en anthropologie néogénérationnelle. États, besoins, attentes juvéniles. Cela, implique, aussi, corrélativement, une « parentologie ». Les ascendants, eux-mêmes, aspirent, souvent, à un soutien personnel.

 

Ils ne peuvent, être délaissés, ignorés, mais, sont associés, comme, tels, en toute interactivité. L’AndroJeunoConseil® est de quadruple nature : psychosociologique, éducationnelle, anthropo-philosophique et, culturaliste. Il s’agit, de bien mieux « saisir », l’éthologie : mœurs, mentalités, comportements et, les aléas sociétaux. La psychopédagogie didactique, les meilleurs modes transmissifs. L’appréhension, des spécificités humaines, morales androJuvéniles. La dimension culturelle nationale, de la jeunesse française, comparativement, à d’autres. Notamment, de la même sphère anthropologique, occidentale.

 

Consolider, les qualités afférentes, rectifier, les travers subséquents. La faire bénéficier, des mêmes atouts percutants, d’autres jeunesses, sociétés : transculturation. Les caractéristiques, vécus, opinions, préférences, impératifs et, souhaits, volonté, de chaque junior, sont soigneusement, évalués, pris en compte, appliqués. À la mesure, de la pleine recevabilité, du réalisme, du nécessaire, souhaitable, possible. Du bénéfice optimal, de l’intérêt, de chacun. Pour qu’il soit reconnu, être, à part entière et, non, à part. En bloc, le plus holistique, « avec, son aura, d’ombre, comme, de rayonnante lumière »79 !

 

L’approche androJeunologique propose, de lever, les blocages, d’optimiser, les potentiels, de favoriser, l’épanouissement, des jeunes hommes. Elle tend, à en renforcer, tous les ferments, d’adultisme, puisque, tel est, le but capital, ultime, de tout junior, « digne, de ce nom ». Maturité, autonomie, responsabilité. L’AndroJeunologie® est un réel accompagnement, en développement personnel androJuvénile. Un préceptorat en réalisation de soi, androjuniors. Une androGuidance, éducation-jeunesse. Le jeune est mené, à exprimer, ses potentialités, prendre conscience, en lui, par lui-même, de ses ressources, dons, génie, créativité et, inventivité.

 

Il est conduit et, soutenu, entraîné, édifié. En sciences (andro)Jeunologiques, le protocole d’approche afférent, contribuera, à une meilleure connaissance, des savoirs liés. Ceux, ayant trait, à la génération, des treize – vingt- quatre ans. La méthodologie est cognitivo-émotivo-comportementale, humaniste, positive. Le junior apprend, à faire le comparatif, entre ses cognitions, émotions, d’interprétation subjective. Souvent, erronées, négatives, pessimistes, défaitistes. Puis, la réalité, plus crédible, positive, objective, encourageante. Il développe, un mental fort et, un état d’esprit serein.

 

Des pensées, émotions, apaisées, constructives, propices, plus coopératives. Bien loin, des réflexes, tentations « renfrognés, maussades, déprimés ». Cela, lui permettra, d’agir, d’adopter, des comportements et, attitudes, de façon, mieux adaptée, balancée, réussie et, adéquate80. L’humanisme consistera, à figurer, le jeune, lui-même, au centre, de l’essentiel. En tant, qu’être, de pleine valeur, dignité, identiques, à celles, des adultes, ce qui est inusité, en France. Pays, qui n’admet, que les acquis, l’ancienneté et, l’éprouvé. Croire, en tout junior, quel, qu’il soit, tel est, le fondement même, de l’AndroJeunoConseil®, ce qui est, pour lui, d’un grand réconfort !

 

De même, qu’un positivisme, une positivité, androJeunologiques, qui aideront, l’ado, à s’amender, évoluer, se dépasser. En lui faisant entrevoir, ce qui est beau, fort, grand, en lui, autrui, la vie, son existence. Pour le tirer, vers le haut, son meilleur, le valoriser. Plutôt, que stigmatiser, ses failles, réelles ou, supposées. Ce qui ne ferait, que l’accabler, « avilir », le décourager, vers le bas. Ce qui est un vrai, « sport national » ! Le mode opératoire androJeunologique, est dynamique : écrit, directif, structuré, interactif. Ce qui s’impose, de façon didactique, pour un jeune public.

 

Tout point abordé est illustré, par le junior, de ses propres exemples, analyses, explicatifs. L’ensemble est « dopé », par des exercices, de simulation, d’aguerrissement. Les différents « éléments, catégories, de vie », sont passés, en revue, leur évolution, anamnèse, disséquées, commentées. Hygiène, discipline, de vie, organisation, du temps, méthode, de travail scolaire, universitaire, sont « revues, corrigées ». L’AndroJeunologie® enseigne, l’équilibre, l’assurance, la motivation, du jeune concerné.

 

Les bons réflexes, de plénitude, sont acquis, en influant, positivement, sur le subconscient, pour l’irriguer, de belles, fortes, saines, pensées. Ce qui ira susciter, des émotions enrichissantes et, non plus, nocives. Cela, a un retentissement, des plus bénéfiques, sur les actes, qui sont ainsi, plus fructueux, logiques, aisés. Pour une meilleure capacité décisionnaire, d’initiative, de mouvement. Ne plus jamais, subir, son quotidien, mais, « dominer, son destin », sans plus attendre. Transcender, sa condition adojuvénile ! Bâtir, une bonne estime, acceptation, de soi, tend, à une solide confiance, en soi, autrui, la vie, bien plus, satisfaisante. Cela, incite, à s’affirmer, plus adéquatement, à l’égard, de soi, comme, en société.

 

S’aimer, « faire la paix, se réconcilier, avec soi » ! Puis, le junior peut se fixer, desseins et projets, croire, en ses capacités et, aux latitudes, de réalisation. Il s’en donne, les moyens, s’y tient, sur la durée. Pour mûrir, être libre, sage, toujours, mieux gérer, stress, anxiété, émotivité excessive. En sa psychologie hypothético-déductive, sa pensée formelle. (J. Piaget, 1896-1980, psychologue, Suisse, 1959)81. Son jugement moral, conventionnel / postconventionnel. (L. Kohlberg, 1927-1987, psychologue, États-Unis, 1981)82. Le jeune peut se libérer, de ses inhibitions, agressivité, manipulations. Il s’affirme, de façon, raisonnable, raisonnée. Assurément, l’AndroJeunoConseil® transmet, à nos cadets, quelques « valeurs indépassables ».

 

Confiance, choix et, décision ou, action, responsabilité, courage, organisation et, optimisme. Effort, audace, sacrifice, succès, changement, persévérance et, espérance… Elle promeut, avant tout, la vertu éducative, sans laquelle, nulle civilisation, ne peut survivre ! « Car, en l’homme, jamais, l’espérance, n’est vaine » ! (V. Hugo, écrivain français, 1802-1885). L’AndroJeunologie® requiert, à l’égard, des juniors suivis, de pleines aptitudes, intellectuelles et techniques, morales, spirituelles, affectives, humaines. Pour adhérer et, au plus près, au jeune83.

(Y. Remy, Dr, conseil androJeunologue® français contemporain, publication médicale, Santé Intégrative, « Dossier Adolescence », numéro 21, France, mai-juin 2011).

 

Il s’agit, d’une « cybernétique », hautement spécialisée, pour les garçons, de quinze – vingt-quatre ans, qui adapte, régule, optimise, l’action, du junior. Celle, en sa faveur, en fonction, des paramètres d’information, communiqués, régulièrement, par le junior, son conseil. Comme, les extraits, des témoignages, qui suivront, le démontrent. Concernant, notamment, les jeunes, qui manquent, d’estime, de confiance, d’affirmation, d’eux-mêmes, de force mentale. La voie, du « salut », en AndroJeunoConseil®, consiste, à les aider, à quitter, définitivement, le registre, de l’aversion, l’attachement, l’indifférence.

 

Pour celui, de l’acceptation, du détachement, lâcher-prise. C’est, en l’unité, l’union, « du corps, de l’esprit, de l’âme, du cœur », que chaque junior, se retrouve. Parvenir, à se départir, de lui-même, pour « aller, plus vite », surmonter, toutes ses frustrations, vaincre, atteindre, ses pleins objectifs. Cela, lui apprend, l’assurance, de soi, l’optimisme, la solidité mentale, l’action immédiate. La loi, de réciprocité humaine, l’équilibre, labeur-détente, la culture, de l’enthousiasme. Le jeune élabore, sa propre « philosophie morale », originale.

 

Il peut bien mieux lutter, contre, son aboulie, l’inaction. Sa déprime, le défaitisme. Son anomie, l’asocialité. Le contexte défavorable, nihiliste, anti-jeune, de notre société, le dessert. La nette conscience, des responsabilités, qui lui incombent, lui fait, cruellement, défaut. Avec empathie-compréhension, compassion-partage, congruence-adéquation, comme, authenticité-harmonie. Résolution, réactivité, rayonnement, l’emportent, en audace, sur les défaillances, déficiences, défectuosités. Un jeune « éclairé » est convaincu, en ses certitudes, convictions personnelles fortes, les plus ancrées, car, les plus nobles. Tout en restant attentif, ouvert, aux meilleures approches, des autres, en large ouverture d’esprit.

 

Acceptant, par conséquent, de se laisser guider, à bon escient, à corriger, améliorer, ce qui peut l’être, en son net intérêt, premier. En amendements réactifs, en profondeur. Il existe, tout à la fois, une jeunesse, avec des réalités, pratiques, unifiées, homogènes, mais, aussi, des individualités juvéniles, uniques, spécifiques. L’AndroJeunologie® fait donc, grand cas, des âges, sexes, identités, personnalités, caractères, parcours, éducations, scolarités, socialisations84. Cultures, ethnies, géographies, économie et, appétences, maturités ou, capacités…, de chaque junior suivi. L’échelle, des stades, de maturation morale, juvénile, de L. Kohlberg, est donc, utilement, intégrée, par l’AndroJeunoConseil®.


 

 


Mozart a composé, son Concerto pour clarinette et orchestre, flûtes, bassons, cordes, cors, en 1791. (W. A. Mozart, compositeur autrichien, 1756-1791, Concerto, pour clarinette, en la majeur, K 622, Saint-Empire, 1791)85. Il comporte, trois mouvements : allegro, adagio et, rondo. Cette œuvre superbe, si emplie, de lyrismes et, nostalgies, symbolise bien, les trois temps, de la jeunesse. Rapide, puis, lent et, en final, de nouveau, accéléré86. Les débuts, d’adolescence, emplis, d’attentes, d’espérances, de grandir, enfin, sont une sortie, d’enfance, enlevée, allègre, joyeuse. De façon, fracassante, spectaculaire, frénétique.

 

Puis, le déroulement, désormais, si interminable et, amer, de la jeunesse, avec ses inévitables désirs, déçus, frustrés, différés. Laquelle, se leurre, bien souvent, de dures désillusions, mélancoliques, quasi automnales, sépulcrales, même. Il s’agit, d’une fin d’ère, insouciante. Laquelle, commence, à bien prendre conscience, des enjeux. Qui impose, de nouvelles responsabilités, croissantes. Avec ses hauts et, ses bas, gravités et, légèretés, joies et, peines, succès et, revers. En ses abysses et, firmament. En vérité, une « juvénilité Palladium », capitale, bénéfique, garante, de pérennité humaine, sociétale. Non, une « jeunesse Méphistophélès », incarnation malfaisante, corruptrice, subversive.

 

La venue terminale, en adultisme, se fait, alors, plus enthousiaste et, apaisée ou, optimiste. Dès lors, que surviennent, les premiers aboutissements, gratifiants, fruits prometteurs féconds, des grands, longs, efforts, de l’adolescence-jeunesse. Lesquels, commencent, à « rassurer », pleinement, sur les complètes aptitudes propres, de nouveau « grand ». Conforter, son statut, plus solide, de jeune, à part entière. Faire oublier, les incertitudes, failles et, si sourds effrois, antérieurs. Or, ce triple tempo, accéléré et, ralenti, puis, de nouveau, rapide, peut, tout autant, caractériser, tout suivi et, travail, de mentoring androJeunologique. Un début, d’introduction, court, tonique, avec les premiers apprentissages. Ensuite, un déroulement approfondi, méthodique et, enrichissant, temps d’instruction principal, plus long. Puis, une phase, de conclusion, brève, posant, des jalons, résolutifs et, définitifs87.

 

Aujourd’hui, comme, hier, demain, la néogénération est allègre aurore, pleine, d’espérances. En dépit, des doutes, inquiétudes, incertitudes, propres, à ce temps, de vie, encore, balbutiant. Quand, l’adultisme est, trop souvent, un jour, déçu, empli, de sourdes résignations et, si dures renonciations. Malgré, les forces inépuisables, de cet âge. Puis, la vieillesse, un morne crépuscule amer, tout obscurci, d’aigreurs et, de regrets, pour beaucoup. Nonobstant, la sagesse immense, qui devrait être attachée, à toute vie humaine, finissante.

 

Puis, la « longue nuit », sans fin, de la mort terrestre, mais, la plénitude, des croyants, en une autre existence, désormais, « éternelle ». Le questionnement fondamental, de tout jeune, tient, en quelques préoccupations, fort simples. « Que faire, de ma vie » ? « Serai-je, à la hauteur, des enjeux afférents, capable » ? « Vais-je, m’en sortir, être heureux, réussir, parvenir, à réaliser, ce dont, je rêve » ? « Quels sont mes objectifs existentiels » ?

 

Avec, toujours, le doute et, l’anxiété, de ne pas, y parvenir, « rester, sur le carreau », démériter. D’être seul, en échec, rejeté et, stigmatisé. De ne pas être valable ni, jugé digne, d’être accepté et, intégré, reconnu et, valorisé. Surtout, à une époque, de crise mondiale, multiforme et, d’incertitude. En un pays, la France, peu « amène », avec sa jeunesse. Laquelle, doit, alors, encore plus, se battre, s’imposer, faire ses preuves, qu’ailleurs, pour effet moindre. Raison, pour laquelle, de façon réaliste et, pragmatique, la nouvelle génération, de ce pays, n’a aucune illusion, sur les pauvres réalités humaines, de son temps. Comme, de sa nation. Sachant, depuis longtemps, que : « Le père Noël, est une ordure ». Tout au moins, qu’il peut l’être. Que même, les entités, censées, être bienveillantes, peuvent être, à l’occasion, des plus scélérates. Pour paraphraser, le titre éponyme, d’une célèbre, pièce théâtrale.

(Le père Noël est une ordure, comédie théâtrale, de la troupe, du Splendid, collectif, d’auteurs-acteurs français, contemporains, France, 1979).


 

 


– Vos Autoconditionnement –

Autosuggestion « Porteurs » de Garçon Junior


 

 

Votre AndroJeunologie® vous stimule favorablement, junior masculin, à avancer, vous aide, à vous autosuggestionner, positivement. Pour aller bien et, mieux, devenir meilleur, optimiser, vos potentiels, progresser, plus vite et, plus adéquatement. En conditionnement, constructif et productif. Votre vie, de jeune, est le pur reflet, de vos croyances. Si vous êtes convaincu, d’être en mesure, de réussir, vous réussirez. Si vous êtes assuré, en vous-même, d’échouer, vous échouerez. C’est, ce que l’on appelle, les prévisions et, prédictions autoréalisatrices.


 

 


Le junior est et, obtient, selon, ce, à quoi, il croit. Ce sont, avant tout, ses convictions et, non-croyances, qui forgent, ses réalités humaines, les plus tangibles. Croyances et, imagination sont plus fortes, que la seule, volonté. En cas, de discordance, les premières l’emportent, toujours. La croyance positive permet, la confiance, laquelle, autorise, la volonté dynamique, puis, la motivation. En outre, cela, favorise, l’action adojuvénile, alors, subséquemment, les résultats. Il s’agit, au préalable, de bien orienter, ses pensées, schémas mentaux, émotions, pour pouvoir mieux diriger, la volonté, du jeune88.

 

Donc, en fin, de processus, optimiser, les actes juvéniles, pour les meilleurs effets. Cela, pour aider, le conscient, à influer, positivement, sur l’inconscient et, le subconscient. Cela, est d’autant, plus important, que le subconscient, est l’inconscient, qui agit, sur les comportements et, les actes. La conscience fixe les suggestions, qui induiront, les changements souhaités. En toute subjectivité personnelle. L’autosuggestion est positive, unique, exclusive, absolue. Elle est convaincue, ne souffre, d’aucuns doutes négatifs ni, contradiction, pour être pleinement, efficace.

 

Elle ne porte donc, que sur une idée, un objectif, une volonté ou, encore, des désirs. Il s’agit, pour le junior, d’affirmer, ce qu’il souhaite, en conviction, certitude, non, ce dont, il ne veut pas. Le cerveau ne retient, que les affirmations, les désirs positifs, non, les négatifs. Le subconscient comprend bien, la volonté, d’être en bonne santé, mais, pas, celle, de ne pas être malade. Car, alors, il ne retient, que le terme, de malade / maladie et, de ce fait, cette dernière risque plus, de survenir, que la guérison, la bonne santé, du jeune. En délétère « pli neuronal », des plus altérés.

 

Le tout, sur le mode affirmatif présent, de l’acquis, du junior, comme si, c’était fait : « Je suis, en bonne santé ». Non, pas : « Je veux, j’aimerais, j’espère, être, en bonne santé ». L’autosuggestion instille, en l’inconscient, des images, idées et, formulations, représentations et, visualisations mentales. Qui imprègnent, à leur tour, favorablement, le subconscient, par la pensée et, par l’émotion. Lequel, se charge, alors, de les mettre, en application, des plus concrètes, via, les comportements et, actes juvéniles. Pour effets, bien tangibles, dans la réalité, de la vie, du jeune.

 

L’autosuggestion, très efficace, est répétitive. Par exemple, trois fois, par jour. Le matin, au lever, en milieu, de journée, le soir, au coucher. La séance nocturne, est la plus capitale, puisque, fort proche, du sommeil. Le subconscient la retient, s’en imprègne mieux, en dormant, pour mise, en application, en temps, de veille. La mentalisation suggestive peut aussi, se faire, par support écrit. Force mentale, volonté puissante et, maîtrise, de soi, sont des leviers, très déterminants, pour suggérer, à l’esprit, ce que le junior souhaite et, désire. La suggestion, la plus efficace, inclut, la liste précise, des choses, à changer, comme, à réaliser.

 

De façon positive, convaincue, enthousiaste. L’accent est mis sur la solution et, le progrès juvéniles, jamais, sur le problème ou, la difficulté. Sur l’état, la réalité bénéfiques souhaités, non, la situation actuelle, insatisfaisante. La conviction, la certitude inébranlables, de parvenir, à s’améliorer, se réformer, de l’intérieur et, de fond en comble, seront maintenues, coûte que coûte. Les doutes, atermoiements, découragements, même présents, seront fort ignorés et, éludés, comme, s’ils n’existaient pas. L’essentiel étant, de fortifier, sans cesse, ses résolutions, de progrès, d’être convaincu, de les concrétiser, rapidement, complètement, définitivement.

 

De se convaincre, que les pensées automatiques réflexes, négatives, du jeune, n’ont jamais, le pouvoir, de s’opposer, à l’évolution favorable. Qu’il est bien résolu, d’atteindre. Une structuration de vie exigeante, des journées, bien emplies et, occupées, tonifient, la force mentale positive. En activités dynamiques, régulières et continues. L’action résolue renforce, l’énergie physique, psychique, morale, bien plus, qu’elle ne les épuise. Le junior se persuadant, toujours, qu’il peut, faire plus et, mieux, sans, pour autant, tomber, en l’activisme excessif, le plus « forcené »89.

 

Le désir d’agir et, l’action stimulent, le subconscient, lequel, à son tour, dynamise l’envie, la volonté d’agir, ainsi, que l’activité, elle-même. En cercle vertueux, d’activité, d’allant positif. À l’inverse, si le jeune se décourage, par la conviction, de ne pouvoir agir et, se complaît, en l’inertie, son subconscient en prend acte. Il l’entretient encore, bien plus, en ses marasmes débilitants, en négatifs cercles vicieux, de passivité et, d’apathie. La conviction, viscéralement, ancrée, au plus profond, du junior, que ses pires mauvaises habitudes, peuvent être détruites, oblige, son subconscient, à œuvrer, à les éliminer, à jamais.

 

Mieux encore, à les remplacer, par de bonnes, saines, pratiques habituelles. Car, la nature, ayant horreur, du vide, le jeune ne supprime, véritablement, que ce qu’il remplace. Il s’agit, pour lui, de se focaliser, sur l’inverse bénéfique, des attitudes nocives. De se représenter, tous les avantages et, plaisirs, à retirer, de l’échange favorable, entre ses anciens usages toxiques et, des habitudes bienfaisantes. Il demeurera imperturbable, ne cédera, aucunement, aux si délétères sirènes, des tentations, désagréments, influences extérieurs. Aussi mauvais et, perturbateurs, soient-ils.

 

De même, l’émotivité excessive, du junior, sera combattue, par un affermissement, sans faille. Comme, avec le stress, l’anxiété, les peurs. Le doute, qui défait, paralyse, sera rejeté, par la détermination farouche, l’affirmation, de soi, fort résolue. L’audace est rendue possible, par la conviction, que le jeune est capable, du meilleur, que tout, est possible, qu’il fera, au mieux, obtiendra, donc, l’excellence. « Je peux, je veux, je dois, il faut, car cela, est positivement, possible et, va m’arriver, puisque, je suis promis, au meilleur » !

 

Telle est, la forte suggestion juvénile, qui sauve. En lieu et place, de ce qui est quotidiennement, suggéré, explicitement et implicitement, directement et indirectement, aux jeunes, de France. Par pessimisme national, en un pays, qui n’entretient, que défiances, suspicions, rejets, hostilités. « Je ne peux pas, je ne veux pas, je ne dois pas, il ne faut pas, car le meilleur, est impossible. Il ne va, donc, pas, m’arriver, puisque, je suis voué, au pire » ! La nette certitude, de triompher, même, en les pires épreuves, fait vaincre, au junior, l’adversité. Quand, la conviction, très ancrée, de « capituler, en rase campagne », quand bien même, tout irait, au mieux, le fait s’écrouler. À la moindre « peccadille »90.

 

« Il y a, un temps, pour tout, un temps, pour toute chose, sous les Cieux. Un temps, pour naître et, un temps, pour mourir. Un temps, pour planter et, un temps, pour arracher, ce qui a été planté. Un temps, pour tuer et, un temps, pour guérir. Un temps, pour abattre et, un temps, pour bâtir. Un temps, pour pleurer et, un temps, pour rire. Un temps, pour se lamenter et, un temps, pour danser.

 

Un temps, pour lancer, des pierres et, un temps, pour ramasser, des pierres. Un temps, pour embrasser et, un temps, pour s’éloigner, des embrassements. Un temps, pour chercher et, un temps, pour perdre. Un temps, pour garder et, un temps, pour jeter. Un temps, pour déchirer et, un temps, pour coudre. Un temps, pour se taire et, un temps, pour parler. Un temps, pour aimer et, un temps, pour haïr. Un temps, pour la guerre et, un temps, pour la paix ».

(Ancien Testament, Ecclésiaste, III, La Bible, Moyen-Orient, VIIIe-IIe s. av. J.-C.)91.

 

Quoi, qu’il arrive, en ce qui est fait et, défait, le jeune demeure, en une logique, de foi aveugle, en le meilleur, de l’homme. De son accomplissement, de sa vie, même. Car, rien, ici-bas, n’est immuable. Tout change, du meilleur, au pire, du pire, au meilleur. Seuls, les grands principes supérieurs, constructeurs, comptent, doivent, toujours, influencer, la jeunesse. Pour la hisser, vers le haut. Tout le reste, ne saurait jamais plus, exister, à sa conscience ni, davantage, à son inconscient, comme, subconscient. À chaque junior, de se conformer, à cette « Loi majeure », du dépassement humain. Le seul haut, « métaréférent » adéquat, aux jours heureux, comme, malheureux, est sa conscience individuelle morale, interne.

 

Les vociférations, glapissements, imprécations, médisances, doutes, remises en cause extérieures, d’autrui, ne sont, que nuls et, non avenus. Tout est bien, aujourd’hui, comme, hier et, demain, en « le meilleur, des mondes », des jeunes, possible. Par l’autosuggestion positive, timidité, trac, peurs, d’autrui, sont contenus et, même, vaincus. Une conscience positive, par autosuggestion favorable, génère, un inconscient, un subconscient, productifs et bénéfiques. Ce qui influe, de façon bienfaisante, sur l’organisme et, la bonne santé somatique, de la nouvelle génération. Si la suggestion, est négative, son corps, son esprit, en seront, tout autant, ipso facto, altérés. Un mental fort, maintient, un corps fort et, réciproquement. En cas, de maladie physique, la certitude, de guérir, d’être déjà, rétabli, en pensées, émotions, attitudes, est un puissant ferment juvénile, de guérison complète, effective.

 

Ce qui nuit, le plus, aux jeunes, est la détestable habitude, anti-éducative, des adultes, de ne pas « croire, en leurs cadets ». Ni, en leurs capacités, possibilités illimitées, de progrès. Il leur est, constamment, péremptoirement, affirmé, le pire, non, le meilleur. « Tu es nul, tu n’y arriveras jamais, c’est fichu » ! Au lieu, de : « Tu es capable, tu vas y parvenir, c’est possible, je crois, en toi, et, je vais t’aider, cela, va aller » ! Le très fort, pessimisme éducatif français, anti-jeune, est, ainsi, aux antipodes, de l’optimisme pédagogique nord-américain, nord-européen, germanique.

 

Lequel, croit, en sa jeunesse, l’encourage, à se dépasser. Quand, la nôtre, se décourage, par la sévérité, l’hostilité, si excessives, d’adultes, qui la desservent, bien plus, qu’ils ne l’aident, à progresser. Sachons, « conditionner », tous nos juniors, « au meilleur », pour qu’ils puissent, eux-mêmes, s’autosuggestionner positivement. Au lieu, de les convaincre, du pire, ce qu’ils reprennent, alors, à leur compte, pour leur plus grand malheur. Apprenons-leur, non, l’échec, le tourment ni, la pénurie, mais, la pleine réussite, l’épanouissement et, la prospérité ! Cela, commence, par la persuasion, l’autopersuasion, positives et bénéfiques, de notre jeunesse ! (Jagot, 1923)92.


 

 


Will, vingt ans, est un orphelin, au passé, présent, difficiles. Il est passionné, de mathématiques, son principal mode, d’évasion, d’oubli, de ses blessures. Il est « écorché vif », asocial et, sur la défensive permanente. Il est balayeur, dans une grande université. Il se fait « remarquer », par un enseignant, en résolvant, en secret, des théorèmes, des plus difficiles. Suite, à une bagarre, il échappe, à la prison, à la condition, de travailler, pour le professeur, qui l’aura distingué, de suivre, aussi, une psychothérapie. La confiance s’instaure, avec son psy. Will a peur, de l’abandon. Il a, de fait, été, un junior maltraité. Son thérapeute tente, de le responsabiliser, car, il « saborde », volontairement, son existence, pour ne pas « affronter, les réalités », sortir, de ses ressorts autoprotecteurs.

 

Il fait comprendre, à Will, que s’il est victime, de son passé, il ne saurait, en être le responsable et, l’origine, même. Telle est, la trame, du film, de cinéma, Will Hunting. Le jeune tourmenté s’était persuadé, d’avoir démérité, d’être indigne, déchu, cause, de son propre malheur. Son salut ne viendra, que de son autoconditionnement, autosuggestion, bien plus sereins et, positifs ! (Will Hunting, Good Will Hunting, comédie dramatique américaine, de cinéma, G. van Sant, réalisateur contemporain, États-Unis, 1997)93. L’AndroJeunologie® concerne, tout particulièrement, les jeunes hommes. Ils souffrent, d’un fort déficit dommageable, de structuration adulte masculine. Les métiers, de la jeunesse, s’étant féminisés. Les pères étant « absents ». L’AndroJeunoConseil® y pourvoit.


 

 


– Fruits Séquentiels de Votre Bon Conseil –

Tutoral et d’Inflexion, de Jeune Homme


 

 

Face, à vous, junior, votre AndroJeunologie® conserve, un regard positif, favorable, juste. L’ « opprobre, sans appel », qui frappe, votre néogénération, met l’accent, sur vos travers, réels ou, supposés. Ce parti pris hostile, occulte, les mérites, qualités, avantages, de votre jeunesse. Votre apport, si hautement bénéfique, pour la société, le pays, tout entiers. Votre crédit est bien plus important, que votre débit ! L’équitable réquisitoire, n’alourdit pas la charge ni, ne minore, la décharge.


 

 


Il est reproché, au jeune, des travers. Médiocrité, violence, agressivité, mauvaise humeur, mutisme, déviance, amoralité, inconstance, découragement, paresse, inertie, nonchalance. Incivisme, incivilité, laisser-aller, insolence, repli, nihilisme ou, irrespect, des convenances, négligence, mauvais goût / genre, manque, d’hygiène. Hédonisme, matérialisme, consumérisme, subversion, immaturité, irresponsabilité, grossièreté, impolitesse, égoïsme, cynismes, bêtise. Défaut, de rigueur, de travail, d’organisation, imprévoyance, insouciance, indifférence, déprime. Velléité, manque, d’effort, de persévérance, abus, excès, mensonge, fourberie, intolérance, ignorance.

 

Impatience, arrogance, désordre, versatilité et, extrémisme, idéalisme, utopie, indiscipline, dureté, originalité. Provocation, inculture, addictions, manifestations bruyantes, mode de vie décalé, attentisme, désabusement, désengagement ou, passivité… Ceci, n’est pas, qu’illusion. Or, la responsabilité première, en incombe, aux adultes, éducateurs, si défaillants. Non, aux  juniors victimes, souvent, de non-éducation, sous-éducation, mal éducation, déséducation. Ce qui est perçu, subjectivement, par l’adulte, comme, « vice de forme ou, de fond » rédhibitoire, peut, légitimement, être considéré, par le jeune, comme qualité recevable.

 

Nombre, de « fautes juvéniles » ou, ressenties, comme, telles, par l’adulte, sont imaginaires, grossies, vénielles, voire, réelles vertus. Ainsi, le non-respect, des « canons admis », peut être, créativité majeure ! Quant au reste, tout en éduquant, fermement, sans assommer, l’on ne peut exiger, du junior, ce qui ne relève, que de la seule, maturité, accomplie. Sinon, cela, serait fort injuste, irréaliste, tant, l’adulte, lui-même, y peine94 ! Qu’il n’exige pas, du jeune, plus, que de lui-même !

 

L’AndroJeunoConseil® préfère, exigeant, sur l’essentiel, encourager, plutôt, que démobiliser. Aider, à se corriger, mais, envisager, en priorité, les belles spécificités, des jeunes, plutôt, que s’appesantir, sur d’autres traits, moins « reluisants ». Nos juniors peuvent cultiver, le meilleur. Responsabilité, dévouement, noblesse, dignité, humour, gentillesse, altruisme et, générosité, sensibilité, excellence, élégance et, justesse. Transcendance, créativité, inventivité, courage, patience, endurance, dépassement, de soi, soif, d’idéal, forte spiritualité, quête, de l’absolu.

 

Passion, loyauté, apprentissage pointu, fine intelligence, esprit d’à propos, vigueur, curiosité, cœur, grandeur d’âme, ouverture mentale. Tolérance, bonté, pugnacité, liberté, volontarisme, détermination, réactivité, ténacité, rayonnement, résolution, adaptation, énergie, motivation. Confiance, optimisme, positivité, ardeur, enthousiasme, originalité, audace, anticonformisme, ambition, combativité, foi, en soi, autrui, la vie. Émulation, projection d’avenir, avant-gardisme, richesse intérieure, force morale, ingéniosité, gaieté, fidélité, beauté… L’AndroJeunologie® aide, tout jeune, à « devenir meilleur », prendre conscience, de ses faiblesses. Ses atouts, surtout.

 

Pour progresser. Au lieu, de l’enfermer, en son « indignité », il lui permet, d’entrevoir, ce qui est « grand, beau, fort », en lui. Pour donner, l’ « optimum, de soi », à sa personne, autrui, l’existence. La néogénération n’est pas malédiction, déchéance fatale, mais, « grâce », qui fait grandir. Fugace, chance unique, à saisir, très vite, tant, qu’il en est, encore temps. L’approche androJeunologique se veut, très constructive, pour toute évolution, du junior. À cet effet, elle ose proclamer, que ce « magnifique temps, de jeunesse », est le plus privilégié, de l’existence.

 

Non, pour se désespérer, s’apitoyer, sur des « tares » imaginaires, mais, se réjouir, du trésor, talent uniques, de cette génération, à nulle autre égale. Qui a tant, à « apporter, au monde », par son « joli regard, tout neuf » ! L’AndroJeunoConseil® fait le plus grand cas, de ces cinq fondamentaux cardinaux, des garçons juniors. Il s’agit, nous l’avons déjà, exprimé, de métanécessités capitales. Les besoins, d’expérimentation-action, encouragement-renforcement, de récompense-gratification, reconnaissance-considération, d’amour-réconfort. Le jeune aspire, à expérimenter, faire, par lui-même, en toute liberté, pour se re/construire, « déconstruire », s’accomplir95.

 

Cela, lui permet, de re/connaître, ses limites, capacités, rectifier, ses choix, en fonction, de ses erreurs, échecs, réussites. Or, bien souvent, il n’en a pas vraiment, la possibilité, puisque notre monde est, avant tout, constitué, d’une stricte régulation, préétablie. L’adulte a tendance, à imposer, ses schémas tout faits, sous prétexte, qu’il « sait », que le jeune est ignorant. Cela, conduit, ce dernier, à l’inexpérience, au découragement, à l’exclusion, à la fois, subis, voulus. Il est donc, impératif, que tout junior ait, dès, son plus jeune âge, la possibilité, de réaliser, ses propres essais, pour « grandir ».

 

Même infructueux, ils sont inséparables, du développement juvénile, les bonnes leçons, en étant tirées. Le jeune nécessite, d’être encouragé, renforcé. Ses efforts, succès, reconnus et, appréciés comme, tels, lui fournissent le sens et, le goût, de l’ascèse, du dépassement, pour bien s’accomplir. Cela, l’incite, à toujours, poursuivre, vers le meilleur. De même, ses collapsus, fautes, non stigmatisés ni, condamnés, sans appel, seront éclairés, par le conseil. Pour mieux entreprendre, plus tard. Cela, amène, à la persévérance, la ténacité, l’effort, la résolution, sans renonciation ni, défaitisme ou, découragement juvéniles.

 

Or, la société exige, de sa jeunesse, trop ou, trop peu, ne s’incline, que fort parcimonieusement, sur ses mérites. Par préjugé, intolérance, envie, jalousie, rivalité. Alors, le jeune perd toute confiance, en lui, autrui, toute notion, de la peine, car, quoi, qu’il fasse, l’indifférence, l’hostilité, l’emportent. Le moindre déboire, l’infime insuffisance, de la néogénération, sont sévèrement, stigmatisés, mais, les lauriers, minorés, ignorés, éludés. Il s’agit, de la pousser, à proposer, le meilleur, d’elle-même, en saluant, tous ses progrès, sans favoritismes ni, tiédeur.

 

Le junior requiert, d’être récompensé, gratifié, à la mesure, non seulement, de tous ses aboutissements, mais, aussi, de ses tentatives réelles. De fait, les jeunes sont très inégaux, devant, le succès. L’obligation, de résultat, ne doit donc, pas faire oublier, le devoir, de moyens. Le parallélisme, labeur-sacrifice, victoire-dotation, est fort capital, à cet âge. Le sens, du juste, de l’injuste, y prédomine, le positif donné, reçu, ne saurait, y être entrevu, intégré, de la même façon, que le négatif, l’inexistant. La société adulte, éprouve des difficultés, à mettre en cohérence, balance, cette configuration, pourtant, incontournable96. Quand le junior, y parvient, souvent, bien mieux.

 

Elle surqualifie ou, sous-évalue, le « valable, comme, aussi, le maléfique » ou, encore, promeut, l’inacceptable, rejette, l’honorable. Les cadets sont, en cela, dépourvus, de toute échelle, de valeur saine, d’estimation, non faussée. Ils sombrent, dans le nihilisme, le plus toxique, puisque le bien, le mal, sont remplacés, en leur esprit désorienté, par le bon et, le mauvais. Il faudrait, que toute sanction, favorable ou, contraire, de l’adulte, à l’égard, du junior, soit « jaugée, à bon escient », en équité. Sans nuls, complaisante démagogie laxiste ni, totalitaire rigorisme obtus.

 

Le jeune a l’impératif, d’être reconnu et, considéré. Il lui est impossible, de mûrir ni, devenir, au futur, un adulte, véritable, accompli, sans bénéficier, d’une existence, pleine et entière, au présent. La réussite d’une étape de jeunesse épanouie, conditionne, l’équilibre ultérieur. Lui garantissant, tous les éléments, d’assurance, de complétude, qui lui seront nécessaires. Or, le monde adulte refuse, d’authentifier, la néogénération, comme, une qualité, un temps, de vie, à part entière. Elle n’est pas appréhendée, en tant, que telle, ès qualité, mais, comme, valeur virtuelle, hypothétique, future, une fois, l’adultisme atteint. Ce qui est, d’une absurdité, anti-pédagogique !

 

En ces conditions, la réciproque est avérée. Non « adoubés », par leur société, les juniors ne la cautionnent pas, davantage. Ils se sentent déliés, de toute révérence, toute obédience, à son encontre, puisqu’ils sont rejetés, aux « sociologiques purgatoires et, périphéries ». En un moratoire, d’attente, de plus en plus, long. Cela, génère, des rancœurs, tensions, dépressions juvéniles graves, pernicieuses, pour l’ensemble, du corps sociétal. Il est essentiel, d’admettre, l’état, de jeunesse, comme, un temps de vie, « à part entière, non, à part », par le respect, l’accueil, de tous ses aspects existentiels.

 

Ni « pestiféré » ni, « subversif », le jeune homme fait partie intégrante, de sa société, en égale dignité. Avec, les « mêmes » droits et, devoirs, toutes proportions gardées, que ses aînés, en « humain transcendant ». Ce qui n’exclut, naturellement, nullement, la prééminence éducative, de responsabilité, de l’adulte, sur le junior. Nos cadets attendent, d’être aimés, réconfortés. La nouvelle génération, en dérive, est toujours, avant tout, une « accidentée, de la vie ». Victime, de graves déprivations : pertes, d’acquis antérieurs et / ou, privations : absence totale, depuis, toujours, psychoaffectives97.

 

Celles-ci génèrent, immanquablement, les pires déficits, souffrances sociopsychiques, issus, du milieu environnemental. Pour exister, être en plénitude, réussir sa vie, actuelle et, à venir, le junior a l’obligation, de se sentir, savoir, important, signifiant, au regard, d’autrui. Surtout, pour son plus proche entourage, parental et, familial, amoureux, amical et, social. Cela, passe donc, prioritairement, par le plein contentement relationnel. Malheureusement, les juniors vivent, en un monde, affectivement, hypercarencé.

 

Lequel, privilégie, des critères hédonistes, matérialistes, utilitaristes, d’intérêt, de pouvoirs, d’assuétudes. Le jeune en pâtit, cruellement. De façon inique, l’empathie, la compassion ou, la congruence, dont, il a tant, besoin, lui sont interdites. Nulles possibilités, échappatoires ni, équanimités, ne lui sont loisibles. Il convient, de revenir, à des valeurs, de vie, bien plus saines, épanouissantes, pour notre descendance, la société. Seuls, l’acceptation, de soi, de l’autre, en sa différence, le sentiment, d’amour gratuit, acquis et offert, peuvent rendre, la néogénération, pleinement et, profondément, heureuse !


 

 


Comme, l’adulte, face, à la vie, ses défis, obstacles, tout jeune a trois façons, de réagir. La fuite abandonnique, défaitiste, craintive. La paralysie passive et, attentiste, subie. Le combat actif et, résolu, pour faire face et, vaincre. Le junior fuit, quand, il renonce, à ses idéaux, ses buts existentiels. Pour se réfugier, dans le doute, déni, la facilité, la culpabilité. Il est inhibé, quand, au lieu, d’être acteur, de sa vie, il se contente, d’en être, le simple spectateur navré, impuissant, démissionnaire. Sinon, le junior lutte, avec vaillance, quand, il croit, en lui et, ses chances, de succès. Quoi, qu’il lui en coûte. Il ne voit, alors, que l’objectif fixé et, le résultat espéré, pas, l’effort, les contraintes, servitudes, risques, qui en sont, le juste prix. Qu’il cultive, fuite, paralysie ou, combat, le jeune utilise, selon les circonstances, tour à tour ou, concomitamment, son triple cerveau.

 

Du plus ancien, au plus récent. Le cerveau « archaïque », dit, reptilien, est instinctif, comportemental. Siège, des réactions primaires inconscientes, pulsionnelles. Le cerveau émotionnel et, affectif, dit, limbique, commande les affects, sentiments. Le cerveau, le plus abouti et, perfectionné, est cognitif et, réflexif, dit, néocortical préfrontal. Il « commande », l’ensemble, du raisonnement, mental et intellectuel, les élucubrations, de la pensée juvénile, la plus construite et, la plus savante98. Quoi, qu’il en soit, tout junior, pour s’accomplir, se doit, de réaliser, un quintuple objectif. Une solide force mentale. Une pensée, pleinement, positive. Une profonde paix, sérénité intérieure. Une inébranlable foi, en soi. Un constant travail acharné. Cela, constitue, une puissante ascèse morale, d’équanimité, d’ataraxie.


 

 


[ VOTRE « STRATÉGIE ANDROJEUNOLOGIQUE » ]

SPÉCIFICITÉ, MÉTHODE, EFFET


 

 

Votre AndroJeunologie® prend figure, d’une motivationnelle tactique, d’acceptation, d’engagement. Par protocole, « feuille de route », mobilisateurs. Restructurante pédagogie, de mutation et, maîtrise, maturité. Pour changer, ce qui peut, doit l’être, accepter, le reste, distinguer, les deux.


 

 


Le suivi androJeunologique est, avant tout, une appréhension, des jeunes hommes, une explication et, une « vision » morales, de ce qu’ils sont et, font. Tout ce qui les caractérise. Si différentes, de ce qui prévaut, habituellement, en France. Plus confiantes, positives, valorisantes. L’objectif, est de faire grandir, non, d’abaisser. Une approche spéciale, a été créée, à cet effet. Cela, commence, par l’établissement, d’un « tableau de bord », véritable, « plan de travail », jetant les bases, du suivi envisagé.

 

Le dessein sera triple : le changement, l’excellence et, l’adultisme accompli. Il est plus facile, d’être serein et, heureux, à l’enfance insouciante, à l’adultisme certifié, qu’à la jeunesse, en construction, chantier, mutations et, questionnements. Pourtant et, pour autant, doutes, atermoiements juvéniles, ne sont pas, « de saison ». Nombre, de juniors actuels, seront encore, en vie, aux débuts, du vingt-deuxième siècle, dans cent ans ! Soit, la même durée séculaire, nous séparant, du Premier Conflit mondial (1914-1918) !

 

Espérances de vie croissantes, obligent. Quand, du Moyen Âge, au dix-septième siècle (476-1650), en France, la longévité moyenne, de la majorité, des vivants, ne dépasse pas l’âge, de notre néogénération actuelle, treize – vingt-cinq ans. En réalité, la nouvelle génération, de notre vingt-et-unième siècle, est moralement, perdue et tourmentée. Faute, de transmissions idoines, elle ne sait plus, « que croire ni, qui croire ». Les frontières se brouillent, entre la légalité et, la morale, comme, la tolérance, l’admissible. Pour notre descendance, une société dépressive, démissionnaire et, irresponsable, ne peut, qu’être un très mauvais symbole, toxique. Sinistre et, crépusculaire, morbide et, macabre.

 

L’AndroJeunologie® tend, alors, à faire « s’effacer », le passé difficile, du junior masculin, pour « renaître », comme, neuf. Oublier, les craintes, pour l’avenir, pour être, plus serein. Afin, de ne privilégier, en toute priorité, qu’un présent, tout empreint, de positivité et, d’action, en assurance et, espoir99. En croyances positives, confiance absolue, volonté résolue, motivation, sans failles, action déterminée et, résultats idoines, réussis. Apprenant, pour cela, à cultiver, passions enrichissantes, fermes convictions, stratégie judicieuse. Dynamisme inconditionnel, valeurs profondes, liens constructifs et, communication adéquate.


 

 


– Votre « Motivationnelle Tactique » –

D’Acceptation / Engagement de Jeune Mâle


 

 

Conseil, est un terme masculin, de 980. Il est issu, du latin, consilium. « Ce qui tend, à diriger, à inspirer, la conduite, les actions. Opinion donnée, à quelqu’un, sur ce qu’il convient, de faire. Activité professionnelle, consistant, à mettre ses connaissances, à la disposition, de ceux, qui en font, la demande. Personne, auprès, de laquelle, l’on prend avis, en un domaine spécialisé. Personne, qui en assiste, une autre, en la direction même, de ses affaires ».

(Dictionnaire, de la langue française, Robert, France, 2007)100.


 

 


L’AndroJeunoConseil® est un balisage, qui a pour objet, d’éclairer, les jeunes garçons, en matière, de vie juvénile. En tous ses aspects spécifiques. « In medio stat virtus ». Cette locution latine, pourrait être la « devise » androJeunologique, par excellence. L’équilibre, en toute chose, est un idéal, de sagesse humaine, indépassable. Nous avons créé, tel, évoqué, l’approche, d’AndroJeunologie® : guidance, éducation-jeunesse, conseil, des quinze – vingt-quatre ans mâles. Pour pallier, un manque abyssal, en ce pays, entre la sphère « psy », l’orientation, le soutien, coaching scolaires, des métiers. La plupart, de nos juniors, ayant besoin, d’aide, ne relèvent pas, du curatif ni, du pédagogique ou, de l’orientation des métiers.

 

Ils ne sont pas concernés, par le soin ni, la guérison, du psychisme, pas plus, par de seules, difficultés, d’études ou, d’emploi. Ils requièrent, des éclairages, en matière, de développement personnel, de vie, de réalisation, de soi. Sur le plan concret, pragmatique, global, du quotidien. Il est frappant, de constater, le nombre incalculable, d’androJeunoCoachés, ayant antérieurement, consulté, maints professionnels, en vain. Des années, de « suivis thérapeutiques rigides, indifférents », n’ayant rien résolu. Sans, que les vrais problèmes, ne soient, même, ni abordés ni, traités !

 

Les jeunes ont besoin, d’être « re/pris énergiquement, en main, portés, à bout de bras », avec bonté. De façon souple, informelle, interactive, directive, dynamique. En plein respect, de leurs libertés, spécificités, besoins, attentes. L’écoute passive, froide, désincarnée, dogmatique, indifférente, de « neutralité, dite, bienveillante », ne convient jamais, aux juniors. Ils l’interprètent, comme, du « mépris », à l’égard, de leur personne, problématique. Ils veulent, du dialogue, par-ti-ci-per, des échanges, éclairages, résolutions tangibles, de leurs difficultés, optimiser, leurs potentiels.

 

Pour ce jeune, l’ère n’est plus, à l’autorité verticale, de l’adulte, qui sait, à l’encontre, du cadet, apprenant. Or, au dialogue horizontal, plus apte, à l’enrichir, l’aider, lui permettre, de grandir. Il veut, s’impliquer, l’être plus, être mieux, pris en compte, en tant, que junior. Il exige, autant, que le professionnel s’engage, avec et, pour lui, à son côté, « se dévoile », prenne parti, se prononce, pour l’aider. Il rejette, ces entretiens « fades, inodores, incolores, sans saveurs ». Lesquels, ne lui apportent, apprennent, rien, sans résultats, progrès, aucuns ! Le jeune désire, un intervenant, non inutile, inconsistant, à force, de transparence, mutisme, mais, riche, par sa personnalité, son charisme, ses enseignements.

 

L’AndroJeunoConseil® n’est pas, une thérapie, mais, une transmission, un enseignement, un apprentissage, qui nourrissent, vers l’adultisme. Le rôle, du psy, du coach scolaire, n’est pas, de « faire grandir, devenir adulte ». Le jeune adhère, à l’AndroJeunologie®, car, elle lui « parle ». Il se sent compris, accepté, apprécié, non seulement, personnellement, mais, en tant, que junior et, de genre masculin. Il perçoit, que son conseil s’intéresse, de près, à lui, sa génération, ses préoccupations, difficultés, échecs, réussites, joies et, peines.

 

Aider, un jeune, au présent, avec des solutions, exige, une spécialisation exclusive, holiste, en la seule, tranche d’âge, des quinze – vingt-quatre ans. Sinon, l’on « ne comprend rien », à cette jeunesse, l’on ne peut l’aider, véritablement. Seule, la « science psy », est bien impuissante, à appréhender, globalement, la « chose jeune ». Elle « s’y casse, les dents ». L’avenir est à, tout « autre chose ». Le junior ne peut davantage, se réduire, à son seul état, parcellaire, limitatif, de scolarisé. Le conseil androJeunologue® « se met, à la place », du jeune, pour bien saisir, la « mécanique juvénile ». Il s’agit, d’un véritable cheminement, de vie. Notre société, les pouvoirs publics, les parents, enseignants, professionnels, de la « relation d’aide classique », sont totalement, « impuissants ».

 

Inaptes, à enrayer, le syndrome abandonnique, dont, souffrent tant, les juniors, d’Occident. L’AndroJeunoConseil® apprend, au jeune homme, « à vivre ». Il s’agit, de s’approprier, les outils, qui rendent apte, à grandir, en adulte debout, en marche, vers sa destinée. Rigueur, ténacité, patience, effort, sacrifice, ascèse, courage, générosité, don, de soi, rayonnement, excellence, créativité, dépassement, de soi… Fructifier, ses talents, être meilleur, livrer, son optimum101. L’AndroJeunologie®, ontologie existentielle, « science, de la jeunesse », la transcende, la mène, à réaliser, sa « mission terrestre ». En cela, elle atteint, ses objectifs, auprès, des jeunes, en réponse, à leurs besoins, aspirations, les plus fondamentaux.

 

L’AndroJeunoConseil® répond, en priorité, aux réalités, du junior masculin. Il suit, en cela, nous l’avons, déjà, vu, le Pentagramme, dit, de Ginger102, concernant, la quintuple essence, de l’être humain. Anatomique-cognitive, le marquage ontogénique, corporel, sanitaire, du jeune : son corps physique pubertaire, sa santé psychosomatique. La construction psychique, de personnalité, du jeune : sa psychologie, la notion, de « crise psychique juvénile ».

 

Qui est toute relative, ne doit pas être considérée, comme, absolue. Psychoaffective-relationnelle, la conception, d’adhésion sentimentale, de la jeune génération : sa famille, ses affects. Les processus, de sociabilité, marginalisation : les liens sociaux juvéniles, les juniors, en difficulté particulière. Matérielle-d’ouverture, au monde, l’évaluation, de niveau, de vie, socioéconomique, la réalité planétaire, de tout junior. Soit : son mode existentiel, de consommation, les comparatifs internationaux néogénérationnels.

 

Les fondamentaux constitutifs, d’analyse, anthropologiques, de la nouvelle génération : son histoire, sa philosophie. Sociale-organisationnelle, les fluctuations éducatives et, d’emploi, de la jeunesse : ses études et, défis professionnels. Ses priorités récréatives, culturelles : les loisirs ludiques, festifs et, la culture. Idéologique-d’encadrement, le conditionnement moral, légal, de la juvénilité : ses valeurs, engagements propres. La réglementation juridique, de la minorité et, les entreprises nationales, en faveur, des juniors : le-s droit-s, des mineurs et, les politiques publiques, de la Jeunesse.

 

Qu’une faille, concernant, un seul, de ces cinq champs, capitaux, vienne, à apparaître, c’est l’ensemble, de l’édifice, d’équilibre fragile, des jeunes, qui s’effondre. De même que, pour les besoins vitaux, de l’Homme, tels, que définis, par A. Maslow. (Psychologue américain, 1908-1970, États-Unis, publication, de 1943). L’intervention, du suivi androJeunologique, est pertinente, par sa spécificité même : transversale, pluridisciplinaire, globaliste. Elle envisage, l’ensemble, des paramètres, de vie, indispensables, à l’accomplissement, de chaque jeune, vers l’adultisme, plein et entier. Les problématiques, pubertaires et postpubertaires, impliquent, une attention, toute particulière. Tant, elles marquent, la juvénilité.

 

La santé, du corps, de l’esprit, la vie sociale, ne sont pas toujours, aussi satisfaisantes, que l’on pourrait, le croire. En un temps, pourtant, de vitalité néogénérationnelle, apparente. Une vigilance s’impose, à un âge, d’insouciance, mais, aussi, d’anxiété. La psychologie, du jeune : forces, dérives, est le cœur du métier d’androJeunologue®. La situation familiale verticale, juvénile, est « disséquée ». Nucléaire : parents, fratrie et, aussi, cercle, plus large, famille, d’origine, unie ou, recomposée, bi ou, monoparentale. Les liens amicaux, affectifs, si importants, à la jeunesse, sont inventoriés.

 

La réalité sociétale, du junior : place, relations sociales, est entrevue. Les cas, de maltraitance, handicap, d’atteinte socioéconomique, de déviances, sont prioritaires. Le degré, de prospérité matérielle, du jeune, influe, sur sa personnalité, façon, de vivre, son devenir. Nous avons évoqué, le culturalisme, de l’AndroJeunologie®. Prendre, en complète considération, la culture, l’origine ethnique, de chaque jeune, permet, de mieux, le comprendre, l’aider. En respect, de ses racines continentales. L’Histoire et, la philosophie, de la néogénération, en tant, que cohorte, d’âge, sont d’apport, fort précieux, pour comprendre, son évolution, sa nature.

 

La formation, le choix, d’emploi, premiers objectifs, du jeune, sont soigneusement, abordés. De même, le temps libre, la culture, très présents, en son quotidien. La jeunesse est aussi, le temps, des passions idéologiques, des croyances, idéaux et, valeurs fortes. Ces thématiques androJeunologiques l’interpellent. Le statut légal, juridique, des mineurs : civil, pénal, éducatif, en matière, de droits, libertés, devoirs, ne les laissent pas indifférents. Cela, peut nécessiter, d’utiles recadrages. Quant aux actions publiques, étatiques et, territoriales, en faveur, de nos cadets, ils y sont sensibles. Des éclairages, en l’espèce, sont « porteurs ».

 

L’AndroJeunoConseil® replace, le jeune, « au centre, de l’essentiel » : ce qui fait, son parcours, le concerne ou, lui est important. À tous points de vue et, quelles, que soient, sa personne ou, sa situation. Il se voit, intégralement, compris, aidé, reconnu, encouragé. Inconditionnellement, motivé, à avancer. L’AndroJeunologie® a pour « préoccupation, première », d’adhérer, au plus près, aux attentes, réalités ou, besoins majeurs, des juniors. Que ce soit, en tant, que science, de la jeunesse ou, comme, conseil, de vie, des quinze – vingt-quatre ans mâles103. Pour une compréhension holistique.

 

La néogénération requiert, une famille, qui aime, éduque, socialise, entretienne matériellement. Une école, génératrice, de savoirs, d’emploi, d’humanisme. Un travail, qui permette, l’autonomie, et, la maturité, l’utilité sociale, l’insertion et, l’épanouissement. Des relations psychoaffectives, basées, sur la confiance, le partage et, l’altruisme. Des loisirs récréatifs, qui assurent, détente, mobilité physique, convivialité. Une culture, qui élève, ouvre, enrichisse. De fortes valeurs, de réalisation, plénitude, don, de soi. Une société, des politiques publiques, réglementaires, qui encadrent, sauvegardent, promeuvent. Or, la réalité, de la plupart, des juniors, est tout autre.

 

Le suivi androJeunologique aura donc, pour « objectif fondamental prioritaire », d’aider, plus et mieux. Pour « corriger », infléchir, améliorer, ce qui peut l’être, en l’existence quotidienne, de la nouvelle génération. La famille « mise » beaucoup, sur l’affectivité, en protection, face, à des temps incertains. Or, elle gratifie mal, trop ou, insuffisamment. Elle favorise, les uns, lèse ou, délaisse, les autres. La moitié, des unions, ne résiste pas, au temps. De plus en plus, de jeunes, ont des parents séparés, en souffrent. Les recompositions familiales ne sont jamais, faciles.

 

L’éducation parentale est rarement, équilibrée. Elle est souvent, trop rigide, autoritaire ou, le plus généralement, trop laxiste, complaisante, voire, inexistante, faute, de transmissions. De moins en moins, de familles, socialisent, leurs jeunes ou, sont en mesure, de le faire. Les pairs juvéniles « s’en chargent ». Difficultés et, complexités sociales croissantes, y font, également, obstacle. Quant à l’aide économique familiale, des jeunes, elle est, de plus en plus, malaisée. Par la paupérisation, actuelle, de la majorité, de nos sociétés. Elle est très discriminante, car seules, les familles, les plus favorisées, y parviennent et, pleinement.

 

Les petits emplois lycéens, étudiants, d’appoint, sont, de plus en plus, nécessaires, souvent, au détriment, des études. Les savoirs, connaissances, bagages transmis, par tous nos enseignements secondaires, comme, supérieurs, sont, en grande part, lacunaires, parcellaires, inadaptés, obsolètes. Outre, que fort peu attrayants, pour la plupart, des juniors, en études. Donc, de peu, d’utilité et, d’intérêt, pour l’ensemble, d’une existence et, si vite, oubliés, périmés, sitôt, enseignés. Les cours inculqués sont encore, trop peu, en phase directe, avec les professions104. En dépit, de progrès, récents et certains.

 

L’école est, trop peu souvent, par ses transmissions, capable, de permettre, à ses diplômés, de bien intégrer, l’emploi, de s’y insérer, révéler, épanouir. Quant à l’humanisme académique, il est au cœur, de la scolastique antique (-510/476), médiévale (476-1492), chrétienne, (Dep., le Ier s.), de la Renaissance (XVIe s.), l’Ancien Régime, (France, 1589-1789). Du dix-neuvième siècle, de la Troisième République (France, 1870-1940). Il n’est désormais, quasi plus, qu’un souvenir105. Les sociétés industrielle, postindustrielle, ont eu raison, de lui.

 

Quand, un jeune a la chance, d’occuper, un vrai travail, ce qui se fait rare, avant, vingt-cinq ans, il se caractérise, par l’instabilité et, la précarité ou, le déclassement. Le manque, d’intérêt, de responsabilité, d’investissement. Il n’est plus facteur, d’adultisme, d’indépendance, d’intégration, de réalisation, de soi, de rôle, à jouer ni, de maîtrise, de son destin personnel. Il devient, corvée et ennui, contrainte subie et, aliénation, non, vraie « libération » individuelle. Le junior est, tout autant, déçu, comme, désabusé, par ses relations amicales et, amoureuses. Trahisons, abandons, tromperies, abus, y sont légion. Défiances, peurs et, pires égoïsmes, y frappent.

 

La solidarité générationnelle, entre jeunes, le don, de soi, l’entraide, l’empathie, la compassion, pourtant, propres, aux « années lycée, fac », sont battus, en brèche. En une époque troublée, difficile, inquiète, de pénuries et, compétition, prévalent, replis, sur soi, concurrence, jalousies, envies, médisances. Quand, chacun, devient, l’ennemi-rival dangereux, menaçant, pour soi, à contenir, voire, abattre. Les innocentes, insouciantes années, de jeunesse, sont ainsi, devenues, « terrain miné ». L’amour, lui-même, pourtant, symbole, par excellence, de ce temps, de vie, est plus captatif, qu’oblatif.

 

Les jeunes peinent, à y croire, tant, ils voient, les adultes, en personne, leurs propres parents, ne pas y parvenir. Ils se résignent, alors, à de ternes, mornes, parodies pathétiques, qui ne sont, qu’autant, d’amourachements éphémères, fades et vides. Les loisirs sont souvent, convenus, frustrants, routiniers, mécaniques, peu enrichissants et, de médiocre facture. Le « mercantilisme, de masse », les infeste, de plus en plus. Les violences, n’y sont pas rares. Ils fatiguent, stressent, plus, qu’ils ne détendent et, enferment, plus, qu’ils n’ouvrent. Ils sont bien plus, occasion, d’affrontements, que d’urbanité.

 

Les loisirs juvéniles sont, bien trop souvent, devenus, de purs, « automatismes-réflexes addictifs et, d’étourdissement marqué ». Recherchés, de façon obsessionnelle, artificielle, superficielle, pour eux-mêmes, afin, d’oublier, les avanies, du quotidien. Ils se suffisent, à eux-mêmes, sans prétentions, d’accomplissement, de soi, ni même, ludiques ou, récréatives. Les supports culturels, proposés, à la néogénération, ceux, qu’elle prise, habituellement, sont, de vile noblesse, médiocre extraction, basse exigence. Anti-intellectualistes, informels, iconoclastes. Le « nivellement, par le bas », y prédomine, de plus en plus.

 

Ainsi, est-il, du meilleur ton, chez les jeunes, les plus favorisés, de « singer », de façon dérisoire, ceux, des conditions, les plus déshéritées. Tant, par la vêture, le langage, les intonations, habitus, certaines pratiques culturelles. La jeunesse « dorée », de Neuilly-sur-Seine, parodie, son homologue, « en déroute », de… Sarcelles. Ce mimétisme, de façade, n’est pas mépris, moquerie anti-populaire, mais, conformisme, bien français. Qui veut, qu’il soit, de bon ton, de « faire canaille », même et, surtout, quand, l’on festoie, chez Lasserre, Ledoyen ou, Lucas-Carton. La « pseudo-culture », mise en exergue, ne vise pas ou, plus, l’excellence, mais, l’abaissement. Au risque, de l’avilissement. De même, en matière, de valeurs, d’idéal juvéniles.

 

Tous les jeunes prétendent, haut et fort, légitimement, à l’idéal, disent même, être sensibles, aux valeurs humanistes, morales, spirituelles. Bien peu, s’en donnent, les moyens, agissent, en ce sens. Les temps sont, au matérialisme, à l’individualisme, l’hédonisme. Les juniors ne font pas, exception, à la règle. Ils se replient, nous l’avons déjà, dit et, redit, sur leurs « petites autogratifications narcissiques, du quotidien ». La jeunesse est généreuse, altruiste, ouverte, mais, la marche, de la société, lui semble, bien lointaine, incertaine, inaccessible.

 

Tant, elle est convaincue, de l’indignité, de l’univers adulte, de sa propre impuissance, en tant, que nouvelle génération, à pouvoir, y changer, quoi, que ce soit. Elle ne veut donc, plus, « refaire, le monde », mais, « s’en accommoder », au mieux. Pour « le meilleur et, le pire ». Les juniors, d’aujourd’hui, ne sont pas ou, plus, fondamentalement, anti-État, opposés, au droit, à la loi, la politique. Or, ils constatent, qu’ils sont, les « abandonnés, les plus mal lotis », des pouvoirs publics. Que les réglementations, pléthoriques et contradictoires, sont incapables, incapacitantes, même, plus contraignantes, que véritablement, libératrices106. Non, en salubrité publique, mais, malfaisance.

 

Qu’elles servent, protègent, aident, des plus faiblement, tout particulièrement, leur génération. Ces jeunes ne « croient » donc, plus, en aucune, autorité nationale, élue ou, non. Ils votent, s’engagent ou, militent, de moins en moins. Déçus, par leur propre pays, ses dirigeants, leur action, ils se replient, sur l’attentisme, l’indifférence, la colère. Le rejet nihiliste, de tout projet collectif, toute institution établie, décision collégiale. Tant, la duperie, des aînés, au pouvoir, a « fait long feu », aux yeux, de tous, à tout jamais. L’AndroJeunoConseil® a donc, « fort à faire », pour aider, chaque junior suivi, à mieux « réguler », optimiser, rectifier.

 

Autant, que de besoin, possible et, désiré, tout ou, partie, des éléments, de vie, cités. En la mesure, du raisonnable, légitime, souhaitable. L’objectif androJeunologique est d’assurer, aux jeunes, leur pleine autonomie, de répondre, à leurs besoins. L’autonomie, des juniors, se doit, d’être pleinement, atteinte, après les vingt-cinq ans, au plus tard. Il s’agit, de l’autonomie, cognitive-intellectuelle, émotionnelle- instinctuelle, comportementale-d’action. Également, morale-des valeurs, physique-matérielle, psychique-affective et, sociale-relationnelle. Ceci, est fort important, pour grandir.

 

Il s’agit, de bien maîtriser et, gérer, au mieux, de façon meilleure, indépendante, affirmée, les domaines suivants. Une pensée et, un raisonnement mental, aboutis. Des perceptions et, émotions, expressions et, pulsions, riches, cadrées. Des attitudes et, actes, responsables, des réalisations juvéniles originales, propres. Des choix, adhésions idéologiques, axiologiques, assumés et, qui font sens. Une bonne santé, du corps, cultivée, des capacités, adéquates et suffisantes, à subvenir, à ses besoins économiques. Un état psychique fort, sain, équilibré et, épanoui, ainsi, qu’une maturité sentimentale, stabilisée.

 

Des liens multipolaires, à soi, autrui, au monde, à la collectivité, réciproques, satisfaisants et, enrichissants. Les jeunes éprouvent, sept grands besoins, capitaux, principaux et, prioritaires, tels, que définis, par M. Fize. Il s’agit, des nécessités juvéniles, de confiance, de dialogue, d’autonomie et, de responsabilité, de sécurité, d’affection et, d’espoir. (M. Fize, sociologue français, L’Adolescent est une personne, livre de psychosociologie, France, 2006)107. Pour que les juniors adhèrent, à la vie, leur société, il est indispensable, au préalable, de croire, en eux, de le leur dire et, démontrer. Notamment, en respectant, leurs libertés, dignité, intimité. Nous y reviendrons, ultérieurement, en nos propos.

 

Écouter, le jeune, lui donner, la parole, lui demander, son avis, tenir compte, de ses points de vue, volonté, est, aussi, un préalable, impératif. De même, que de lui permettre, d’être lui- même, indépendant, avec tous les moyens, adéquats, en fort libres initiatives et, actions. La « responsabilité » consiste, à pouvoir prendre conscience, des réalités, à se comporter, avec résolution, sérieux, à propos, respect. Le bon développement exige, aussi, une sûreté, une stabilité, de vie, en tous domaines, gages, de sérénité, de réussite existentielle. Sans amour, un junior ne peut être heureux, dominer, son être et, sa vie. Seules, les nourritures affectives idoines, lui assurent, de pouvoir donner, se donner ou, recevoir. En outre, seule, l’espérance, d’un vécu meilleur, de soi, d’autrui, comme, du parcours terrestre, autorise, le « dépassement ontogénique, ontologique », de la personne juvénile. Pour « optimiser », au mieux, sa vie.


 

 


L’AndroJeunologie® s’inspire, aussi, du procédé, dit, d’ « acceptation et, d’engagement ». Il s’agit, de se focaliser, sur le présent. De pleinement, accepter, intégrer, appliquer, ce qui est pensé, ressenti, agi. En une optique, de changement, cognitif, émotionnel, comportemental. L’objectif est, alors, pour tout junior, d’accepter, ce qu’il n’est pas, en mesure, de modifier. Cela, même, va lui permettre, de mobiliser, tous ses potentiels, adéquats et indispensables, pour agir, selon, ses moyens. Dans l’objectif, de faire « muter », son existence, selon, les priorités, les idéaux, qui lui importent, le plus. Ainsi, les cognitions, émotions, attitudes juvéniles, même, les plus néfastes, ne seront plus ni, occultées ni, niées. De fait, les entreprises, visant, à éviter, tout ce qui rebute, fait souffrir, contrarie ou, inquiète, sont, souvent, contre-productives. Ne font, qu’ajouter, des troubles, aux dysfonctionnements.

 

L’exposition, l’habituation ou, l’acceptation, valent donc, mieux, que la fuite, l’évitement, le déni. Il s’agit, alors, non, de s’attaquer, aux symptômes perturbateurs, mais, de développer, la plasticité psychomentale, du junior. D’un point de vue, des pensées, des émotions et, des actes. En l’objectif, d’œuvrer, à l’élaboration, d’une vie accomplie, en respect, de ses valeurs, idéaux. Il s’agit, de toujours, tenir compte, des réalités, de façon, objective et, pragmatique.

 

En restructurant, ses pensées, ses émotions et, comportements. Par la distanciation, la relativisation, de toutes choses. Le rejet est remplacé, par l’accord et, l’action. (Vuille, 2014)108. Le tout, sera appuyé, par une stricte hygiène et, autodiscipline, de vie. Un bon sommeil suffisant et, réparateur. Une alimentation variée et, équilibrée. Une activité physique, sportive régulière et, soutenue. Un labeur quotidien, de qualité et, fourni. De bons liens sociaux, à autrui. Un état d’esprit positif et, confiant.


 

 


– Votre Protocole, « Feuille de Route » Très Mobilisateurs –

De Votre AndroJuvénologie


 

 

Au fondement, même, de votre problématique juvénile, la plus cruciale et, répandue, réside, une émotion négative, capitale : la peur. Ce « poison existentiel », quotidien et permanent, génère, bel et bien, tous les autres. Vos fort sentiment d’insécurité, de culpabilité, faiblesse mentale, manque de foi, en vous, en ce que, vous, jeune, êtes et, faites. Vos défaut, d’assurance, de confiance, passivité, manque, de réussite, négativité, cyclothymie, timidité, anxiété, stress, émotivité excessive…


 

 


Si, à l’inverse, le jeune est dominé, par la sérénité, « le reste » viendra, aisément. Sentiment, de sécurité, fierté légitime, de soi et, force mentale, confiance, en soi, action, succès, positivité, constance. Assurance, paix intérieure, calme, émotions tempérées, maîtrisées. La vie, du junior, est le reflet, de ses croyances. Si ses pensées, sont favorables, car positives, il sera équilibré. Si ses cognitions, émotions, actes, sont néfastes, car négatifs, le jeune sera tourmenté. Nombre, de juniors, sont introvertis. Ce qui n’est pas, un handicap, en soi, mais, peut le devenir, par excès, d’inhibitions et d’introspection. Un quart, d’entre eux, vivent, l’introversion.

 

Les trois quarts, sont extravertis. L’introverti juvénile puise, son énergie, en lui, est tourné, vers son monde intérieur et, sa personne. Ce qui n’est pas, de l’égocentrisme, de l’égoïsme, voire, de l’égotisme. Il préfère, calme, isolement, introspection, contemplation, stabilité. Il en a besoin, car il est très fatigable : et, physiquement et, psychiquement, puisqu’il consomme, plus d’énergie, qu’il n’en fabrique. Généralement, il est plus cérébral, que physique, sentimental, que détaché, spiritualiste, qu’hédoniste, littéraire et, artiste, que scientifique.

 

L’extraverti tire son énergie, d’autrui, est tourné, vers l’univers extérieur, les autres, ce qui n’est pas, en soi, de l’altruisme, de la générosité. Le junior aspire, au mouvement, à l’activité, au changement, à la fréquentation sociale, car il dégage, plus d’énergie, qu’il n’en brûle. Le plus souvent, il est plus physique, que cérébral, rationnel, qu’affectif, matérialiste, que métaphysique, gestionnaire, que créatif109. L’objectif, du suivi androJeunologique, est d’aider, chaque jeune, à faire « fructifier », ses talents et, sa personne, par bénéfiques, additions, multiplications. En « féconds, gains existentiels ».

 

Alors, que trop, de juniors masculins, restent, à vie, au dommageable stade, des soustractions, divisions. Il s’agit, d’instaurer, force mentale, action, résultats, positivité, assurance, foi, en soi. Les dix facteurs, de réussite et, de bonheur, du suivi androJeunologique, sont : la foi et, confiance, en soi, la foi et, confiance, en ses actes. La volonté, de succès, la sérénité, l’inventivité juvéniles, concrètement, appliquées, l’effort, la détermination, la ténacité, en courage. L’amendement constant, de soi, et, de ses actes, le défi, le dépassement, de soi, la responsabilité, l’autonomie et, la maturité, de sa vie, la droiture morale.

 

Reprenons donc, l’excellent aphorisme, de Lao-Tseu, l’initiateur, du taoïsme. (Sage chinois mythique, VIe s. av. J.-C.). « Lorsque, le sage, désigne, la lune, l’imbécile, fixe, le doigt »110 ! Cette vieille pensée, de méditation orientale, demeure, plus, que jamais, d’actualité. Notre société occidentale contemporaine a, bien trop, oublié, l’essentiel, de ses fondements humanistes. Elle ne se concentre, que sur le superflu et, les fausses valeurs. Elle se perd, en ses vaines conjectures. Elle n’en sort ni, grandie ni, heureuse. Les jeunes, à qui, ces tragiques « erreurs, de civilisation », si dommageables, sont, tout prioritairement, enseignées, en sont, les premières victimes. Ils apprennent donc, à leurs pires dépens, la forme, non, le fond.

 

Les adultes ont renié, leurs intemporels, universels, fondamentaux. Ce sont alors, les juniors, paradoxe suprême, qui attirent, l’attention, de leurs aînés, sur certaines, « vérités premières ». Car ce sont, nos cadets, qui conservent, sans doute, encore, le plus, de cœur, d’idéal, de justice, d’amour, de vérité. L’AndroJeunologie® veut donc, remettre, « à l’ordre du jour », les fondements, même, de la « bonne intelligence humaine ». Soit, les interrogations, réponses, capitales, du « bien et, du mieux vivre » terrestres et, du devenir meilleur. Qui, quoi, comment, pour/quoi, quand, où… ?

 

Il importe, pour tout jeune, quel, qu’il soit, de « se poser », au préalable, les « fort bonnes questions », de fond. Cela, est le « pré requis », majeur, pour être, en mesure, ce stade franchi, de « re/diriger, sa vie entière », adéquatement. C’est, sur ce fort questionnement, fondateur, que commence, tout suivi androJeunologique. Cela, aide, le junior, à « faire le point », sur, lui-même, sa nature, sa façon, d’ « être, au monde », son existence postenfantine, préadulte111. Pour « être, au clair », avec, soi-même, autrui, sa vie, en pensées, émotions. Avant, d’être, en mesure, d’envisager, le changement juvénile, favorable, décisif : comportemental, actif.


 

 


I


 

 

Mon Identité AndroJuvénile Propre


 

 

1- Comment, je perçois, ma personne, autrui, la vie. Qui, suis-je, d’où, viens-je, où, vais-je, quelle, image, ai-je, de moi ?

2- Suis-je, satisfait, de moi, de ma vie, d’autrui ? Suis-je, équilibré, épanoui, serein ?

3- Est-ce, que, je m’aime, m’accepte, tel, que je suis, en toute confiance ?


 

 


II


 

 

Mes Valeurs Personnelles

De Jeune Homme


 

 

4- Ce, en quoi, je crois, le plus, en ma vie propre.

5- En quoi, pourquoi, est-ce, important, pour moi ?

6- Comment, mettre, ces idéaux, en la meilleure pratique, concrète ?


 

 


III


 

 

Mes Objectifs / Projets de Vie

Comme Garçon Junior


 

 

7- Ma motivation : suis-je, capable, de me fixer, des buts, d’y croire, de m’en donner, les moyens et, m’y tenir ? Mes objectifs, mes projets, à titre personnel, familial, amical, affectif, relationnel.

8- En terme, d’études, de métier.

9- Mes buts, concernant, mes loisirs, ma culture, mes idéaux, de jeune.


 

 


IV


 

 

Mes Passions / Centres d’Intérêt AndroJuvéniles


 

 

10- Quels, sont-ils ?

11- Pourquoi, y adhérer ?

12- En quoi, cela, peut-il, m’aider, à me réaliser, être meilleur ?


 

 


V


 

 

Mes Qualités, Atouts, Facilités, Réussites, de Jeune Homme

Pour « Optimiser Mes Chances »


 

 

13- Mes trois, principales qualités, points forts, trois succès, essentiels, de junior.

14- En quoi, cela, est-il, pour moi, un « plus » ?

15- Que faire, pour « doper », mes talents, aptitudes, compétences et, performances ?


 

 


VI


 

 

Mes Défauts, Points Faibles, Difficultés, Échecs

Comme Garçon Junior


 

 

16- Mes trois, grands défauts, mes difficultés et, mes trois échecs, essentiels.

17- En quoi, cela, est-il, pour moi, si préjudiciable ?

18- Que, puis-je, faire, pour bien, combattre, cela et, inverser, décisivement, la tendance ?


 

 


VII


 

 

Ma Projection AndroJuvénile d’Avenir

À Cinq, Dix, Quinze Ans, de Jeune


 

 

19- Comment, j’imagine, mes études et, mon métier, dans cinq, dix, quinze ans.

20- Comment, j’entrevois, ma vie relationnelle, familiale, à ces mêmes dates.

21- Quel, pourra être, mon choix, de vie, global, personnel, dans cinq, dix, quinze ans ?


 

 


VIII


 

 

Ma Façon de « Gérer » Mon Quotidien

De Jeune Homme


 

 

22- Quelle est, mon hygiène et, ma discipline, de vie ? Sommeil, alimentation, activité physique, santé, addictions, ordre, rigueur.

23- Quelle, est, ma « gestion / mon emploi », du temps : passé, présent, à venir ?

24- Ai-je, une bonne méthode, de travail ?


 

 


IX


 

 

Mon Environnement et, Mon Vécu Individuel

Comme Garçon Junior


 

 

25- Mon évolution juvénile, familiale, amicale, affective, relationnelle.

26- Mon parcours, d’études, d’emploi112.

27- Mes loisirs récréatifs et, pratiques culturelles. Depuis, l’adolescence.


 

 


X


 

 

Ma « Problématique AndroJuvénile »


 

 

28- Ce qui, véritablement, « motive », mon actuel, suivi andro-Jeunologique.

29- Ce que j’attends, de mon conseil et, de l’AndroJeunologie®.

30- Comment, puis-je, espérer, évoluer et, être, pendant et, après, mon accompagnement ? Par, quels, efforts, moyens ?


 

 


XI


 

 

Mon « Espérance Existentielle »

De Jeune Homme


 

 

31- À quoi, à qui, « consacrer », mon parcours terrestre ?

32- Quelle, « utilité sociale », avoir, pour, moi-même et, autrui, toute mon existence, dès, maintenant ?

33- Quel, sens, donner, à ma vie et, quelle « trace », laisser, en l’histoire, après, ma disparition ?


 

 

Nous avons, déjà, évoqué, une triple « nature », de l’AndroJeunoConseil® : psychosociologique, éducationnelle, comme, anthropo-philosophique. Nous mettons, ici, en exergue, une quatrième dimension androJeunologique, fondamentale : le « culturalisme ». Le dictionnaire Robert, (De la langue française, France, 2007), le définit, comme, une « doctrine sociologique. Qui considère, l’influence, du milieu culturel, des formes acquises, de comportement, sur l’individu ».

 

Il s’agit, de fixer, l’accent, sur l’influence, d’une culture, donnée et, sur la personnalité, des individus ou, d’un peuple. La culture juvénile est comprise, ici, en son sens large, l’enrichissement, du soi. Tout, ce qui distingue, caractérise, une société, comme, un groupe social, de façon, acquise, non, innée. L’AndroJeunologie® a vu le jour, en France, en ce temps, s’exerce, en ce pays, essentiellement, auprès, de jeunes hommes français. Cette jeunesse est française, latine, européenne et, occidentale.

 

Même si, des traits communs, sont dus, à une uniformisation mondiale, croissante, façonnent, une certaine « juvénilité, du monde ». Les caractéristiques nationales demeurent, toujours, fort prioritairement. Même, au sein, de la seule, Europe, d’importantes disparités, s’observent, entre, néogénérations, du Nord et, du Sud, de l’Est ou, de l’Ouest. Le « culturalisme androJeunologique » tend, à aider, un junior masculin français, à renforcer, ce qui fait, sa richesse nationale.

 

Comme, atténuer, ses « travers culturels », les plus néfastes. Surtout, lui permettre, de bénéficier, des « pleines avancées », des autres jeunesses. Notamment, nord-européenne et, nord-américaine, quant à sa sphère occidentale, judéo-chrétienne, d’appartenance. Sans négliger, l’aire orientale, du globe. Particulièrement, asiatique, de l’Est, du Sud-Est, extrême-orientale, chinoise, japonaise… De philosophie et, tradition civilisationnelles, notamment, bouddhistes, en sa vision, de vie113.

 

Pour en rester, au seul, « pôle culturel », occidental, dont, relèvent, nos jeunes, des études internationales pointent, un clivage marqué. Entre, d’une part, la jeunesse, nord-américaine, nord-européenne, germanique et, la néogénération latine, dont, française et, est-européenne, de l’autre. La jeunesse nord-américaine étant, encore, globalement, plus « favorisée », que son homologue européenne. Notamment, en terme, d’enseignement supérieur, « d’émancipation » personnelle. Les juniors français sont, du deuxième groupe, moins « avancé ».

 

Ils sont moins confiants, en leur avenir, sereins, sûrs, d’eux, plus négatifs, pessimistes, moins autonomes et, plus passifs. Ils subissent, plus, prennent moins, d’initiatives, moins, leur « destin, en main ». Le « système éducatif, franco-français », promeut plus, le conformisme, l’obéissance, l’autorité, l’arrogance, que l’originalité d’esprit, la liberté, l’autonomie, l’humilité. Davantage, la hiérarchie verticale, que la participation horizontale, la suspicion, que la confiance. Notre néogénération n’a, aucune place, nulle influence, aucune part, à la marche, de sa société ou, presque !

 

Elle en souffre, se sent incomprise, malmenée, « sur le qui-vive, la défensive » permanents114. Elle « passe son temps », à protester, manifester, contre le sort, qui lui est fait. Elle s’enlise, à son corps défendant, en un rejet crispé, d’ « autodéfense », loin, d’une libre acceptation, vraie sérénité. L’AndroJeunoConseil® aide, le jeune homme français, à se libérer, le plus et, mieux possible, des pesanteurs, de principes éducatifs, préétablis. Aussi, issues, du passé hexagonal. Rigides, abaissants, « liberticides ». Pour s’inspirer, de ce qui fait, mieux, plus, « avancer », d’autres, jeunesses occidentales, en équilibre, motivation, confiance.

 

Pour (se) grandir, être adulte, responsable et, autonome, heureux et, libre : mieux, plus vite et, plus tôt ! Il s’agit, de prendre conscience, que d’autres, schémas positifs, de penser et, vivre, sont adoptables, à profit. Au lieu, de nous replier, sur nos seules, « spécificités nationales », enrichissons-nous, aussi, autant, des particularismes allogènes ! L’AndroJeunologie® a donc, pour principale, « raison d’être », de répondre, aux attentes, réalités, besoins, des juniors. De les aider, à « optimiser », tous leurs potentiels et, performances. Leur permettre, d’atteindre, un équilibre, de vie.

 

Ainsi, défaillances, déficiences, défectuosités, sont « désagrégées », par la résolution, la réactivité, le rayonnement. Pour cela, s’applique, un « Programme andro-adoJeunologique, 3 M » : Mutation, Maîtrise, Maturité. Le changement, par une prise de conscience, un travail, sur soi. Une remise en cause, de soi, des anciennes données périmées, du passé et, du présent. Des néocomportements concrets, adéquats et, d’avenir. L’excellence, par l’émulation : devenir, le meilleur jeune masculin, de sa catégorie. L’exigence : refus, des compromissions, de transiger, sur les priorités capitales.

 

La rigueur : rejet, des complaisances, approximations, laisser-aller, à son propre égard, celui, d’autrui. L’adultisme, par la responsabilité : faire, lucidement face, à ses devoirs et, droits. L’autonomie : assumer, sa jeunesse, sa vie, ses besoins. L’utilité sociale : participer, à la pleine existence, de sa communauté, la collectivité. Ce protocole androJeunologique promeut, certaines valeurs. Ascèse, dépassement, de soi, effort, volonté, ténacité, courage, générosité. Ouverture, raison, paix, tempérance, confiance, motivation, épanouissement et, positivité…

 

L’AndroJeunoConseil® conduit le junior, à passer, de la pénurie psychique, à l’abondance, mentale et matérielle. Du tourment malheureux, à la sérénité heureuse, de l’existence. De l’échec propre, à la réussite personnelle. De la faiblesse, à la force physique, psychique, comme, spirituelle. Du pessimisme, à l’optimisme, des pensées, émotions, agissements. De la pure passivité, du soi, à l’activité concluante… Notre époque, plus, que jamais, est aux « virages fulgurants ». Malheur, au jeune, qui ne sait, s’adapter, créer, anticiper, réagir, évoluer, négocier, l’emporter et, innover… Il s’agit, de se départir, des travers, habitudes et, enfermements néfastes, pour « rebondir ».

 

En étant capable, de dépasser, ses échecs et, handicaps. Saisir, les occasions, s’imposer, « à tout prix », quelles, que soient, l’adversité, les forces antagonistes. Que notre jeunesse n’hésite pas, à lire, la biographie ou, l’autobiographie, des « grands hommes, de l’Histoire ». Les enseignements, à tirer, pour elle-même, sont, toujours, des plus « porteurs ». L’infirmité, d’un F. Roosevelt. (Homme d’État, États-Unis, 1882-1945). L’isolement, d’un W. Churchill. (Homme d’État, Royaume-Uni, 1874-1965). La marginalité, d’un C. de Gaulle. (Homme d’État, France, 1890-1970). Nul, de ces aléas, les plus durs, n’a ravi, l’essentiel, en 1940-1945, bien, au contraire115 !

 

Plus, que jamais, les vertus, de Hqp : « Hautes Qualités Personnelles », sont déterminantes, pour réussir, sa vie juvénile, plus, encore, qu’en la vie. Il est fort loisible, de « surcapitaliser », argent, pouvoirs, plaisirs, reconnaissance sociale et, passions intellectuelles. Il est bien plus, difficile, valeureux, moralement, de réaliser, l’acmé, d’une existence humaine « épurée ». L’ataraxie : paix, de l’âme, détachement, plein idéal, de sagesse. L’équanimité : transcender, ses propres quêtes, tourments et, peurs, par l’accomplissement et, la réalisation, de soi.

 

Très au-delà, des conformismes, schémas préétablis. Plus, que jamais, la destinée, de tout junior, est de devenir, un adulte, plein et entier. Or, les adultes, eux-mêmes, éprouvent, de plus en plus, de difficultés, à l’être et, totalement. Les mères peinent fort, à transmettre, un « modèle, d’identification », aux filles et, plus, encore, les pères, aux fils. Alors, le jeune reste, longtemps, voire, à vie, « adulescent » : immature, indécis, capricieux, velléitaire. Il se complaît, en son « incomplétude » toxique. Il s’agit, pour lui, d’apprendre, à « affronter », le vaste monde, « se frotter », à autrui, « oublier », ses déboires et, déconvenues.

 

« Se décentrer, de lui-même, pour apprivoiser, ses congénères humains ». Telle est, la clé, de la maturité. L’AndroJeunologie®, par sa pratique directive, inculque donc, au jeune, la triple voie idoine, de son « salut » : Mutation, Maîtrise et, Maturité. Muer, pour être « meilleur », se dépasser, pour grandir et, s’améliorer, pour avancer. Nous avons dit, à quel point, l’adulte a tendance, à ne pas assez, considérer, le junior, comme, « crédible », du simple, seul, fait, de sa jeunesse. Le jeune sera appréhendé, par ses aînés, comme, humain, « à part », non, « à part entière ».

 

L’AndroJeunoConseil® fait, l’exact pari, inverse : il croit, en chaque junior, quel, qu’il soit. Quels, que soient, ses défauts, difficultés, erreurs, errances, comme, ses échecs, dévoiements, découragements, mal-être et, désespérances. Car, elle voit, avant tout, en plein humanisme, ses efforts, mérites, talents, succès, qualités, persévérances, bonheurs, espoirs, plénitudes, richesses. L’AndroJeunologie® s’inscrit, donc, à rebours, des pessimisme, défaitisme, négativité, latins, de ce pays. Qui ne fait pas crédit, à l’être humain, globalement. À la jeunesse, encore, moins ! Ni les parents, enseignants, employeurs ni, les décideurs, publics et privés, la société, la nation, l’État, français, ne « misent », sur ces juniors.

 

Ne croient, en eux ni, leur font confiance. Ce qui génère, une néogénération, parmi, les plus « déshéritées, maussades et, désabusées », du monde occidental. Les quinze – vingt-quatre ans constituent, une tranche d’âge, encore, bien trop souvent, « oubliée, négligée, livrée, à elle-même », en notre pays116. Dont, en réalité, l’on se préoccupe, s’occupe, que l’on estime, fort peu ! L’AndroJeunoConseil® s’attache, à tenir, le plus grand compte, des spécificités juvéniles masculines. À considérer, le jeune, comme, non seulement, un « humain », mais, aussi, un « adulte », à part entière.

 

À partir, de ses quinze-seize ans et, des débuts, des études, de second cycle, de l’enseignement secondaire : le lycée, la puberté est achevée. Même si, la croissance, en taille, peut encore, se poursuivre. Le jeune a un corps, des capacités physiques, reproductives et, des désirs, d’adulte. De même, concernant, la psychologie cognitive, le junior atteint, le stade, de l’intelligence, dite, opératoire formelle : hypothético-déductif. Selon, la classification, de J. Piaget, (Psychologue suisse, 1896-1980)117 : le raisonnement, de type adulte. Être capable, de définir, certains postulats, de départ, réalistes et, d’en tirer, toutes les conclusions, qui s’imposent, d’évidence.

 

L’adolescent se situe, au rang, de la morale conventionnelle, de la classification, de Kohlberg (1927-1987). La préoccupation, de complaire, à autrui, notamment, les pairs. Le collectif l’emporte, sur le particulier. Puis, les règles, de la société, prédominent, sur celles, de l’entourage. Puis, le jeune peut atteindre, la pleine morale, postconventionnelle. Celle, des valeurs fondamentales, qui sous-tendent, les lois morales humaines. En une ultime évolution, certains juniors, à très haute conscience personnelle, développeront, une éthique universelle.

 

Dépassant, le temps, l’espace : leur époque, localisation géographique. S’il n’est pas encore, totalement, adulte, pour des raisons, psychiques et sociales, le jeune en a, certaines capacités. Il doit être traité, avec pleins respect, considération, en « grand », non, en « petit ». L’AndroJeunologie® insiste, sur les aptitudes, qualités inventives, créatives, du junior. Qui sont, à une phase, du développement neuronal humain, maximal.

 

Après, vingt-cinq ans, le « déclin », ne cessera, de continuer, ce, inexorablement. L’AndroJeunologie® fait abstraction, de l’âge, pour privilégier, avant tout, les pleines qualités humaines, du jeune. Il n’est pas encore, tout à fait, adulte, n’a, ni argent, pouvoir, indépendance. Ni influence, expérience, considération, pleine maturité. Il « n’a rien, n’est rien », en société. Pourtant, ses qualités intrinsèques, « se suffisent, à elles-mêmes ».

 

Quels, que soient, les problèmes, les besoins, d’optimisation, des potentiels, performances, du junior, l’AndroJeunoConseil® part, des « universaux essentiels ». Les capacités, acquis, projets, espoirs, rêves, qualités, apports, originalité et, unicité, de chaque jeune, en son humanité. Pour les transcender, vers le meilleur. Ni la jeunesse ni, l’adultisme, ne sont significatifs, en et, par, eux-mêmes. Seule, prévaut, la formidable individualité, de chacun-e ! Telle, est, la « culture androJeunologique », de fond. En universels, fondamentaux.


 

 


En sa toile, La Liberté guidant le peuple, (France, 1830), E. Delacroix, (Peintre français, 1798-1863), symbolise, la Révolution de juillet 1830, les Trois Glorieuses. Aux côtés, du personnage « allégorique », portant, le drapeau tricolore, figure, un jeune, des rues parisiennes, un pistolet, à chaque main. Il s’agit, de magnifier, « la lutte, contre l’oppression, pour la libération, du genre humain ». Ainsi, en cette représentation, fort significative, la « figure, de l’émancipation, l’affranchissement », chemine-t-elle, de concert, avec la jeunesse.

 

La nouvelle génération ardente, toujours, prête, à se lever, pour défendre, les valeurs et idéaux, les plus généreux, de transcendance, de l’humanité et, de l’humanisme. Les juniors masculins, toujours, présents, aux grands soulèvements, événements forts, de l’Histoire, de France. En 1588, aux barricades de la Ligue, à Paris. En 1648-1653, lors, de la Fronde populaire, parlementaire et, nobiliaire, contre, l’autorité monarchique, croissante. La régence, de la reine, A. d’Autriche, (France, 1601-1666), comme le Principal ministre, J. Mazarin, (France, 1602-1661). À la Révolution française, de 1789-1799, mettant fin, à l’absolutisme royal.

 

Celui, d’Ancien Régime, (France, 1589-1789). En 1830, à la Révolution de Juillet, contre, le régime, du roi, Charles X, (France, 1757-1836). Lors, de la Révolution de 1848, contre, la Monarchie de Juillet, (France, 1830-1848). En 1871, à la Commune, de Paris. En 1944, pour la libération, du pays. Au dix-neuvième siècle, de fort dures, révoltes lycéennes, éclatent, notamment, à Paris. Pour des raisons politiques, comme, en 1814-1815, en faveur, de l’Empereur, Napoléon Ier, (France, 1769-1821). En 1870, contre le régime, du Second Empire, (France, 1852-1870).

 

Pour protester, contre les conditions, de la vie lycéenne, d’alors, puis, au-delà. Il y aura, le grand mouvement étudiant, de Mai-68, tous ses prolongements, des années 1970. La contestation, contre la réforme universitaire, de 1986. Le rejet, du Cip, Contrat d’Insertion Professionnelle, en 1994. Le refus, du Cpe, Contrat Première Embauche, en 2006. De la loi Travail, en 2016… La néogénération sait, massivement, se mobiliser, pour les combats, socioéconomiques, politiques, éducatifs… Qu’elle demeure ardente, vigilante, lucide118 !


 

 


– Vos Re/Structurante Pédagogie –

Mutation, Maîtrise, Maturité AndroJuvéniles


 

 

L’AndroJeunologie® présente, une double composante. Elle est, une réflexion d’(Andro)JeunoScience® : étude théoricienne, académique, transversale, pluridisciplinaire, de vous, quinze – vingt-quatre ans. Elle est, aussi, une mission praticienne, de consulting d’AndroJeunoConseil® intégral, relation d’aide, à vous, garçon junior. Du triple point de vue, de vos pensées, émotions, actions.

 

Elle est, un plein holisme, d’assistance, guidance, pour votre public androJuvénile. Elle repose, sur une « excellente compréhension », de vos spécificités, de junior, une parfaite communication, avec vous. L’(Andro)JeunoScience® est une triple discipline. La psychosociologie, de votre personnalité, psychique et sociale, de jeune. Les sciences de l’éducation. Une anthropo-philosophie, de votre néogénération.


 

 


Il s’agit, de prendre en considération, le jeune, en toutes les dimensions, propres, de sa psyché, cognitivo-émotivo-comportementale. Comme, acteur sociologique, aussi. La pédagogie androJeunologique, est un apprentissage, de transmissions. Un perfectionnement, du « métier, d’élève ou, d’étudiant ». L’AndroJeunologie® est une réflexion morale, sur la « condition ontogénique », de la jeunesse. Sa destinée humaine, postenfantine, préadulte. L’objectif, du suivi androJeunologique, est de transmettre, au jeune, des « évaluations », les plus précises. Une formation structurante, des éclaircissements éducatifs pertinents. Des issues concrètes, à échéance raisonnable. En une obligation, de moyens et, résultats : offrir, au junior, d’ « être, avoir, de faire, plus et, mieux »119.


 

 


La vie est belle, La vita è bella, est une comédie cinématographique dramatique, italienne, de R. Benigni, de 1997-120. Guido et, Dora s’aiment fort, ont un petit garçon, Giosué. Leur existence, est très heureuse. Or, l’Europe est en guerre, les dictatures règnent alors, en maîtres. L’enfant et, ses parents, victimes, de l’antisémitisme, de ce temps, sont déportés, en camp de concentration. Pour préserver, son fils, Guido lui présente donc, l’univers concentrationnaire, comme, un « jeu », une vaste représentation, ludique et fictionnelle. Ce qui préserve, le jeune garçon, du pire. Lequel, se prête, alors, de bonne grâce, à ce qu’il perçoit, tel, un divertissement. Grâce, à son père, plus, les circonstances, se font dramatiques, plus, le junior, semble s’amuser. Inconscient, des dangers, tragédies, qui ont lieu, pourtant, autour, de lui.


 

Il s’agit, d’une métaphore, morale et philosophique, de l’existence juvénile. Qui signifie que, fondamentalement, même, confronté, aux pires drames, ce qui importe, avant tout, n’est pas, la réalité, elle-même, aussi terrible, soit-elle. Or, bien, la vision, l’appréhension, que s’en donne, l’individu. Comme, le philosophe, stoïcien, de l’Antiquité grecque, Épictète, l’avait déjà, dit, en son temps121. L’homme, ne pouvant, tout contrôler, maîtriser, avoir pouvoir, sur tout, il importe, alors, d’ « accompagner », les choses, de la vie. Afin, de les vivre, les gérer, au mieux, dans l’intérêt, de l’équilibre, du bonheur, personnels, de chacun.

 

L’AndroJeunoConseil® aide, tout jeune masculin, à ne pas, « s’en laisser conter », par la réalité, aussi négative, soit-elle, à s’en affranchir, en la dominant, dépassant, transcendant. Par une vision positive, d’épanouissement, de réussite, malgré tout, par le recul, la relativisation. Pour mieux apprécier, son vécu, soi-même, autrui. L’AndroJeunologie® définit, en toute priorité, non exhaustivement, Cent Règles Fondamentales, d’Accomplissement, de Soi, du Junior Masculin, Rèfasoj. Leur bonne observation, « garantit, l’essentiel ».


 

 


Les Cent Règles Fondamentales de Votre Accompagnement

D’Accomplissement de Soi de Junior Masculin


 

 

1- Votre alimentation, saine.

2- Votre sommeil, réparateur.

3- Votre activité, physique et sportive, régulière.

4- Jamais, vos addictions, dépendances, d’aucunes sortes : produits, personnes, comportements.

5- Être, ordonné, méthodique, rigoureux, en tout. Entretenir, votre cadre de vie.

 

6- Garder, votre fort bonne, hygiène corporelle.

7- Soigner, vos habillement et, aspect extérieur.

8- Bien organiser, tout votre temps.

9- Avoir, votre bonne méthode, de travail, adéquate, travailler, suffisamment, avec régularité, constance, efficacité, profit.

10- Cultiver, vos corrects liens androJuvéniles, amicaux, psychoaffectifs, sexuels, familiaux, sociaux, scolaires, professionnels, comme, à autrui. Choisir, avec grand soin, vos fréquentations.

 

11- Conserver, votre « ataraxie morale satisfaisante ».

12- Opter, pour vos loisirs, enrichissants.

13- Ne pas, négliger, votre vie culturelle.

14- Adhérer, à des valeurs, spirituelles, morales, comme, ontologiques, qui « élèvent, votre âme ».

15- (Vous) donner, toujours, de façon, la plus désintéressée, être généreux, ouvert, altruiste.


 

 

16- Privilégier, vos engagements, projets, objectifs, de toutes natures : les choisir, de façon pertinente, y croire, vous en donner, tous les moyens, agir, vous y tenir.

17- Être, vous-même, confiant, optimiste, loyal et, enthousiaste.

18- Observer, votre bon équilibre, de jeune : labeur / loisir.

19- Agir, par vous-même, en l’immédiat, sans différer.

20- Ne pas, infliger, aux autres, ce que vous n’aimez pas, subir.

 

21- N’être, ni inhibé, ni agressif, ni manipulateur : vous affirmer.

22- Pas, d’improvisation, mais, vos règles, structurantes.

23- Pas, de « fatalisme », de votre part.

24- Il n’y a « ni, chance ni, malchance » : comprendre, la vraie raison, de vos ennuis.

25- Changer, en regardant, vos aléas, en face.

 

26- Réagir, lutter, résoudre et, vaincre, vos épreuves.

27- Ne jamais, endurer, ce qui contrevient, à vos volonté, conscience.

28- Continuer, à vous battre, même, après, atteinte, de vos objectifs.

29- Être, tolérant, non pas, permissif, pour vous, autrui.

30- Fuir, rancune, rancœur, pardonner, à vous, aux autres.


 

 

31- Ne pas, vous considérer, comme, victime, perdant ou, bourreau, mais, garçon  junior, gagneur, acteur, maître, de vous, votre destin, par expérimentation.

32- Comprendre, doper, vos motivations, choix, à valider, avant, d’intervenir.

33- Être, lucide, quant à vos qualités et, handicaps, pour muter, évoluer et, vous amender.

34- Bouger, par vous-même, être dynamique, plutôt, que passif, subir.

35- Faire, la différence, entre la « raison, des autres », vos préférences, schémas, de pensée, conceptions juvéniles.

 

36- Vous faire respecter, aimer, tout en assurant, la réciprocité.

37- Savoir, exactement, ce que vous voulez, le réaliser, au plus vite.

38- Pas, votre sentiments, de honte, de culpabilité ni, de perfectionnisme.

39- Pas, vos peurs irrationnelles, irraisonnées, mais, vos sérénité, réalisme, objectivité.

40- Ne pas être, jeune homme masochiste, trop accepter, votre souffrance, mais, vous chérir, vous estimer, vous accepter, tel, que vous êtes, apprécier, votre corps et, vous vouloir, du bien.

 

41- Être, « vous-même », authentique et, à l’aise.

42- Veiller, à votre équilibre, entre passé, présent et, avenir, vous en libérer.

43- Ne pas, vous accabler, mais, vous donner, le plein « droit-devoir, de réussir et, d’être heureux ».

44- Vous sentir, en sécurité.

45- Décider, vous-même, d’être en succès, liberté et, bonheur, en tout et, toujours.


 

 

46- Imprimer, un sens, à votre parcours, vous réaliser et, vous dépasser.

47- Croire, en vous, autrui, la vie et, vos atouts.

48- Défendre, vos intérêts, ni plus ni, moins.

49- Accepter, l’adversité, vos épreuves, rejets, faire front.

50- Cultiver, une belle image, de vous.

 

51- Combattre, et, votre abattement et, vos échecs, par vos action, affirmation, de vous.

52- « Vous confronter », aux autres.

53- Maintenir, une harmonie, entre, vos domaines physique / matériel et, intellectuel / psychique, affectif / relationnel et, social / d’organisation ou, spirituel / des idéaux.

54- Avoir, votre santé androJuvénile pubertaire, la plus harmonieuse, « sans complications »122.

55- Surveiller, votre santé psychosomatique, sociale, de jeune masculin, vos infections sexuellement transmissibles.

 

56- Bien suivre, vos rythmes chrono-psychobiologiques.

57- Être, fort prudent, en matière, de vos prises de risques, potentialités d’accidents.

58- Annihiler, vos pensées négatives, suicidaires, tristes, pour éviter, déprimes, pensées, tentatives, actes, de suicide. Mieux, vous révéler, à vous-même, aux autres, à la vie, quoi, qu’il arrive !

59- Positiver, relativiser et, vous distancier. Faire, la différence, entre votre réalité objective avérée, acceptable et, votre interprétation, plus subjective, pessimiste, défaitiste et, résignée.

60- Éviter, vos pensées, états, réalités, de stress, d’anxiété, d’émotivité excessive, de malaises, frustrations, d’échecs. Vos attitudes, comportements, actes, n’en seront, que plus forts, pour mieux, réussir.


 

 

61- Être, suivi, par votre médecin généraliste, pour vous soigner, faire, de la « prévention santé ».

62- Vous protéger, des agressions, ne pas nuire, à autrui.

63- Faire, attention, aux petits « bobos », physiques et psychiques, de votre quotidien.

64- Gérer, votre budget, vos biens, votre niveau, mode, de vie, sans excès consuméristes ni, ascétiques.

65- Obtenir, votre compromis androJuvénile, entre, « être, avoir, paraître, faire », en privilégiant l’être, bien plus significatif, en tout et, pour tout, en toute occurrence.

 

66- Vous intéresser, au reste, du monde, aux juniors, aux humains, de toutes les autres cultures, sphères géographiques.

67- « Réinvestir », au mieux, toute votre vie, de famille, en tous ses aspects : affectif, éducatif, de socialisation et, économique.

68- Faire, des efforts, d’insertion et, d’intégration, en votre communauté, votre quartier, votre ville, vos études et, votre emploi, votre société et, votre pays.

69- « Décupler », vos compétences sociales. Vos souveraineté, métier, autonomie, fondation familiale, civisme, civilité sociale et, système, de valeurs, distanciation, d’avec vos pairs, vos identité sexuelle, aisance corporelle.

70- « Devenir, adulte » : finir, votre formation, trouver, un emploi, quitter, vos parents, vous installer, chez vous, stabiliser, votre vie affective, créer, votre famille.

 

71- En cas, de « détresse », bien spécifique : être victime, d’autrui, handicapé, en marasme socioéconomique ou, déviant…, vous faire aider, « livrer bataille », vous en sortir.

72- Optimiser, vos capacités mentales, intellectuelles et, votre jugement moral.

73- « Métaboliser », tous vos acquis, d’enfance, capitaliser, ceux, de votre jeunesse, asseoir, ceux, de votre adultisme.

74- Grandir : maturité, responsabilité, maîtrise, du milieu, sens existentiel, développement personnel. Pour vous assurer, un « avenir adulte »123.

75- S’il y a, troubles individuels, psychiques ou, de vie, vous faire assister, par un proche, une personne, de confiance, un professionnel.


 

 

76- Accroître, votre « sens », de l’effort, la persévérance, la ténacité et, du sacrifice, courage, de l’audace, l’espérance, du changement, de la décision, du choix.

77- Être, aidé, pour vos difficultés scolaires.

78- Organiser, votre orientation, d’études, des métiers.

79- Ne pas, oublier, votre expérience, des stages, « petits emplois ».

80- Mener, à bien, vos débuts professionnels.

 

81- Faire, courageusement, face, aux blocages, de votre emploi juvénile : chômage, déclassement, précarisation.

82- Vous imposer, auprès, des pouvoirs publics, pour que votre jeunesse soit bien « mieux, prise en compte », en France.

83- Obéir, aux lois, faire valoir, vos propres droits juridiques.

84- Souscrire, à vos devoirs, de citoyen, en tous domaines.

85- Avoir, un « bon style, de vie », apaisant, constructif, favorable, à votre plénitude.

 

86- Lutter, contre, ce qui vous déstabilise : panique, colère et, violence, dégoûts, honte, actes irréfléchis…

87- Apprendre, à vous calmer, détendre, relaxer.

88- Éviter, de juger autrui, toujours, être indulgent, compréhensif, tout en restant ferme, sur votre essentiel.

89- Être, tempéré, raisonnable, modéré, pondéré, en tout et, pour tout, quoi, qu’il arrive, en bon contrôle, de vous-même.

90- Ne pas, tout centrer, sur vous ni, autrui : être juste !


 

 

91- Ne pas, dramatiser, exagérer, être excessif et, généraliser ni, tirer, vos conclusions hâtives.

92- Pas, de sectarisme ni, de pensées extrémistes ou, dichotomiques, manichéennes, de votre part.

93- Apprécier, totalement, vos acquis, résultats, progrès et, réalisations, tout en vous améliorant, encore.

94- Valoriser, tant, vous-même, qu’autrui.

95- Savoir, dominer, vos déceptions, frustrations, contretemps, échecs, envies, désirs, plaisirs.

 

96- Stimuler, votre créativité et, votre inventivité, vos potentiels, savoirs, savoir-faire, faire savoir, savoir être. Imagination, rêveries, monde intérieur et, curiosité.

97- Vous connaître, être au clair, de vos réalités, besoins, attentes, votre personnalité, ceux, des autres, vous écouter, écouter autrui.

98- Prendre, le temps, de vous arrêter, faire le point, réfléchir, « vous poser ».

99- Oser, exprimer, vos nécessités, votre gêne, refuser, déplaire, négocier, vous défendre.

100- « Devenir, meilleur » : aimer, apprendre, connaître, savoir, comprendre, découvrir, méditer, raisonner, vous enrichir et, vous transcender.


 

 

Ces « Cent Leçons » androJuvéniles et, androJeunologiques contribuent, à mieux être, fournir, une densité, à son vécu, laisser, sa pleine marque terrestre. « Devenir, un jeune homme debout »124 !


 

L’AndroJeunologie® est conseil global, science de la jeunesse masculine. Elle s’intéresse, à tous les aspects, du développement, des jeunes hommes. Cette approche holiste, innovante, dépasse, les classiques coachings scolaires et, les psychothérapies, de jeunes. Pour assister, soutenir, un junior, en ses études ou, son quotidien et, au-delà. Prenant, en considération, tout l’essentiel, du particularisme juvénile, il s’agit, de transcender, les domaines éducatif, thérapeutique. Cela mène, à une voie, d’apprentissage, indéfiniment, profitable, à tout jeune. L’AndroJeunoConseil® est le « chaînon manquant », entre, les traditionnels, soutiens scolaires, suivis, du thérapeute, de juniors ou, généraliste.

 

La spécialisation androJeunologique libérale est inédite, en France. Elle s’inspire, d’une approche, plus nord-américaine, qu’européenne, comme française. Outre-Atlantique, coaching scolaire et, soins psy, de jeunes, sont, de plus en plus, souvent, relayés, par le « teen life coaching ». Accompagnement, pour juniors concernés. Cette pratique, plus globale, est plus complète et, performante, puisqu’elle offre, une relation d’aide, des plus polyvalentes. Orientée, vers le plein épanouissement, de vie, l’optimisation totale, des potentiels juvéniles. En une véritable « gnose, philosophie, menant, à la plénitude, par la connaissance, de soi ». À l’inverse, du suivi, centré, sur les seules études, failles psychiques.

 

L’accompagnement, en développement personnel androJuvénile. La guidance, andro-éducation/jeunesse. Le préceptorat, de vie, des garçons, de quinze – vingt-quatre ans. Telle est, l’AndroJeunologie®. Sa « mission » n’est d’être ni, thérapie, de junior, chargée, de traiter, soigner, guérir, des souffrances, pathologies, de tous âges. Ni, strict coaching scolaire / des métiers. Contrairement, à la psychopratique habituelle, l’AndroJeunoConseil® ne concerne, seulement, que les postenfants-préadultes. Il existe, des experts, en thérapies ou, orientation, soutien, coaching scolaires, professionnels.

 

Or, il demeure, encore, un déficit flagrant, de spécialisation, en conseil global de vie, pour les jeunes, bien adaptée, à cette génération, en France. Au-delà, des intervenants conventionnels, ce balisage, si particulier, est un recours alternatif, unique et, novateur. Entre, les pôles d’aides « psy » et, aux études. Bien moins adaptés, aux réels besoins, de croissance, d’épanouissement, de réussite, de tous les jeunes. L’AndroJeunologie® est une approche, très particulariste, qui ne se compare, à nulle autre125. Elle ne règle pas, un problème, mais, appréhende, le junior global.

 

Elle ne s’y substitue pas, or, très finement, lève, les blocages, optimise, les potentiels, dope, l’épanouissement, des quinze – vingt-quatre ans. En leur dure progression, spécifique, de vie, tous, rencontrent, des obstacles, qui peuvent altérer, leur développement juvénile. Dans le cadre académique, des perturbations propres, émergent. Du fait, des impératifs stressants, de performances, des plus optimales, fort exigés, par le milieu éducatif. À l’inverse, des difficultés personnelles, ne peuvent, que nuire, aux études. Alors, le conseil androJeunologique peut, globalement, résoudre, la problématique existentielle générale, du junior.

 

Ce qui n’est pas, du ressort, du thérapeute ni, du coach scolaire. Le blocage individuel, éducatif, des jeunes, sera adéquatement, traité, car, l’approche menée, est holistique, transversale et, pluridisciplinaire. Avec, sa spécificité réactive, plus apte, que d’autres, plus conventionnelles, à mieux régir, le particularisme juvénile, adéquat. Le junior ne pourra, alors, que mieux s’épanouir, réussir, en son rôle, de scolarisé et, préadulte. S’adapter, à ses critères développementaux. Il y gagnera, pour son avenir, de plus claires perspectives, quant à ses complets, mécanismes, d’insertion.

 

De libération, de ses propres limites. Pour ne pas entraver, les fondamentaux bénéfiques, de sa maturité assumée. La vie quotidienne, comme, académique, occasionne, des tensions, des lacunes ou, déficiences, légères ou, importantes. Elles menacent, de re/faire surface, de façon imprévue, difficile, à gérer, autant, pour le jeune, que pour tout, son entourage. L’encadrement androJeunologique, des plus alertes, réactifs, dépasse, les indications habituelles, limitées, d’une intervention traditionnelle. Il peut donc, fort opportunément, élargir, le champ d’action, centré, sur les seules, affections psy ou, encore, l’amélioration, des résultats d’études, des juniors.

 

Par l’accompagnement, en développement personnel, de réalisation, de soi, androJuvéniles. Lequel, éclairera, le jeune sur ses aptitudes, non encore, exploitées. Cette tonique relation d’aide, est dispensée, non, par un « soignant » ou, conseiller pédagogique, mais, par un conseiller androJeunologue®. L’AndroJeunoConseil® offre alors, la double compétence, d’une assistance générale, éducative et personnelle. Il renforce, totalement, des capacités, d’adaptation, inexploitées, immédiates et, ultérieures, favorables, au jeune. En équilibre, assurance, motivation, maturation126.

 

Pour être plus heureux, productif, libre, au-delà, de cette courte, éphémère, mais, si cruciale phase, de sa vie. Une « jeunesse difficile » n’est pas rare. En tous ses aspects, les stades habituels, du développement juvénile, présentent, des occurrences, fort malaisées, à chacun d’eux. Cette « jeunesse, si déstabilisée », en est perturbée. Non « pathologique », en soi, elle peut s’ouvrir, à l’acquisition, de nouveaux talents, ressources accrues. Qui viennent enrichir, le junior, son entourage, pour transcender, sa « délicate évolution ».

 

À défaut, si ce temps, de vie, si « spécifique », n’est pas, « bien habité », il peut, ultérieurement, donner lieu, à de fortes « complications », problématiques. Au rythme, de la maturation, du jeune. Au-delà, tous, sont concernés. La « jeunesse fragilisée », peut présenter, des particularismes, typiques, de ce passage. C’est, généralement, par le truchement, de l’environnement humain, des juniors, que cette réalité, des plus complexes, se manifeste. Avec, plus ou, moins, de force. Pour certains, cette « ère néogénérationnelle transitoire », est la saine occasion, à s’opposer, fort idoinement. Se distinguer, des pairs, parents et, acteurs éducatifs…, pour bien définir, leur identité propre.

 

Alors, que d’autres jeunes, connaissent, quelques blocages. L’expriment, de diverses façons, potentiellement, douloureuses, plus ou, moins, aiguës. Il s’agit, de juger, adéquatement, quels types présumés, de difficultés, sont en cause, pouvant distinguer, le plus finement possible, une « jeunesse incertaine ». À quel degré, un junior, pourrait ou, non, en être affecté ! La démarche spécialisée, ciblée, de l’AndroJeunologie®, permet, d’éclairer, ces zones indéfinies, incertaines, ambivalentes et, très délicates. Souvent, mal identifiées, même, par les instances parentales, scolaires, décisionnaires, sanitaires.

 

L’AndroJeunoConseil® est apte, bien armé, à faire face, décisivement, avec des outils, favorisant l’émergence, des solutions, d’une approche progressive. Il mène, le junior, à acquérir, un « bagage » nouveau, utile, fécond, à vie. Pour dépasser, les aléas déstabilisants, de l’expérience juvénile. La guidance, éducation-jeunesse, synthétisée, en la tonique, approche androJeunologique, tend, à résorber, les dysfonctionnements. Lesquels, sont, plus ou, moins, directement, associés, à la jeunesse, nécessitant, une visée spécialisée, adaptée et, ciblée127. De façon « intégrative » : holiste, transversale, pluridisciplinaire.

 

Elle autorise, un regard critique, englobant, tous les « revers » individuels, du jeune, pour en saisir, les tenants et, aboutissants. Ces derniers sont, souvent, prédictifs, de l’émergence, d’une « jeunesse indécise ». Si le junior est « confronté », aux domaines, d’intervention sanitaire psychosomatique, il est soumis, de plus ou, moins, bon gré, à des pratiques traditionnelles. Peu adaptées, à ses spécifiques, vrais « attentes, réalités, besoins, vitaux », souvent, éludés, incompris ou, mal appréhendés, à ce stade. Nombre, de jeunes, en situation, de « jeunesse critique », relèvent, plus et mieux, de l’AndroJeunologie®.

 

Pour bénéficier, d’une alternative inédite, de résolution, de leurs problématiques, perturbatrices, à court, moyen, long termes. Parents, éducateurs, médecins, thérapeutes psy, découvrent, peu à peu, les atouts androJeunologiques. La foi, en l’avenir, re/naît, d’une nouvelle approche, plus apte, à assister, une « néogénération, en quête ». Cela, les encourage, à orienter, cette jeunesse, vers une pratique, d’ « amendement fort », de dépassement ontologique, positif, de la jeunesse. À échéance, très « raisonnable ».

 

Les praticiens, familles, juniors et, entités sociales, scolaires, ont « avantage », à découvrir, appliquer, reproduire, ce concept novateur. Pour affronter, surmonter, les obstacles, souvent, très importants, de la néogénération. Chaque jeune, vivant, de sa façon propre, une variante, de jeunesse complexe, identifiée et, prise en charge, par l’AndroJeunoConseil®. Les parents recherchent, eux-mêmes, des ressources adéquates, performantes, pour soutenir, un junior, à « phase troublée ». Ils trouvent, en l’AndroJeunologie®, l’approche efficace, respectueuse, des protagonistes impliqués. De leurs réalités, besoins, attentes.

 

À commencer, naturellement, en toute priorité, par le jeune, concerné, lui-même. Le « repérage », d’une telle spécialisation, expertise-conseil, des quinze – vingt-quatre ans masculins, n’est pas « évident ». Nombre, de professions « généralistes », sont consultées, pour tenter, de cerner, le phénomène spécifique, complexe, de la jeunesse. Avec des outils, non toujours, adaptés, particuliers, quant à ces praticiens, intervenants, non experts, de la « chose jeune ». Comme, en toutes matières, l’approche, d’un professionnel idoine, maîtrisant bien, les compétences, liées, aux particularismes androJuvéniles, s’impose. Du début, de l’adolescence, à la fin, de la jeunesse, ontogéniques, stricto sensu128.

 

Les impacts négatifs, voire, contre-productifs, même, d’absence, d’outil adéquat, peuvent être, positivement, palliés. De façon, optimale, rapide, satisfaisante. Dans le plein intérêt juvénile. L’AndroJeunoConseil® est un nouvel accompagnement, en développement personnel, créé, pour les seuls garçons, de quinze – vingt-quatre ans. Il correspond donc, parfaitement, aux meilleures novations, recherches, découvertes, d’approche scientifique, de l’androJeunesse. Ouvrant, des perspectives prometteuses, d’investigations, en sciences humaines, sociales, de la jeunesse.

 

Le préceptorat, de vie et, réalisation, de soi, juniors, constitue une ressource, très performante. En matière, de psychosociologie, du développement androJuvénile, encore, inédite, à ce jour. Cette « avancée », fort bénéfique, à l’efficacité, de la guidance éducative, androJeunologique, aide, décisivement, le jeune. La méthodologie pratiquée, en développement ontologique, comme, ontogénique propre, d’AndroJeunologie®, a pour objectif, l’accomplissement, de soi, du junior mâle. Par un tutorat, visant, à le rendre autonome, apte, à acquérir, optimiser, ses propres potentiels, outils, de croissance.

 

Il y a, le truchement, la médiation, des mentalités, émotions, attitudes, actes juvéniles. Par le travail, sur ces vecteurs, l’accompagnement, en développement personnel androJeunologique, donne, ses meilleurs effets. Ce néoconcept, cognitif, émotionnel et, comportemental, suscite, une vraie prise, de conscience, du jeune. Un renforcement, de son rôle, individuel et collectif. En acteur, du cadre familial, scolaire, professionnel, relationnel, social, politique, économique, culturel, des loisirs, valeurs… Cette relation d’aide, en optimisation personnelle, juniors, vise, ultimement, l’atteinte, de l’adultisme accompli. Par la pleine maturité, le dépassement, de soi.

 

L’éclairage androJeunologique vient, très soigneusement, étayer, l’ensemble, du parcours, de vie. Menant, assurément, à l’épanouissement progressif, des quinze – vingt-quatre ans. Le conseil, en développement, de soi, jeunesse, a une durée, naturellement, limitée, dans le temps. Selon, les stricts besoins individuels, de chaque jeune. Or, ses effets bénéfiques s’inscrivent, dans le long terme, lui servent, durablement. Le meilleur « procédé », pour guider, un junior, est de lui donner conscience et, accès, à ses propres potentialités. En cheminement, de suivi androJeunologique, de « croissance intérieure ». Apte, à lever, ses blocages, « doper », ses pleines capacités129.

 

Afin, de lui permettre, d’identifier, tous les moyens, nature, qualité, de sa propre réalisation, de soi. L’AndroJeunoConseil® favorise, l’autonomie épanouie, du jeune, par son parcours, en évolution propre, de junior. Il lui fait dépasser, ses limites, postenfantines et préadultes, en dopant, sa pleine aptitude illimitée, à atteindre, une maturité éclairée. Le plus souvent, le jeune, de quinze – vingt-quatre ans, ne dispose pas, fort aisément, d’outils, d’ « adultisation » sophistiqués. Ceux, utilisés, par le conseil, en progression individuelle androJuvénile.

 

Les heurts, inconforts, de son évolution font, immanquablement, du junior, un sujet, en constante mutation. Fort démuni, des « ferments premiers », tant essentiels, à son accomplissement. Son tutorat, en développement personnel néogénérationnel est, pour lui-même, d’un grand soutien, en sa quête, d’identité, existentielle, « objectale ». Si décisive, pour un être, en devenir, aspirant, à sa transcendance. L’encadrement, en réalisation, de soi, de l’AndroJeunologie®, est de type « dynamique », car il est directif, interactif, écrit, structuré. Avec progressifs, exercices et entraînements, très concrets.

 

La nouvelle génération, des jeunes masculins, a, avec le soutien, en « évolution, de vie » juvénile, une perspective. Celle, de bénéficier, d’une approche, cohérente et globale, centrée, sur les vraies réalités intrinsèques, de la jeunesse. Les pratiques habituelles, non spécialisées, qui traitent, des jeunes, ne les appréhendent, trop souvent, de façon normative, qu’en « adultes, à venir ». Jeunes, à « re/formater », en humains fonctionnels. La guidance, en développement, de potentiels, juniors, prend en compte, les atouts, failles, du jeune. Elle lui apprend, à forger, ses capacités, objectifs, aspirations et, idéaux.

 

Pour les rendre, de façon idoine, applicables, à sa vie, de jeune, puis, à celle, de l’adulte accompli, intégré, résolu, qu’il deviendra. Le balisage androJeunologique se distingue, par son approche cognitive, émotionnelle et, comportementale, humaniste, positive. Il diverge, des traditionnelles psychothérapies, centrées, sur le seul soin, la guérison, de souffrances psychiques, psychopathologies. Être junior, n’est pas, en soi, une « maladie » ! Le « préceptorat, en sagesse personnelle » androJuvénile, est un conseil de vie. Il aborde, le jeune, par ses potentialités, inexplorées ou, sous-exploitées, ses forces, richesses latentes. Il vise, à lui donner, les meilleurs moyens, de ses ambitions et, les mieux adaptés130.

 

Pour qu’il puisse, de l’intérieur, renforcer, les processus libérateurs structurants, enclenchés, par sa relation d’aide, juniors, spécifique. L’AndroJeunoConseil® ouvre, de nouvelles puissantes voies, enrichissantes. Éclaire, révèle, accroît, des aptitudes réelles, insoupçonnées, de pleine réalisation, de soi, des jeunes hommes. Le manque, de confiance, en soi, est un défaut, d’estime, comme, d’acceptation, de soi. Déficit, d’assurance, face, à soi-même, autrui, la vie. Faille, d’affirmation, de soi. Il s’agit, d’un mal très répandu, chez le jeune français.

 

Cette absence, de confiance, en soi, est prévalente, en toutes, les tranches d’âge. Or, elle devient, une « affection, à vie », s’il n’y a pas résorption, de ce trouble invalidant, à la jeunesse. Le déficit, de confiance, en soi, si inhérent, à la personnalité, d’un jeune, date, souvent, de l’enfance. Il est insidieux, toxique. Compromet, l’évolution « normale », du sujet juvénile, vers l’adultisme, accompli et épanoui. Notre éducation autoritaire, est facteur prédisposant. L’AndroJeunologie® s’attaque, aux racines, du « manque, de force mentale », du junior. Qui le fait, excessivement, douter, trébucher, faillir.

 

La pratique, de suivi androJeunologique, fait, de la guidance, éducation-jeunesse, un « fer de lance », de l’accomplissement, des quinze – vingt-quatre ans masculins. Pour mieux, « optimiser », leurs cognitions, émotions, comportements et, potentiels. En acceptation et, engagement. Leur inculquant, une approche, très innovante, réglant, les problématiques, de l’androJeunesse, en manque, d’éléments constructifs, de plénitude. Inhibée, agressive ou, manipulatrice, handicapée, par son manque, de confiance, en soi. En incapacité, à s’affirmer, de façon équilibrée, en assertivité satisfaisante. En cet ouvrage, nous décrivons, les facteurs psychosociaux, favorisant, l’absence, d’assurance juvénile.

 

Les très dommageables, conséquences induites. La prise en charge, du suivi androJeunologique, aborde, l’insuffisance, de confiance, en soi, des juniors, « en toute priorité ». Tant, il s’agit, du premier vecteur, compromettant, leur plein développement. Par les exposés, qui suivent, plus bas, nous souhaiterions, sensibiliser, le public, à un « mal », encore, trop souvent, méconnu, en France. L’incapacité, de foi, en soi, chronique, délétère, du jeune. Pire obstacle, sur la voie, de sa réussite, son rayonnement. Cet autopréjugé, si fallacieux, erroné, nocif, d’indignité, de déchéance, des jeunes, brise, toute leur capacité développementale. Gâche, leurs chances131.

 

Bien peu, en ont, véritablement, conscience. L’AndroJeunoConseil® transmute, ce manque, de confiance, en soi, en une force, révélatrice, des capacités innées, du junior. Si les parents ne sont pas, les « interlocuteurs, les plus aptes, à intervenir », l’AndroJeunologie® le peut, par ses moyens, ultraspécialisés. Mieux capable, d’aborder, le défaut, de confiance, en soi, juvénile, si fréquent, en ce pays, sa culture. Si le jeune est mal orienté et, de façon, inadaptée ou, trop généraliste, il se verra souvent, « conformé », de façon exogène.

 

Pour entrer, en la normativité, d’une société réductrice, de citoyens, travailleurs, d’adultes, jugés acceptables. En endogène AndroJeunoConseil®, il sera procédé, plus positivement. Quant à ce manque, de confiance, en soi, du junior. Afin, de lui révéler, ses propres mécanismes, de rétentions, blocages, négation, de ses qualités originales. Vers l’assurance, la sérénité. La simple existence, d’un déficit, de foi, en soi, est déjà, significative, en AndroJeunologie®. Celle-ci offre, alors, une solution décisive, au junior, concerné. Masquer, nier, l’évidence, n’est pas souhaitable, favorable. Pour restaurer et, restructurer, la conviction, des juniors, en leurs aptitudes, ambitions, qualités propres.

 

Le milieu familial est souvent, démuni ou, même, contribue, à l’absence, de solidité intérieure juvénile, ce, à son insu. L’approche androJeunologique mène, les quinze – vingt-quatre ans masculins, à un regard « neuf », sur leur vie. Fait « fructifier », leurs talents et, ceux, de leur avenir. Si le défaut, d’affirmation, de soi, est un très net obstacle, la lutte, pour s’en affranchir, permet, l’éclosion, de nouvelles facultés. Prometteuses, en matière, de « re/prise en main », de sa propre destinée. Pour enfin, « croire, en soi » ! L’insuffisance, d’estime, de soi, juvénile, n’est pas, une fatalité, immuable.

 

Identifiée, travaillée, annihilée, vaincue, son remplacement, par le charisme et, la force, de décision, caractère, peut mener, à l’épanouissement volontaire. L’accomplissement, de soi, des juniors. Avant, l’adultisme, quand, le renforcement, face, aux chocs, de l’existence, est si fondamental. Tôt ou, tard, le manque, d’assurance, devient un fardeau, ralentissant, la vie, du jeune, puis, de l’adulte. Si cette absence, d’amour, de soi, n’est pas « transfigurée », en traits proactifs, générant, le changement favorable. Indispensable, au bonheur, succès global, de la vie individuelle, familiale, sociétale, professionnelle… « Pour le meilleur et, pour le pire »132.

 

Découvert, reconnu, jugulé, le manque, de confiance, en soi, juvénile, devient assurance, motivation, progression, du junior. Vers l’équilibre, nécessaire, à tout adulte « debout », en son siècle. Le rapport, jeunes-parents, a toujours, été, des plus malaisés. En un tel temps, de sophistication technologique, de communication, cette cohabitation, jeunes-ascendants, loin, d’être facilitée, devient complexe, voire, conflictuelle. En dépit, d’une éducation parentale, plus souple. Allant, de la confrontation brutale, à l’accommodement apaisé, le « tandem », juniors-parents, est amené, à évoluer.

 

Vers bien plus, de distanciation, de libertés juvéniles. Au bénéfice, de l’ensemble, du groupe familial, sans « perdants ». Tous, devant, « y gagner », en richesses interactives, nouvelles : parentalité et, jeunesse. L’AndroJeunoConseil® favorise, en ce lien privilégié, jeunoparental, les fructueux ferments, d’une croissance mutuelle, bénéfique, à tous. L’AndroJeunologie® considère, le partenariat intergénérationnel familial, comme, un « tout », fonctionnel. Qu’il est vital, de prendre en compte, pour aider, un jeune, à bien s’épanouir. Sans, pour autant, obérer, son net impératif, de différenciation critique, pour se démarquer, d’autrui.

 

En cette dynamique bipolaire, jeunesse-parents. L’équilibre, l’assurance, la motivation, du junior, doivent pouvoir, y prospérer. En dépit même, de toutes les tensions latentes, de ce contexte familial dual. Pour bien optimiser, les potentiels, de ce champ bilatéral. Il s’agit, de mieux tirer parti, des naturelles « propensions » juvéniles, à la maturité et, l’émancipation. L’AndroJeunoConseil® agit, en cela, pour dépasser, tout antagonisme intrafamilial. Cet ouvrage insiste, sur ce grand besoin, de « plénitude domestique », pour tout jeune. Ce dernier compte, très fermement, sur les fruits, les plus prometteurs, de sa relation parentale.

 

Pour s’en nourrir, tenter, de combler, tous ses besoins, carences psychoaffectifs, éducatifs, croissants, de nos jours. Le concours apporté, aux juniors, par l’AndroJeunologie®, appréhende, l’environnement familial, comme, un élément majeur. Influant, sur la réalité psychoaffective, du lien jeuno-parental. L’épanouissement, des ascendants, aura toujours, une forte incidence, sur celui, des jeunes et, réciproquement. Au-delà, de la seule, psyché juvénile, la nature, comme, la pleine qualité, de l’environnement familial, comptent plus, que tout, pour le junior. Il en va, de son équilibre133.

 

Reflétant, toute la proximité ou, la distance, entre jeunes et, parents, elles sont une indication précieuse, pour l’équilibre, du jeune. L’on ne peut, l’aider, à s’accomplir, en ce cadre systémique familial, sans bien évaluer, au plus juste, les rôles et, implications, de ce terrain générationnel interactif. En l’ambivalence relationnelle, jeunesse-parentalité, la discipline, de l’une, doit répondre, à la flexibilité, de l’autre. Pour le jeune, se réaliser, n’est pas chose évidente, si sa structuration éducative familiale, est trop laxiste, neutre ou, excessivement, rigide.

 

L’approche androJeunologique, pluridisciplinaire, transversale, globale, aborde toujours, cette réalité duale, jeunesse-adultisme. Notamment, les proches. Pour la « transcender », au profit, du junior. En France, la jeunesse ne bénéficie pas encore, de la pleine reconnaissance, de ses potentiels, d’accomplissement. Notamment, en matière, d’interactions, entre les âges, surtout, au sein, de la cellule domestique ou, scolaire. Historiquement, ce lien intergénérationnel familial a été et, est, encore, envisagé, de façon « parcellaire » ou, du seul, point de vue, des uns ou, des autres. Nos instances psychosociales dissocient, trop souvent, encore, les protagonistes, en cause.

 

Voire, opposent, les uns, aux autres, en vertu, de factices « crispations intergénérationnelles », conventionnelles. Au lieu, de tirer, tout le parti, de la noblesse, si fondamentale, du tissu familial androJuvénile et, parental. Il y a, grandes difficultés, à explorer, plus hardiment, d’autres voies, de compréhension, du phénomène contemporain jeuno-familial. Comme, le fait, l’AndroJeunoConseil®. Cela, ne fait, que différer, le processus juvénile, d’adultisme. Empêcher, que le jeune, ayant fort grandi, puisse enfin, dépasser, son face-à-face, avec ses aînés, désormais, de nouvelle nature !

 

L’approche, toute holistique, du conseil des quinze – vingt-quatre ans, caractérise, donc, l’AndroJeunologie®. Elle promeut, un tutorat, pour le jeune, élargi, à son milieu familial. En toute sa dimension systémique, parentale, juvénile. La psychosociologie, de cette dynamique, jeunesse-ascendance, est trop, en retrait, en France. La relation d’aide apportée, au junior, est, ailleurs, pleinement, reconnue, comme, « outil, de liaison », croissance, de ce duo familial, majeur et capital. La vision androJeunologique, innovante, rapproche, assiste, de façon, pragmatique et neutre, tous les membres, de la cellule domestique et, intergénérationnelle134.

 

Elle œuvre, à l’unité, la paix, des familles. Le message, de l’AndroJeunoConseil®, quant à ce lien, d’amour, jeune-parents, rend l’espérance. Il permet, de nouveaux échanges vrais, entre générations, au-delà, des vieilles postures guerrières, convenues. Le jeune, en nécessité, d’assistance, n’a généralement, à sa « portée », que le professionnel, de la relation d’aide, non spécialisé, classique. Loin, du « conseil global de vie », des quinze – vingt-quatre ans masculins. Il n’y a, « quasi-rien », en France, entre la sphère psy et, le coaching, soutien, l’orientation scolaires, des métiers.

 

Traditionnellement, c’est alors, un « soignant » psychologue, psychothérapeute, psychanalyste ou, psychiatre, qui est consulté. Faute, d’existence, d’un conseiller, en questions androJuvéniles. Aujourd’hui, ceux, qui auraient, classiquement, « consulté », en thérapie, peuvent bénéficier, des progrès, performants et inédits, d’une discipline nouvelle. Spécialement, créée, pour les postenfants-préadultes. Adaptée, aux réalités, besoins, attentes, des seuls, quinze- vingt-quatre ans mâles : l’AndroJeunologie®. Conseil des juniors et, science de la jeunesse, elle est un véritable tutorat, préceptorat, guidance, accompagnement juvéniles, existentiels.

 

Un « éclairage, des esprits », des jeunes garçons. Elle leur transmet, un message, d’espérance, qui leur fait tant, défaut. Cause majeure, de leur « accablement néogénérationnel ». À annihiler, d’urgence ! Une thérapie classique reçoit, des patients, de tous âges. Elle traite, de souffrances psychiques et / ou, de psychopathologies. Cette approche praticienne, très / trop, anciennement établie, peut aborder la jeunesse, mais, aussi, l’enfance, l’adultisme ou, la vieillesse. Or, la spécialisation androJeunologique exclusive, pour les seuls quinze – vingt-quatre ans masculins, est quasi inexistante, en France.

 

L’intervention « conventionnelle » pratique peu, auprès, des juniors. Seulement, en terme thérapeutique et, non, comme, conseil. À un âge, qui en a, encore, le plus grand besoin. Les problématiques, des jeunes, sont, de plus en plus, complexes, aiguës, nombreuses et variées. Le travail thérapeutique n’est, souvent, pas assez adapté, conçu, pour structurer, le quotidien juvénile, ce qui est l’objet, de l’AndroJeunoConseil®. Contrairement, aux thérapies, notamment, psychanalytiques, l’accompagnement, de vie, juniors, connaît un essor important, en Amérique, du Nord. Il symbolise, une jeunesse plus autonome, que la nôtre135.

 

Le « retard français », en matière, d’épanouissement, du junior, est souligné, en cet ouvrage. L’AndroJeunologie® est donc, conseil global, pour les jeunes hommes, de quinze – vingt-quatre ans, axé, sur leurs particularismes multiformes. Elle se distingue, radicalement, de la visée, de « soin », des thérapies. La jeunesse française est sensible, à l’avant-gardisme, d’outre-Atlantique, si loin, des « frilosités », françaises et européennes. Elle se sent, trop souvent, encore, incomprise, démunie, en l’Hexagone. Alors, les approches traditionnelles, de relation d’aide, sont, parfois, conscientes, des limites, de leur art, pour ces juniors.

 

Face, aux pratiques, d’intervention, les plus courantes, par essence, limitées, pour les quinze – vingt-quatre ans, l’AndroJeunoConseil® est supportif, motivationnel. Il est mieux « armé », par sa conception, plus adapté, pour bien aborder, les données spécifiques, de la jeunesse. Le jeune est, souvent, appréhendé, du seul, point de vue, si réducteur, psycho-individuel. L’AndroJeunologie®, quant à elle, considère aussi, ces juniors, de façon socio-collective, en tant, que néogénération, à part entière, non, à part. Avec, toute sa dimension anthropoculturelle, qui n’appartient, qu’à elle.

 

Encore, trop ignorée, rejetée, dévalorisée, en France. La jeunesse est « bien plus », qu’une simple phase clé, entre, l’enfance et, l’adultisme. Elle existe pleinement, en tant, que telle, de façon, fort autonome. C’est pourquoi, l’AndroJeunoConseil®, outil performant inédit, a été conçu, pour maîtriser, l’ensemble, des paramètres, caractérisant, les juniors masculins. Comme, individus et, tout autant, néocohorte. De façon, holistique, transversale, pluridisciplinaire. Un défi, si important, particulier, ne peut, que dépasser, la seule action, de la psychologie, de la thérapie, dont, le rôle est tout autre.

 

La relation d’aide se doit, de faire face, à des réalités culturelles françaises, européennes et, mondiales. Le suivi, « à l’ancienne », est, souvent, mal préparé, outillé. Pour transcender, les réalités, d’une jeunesse, portant, des enjeux néogénérationnels, majeurs et, complexes. Tant personnels, que sociétaux. « Mai-68 » aura pu représenter, pour la nouvelle génération, de l’époque, une « césure, un progrès, de civilisation », capitaux. De même, pour la jeunesse d’aujourd’hui, la fulgurance socio-technologique, comme, culturelle. Dopée, par les médias, de masse, notamment, sociaux 2.0, du Web, qui la façonnent, « tant et tant »136.

 

En une culture, de nos quinze – vingt-quatre ans, « à nulle autre pareille ». Qui repose, sur la liberté, la souplesse, l’instantané, des néotechnologies, d’info-com. L’AndroJeunologie® intègre, parfaitement, cette dimension culturaliste juvénile, cruciale. Une approche conventionnelle est parée, de son savoir académique, classique. Elle ne peut, car n’a pas été formée, à cela, pas plus, que la médecine, développer, l’ « expertise adéquate ». En matière socioculturelle androJeunologique, si fondamentale, pour mieux comprendre, accompagner, le junior, confronté, aux aléas, du siècle.

 

L’ « approche, si obsolète, du passé », en France, est trop, en l’écoute passive et, sans proposition, de solutions concrètes, actives. Elle ne convient pas, aux jeunes. Leur génération exige, une visée, plus dynamique. Directive, interactive, structurée, adaptée, spécifique, pour leur groupe d’âge. Ce que propose, ce qu’est, l’AndroJeunoConseil®. Les quinze – vingt-quatre ans ne peuvent, ne veulent plus, « subir », des méthodes, par trop, restrictives, unidimensionnelles. Rigides, dépassées, inefficaces. Issues, de conceptions, très périmées.

 

La psychothérapie classique, notamment, psychanalytique, a plus, d’un siècle. Il est temps, d’évoluer, à l’image, des pratiques nord-américaines ! Les thérapies semblent, aux jeunes, si distantes, indifférentes, à leurs expériences, réalités, spécificités et, attentes quotidiennes. Ils veulent, un engagement adulte, pas, un « silence poli » ! Des conceptions, pour adultes, du dix-neuvième ou, vingtième siècles, ne peuvent, en rien, convenir, à des moins, de vingt-cinq ans, du vingt-et-unième ! L’AndroJeunologie®, conçue, pour les seuls, jeunes mâles, de ce temps, comprend, leurs aspirations. Elle puise, ses performances, exigeantes, des propres élans juvéniles.

 

Le jeune français est, très injustement, privé, d’interventions, de conseil, relation d’aide, non thérapeutiques. Aptes, à guider, comprendre, assister, la jeunesse, des quinze – vingt-quatre ans XY. Contrairement, à la méthode psychothérapeutique, celle, du conseil androJeunologue®, est adaptée, aux androJuniors. Elle sait, les « émanciper », leur insuffler, l’équilibre, l’assurance et, la motivation, menant, à leur maturité adulte. L’AndroJeunoConseil® place les « suivis, de papa et grand-papa », hors-jeu, hors-champ, pour les juniors, qui n’en relèvent pas. Elle favorise, la progression, de ces jeunes. Hors, naturellement, psychopathologies et, souffrances manifestes137.

 

Vers la re/conquête, de leur autonomie et, responsabilité. Pour « tonifier », tous les quinze – vingt-quatre ans, en nécessité, d’éclairages utiles ou, voulant mieux optimiser, leurs potentiels. L’AndroJeunologie® va alors, bien plus loin, que la psychothérapie. Elle est une espérance, pour la néogénération. En contexte traditionnel, souvent, inadapté, dépassé, de la relation d’aide, si classique, « ouverte, à tous et, à tout ». Ce qui ne convient pas, à la plupart, des juniors ! Au-delà, de la seule thérapeutique, l’AndroJeunoConseil® peut, mieux et plus, « regonfler à bloc », un jeune, ès qualité, en son « tout holiste ».

 

Prenant, en considération, sa dimension cognitive, émotionnelle, comme, comportementale. En pleins acceptation et, engagement. Autrement, que la psychothérapie, l’AndroJeunologie® est souvent, la plus apte, à lever, les blocages, optimiser, les potentiels androJuvéniles, épanouir. Pour un complet accomplissement, de soi. Cette nouvelle perspective androJeunologique, des plus performantes, rend obsolètes, les habituelles visées, si anciennes, de la relation d’aide. Elle est donc, accompagnement, en développement personnel androJuvénile. Préceptorat, de vie, réalisation, de soi, juniors. Réelle, guidance éducative.

 

Une expertise consultative spécialisée, des quinze – vingt-quatre ans masculins, dépasse fort, le soin thérapeutique. Elle intègre, la dimension transversale, pluridisciplinaire, de cette génération. Elle peut donc, transcender, de façon globale, holistique, tout ce qui concerne, les androJeunes. L’AndroJeunologie® est, à la fois, conseil des juniors, science, de l’androJeunesse. Pour atteindre, cet enjeu, si fondamental, de l’ « adultisme heureux », plein et entier. Cette approche est un concept, unique et original, pour l’appréhension, des problématiques juvéniles, telles, que décrites, en cet ouvrage.

 

Au-delà, du travail thérapeutique, conventionnel, l’AndroJeunoConseil® propose, de nouvelles voies : supportives et, motivationnelles. Pour les quinze – vingt-quatre ans mâles. Champ libre est toujours, laissé, à la découverte, la construction, de soi, juvéniles. La psychothérapie soigne et, guérit, des souffrances psychiques et / ou, des psychopathologies. L’AndroJeunologie®, guidance, des quinze – vingt-quatre ans, leur fait « prendre conscience, de leurs découvertes, aspirations, désirs, rêves essentiels ». Pour porter, tout leur élan, vers le dépassement libérateur, de soi-même. Non pas, tant, aller mieux, mais, « devenir meilleur »138 !

 

Cette approche androJeunologique, inédite, bouleverse, renouvelle, en profondeur, les vieilles conceptions, de la relation d’aide. Elle vise, à mieux répondre, aux réalités, besoins, attentes, très spécifiques, des jeunes, d’aujourd’hui. En leur acuité, complexité nouvelle, croissantes. Or, l’inexistence, de consultants androJeunologues, pour les seuls, quinze – vingt-quatre ans mâles, est fort dommageable, pour le junior. L’AndroJeunoConseil® le sort, de façon capitale, énergique, de son marasme, par son « mode opératoire », si particulier. Far : loin, beaucoup, en anglais : Force mentale, Action déterminante, Résultats décisifs.

 

Pour se dépasser et, aller, bien plus loin, il s’agit, de se renforcer, psychiquement, d’agir, adéquatement. Pour, enfin, obtenir, des effets positifs, bénéfiques et, favorables, selon, ses désirs ! Bien plus, que la psychothérapie, l’AndroJeunologie® cultive, la vision globaliste, de la chose androJuvénile. Cet accompagnement, en développement personnel, juniors, ne fait pas, des jeunes, en difficulté ou, en recherche, de progrès, des individus, en « crise de jeunesse ». Plutôt, des « acteurs debout ». Des sujets ouverts, au tutorat, préceptorat, de vie, à un complet « balisage existentiel, en conscience ».

 

Leur permettant, d’explorer, de « doper », leur pleine unicité néogénérationnelle. Le manque, d’assurance, de motivation, d’équilibre, frappe la jeunesse. L’AndroJeunoConseil®, bien mieux, que la relation d’aide classique, provoque l’éveil et, le « décuplement », de toutes ses forces innées, encore freinées, par son inexpérience. Souvent, bien plus, qu’une psychopratique, le jeune homme requiert, une AndroJeunologie®, générant, l’émancipation, vers l’âge adulte. Par un grand renforcement intérieur et, axé, sur la consolidation, des talents et, pulsions créatrices. Visant, à optimiser, tous ses potentiels latents, grâce, à une approche androJeunologique, « bénéfique ».

 

Ainsi, si loin, des fondamentaux thérapeutiques, ce « Teen Life Consulting », guidance, pour jeune mâle, promeut, son éveil. Il l’extrait, de son « malheur ». L’AndroJeunoConseil® relève, bel et bien, « le défi juniors » ! La jeunesse n’est pas un processus inerte. Or, contrairement, à des pratiques, d’un tout autre temps, l’AndroJeunologie® maîtrise, l’ensemble, des paramètres, des sciences, de l’androJeunesse. Elle appréhende, tous les « particularismes androJuvéniles », pour accompagner, le junior, vers sa réalisation, de soi, la plus et, mieux accomplie. En plénitude139.

 

Autrement, que le « soignant », l’androJeunologue® reconnaît, aux jeunes masculins, leur plein droit, à une considération spécifique. Une « alchimie » différente et, à part, mais, à part entière, « révélée, transcendée », par et, dans, le travail androJeunologique. Nos jeunes ne bénéficient pas encore, assez, de ce « nouvel art » androJeunologique, encore, trop ignoré, méconnu, en France. Car notre pays, contrairement, à d’autres, ne reconnaît toujours pas, toute l’importance cruciale de la jeunesse. Au pire détriment, de la nation, sa descendance !

 

L’approche, de l’intervenant moderne devrait, comme, le fait, l’AndroJeunoConseil®, mieux intégrer, les nouveaux savoirs, venus, d’ailleurs. Notamment, d’Amérique du Nord, pour mieux servir, la néogénération. Une pratique, non rompue, à ces nouvelles perspectives, vitales, ne peut véritablement, prétendre, bien venir, en aide, aux juniors. Ces procédés, y compris, les plus « savants », sont privés, de solutions pertinentes, efficaces, novatrices. Ils sont, trop souvent, incapables, de « libérer », la jeunesse, de ses affres, de servitudes archaïques, si ancrées, en France. À son plus grand dam ! La « crise de jeunesse » est une pure « invention adulte », le jeune n’étant, nullement, en pathologie.

 

Elle sert d’excuse, légitimant, la stigmatisation, l’ostracisme, frappant, injustement, les juniors. Elle est l’argument suprême, des aînés désemparés, face, aux tourments, de nos jeunes. Pour leur en faire porter, la responsabilité. Alors, que la seule, vraie « coupable » est, avant tout, la société adulte. Le junior, lui-même, est fort innocent, de sa soi-disant, « crise de jeunesse ». Cette prétendue, « crise juvénile », n’est qu’un marasme néogénérationnel, exogène. Donc, sociomoral, non, endogène : biopsychique. Chaque junior peut, alors, ressentir, les terribles tourments, de ce qui a, toute l’apparence, d’une « crise, du jeune âge ».

 

Selon, les paramètres, de sa vie personnelle, familiale, scolaire, socio-environnementale. L’AndroJeunologie® est une discipline, qui répond, en priorité, aux besoins, du jeune, l’aide, à dépasser, ce que les adultes qualifient, à tort, de « crise de jeunesse ». L’image de soi, du jeune, doit s’affranchir, de la fausse idée, de « crise cohortale, d’identité », pour être grandie, appuyée, par ses qualités propres. La réalité, si illusoire, d’une pseudo-« crise, néogénérationnelle » individuelle, peut impliquer, de nombreux éléments. Tantôt, pleinement, souterrains, tantôt, totalement, éruptifs140.

 

Les quinze – vingt-quatre ans masculins peuvent, souvent, sembler vivre, leur propre type, de « détresse générationnelle ». Selon, leurs âges, conditions socioéconomiques, culturelles, parcours et, personnalités ou, difficultés… Ces abyssales variables, très discriminantes, liées, avant tout, au monde adulte, sont bien plus subies, que maîtrisées, par le jeune. Ce qui évoque, une « crise juvénile » n’est, en réalité, que l’incertaine « adaptation », du junior, à l’adultisme. Acrobatique moratoire transitionnel, fluctuant, d’un type, d’individu juvénile, à l’autre.

 

L’AndroJeunoConseil® domine, tout le registre andro-néogénérationnel, pour restituer, à ce faux « désarroi juvénile », sa vraie essence : une naturelle mue, très positive. Non, un psychodrame, de « mauvais juniors ». Aujourd’hui, la traditionnelle « dépression, convenue, de jeunesse », est, enfin, démystifiée. Il ne s’agit, que d’atteintes, dues, à des réalités sociologiques, économiques, existentielles et, planétaires, morales et, psychiques, d’un monde bouleversé. À un âge, qui plus est, en très fortes mutations, interrogations. Le « paroxystique syndrome, de jeunesse en souffrance », est une pure, construction centenaire, adulte, fictive, obsolète, en ce nouveau siècle, actuel.

 

« Caution morale », d’un univers anti-jeune contradictoire, accablé. Il apparaît, que la puberté, l’intégration, à une vie sexuelle, affective, sociale, relationnelle, inédite, s’apparentent, à une « crise existentielle ». Laquelle, complique fort, la donne androJuvénile. La société occidentale contemporaine, est hédoniste, matérialiste, consumériste. Elle est celle, de l’avoir, du faire, du paraître, au détriment, de l’être, « mutile », terriblement, notre jeunesse. Plaisirs, désirs et, envies, l’emportent, sur la vraie richesse humaine, morale immatérielle. L’éveil, à de nouvelles réalités inquiétantes, peut fragiliser, le jeune.

 

Provoquer même, un semblant, de début, de « mal de jeunesse ». Que, lesdits adultes, sont bien incapables, de comprendre, encore moins, d’enrayer. La pertinence de l’AndroJeunologie®, s’enrichit, des nombreux outils, d’avant-garde, issus, d’outre-Atlantique. Elle transforme, ce qui semblait, « marasme, de jeunesse », en une mutation positive, riche, d’enseignements. Les relations orageuses, adultes-juniors, peuvent attiser, cette pseudo-« crise de junior ». En réalité, aléas, de conjonction, dans le temps et, l’espace, de situations figées et, de personnes ou, d’actes, impuissants, à bien, se dénouer141.

 

Une grande diversité, complexité, de sujets, causes, conjonctures, structures, évoquent, un « collapsus juvénile ». Cela, fait, de ce symptôme imaginaire, de « crise de jeunesse », une illusion, d’optique, à dissiper, endiguer. Autant, de ferments, de crispations scolaires, familiales, relationnelles, culturelles, morales, de valeurs, générationnelles. Apparentées, à un supposé, « cataclysme juvénile ». Qu’il faut parvenir, à identifier, plus correctement, pour les aborder, résoudre, idoinement.     L’AndroJeunoConseil® possède, comme applique, une grille, d’analyse, suffisamment, globale, pour traiter, apaiser, les foisonnantes réalités juvéniles masculines.

 

Les liens interpersonnels, sont à reconsidérer, pour dépasser, l’idée erronée, de « tempête, de cohorte ». Puisqu’ils sont omniprésents, en la psyché, du jeune, comme, exemples forts, identificatoires ou, au contraire, répulsifs. Modèles et, contre-modèles adultes préviennent ou, entretiennent, les fondements, de ce qui peut être perçu, comme, une terrible « bourrasque juvénile ». Objectivement, le trauma, d’un junior, confronté, à l’insupportable, d’une vie, par trop, pesante. Les passions, liées, aux valeurs, comme, les impulsions, d’influences, venant, de tous horizons, sont des éléments explicatifs.

 

Pouvant laisser croire, à une « crise juvénile ». Les médias, de masse, bien plus récemment, les médias sociaux, élargissent, à l’infini, les limites, des jeunes, les rendent, plus floues. Cela peut, également, susciter, un certain désarroi, par le vide intérieur, d’un trop plein externe. Laisser fort accroire, que la néogénération, est en « spécifique catatonie ». Le junior est soumis, en permanence, à un flot incessant, de stimuli abrutissants. D’excitations, multi-sensorielles, d’informations, communications, tous azimuts, confuses, contradictoires. Il est, à un stade, de « déréalisation-sidération ».

 

Ce qui ne fait, alors, que mettre, en avant, encore et, toujours, la vieille notion périmée, de « tornade juvénile ». Trop, d’info-com, devient, vile désinformation, ne fait, que désorienter, un peu plus, la juvénilité, en un pseudo-« tsunami, de jeunesse ». La quantité, de sollicitations, en tue, la qualité. Un réel, « égarement mental » juvénile, s’ensuit, donc. Le conseil, en développement personnel, réalisation, de soi, juniors, proposé, par l’AndroJeunologie®, est salutaire. Pour le jeune, lui-même, sa famille, son environnement psychosocial. Il ne tend pas, seulement, à surmonter, vaincre, des difficultés142.

 

Or, tout autant, à les prévenir, accroître, doper et, améliorer, les potentialités juvéniles. Le tutorat androJeunologique, de nos quinze – vingt-quatre ans, prévoit, discerne, anticipe. Il accompagne, les phases habituelles, non problématiques, non pathologiques, du jeune, tout comme, ses écueils. Cette guidance, du junior, n’attend pas, qu’une « crise » survienne, pour être opérante, performante, pertinente. Pour tous jeunes, le préceptorat junior, qu’est, l’AndroJeunoConseil®, l’aide, à dépasser, son obsolète enfance. Enrichir sa jeunesse.

 

Intégrer et, à jamais, les attributs adultes. Ce balisage néogénérationnel, ultraspécialisé, annihile, les « états d’âme et, troubles », qui peuvent affecter, si durement, le jeune, lui-même. Également, ses parents, d’autres acteurs intervenants, concernés. Le conseil junior, professé, par l’AndroJeunologie®, est une « chance unique », de s’accomplir, en adulte, plein et entier. Pour tout jeune, en marasme, interrogation, désir, de progresser, plus encore ! Le cheminement androJeunologique est une prise, en considération, globale, de l’existence juvénile. En tout son être, social, cognitif, émotionnel, comportemental, émergent.

 

En un monde, fort difficile, en bouleversements multiples, constants. Cet accompagnement juniors vise, à grandir, le champ, de conscience, du jeune. En lui ouvrant, de très nouvelles perspectives, de réalisation, de soi. Le consulting juniors, est fondamental, pour tout jeune, souhaitant, s’émanciper, arrachant, lui-même, son droit propre, à exister. Selon, son potentiel personnel, unique, comme, acteur debout, maître, de son destin. Non, simple figurant passif, suiviste, qui subit, sa vie, à ses dépens, au seul, bénéfice, d’autrui. La plasticité, l’adaptabilité, les inventives ressources originales, fulgurantes, de la néogénération, la rendent ultraréceptive, au néoconcept, du suivi androJeunologique.

 

D’autant plus, qu’il lui est, tout spécialement, dispensé, de façon, très profitable et, épanouissante. L’expertise, d’AndroJeunoConseil® libère, le jeune, l’amène, à poser, un regard neuf, bien à lui, sur ses propres préoccupations, défis, projets, désirs. Plutôt, que de faire siens, des postures, certitudes, choix, des plus étrangers, à sa personne. Un tel éclairage, de vie, juniors, vise, à, résolument, ancrer, le renouveau, l’espérance, la force mentale, l’action déterminante. Également, tout autant, le résultat décisif, en quotidien androJuvénile143.

 

Les traditionnelles applications, psychothérapeutiques, ne sont pas, un conseil, de vie, car, ce n’est pas, de leur ressort, de compétence. La re/structuration androJeunologique permet, quant à elle, au junior masculin, de re/créer, ses propres schémas psychosociaux, référents. Ce, pour l’aider, à s’approprier, lui-même, la pleine responsabilité, de ses choix personnels, des orientations, de son futur bonheur, adulte. Éclairer, orienter, guider, un jeune, par un suivi juniors, avisé, apporte, beaucoup, en prévention et, en amortissement, d’ « accidents, de la vie ». Comme, en matière, d’optimisation, des capacités, des aptitudes, créativités et, inventivités, personnelles.

 

Il s’agit, en AndroJeunologie®, de se dépasser, comme, d’éviter ou, de surmonter, des embûches. Pour qu’il ne reste, nulle trace, à vie, d’amertumes, si souvent, indélébiles, toxiques, incapacitantes. Pour connaître, une jeunesse, sans encombre, aller, vers l’adultisme accompli. Saisir, les occasions constructives et, remodeler, radicalement, toutes perspectives, de développement, axiologique et ontogénique. Plus, un jeune, bénéficie, avant, l’âge adulte et, ses rigidités, d’un encadrement androJeunologique profitable, meilleures, seront, ses chances, durables, solides. Celles, de créer, croître, prospérer, d’avoir foi, le plus harmonieusement, qu’il lui est loisible144.

 

Mieux faire face, aux aléas, inhérents, à l’existence terrestre « tumultueuse », d’aujourd’hui. Le protocole, d’AndroJeunoConseil®, observé, est innovant et, « percutant ». Il offre, une heureuse alternative, adaptée, au junior, à son temps. Le pragmatisme androJeunologique repose, sur les plus grandes avancées psychopédagogiques, élaborées, depuis, ces cinq dernières décennies. Celles-ci sont issues, des ultimes savoirs, de la psychologie, du développement juvénile, la sociologie, des jeunes. Des sciences, de l’éducation, de l’anthropologie andro-néogénérationnelle.

 

De tant, d’autres sources, de connaissances androJeunologiques, aussi. L’ensemble, regroupe, les sciences humaines, sociales, de la Jeunesse, les plus probantes et, en pointe. Façonne, une « prise en main », juniors, novatrice, prometteuse ! Selon, la propre opinion, des jeunes, bénéficiaires, de l’approche androJeunologique. Le junior se doit, de ré/inventer, s’approprier, un monde, où, il fait bon vivre, à sa mesure, selon, son potentiel unique, original. La démarche, du consulting androJeunologique, s’est élaborée, à partir, des « meilleures percées intellectuelles, afférentes ».

 

En matière, de croissance évolutive, du jeune, si indispensable, aux juniors, de leur temps. Le « management androJeunes » est donc, une « porte ouverte, sur le renouveau », une authentique liberté, équilibrée, tempérée. Re/vivifiée, par une maturité, autonomie, responsabilité, de soi. Donnant naissance, à de nouveaux enjeux, pensées, émotions, comportements, issus, de ce « guidage », de vie, juniors, si favorable, terriblement, actuel. Le temps est, en soi, facteur, de mûrissement. Or, à trop attendre, passivement, l’hypothétique mutation, spontanée, sans, en provoquer, directement et activement, le déclenchement décisif…

 

Le jeune se perd, en vaines expectatives, stériles. Ces débilitantes conjectures l’empêchent, de trouver, en lui et, par lui-même, ses propres réponses, avisées, à ses justes interrogations. Pour grandir, en plénitude. Si le « recadrage existentiel » fait, souvent, défaut, au junior français, d’aujourd’hui, c’est qu’il est encore, à ce jour, en France, inexistant. L’AndroJeunologie® est le premier, l’unique, conseil global, transversal, pluridisciplinaire, des seuls, quinze – vingt-quatre ans mâles, en ce pays. Notre androJeunesse peut, bien plus et, mieux, quand, elle jouit, d’un accompagnement, spécifique, adapté, à titre exclusif et, en structure privée, individuelle. Ce qu’est, l’AndroJeunoConseil®.

 

Centré, sur ses réalités, besoins, attentes. Apte, à l’orienter, de façon idoine, vers son plein avenir, tant inéluctable, qu’imprévisible. En des temps tourmentés, de globalisation, massive et incertaine, des valeurs, croyances ou, modes, de subsistance. La fugacité, vacuité et, masse informationnelles, permanentes, la complexité, l’instabilité, contemporaines, altèrent, le sens, du réel. La sûreté, de jugement, androJuvéniles. L’AndroJeunologie® en redirige, bien plus sainement, l’impact, en une perspective, plus humaniste, apaisée, riche. Axée, sur la distanciation et, la relativisation, la clairvoyance.

 

Le conseil androJeunologique se veut, « pièce maîtresse », de solides fondements juvéniles, humains, culturels, de réalisation, de soi, de développement personnel. « Naître, à soi, autrui, la vie », exige, d’être, pleinement, lucide, quant au sens, de l’existence. Bien, au-delà, des illusions, du siècle. Éludant, le sens éthique, moral, spirituel, les forces, de l’esprit, reliant, immanquablement, tout jeune, à son prochain. Ignorant tant, sans, la faire fructifier, la novatrice force néogénérationnelle, notre société s’égare, s’épuise, meurt. L’AndroJeunoConseil® mène, nos cadets, à l’essentiel existentiel, le plus prioritaire145.

 

En vérité, en matière éducative, pédagogique, seul, peut prévaloir, le fort sage principe, de J. de La Fontaine, énoncé, dans, Le Lion et le Rat. « Patience et, longueur, de temps, font plus, que force ni, que rage ». (J. de La Fontaine, poète français, 1621-1695, Fables, Le Lion et le Rat, Livre II, Fable 11, France, 1668)146. De fait, la jeunesse « supporte », pour grandir, bien plus, la souplesse, la plus tenace, en la juste fermeté. Que l’autoritarisme, le plus rigide, en les pires, laisser-aller. L’AndroJeunologie® reprend, « à son plein compte », un excellent principe, de J.-P. Sartre.

 

« L’important, n’est pas, ce que l’on fait, de nous, mais, ce que, nous-même, faisons, de ce que, l’on a fait, de nous ».

(J.-P. Sartre, philosophe français, 1905-1980, Saint Genet, comédien et martyr, essai biographique, France, 1952)147.

 

Cela, est tout particulièrement, capital, à la jeunesse. Il s’agit, alors, d’aider, les juniors masculins, à « être, eux-mêmes ». Leur faire prendre conscience qu’ils sont, certes, à leur corps défendant, fruit, de réalités, très extérieures, à eux. Leurs parents, leurs éducation, études et, personnalité, époque, pays et, culture, les adultes et, leurs pairs… Or, qu’il est, pour autant, toujours, possible, même, nécessaire, de dépasser, cela, pour s’affirmer, en propre, intériorité et, plénitude. Ce qui ne signifie, nullement, la révolte, le rejet, le reniement, la table rase.

 

Plutôt, l’acceptation, du meilleur, du bénéfique, comme, le rejet, « du reste ». Ce qui exige beaucoup, de clairvoyance. Il s’agit, aussi, en esprit, de résilience, de surmonter, les épreuves, héritages toxiques. Les réalités exogènes, négatives, pessimistes, maléfiques et, douloureuses. En les identifiant, neutralisant, remplaçant, par des perspectives endogènes, positives, dynamiques, bienfaisantes. Car, il n’y a, nulles fatalités, mais, des juniors, « debout et, en marche », qui se doivent, de se battre, à vie, pour vaincre, s’accomplir ! Pour ne pas « tomber, en cas, d’arrêt ».


 

 


Certes, la jeunesse, notamment, contemporaine, est des plus avides, de matérialisme, consumérisme, d’hédonisme. Or, elle est, tout autant, très sensible, à de nobles valeurs, idéaux, sait fort, s’engager, à l’occasion. Même, au péril, de sa vie, comme, l’Histoire mondiale, l’a toujours, si amplement, démontré. Ainsi, aujourd’hui, nombre, de jeunes hommes français, s’engagent-ils, dans les forces armées, de l’ordre, actives ou, de réserve. Suite, aux attaques terroristes, de 2015, ayant frappé leur pays. Une « génération morale », donc, encore et, toujours ! (L. Joffrin, journaliste français contemporain, Un coup de jeune – Portrait d’une génération morale, essai sociologique, France, 1987)148. Souvent, bien plus sensible, que les aînés, « au beau, au grand, au fort, au vrai, au juste, au noble » ! Comme, le célèbre et, superbe texte, ci-dessous, le démontre, si bien !


 

 


I


 

« On n’est pas sérieux, quand, on a, dix-sept ans. Un beau soir, foin, des bocks et, de la limonade, Des cafés tapageurs, aux lustres éclatants ! On va, sous les tilleuls verts, de la promenade. Les tilleuls sentent bon, dans les bons soirs, de juin ! L’air est parfois, si doux, qu’on ferme, la paupière. […].


 

 


II


 

[…]. Nuit, de juin ! Dix-sept ans ! On se laisse griser. La sève est du champagne et, vous monte, à la tête… On divague ; on se sent, aux lèvres, un baiser, Qui palpite, là, comme, une petite bête…


 

 


III


 

Le cœur fou robinsonne, à travers, les romans, Lorsque, dans la clarté, d’un pâle réverbère, Passe, une demoiselle, aux petits airs charmants. […]. Et, comme, elle vous trouve, immensément, naïf, Tout en faisant trotter, ses petites bottines, Elle se tourne, alerte et, d’un mouvement vif… Sur vos lèvres, alors, meurent, les cavatines…


 

 


IV


 

Vous êtes amoureux. Loué, jusqu’au mois d’août. Vous êtes amoureux. Vos sonnets, La font rire. […]. Puis, l’adorée, un soir, a daigné, vous écrire !… Ce soir-là…, vous rentrez, aux cafés éclatants, Vous demandez, des bocks ou, de la limonade… On n’est pas sérieux, quand, on a, dix-sept ans, Et qu’on a, des tilleuls verts, sur la promenade ».

 

(A. Rimbaud, poète français, 1854-1891, Roman, poème, France, 1870, écrit, à l’âge, de quinze ans).


 

 


[ UN VOLONTARISTE RÉSULTAT ]

INTÉGRATIF, HOLISTIQUE, POUR VOTRE ANDROJEUNESSE


 

 

Votre AndroJeunoConseil® a, pour fondement, votre « inconditionnel optimisme salvateur ». Il tend, à parfaire, votre bonne discipline de vie, votre emploi du temps optimisé, votre champ scolaire, bien maîtrisé. Il vous propose, d’efficaces refontes générales, en matière, d’études, d’affectivité et, de défis, à relever. Vous, enfant, aviez dû « jouer, la partition adulte ». Vous, junior, avez, à interpréter, la vôtre.


 

 


Le parcours androJeunologique, est une pédagogie holistique, transversale et, multidisciplinaire. Son préalable en est, un « récapitulatif », des situations, en cause, et, une fort grande attention, portée, aux évolutions, aux acquis et, états d’esprit, des jeunes concernés. Écoute et, questionnement, synthèse, diagnostic et, proposition, de suivi, constituent, le « préambule habituel préparatoire », à tout nouveau suivi d’AndroJeunologie®. JB a seize ans. Il est passionné, de football, et, il y excelle.

 

Il souhaite, plus, que tout, devenir, un joueur professionnel. Il est alors, sélectionné, pour se former, à cet effet. Il rejoint, donc, un centre, d’apprentissage sportif, spécialisé, réservé, aux « meilleurs espoirs », de ce sport. Il se bat alors, vaillamment, pour progresser, pouvoir « faire, de son rêve, sa réalité ». Devenir, un très grand joueur professionnel, du ballon rond. Or, pour cela, l’adolescent a « triché ». Les examens, de santé, préalables, à l’admission, au complexe, de formation, ont révélé, chez lui, une fragilité cardiaque, importante.

 

Alors, prêt, à tout, pour réaliser, son vœu, le plus cher, JB a passé outre. Il a donc, falsifié, la réforme médicale prononcée, en accord, d’aptitude sanitaire. Mettant, ainsi, sa santé, sa vie, même, en danger, car, il est inapte, à l’effort. Tel est, le synopsis, de la comédie dramatique cinématographique, Les Petits Princes. La morale, de cette fable, de fiction, est très significative, de la psyché juvénile, notamment, masculine. Le jeune est un idéaliste, passionné, en ses rêves, quêtes, d’utopie. Seule, cette dernière, l’habite, le guide et, le meut, à tout prix, même, celui, du pire. Jusqu’aux, plus extrêmes aveuglements, fanatismes et, partis pris. Jusqu’à, en perdre, la vie, bien trop souvent, hélas. La jeunesse est un fort, « romantisme sentimental », en perpétuelle recherche, d’acmé.

 

Il s’agit donc, pour elle, d’apprendre, à « faire la part, des choses », concilier, passion et raison, rêve et réalité, ambitions et possibilités ! (Les Petits Princes, comédie dramatique cinématographique française, du réalisateur, V. Lebasque, France, 2013)149. L’ardente passion juvénile mène, au dépassement, de soi. Ainsi, la 29e sonate, pour piano, de L. van Beethoven, était jugée, quasi impossible, à interpréter, par sa complexité. Un jeune, de quatorze ans, pourtant, y parvint, en 1826. Il s’appelait… F. Liszt.

(Compositeur et, pianiste hongrois, 1811-1886 / L. van Beethoven, compositeur allemand, 1770-1827, Sonate pour piano, n° 29, en si bémol majeur, opus 106, dite, Hammerklavier, Empire d’Autriche, 1819).


 

 


– AndroJeunologie® d’Optimisme Salvateur –

Pour Votre Nouvelle Génération Masculine « Décidée »


 

 

Holisme, est un terme masculin récent, de 1939. Il est issu, du grec, holos, entier. Il s’agit, d’une « théorie, selon, laquelle, l’homme, est un tout indivisible, qui ne peut pas être expliqué, par ses différentes composantes – physique, physiologique, psychique – considérées, séparément. Système, d’explication globale ».

(Dictionnaire, de la langue française, Robert, France, 2007)150.

 

L’AndroJeunologie® se veut, une science « globaliste », de vous, garçon  junior, une appréhension et, une aide générales complètes, en conseil de votre personne. Ce qui autorise, plus d’efficacité, qu’une approche unidimensionnelle. Centrée, sur un problème, non, sur vous, jeune, vous-même, intuitu personæ.


 

 


O. Debré (1920-1999), artiste peintre français, livre, sa toile : Bleu de Kaolin, en 1960151. L’œuvre est abstraite et, « quasi spectrale ». Elle évoque, l’espace, sans limites, la liberté, la nature terrestre, liquide, aérienne, en ses fortes et, brutes beautés, grandeur. Peut-être, même, aussi, le retour initiatique, à l’amniotique, symbiose originelle, à l’eau, source, de vie152. Imaginons, l’une, de ces diaphanes, mers assoupies, du Sud, en une fort irréelle, nuit, d’été, aux splendeurs étoilées. De frêles esquifs, à voiles, voguent, paisiblement, sous les tropiques. D’ardents moussaillons, exaltés, refont passionnément, leur monde, affalés, à même, le pont. Le regard brillant, fort éperdu, en l’émerveillement, de la céleste, voûte stellaire. Au seul écho, du ressac salé. Par estival, temps nocturne, au grand large, du lointain, en lente navigation maritime, au long cours, d’antan.

 

Les embruns iodés, les alizés, le cri, des volatiles marins, un scintillant océan, sous le ciel, d’azur… Tout ici, en appelle, à la mystique, du « juvénile absolu », de merveilleux, d’aventure, d’évasion. De dépassement, sensualité, d’abandon, de magiques rêveries, si poétiques ! Il y a, aussi, la symbolique extrême, de la couleur bleue. Froide tonalité primaire, de pleins, firmament et vague, unis, par l’éternité. Du cyan, au bleu, de Prusse, du bleu, de minuit, à l’indigo, du cobalt, à l’outremer. Le ciel et, la mer, le bleu, constituent, une onirique dimension, insigne, magnifiée, d’infinitude, de spiritualité, sacralité. Paix, plénitude, béatitude, épurement, en sont, l’éclatante empreinte, irisée. Ce qui, en cela, a tout, pour fasciner, la jeunesse, en si naturelles, quêtes « psychédéliques »… Reprenant, ainsi, le symbole antique romain, méditerranéen, d’une Mare Nostrum, Notre Mer commune.

 

Le bleu a, également, été, un attribut royal, comme, impérial, très significatif, de la suprême dignité souveraine. Vue, de l’espace, notre planète Terre, est une extraordinaire, masse sphérique, à fort large, dominante bleutée. Tant, les étendues maritimes, océaniques immensités, s’y imposent, en majesté. Sous toutes, les latitudes, mers et, océans constituent, aussi, une représentation majeure, de libération, voyages, dépaysement. Total don, de soi, en aquatique univers flottant, pour des humains, plus terriens, que marins ! Le chanteur français contemporain, Renaud, en sa « création musicale » : Dès que le vent soufflera !, le clame.

 

« C’est pas l’homme, qui prend la mer, c’est la mer, qui prend l’homme » !

(Morgane de toi, album musical, France, 1983 / Inspiration, J. Kessel, écrivain, France, 1898-1979)153.

 

Tout cela parle, Ô combien, aux juniors. C’est, à vingt ans, que l’on rêve, de fantastiques exploits, de tours, du monde, à la voile, sans fin ni, bornes, sur toutes les surfaces marines, du globe. Du fantasmatique milieu, des îles, des pirates et, autres courses, au trésor. Du subaquatique univers, sombre et mystérieux, « du silence », tel, que décrit, montré, par le commandant, J.-Y. Cousteau… Tout cela, enflamme,   l’« imaginaire débridé », des plus jeunes !

(J.-Y. Cousteau, explorateur océanographique français, 1910-1997, L. Malle, réalisateur français, 1932-1995, Le monde du silence, documentaire sous-marin, France, 1956 / Antérieurement, Le monde du silence, livre, du commandant Cousteau et, de F. Dumas, plongeur français, 1913-1991, France, 1953)154.


 

Un parcours androJeunologique est toujours, aussi, une invitation, des plus enrichissantes, au « grand périple, en son humanité. Au tréfonds, de son archipel intérieur, comme, externe ». À la découverte et, redécouverte, de soi, ses semblables, la vie, sa vie. L’objectif, du suivi androJeunologique, est, que tout junior mâle, à l’orée, de l’adolescence, comme, à la fin, de la jeunesse, aux débuts, de l’adultisme, soit confiant. Qu’il n’ait, nullement, intériorisé, le terrible et, funeste avertissement, apposé, au fronton, du portail, des enfers dantesques, de la Divine Comédie.

 

« Vous, qui entrez ici, perdez toute espérance » !

(D. Alighieri, poète florentin, 1265-1321, Divina Commedia, La Divine Comédie, poème, États italiens, 1307-1321)155.

 

La plupart, des adultes, ont « oublié », leur jeunesse ou, qu’ils en ont eu, une. Beaucoup, la rejettent, comme, une période indigne, très regrettable ou, périmée, plus ou, moins, lointaine, de leur vie. Même, en la nostalgie, d’un « heureux temps », où, tout, semblait encore, possible, peu, lui accordent, crédit, valeur. Même si, le culte forcené, du paraître et, vivre « jeune », fait florès. De la même façon, lesdits adultes, n’accordent pas plus, crédit, à la jeunesse contemporaine, aux jeunes, d’aujourd’hui. Qui n’ont, que le tort, de l’être ! Alors, prenons garde, à ce que, le junior, ne devienne, « l’homme malade », de sa société. Comme, il était dit, au dix-neuvième siècle, de l’Empire ottoman, la Sublime Porte, en Europe.

 

Surtout, en pays « conservateur, malthusien, frileux », comme, la France, les jeunes sont généralement, jugés, sous l’angle pessimiste, négatif, hostile. En une vision répulsive, de rejet, dévaluation. Les jeunes, de Gaule, sont toujours, débités, du pire, jamais, crédités, du meilleur. Avec, toutes les conséquences désastreuses, pour le pays et, le déclin accéléré, qui s’ensuit. Que les Français « navrés », reconnaissent, eux-mêmes, dans les études, d’opinion, sur le sujet. L’AndroJeunoConseil® s’inscrit, à rebours, de cette noire vision, des jeunes hommes, pour les considérer, de façon, optimiste, positive, favorable, constructive.

 

Leur enseigner, l’optimisme. Ce qui est beaucoup plus, productif, réaliste, pragmatique, efficace, juste, outre, que bénéfique. Pour la nouvelle génération, les adultes, le pays, tout entier. De fait, les nations, qui privilégient fort, leur jeunesse, vivent, prospèrent, avancent, mieux, que les autres. Voyons, ainsi, les grands ensembles émergents, comme, la Chine, l’Inde ou, le Brésil. En Occident, l’Amérique, du Nord, la Scandinavie ou, encore, les peuples germaniques. Taux, de chômage, en 2019, des jeunes actifs allemands : 6 pour cent. Taux français : 19 pour cent. Sans commentaires156 !

 

Les juniors sont appréhendés négativement, car ils sont vus, de façon subjective. Si on les observe, juge, plus objectivement, ils seront alors, parés, à nos yeux, de bien plus, de vertus, enviables, positives. Si notre vision peut s’exagérer, les défauts prêtés, aux jeunes, alors, peut-elle, tout autant, leur allouer, maints qualités et, atouts, autrement, favorables. La réalité importe bien moins, que l’interprétation, que l’homme, en fait. La jeunesse est ressentie, comme, « vilaine », alors, que la réalité, la caractérisant, la fait, bien plus « belle ». Ce ne sont donc, pas, les juniors, qui sont, ce qu’ils sont !

 

Or, nous, adultes, qui les voyons, tels, que nous croyons, qu’ils sont. Ce ne sont pas, les jeunes, eux-mêmes, qui ont pouvoir, de changer, l’appréciation, que les adultes, ont d’eux. Plutôt, bel et bien, les aînés, qui, eux seuls, peuvent, en conscience, modifier, l’opinion, qu’ils se font, de nos cadets. Pour l’adoucir, de façon, plus optimiste et, moins pessimiste. Humainement, moralement, socialement, nous pensons, cette juvénilité, « pauvre, comme, Job, alors, qu’en réalité, elle est riche, comme, Crésus » ! Nous oublions que, contrairement, aux autres, la jeunesse a, bien plus, de temps, de vie, devant elle, que derrière. Cette réalité fondamentale fausse, notre vision paradigmatique, de nos suivants !

 

Le junior gouverne, ses conceptions internes, ce sont, ces dernières, qui déterminent, son évaluation, des humains, réalités et, choses. Il lui revient, donc, de décider, de la « tonalité », dont, il veut revêtir, « tout et, son contraire », ici-bas. Positivement ou, négativement. Selon, un libre parti pris, équivalant, au choix, du port, de lunettes noires ou, roses. L’optimisme est une adaptation, fine et pragmatique, aux réalités, de nos vies, quelles, qu’elles soient. « Le plus, engendre le plus et, le moins, le moins ». Un adage, ne dit-il pas : « Souris, à la vie et, la vie, te sourira ! » ?

 

Le pessimisme est un réel fléau, personnel et collectif, insidieux et malfaisant, qui cause, les pires ravages. Il s’agit, de le déclarer, « ennemi public, numéro un » et, l’optimisme, « grand bienfaiteur, de l’humanité » ! Cela, passe, par une hygiène, discipline morales et, une ouverture mentale juvéniles, accrues. Les médias constituent, le premier véhicule empoisonné, de propagation, du pessimisme, par ses sinistres nouvelles. Sa systématique, noire vision, de la néogénération, fauteuse, de troubles et, objet, de scandale.

 

Chaque jour, il se passe, dans le monde, bien plus, d’événements heureux et, positifs, que de « drames affreux », de toutes sortes. Or, il n’en est jamais, question, nul média, n’en parle, jamais ! Ce qui participe, du « scélérat travail, de sape morale », de la jeunesse, du globe, à longueur, d’années. Avec, en particulier, une présentation, systématiquement pervertie, très négative, des jeunes et, de ce qu’ils sont, font, représentent. Geindre et, récriminer, en solo ou, en groupe, répand, le pessimisme, d’un bout à l’autre, de la planète, achève, de mettre, à bas, ce qui tenait encore, debout !

 

Peu, d’hommes, conservent, leur libre-arbitre, leur propre vision, sereine, positive, des réalités, de ce monde. La plupart, sont gangrenés, par le délétère poison, des tristes et négatifs, bruissements ambiants. Tout particulièrement, les juniors, hélas, que les adultes, intoxiquent, de leur sinistrose, au lieu, de les laisser jouir, de leurs insouciantes, jeunes années. Les « infernaux corollaires », de ce pessimisme, sont la peur et, la facilité. La crainte rend inquiet et, vindicatif, amer et, hargneux. Le pessimisme promet le bonheur, pour plus tard, donc, jamais157. Le malheur, pour tout de suite et, toujours, de façon inéluctable.

 

Quand, l’optimisme juvénile aspire, à la félicité présente, la garantit, sur-le-champ. Le bonheur permis, par l’optimisme, est possible, maintenant, pour tous, sans mal ni, douleur. Il a toujours, été, est, intemporel et, universel. Cela, passe, par l’affirmation, de soi, de chaque individu et, chaque jeune. Avec, une vision, très inédite et renouvelée. Nul junior, n’est coupable, déchu, indigne, de façon, prédéterminée, fataliste. Le meilleur, est en lui, il n’attend, que de l’exprimer, en toute positivité. Aux adultes, de l’y encourager, aider, au lieu, de toujours, l’accabler et, le stigmatiser ou, décourager.

 

Donc, de l’inciter, à ne rien faire, mal faire ou, défaire, au lieu, de s’accomplir, par l’action bénéfique, constructive, lumineuse. L’espérance, la foi, des croyants, de toutes obédiences, ne peuvent mener, qu’à l’optimisme, quant au genre humain, à la vie terrestre. Au bonheur, « ici et maintenant » ! En dépit, du pessimisme, si répandu, des dogmes, ecclésiaux et profanes. Qui ne sont, qu’une transcription, interprétation, erronées, de la vraie spiritualité. Religieuse et, laïque. Qui n’est, qu’allégresse, « action de grâce », de jeune ! La philosophie occidentale, depuis, la haute Antiquité, a, aussi, propagé, la litanie, du malheur.

 

En une vision morale, des philosophes, plus pessimiste, qu’optimiste. Des stoïciens, (Antiquité grecque), à Sartre, (France, 1905-1980), de Pascal, (France, 1623-1662), à Nietzsche, (Allemagne, 1844-1900). Des cyniques, (Antiquité grecque), à Marx, (Allemagne, 1818-1883). Tout humain, tout jeune, possède, en lui-même, « tout le bonheur, nécessaire ». Sans, nul besoin, d’aller, le quérir, aux antipodes. Or, il ne cherche ni, ne trouve, nulle félicité, faute, d’y croire, puisqu’il est convaincu, de son supposé « malheur ». Le junior vit, en son indigence, « assis, sur un tas d’or ». Or, puisqu’il l’ignore ou, préfère, n’y voir, que vils cailloux, il se laisse, « mourir, de faim », au lieu, de puiser, en ses richesses, si illimitées.

 

Comptable volontaire, en cela, de son marasme choisi, quand, la gratification était, à sa portée. Dépérissant, délibérément, à petit feu, à l’image, de la légende, de l’âne, de Buridan. (France, XIVe s.). Mort, de faim et, soif, de n’avoir pu, su ni, voulu, choisir, par quoi, commencer, entre, un picotin d’avoine ou, un seau d’eau. À chaque junior de découvrir, quels sont, sa richesse, son « salut », d’en jouir, à bon escient, pleines brassées. La plénitude ou, la déchéance, dépendent, de la disposition psychique, selon, qu’elle est optimiste, positive ou, pessimiste, négative.

 

L’optimisme avisé protège, du pire et, permet, le meilleur158. Le pessimisme, de mauvais aloi, prive le jeune, du meilleur, assure, le pire ! Plaintes, regrets, récriminations, abattements, ne servent, qu’à une seule chose, enfermer, encore plus, dans la débâcle. Seul, l’enthousiasme confiant, libère, des blocages et, donne la fortune, morale et matérielle, à qui veut bien, s’y livrer. Ne pas, se préoccuper, davantage, des tracas, comme, des choses négatives, de la vie, diminue, le poids, de la peine. Cela, disparaît, de l’esprit, pour le plus grand profit, de la paix intérieure et, de la sérénité. La meilleure solution est l’ « oubli ».

 

Que le junior occupe, plutôt, son esprit, de choses positives, satisfaisantes, apaisantes. Au lieu, de s’appesantir, inutilement, des scories malencontreuses, de l’existence. Seul, le moment présent, compte, puisque, le passé est révolu, l’avenir, encore, fort inexistant. Qu’il oublie, de même, ses déboires passés, donc, périmés, pour se concentrer, sur ses réussites présentes et, sur celles, qu’il veut mettre, en œuvre. La vie juvénile est, toujours, un éternel mouvement, recommencement, sans interruption ni, ralentissement. Raison, pour laquelle, rien, sur Terre, n’est immuable, irrémédiable, sauf, le cycle, naissance-vie-mort159. Jusqu’à la fin, des âges.

 

Inutile, de s’alarmer, des revers, du junior, tôt ou, tard, des temps meilleurs, viendront. De même, en « période faste », il s’agit, d’accepter, le fait, que des phases, moins prospères, puissent fort bien, arriver. Ce qui permet, aux jeunes, de mieux rebondir, encore. Hauts et, bas, de la vie ! Rares, sont les existences, exclusivement, continûment, flamboyantes ou, misérables. Ce qui ne peut, que mener, à l’espérance, l’optimisme, la sagesse. Tout est affaire, d’appréhension, de tout, ce qui advient, en ce bas monde, tant, tout y est, plus subjectif et, relatif, qu’objectif et, absolu.

 

Ce qui permet, une saine distanciation, un juste détachement, pour plus, d’ataraxie, d’équanimité. L’optimisme rend heureux, prospère et, en bonne santé, quand, le pessimisme attriste, appauvrit et, fait dépérir. La jeunesse espère, alors, que l’adultisme, notamment, âgé, est souvent, plus sombre. Tout, absolument tout, est question, de foi, en soi, ses aptitudes, sa bonne étoile, son destin, son existence unique, donc, ardente. Foi, aussi, en autrui, le genre humain, la vie. À l’inverse, quand, le doute vient et, s’installe, la flamme vacille et, s’éteint160.

 

Comme, la vie, de tant, de « grands hommes », parvenus, au sommet, puis, s’écroulant, plus ou, moins, rapidement, soudainement, le démontre. Les grands personnages historiques, en tous domaines, ont été, bien plus rayonnants et, marquants, optimistes, que ceux, qui étaient pessimistes. L’homme a un naturel penchant, regrettable et dommageable, pour la tragédie. Bien plus, que pour l’espérance. Il porte plus crédit, à la première, qu’à la seconde. L’optimisme collectif heureux favorise celui, du jeune et, réciproquement. Le pessimisme collectif malheureux, sert celui, des juniors et, inversement.

 

Le pessimisme crée la peur, comme, l’échec, quand, l’optimisme génère la quiétude et, la réussite, de vie, « en tout ». L’optimisme authentique est préétabli, inconditionnel, de principe. Il n’est pas conditionnel, c’est-à-dire, acquis, seulement, quand, « tout va bien » et, abattu, quand, les choses « se gâtent ». Même, existant, par nature, l’optimisme doit être entretenu, en permanence. Avec fortes vigilance, exigence, sous peine, de s’effondrer, au moindre « coup, du sort » ou, sous la morne routine, du quotidien. L’optimisme juvénile authentique est volontaire, volontariste, souhaité, réfléchi, pensé, ardemment, résolu.

 

Imposé, à soi-même, actif, agissant. En « inexpugnable processus », même, dans les pires « tempêtes, de la vie ». Toutes les forces physiques, psychiques, morales, se liguant, pour le susciter, le maintenir, consolider, sans cesse. L’optimisme cultivé, est un état d’esprit, du junior, soigneusement, solidement, maintenu, par principe, conviction, bienfait, non, par logique et, raison. Ce qui importe, n’est pas, l’effet bénéfique ou, maléfique, des choses, or, la cause, qui les provoque. C’est, de cette dernière, dont, il faut donc, se préoccuper, sur laquelle, il convient, d’agir.

 

Pour supprimer celle, qui est dommageable, créer, améliorer, maintenir, celle, qui est bonne, pour lui. Ce qui est favorable, à son optimisme. Les jeunes ne sont pas sensibles, à la réalité, des gens, des choses, comme, des circonstances, mais, à leur perception, évaluation, interprétation, de ces derniers. Le pessimisme mène, à leur en renvoyer, une image négative et, l’optimisme, une vision positive. Le pessimisme vient, de la peur, du mal-être et, ceux-ci, sont issus, d’un sentiment, de vulnérabilité, d’insécurité, de faiblesse, d’infériorité, d’incapacité. Ce qui entretient, malaise et, pessimisme juvéniles161. En délétère « sarabande, des plus endiablées ».

 

L’optimisme est « forgé », par la sérénité, la plénitude. Elles-mêmes, créées, par un esprit, de solidité, de sécurité, de force, supériorité, de bon aloi, d’aisance, comme, de compétence. Que le junior se défie, des apparences, impressions, premières, artificielles, superficielles et, fugaces, bonnes ou, mauvaises. Lui convenant ou, pas. Car, en tant, que telles, elles ne sont, qu’illusions, qui demandent, à être vérifiées et, confirmées, en profondeur et, sur la durée. La subjectivité n’est pas, l’objectivité. L’objectif juvénile est de s’imprégner, se convaincre, avec vigueur, des ressentis favorables.

 

De rejeter, non moins, fortement, ceux, qui sont contraires et, répulsifs. L’optimisme est une autosuggestion, autopersuasion, visant, à l’inscrire, au plus profond, du conscient, comme, surtout, de l’inconscient. Pour devenir, une « seconde nature », réflexe automatique, acquise, maintenue, renforcée, de chaque instant. Un « principe sacré », inexorablement et indéfectiblement, ancré, aux tréfonds, du jeune, par pure conviction, adhésion, intimes. En objurgation et, conviction, du bien, du bon, du beau, acquis et, à venir. Rejet, du mal, du mauvais, du laid, effectifs, potentiels. Ce qui mène, du marasme, au salut !

 

Voir, prioritairement, tout ce qui « va bien », de façon réelle ou, supposée, aide, à progresser, positivement. Quand, ne retenir, que le pire, avéré ou, imaginé, plonge, dans les marasmes, en tout. Se pénétrer, se féliciter, du bien, mène, au meilleur. S’empreindre, se désoler, du mal, garantit, le pire. Que le jeune affirme le meilleur, non, le pire, pour que le meilleur, survienne et, non, le pire. Même si, le jeune est pessimiste, en marasme, il s’agit, pour lui, de faire semblant et, comme, s’il était optimiste et, en prospérité. Comme, au théâtre, en jeu de rôle.

 

À force, de jouer, sa partition scénique, son rôle deviendra, non plus, un jeu, d’acteur, mais, lui-même, une seconde nature. Il ne jouera plus, il sera ! Comme, tout bon acteur, le fait. Alors, il deviendra, véritablement, optimiste, en félicité. Même si, les apparences, sont négatives et, contraires et, incitent, de prime abord, au pessimisme, défaitisme, découragement. Quand, objectivement, tout va mal et, à tous points de vue, affirmer, que tout va bien, à tout point de vue, permet, une juvénile régénération mentale. Qui rend apte, à se battre, remonter la pente, s’en sortir. Alors, qu’affirmer, que tout va, de travers, quand, c’est le cas, ne fait, qu’ « enfoncer », encore plus162.

 

Dans le désastre. L’essentiel, n’est pas la réalité, bonne ou, mauvaise, mais, l’état d’esprit, du jeune, bon ou, mauvais. S’il est bon, optimiste, tout est gagné ! S’il est mauvais, pessimiste, tout est perdu ! Sauf, un vrai ressaisissement positif, drastique, révolutionnaire, qui, seul, peut, favorablement, inverser, la tendance négative. En passant, du mal, au bien, du pessimisme, à l’optimisme. En confiance constructive, productive, non, en doutes destructeurs, stériles. En véritable foi, en soi, inaltérable, du junior, ses capacités, autrui, son destin, la vie. Qui seule, permet, la plénitude, sans limites, quand, la défiance, si sceptique, entraîne, aux désespérances.

 

Tout, ce qui a été accompli, de grand, fort, beau, de bon, en l’histoire, de l’humanité, l’a été, contre, l’évidence. Par des hommes, des actions, allant, à l’encontre, du conventionnel. Or, en subversive audace, inédite, iconoclaste, notamment, juvénile, en regard, des anciens canons, communément, admis, jusqu’alors. Ainsi, il aura fallu, de hardis précurseurs, pionniers, jugés, hérétiques, en leur temps. Comme, Copernic, (Astronome polonais, 1473-1543), Galilée, (Astronome italien, 1564-1642). Pour, peu à peu, ultérieurement, faire admettre, à tous, l’évidence, de la théorie, de l’héliocentrisme (XVIIe s.)163.

 

Jusqu’alors, prévalait, celle, du géocentrisme : un globe terrestre fixe, au centre, de l’univers, avec le soleil, tournant, autour. Il sera reconnu, que le soleil est fixe, « focal », avec la Terre, tournant, sur son axe, autour, du soleil et, non, l’inverse ! Tout jeune, se doit donc, d’opérer, sa propre mutation endogène, pour rejeter, les apparences négatives exogènes, cultiver, les ressentis positifs. Quoi, qu’il en soit et, coûte. C’est, la force mentale, cognitive, émotionnelle et, comportementale, qui meut, les humains, les choses, les événements.

 

Non, ces derniers, qui doivent régir, la pensée, les émotions, attitudes, du junior. Seuls, la conscience et, le for interne, comptent ! Seule, la pensée optimiste, parvient, à susciter, l’action et, l’action favorable, donc, des résultats, effets, tout autant, réussis. La pensée pessimiste paralyse ou, fait agir, de façon inadéquate, ce qui ne peut mener, qu’à un aboutissement raté. La pensée conduit, à l’action et, aux réalisations, non, l’inverse ou, de façon marginale et, négligeable. Pensée et, action sont illimitées, inépuisables. Seuls, le pessimisme, la négativité, le défaitisme, le vide intérieur mental, l’inertie, sont limitatifs, paralysent la pensée, l’action juvéniles.

 

Il importe, non, d’influer, sur les circonstances, mais, sur les façons, de les envisager, ainsi, que de penser, d’agir. Selon, ce que le jeune pense, agit, les réalités, de sa vie, sont orientées, de telle ou, telle façon. De façon bénéfique, s’il cogite, se comporte, positivement et, de façon optimiste. Or, maléfiquement, s’il est, en une logique personnelle, négative et pessimiste. Les facteurs internes, structurels, objectifs, de la psychologie juvénile, sont donc, décisifs et, déterminants. Bien plus, que les réalités extérieures, conjoncturelles et subjectives, des faits, réels ou, supposés.

 

Le junior n’a pas, de prise, sur ce qui lui est étranger, mais, sur ce qui est, en lui-même. De façon mentale, cognitive, émotionnelle, comportementale. Alors, seulement, alors, il aura plus pouvoir, pour faire, relativement, bouger, toutes les réalités externes. Gens, choses, événements ou, circonstances. Dans le temps et, l’espace. « À bon escient » et, de façon légitime, respectueuse, bénéfique, pour lui-même, autrui. Redisons-le, la vie, du jeune, est le « pur reflet », de ses croyances. S’il est convaincu, d’une possibilité, alors, celle-ci, aura toutes chances, raisonnables, de se réaliser. La force mentale domine, toute réalité matérielle.

 

S’il doute, d’une hypothèse ou, croit, en une impossibilité, alors, rien, assurément, ne bougera, favorablement, pour lui. Adhérer, à son « externalité psychique », le rend dépendant, passif, perméable. S’unir, à son internalité morale, le fait autonome, acteur et, souverain. L’intériorité se doit, de gouverner, l’extériorité, non, l’inverse. Ce n’est pas, le junior, qui se régit, mais, sa profondeur morale supérieure. Le physique, le psychique, comme, l’affectif, sont dirigés, par le spirituel, qui l’emporte et, « fait la différence ». L’âme transcende, le corps, l’esprit, le cœur. Qui, sème, cultive, joies, bonheurs, paix, récoltera, cela.

 

Qui, répand et, entretient, tristesses, malheurs, tourments, en retirera, la même chose. Tout jeune est comptable, de sa vie. Il obtient ou, pas, à la mesure, de son rayonnement ou, de son marasme, cognitif, émotionnel, moral, comportemental. Il est donc, vital, de n’ensemencer, que de bonnes choses, pour en récolter, de même. Toute « réjouissance » est, alors, non seulement, bénéfique, en elle-même, mais, aussi, car elle annihile, les désespoirs. Au lieu, de ressasser, ses déboires, le junior « rendra grâce, pour toutes les plénitudes providentielles, reçues ». Il n’y a point, de salut, sans effort et, réciproquement164.

 

Pas de vie, sans revers. La jeunesse acceptera, ces derniers, non, comme, épreuves injustes, insurmontables. Or, tels, enseignements bénéfiques, pour mieux progresser et, positivement. La renforcer, la sauver et, non, l’affaiblir, l’abattre. Elle sera prophétesse intrépide, novatrice, qui montre la voie, non, suiviste, conventionnelle et, conformiste. Qu’elle soit, elle-même, et, agisse, selon, ses libres vues, au lieu, de se livrer, corps et âme, pieds et mains liés, aux diktats, de la collectivité. Qui n’impose, que ses intérêts, non, les siens.

 

Que le junior travaille, à son élévation, personnelle et morale, jamais, à l’engraissement illégitime, d’entités extérieures et, anonymes, inconnues et, insaisissables. Toute vie belle, réussie, repose, sur la joie optimiste et, élude fort, tout ce qui lui est contraire. Ne considère, que les « bénédictions », ignore, les « malédictions ». La vraie joie, vient, de la seule joie, crée, de la joie. Tout comme, le malheur, s’autoreproduit, à volonté, de façon, exponentielle. La plénitude intérieure, n’arrive, que par la dissolution absolue, de toutes sources, qui lui sont contraires, d’insatisfaction. Plus, la nouvelle génération, détruit, oublie, ces dernières, mieux, elle se porte. Sinon, la pire des frustrations explose !

 

Plus le jeune les entretient, s’en souvient, moins, il s’épanouit, réussit. L’essentiel, est donc, d’oublier, les problèmes, pour ne voir, que les solutions, les mettre, en œuvre, pour avancer. D’être en paix, avec soi, sa conscience, autrui et, tout l’univers. « Sourire », intérieurement et moralement, aboutit, à sourire, physiquement, de tout son visage, lèvres, yeux, compris. Car, le sourire extérieur, est le reflet, positif et bienfaisant, de celui, de l’âme, du cœur, de l’esprit. Bénéfique cadeau, du bonheur, de vivre, pour soi-même, autrui. De même et, plus encore, le rire illumine, le junior, qui le répand, comme, celui, qui le reçoit, en heureuse respiration, de tout l’être.

 

Qu’il rie, à l’univers, l’univers, en retour, lui rira ! Qu’il rie, il sera plus prospère et, heureux ! La bonne santé, physique, psychique, affective, comme, spirituelle, est « un tout », indissolublement, lié. Chacun, de ses éléments, étant dépendant, des autres. Si tous, sont sains, l’état général est parfait. Or, que l’un, vienne, à défaillir, tous, sont alors, atteints. L’optimisme est excellent, pour la santé juvénile, du corps, de l’esprit, du cœur, de l’âme. Le pessimisme est, au contraire, le « pire poison, létal violent », pour l’intégrité psychosomatique, du jeune165.

 

Psyché, soma juvéniles, ne font, qu’un. Les médicaments chimiques guérissent, or, souvent, fort mal ou, pas du tout ou, avec effets secondaires, iatrogènes toxiques. Ils ne sont jamais, la panacée. Il vaut mieux, prévenir, la maladie, par une excellente hygiène, de vie, comme, un état psychique positif, optimiste, heureux. Qui protège, préserve, au maximum, de la maladie, des effets, du vieillissement. Alors, le corps fabrique, ses propres médicaments chimiques, par un esprit fort, gai, des sécrétions naturelles, comme, l’endorphine, la sérotonine.

 

Un excellent moral, « à toute épreuve », renforce l’immunité organique, de tout jeune, quand, le mauvais, l’affaiblit. Dans le premier cas, les maladies, y compris, les plus graves et, incurables, seront écartées. Dans le second, elles entrent, en force. L’optimisme génère, ordre, harmonie, vitalité, là, où, le pessimisme, ne sécrète, que désordres, discordances, marasmes. Même, les pires blessures, fractures ou, maladies, se résorbent, mieux et, plus vite, quand, l’on est, de nature enjouée, que quand, l’on est, défaitiste. Outre, l’hygiène physique, l’autodiscipline morale stricte, maintient donc, le junior, en excellente santé, toute son existence, durant, jusqu’au, grand âge.

 

Allonge même, l’existence juvénile. Ceci, a été démontré, scientifiquement. Ainsi, y a-t-il, sans doute, de grands pessimistes, dépressifs, stressés, angoissés, chez les cancéreux, cardiaques, atteints, de maladies neurodégénératives, voire, du Sida. Plus, que d’inaltérables, optimistes, sereins et, heureux, de vivre. Outre, naturellement, toutes les causes, purement, somatiques, spécifiques, à chacune, de ces fort lourdes pathologies. Hypothèse, des plus intéressantes, à creuser, un peu plus. Si la maladie survient, l’optimisme permet, outre, les soins idoines, de guérir, plus vite, mieux, de façon, moins récidivante.

 

N’oublions pas, l’impact, du psychisme, de la volonté, certitude, de guérir, l’effet placebo. La peur altère la santé et, peut même, tuer. La paix intérieure, du junior,  prévient, la pathologie, la guérit. En bonne santé, il convient, de ne jamais, penser, à la maladie. Malade, il s’agit, de ne surtout, pas voir, l’affection, comme, un mal. Jeunesse, bonne santé, ne sont pas tant, affaire, d’âge, d’anatomie, que de forte puissance mentale, émotionnelle et, comportementale. Positive, optimiste et, heureuse ! Qui ne croit, en rien, n’attend rien, ne veut rien, n’aura rien, essuiera, le pire, de la vie166. Jusqu’à, l’implosion !

 

Qui croit, en tout, aspire, espère, en tout, désire tout, aura, le « Grand Tout » et, le meilleur, de l’existence, au-delà, de ses rêves, les plus fous ! Le jeune ne doit, le meilleur, qu’à lui-même et, le pire, aussi. À méditer, pour tout junior, qui démarre, son parcours terrestre ! Pour réussir, en ses études, son métier, il s’agit, de savoir, « saisir sa chance ». De ne pas être, défaitiste, mais, optimiste, persuasif. D’adhérer et, de croire, pleinement, à ce que l’on fait et, de le faire bien. En honnêteté, droiture, sympathie, bonne humeur. Le junior, « de conviction », mène et, réussit, son existence, tambour battant.

 

Celui, perdu, en ses atermoiements, tergiversations, états d’âme, subit sa vie, y échoue. Seule, la foi, en soi, autrui, la vie, sauve, quand, le doute, érigé, en dogme absolu, est gage, de « perdition ». Cela, est d’autant plus, important, pour les juniors. De fait, ils sont considérés, comme, « moyens », par la société. En un « no man’s land, de l’invisible ». N’étant ni, « grands », tels, les adultes ni, « petits », comme, les enfants, ils n’existent pas. Seuls, les adultes, étant reconnus, par rapports de force, les enfants, tolérés, choyés, par « attendrissement ». Coincés, entre les deux, les jeunes sont, des plus « transparents ».

 

Les juniors ont donc, les pires difficultés, à s’imposer, se faire admettre, par le corps social. Seule, leur foi, en eux-mêmes, « chevillée, au corps, à l’âme », peut les « hisser », les faire admettre, vers « le meilleur ». Médire, comme, désespérer, ne fait rien avancer ni, personne ! S’enthousiasmer, « se congratuler », est « tout bénéfice », bien, que bien plus rare, chez les humains, hélas. Attaques, mensongères calomnies, médisances, de vérités, sont des fléaux, à éradiquer. D’où, l’importance, de la tolérance, l’indulgence, la compréhension, réciproques, de tous, par tous.

 

Faire le bien, pour soi, fait, aussi, le bonheur, d’autrui, servir, les intérêts, des autres, permet, aussi, de bénéficier, à soi-même. Tant, tous les humains, sont interdépendants. Qui, répand, de la joie, de la sympathie, récolte, la félicité durable. Qui, diffuse, des anathèmes, s’attire, des « malédictions, sans fin ». Or, tout jeune a le pouvoir, de transformer, la haine, en amour, le ressentiment, en pardon, la malveillance, en gentillesse et, ainsi, de suite. Malheurs, pénuries, échecs, peuvent se muer, en bonheurs, prospérités et, réussites. Il s’agit, de bonne volonté, d’optimisme féconds167. Ainsi, le junior, peut inverser, « la fatalité, la plus implacable ».

 

Le secret, des relations juvéniles réussies, consiste, à éviter, de s’étendre, sur soi, à écouter, interroger, plutôt, autrui, sur ce qui lui tient, à cœur. Cela, sera fort apprécié, bénéficiera, en considération, à l’écoutant. Tant, généralement, chacun, n’aspire, qu’à se mettre, en avant, au détriment, d’autrui, ainsi, nié, non, pris en compte. L’on sait, que donner, aux autres, équivaut, à recevoir, soi-même, « au centuple » ! Comme, les individus, les nations, les plus optimistes, « avancent mieux », que les plus pessimistes. Ainsi, parmi, les peuples, les pays, émergents, Chinois, Indiens, Brésiliens, notamment, chez les jeunes, sont-ils « optimistes ».

 

Des études d’opinion, le démontrent. En Occident, Australiens, Nord-Américains, Scandinaves et, jeunes germaniques le sont, plutôt, aussi. Quand, les habitants, d’Europe méridionale, à l’inverse, de l’Occident septentrional, sont bien plus pessimistes et, bien moins prospères. Ainsi, Français, Italiens, Espagnols, Portugais, Grecs. Le junior est optimiste, pour lui, autrui et, réciproquement. Mutismes, défiances, comme, peurs, ne sont, que pleine « ruine, de l’âme ». Quand, partages, confiance, sérénité, en sont, les bienfaiteurs, réjouissent, le cœur, transcendent, les esprits.

 

Or, si le pessimisme affaiblit, l’optimisme renforce. Si le pessimisme est « contagieux », pour autrui, l’optimisme, encore plus ! L’optimisme régénère, là, où, le pessimisme juvénile, détruit. Que tout jeune répande donc, le premier, à profusion, en espérance, pour lui-même et, autrui et, qu’il fuie, le second, comme, la peste, du désespoir. L’optimisme attire, forge, de l’optimisme, en « cercle vertueux », durable. Le pessimisme fédère, secrète, du pessimisme, en « cercle vicieux », sans fin. Le pessimisme ne crée rien, de valable ni, d’enraciné. En postures figées, passives, stériles.

 

Seul, l’optimisme, suscite, des créations élevées, fructueuses et, pérennes. De façon dynamique, active, productive. Une sorte, de revanche, de bon sens, de l’empirisme et, du pragmatisme, sur les rationnelles, pures, raison et logique, qui ont fort, démontré, leurs limites. Le junior pessimiste, ne se trouble, que de la terrifiante peur, du « pire ». L’optimiste se transcende, en la paisible certitude, du meilleur. À l’un, la paix, la justice, l’amour. À l’autre, le tourment, l’iniquité, la défiance. Il est donc, temps, au vingt-et-unième siècle, de notre ère, que l’homme, jeune et, moins jeune, cesse, de – trop – ne se cantonner, qu’à la seule, matière168.

 

Comme, son lointain ancêtre, à cerveau primitif, des débuts, d’humanité, cinq millions d’années, plus tôt. Que l’homo sapiens junior investisse, un peu plus, le champ, des choses, de l’esprit. Ce qui lui serait, autrement, profitable, lui ménagerait, un monde et, une vie, bien meilleurs ! Notamment, pour sa descendance juvénile, qui attend et, espère fort, à raison, beaucoup mieux ! De ses aînés, dits, « adultes » et, de l’univers, qui lui sera légué, à l’avenir. L’optimisme permet, d’être heureux, de s’élever, s’accomplir, en effort, patience, comme, ténacité. Là, où, le pessimisme, n’est que déchéances et, renonciations, à se positionner, pour le bonheur.

 

« Une vie ne vaut rien, mais, rien, ne vaut une vie » !

(A. Malraux, écrivain français, 1901-1976, Les Conquérants, œuvre littéraire, France, 1928)169.

Dont acte, pour tout jeune ! (Barbarin, 1954)-170.


 

 


Seul, le principe constructif, créatif, permet, à notre jeunesse, d’être, « à nulle autre, pareille » ! « Nec pluribus impar », pour reprendre, la devise « solaire », du Grand Roi, Louis, le Quatorzième. (Souverain régnant, France, 1638-1715). Toutefois, une société adulte résignée, cynique, désabusée, ne produit-elle pas, qu’une nouvelle génération, à sa si terne image ? Soit, très éteinte, défaitiste, atone, avant même, que de seulement, commencer, à vivre.

 

Observons, cette scène, de la vie ordinaire, saisie, « au vol », à bord, d’un train, en marche, en plein jour. Des enfants jouent, s’amusent, s’agitent, en tous sens et, y prennent plaisir. Dans le même temps, dans le même wagon, des jeunes dorment, paisiblement, à poings fermés. Contraste, des plus saisissants ! Certes, les juniors manquent, de sommeil, piquent, souvent, du nez, en mode diurne. Or, nous pouvons, aussi, y voir, toute la symbolique, d’une génération, déjà, « fatiguée de vivre », désabusée et, qui s’ennuie ferme.

 

Une jeunesse, apathique, blasée, morne, chagrin, renfrognée. Qui, ne s’intéresse plus, à rien, d’élevé, qui la dépasse, faute, que nul, réel idéal, transcendant, mobilisateur, ne lui soit, jamais, proposé. Ni, par ses aînés ni, par ses pairs. L’enfance, pour sa part, n’étant pas encore, atteinte, de ce mal léthargique, étant, encore, tout à l’innocence, de ses quêtes et, jeux propres ! Autre tableau, aussi signifiant, deux jeunes amis entrent, en une rame, de métro.

 

S’assoient, face à face, en silence. Ne pipent mot, du long trajet. Se contentant, de pianoter, frénétiquement, sur leur écran mobile. « Néogénération hypnotisée », rendue amorphe, par déréliction, déshérence ! Le temps est donc, venu, de proposer, à notre jeunesse, un projet, de vie, de société, bien plus ambitieux, mobilisateur, attractif, pour elle. Une véritable « blitzkrieg, guerre éclair » programmatique, éducative, d’insertion, en sa faveur. Inlassablement.


 

 


– Parfaire Vos Autodiscipline de Vie –

Emploi du Temps, Scolarité d’AndroJunior


 

 

Vous, jeune d’aujourd’hui, constituez la première génération, du « tout numérique ». La plupart, d’entre-vous, ne concevez guère, de vous passer, ne fût-ce, qu’un seul instant, de votre tablette ou, téléphone mobile multimédia, « iPhone ». D’assistance personnelle, « Smartphone ». Avec, leur lecteur audio, vidéo, Mp3, Mp4, l’Internet, notamment, mobile. Cette « numérisation juvénile » est capitale, à vos yeux, de junior. Car elle constitue, non seulement, un mode, de communication, de liberté, permanent, entre vous, mais, aussi, le moyen privilégié, de « synthétiser », toute votre existence.


 

 


Que ce soit, sur le téléphone mobile, le Web, fixe ou, mobile, photos, vidéos et, textes, opinions, humeurs, du moment, figurent, en bonne place. En particulier, sur les réseaux sociaux, comme, « Facebook » : 82 pour cent, des quinze – vingt-quatre ans. Sur les « murs » personnels, de chaque jeune et, sur blogs individuels. Autant, de « dazibaos », en lesquels, le jeune s’exprime, librement, fait réagir, ses amis. Le junior se construit, en se dévoilant, à ses semblables, « miroirs, de lui-même », par une structuration, en rapport, à autrui, pour grandir171.

 

Les émissions radiophoniques nocturnes, de libre parole juvénile, jouent, un peu, le même rôle. Tout ceci, est très positif, en soi, participe, à l’enrichissement mutuel interactif, des jeunes. Tout change, quand, l’on passe, d’un libre usage, « normal, raisonnable », d’ouverture, à une addiction routinière. Qui enferme, annihile, tout le libre arbitre, l’équilibre. Téléphone mobile branché, en permanence, abus, d’écouteurs audio, sur les oreilles, présence massive, devant, les écrans vidéo, excès, de jeux, en ligne… Ces débordements sont toxiques, car ils signifient, un repli, du junior, préjudiciable, à sa vraie vie sociale, sous couvert, de « cybersociabilité » virtuelle.

 

Un risque, pour la santé, concernant, la diffusion, par la téléphonie mobile, d’ondes trop nocives, absorbées, par le corps humain. Une altération irréversible, de l’ouïe, par écoute musicale, trop fréquente, prolongée, à niveau sonore excessif, par casques, écouteurs audio. Façon, aussi, de s’enfermer, sur soi, de façon autiste, pour fuir, un environnement, perçu, hostile. Nous citons, l’exemple significatif, du jeune dormant, « en mauvaise compagnie ».

 

Chaque jour, avec son téléphone mobile, restant allumé, sous son oreiller. Passant, ses nuits, écouteurs, sur les oreilles et, musique forte, pour s’endormir, sans interruption automatique rapide ! Un cinquième, des jeunes, est susceptible, de souffrir, d’affections auditives ! Nombre, de juniors, dépassent, les quatre-vingt-cinq décibels, l’équivalent, du bruit, d’une tondeuse, à dix mètres. Une petite minorité, outrepasse même, les cent décibels, soit, le bruit, d’un marteau-piqueur, à dix mètres. Les garçons écoutent, plus fort, les filles, plus longtemps. En moyenne, les lycéens franciliens écoutent, leur baladeur, trois heures, par jour.

 

Ceux, qui sont, en études professionnelles, montent le son, quatre fois, plus fort, que les jeunes, des autres filières. Entre cinq et, dix pour cent, des usagers, de lecteurs Mp3, risquent, des pertes auditives, irréversibles, s’ils dépassent, les quatre-vingt-neuf décibels. Ce, pendant, plus, d’une heure, par jour, toutes les semaines, durant, au moins, cinq ans. Un dixième, des juniors, de moins, de vingt-cinq ans, ont une perte auditive, pathologique. Sifflements, bourdonnements, acouphènes, intolérance, au bruit, dépression, isolement, s’ensuivent. Qui enferment, profondément, le jeune, en lui-même.

 

L’excès, d’écoute musicale, sous casque auriculaire, est néfaste. À quatre-vingts décibels, le temps, d’exposition, ne doit pas dépasser, quarante heures, par semaine. À quatre-vingt-neuf décibels, les cinq heures hebdomadaires, sont un maximum. Les baladeurs, du futur, devront, tous, par un signal, sonore ou, visuel, « mettre en garde », les juniors, contre, un niveau sonore excessif, comme, un temps, d’utilisation, trop long. En outre, la musique numérique compressée, pour le format Mp3, constitue un danger, de santé auditive, supplémentaire.

 

Cela, consiste, à augmenter, le volume sonore musical, pour qu’il soit audible, en milieu habituel bruyant, sans avoir, à le faire, manuellement. Le danger est qu’ainsi, le jeune s’habitue, aux sons trop forts, entende, moins bien, les sons faibles. Ce qui amène, à une écoute, de plus en plus, puissante, pour compenser, ce phénomène. La nocivité, de la compression, est accentuée, par l’usage, du système d’écoute auriculaire : casque. Pire encore, intra auriculaire : mini écouteurs, placés, à l’intérieur, du conduit auriculaire. En outre, l’oreille, de tous ces juniors, n’est pas éduquée, musicalement, puisque, la majorité juvénile ne pratique ni, instrument de musique ni, chant172.

 

Le niveau idéal, d’intensité sonore acoustique, est autour, de vingt à trente décibels, de bruits ambiants. Le chuchotement, est de quarante dB, une voix douce, atteint les soixante décibels, une voix forte, les quatre-vingts dB. Les cent dB abîment, l’audition humaine. (Rivais, 2010)173. Avec la surdité, un autre problème, de santé, menace, les jeunes. Il s’agit, de l’exposition excessive, aux ondes électromagnétiques et, radiofréquences. Celles-ci sont, notamment, le fait, des téléphones mobiles. Tout être humain, produit, de l’électricité, par son propre corps.

 

Le cerveau est le principal pourvoyeur, de cette électricité. Le cœur, les intestins, en produisent, également. Le corps juvénile, avec ses neurones, crée aussi, un champ magnétique. Ce qui fait, que les juniors, sont extrêmement sensibles, aux champs électromagnétiques extérieurs. Il y a cinq types, d’ondes cérébrales. Nous les citons, par ordre d’importance croissante, en termes, de hertz. Les plus basses, sont les « ondes delta », elles concernent, le stade inconscient, le sommeil profond, le sommeil paradoxal, l’état, de méditation. Les « ondes thêta », ont trait, aux états, de somnolence, de relaxation profonde. Ce qui détend, relaxe, le mieux.

 

Les « ondes alpha », sont celles, des niveaux juvéniles conscients, de l’état d’apaisement, de créativité. Les « ondes bêta », agissent, pendant, les occupations, de la vie courante. Elles sont celles, de la vivacité, d’esprit, de la concentration, de la cognition, du junior. Puis, les « ondes gamma », les plus hautes, correspondent, aux processus, très créatifs, aux résolutions, des problèmes ardus. Depuis, cent ans, déjà, du fait, de l’évolution technologique, tous les champs électromagnétiques, ont été démultipliés, par, au moins, mille, voire, plus. Le système électrique anatomique, du jeune, ne peut, donc, qu’en être, fort perturbé.

 

Quand, de l’électricité circule, se créent, des champs électriques, magnétiques, tout près, des lignes, qui la transportent, des appareils, qui la reçoivent. Des radios-réveils, aux fers, à repasser, des plaques, à induction, aux transformateurs, comme, des téléphones mobiles, à la téléphonie fixe, sans fil. Il y a, les « champs continus et, alternatifs ». Pour ces derniers, il y a, les extrêmes basses fréquences, telle, l’électricité domestique et, les hyperfréquences, tels, les téléphones mobiles. Les basses fréquences, des appareils électriques ménagers, disparaissent, par une bonne mise, à la terre.

 

Or, les hyperfréquences exigent, une adaptation, de l’organisme juvénile. Ce sont celles, de la téléphonie mobile, la Wifi, des téléphones Dect, sans fil, des vecteurs, de communication. Comme, les modems informatiques, consoles, de jeux, antennes relais, certains satellites… La pollution électromagnétique permanente, nuirait, à la santé humaine. Les hyperfréquences exigeant, une adaptation constante, de l’organisme. Ces dernières perturbent, de fait, l’activité électrique, du cerveau. Tout ceci, crée alors, chez certains individus, le « syndrome », dit, celui, d’electrohypersensibilité, Ehs. Les juniors, du fait, de leur usage, intensif et fréquent, de nombre, d’appareils incriminés, sont, tout particulièrement, concernés.

 

Les effets principaux, se manifestent, sous forme, de maux, de tête, troubles, de la concentration, du sommeil, pertes, de mémoire immédiate, fatigue chronique. D’état neuronal « comateux », de troubles, de la déglutition, phénomènes inflammatoires. De fibromyalgie, perturbations auditives, visuelles, névralgies dentaires, disrythmie cardiaque… Des recommandations élémentaires, s’imposent donc, en particulier, chez les jeunes. Pour contrer, un environnement, de plus en plus, nocif. D’autant plus, qu’avant, vingt-cinq ans, le cerveau juvénile, est plus vulnérable, car, en maturation !

 

Ainsi, le téléphone mobile choisi, comportera-t-il, un débit, d’absorption spécifique, Das, le plus bas possible. Il s’agit, de l’indice, qui indique, la quantité, d’énergie exacte, transportée, par les fréquences émises, vers le junior. L’usage, de la téléphonie, sans fil, sera bien plus rare, l’on s’abstiendra, de se tenir, en permanence, à proximité, de la base. La durée, des conversations téléphoniques mobiles, sera limitée. Le téléphone portable sera éteint, le plus souvent, possible. L’usage, en sera « statique », non, en mouvement, car l’effet, des ondes électromagnétiques, est encore, plus nocif, en bougeant, qu’à l’arrêt.

 

Le téléphone mobile sera éteint, dans tous les moyens, de transport, fermés, pour prévenir, un effet, « cage, de Faraday », qui augmente, très massivement, les émissions. Ne jamais, dormir, avec un portable juvénile, allumé. Surtout, près, du cerveau. Éviter, dans une chambre, à coucher, tous les appareils électriques, informatiques, en veille. Ainsi, que tous les fils électriques, à proximité, du lit. Supprimer, les grands miroirs, qui réfléchissent, amplifient, les effets, des rayonnements. Se tenir loin, des bornes Wifi. Utiliser, de bonnes prises, de terre. Pour limiter, tous les effets induits, pour le jeune. (Tchaguine, 2012)174.

 

Débrancher, les appareils électriques, non utilisés… Quelques bonnes habitudes, limitations simples, s’imposent, au jeune. Concernant, le mobile juvénile : l’éteindre, en cours, pendant, le travail, d’études, les examens ou, contrôles, le sommeil nocturne, les repas… Si cela, peut déranger, adopter, les modes, d’alerte discrets ou, silencieux. Ne pas imposer, ses conversations, à des tiers, par exemple, dans les transports, en commun. Ne pas hésiter, à le laisser éteint, chez soi, quand, l’usage, ne s’impose pas, pour éviter, une dépendance excessive. Ne pas passer, son temps, à le consulter, frénétiquement, à jouer, avec et, à des jeux. Tenir compte, des droits, à l’image, d’autrui, quant à l’usage photo, vidéo, du mobile…

 

Concernant, l’audition musicale, sous écouteurs, il s’agit, d’en limiter, quotidiennement, la durée, fréquence, le niveau sonore. D’éviter, la pratique, en milieux bruyants, ce qui incite, à augmenter, encore plus, le niveau, de décibels. L’usage Web, du junior, sera fort « policé », en la mesure, du possible. Il est inutile, de vérifier, sans cesse, compulsivement, ses messageries multimédia. Attention, à la diffamation, d’autrui, notamment, des enseignants, sur les blogs, réseaux sociaux, chats ou, forums. Pas d’imprudences, avec des inconnus, sur les messageries. Limitation, des temps, d’écrans, des jeux vidéo. Pas, de diffusion, sur le Web, de textes, supports photo, vidéo, audio, de nature, à dévoiler, l’intimité, la vie privée. Susceptibles, de porter préjudice, pour les études, l’emploi, pouvant nuire, à la réputation, des autres ! Tout ceci, peut se retourner, alors, contre, le jeune.

 

Par une conjoncture socioéconomique, des plus défavorables, notre jeunesse est amenée, de plus en plus, à résider, de façon prolongée, au domicile parental. En véritable, « syndrome Tanguy ». L’immense majorité, des jeunes, de quinze – vingt-quatre ans, ne disposent pas, d’un habitat autonome propre. Lycéens, étudiants, une part croissante, même, de jeunes, au travail, vivent, prioritairement, chez leurs ascendants. Crise socioéconomique, du logement, chômage, prolongation, des études, insuffisance, de revenus, cherté, des loyers. Pénurie, d’habitat, pour étudiants, juniors, jeunes actifs, volonté, des juniors, eux-mêmes, de prolonger, leur vie confortable, au domicile parental. D’autant plus, qu’ils y bénéficient, de bien plus, de libertés, qu’en temps antérieurs175… Le jeune sait fort, qu’il ne peut prétendre, seul, au train de vie parental.

 

Tout ceci, contribue, à amplifier, ce phénomène. Cela, ne va pas, sans difficultés, tant, pour les ascendants, que pour les juniors. En les décennies 1960, 1970, l’éducation, étant plus rigide, les conditions économiques, meilleures, la nouvelle génération était désireuse, de partir, au plus vite. Depuis, il en va, tout autrement, en une « logique, fort résignée, de mariage, de raison » ! Pour la plupart, des jeunes, la vie familiale sera, généralement, plutôt, harmonieuse, favorable. Puisque, génératrice, tout à la fois, d’avantages matériels et, de libertés.

 

Cela, peut constituer, un piège, tant, pour le junior, que pour ses parents. Assistanat infantilisant, pour le premier et, servitudes sans fin, pour les seconds. Quelques principes, de bonne cohabitation, respect mutuel, s’imposent. Les uns et, les autres, ont des droits et, des devoirs. Le droit, des parents, est de ne pas faire, de leur maison, une simple prestation hôtelière ni, de restauration. Or, d’imposer, un minimum, de règles strictes, non, pour autant, rigides, en l’intérêt, de tous. Il y a, pour les jeunes, des obligations incontournables. En matière, de sécurité, d’hygiène, d’ordre, de respect, du bon état, des espaces, d’horaires, de repas, en commun.

 

Indication, à l’avance, aux ascendants, des absences et, présences juvéniles, à la maison. Participation, aux diverses tâches ménagères. Observation, d’horaires « décents », pour toute pratique, de la vie quotidienne, y compris, le sommeil. Impératif, de ne pas « envahir », les lieux, avec, des « invités-surprise » et, plus ou, moins, in/désirables. Le partenaire affectif éventuel, du junior, ne sera pas, ipso facto, habilité, à dormir, s’installer, à demeure… Les parents ont le droit, de « régenter ». Les jeunes, la charge, de s’y conformer.

 

En « contrepartie », les parents ont un devoir, de respect, des libertés, dignité, intimité, de leur enfant, tout comme, ce dernier, des leurs. Ils n’ouvriront pas, son courrier, téléphone mobile, ordinateur. La chambre du junior, est son espace personnel. Il a le droit, de s’y enfermer. Les parents s’abstiendront, de toute irruption, immixtion, intempestives, frapperont, avant, d’entrer, ne fouilleront jamais, cet espace. Ils ne rangeront, voire, supprimeront, des effets, qu’en accord, avec le jeune. Seuls, l’entretien, de salubrité, la prohibition, de substances, d’objets, illicites ou, dangereux, seront imposés. Le junior a le droit, d’aménager, de décorer, son espace propre, selon, sa guise176.

 

En les limites, de l’ « acceptable ». Il peut inviter, qui, il veut, organiser, des réceptions, fêtes, avec accord parental. Les majeurs bénéficieront, de bien plus, de latitude, que les mineurs. Les étudiants et, jeunes actifs, que les collégiens ou, lycéens. Le junior peut émettre, des avis, préférences, sur la configuration, l’équipement, la vie, de la maison, avec libre choix parental… Les parents sont « chez eux », mais, les enfants se voient accorder, un « droit, de jouissance raisonnable ». Les ascendants n’entraveront jamais, ce « droit octroyé », mais, les jeunes n’en abuseront pas. C’est, à ce prix, que la coexistence, parents-juniors, sera, des plus agréables, profitables, enrichissantes, pour tous, sans exception ! En esprit, de compromis, comme, de concessions.

 

Tous les spécialistes, le soulignent, la majorité, des quinze – vingt-quatre ans, « manquent », de sommeil. Et / ou, ont un sommeil décalé, reporté, difficile, abrégé, voire, de mauvaise qualité, irrégulier, interrompu, agité, des cauchemars. Des difficultés, à se réveiller ou, lever, un mode équilibre, veille / sommeil, dysfonctionnel. Les rythmes chrono-psychobiologiques, des jeunes, sont donc, le plus souvent, plutôt, insatisfaisants. Cela, est préoccupant, à un âge, de très forte croissance physique, grand, développement psycho-intellectuel. Or, le sommeil nocturne est capital, pour la régénération physique, mentale. En particulier, pour le cerveau. Pas de santé, de capacités, de concentration, de mémorisation, d’attention, de sérénité, dynamisme…, sans sommeil suffisant, en quantité, qualité. Cette « fâcherie », entre jeunes et, sommeil, explique, pour partie, leur état.

 

Souvent, agressif, survolté, susceptible, de mauvaise humeur, absent, lunatique, amorphe, fatigué. Ce qui génère, des somnolences diurnes, répétées, nocives, pour leur santé. L’ « horloge biologique », de ces jeunes, est déréglée ! Leur sommeil diurne repoussant, d’autant, leur endormissement nocturne. Au lieu, des neuf heures journalières, minimales, de sommeil, de nuit, six à huit, seulement, en moyenne, sont respectées. Le déficit hebdomadaire s’accumule, compensé, en partie, en fins, de semaines, ce qui est insuffisant, déséquilibré. À la jeunesse, le sommeil nocturne est plutôt, assimilé, à une corvée inutile, chronophage. Qui rappelle, par trop, les obligations honnies, de l’enfance. Il y a tellement, plus passionnant, à faire177 ! La nuit juvénile est le temps privilégié, du contact, avec les pairs. Au détriment, du naturel rythme circadien, de l’équilibre dual, diurne et nocturne.

 

Pour le junior, l’espace-temps, du soir, est un monde, d’exploration, fascinant, qui lui appartient. Cette génération est, en quasi-permanence, saoulée, de multiples excitations plurisensorielles, voire, psychédéliques. Elle ne peut entrer facilement, dans le sommeil. Trop, de « tentations » nocturnes, l’en dissuadent, ainsi, qu’une fort mauvaise organisation, du travail scolaire, qui se poursuit, bien trop tard, la nuit. Usages audiovisuels, notamment, violents, Internet, téléphonie mobile, communications Web, avec les pairs et, sorties répétées, même, en semaine.

 

Activité physique, très tardive, dîner, trop riche ou, différé, écoutes radiophoniques, musicales, abus addictifs : tabac, alcool, drogues, excitants. Stress, pensées négatives, inquiètes, anxiétés… Tous moyens parfaits, de sabotage, du capital sommeil juvénile, vital ! L’horloge biologique des jeunes se dérègle, plus facilement, que celle, des adultes. L’on parle, de syndrome, de retard de phase. Du fait, de modifications hormonales, cognitives, émotionnelles, comportementales, sociales juvéniles, les jeunes aiment, à se coucher tard. Pour des raisons, également, physiologiques. Si leur code génétique est conforme, à ce schéma, « tout va bien ».

 

Sinon, il y a mal-être et, performances moindres. Les juniors apprécient de vivre la nuit, car ils s’y sentent, plus libres, pendant, que les adultes, quant à eux, dorment ! Cela, est fort bien connu : « quand, les chats, sont absents, les souris dansent » ! Or, en outre, les occupations audiovisuelles, informatiques, multimédia, de communication, tous azimuts, retardent, d’autant, le moment, de dormir. Les jeunes ont besoin, de beaucoup, de sommeil, lent profond et, également, paradoxal. Il leur faut, en moyenne, neuf heures de sommeil, par vingt-quatre heures. Cela, nécessite, alors, de se coucher et, lever tôt.

 

Sinon, il y aura, un déficit, en sommeil, d’environ, deux heures, par jour ! Or, cela, occasionne, de forts troubles physiques, psychiques. Douleurs abdominales chroniques, somnolence, comme, fatigue, dans la journée, net abaissement, des défenses immunitaires. L’on observe, aussi, de moindres capacités et, résultats intellectuels, cognitifs, émotionnels, d’attitudes. Au détriment, des études. L’humeur est altérée, avec bien plus, de sensibilité, au stress et, à la dépression. Si le jeune se couche, s’endort, trop tard, mais, se lève tôt, il est fatigué. S’il peut se lever tard, il sera, en important décalage. (Coudron, 2012)178.

 

Il s’agit, d’un âge, où, le cerveau continue, à se développer, où, les sollicitations intellectuelles, sont importantes. Dormir, huit à neuf heures, par nuit, s’impose, aux juniors. Inutile, de travailler, après, 22 heures. Le cerveau, saturé, n’ « enregistre » plus ou, mal. La stimulation neuronale recule, l’endormissement. Il vaut mieux, se lever, plus tôt, accomplir, ses tâches scolaires ou, universitaires, le matin, de façon, plus efficace. L’idéal, est de se coucher, lever, tôt, à heures fixes, tous les jours, au moins, en pleine semaine. En respectant, ses cycles, de sommeil, son « biochronomètre interne ». Pas d’abus, de nuits blanches, en fins, de semaine. Le repas, du soir, sera léger, non, trop reporté. Produits psychotropes et, excitants seront bannis. Douche fraîche, infusions, de phytothérapie, peuvent être bénéfiques.

 

Les activités sportives intenses, du jeune, avant, le sommeil, sont à proscrire, les stimulations sensorielles excessives, aussi. Comme, les films violents, les musiques agressives, abus, de l’Internet, disputes, contrariétés, discussions animées, sorties prolongées, en semaine… L’heure, précédant, le sommeil, doit être dédiée, au calme, à la solitude, la relaxation, les détentes. Lire, au lit, un « livre d’évasion », pourra favoriser le sommeil. La température, de la chambre, suffisamment, aérée, chaque jour, ne sera ni, trop élevée ni, trop basse. Le silence, le noir complets, s’imposent. La literie sera, de fort bonne qualité, avec un soutien ferme. Inutile, de ressasser, la journée, déjà, écoulée, de s’inquiéter, du lendemain. L’état d’esprit juvénile sera, des plus sereins, positifs, confiants. Alors, le sommeil viendra facilement et, sera satisfaisant, bienfaisant, réparateur et, complet.

 

Nul, ne conteste le fait que, de plus en plus, de jeunes occidentaux, y compris, en France, sont en surcharge pondérale, voire, en état d’obésité. À l’image, de la situation nord-américaine. La « malbouffe », les « grignotages », de toutes sortes, à longueur, de journée, ne sont pas, les causes uniques, de ce fléau. Incriminons, autant, l’insuffisance, d’exercice physique quotidien, de sport, au moins, bihebdomadaire, une sédentarité, toujours croissante. Des déplacements, même, fort courts, en moyens, de transport motorisés, plutôt, qu’à pied. Les cours, d’éducation physique et, sportive, obligatoires, au collège, lycée, sont insuffisants, nombre d’élèves s’en font dispenser. Ils ne sont, que facultatifs, dans la plupart, des enseignements supérieurs179.

 

Activités, comme, équipements sportifs, ne répondent pas encore, assez, aux besoins, attentes, demandes, des populations juvéniles. Les jeunes, eux-mêmes, sont souvent, rétifs, notamment, par paresse et, routine, à toutes « expressions corporelles ». Même si, beaucoup, d’entre eux, notamment, garçons, sont avides, de « défoulements physiques ». L’argument, souvent, mis en avant, est le manque, de temps, d’horaires adaptés, de pratiques, d’équipements adéquats. Le sport, l’activité physique, sont généralement, associés, à des contraintes, au seul temps, des vacances, aux saisons, à météo clémente.

 

Ainsi, à Paris, peut-on observer, que la gent juvénile apprécie, au printemps, à l’été, de fréquenter, les bassins, de natation. Or, que nul junior ou, presque, ne s’y risque, dès, la période automnale, moins encore, hivernale. Le « jeune moyen » a le souci, de son confort, peur, de prendre froid. La pratique aquatique, reste un plaisir estival, même, en milieu couvert et, protégé. Contrairement, à d’autres nations occidentales, notre jeunesse manque, terriblement, d’exercice physique, à ses risques et, périls ! Nul, n’ignore plus, les bienfaits, des sports ni, les méfaits, de leur absence, insuffisance.

 

Comme, l’alimentation saine, l’activité physique juvénile, sans excès, est antidote, au stress oxydant, qui altère, l’organisme. Contre, les maladies cardiovasculaires, neurodégénératives, cancers… Elle favorise, la détente et, le bien-être psychophysiques, l’appétit, le sommeil, le travail intellectuel. La circulation sanguine, la santé osseuse, le système musculaire, digestif, elle oxygène le cerveau… L’idéal, est de consacrer, trente minutes, à une heure, journalières, à « bouger ». Marche rapide, course, à pied, montées, d’escalier, occupations, à sollicitations physiques.

 

Outre, une, à deux activités sportives, du junior : individuelles ou, collectives, en club ou, non, amateur ou, de compétition. Une, à deux fois, par semaine. Le sport télévisé et / ou, en spectateur, ne compte pas ! Il existe, des campagnes nationales, contre, les excès, de violences, alimentaires, de drogues, tabac, d’alcool. De même, il s’agit, d’inciter, les jeunes, à entretenir leur corps, pour leur santé, la convivialité et, le plaisir, le dépassement et, la maîtrise, de soi. L’émulation, l’esthétique anatomique, les sensations, la mobilité, la vitesse – raisonnable – et, le défi, l’autodiscipline… Les équipements sportifs, doivent être rénovés, créés, développés180.

 

Avec des horaires élargis, adaptés, aux juniors. Les cours sportifs, à l’école, seront plus nombreux, motivants, intéressants, variés. Ils deviendront tous, obligatoires, avec notations, dans tout l’enseignement supérieur. Ainsi, le sage adage, des Anciens : mens sana, in corpore sano : un esprit sain, en un corps sain, sera la réalité, de tous les jeunes. (Juvénal, poète latin, fin Ier-début IIe s., Les Satires, X-356, poèmes, Empire romain, entre 90 et, 127)181. Un junior, qui fait judicieusement, du sport, réussit mieux, en ses études, se défend mieux, est plus confiant et, positif, en la vie. Une nation tonique gagne plus, de compétitions sportives mondiales, « tire mieux, son épingle, du jeu », à l’échelle mondiale.

 

Le sport véritable, est facteur, de paix, de progrès, fraternité, comme, P. de Coubertin, (Historien français, 1863-1937), l’avait voulu. Pour les Olympiades, des temps modernes. (Depuis, 1896, pour les Jo d’été, 1924, pour les Jo d’hiver). Les juniors et, adultes sont, de plus en plus, sédentaires. Or, leur génétique, calquée, sur celle, de leurs ancêtres, ne correspond plus, à leurs activités physiques, « réelles ». Ce qui obère, gravement, leur santé. Peuvent s’ensuivre, cancers, maladies cardiovasculaires, diabète, ostéoporose. Il s’agit, d’un problème, de santé publique, majeur, notamment, chez le jeune. (Inchauspé, 2005).

 

Le manque, d’activité physique, peut même finir, par tuer. Le défaut, de mouvement corporel, sportif, est, également, la cause, de plus en plus, d’obésités. Tout particulièrement, chez les juniors. Il en va, de même, d’une alimentation, trop abondante, trop riche, déséquilibrée. Donc, inadéquate. Diététique, sport, vont de pair. L’une, sans l’autre et, réciproquement, sont inopérants. Plus, l’activité physique régulière, est importante, adaptée au jeune, plus l’espérance de vie, est grande, plus, le taux, de mortalité, baisse.

 

Les Français sont ceux, parmi, les Européens et, Occidentaux, qui pratiquent, le moins, d’activités physiques régulières. Notamment, les dix-huit – vingt-quatre ans. Un habitant, sur deux, seulement, s’active, physiquement, chaque jour ou, régulièrement. Alors, que seulement, trente, à quarante-cinq minutes, de mouvement actif, par jour, suffisent, pour être en bonne santé. L’idéal juvénile étant, de quarante-cinq, à soixante minutes, d’exercice, par jour. Voire, quatre-vingt-dix ou, cent vingt, pour atteindre, le niveau, de nos ancêtres, chasseurs-cueilleurs. Il s’agit, d’éliminer, en moyenne, cent cinquante calories, par jour. Par exemple, en allant travailler, chaque jour, à pied, à bicyclette ou, encore, à rollers.

 

En empruntant, les escaliers, complétant, les moyens, de transport, habituel, par de la marche. À défaut, d’hygiène, de vie, alimentaire, sportive, suffisante, du jeune, la sédentarité, la mauvaise alimentation, le surpoids, l’excès, de cholestérol, l’hypertension, tuent. Plus encore, que la pollution ou, l’alcool, la drogue et, même, le tabac, pour ce qui est, du cholestérol, de l’hypertension. L’exercice physique, le sport, favorisent, la bonne santé, du cœur, comme, des artères. De l’appareil digestif, du système circulatoire sanguin, du squelette, du junior et, des articulations.

 

L’activité corporelle augmente, la capacité, de contraction, du muscle cardiaque. Elle garantit, une utilisation, plus rapide, des glucides, pour prévenir, leur stockage, sous forme, de graisses, dangereuses, pour le cœur. L’activité physique, sportive, diminue, même, aussi, la fabrication, du cholestérol. Alors, rendue possible, par la constitution, de réserves, de lipides, excessives. L’effort physique diminue, le taux, de sucre, dans le sang et, prévient donc, fort, le diabète. Le sport juvénile met, en mouvement, les intestins, par l’action, des fibres musculaires, qui l’entourent. Cela, permet, de mieux gérer, les déchets organiques, de lutter, contre, les constipations.

 

Le transit intestinal, du jeune, est, alors, optimisé. Il y a, ainsi, moins, de risques, de cancer, du côlon. Bouger, sollicite les muscles, qui ont besoin, de sang, pour fonctionner. Le tout, améliore, la circulation sanguine. L’irrigation, des capillaires, est favorisée. L’activité physique dynamise, la santé musculaire, par l’énergie, qu’elle lui insuffle. Le tout, améliore, également, la qualité, de l’épiderme, de la peau. L’effort amène le squelette, à stocker, du calcium, pour faire face, aux contraintes mécaniques. Cela, prévient, l’ostéoporose. Le sport agit, sur la minéralisation, du squelette, sa consolidation. L’exercice, du junior, renforce les articulations, permet, de garantir, la mobilité, l’intégrité, des cartilages. Il diminue, la rapidité, de formation, de l’arthrose.

 

Bouger, active les muscles, qui entourent, les poumons, améliore donc, le fonctionnement, du système respiratoire. Exercices physiques, sportifs, peuvent aussi, prévenir, certains types, de cancer. Ce dernier, est un dysfonctionnement cellulaire. Or, l’exercice permet, à l’organisme, de mieux utiliser, ses cellules. Ces dernières ont, alors, bien plus, de chances, de rester saines. Activités physiques et, diététique régulent, de façon optimale, l’organisme juvénile. (Inchauspé, 2005)182. Elles font, de la prévention, pour le corps, du junior. Particulièrement, en matière, de maladies cardiovasculaires, de cancer ou, maladies neurodégénératives. Le mouvement actif favorise, l’oxygénation, du cerveau, facilite, l’activité intellectuelle, par plus, de sollicitation neuronale. Le sport, du jeune, est aussi, euphorisant, donc, bénéfique, pour sa bonne santé psychique.

 

Inutile, de re/voir, le documentaire sociologique, de M. Spurlock, Super Size Me, (États-Unis, 2004), sur les méfaits, des modes alimentaires rapides. Pour être conscient, des ravages, de la mauvaise hygiène nutritionnelle, dans la population occidentale, notamment, chez les juniors. Obésités, excès, de poids, mauvais indices, de masse corporelle, cholestérol. Aussi, maladies cardiovasculaires, cancers, troubles divers, affections bucco-dentaires, digestives… Manque, d’activité physique, sportive… Tout cela, est en progression, fort rapide, inquiétante.

 

L’armée, des États-Unis, se plaint, de devoir refuser, de plus en plus, de recrues, pour raisons pondérales. Les jeunes apprécient beaucoup, la restauration rapide, les repas informels, pris, « sur le pouce » et, conviviaux, entre eux, bien peu, équilibrés. Ils prisent fort, les nutriments, gustativement, agréables, à leurs yeux, mais, diététiquement, toxiques. Ils ont gardé, de leur enfance, le goût, du sucre. Ils abusent, des graisses animales : protides, du sel : sodium, des sucres : glucides, d’huiles : lipides. Viandes rouges, sodas, féculents, pâtisseries industrielles, l’emportent trop, sur les viandes blanches : poissons, volailles.

 

L’eau, les légumes verts, les fruits. Le petit-déjeuner est souvent, absent, le déjeuner, non équilibré, bâclé et, le dîner, trop lourd. Les grignotages, entre les repas, sont fréquents. Le « nourrissage » est devenu, quasi permanent, comme, une drogue-médicament, faux « alicament ». Cela, comble, des manques, frustrations, rassure, les jeunes, au même titre, que le plaisir solitaire, la tétée ou, succion, du pouce, du nourrisson.

 

Il est frappant, de voir, à quel point, collégiens et, lycéens, envahissent, en masse, les magasins alimentaires, proches, de leur école. Entre, les temps, de cours, même, en dehors, de l’heure, du déjeuner, pour frénétiquement, s’acheter, ingérer, boissons, friandises, biscuits… Les abords, des établissements, sont, très souvent, jonchés, de détritus, restes divers, subséquents. Les troubles juvéniles, du comportement alimentaire, progressent, aussi183. En illusoires et, dérisoires compensations, à des frustrations, aggravées et démultipliées.

 

Surtout, chez les filles : anorexies, boulimies, comme, dérèglements, de la nutrition. Pour les jeunes, l’aliment a une fonction symbolique, d’autoremplissage-plaisir, narcissique. L’excès inverse consiste, à éprouver, force contentement, du fait, de la privation nutritionnelle, pour être, des plus minces. Outre, l’activité physique, sportive, importante et régulière, il est capital, de privilégier, le petit-déjeuner. Premier repas-carburant, de la journée, alors, que le précédent, le dîner, date, de la veille ! La bonne alimentation reconstituante, du junior, bénéficie, au corps, mais, aussi, au cerveau, à l’esprit.

 

Intelligence, mémoire, concentration, motivation, capacité, qualité, de travail… Une matinée, de cours, le ventre vide, sera mauvaise. Céréales, calcium, fruits frais, secs, s’imposent, voire, œufs, bacon et, légumes crus. Le déjeuner idéal se prend, au calme, assis, en un lieu propice. Cantines scolaires, universitaires, ont de grands progrès, à faire, en matière, de confort, de locaux, quantité, qualité nutritionnelles, gustatives. L’entrée juvénile sera constituée, de légumes crus, non, de charcuteries ou, préparations industrielles. L’eau sera préférée, aux sodas sucrés, à l’alcool. De source, minérale ou, du robinet.

 

Le pain, du junior, sera gris, complet, non, à farines blanches, cancérogènes. Les sauces seront évitées. Le plat comportera, volailles ou, poissons : oméga 3, point, trop souvent, de viandes rouges, dont l’abus, cancérogène, laisse, des déchets, dans l’organisme. Des légumes verts ou, secs, féculents, sans abus : caloriques, le tout, sans excès, de sel. En dessert : fruits, plutôt, que gâteaux. Goûter léger, comme, le matin. Le soir, repas allégé, sans viande. Par exemple, soupe, de légumes ou, crudités, pâté, de poisson ou, blanc maigre, de volailles, avec légumes vapeur, eau, laitages, en dessert.

 

Pour tous repas, mets-plaisir, plus riches, ponctuellement, notamment, en fins, de semaines. L’alimentation, du jeune, doit rester, joie, convivialité, mais, aussi, un vrai acte, de santé, non, une drogue, compensatoire. La plénitude vient, surtout, de l’humain, l’esprit et, pas, de substituts matériels ! Tout le monde connaît, désormais, la sacro-sainte règle, des « cinq fruits et, légumes, par jour » ! L’impératif juvénile, de fuir, les nutriments, trop gras, trop sucrés ou, trop salés. L’alimentation favorise, un tiers, voire, plus encore, des cancers. Il y a, les mauvais produits alimentaires, générant, tel ou, tel type, de cancers ou, les cardiopathies184.

 

Les bons aliments qui, au contraire, limitent, les risques, du jeune, en la matière. Au titre, des nutriments toxiques, citons, l’abus, d’alcool, de charcuterie, de viande rouge, d’arsenic, dans l’eau potable. D’alimentation, trop riche, en calcium, de sel, d’aliments salés, d’alimentation grasse, de fromage, de boissons sucrées. Aussi, de produits industriels, à base, de viande, de piments, d’aliments fumés, de viandes et, poissons grillés ou, au barbecue. De rétinol : foies, beurre, œufs, lait, de boissons, très chaudes.

 

À l’inverse, les aliments, du junior, qui réduisent fort, tous risques, de cancers, sont les fruits, les légumes, les aliments, contenant, du sélénium : poissons gras, fruits de mer ou, abats… Ceux, comportant, de l’acide folique : petits pois et, germe, de blé, lentilles, épinards ou, cresson… Les aliments, dits, à caroténoïdes : légumes et, fruits oranges, rouges ou, jaunes. Ceux, qui ont des fibres : pain complet, haricots blancs et, amandes… Les alliums : poireau, ciboulette et, oignons… L’ail et, les aliments juvéniles, avec vitamine C ou, bêta-carotène : cassis, poivron cru, kiwi, brocoli, orange, laitue. Les aliments, à lycopène : tomate, les légumes secs, les carottes et, les poissons gras.

 

Aliments, contenant, de la vitamine E : huiles végétales, noisettes, amandes, germes, de blé, poissons gras… Nutriments, avec, de la vitamine B6 : céréales complètes, légumes secs ou, abat… Aliments, comportant, de la vitamine B6 : céréales complètes, légumes secs, abats… Aliments, incluant, de la quercétine : pomme, thé vert ou, noir, oignon, vin, agrumes, brocoli, fruits rouges… Rétinol : foie, beurre, œufs, lait… Tous ces aliments, qu’ils soient toxiques ou, bénéfiques, augmentent ou, au contraire, limitent, les risques, de cancer, des divers organes, du junior.

 

De façon certaine, probable ou, limitée. Tel produit, en particulier, est favorable ou, nocif, pour chaque partie, de l’organisme. La minceur « raisonnable » protège, aussi, contre le cancer. Or, près, d’un jeune, sur cinq : enfant, adolescent, junior, souffre, d’obésité, aujourd’hui. Cette tendance, ne fait, que croître, notamment, par abus, de grignotages, sédentarité, devant les écrans. De même, au moins, trente minutes, de marche rapide, par jour, limitent, les risques cancérogènes. Les compléments alimentaires, sont à proscrire. Ils sont fort inopérants. Seule, l’alimentation, la plus naturelle, convient, à la bonne santé juvénile. (Labbé, Recasens, 2008)185.

 

La jeunesse a toujours, été, des plus avides, de sensations, plaisirs, physiques, psychédéliques et, « oniriques ». Concernant, les seuls, stupéfiants, le cannabis, d’aujourd’hui, supplante, le Lsd, d’hier, l’opium, d’avant-hier. Il y a, trois types, d’addictions juvéniles. La dépendance, à un produit, comme, le tabac. Une personne, ainsi, un lien amoureux captatif, plutôt, qu’oblatif. Un comportement, par exemple, les jeux vidéo. Ces consumérismes, de nos quinze – vingt-quatre ans, sont, de plus en plus, répandus, répétés, précoces et, forts.

 

Ainsi, l’héroïne et, la cocaïne progressent, chez les jeunes, du fait, notamment, de prix, en baisse. Alcoolisme, tabagisme, psychédélisme, excitants, automédications, troubles, du comportement alimentaire. Excès, de sommeil, d’activités sportives, de consommations audiovisuelles, l’Internet, des jeux, en ligne. D’attitudes violentes, déviantes, dérives hédonistes, des loisirs, sexuelles, abus, de solitude ou, à l’inverse, relationnels… Ces dysfonctionnements sont légion. Une néogénération perdue, sans repères, livrée, à elle-même, en mal, de grandir, s’égare. Sur le mode compensatoire, aux frustrations, ennuis, mal-être, en « délices et poisons », des avilissements, laisser-aller.

 

Les méandres, des « univers parallèles ». Soit, les petites « autogratifications narcissiques, du quotidien ». Une illustration symptomatique, de cette surenchère, des jeunes : l’alcoolisation aiguë. Il ne s’agit plus, d’un alcoolisme, de désinhibition, convivialité, festif, de plaisir gustatif, d’oubli, de soi, ou, de ses déboires. Or, d’un désir forcené, d’ivresse totale, jusqu’au vomissement, la maladie, le coma éthylique, la mort. Le but étant, de boire, le plus, d’alcools forts, possible, en un minimum, de temps. Une jeunesse, qui s’étourdit, s’abrutit, s’avilit, sans limites, tant, le présent, l’avenir, lui semblent interdits, d’espoirs.

 

En la niant, notre société a fabriqué, une « néogénération zombie, mort-vivante ». N’ayant rien, à attendre, du lendemain, déçue, en tout et, pour tout, ne s’amusant, même plus, de rien, elle se détruit, en l’illusion, d’exister, encore, ainsi. Comment, rompre, cette « spirale, si infernale, ce diabolique sortilège », qui saccagent tant, notre jeunesse, d’Occident ? Quatre types complémentaires, concomitants, de réponse, sont alors, possibles. La sollicitude, la prévention, la coercition, la réhabilitation. Il s’agit, de mieux, « prendre soin », du junior, en son intérêt, celui, de la société186.

 

De façon constante, globale, totale. Aucun jeune, ne doit être délaissé. À tous, proposer, en concertation, adhésion, un « projet, de vie », sûr, pertinent, enthousiasmant, d’avenir. Famille, études, relations, affectivité, loisirs, culture, valeurs, emploi… De bien meilleures, campagnes éducatives, de prévention, associant, les jeunes, eux-mêmes, mieux ciblées, sensibiliseront, aux graves risques, encourus. Pour soi, autrui, non, au futur, mais, en l’immédiat. Notamment, en milieu scolaire. Une éducation, à « la vie saine », y sera donnée. Drogues licites, illicites, seront mieux rationnées, limitées, surveillées. Répressions, sanctions, seront accrues, pour le trafic, comme, la consommation. Tout jeune dépendant, en mal-être, volontaire ou, non, selon, la gravité, sera pris en charge, pour soutien, désintoxication, désaddiction et, libération personnelle.

 

Il s’agira, de l’aider, à reprendre, le cours, d’une vie « normale », active. Pour le sortir, définitivement, d’une existence « infrahumaine », pour reprendre, un mot, d’H. Camara. (Prélat brésilien, 1909-1999). Sachons, convaincre, les jeunes, qu’ils valent mieux, que leurs illusoires, « béquilles psychiques ». Qu’il ne faut pas confondre, contentement et, bonheur. Que plaisirs, désirs, envies, sont légitimes, à un âge, de tous les appétits. Or, qu’ils peuvent bien mieux, se révéler, en la richesse terrestre, des constructions morales, relationnelles, dignes, authentiques. Jamais, en les « dérisoires subterfuges », des fausses satiétés matérielles. Seul, l’être, peut toujours, vaincre, le malheur, du junior, le rendre libre, grand, fort. Avoir, faire ou, paraître, en excès, ne sont, que « funestes mensonges, fantomatiques », qui enferment, en « tourments, sans fin, des pires désespoirs ».

 

Il est très frappant, de constater, à quel point, notre école, du collège, au supérieur, inculque, aux jeunes, les savoirs, les plus variés, sophistiqués, exigeants. Tout en négligeant, si fort, à « apprendre à apprendre », étant incapable, de dire, aux élèves, étudiants, comment travailler. Comprendre, connaître, retenir, réussir, comme, s’épanouir, en leurs études. Alors, nombre de juniors, pourtant, très doués, peinent, s’étiolent, échouent, en leur scolarité et, en sortent, sans qualification, diplôme.

 

Le ratio, entre nombre, de scolarisés et, diplômés, est très bas, par rapport, à d’autres nations. Tout, commence, en cours. Une attention, concentration soutenues, contribuent, à favoriser, la prémémorisation optimisée, de toutes les matières, enseignées187. Le téléphone, du jeune, sera éteint. Pas, de dissipation, discussions, avec les condisciples, de pensées, regards vagabonds. Or, une attentive écoute, pleine et entière, de l’enseignant. La mémoire est auditive.

 

La prise, de notes, sera complète, soignée. Non, trop, succincte ni, trop, détaillée. Il s’agit, d’être capable, de fixer, l’essentiel. La mémoire est, aussi, scripturale. Si le support écrit est constitué, de « feuilles volantes », il s’agit, de les numéroter, d’y préciser, la discipline concernée. De tout classer, archiver, dans l’ordre chronologique, au fur et à mesure. De toujours, mettre en valeur, ses cours écrits : souligner, encadrer, surligner et, ajouter, des couleurs.

 

Les titres, sous titres, seront visuellement, hiérarchisés, avec des codes couleur. La mémoire, du jeune, est visuelle. Rentré, chez soi, le temps, de détente, sera fort court, puis, le travail quotidien, régulier, approfondi, complet, immédiat. Sans procrastination : report, dans le temps, au dernier moment, ce qui mène, à saturation excessive, bâclage, échec. Le labeur scolaire, universitaire juvénile, se fait assis, à une table, de travail, au calme, à l’éclairage naturel, le jour. Confortablement, de façon ergonomique. Sans distraction, musique ni, vidéo.

 

Le bureau, du jeune, sera rangé, les matériaux, d’études, ordonnés, sous la main. Nul vecteur, de tentation, étranger, à la tâche, à portée, de regard, préhension. Il y aura, concentration, pas d’arrêt, de ses obligations, avant, leur achèvement total. Respect, d’un certain volume horaire, quotidien. Pas, de défaitisme, mais, de la ténacité, de l’effort. Il convient, de s’encourager, en pensant, à la récompense, de la détente, post-travail. Commencer, par le plus facile ou, le plus dur, selon, les préférences. Pour favoriser, les grands types, de la mémoire juvénile, il s’agit, de retenir, en lisant, mentalement, avec attention.

 

Réécrire, résumer, chaque leçon, à la main et / ou, par informatique. Réciter, à haute voix, s’enregistrer, écouter, réécouter. Commencer, par apprendre, les plans, des cours, réécrits, à part. Pas, de travaux, après, 22 heures, le cerveau saturé, n’ « enregistre » plus ou, mal. Il vaut mieux, plus dispos, se lever, plus tôt, matinalement, pour reprendre. Concernant, les devoirs, si l’on bloque, aller, au reste, puis, revenir, sur ce qui pose difficultés, idem, pour les contrôles, des juniors. Faire, des recherches complémentaires, pour mieux savoir, connaître, apprendre, s’enrichir, progresser, de même, pour les leçons188.

 

Relire, ses textes, d’examens ou, de devoirs, pour correctifs, du jeune, avant, remise. Gérer, son temps, ne pas paniquer. Faire, des plannings, à toujours, respecter. Bien répartir, les tâches programmées. Avant, d’apprendre, s’assurer, au préalable, d’avoir, correctement, compris, sinon, rechercher, les explications. Partir, du général, au particulier. Savoir faire, la différence, entre le principal et, le secondaire, l’important, comme, l’accessoire. Faire, des fiches, de synthèse, des dossiers, de documentation. Bien utiliser, les manuels, Internet, d’autres sources. Surveiller, son sommeil, alimentation, activité physique et, ses addictions juvéniles.

 

Cela, compte, pour la qualité, des apprentissages. Interroger, les enseignants, en cas, de mauvaise compréhension, besoin, d’information, supplémentaire. Pas, de nourriture ni, de boisson, pendant, le travail. Une seule tâche, à la fois, abandonnée, pour une autre, une fois, achevée. L’ensemble, en un climat propice, studieux, serein, confiant, en ses compétences, performances, en esprit, de réussite, dépassement, d’ambition et, d’émulation. Pour mieux bâtir, le succès, des études, d’un junior, il convient, au préalable, de s’assurer, de toute son intégrité, neurologique et intellectuelle.

 

Nul, progrès scolaire, n’est possible, s’il y a, dysfonctionnement médical, sensoriel, cognitif. Il s’agit, aussi, de ne pas trop « mettre, la pression », sur les juniors, en études. Les notes, résultats scolaires, sont une chose, la réussite, en est une autre. Distinguer, les deux notions, est primordial. Les études ne sauraient, être le premier ou, seul vecteur, de la vie familiale. Les exigences parentales, en matière académique, ne peuvent, qu’être raisonnables. Même si, les préoccupations, l’anxiété, face, à l’avenir, sont légitimes et, compréhensibles. Les parents ne peuvent être ni, totalement « indifférents », au travail, de leurs jeunes, ni, trop investis, en la matière. En cas, de nécessité, le « mieux », est de les faire aider, si nécessaire, par des tiers extérieurs, compétents. Il est fort bon, qu’en tout début, d’année scolaire, un conseil, de famille, détermine, des règles, des contrats, à passer.

 

En matière, de travail et, de résultats, à court, moyen, long termes, pour l’année, en cours. Surtout, à l’échelle, de courtes durées. L’on s’en tiendra, surtout, à l’horizon, du trimestre. De fait, les neurosciences montrent, que le cerveau juvénile est, encore, en pleine construction, inabouti, notamment, la zone préfrontale189. Celle, de l’anticipation, l’aptitude, à revenir, sur une situation, de la projection, en l’avenir. Le jeune est donc, surtout, dans l’immédiateté.

 

Or, la récompense est toujours, plus productive, que la sanction. Le succès, de chaque junior, sera, ainsi, mis en valeur, l’échec, relativisé. La place, de l’informatique, sera « dédiabolisée ». L’outil, en soi, n’est pas nocif, tant, qu’il demeure, d’usage raisonnable et, non addictif. Une communication familiale, de très bonne qualité, de volume suffisant, augmente, la réussite, des études juvéniles. Par exemple, en prises régulières, de repas, en famille, par des activités récréatives, chaleureuses, en commun. (Coignard, 2009)190.

 

Les jeunes ont, fort souvent, une notion, de la chronologie, de sa gestion, des plus relatives, « élastiques ». Ils sont, alors, capables, de passer, beaucoup trop, de temps, à des occupations accessoires, bien moins, à des tâches indispensables. La disponibilité fait donc, défaut, pour ce qui est, « essentiel ». Cela, génère, stress, travail, actes bâclés ou, auxquels, il est renoncé. Aussi, procrastination : ajournement, report ultérieur, au tout dernier moment, prise de retard, déficit, de ponctualité. Laisser-aller, indolence, manque, de rigueur, de prévoyance, planification, responsabilité, d’organisation. Insouciance, paresse, mènent, à l’échec. Cela, a aussi, trait, à l’incapacité, face, à l’effort, la ténacité, persévérance. Les juniors vivent surtout, au présent, en attente, de ses gratifications, immédiates. Le passé, leur semble vite, révolu, périmé.

 

L’avenir, lointain, aléatoire, voire, introuvable. Certains jeunes se réfugient, en leur antériorité, par nostalgie, d’une période meilleure ou, en souffrent, par regret, qu’elle ne l’ait pas, été. D’autres, craignent, le lendemain, appréhendé, comme, menaçant. S’y projettent aussi, à l’excès, espérant fort, une amélioration, de leur sort actuel, jugé, trop inadéquat. Le présent peut donc, être désinvesti, par déception, frustration, difficulté.

 

Le culte, de l’instantanéité, conduit, à l’imprévoyance, quant au futur, la négligence, des leçons instructives, de son histoire. Délaisser, l’actualité, affadit, la vie réelle, par excès, d’attentes, quant au destin ou, mythification, du passé. Or, nier, ce dernier, prive, de richesses propres, quand, trop, l’exalter, enferme, en l’irréalité. Éluder, l’avenir, dissuade, de progresser, trop, en espérer, risque, de décevoir, démobiliser. Par l’inexpérience, de son jeune âge, la néogénération mâle, a force mal, à bien, se positionner, en son continuum, espace-temps.

 

L’usage malaisé, de la temporalité, se vérifie, particulièrement, dans les études, chronophages. Dont, le junior, généralement, essaiera, de réduire, le volume horaire, journalier, au minimum. Alors, que le temps, réservé, aux loisirs, sera élargi, au maximum, aux seuls dépens, du labeur. Il convient de, pleinement, « goûter », le moment présent, tout en intégrant, les apports, de son passé. Prévoyant, tout autant, l’avenir, de façon, raisonnable et, raisonnée. La bonne chrono-psychobiologie adojuvénile, consiste, à « bien rentabiliser », vivre, tout le temps, accessible, imparti.

 

En mettant, en perspective, sa personnalité, ses capacités, tempos psychophysiques, ce qui est, à faire, les délais requis, comme, sa disponibilité. Les rythmes scolaires français, du secondaire, comme, du supérieur, sont inadaptés, avec, bien trop, de vacances, pas assez, de cours. Une concentration excessive, de ces derniers, en terme, quotidien, hebdomadaire, annuel. Il s’agit, annuellement, de raccourcir, le congé, du jeune, d’allonger, les temps, d’études, d’alléger, ces derniers, à l’échelle journalière, de la semaine. Il y aura donc, un rééquilibrage, une meilleure répartition, par an, entre, le temps rigoureux, du travail et, celui, relâché, du repos.

 

Le junior sera moins fatigué, mieux occupé. Il devrait, y avoir, plus, de travaux, au collège, au lycée, beaucoup moins, à la maison. Dans le secondaire, il y aurait cours, le matin, activités complémentaires, obligatoires, encadrées : culturelles et, sportives…, l’après-midi. Pour bien travailler, le jeune sera amené, à établir, un strict planning, des tâches et, s’y tenir. La charge scolaire, de l’élève, de l’étudiant, sera effectuée, au fur et, à mesure, de façon, correctement, étalée, sur la durée. Ni précipitations ni, lenteurs abusives.

 

Il sera tenu, le meilleur compte, de la configuration chronologique, optimum, de chaque jour, semaine. Il en va, de même, pour le temps libre. Les plaisirs se gèrent, comme, le reste. Inutile, de les gaspiller, en vain. Ils seront donc, prévus, pour livrer, tout ce qu’il en est attendu, en terme, de pleines convivialité, mobilité, détente. Ce qui éviterait, bien, des « déceptions récréatives », fréquentes, chez les jeunes. Bien capitaliser, son temps, comme, en un autre champ, son argent, conduira, la jeunesse, à mieux atteindre, ses objectifs, s’épanouir, comme, réussir. Donner, sa densité totale, à une existence, qui laisse, moins, de part, au hasard, plus, de latitudes, à la « bonne vie ». Tel est, l’enjeu191 !

 

Le junior a, habituellement, tendance, à être rétif, à l’effort, donc, à la méthode, la rigueur, l’ordre, au rangement. Ce qui lui occasionne, bien, des déboires : effets perdus, détériorés ou, dérobés, nettes pertes, de temps, énervements. Efficacité, travail, résultats, bien moindres, que l’optimisation possible, avec moins, de laisser-aller, plus, de soin, d’organisation. Un exemple significatif, de cette gabegie, de performance : ce jeune, qui s’est vu refuser, l’accès, au centre, d’examen. Du fait, d’une pièce, d’identité, recherchée, au dernier moment, non trouvée. Faute, de discipline adéquate. En un pays où, « les désordres, de toutes sortes, sont rois ».

 

Au cours, d’une intervention télévisée, le général de Gaulle, (Homme d’État, France, 1890-1970), avait mis, en exergue, certaines réalités et, nécessités premières. Le fait, que la mère, de famille, n’apprécierait, sans doute pas, que son fils, mette les pieds, sur la table. Que le mari, aille « bambocher », à droite et, à gauche, que la fille sorte, avec le premier venu. Qu’elle-même, se devait, de gérer, le ménage, de façon, fort exemplaire… Tout à la fois, en ordre et progrès. Par analogie, avec l’impératif, de stricte orthodoxie, de gouvernance, d’un pays. (Entretien télévisé, avec M. Droit – Journaliste, France, 1923-2000 -, campagne, de l’élection présidentielle, de 1965, France, Ortf, 15 décembre 1965). Il en va, très exactement, de même, pour l’organisation, du quotidien, de l’espace, de vie, de la personne juvénile. Trop souvent, la tenue vestimentaire est, des plus « dépenaillées ».

 

L’hygiène corporelle, bucco-dentaire, approximative, les rangements, de la chambre, la table, de travail, de l’éventuel logement indépendant, douteux. L’adojeune masculin laisse, les accumulations hétéroclites, s’installer, durablement. À un point tel, que l’on n’a plus, le courage, de s’attaquer, à un tel amoncellement, inextricable, multiforme. Les vêtements, propres et sales, s’entassent, n’importe comment et, en improbable mélange. Les matériels, d’études, s’emmêlent, de façon, incohérente. Toutes sortes, d’objets, étrangers, les uns, aux autres, cohabitent, ne sont jamais, au même endroit.

 

Des reliefs, emballages alimentaires et, autres, restent, sur zone, sans être éliminés, au fur et, à mesure. Le sol, les meubles, sont encombrés, de tout et, de rien. Le junior ne peut plus bouger, sans devoir faire, le vide total ! Ablutions corporelles, entretiens dentaires, au quotidien, ne sont pas facultatifs. Il y va, non seulement, de l’hygiène, mais, tout autant, de la santé. Aérations, ménage, enlèvement régulier, des détritus, ne sont pas, davantage, un luxe rare. Idem, pour le lit, à aérer, faire, après lever. Présentation, coiffure, habillement, se doivent, d’être décents. La dignité juvénile passe, aussi, par-là, quant à « l’image donnée, de soi »192.

 

Il est possible, au préadulte, de gagner, de l’espace, en disposant, les meubles, de façon, plus rationnelle. Toujours, du temps, en rangeant tout, au fur et, à mesure, de façon, cohérente, logique. Les vêtements portés, seront mis, au sale, à part, les propres, par genres, en un meuble, adéquat : pantalons, ensemble, polos, idem et, ainsi, de suite. Le junior ne laissera rien, traîner. Chaque chose, à sa place et, une place, pour chaque chose, pour tout, retrouver, en temps et, lieu.

 

Les affaires inutiles ou, ne servant plus et, obsolètes ou, en panne, dont, l’on ne veut plus, seront supprimées ou, données, par le jeune, régulièrement. Chaque fois, qu’un objet, est utilisé, il sera remis, à son emplacement. Pour les scolarisés, le bureau sera toujours, en « ordre, de bataille ». Outils, de travail, livres, cours, à portée, de main, classés, archivés, en « état, de marche ». Disposés, de telle façon, à rendre, la tâche, à accomplir, plus facile, rapide, efficace…

 

Quel, peut bien être, l’intérêt, d’une telle maîtrise juvénile, permanente ? Pourquoi, tant, de contraintes apparentes ? L’on ne peut être ordonné, mentalement, si l’on ne l’est pas, en son apparence personnelle, son milieu physique, spatial, de vie. Un abord extérieur négligé, ne peut, que laisser présager, une personnalité brouillonne, pour ne pas dire, plus. « L’habit, fait plus, le moine », que l’on ne le croit. Seule, l’ascèse rigoureuse et, cela, passe, aussi, par la matérialité, mène, au succès, à l’harmonie, au bonheur, même.

 

Avant, que d’être, un pur esprit, le jeune est un être, de chair et, sang. Rien, de valable, n’est possible, sans la rigueur, la plus exigeante. À défaut, cela, mène, aux pires catastrophes. Ce pays, serait avisé, de retenir, la mémorable leçon, de la « cuisante raclée », de la déroute, de l’infamant printemps 1940. La cinglante, l’humiliante, occupation, de quatre longues années ! À méditer, encore, toujours, pour ne jamais, tolérer, l’intolérable193 !

 

À la jeunesse, le lien, avec les adultes, comme, avec les semblables, des deux sexes, ne va pas, de soi. De même, il n’est pas aisé, pour les aînés, de trouver, le juste ton, avec, les juniors. L’adulte est censé, avoir l’autorité, l’expérience, le savoir, légitimes. Le jeune est susceptible, d’obéir, d’apprendre, de mûrir. Ce qui occasionne, maints heurts, entre descendants, élèves, étudiants, juniors actifs et, parents, enseignants, hiérarchie professionnelle. Les garçons ont, souvent, entre homologues, des rapports axés, sur la pure, seule, force physique corporelle. L’intimidation, le pouvoir, la domination, de prestige, prestance. Entre filles, rivalités, jalousies, envies, ne manquent jamais. Entre, les deux sexes, prévaut, très fréquemment, l’aporie, de la séduction : amour-haine, attraction-répulsion.

 

Naturellement, les relations, jeunes-adultes, et, adultes-juniors peuvent être, tout autant, harmonieuses, réciproquement, enrichissantes. Le vécu, entre garçons, peut reposer, sur l’égalité, le respect mutuels, des jeunes protagonistes. Entre filles, concorde et, coopération, peuvent l’emporter. Puis, entre filles et, garçons juniors, amours, comme, amitiés, peuvent, fort bien, être sincères, en complétude, pleine satisfaction, des partenaires.

 

Or, globalement, les relations, entre générations, comme, au sein même, de la jeunesse, entre semblables, de même sexe et, de sexes différents, ne sont pas faciles. Or, même, souvent, conflictuelles. Que, faire ? L’adulte pèche, souvent, par excès ou, défaut, à l’égard, du jeune. Il s’agit, de se garder, de tous laxisme, complaisance, démagogie, comme, des autoritarismes, rigidités, dévalorisations. Tout en étant, ferme et exigeant, sur l’essentiel, l’on sera compréhensif et, encourageant. De façon favorable, constructive, positive, optimiste.

 

Pour soutenir, motiver. La porte sera toujours, ouverte, aux échanges, dialogue et, conseils, dans le plein respect, de la personnalité, de chacun. Les juniors, face, à leurs aînés, auront tendance, à être radicaux, opposants, par principe ou, trop suivistes, passifs, dépendants et, attentistes. Tout en étant attentifs, à tout, ce que les enseignements, des anciens, peuvent leur apporter, les jeunes affirmeront, leurs choix. Comme, leur voie, spécificité, propres, en liberté, souveraineté. En réalité, les rapports humains, entre juniors, de même génération, ne sont guère, plus aisés, qu’entre sujets, des classes d’âges, différentes.

 

Que ce soit, entre jeunes, de même sexe ou, non, en relations, d’études, de travail, camaraderie, d’amitié, d’amour. Entre eux, les garçons se garderont, des « combats, de coqs », des dominations, pseudo viriles. Ils serviront, l’idéal, de collaboration, l’union pacifique, non, la brutalité, faisant, la force. Les filles cesseront, de se juger, comparer, sans répit, en compétition hostile, vaine, stérile. Regarder, ensemble, dans la même direction, n’est pas déshonneur, mais, vertu. Or, le mode juvénile relationnel, le plus « épineux », est le lien, entre les deux sexes194. Plus venimeux, que, véritablement, apaisé.

 

Même, après, cinq décennies, de soi-disant, révolution sexuelle. Les jeunes, garçons, surtout, ont encore, du mal, à concevoir, l’amitié désintéressée, avec les filles. Ils ne voient, encore, que le côté, sexuel et amoureux, de la chose. Même, en amitié authentique, le mâle aura tendance, à vouloir dominer et, la femelle, à manipuler. En sexualité, amour, bien, des ignorances, des incompréhensions, malentendus, réciproques, subsistent encore, comme, pour les générations antérieures. La volonté captative toisera, souvent, l’esprit oblatif. Puisque, l’amitié gratuite, entre garçons et filles, existe, les juniors apprendront, à la cultiver.

 

Si l’amitié monosexuelle est riche, celle, plurisexuelle, complémentaire, l’est, d’autant plus. En matière amoureuse, sexuelle, la pleine re/connaissance, le respect total, l’acceptation inconditionnelle, mutuels, du ou, de la partenaire, sont capitaux. En toute liberté, sans nulle, emprise uni ou, bilatérale. Les garçons tiendront, meilleur compte, des spécificités féminines, les filles, du particularisme masculin. Les différences et, différends ne seront, davantage, ni niés ni, exaltés. Les convergences seront, mises à profit, les désaccords, aplanis, si possible. Les sexes sont faits, pour s’entendre, non, en compromission, mais, concessions et, compromis. À défaut, la jeunesse en pâtira fort !


 

 


En vérité, qui, est donc, le réel junior, qui prise tant, abhorrer, comme, aduler, ratiociner, adhérer, vaticiner, comme, inopinément, improviser ? Son cerveau l’inonde, d’adrénaline, de noradrénaline, en « perpétuelles excitations ». L’envahit, de dopamine, en plaisirs, sans cesse, recherchés. Or, le gratifie, bien moins, en apaisante sérotonine. Quel, est donc, cet être, autant « singulier » ? Ni grand enfant ni, petit adulte, mais, simplement, jeune humain, à part entière. Redisons-le, la problématique juvénile première, de ce temps, en notre monde, est, avant tout, morale, éducative, culturelle, sociétale. Plus, que psychique et, sociale, sociologique ou, encore, économique.

 

La difficulté est bien plus, exogène, qu’endogène ! La jeunesse, d’aujourd’hui, semble, plus favorisée, qu’autrefois. De fait, sa santé, son espérance, de vie, ses études, son confort, ses loisirs, ses libertés, son niveau, de vie, dépassent, de loin, en Occident, ceux, des juniors, d’antan. D’avant, 1940 et, les Trente Glorieuses (1945-1975). Or, en réalité, elle est moralement, moins favorisée, qu’avant. Elle est marginalisée, en société, toujours, plus sophistiquée et, exigeante, fermée ou, hostile195. Ce n’est pas, parce que, les jeunes seraient fort « irresponsables », que les adultes, ne leur font pas confiance. C’est, parce que, les aînés, ne croient pas, en leurs cadets, que ceux-ci, se déresponsabilisent, démobilisent, découragent, fort !


 

 


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Votre jeunesse est triple, avons-nous, déjà, dit. Votre néoadolescence, préjeunesse collégienne, de douze, à quinze ans. Votre adolescence-jeunesse lycéenne, de quinze, à dix-huit ans. Puis, votre adulescence ou, postjeunesse étudiante ou, active, de dix-huit, à vingt-cinq ans. Trois grands domaines régissent votre nouvelle génération. La sphère, de vos études et / ou, de votre emploi, ainsi, que de vos loisirs, de vos valeurs. Le registre psychoaffectif et, somatique : vos personnalité, santé et, famille, amitiés, amours.


 

 


La matière, des dysfonctionnements, difficultés, propres, à cet état chronologique, postenfantin, préadulte, de l’existence humaine. L’âge, du collège, est celui, du quasi-achèvement pubertaire, pour l’essentiel et, de la poussée, en taille. Les filles précèdent, en cela, les garçons. Le pic, de croissance, féminin, se situe, autour, de douze ans, le masculin, vers quatorze. Avec précocités, normes moyennes ou, retards, ce, selon, les jeunes. La taille adulte peut, tout aussi bien, être atteinte, à treize ans, qu’à vingt ! La fin, de la puberté, celle, de la croissance, coïncident. La taille définitive dépend, de la génétique, de l’environnement, des hormones. De l’inné, l’acquis. Ce qui influe, sur la personnalité.

 

De dix, à dix-huit ans, les juniors multiplient leur poids, par deux ! Les variations changent, d’un sujet, à un autre. Masses musculaire, graisseuse, augmentent. Les filles s’arrondiront plutôt, alors, que les garçons muscleront. À dix-sept ans, la taille, le poids moyens, des jeunes, se rapprochent, de ceux, des adultes. 1,75 m et, 60 à 65 kg, pour les garçons. La puberté est déclenchée, par le système endocrinien. À l’instigation, de l’hypophyse, il y a, des sécrétions hormonales, du junior. Les productions, de testostérone, l’hormone sexuelle mâle, triplent, à quintuplent, chez tous les garçons. Les gonadotrophines augmentent, aussi. Les éjaculations deviennent possibles. En moyenne, la fin, de la puberté, intervient, vers les dix-huit ans196. Ceci, façonne, le tempérament inné et, le caractère acquis, de la personnalité, du préadulte.

 

Bien des juniors garçon doutent, de leur virilité, de leurs aptitudes sexuelles et, considèrent la sexualité, comme, une conquête, un devoir, de performance. Ce qui peut, les inquiéter, inhiber, lors, des contacts, avec l’autre sexe. Ils complexent, aussi, sur la taille, de leur sexe, considéré, comme, une arme offensive, devant donc, être, de gros calibre. La pornographie, omniprésente, ne fait, qu’aggraver, ces clichés, très toxiques, sur la sexualité masculine.

 

Les doutes portent aussi, sur les capacités, fréquences érectiles, jugées, comme, trop insuffisantes, décevantes ou, excessives et, inopportunes. Il s’agit donc, de rassurer, les garçons, en leur expliquant, que la « sexualité épanouie », ne dépend, jamais, de facteurs physiques ni, de performances. Or, d’équilibre psychoémotionnel, comme, d’attirances libres et, consenties et, aussi, de sentiments amoureux ! Qu’il n’y a donc, ni normes, normalité ou, anormalité ni, obligation, de résultat, hors, pathologies, anomalies, avérées, concernant, peu de juniors. Le jeune « déserte », définitivement, les canons familiaux et, adultes.

 

Préétablis, formels, convenus, car issus, de son enfance. Tant, il les juge, trop conventionnels, dépassés, inadaptés, mauvais, attentatoires, à sa liberté et, sa volonté, à ce qu’il est et, veut être. Il ne les juge plus « compatibles », avec ses nouvelles réalités postenfantines. Le junior s’oppose, pour se poser, s’affirmer, imposer, sa différence, ses façons, de penser, d’agir, de s’habiller, vivre, se comporter, en famille. Ses choix, de loisirs et, sorties, ses modes, de travail ou, de non-travail scolaire. Tout cela, implique, chez les deux sexes et, notamment, masculin, une agressivité latente et, récurrente.

 

Avec risques, d’explosions, pour tout ou, rien, un oui ou, un non, une chose et, tout son contraire. Presque, par principe. Contestations, contradictions, paradoxes, changements d’avis et, revirements inopinés, sont légion. Le jeune remet tout, en question, systématiquement, comme, à plaisir, s’engouffre, dans la moindre « faille ». En la plus grande imprévisibilité. Or, dans le même temps, le junior sait, qu’il a besoin, de l’autorité adulte et, parentale, il la souhaite, la recherche. Raison, pour laquelle, il la met, à l’épreuve, de façon, si éruptive, exigeante197. Ce qui semble, déclaration, de guerre, est appel, à la paix.

 

Si elle vient, à manquer, il est bien plus, en mal-être, que quand, elle s’exerce, raisonnablement. Le jeune ne rejette donc, pas, toute autorité, mais, il marque, fort simplement, sa pleine dissemblance propre, par rapport, à ses aînés. Le junior requiert, des modèles identificatoires, car il recherche, une autre représentation, de lui-même, que celle, déjà, si périmée, de l’enfance. Notamment, le ou, la meilleur-e ami-e, constitue, un miroir mimétique, une idéalisation, de soi, en recomposition, remaniement restructurants. Citons, aussi, les stars médiatisées, dont les jeunes sont si friands.

 

Le junior a besoin, d’admirer, des héros fantasmatiques, de toutes sortes, qui renforcent, son imaginaire. Cela, lui permettra, de « devenir, d’être, lui-même », de mieux, se connaître, en tant, qu’humain différencié, sans, nul autre pareil. Le jeune collégien, si indiscipliné, rebelle, opposant et, contestataire, veut s’affranchir, de ce qui, ne lui convient pas. Capter l’attention, l’intérêt, d’autrui, sur sa personne, ses propos, attitudes et, actes. En famille, comme, à l’école. À l’égard, de ses pairs et, des adultes, notamment, les « symboles » d’autorité, sur lui : parents, enseignants. Le junior, avide de liens, se focalise, sur lui et, autrui.

 

Ce qui lui attire, un regain, de popularité juvénile, de charisme, auprès, des pairs. Comme, de forte affirmation, de soi, « assumée », auprès, des adultes. Les causes peuvent être dues, à un excès, d’excitations multisensorielles ou, par manque, de sommeil, d’activité physique, abus, d’usages multimédia. Par mal-être, stress, anxiétés, notamment, par une vie familiale troublée, des difficultés personnelles. Une ignorance, des principes, de bienséance sociale. Un humain épanoui, équilibré, en confiance, motivé, ne passe jamais, son temps, à contester, s’opposer, déranger, agresser, autrui.

 

La loi, du refus permanent, généralisé et, systématique, est, bien souvent, le reflet, d’un profond malaise, du jeune « refuznik », lui-même. Le dialogue s’impose donc, pour dénouer, les blocages induits et, r/établir, tous les principes bafoués, de limitations et, d’interdits. Avec, des adultes-référents, de confiance. En évitant, le double écueil, du laxisme et, de l’autoritarisme, le junior, avec fermeté et, compréhension, indulgence et, exigence, sera conduit, à mieux tenir compte, des autres. Ainsi, que des règles, de la civilité, de respect et, de maîtrise, de soi, en société198. Ce qui distingue, « le monde civilisé, de l’univers barbare ».

 

Tout jeune, ne se construit bien, vers l’adultisme, qu’avec, des contraintes, des « bornes » anti-débordements, abus. L’entrée, au collège, est un réel « défi », d’adaptation, à un nouveau système, d’études. Il y a, désormais, plusieurs enseignants, selon, les matières enseignées. Un nouveau type, d’emploi du temps. Un mode impératif, de travail, plus personnel, autonome. Les savoirs, du primaire, seront très approfondis. Il y en aura, de nouveaux. En une optique, de socialisation, de pensée propre, plus critique. Les débuts, du collège, sont souvent, difficiles, d’un point de vue, psychoaffectif et relationnel, institutionnel, méthodologique, évaluatif.

 

De compréhension-application, des nouvelles exigences, obligations. La plupart, de nos juniors, ont envie, d’apprendre. Le rôle, des adultes, est donc, de les y aider, encourager. Sans, trop exiger, pour ne pas décourager. Ni trop peu, pour ne pas démobiliser. Il s’agit d’aider, chaque collégien, à développer, une solide méthode, de travail. Lui « apprendre, à apprendre ». Retenir, les apprentissages, de la journée, de classe, ne suffit plus. Il y a, des devoirs, avec applications, des savoirs inculqués, des travaux informatifs, de recherches personnelles juvéniles.

 

Il s’agit, pour le junior, d’aller, à l’essentiel, d’établir, des priorités, des hiérarchies. La qualité primant, sur la quantité. Savoir chercher, la bonne information, au bon endroit, vite et bien, est capital. La classe, de sixième, est un cycle, dit, d’adaptation, qui vise, à asseoir, les transmissions, des études primaires. Acquérir, une « méthodologie », en particulier, pour ce qui est, du travail personnel. La cinquième, la quatrième, constituent, le cycle, qui est dit, central. C’est celui, des approfondissements. Puis, la classe, de troisième, est celle, du cycle, qualifié, d’orientation.

 

Les apprentissages, du collège, s’y terminent, le jeune se prépare, aux études, de lycée, de second degré, du secondaire : générales, technologiques ou, professionnelles. La troisième clôt donc, les études, de collège, de premier degré, du secondaire. Avec, à son issue, le diplôme national, du brevet des collèges. Toutefois, non obligatoire, pour le passage, en classe, de seconde. Les disciplines enseignées, au collège, sont variées. Français, mathématiques, langues vivantes étrangères et, langues anciennes, histoire-géographie, physique-chimie, éducation civique, sciences, de la vie et, de la terre, technologie et, arts plastiques. (Meirieu, Rufo, Schilte, 2010)199.

 

Éducation musicale, éducation physique, sportive. Tout un « dispositif », pour lutter, contre, l’échec scolaire et, aider, le junior, à bien suivre, sa scolarité, « réussir », existent, au collège. Aides, au travail personnel, en sixième et, cinquième. Heures, de soutien, en mathématiques et, français. Tutorat individuel ou, collectif. Classes, d’aide, de soutien, en quatrième… Sans compter, les cours particuliers, en dehors, du collège. À la fin, de la scolarité obligatoire, ce, à seize ans, tout jeune, doit posséder, certains savoirs et, aptitudes, qui sont, de sept types.


 

 


1- La maîtrise, de votre propre langue française, vernaculaire. De façon, lue, écrite, parlée : vocabulaire, grammaire, syntaxe, idées et, pensées.

 

2- Votre connaissance, d’une langue vivante étrangère, outre, votre langue maternelle. En compréhension, expression usuelle, fluide, suffisante, pour bien communiquer, de façon pratique.

 

3- Votre appréhension, de l’essentiel, des « fondamentaux » mathématiques, scientifiques. Votre connaissance, des grands principes universels, du globe et, du corps humain… Pour être, « partie prenante », du monde, de la vie terrestres.

 

4- Votre maîtrise, des nouvelles technologies, de l’information, la communication. Indispensables, à vous, jeune, pour bien, vous insérer. Pour votre bonne approche, analytique, synthétique, de l’information et, l’Internet.

 

 

5- Votre développement, d’une culture humaniste. Histoire, art, pensée, valeurs, de votre pays, junior, la France, de votre continent européen, de votre « sphère culturelle » occidentale. Également, en une optique mondiale. Pour un bon décodage, du passé et, présent, de votre société et, du monde.

 

6- La possession, de vos aptitudes sociales, civiques et, juridiques, pour vous intégrer, en votre société, en citoyen clairvoyant, démocrate, libre.

 

7- Votre capacité, à être autonome, avoir, l’esprit d’initiative. Ce qui implique, votre aptitude critique, pour être un « adulte, à part entière », un travailleur accompli.

 

 

(Meirieu, Rufo, Schilte, 2010)200.


 

 

L’orientation, vers des études, au lycée, implique, de définir, au préalable, le profil, de chaque jeune. Lesquels, sont au nombre, de cinq. Les profils littéraire, technique, artistique et, sportif ou, scientifique. Il y a, une orientation, dès, la fin, de la cinquième. La quatrième est générale, technologique ou, d’aide ou, de soutien. La troisième est générale, technologique, d’insertion ou, préparatoire. Après, la troisième, les études professionnelles juvéniles courtes, concernent le Cap : Certificat d’aptitude professionnelle.

 

Ainsi, que sa variante agricole. En deux ans. En lycée professionnel ou, en centre de formation d’apprentis, Cfa. Le Bep : Brevet d’études professionnelles, commence, par une seconde, dite, professionnelle. Industrielle, agricole ou, tertiaire. En deux ans. Un bac professionnel est alors, possible, via, deux années, en plus, soit, quatre ans, en tout. Le Bt, brevet de technicien, équivaut, au bac, permet, donc, des études supérieures. L’on commence, par une seconde spécifique.

 

En deux filières technologiques, spécialisées : « hôtellerie et, techniques, de la musique et, de la danse ». Outre, une trentaine, de filières industrielles ou, agricoles. Le baccalauréat technologique s’obtient, en deux ans, après, la seconde générale ou, technologique. Le contrat d’apprentissage mène, le jeune, à un diplôme technologique ou, professionnel, secondaire ou, supérieur. Il est, de un, à trois ou, quatre ans. Idem, pour le contrat, de professionnalisation, mais, qui dure, quant à lui, de six mois, à deux ans.

 

Il peut, en outre, conduire, à une qualification, « validée », par une profession. Rappelons, que le bac de type généraliste est, à dominante littéraire, économique et sociale ou, scientifique. Le bac technologique est sanitaire et social, agronomique et du vivant, industriel, hôtelier et restauration, design et arts appliqués. De gestion, théâtre, musique et danse ou, de laboratoire. Sans compter, les « bacs pro », de soixante-quinze spécialités. Deux grands secteurs : services et, production et, le « bac pro » agricole.

 

Le dialogue, entre jeunes et, adultes, notamment, parents, n’est jamais, évident. Les premiers, sont en phase, de conquête, d’affirmation, de soi. Quand, les seconds, souhaitent, maintenir, leurs prééminentes prérogatives. La communication est informative, quand, elle vise, à informer, de façon unilatérale, sans généralement, nécessiter, de réponse, de l’interlocuteur. Elle est dite, interactive, quand, elle est, de l’ordre, de l’émotionnel, génère, des réactions et, réponses. La communication est, d’échange émotionnel, quand, elle assemble, les deux types, de dialogues précédents, en compréhension, de l’autre. Comme, d’expression, de soi. L’idéal, en tout lien, juniors-adultes, est de maintenir, une vraie communication, des échanges, un dialogue, « à bonne distance » adéquate. Chaleureuse, ferme, sans trop, de proximité laxiste ni, un excès, de distance rigoriste.

 

Tout jeune, pour devenir, un adulte accompli, a besoin, de limites et, principes éducatifs, justes mais, exigeants201. Sans autodiscipline, nulle, maturité ni, réussite ! L’autorité légitime, équilibrée, structure, le junior, lui fait dépasser, frustrations et interdits. Ce qui exclut, tout abus, de pouvoir. Le jeune conteste et, s’oppose, pour s’affirmer et, mettre, à l’épreuve, les lois, les bornes, fixées, par les adultes, parents, en tête. Il veut, ainsi, vérifier, la pertinence, la légitimité, toute l’adaptabilité, l’évolutivité, des règles appliquées. Leur nature négociable ou, irréfragable. Le junior veut s’assurer, que son éducation, n’est ni rigide ni, laxiste. Or, ferme et, souple, liée, à son âge, aux réalités, événements, conjoncturels et, structurels. Les transmissions adultes, seront d’autant, acceptées, fécondes, qu’elles lui semblent idoines.

 

Les bacheliers littéraires s’orientent, plutôt, vers les études supérieures, de lettres, langues, d’art, de droit, sciences humaines. Philosophie, psychologie, sociologie, histoire, géographie. Les bacheliers scientifiques optent, surtout, pour les filières scientifiques et, technologiques. Mathématiques, chimie, biologie, médecine, pharmacie, odontologie, écoles d’ingénieurs et, de commerce. Géologie, sciences, de la terre, informatique, gestion, économie ou, droit.

 

Les bacheliers économiques choisiront, les sciences humaines, l’économie, le droit ou, la gestion. Les écoles, de commerce, les mathématiques, langues et, lettres. Sans oublier, les études, en classes préparatoires, aux grandes écoles, littéraires, scientifiques ou, encore, économiques. Les sections de techniciens supérieurs et, les instituts universitaires de technologie. Toutes sortes, d’écoles, post-bac, grandes, moyennes et, petites, en différents domaines, techniques ou, autres. N’oublions pas, les formations professionnelles en alternance.

 

Du Cap, au bac plus cinq. Cela, consiste, à se former, « en théorie et, pratique », tout en travaillant, en entreprise, avec rémunération, contrat, de travail. Toutes les études supérieures exigent, de l’ex-lycéen bachelier, un effort, d’adaptation, de rigueur, de méthode. D’autonomie, d’organisation et, de travail personnel, important, sérieux et, régulier. Assister, aux cours, aux travaux dirigés ou, pratiques, est fort important. Le travail solitaire, de groupe, post-cours, encore, plus. Incluant, lectures, travaux, de recherche. Il est d’autant plus, nécessaire, d’aider, les jeunes, à mieux et, plus travailler, qu’ils n’ont pas appris, à le faire. La passion, d’étudier, d’apprendre, en effort, n’est pas leur capacité ni, priorité, d’où impératif, de les y pousser. (Meirieu, Rufo, Schilte, 2010)202. Ténacité, persévérance, opiniâtreté, s’imposent !

 

« Hâtez-vous lentement et, sans perdre courage, Vingt fois, sur le métier, remettez votre ouvrage : Polissez-le, sans cesse, et, le repolissez ».

(N. Boileau, poète et, écrivain français, 1636-1711, L’Art poétique, chant I, poème didactique, France, 1674).

 

Il est, d’autant plus, important, de bien préparer, les juniors, à leur avenir, que ce dernier est, de plus en plus, incertain, exigeant. De nos jours, seul, l’adulte, le mieux « armé », compte ! Le jeune, même, fort diplômé, qualifié, dans la vie active, est alors, « relégué, aux limbes, de qui n’est pas, encore, au point ». Il doit, sans cesse, « faire plus encore, ses preuves », pour être « adoubé », de moins en moins, et, de plus en plus, « tardivement ». Les juniors en ont fort conscience, cela, influe, négativement, sur la valeur, qu’ils accordent, à leurs études, perçues, comme, dévaluées. Alors, le climat scolaire se dégrade et, les enseignants, eux-mêmes, sont, des plus déprimés. Leur autorité n’est plus respectée, les pires violences, à l’école, « explosent », de plus en plus.


 

 


Les vocations, à enseigner, baissent donc, notablement. 40 pour cent, des profs, disent, essuyer, des insultes, dans les établissements publics. 22 pour cent, dans le privé. 18 pour cent, ne se sentent pas, en sécurité, dans leur établissement. 6 pour cent, dans le privé. 54 pour cent, des enseignants, disent, avoir connu, un « épuisement professionnel », dit, « burn-out ». 29 pour cent, même, ont vécu, plusieurs épisodes, de ce genre. 35 pour cent, des professeurs, disent, ne pas être respectés, par les familles. 37 pour cent, affirment, avoir subi, des insultes ou, calomnies frontales, très directes, de la part, des parents ou, des élèves. 40 pour cent, ne se sentent pas, soutenus, par leur administration. 68 pour cent, ont pensé, « changer, de métier » ! Seulement, 49 pour cent, « pousseraient », leurs enfants, à enseigner !

(Sondage d’opinion, Ifop, pour Sos Éducation, France, 2014).


 

Triste tableau, dont, les jeunes sont les tout premiers, perdants ! D’autant, que la situation, de l’emploi, ne s’améliore pas, pour eux. Plus, d’un junior, sur cinq, 22 pour cent, n’étaient pas du tout, parvenus, en 2013, à obtenir, du travail, trois ans, après, la sortie, des études. (Insee, France, 2014) ! Sordide exemple, d’une société, « mettant, au rancart », sa propre descendance, dès, ses débuts. Les « adultes choryphées dominants », discriminant, défavorisant, sans nulle vergogne, les « jeunes Corydon assujettis ». De la façon, la plus arbitraire et inique.


 

 


À force d’avoir peur, les parents nous empêchent d’exister […]

Il faut qu’ils nous laissent vivre nos propres expériences […]

Or, s’ils n’existaient pas, l’on ferait n’importe quoi, en anarchie


 

 


Marius, dix-sept ans203


 

 


2


 

 

VOTRE « AVANCÉE »


 

 

Apports de Votre Médiation

AndroJeunologique


 

 


La plupart des hommes

Trahissent leur jeunesse


 

 


J. Green

Écrivain, États-Unis / France, 1900-1998


 


Journal, L’Expatrié

Journal 1984-1990


 

Récit analytique / autobiographique

France, 1990


 

 


L’on est jeune, tant que l’on sait dire « non »

Premier « oui », première ride


 

 


H. Jeanson

Écrivain, France, 1900-1970


 

 

Votre AndroJeunologie® constitue, une idoine percée, déterminante. Elle vise, à hardiment, vous créditer, ré/enchanter,  junior. En une triple contribution, d’intervention, intellectuelle et disciplinaire.


 

 


La jeunesse est une « préparation, à l’avenir » et, le suivi androJeunologique y veille, particulièrement. D’autant, que cet « à venir » se fait, des plus incertains, malaisés, de nos jours, surtout, pour la nouvelle génération. Ainsi, seuls, 44 pour cent, des juniors, ont-ils confiance, en l’avenir, soit, moins, de la moitié. Seulement, 31 pour cent, pensent, réussir, à « obtenir, ce qu’ils veulent », en la vie, soit, moins, du tiers. (Étude d’opinion, OpinionWay, France, 2013).

 

Ce futur juvénile passe, d’abord, par le travail. Première valeur proclamée, par la jeunesse, avant, la famille, l’amitié, l’amour, les loisirs. 1,9 million, de jeunes, en France, ne sont ni diplômés, ni en emploi, ni en formation initiale ou, continue. (Étude d’opinion, Dares Analyses, France, 2013). L’indice de confiance, des entreprises, à l’égard, des moins, de vingt-cinq ans, n’est que, de 6,5 sur 10. (Étude d’opinion, OpinionWay, France, 2014). Le taux de chômage, des jeunes actifs, est de 19 pour cent. Deux fois, celui, des adultes ! Le cinquième, d’une classe d’âge, quitte, le système éducatif, sans aucun diplôme.

 

Cela, est dû, à une école française, dont, l’objectif premier, n’est pas, la formation, de tous, mais, la distinction, d’élites dirigeantes204. La lutte, contre, l’échec scolaire, pour la certification, de tous les juniors, doit être priorité. Tout particulièrement, la formation, d’apprentissage, en alternance, doit être favorisée, car elle est liée, à l’emploi. Les autorités le souhaitent, or, les moyens alloués, sont en nette décrue ! Ce qui nuit, à la réalisation, de soi, d’avenir, de bien, de nos jeunes.

 

Que l’on commence, déjà, par qualifier, les juniors, de ce qu’ils sont : des jeunes, non, des enfants. Ce qui équivaut, à nier, leur identité, même, pour ne pas avoir, à les « reconnaître ». Ainsi, les victimes, du terrible accident, de la route, à Millas, (France, Pyrénées-Orientales), à la fin 2017, sont-elles dites, enfants, dans les médias. Précisant, pourtant bien, qu’il s’agit, de collégiens ! Donc, d’adolescents ! Il n’y a, qu’en France, que l’on ose, traiter, sans rire, d’enfants, des jeunes, d’enseignement secondaire. Ce qui en dit, fort long, sur la minoration, méprisante, archaïque, ignorante, de la jeunesse, de ce pays !


 

 


Celui qui croit que la vie a un sens, est plus apte à en accepter

Les événements défavorables, pour faire d’eux des outils

D’évolution et d’apprentissage


 

 


A. C. Ping

Auteur contemporain

En développement personnel, Australie


 

 


[ L’IDOINE « PERCÉE » DÉTERMINANTE ]

DE VOTRE JEUNOLOGIE ANDRO


 

 

Il s’agit, d’élargir, d’adapter, pour vous, junior, le rôle, des thérapies psy. D’aménager, les orientation, soutien, coaching scolaires, de votre jeunesse. Votre AndroJeunoConseil® étant, votre réelle « clé libératrice ».


 

 


La plupart, des jeunes, qui nécessitent, une aide, de soutien, professionnel et adulte, n’ont nul besoin, de « psys » ni, de psychothérapie. Cela, n’est pas du tout, adapté, à leurs réalités, impératifs, attentes et, ne répond pas, à ce qu’ils souhaitent. De même, soutiens, orientations, coachings, exclusivement, scolaires ou, des métiers, se situent, sur un tout autre plan, plus restreint, que l’AndroJeunologie®. Ce dernier est, véritablement, la « conception adéquate », le juste regard, qui conviennent, à la jeunesse, de ce vingt-et-unième siècle.

 

États-Unis, Canada, Australie, ont une conception, bien plus pragmatique, efficace, que la vision française latine, en matière, de jeunesse et, d’aide, aux juniors. Ils ont « inventé », le coaching de vie, pour ados, teen life coaching, conseil psychosociologique, pour les jeunes. L’Europe scandinave, germanique, batave, se situe, sur une même bonne lignée. La France en est encore, au stade « dépassé, anachronique, inadapté », du « tout psy ». Comme, de la « psychiatrisation et, de la médicalisation, à outrance », de la jeunesse. Celle, des treize – vingt-cinq ans.

 

Comme si, cette dernière, était une « pathologie et, une anormalité ou, anomalie », en soi ! Le « bon docteur », S. Freud, (Neurologue, psychanalyste autrichien, 1856-1939), la psychanalyse, le dix-neuvième siècle, « datent », un peu, surtout, pour les questions juvéniles ! En terme, de conseil global, exclusif, de vie, des quinze – vingt-quatre ans, c’est le « néant français total » ou, presque. Nous devons, bien mieux, préparer l’avenir, de notre jeunesse. Trois ans, après, la sortie, des études, 40 pour cent, des non-diplômés, sont des chômeurs, contre, 9 pour cent, des diplômés, du supérieur.

 

L’orientation scolaire et, professionnelle, de nos jeunes, ne relie pas ou, pas assez, la formation, les aspirations, les capacités, des juniors, et, les débouchés, besoins, du marché, de l’emploi. L’école « se contente, de sélectionner, les meilleurs et, d’exclure, tous les autres ». Elle fait se perdre, trop, de jeunes, en filières, sans issues. Elle néglige fort, l’apprentissage, pourtant, voie, d’excellence. Ce qui fait que, seuls, 6 pour cent, des juniors actifs, d’Allemagne, sont chômeurs, contre, près, du cinquième, en France, en 2019-205 !


 

 


– « Élargir, Adapter », le Rôle des Thérapies Psy –

Pour Vous, AndroJeune


 

 

Médiation, est un terme féminin, de 1561. Il est issu, du bas latin, mediatio, de mediare. Il s’agit, d’une « entremise, destinée, à mettre d’accord, à concilier ou, à réconcilier, des personnes, des parties. Le fait, de servir, d’intermédiaire ; ce qui sert, d’intermédiaire. Processus créateur, par lequel, l’on passe, d’un terme initial, à un terme final ».

(Dictionnaire, de la langue française, Robert, France, 2007)206.


 

 


La néomédiation, du mentorat androJeunologique, aide donc, les juniors masculins, à mettre, en cohérence, harmonie, certains aspects existentiels, importants. À faire la paix, avec eux-mêmes, autrui, la vie. Elle est aussi, un lien, le liant, entre le jeune et, le monde extérieur. Il s’agit, de permettre, à tout jeune, de cheminer, de façon fort positive, favorable, d’une situation néfaste, à un aboutissement, plus bénéfique. Il existe, traditionnellement, une pratique psychothérapeutique. Dont, l’objet principal, est de soigner et, guérir, les pathologies mentales, psychiatriques, psychopathologies ou, les souffrances psychiques marquées. Cette approche n’est pas ou, trop peu, spécialisée, dans la seule, tranche d’âge, des quinze – vingt-quatre ans. Il manque, une « grande vision » spécifique, d’approche, pour cette néogénération, notamment, mâle.

 

La pédopsychiatrie ne traite, quant à elle, que des enfants et, adolescents, de zéro, à dix-huit ans. Ce qui n’est pas pertinent, étant donné, la grande hétérogénéité, des âges et, maturités concernés. Il convient, de réserver, la pédopsychothérapie, aux seuls, enfants, de zéro, à douze ans. La jeuno-psychothérapie, aux juniors, de treize – vingt-quatre, génération homogène. L’adopsychothérapie concernerait, ainsi, les seuls, adolescents, de treize, à dix-huit ans. La jeunopsychothérapie, les jeunes, de dix-neuf, à vingt-quatre, ce qui est, bien plus, « cohérent ». L’enfance est totalement étrangère, à la jeunesse.

 

Les adolescents sont bien plus proches, de la jeunesse, que de l’enfance. En outre, nombre de juniors, en besoin, d’aide, ne relèvent pas, pour autant, de la psychothérapie ou, des professionnels « psy ». La classique pratique « psy » n’est, hors cas concernés, pas adaptée, aux réalités, attentes, besoins, du préadulte. Elle est, trop peu souvent, directive, interactive, trop basée, sur le passé, les marasmes. Pas assez, sur le présent, l’avenir, le positif. Elle n’a pas, de « vraie vision », de la néogénération, notamment, mâle. Elle élude trop, les solutions efficaces, prospectives, « rapides », l’optimisation, qui s’imposent. Sa vocation exclusive, est de « soigner », non, « conseiller ».


 

 


Beethoven crée, sa Symphonie Pastorale, en 1808. (L. V. Beethoven, compositeur allemand, 1770-1827, Symphonie Pastorale, numéro 6, en fa majeur, opus 68, œuvre musicale, Autriche, 1808)207. L’œuvre, l’une, des neuf symphonies, du maître, mêle, cordes et bois, cuivres, comme, percussions. Les cinq mouvements symphoniques évoquent, le monde, de la nature, en différentes thématiques, particulières. Le bonheur tout simple, de l’arrivée, en milieu naturel campagnard. La fraîcheur, des abords, d’un ruisseau. La réunion festive, des paysans. Le fracas, du tonnerre, de l’orage.

 

L’hymne agreste, l’allégresse et, la gratitude, pour l’apaisement, des éléments208. Ces cinq tableaux, d’un séjour, des plus bucoliques, caractérisent, à merveille, la jeunesse. Les juniors aiment fort, la nouveauté, tout, ce qui est différent et, « hors norme » habituelle ou, dépaysant. Ils ne dédaignent pas, loin, s’en faut, ce qui les délasse, des labeurs et, astreintes, de leur quotidien habituel, notamment, liés, à leurs études. Ils prisent beaucoup, tout, ce qui peut apaiser, leurs tourments, doutes, interrogations et, souffrances. Tout, ce qui peut, alors, être un réparateur « baume, sur leurs blessures et, meurtrissures juvéniles », est le bienvenu.


 

Les jeunes se reconnaissent, en l’amitié, entre pairs et, le partage humain, en commun, d’activités, entre semblables. Ils apprécient, les rassemblements, célébrations, la convivialité, entre congénères. Leur âge est, aussi, celui, des fortes turbulences et, brutales bourrasques, des traversées périlleuses, tempêtes, ouragans et, autres typhons. À nulles, autres époques, de l’existence, les revers, de la vie, ne sont perçus, avec autant, de soudaineté, dureté, comme, autant, de catastrophes irrémédiables. Quand, la moindre contrariété, le plus infime contretemps, la plus dérisoire, des déceptions, prennent l’allure, de séismes inouïs, virulents et, ravageurs.

 

Or, la jeunesse est, aussi, le temps, des grandes « envolées » sereines, des élans rieurs, extatiques. Des enthousiastes folies heureuses et, plénitudes absolues. C’est, la joie, de vivre, croquer l’existence, à pleines dents, jouir, de toutes les gratifications, possibles. La juvénilité est l’acmé, des envies, désirs, plaisirs, toujours, recherchés, or, jamais, pleinement, assouvis. Ce qui crée, tant, de frustrations, de tensions, d’implosions, face, à tant, de quêtes éperdues ! Si, souvent, vaines, déçues, aussi !

 

Une « jouissance, si infinie », de tous les instants. En AndroJeunologie®, les juniors masculins concernés expriment, tour à tour, ce large spectre, de sentiments, « du plus éploré, au plus rayonnant ». « Du plus comblé, au plus désespéré ». Leur suivi les aide, à « y voir, plus clair ». Opérer, un certain « tri », savoir, hiérarchiser, les affects, leur donner, un sens, un dessein, une élévation. Selon, les importances, priorités, profits réels, objectifs, en jeu. Pour sa part, la psychothérapie est « l’art, de soigner, guérir, par l’esprit ». En dessein, de changement, du jeune et, en objet, d’idée, de conflit.

 

Le terme même, de psychothérapie, date, de la fin, du dix-neuvième siècle. La plus ancienne, importante, pratique psychothérapeutique, est la psychanalyse. Inventée, par S. Freud, (Neurologue autrichien, 1856-1939), à la fin, du dix-neuvième siècle. Elle repose, sur l’inconscient, le traumatisme psychique, les conflits et, crises psychiques. Le principe, est la libre association, d’idées, du patient, le lien, aux rêves, l’écoute « flottante », du praticien. Le transfert est le rapport, très spécifique, qui conduit, l’analysant, en sa quête, l’analyste, en son écoute. Refoulements, résistances, de la conscience, poussent, pensées, émotions, actes, vers l’inconscient juvénile.

 

Pour un retour, au « plein conscient », l’analyste aide alors, le jeune, par ses interprétations, suggestions. L’analysant est allongé et, ne voit pas, le praticien, assis, derrière lui, pour ne se concentrer, que sur sa « réflexion intérieure ». Sans interférences externes. Les séances sont fort régulières. La psychanalyse traite souvent, des états névrotiques. Freud aura élaboré, les célèbres concepts, du moi, surmoi, ça. Le moi est l’instance décisionnaire, qui est soumise, aux pulsions, du ça, qui est régulée et, tempérée, par le surmoi. Le moi permet, de faire face, aux émotions négatives et, perturbatrices.

 

Il se manifestera, par le langage. Le surmoi est un garde-fou juvénile, structurel, structurant, qui fait tenir compte, des règles, de la morale, des interdits. Il se fait jour, par le légalisme, la prudence, le conformisme, l’autocensure. Le ça est le vecteur, des pulsions, des acquis, de ce qui est « irrépressible, compulsif », pour chaque junior. Il s’exprime, par l’impulsivité. Les psychanalyses freudiennes, purement classiques, sont, généralement, de longue durée et, fréquences rapprochées. Les thérapies, d’inspiration psychanalytique, dites, « brèves », se font, en face-à-face et, sont, alors, bien plus courtes209.

 

Les thérapies, de soutien, ont, pour but, d’aider, à résoudre, une crise, à revenir, à l’équilibre initial. Le praticien y joue, un rôle actif, de renforcement. Il aide, le jeune, à se restaurer, de l’intérieur, en usant, de tous ses potentiels personnels, d’autorégénération. Le but, n’est pas, le changement, car le patient, est en crise, de vie, du fait, de circonstances, mutations externes, auxquelles, il doit déjà, faire face. De façon, complexe, difficile. L’objectif est donc, de retrouver, une sérénité, écornée, par la crise. Le « changement » ne sera, alors, que soutenu, mais, non, déclenché. Importe, avant tout, le lien, entre le praticien et, le jeune.

 

De même, que l’empathie, du thérapeute, les émotions, sa compréhension, de ce que traverse et, ressent, le patient. La thérapie humaniste, dite, « centrée, sur la personne », non directive, initiée, par C. Rogers, (Psychologue américain, 1902-1987), en est, l’ « archétype majeur ». Avec, pleine focalisation, sur le présent, les solutions immédiates, qui en découlent. La personnalité, le « ressenti » et, la personne même, du praticien, y sont capitaux et, jouent, un rôle majeur, dans la thérapie. La thérapie familiale ne s’intéresse pas, à un junior, en tant, que tel, mais, aux interactions, entre tous les individus ou, un groupe.

 

Selon, les contextes, de vie. Familial, social, historique, culturel, économique, religieux ou, politique… La thérapie familiale relie, la problématique, d’un jeune et, celle, de sa famille. Ladite famille n’est pas, forcément, « thérapisée », mais, elle est « associée », à la thérapie. Divers courants thérapeutiques, peuvent être utilisés, en suivi familial. Systémique, psychanalytique, psychodynamique, cognitivo-émotivo-comportemental, psychoéducatif… La thérapie familiale psychanalytique, traite, du psychisme collectif familial, des échanges et, des conflits, entre les membres, de la famille.

 

Au regard, de la réalité personnelle, de chaque junior. Cela, passe, par l’ « expression orale », de tous. Il est agi, sur la psychologie commune, au travers, de celle, de chacun. La thérapie familiale systémique repose, sur le postulat, l’approche, communicationnels et, systémiques juvéniles. La théorie, de la communication, est issue, de l’École, dite, de Palo Alto, en Californie, dans les années 1950. Elle étudie, les interactions, comme, les influences humaines, réciproques. Le système est un ensemble, d’éléments et, de relations, entre eux et, leurs particularités. Ces rapports font la cohérence, du système, en synergie, interactivité210.

 

Sont essentielles, les conditions, des liens, entre les jeunes, d’un système et, la nature même, du système. La famille est un système, avec des relations, internes et externes. L’attitude, de chaque ressortissant familial, « interagit », avec celle, des autres. La famille n’est pas, la simple addition, de chacun, de ses membres. Elle est une entité propre, à part entière, qui se suffit, à elle-même, indépendamment, même, de tous ses membres. De même, chaque junior est individualisé, existe, de façon autonome, par lui-même. Il y a donc, des « individus familiaux individuels », des « individus familiaux, en groupe familial ».

 

Également, l’ « ensemble familial communautaire, systémique », lui-même. La famille influe, donc, sur chacun, de ses membres et, chacun, de ses membres, influe, sur elle. En réciprocité, interactions permanentes. Évoquons, aussi, l’approche cognitive, émotionnelle et, comportementale. Schématiquement, le cognitif regroupe, la pensée, les images mentales et, l’intellect. L’émotionnel rassemble, les affects, les impressions, sentiments. Les comportements sont essentiellement, les paroles, les actes, les abstentions. Ils sont, avant tout, issus, d’apprentissages, de conditionnements, du jeune.

 

Notamment, par stimuli, provoquant, des réactions données. Ou, par renforcements, selon, les effets, pour l’organisme juvénile. Le renforcement positif génère, le renouvellement, la quête et, l’adhésion, au comportement. S’il est négatif, il y a, évitement, rejet et, fuite, de ce qui aura, provoqué, le comportement. S’il y a, neutralité, ledit comportement cesse, alors, de lui-même. L’approche cognitive a trait, aux représentations mentales. Elle considère donc, que la sphère psychoaffective, émotionnelle, est conditionnée, par les schémas mentaux, les processus, de pensée.

 

Le cognitivisme est lié, à une vision « informative », du junior. En mode psychomental normal, l’information, la communication, internes et externes, opèrent, correctement. S’il y a, dysfonctionnement, ce n’est plus le cas. Il y a, alors, problème, de traitement, de l’information, à corriger. Les schémas cognitifs inconscients, automatiques, sont issus, des apprentissages et, sont déclenchés, par des stimuli externes et, des émotions. Les processus cognitifs traitent l’information, conduisent, à partir, des « schémas » cognitifs inconscients, vers les pensées automatiques préconscientes et, la conscience. Ce qui mène, aux émotions liées, du jeune211.

 

Cinq grands types, de « distorsions », des processus cognitifs juvéniles, existent. L’inférence arbitraire : établir, des conclusions, sans preuves. L’abstraction sélective : la pensée ne retient alors, arbitrairement, qu’un seul, point de vue, particulier, « oublie », tout le reste. Ainsi, seul, le négatif, réel ou, supposé, est appréhendé, le positif, occulté. La surgénéralisation : à partir, d’une seule, réalité négative, vécue, le junior se convainc, que l’ensemble, de son existence, de façon générale ou, tout le domaine concerné, sont, désormais, ratés. La maximalisation et, la minimisation : les échecs sont exagérés, les succès, minorés.

 

La personnalisation : le jeune surévalue, les liens, de cause, à effet, entre, des réalités négatives. Il s’en attribue, à lui-même, la faute, ainsi, qu’à autrui, tout le mérite, des choses positives. Le travail cognitif, émotionnel, comportemental, consiste, à « se décentrer, de soi », en se redéfinissant et, réorientant, plus positivement, objectivement. Par les cognitions : pensées, images mentales. Les émotions : affects et, sentiments. Par les comportements, du junior : paroles, actes, omissions. Le symptôme est l’attitude erronée, à corriger, pour être adaptée, idoine.

 

Il s’agit, de déprogrammer, déconditionner, ce qui est inopportun, pour reconfigurer, ce qui est, au contraire, indiqué, bénéfique. Désapprendre, ce qui est nocif, contraire, à l’épanouissement, la réussite, la prospérité, du jeune. Pour ré/apprendre, ce qui est favorable et, constructif ou, productif, dans son intérêt. À l’aide, notamment, des enseignements, des neurosciences. Par exemple, l’anxiété peut grandir, par exagération, de la part, du junior, des risques et, dangers, d’une part. De l’incapacité, du sujet, à y faire face, de l’autre. Les situations, les lieux ou, les personnes concernés, seront donc, évités, par l’anxieux.

 

D’où, l’idée, de l’approche, cognitivo-émotivo-comportementale, de l’y exposer et, habituer, progressivement et, régulièrement. En pensée, émotions et, en réalité, jusqu’à, ce qu’il s’y fasse, accepte, les choses, s’y accoutume et, ne les évite plus. Ce qui résorbe l’anxiété, par exposition et, habituation progressives. Cela, est l’aspect comportemental. La dimension cognitive, émotionnelle, consiste, à relativiser, se distancier, positiver, mentalement et, émotionnellement. En prenant bien, conscience, que ce n’est pas, la réalité objective, qui est négative, mais, l’interprétation subjective juvénile212.

 

La modification, cognitive positive, permet, au jeune, la modification émotionnelle, constructive, comportementale, favorable et, réciproquement. Les pensées et, émotions dysfonctionnelles, peuvent être analysées, argumentées. Il y aura, décentration, relativisation, distanciation et, rationalisation. Le négatif catastrophiste sera positivé, dédramatisé. Les solutions favorables, seront privilégiées, les problèmes recadrés, de façon minorée. Les comportements juvéniles seront redéfinis, mis en place, de façon bénéfique, assurée, volontariste, motivée et, durable. L’approche cognitive, émotionnelle, comportementale évolue, depuis, ses créateurs, surtout, A. Ellis, (Psychologue américain, 1913-2007), et, A. Temkin Beck, (Psychiatre américain, 1921-2021)213.

 

Nous avons, surtout, retenu, les trois courants majeurs, des psychothérapies. Les thérapies psychanalytiques psychodynamiques. Les thérapies familiales, de groupe, comme, de couples, systémiques. Les thérapies cognitives, émotionnelles, comportementales. La psychothérapie, purement, exclusivement, centrée, sur les seuls « jeunes, de quinze – vingt-quatre ans », n’existe pas, à proprement parler. Même si, la plupart, des thérapies conventionnelles, peuvent s’appliquer, aux juniors. (Lachal, Moro, 2006, 2012)214.

 

Or, il reste, à inventer, une jeunothérapie spécialisée, qui leur soit, uniquement, dédiée, avec des jeunothérapeutes. Principalement, comme, son nom même, l’indique, la psychothérapie sert donc, surtout, à soigner, guérir, des pathologies, dysfonctionnements, souffrances. Elle ne concerne alors, qu’une partie seulement, des jeunes, ayant besoin, d’aide. L’AndroJeunologie® a pour mission, quant à elle, d’être une guidance, éducation-jeunesse. Un conseil de vie, et, d’optimisation, des potentiels, pour les seuls garçons, de quinze – vingt-quatre ans. En matière même, de développement personnel et, de réalisation, de soi.

 

Pour une « tranche d’âge, spécifique », à réalités, besoins, attentes, si particuliers. La plupart, des psys ou, coachs, traitant, de juniors, suivent, d’autres catégories, d’âge. Contrairement, à l’approche androJeunologique, inédite. Les pédopsychiatres s’occupent, d’enfants et, d’adolescents mineurs. En médecine préventive et, curative psychiatrique. Non, de jeunes, en conseil de vie. L’AndroJeunoConseil® s’inspire, en grande partie, de l’approche cognitivo-émotivo-comportementale. Ainsi, que de celle, humaniste, de soutien, centrée, sur la personne. Également, de la mouvance, issue, de la « pensée positive ».

 

Or, il n’en conserve, pas moins, toute sa forte spécificité, propre ! Du fait, notamment, qu’il n’est pas, une psychothérapie, mais, un accompagnement tonique, non curatif, d’optimisation, de potentiel. Supportif et, motivationnel. Qui fait prendre conscience, au jeune homme, de ses atouts propres. Lui suggère, les moyens et, outils, de les faire fructifier. Est, également, surtout, une mission, de conseil directif, actif, sous forme, d’un tutorat didactique, d’éclairages. Pour une néogénération qui, contrairement, aux adultes, a encore, très grand besoin, de lignes claires. D’instructions précises et, de directives, d’orientation rigoureuse, de vie.


 

 


« La jument grise est morte, mais, à part ça, tout, va très bien ! Elle a péri, dans l’incendie, des écuries, mais, à part ça, tout, va très bien ! L’écurie a brûlé, du fait, de l’incendie, du château, mais, à part ça, tout, va très bien ! Étant ruiné, le marquis s’est suicidé. Renversant, toutes les chandelles, mettant le feu, au château. Le vent a propagé, les flammes, à l’écurie. Ce qui a tué, la jument. Mais, à part ça, Madame, la Marquise, tout, va très bien, tout, va très bien » !

 

Telle est, l’histoire, de la célèbre chanson, Tout, va très bien, Madame, la Marquise. Ce qui dépeint bien, l’infernale logique, du déni et, de la dénégation, face, au pire. De l’incident, le moins grave, à la plus lourde catastrophe, en tragiques enchaînements, de faits successifs. Le contexte en est, l’insouciance, des gouvernements français, face, à la montée, du nazisme, jusqu’au, désastre final, de la Débâcle, du printemps 1940. Qui fit alors, « passer, toute envie, de rire » !

 

De même, concernant, les juniors, il est d’usage, en France, de les « tenir, pour quantité négligeable ». De, sans cesse, minimiser, leurs tourments, difficultés. L’on pense, que cela, n’est que, « petits tracas, de jeunes, sans importance, qui finiront, avec l’âge, le temps, que jeunesse, se passe » ! Or, en réalité, faute, souvent, de « traitement » et, de traitement adéquat, les choses ne font, que s’aggraver, jusqu’au pire, parfois, hélas. Prenons donc, toujours, nos descendants, « au sérieux », ainsi, que leurs préoccupations et, problèmes. Sachons, être à l’écoute, les soutenir, avec leur plein accord. Si une donnée est importante, à leurs yeux, elle l’est, alors, en réalité et, doit donc, toujours, l’être, pour tout interlocuteur adulte. Trop de juniors, souffrent encore, d’iniques dénis !

(Tout va très bien, Mme la Marquise, œuvre musicale française, paroles / musique : P. Misraki, interprétation orchestre : R. Ventura / Les Collégiens, France, 1935)-215.


 

 


– « Aménager » Vos Coaching –

Orientation, Soutien Scolaires AndroJuvéniles


 

 

Outre, la « sphère psy », il existe, pour vous, jeune, l’ « archipel », de l’orientation, du soutien, du coaching scolaires et, des métiers. Du secondaire, au supérieur. Ce secteur, d’activité, n’a trait, qu’aux études, à l’emploi. Il vous aide, junior, à trouver, votre voie académique, professionnelle. Travailler, cours et devoirs, avec des répétiteurs. Optimiser, réussir, tout un cursus. Préparer, épreuves, examens, concours. Entre, soin psy, préceptorat scolaire, « audit » professionnel, il n’existe, quasi-rien, en France, pour vous, cadet, notamment, masculin, en terme, de soutien général, de conseil global de vie.


 

 


Voyons donc, plus particulièrement, précisément, ce qu’est, le coaching, purement, scolaire. Le coaching scolaire permet, à l’élève ou, l’étudiant, de bien saisir, tout l’enjeu, de ses études. À optimiser, ses atouts et, potentiels et, à réaliser, ses objectifs académiques, professionnels. Le coaching scolaire, étudiant, est issu, de l’univers sportif, comme, d’entrepreneuriat. Il utilise, la maïeutique socratique, la psychologie comportementale. Il vise, à aider, le junior, à élaborer, son projet, d’études, comme, de métier futur. Le mobiliser ou, remobiliser. L’orienter, de façon adéquate et, fructueuse. En fonction, des résultats scolaires et, des aptitudes, appétences et, débouchés disponibles. Le coaching d’études aide, le jeune, à être, le plein « acteur, de son orientation ». Ainsi, que de ses études, cursus, pour obtenir, l’orientation, de ses vœux.

 

Il s’agit, d’apprendre, à dépasser, le lien, purement, « utilitariste », aux connaissances et, savoirs. De valoriser, les apprentissages et, la socialisation, scolaire et universitaire. Le coaching scolaire vise, l’optimisation, du parcours, d’études, la pertinence, des conduites et, des choix opérés. Notamment, en matière, de stages. Le tout, en fonction, de la personnalité, de chaque jeune. Le coaching scolaire guide, chaque élève, à identifier, sa vocation, pour bien réussir, s’épanouir, devenir prospère. Les tests, de personnalité, d’intelligence multiple et, émotionnelle, peuvent être utilisés. Le but est d’ouvrir, le champ, des possibles, au maximum. De ne pas enfermer, le junior, en ses origines, milieu socioculturel, économique, ethnique. En exigence, ambition, effort et, persévérance. Également, de façon réaliste et, pragmatique216.

 

Avec, le plus possible, de familiarisation, au monde, de l’emploi et, de l’entreprise, au cours, des études. Du collège, à la toute fin, des études supérieures. En tenant compte, des résultats scolaires, du milieu familial, comme, des comportements juvéniles, eux-mêmes. Le coaching scolaire incite, le jeune, à être actif, autonome, en ses études. L’objectif, du training éducatif, est, avant tout, un but, de performance, d’optimisation, de potentiels, une prise de conscience, de ses atouts, en matière, d’études. Cela, passe, aussi, par la connaissance, de soi, et, de ses valeurs et, idéaux. Également, l’estime, la confiance et, l’affirmation, de soi.

 

La réalisation et, l’accomplissement, de soi, au travers, de son projet scolaire. Le fait, de donner, du sens, à ses études. Le junior sera aidé, à mieux, se distancier, relativiser, ses résultats scolaires. Il sera accompagné, à mobiliser, ses potentialités scolaires, familiales. Comme, son nom, l’indique, le coaching scolaire est une guidance, du jeune, en ses études, son travail et, ses résultats académiques. Son orientation, de formation, professionnelle, à venir. L’objet en est donc, fort restreint et, ne concerne alors, pas, l’ensemble, de la personne, de la vie, du junior. De façon, holistique, transversale, pluridisciplinaire. Seulement, la pédagogie, de cursus. (Oller, 2011)217.

 

En 2008, le Haut Conseil de l’Éducation, publie, un rapport, sur l’orientation scolaire, en France. Il y recense, les travers, les plus néfastes, pour tous les jeunes. Avec, des mécanismes, plus susceptibles, d’exclure, nombre, de juniors, que d’en insérer, dans les études, l’emploi et, la société. L’orientation, au collège, au lycée, est bien trop liée, au niveau initial, des écoliers, du primaire. Elle consiste, à trier, les élèves, selon, leur seul, niveau scolaire, en matière, de savoirs abstraits. L’origine sociale, les diplômes, des parents, sont des vecteurs, fort décisifs.

 

En une éducation, très verticale et, hiérarchisée, l’orientation consiste, trop souvent, en des exclusions successives. Une mauvaise orientation est difficilement, rattrapable. L’orientation, des études et, métiers, opère, en circuit, très fermé. L’orientation, des jeunes et, leur niveau, de qualification terminale, sont fort déterminés, par la configuration, de « l’offre, d’éducation ». « L’offre, de formation professionnelle », est très riche, mais, le choix, pour chaque junior, est des plus restreints !

 

L’offre, de formation professionnelle, est peu adaptée, aux exigences, besoins économiques. L’apprentissage assure, le mieux, la concordance, l’adéquation, entre la formation initiale et, le marché, de l’emploi. Dans les études professionnelles courtes, les jeunes optent, pour les formations tertiaires, des services. Aux dépens, des cursus secondaires, de la production, qui permettent, pourtant, bien plus, de débouchés, de travail. Le Haut Conseil de l’Éducation, définit, quatre priorités, pour l’orientation scolaire. Faire relever, les missions, d’accueil, d’information, des régions. Redéfinir, la charge, de conseil, en orientation, trop mal, menée. Faire jouer, aux enseignants, un rôle accru, dans l’orientation. Étoffer, l’éducation, à l’orientation, des juniors, pour les aider, à opérer, des choix décisifs, d’avenir, plus adéquats, à bien meilleur escient218.

 

Le soutien scolaire, est un renforcement personnel, destiné, à des élèves, étudiants, de façon temporaire ou, durable. Cela, concerne, des jeunes, qui en ont, la nécessité, pour appuyer, la formation scolaire, universitaire, initiale. Le soutien scolaire peut être délivré, dans le cadre, les locaux, le temps, des études, cela, par les enseignants, eux-mêmes. Il peut, aussi, être un accompagnement, à la scolarité, en dehors, des études, lors, du temps extrascolaire, par des professionnels extérieurs. Cela, consiste, alors, en une aide, aux devoirs, aux leçons ou, à une remise à niveau générale. Le soutien scolaire, est une aide individualisée, un réel palliatif, de complémentation, un tutorat. Un suivi complémentaire, dans le contexte même, des études secondaires, de premier degré, au collège.

 

Des associations, à but non lucratif, des étudiants, administrations publiques, assurent, du soutien scolaire, sur place ou, à domicile. Des sociétés commerciales privées, spécialisées, de soutien scolaire, existent, aussi. Cependant, par les coûts induits, cela concerne, les jeunes, des classes favorisées et, moyennes. Or, les juniors, les plus nécessiteux, en matière, d’échecs, de difficultés, de soutien scolaires, sont ceux, qui sont, les plus modestes, socialement. Outre, les jeunes, en difficultés scolaires, le soutien pédagogique peut assurer, un accompagnement, de renforcement, en une ou, des matières ou, aussi, de préparation, d’examens, de concours. Un soutien scolaire existe, au collège, pour ses élèves. Il s’agit, d’un apport complémentaire, pour l’aide, aux devoirs, les sports, le champ artistique, culturel, comme, les langues vivantes.


 

 


– AndroJeunoConseil®, AndroJeunologue®

AndroJeunologué, Votre « Clé Libératrice »


 

 

Conseil, est un terme anglais masculin, datant, de 1832. Il s’agit, d’une « personne, chargée, de l’entraînement, d’une équipe, d’un sportif ».

(Dictionnaire, de la langue française, Robert, France, 2007)219.


 

 


Le conseil est une pratique professionnelle, qui consiste, à aider, autrui, à progresser, ce, par l’éclairage. Améliorer, ses potentiels. En lui faisant, prendre conscience, de ses atouts, points forts. En vue, de les mobiliser, de façon optimale, pour mieux vivre, réussir et, s’épanouir. En matière androJeunologique, la France est très déficitaire, par rapport, à ce qui prévaut, hors, de nos frontières, en Occident. Amérique, du Nord, Australie, Allemagne, Pays-Bas, comme, pays scandinaves.

 

Notre monde est, de plus en plus, complexe, hostile, perturbé, instable, comme, changeant. Les exigences, à l’égard, des jeunes, y vont, croissant, de plus en plus, tôt. Il y a, incapacité, très large, des adultes ou, de la plupart, d’entre eux, à concourir, valablement, à l’accomplissement juvénile. Une médiation particulière, de mentoring / conseil, d’action spécifique, au junior, s’impose. Cela, n’est nullement, du ressort, des « psys », de tous types. Pas plus, que de celui, des officines d’orientation, de soutien, coaching scolaires, comme des métiers et, de l’emploi.

 

Il est temps, que cela, soit compris ! C’est loin, d’être le cas, pour le plus grand dommage, des jeunes. Au-delà, du « déblocage », de toutes difficultés, il s’agit, d’optimiser, les potentiels, de chaque junior. Lui apporter : enseignements éducatifs, entraînements interactifs, propres, à l’aider, à « réussir sa vie et, donner, le meilleur, de lui-même ». Il y a longtemps, déjà, qu’en Amérique, du Nord, la psychanalyse est classifiée, dans le domaine, de la philosophie et, non plus, des thérapies. Elle sert, de fait, à « – se – comprendre », non, à régler, des problèmes, avec efficacité, pragmatisme, maximaliser, des atouts.

 

Elle ne convient pas, aux jeunes, seulement, aux adultes. Dans les cultures protestantes, anglo-américaine, scandinaves ou, germaniques, les juniors sont mieux, pris en compte. Intégrés, valorisés, encouragés, compris, aimés. Ils se portent mieux, que dans notre « vieil empire latin, immobile ». Celui-ci privilégie, l’expérience, l’ancienneté, les acquis, du passé, plutôt, que « l’ardente foi, en l’avenir ». La soumission, le conformisme, plutôt, que la liberté, l’originalité, la hardiesse, d’esprit. L’audace, de contester !

 

Ce « chaînon manquant », de l’accompagnement : « expertise intégrale », pour les seuls, quinze – vingt-quatre ans masculins, fait défaut. Raison, pour laquelle, nous avons créé, l’AndroJeunologie®. L’ « âge atomique220 » souffre, de carences, lacunes immenses, en tout et, pour tout. Ce qui fait, qu’il est inapte, à l’essentiel, faute, de transmissions adéquates ! Les juniors ignorent, les vrais fondamentaux, car, l’on ne leur a « rien, inculqué, d’essentiel ». Problématiques, de santé. Difficultés socioéconomiques, comme, d’identité, face, à la « globalisation ». Manques, vides familiaux.

 

Déficits éducatifs, de formation et, d’instruction. Désinsertion, d’emploi. Incapacités, psychoaffectives et relationnelles, à soi et, autrui. Lourdes incertitudes, en matière, de place sociologique. Jeunes, en difficulté. Perturbations historiques, interrogations philosophiques. Vides, en matière récréative, culturelle et, des valeurs. Inadaptation, de statut juridique, légal, de droits. Laissés pour compte, de la nation, des politiques, de la Jeunesse. Perturbations et, tourments psychomoraux. Incivilités et, débordements ou, déviances. Laisser aller et, inerties. Échecs et, incertitudes. Impréparation, face, à la vie, l’avenir. Déstructuration et, éclatements.

 

Hédonisme, matérialisme, consumérisme. Perversions et, insanités… Un « âge atomique », qui explose, se répand, par fission, scission, comme, la matière nucléaire. Un fractionnement dommageable, de nature et, d’un point de vue, psychiques, moraux, sociaux, comme, humains… L’AndroJeunoConseil® a pour tâche première, d’orienter, un jeune garçon, de telle façon, à ce qu’il soit, en mesure, d’ « accomplir sa mission, de vie ». C’est-à-dire, trouver, sa voie adéquate, pour réussir, sa vie, non seulement, dans, sa vie. Donner, un sens, à son existence. Atteindre, ses objectifs prioritaires, fondamentaux.

 

S’épanouir, tel, qu’il est et, en conformité, avec le développement, de ses valeurs, idéaux, tout son « être, authentique et profond ». Afin, d’avoir, à la fin, de son passage terrestre, pu dire, qu’il aura été « utile », à lui-même et, autrui, apporté, sa pierre, à l’aventure humaine. Laissé, une trace, marquante et positive !… La mission, de tout jeune, comporte, donc, une double dimension : matérielle et, morale, réussite, dans la vie et, plénitude, de vie. Pour la plupart, des juniors et, le plus souvent, à l’image, des adultes, la première conception l’emporte, excessivement. Car tout, dans le siècle, concourt et, incite fort, à cela.

 

Ce sont généralement, les épreuves, de l’existence juvénile, qui éveillent, à la spiritualité. Font prendre conscience, des limites, insatisfactions, des choses, de la matière. Comparativement, à celles, de l’esprit. Seule, la force intérieure, élève, quand, la matérialité, nécrose. L’expérience concrète, de la vie, « au jour le jour », est le meilleur maître, le plus sûr enseignement, la plus féconde compagnie, pour grandir, se dépasser. Celle, du junior et, aussi, des autres, dont, lui-même, tous les hommes, bénéficient. Tant, il est vrai, que nul, ne peut, se suffire, à lui-même et, ne se nourrir, que de lui.

 

En interdépendances, enrichissements, mutuels et, réciproques, tout jeune, ne vit, que par la vie, de ses semblables. ll apprend plus, de ses échecs, que de ses succès et, réussites. Car, la « bonne fortune » endort, illusionne, quand, l’insuccès est riche, d’enseignements, pour progresser, se transcender et, s’accomplir. Surmonter, les obstacles, s’aguerrir et, devenir meilleur. La peur gangrène, la vie juvénile, car la jeunesse réfléchit trop, en circuit fermé, ce qui la paralyse. Qu’elle agisse plus, à bon escient, cogite moins, en vain, de façon inappropriée. Qu’elle ordonne, pensée, émotion, pour mieux agir.

 

Elle vivra, bien mieux. Ce qui ne dispense, naturellement, pas, pour autant, d’un minimum, de réflexion sensée. Avant, de faire, plutôt, que de « foncer, tête baissée, dans le ravin », sans réflexion. Or, trop, d’états d’âme, d’élucubrations remâchées, du junior, ne font, que l’enfermer, en la crainte, le tourment et, l’inertie contre-productive, totale. L’élévation morale, ne puise sa fructueuse source, que dans l’agir, dirigé, vers le bien, de soi, d’autrui. Sinon, elle risque, de se muer, en stérile, inutile, quête. Même, les ordres religieux monastiques et, les ermites, les plus contemplatifs, se vouent, aussi, au travail intellectuel, manuel !

 

Le jeune a, souvent, peur, de l’échec, or, ce dernier, est, bien souvent, le meilleur gage, de succès. Pour réussir, il faut, fréquemment, commencer, par échouer ! La première tentative est, rarement, la bonne. La ou, les suivantes, tenant compte, de la ou, des précédentes, multiplient, ainsi, leurs chances, de réussite. Les plus grands, génies humains, ont, souvent, commencé, par échouer, avant, que de connaître, de formidables, fulgurants, triomphes. Il n’y a, de chance, de réussir, qu’en tentant. À défaut, rien, n’est possible. La velléité juvénile paralysante, ne peut mener, nulle part221.

 

Rien, ne marche, sans risques calculés. En 1991, la publicité, de la Française des Jeux, pour le Loto, ne disait-elle pas, à juste titre : « Cent pour cent, des gagnants, ont tenté, leur chance » ! ? Les échecs ne sont, en réalité, pas, des échecs, mais, simplement, des résultats, que le junior n’attend pas. Qui ne lui conviennent pas et, ne lui donnent donc, nulle satisfaction. Comme, hormis, la mort, rien, n’est inéluctable ni, définitif, sur cette Terre, tout « échec » est relatif et, provisoire, réversible, donc, plein succès potentiel, à venir. Il y a, bien sûr, toujours, les aléas extérieurs, pour nuire, à la néogénération, ainsi, qu’à ses objectifs. Or, ses travers intérieurs expliquent, bien souvent, toutes ses infortunes.

 

À elle, donc, de savoir, au mieux, « affiner, ses trajectoires », pour mieux faire, obtenir, ainsi, bien plus, de gratifications existentielles ! Alors, larguez, sans tarder, toutes vos amarres, jeunes moussaillons, sans crainte, du grand large, de ses tempêtes ! Hissez, hardiment, la grand-voile, de misaine, d’artimon, le grand foc, pour de nouvelles, palpitantes aventures ! Comme, les insuccès, vos erreurs, sont vos « maîtres, à penser », non, pour vous affliger, mais, en retenir, les si bénéfiques juvéniles leçons de vie. Si la perfection n’est pas, de ce monde, la perfectibilité l’est. Le jeune « accompli », n’est pas parfait, mais, perfectible, car, faillible. Il ne se grandit, que par ses trébuchements, abaissements, relèvements. Ainsi, selon, la Prophétie d’Ézéchiel :

 

« Le Seigneur ne veut pas, la mort, du pêcheur, mais, qu’il se convertisse et, qu’il vive » !

(Ézéchiel, prophète, d’Israël, VIe s. av. J.-C., Ancien Testament, Livre d’Ezéchiel, XVIII, 21-28, La Bible, Moyen-Orient, VIe s. av. J.-C.)222.

 

Le contentement n’est pas, le dessein ultime, de sa vie, mais, les apprentissages, enseignements, de l’existence. Le junior peut en relever, les défis, en étant attentif. À défaut, des alertes douloureuses, le rappelleront, à l’ordre. De plus en plus fort, jusqu’à, ce qu’il reçoive, comprenne, le message, « cinq sur cinq » ! En modifiant, en conséquence, ses pensées, ses émotions, comportements. L’épreuve peut le renforcer, quand, la facilité abat, contrairement, à ce qu’il pourrait croire. Cela, est l’apanage, des sages. Il apprend autant, des autres, que de lui-même et, réciproquement. Sur sa personne, comme, sur autrui. Si la vie, du jeune, est le reflet, de ses cognitions, ses sentiments ou, affects, elle est aussi, tout autant, celui, de ses actes, paroles, abstentions. Ce qui génère, des effets-conséquences positifs, neutres ou, négatifs. Selon, la nature, des déclencheurs.

 

De façon immédiate ou, différée, de modes multiples. Positivement ou, négativement. Selon, que ses comportements, auront été bénéfiques ou, non. Les effets, de ses attitudes, sont donc, bien plus significatifs, que ses principes, conceptions et, leurs impacts. Car, ces derniers sont, souvent, conjoncturels et fluctuants. Quand, les comportements juvéniles, sont plus stables, structurels. Sauf, altération, des facultés mentales, de discernement, de compréhension, de jugement, les juniors sont, tous, responsables, de leurs agissements. À leur égard et, à celui, d’autrui. Car, ils en ont, tout pouvoir, de contrôle, maîtrise, en leur conscience.

 

Dans l’action, comme, dans l’abstention. De même, concernant, leurs pensées, paroles et, sentiments, qu’il leur appartient, de réguler. Même, si des pulsions irrépressibles, peuvent les conduire, à ne pas pouvoir, sciemment, en décider. Ainsi, si leurs pensées, émotions, leur viennent, subitement et, s’imposent, à eux, a priori, sans nul pouvoir, de volonté, de leur part, ils peuvent toujours, les canaliser, malgré tout, a posteriori. Pour que leurs manifestations, conséquences, demeurent, dans le registre, du raisonnable et, de l’acceptable, non nuisible. En l’intérêt même, de tout jeune accompli. Si possible, bienfaisant, pour eux-mêmes et / ou, les autres. N’oublions pas, cette forte parole biblique, pour tout jeune :

 

« Puisqu’ils ont semé, du vent, ils moissonneront, la tempête. Ils n’auront pas, un épi, de blé. Ce qui poussera, alors, ne donnera point, de farine. S’il y en avait, des étrangers, la dévoreraient ».

(Osée, prophète d’Israël, VIIIe s. av. J.-C., La Bible, Ancien Testament, Livre d’Osée, chapitre 8, verset 7, Moyen-Orient, VIIIe s. av. J.-C.)223.

 

Aussi, ce principe évangélique, du Christ, lui-même, selon, les Écritures :

 

« Tous ceux, qui prennent, le glaive, périront, par le glaive » !

(Matthieu, apôtre, Ier s., Évangile canonique, XXVI-52, Moyen-Orient, Ier s., Nouveau Testament, La Bible)224.

 

Chaque junior, chaque vie, sont prédestinés. Cela, signifie, que tout jeune, a une « mission terrestre », à remplir, un destin, à accomplir, une existence, à mener, en réussite, sagesse. Un dessein, une voie tracés, s’ouvrent donc, à lui et, lui seul. Ce qui implique, non, une prédétermination rigide, inéluctable et, inexorable, quoi, qu’il arrive, que le junior choisisse, décide, fasse. Or, toujours, son libre arbitre, souverain et, entier, en conscience, pour opter, pour la vie et, la destinée, qu’il souhaite, pour lui-même. Pour que le jeune, soit capable, d’initiatives, il convient, de lui faire, toute confiance, de l’inciter, à « bouger ». S’affirmer, s’imposer, remettre en cause, déplaire, trancher, détonner, s’opposer, créer, oser.

 

Telle est, la loi, de la responsabilité personnelle, de l’enfance, surtout, l’adolescence, la jeunesse, jusqu’à, la « mise, au tombeau ». La maîtrise, du junior, de ce qui survient, advient, de lui, est partielle, limitée. Or, il a, toute latitude, de décider, comment, faire face. Chaque jeune, relève, d’un destin humain, à accomplir. Or, chacun, n’en détient, pas moins, le pouvoir, d’en déterminer, les modalités, d’exécution. De façon, adéquate, neutre, positive ou, négative erronée. À chaque junior, d’en décider, par ses choix et, ses actes ! En grandissant, en sagesse, ses savoirs deviendront savoir-être, savoir-faire et, faire-savoir.

 

À force, de tâtonnements, d’erreurs ou, d’échecs, de tentatives, de progrès, de « coups, de maître », de génie et, de réussites, aussi ! L’effort dépend, de lui, mais, pas, ses effets. Qu’il soit, en la voie occidentale, de la matérialité, de la réussite individuelle et, du gain prosaïque. Orientale, du plein renoncement spirituel, de l’accomplissement, de soi, supérieur, de la sérénité. La « jonction », des deux « modèles, de civilisation », étant possible, souhaitable. La transcendance, jointe, au cheminement terrestre, le plus contingent, peut conduire, au meilleur, de la réalisation, de soi, humaine. Ce que, le jeune, possède, ici bas, est précieux. Qu’il en « jouisse bien, mieux, de façon meilleure, encore » !

 

Or, cela, est provisoire, révocable, à la mesure, de son si bref passage, de vie. Qu’il sache donc, aussi, s’attacher, aux choses, de l’esprit, qui, elles, sont éternelles. En lui-même, s’il croit, en l’Au-Delà. Comme, en trace définitive, en l’univers, quoi, qu’il en soit, pour l’ensemble, de la communauté humaine, de ceux, qui lui survivent, succèdent. Les effets ne dépendent pas, du jeune, mais, toujours, les entreprises, qu’il mène, résolument, pour y parvenir, au mieux ! En attachements et, surtout, détachements, mieux encore, lâcher-prise. Seul, ce dernier libère, des enjeux et, tourments liés, pour apaiser, en plénitude et, paix, de l’âme. La dimension, du temps, est aussi, capitale, pour la jeunesse. Il s’agit, de ne pas confondre, vitesse et, précipitation, car :

 

« Tout vient, à point, à qui, sait attendre ».

(C. Marot, poète français, 1496-1544, L’Adolescence clémentine, poèmes, de jeunesse, France, 1532-1538)225.

 

À condition, de rester actif, non, amorphe. Il s’agit donc, d’agir, à bon escient, au bon moment. Ni trop tôt ni, trop tard, car, la « bonne heure » n’est ni, dans l’avant, prématuré ni, en l’après, trop tardif. La nouvelle génération a du mal, à : « être, dans le et, les temps ». Elle est bien trop lente ou, trop rapide, peu synchrone. Globalement, surtout, le junior vit, à une époque, qui va, veut aller, « trop vite », pensant, que célérité, est forcément, synonyme, de qualité.

 

Or, cela, se fait, souvent, au détriment, de la rigueur, de l’exigence. Aboutit, à l’artifice, la superficialité, au bâclage. Maladie, des temps modernes. Le jeune oublie que : « Qui veut, voyager loin, ménage, sa monture ». (J. Racine, dramaturge français, 1639-1699, Les Plaideurs, comédie théâtrale, France, 1668)226. Ce qui implique, toujours, d’économiser, ses forces, pour tenir, sur la durée. Sans vouloir, trop en faire, trop vite, sur le mode contemporain, du « tout, tout de suite » ! Quand, le junior fait le bien, il s’estime, lui-même, a du prix, à ses propres yeux. Ce qui le rend « éligible », à en « recevoir, le centuple ».

(Marc, évangéliste, Ier s., Évangile synoptique, X, 28-31, Moyen-Orient, Ier s., Nouveau Testament, La Bible)227.

 

Or, en se comportant mal, le jeune ne peut jamais, en retirer, de « bons fruits », mais, de fort « mauvais ». Le bien ne peut produire, que du bien et, le mal, que du mal. En vertu, des lois, de l’immanence, la plus juste. Ce que le junior est, pense, éprouve, fait, lui revient, à lui-même, de la façon, neutre, positive ou, négative, dont, il l’oriente, par sa personne. Ce qui rejoint, la célèbre formulation, d’A. L. de Lavoisier, chimiste, philosophe français (1743-1794) :

 

« Rien, ne se perd, rien, ne se crée, tout, se transforme ».

 

Une « optimisation idéale, automatique », de l’essence, des choses. Reprise, de la sentence, du philosophe grec, Anaxagore (500-428 av. J.-C.) :

 

« Rien, ne naît ni, ne périt, mais, des choses, déjà, existantes, se combinent, puis, se séparent, de nouveau ».

 

Notre préadulte obtient, à la mesure, de ses dons. Comme, il fait, il lui sera fait. Tel, il dit, il lui sera dit. Comme, il pense, il lui sera pensé. Tel, il ressent, il lui sera ressenti. Comme, il omet, il lui sera omis.

 

« Tout arbre, bon ou, mauvais, se reconnaît, à ses fruits ».

(Matthieu, apôtre, Ier s., Évangile synoptique, VII-12, à VII-29, Moyen-Orient, Ier s., Nouveau Testament, La Bible)228.

 

Les grandes choses se nourrissent, des petites ou, moyennes. Les tâches, obligations, du jeune, les plus humbles, du quotidien, élèvent l’âme, l’esprit, autant, voire, plus, que les grandes occurrences, nobles événements. Qui ne peuvent, par essence, qu’être rares, ponctuels, en une vie. Quand, c’est, « le modeste journalier », qui façonne, le plus et mieux, la réalité juvénile familière, la plus importante, significative. La jeunesse est, pour elle-même, aujourd’hui, tels, hier, demain, la mesure, de son tout. Alpha et, Omega, quintessence, de ce qu’elle veut être ou, pas, en ses cimes et, abîmes.

 

Le jeune progresse, chaque jour, un peu plus, peu à peu, progressivement, petit à petit, pas à pas, même !

 

« Un petit pas pour un homme, mais, un bond de géant, pour l’humanité » !

 

N. Armstrong, (Astronaute américain, 1930-2012), commandant, de la mission spatiale, Apollo 11, est le tout premier humain, à avoir foulé, le sol, d’une autre planète, que la Terre. La Lune, le 21 juillet 1969-229. Il a prononcé, cette célèbre phrase historique, à cette occasion. Ce qui signifie que, même, ce qui paraît être, la chose, la plus modeste, peut, en réalité, être, la plus « extraordinaire ».

 

Tout est question, de vision et, de recadrage, en un contexte et, sous un angle, en réalité, bien plus vastes. Ce n’est pas, aux réalités, de ce monde, de « sublimer », la jeunesse, mais, à elle-même, de transcender, les choses terrestres. L’essentiel n’est, jamais, ce qu’elle entreprend, mais, la façon, dont, elle s’y prend, à cet égard. Chaque junior, a au moins, un don, un talent, une vocation ou, plusieurs. À lui, de les développer, les mettre, en œuvre, pour lui-même et, autrui. Seul, ou, en se faisant aider. Les épreuves sont faites, « pour le doper, jamais, pour l’écraser ». Soit, il fait résolument, face et, en triomphe, soit, il s’effondre. Ce qui fait, « toute la différence et, rien, qu’elle ».

 

Dans le premier cas, le jeune appréhende, la difficulté, comme, provisoire, réversible, comme, formidable défi revigorant, dynamisant, à relever. Dans le second, il la considère, comme, un drame, définitif et insurmontable, telle, raison majeure, de défaite assurée, de découragement. Renonciation, à se battre, d’anéantissement. Pour toujours, « faire le bien », aux autres, qu’il commence, par lui-même :

 

« Charité bien ordonnée commence par soi-même » !

 

(France, proverbe médiéval). Renoncer, aux attentes, accepter, sa jeunesse, autrui, le monde, tels quels, non, selon, ses préférences et, désirs.

 

Telle est, la loi, de la liberté, du bonheur, de la réalisation, de soi. Les pensées, émotions, sont capitales. Au-delà, les comportements, actes, sont fondamentaux, pour façonner, la réussite matérielle, morale, de l’existence. Pour cela, les attentes juvéniles, ne peuvent être, trop exigeantes. Sinon, le junior risque, sans cesse, d’être déçu, découragé, malheureux. Des désirs, plus « raisonnables », pragmatiques, réalistes, comme, limités, tout en étant ambitieux, sont plus gage, d’équilibre et, de vie agréable et, appréciée. Nous avons affirmé que, l’absence même, d’attentes, permet, de se libérer. De façon décisive, impériale.

 

De bien, des fardeaux inutiles, de désillusionnements, fort coûteux, en terme, de plénitude juvénile. Pour bien vivre, l’idéalisme doit constituer, un idéal, à atteindre, une ambition et, le réalisme, une donnée tangible existentielle, un vécu. Le réalisme, exclusif et absolu, est un cynisme utilitariste. L’idéalisme, unique et intégral, une illusoire utopie, sur cette Terre. L’un, ne va pas, sans l’autre, en équilibre complémentaire. Quand, chacun, séparément et seul, n’offre pas, son potentiel positif maximal, mais, un bénéfice minimal et, des inconvénients optimaux. Tout jeune se devra donc, d’être, tout à la fois, un grand sage idéaliste, pour s’accomplir.

 

Tout comme, un bon pragmatique réaliste, pour prospérer, ici-bas. Vivre sainement implique, alors, d’adopter, des comportements, attitudes, positifs, favorables et, « productifs ». De façon, très volontaire, volontariste, résolue. Seule, la détermination, à agir et, bien agir, se révèle payante. Pas, d’états d’âme, mais, de la réaction-action-proaction. Que le junior sache, toujours, aller, à la simplicité, à l’essentiel, au plus important, pour lui-même. Sans « se disperser, s’éparpiller, en toutes les directions », de façon, tout autant inutile, très « contre-productive » et, dommageable, qu’épuisante.

 

Qu’il fasse, de bons choix, minimalistes, plutôt, que de mauvais, maximalistes. L’essentiel, sera le bien, pas, le « mieux, que bien », qui se révèle, le plus souvent, mauvais, car inaccessible, vain. Plus, les difficultés, les épreuves, grandissent, plus, le jeune se doit, de se renforcer, à proportion, de faire, vaillamment, face. Moins, il se doit, de fléchir, s’effondrer. Il peut, à loisir, plier, en souplesse, pour mieux, se redresser, mais, ne jamais, rompre ! L’important, n’est pas, le poids, de la charge, mais, la solidité, de la charpente juvénile : physique, psychique, affective, spirituelle.

 

Il vaut toujours, mieux, un fardeau pesant, de solides épaules, qu’un poids plume, un corps malingre, chétif, chancelant ! Cela, relativise, bien, des malheurs, du junior, petits et, grands, donne, tout le courage et, la force nécessaires, pour les combattre et, les surmonter. L’adversité renforce, sauve, quand, le confort, la facilité, endorment, affaiblissent et, perdent, la néogénération. Laquelle, est faite, pour lutter, survivre, se dépasser, non, pour s’enfoncer, se complaire, dans le cocon, le plus douillet. Le masochisme est une perversion malsaine, à rejeter230. Tout comme, en un autre registre, souvent, corollaire, le sadisme, contre les autres.

 

Or, force est de constater, que ce sont, ses épreuves, souffrances, tourments, désillusions, qui la renforcent, la relancent, en avant, le plus. Non, ses succès et, conquêtes ou, victoires, lesquels, l’amollissent. Combien, de gagnants, de si colossales fortunes, au jeu, ont-ils, ainsi, rapidement, tout dilapidé, se retrouvant, moins bien « lotis », qu’avant ? Voire, aussi, durablement, riches, mais, moins heureux, qu’antérieurement ? ! Beaucoup ! Face, aux duretés, de la vie, le junior peut rester paralysé, fuir ou, faire face. La seule solution, pour rebondir, se sauver, lui-même, est de se battre.

 

L’inertie, la fuite, en avant, sous forme, de déni et, de laisser-aller ou, d’effondrement, n’ont jamais, rien, réglé, durablement, valablement. Alors, en avant, marche ! Les revers sont positifs ou, négatifs, pour la jeune génération, en fonction, de ses perceptions et, actions, à leur égard. Or, jamais, en eux-mêmes, car, ce qui compte, est la façon, de s’en sortir et, d’en être capable. Non, les aléas, épreuves, de la vie juvénile ! L’apprentissage, l’effort, l’ascèse, la persévérance, le courage, la motivation, à vaincre et, se vaincre, rendent, de plus en plus, facile, ce qui est, d’abord, très difficile. Car, ingrat, ardu, décourageant, répulsif.

 

Voire, lui semble, insurmontable. Aux juniors, de renforcer, leurs capacités, élans, énergies, physiques, mentaux, affectifs, moraux. Avec raison et, équilibre, pour ne pas succomber, par excès, de charge ni, délitement, par manque, d’exigence. Le pire, en la vie, est de ne pas choisir, par crainte, de se tromper. Ce qui est bien pis, car cela, aboutit, immanquablement, à se fourvoyer, par « inertie », donc, absence, de résultats idoines. Vivre, est décider, choisir, quitte, à se tromper. Alors, que nos cadets, osent, en audace, choisir, décider et, osent, même, se tromper.

 

Comme, il est dit, en latin, depuis, l’Antiquité : « Rien, de plus humain, que l’erreur, l’essentiel, est de ne pas récidiver, de façon, dommageable ». Alors, que notre descendance est, désormais, instruite, éclairée, par l’expérience, des lourdes erreurs, précédemment, commises. « Errare humanum est, perseverare diabolicum ». (Principe philosophique antique). Elle apprend, de tous ses choix, heureux ou, malheureux, de ses erreurs, de décision. Afin, d’en tirer, les meilleurs enseignements, pour l’avenir. Tout ceci, est relatif, relativisable et, généralement, réversible. Outre, que très subjectif, conjoncturel, plus, qu’objectif et, structurel231. Ce qui symbolise, plus, l’espoir, que la chute.

 

Ses regrets la désolent, l’ « égarent » fort, souvent, plus, que ses choix, bons ou, moins bons. Redisons-le, l’infaillibilité, la perfection juvéniles, n’étant pas terrestres, les choix sont, ce qu’ils sont. Au junior, de bien, s’en accommoder, « pour le meilleur et, sans le pire » ! Il a tout pouvoir, sur ses propres comportements, attitudes, actes. L’important, est plus, de se battre, pour optimiser, sa vie, que de s’obséder, de ses seuls, préférences, plaisirs, désirs et, envies. De façon velléitaire, passive, attentiste. En vertu, de l’unique hédonisme, égocentrique. Qu’il agisse, pour avancer !

 

L’essentiel est, chaque matin, au lever, qu’il se demande, non, ce qui va, encore, bien pouvoir, lui arriver, mais, ce qu’il peut, doit, va faire. Pour bien occuper, réussir, le jour, qui commence et, tous les suivants, de son existence. N’y a-t-il pas, un célèbre adage, qui dit : « Aide-toi, le Ciel t’aidera » ? (Inspiré d’Ésope, auteur grec, v. 620-564 av. J.-C., Fables, Le Bouvier et Héraclès, Grèce, VIIe-VIe s. av. J.-C.). Le jeune n’est pas fait, pour subir, mais, agir, car, il n’est pas sujet, mais, acteur, de sa vie. Qu’il écoute bien, sa profonde intuition intérieure, son intime conviction, sa pleine conscience, sa clairvoyance, son discernement, ses valeurs et, idéaux. Qu’il y demeure fidèle, toute son existence, durant, à son plus grand profit et, quoi, qu’il en coûte232.

 

Il s’agit, des meilleurs guides, possibles, pour faire, au mieux, en son existence. « Tout passe, tout lasse, tout casse, tout revient », sans cesse et, encore, de façon, cyclique. Tout débute, se déroule, prend fin, comme, la vie, même. Les meilleures, comme, les pires, des choses. En prendre conscience, aide le junior, à supporter, les difficultés, car, elles passent. De même, à apprécier, toutes les plénitudes, car, elles ne sont, peut-être, sans doute, jamais, éternelles ! Bienveillance, confiance, espérance, exigence, tels sont, ses meilleurs maîtres, de vie, pour faire sens, à son existence.

 

En leur juvénilité, les jeunes sont, extraordinairement, humains ! C’est, ce qui les rend, tous, si attachants, touchants, en leur grande, belle et, forte humanité, même ! Ils ont compris, avant, les adultes, que la coopération-union, est bien plus bénéfique, pour leur génération et, le monde, que la compétition-division. En cela, nos jeunes sont annonciateurs, d’une ère nouvelle, d’avenir. Qui fera passer, l’humanité, de l’ère mortifère, de la rivalité, du conflit, à celle, tellement, vitale, de l’ « harmonie », basée, sur l’entente, la bonne intelligence. En une salvatrice logique, de « l’autre et, moi », non plus, du « lui / elle ou, moi » !

 

Le bien, d’autrui, n’est pas obstacle, au mien, mais, catalyseur et, réciproquement. L’infortune, de l’autre, n’est pas, ma chance, mais, mon malheur et, inversement. Si l’un, avance, l’autre, aussi. Si l’un, recule, l’autre, aussi. Le salut sera, pour tous ou, pour personne. L’accaparement, de tout ou, presque, par une minorité, cause, la ruine, de la plupart ! La répartition équitable, de l’essentiel, entre tous, génère, la prospérité et, l’harmonie générales. Jalousies et, envies, rivalités, convoitises, comparaisons, ne sont, que fléaux empoisonnés, qui tuent, le junior, à petit feu.

 

Telle est, la raison majeure, du malheur juvénile, depuis, la venue, sur cette Terre, du premier hominidé préhistorique, il y a, des millions d’années. De l’homme Australopithèque, à l’Homo erectus ou ergaster, de l’homme de Néandertal, à l’Homo sapiens. Ne voir, que l’assiette, du voisin, pour la dégarnir, plutôt, que la gratifier ou, se préoccuper, de la sienne, pour l’améliorer, telle est, la source première, du drame humain. Du travers, de tant de faquins. Les jeunes montrent, résolument, la voie, ouvrent, le chemin, de la fraternité, la générosité, du partage, de l’altruisme, l’oubli, de soi. Pour autrui. Par la pleine magie, du vrai don désintéressé et, de l’harmonie universelle, entre semblables.

 

Ils l’ont compris, mis en application, avant, leurs aînés. Car, contrairement, à ces derniers, ils n’ont nuls, intérêts ni, positions acquises, à défendre ! Ce qui les renvoie, alors, à l’essentiel : l’échange juvénile, tous azimuts, dont, ils sont, si friands, si porteurs, par excellence ! La réussite, les entreprises personnelles, ne sont rien, comparativement, aux succès collectifs, surtout, aux bienfaits, apportés, par tous, à chacun ! La bonté unit, quand, l’inverse, brouille, l’humanité. S’autogratifier, ne dure, que le bref temps, de la seule vie. Honorer autrui, se mesure, à l’aune, de la longue durée existentielle, de l’ensemble, du genre humain.

 

Que le jeune n’oublie jamais : sous les nuages, les plus sombres, le ciel est toujours, du bleu, le plus azuré, intense, limpide. Le soleil, toujours, chaleureux, éclatant, rayonnant, lumineux. (Millman, 2000)233. À l’égard, des juniors, ne soyons ni, « thuriféraires et, excessivement, laudateurs ni, sectateurs ou, contempteurs ». Ils ne sont « ni, Léviathan ni, menu fretin ». De fait, la seule voie éducative idoine est, d’ « équilibre bien tempéré ».

 

« Dans l’éducation, des jeunes gens, c’est, par le plaisir et, la peine, qu’on les gouverne ».

(Aristote, philosophe grec, 384-322 av. J.-C., Éthique à Nicomaque, X, 1, essai, de philosophie morale, Grèce, IVe s. av. J.-C.).


 

 


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